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TD1 Mensa Issea
TD1 Mensa Issea
MENSA Academy est le Centre Leader en matière de préparation aux Concours de bourse au
Cameroun, forme et prépare intensément les étudiants à entrer dans les Écoles de Statistique
Africaines (ISSEA, ENSEA & ENSAE) et Démographiques (IFORD A & B).
S A
ISE Cycle long & AS
E N
TD No 1 : LOGIQUE & ENSEMBLES
* M
*
NB : C ette s éri e d' exer ci ces d oit êtr e intégr alem ent
y
faite p ar l étu di ant( e) d e p eur d' êtr e
expuls é( e)
e
aux
Exercice 1
d 13 f n’est pas la fonction nulle ;
ca
14 f n’a jamais les mêmes valeurs en deux points
Soient f et g deux fonctions de R dans R. Tra-
distincts ;
duire en termes de quantificateurs les expressions
A
suivantes : 15 La fonction f ne prend jamais 2 deux la même
valeur ;
1 f est majorée ; 16 f atteint toutes les valeurs de N ;
2 f est bornée ;
3 f est paire ;
S A 17 f est inférieure à g ;
18 f n’est pas inférieure à g.
N
4 L’équation f (x) = 0 n’a pas de solution ; 19 La courbe représentative de fonction f coupe
celle de la fonction ln.
E
5 f est impaire ;
6 La fonction f est constante ;
M 7 f ne s’annule jamais ;
8 f est périodique ;
9 La fonction f ne prend pas de valeur négative ;
Exercice 2
1
(b) L’équation f (x) = 0 a une solution ; 1 136 est un multiple de 17 et 2 divise 167.
(c) L’équation f (x) = 0 a exactement une so- 2 136 est un multiple de 17 ou 2 divise 167.
lution ;
3 ∃x ∈ R, (x + 1 = 0 et x + 2 = 0).
(d) f est l’identité de R ;
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A
ment croissante) ;
(h) f est globalement invariant sur D ⊂ R et
S
8 ∀y ∈ R∗ , ∀z ∈ R∗ , ∃x ∈ R∗ , z − xy = 0 ;
admet un point fixe dans D ;
9 ∃a ∈ R, ∀ε > 0, |a| < ε ;
(i) f est constante sur R ;
(j) f change de signe et ne s’annule pas sur
R.
2 Dans cette question, (un )n∈N est une suite
10 ∀ε > 0, ∃a ∈ R, |a| < ε.
E N
réelle.
(a) La suite (un )n∈N est bornée ; Exercice 5
* M
*
(b) La suite (un )n∈N est décroissante ;
(c) La suite (un )n∈N est monotone. 1 Soit p1 , p2 , ..., pr r nombres premiers. Montrer
y
que l’entier N = p1 p2 ...pr + 1 n’est divisible
par aucun des entiers pi .
Exercice 3
em 2 Utiliser la question précédente pour mon-
trer par l’absurde qu’il existe une infinité de
nombres premiers pi .
d
ca
Exprimer la contraposée de chacun des énoncés
suivants :
1 Je suis un génie des mathématiques, donc j’ai
A
Exercice 6
choisi de faire l’ISSEA.
2 ∀n ∈ N, n impair =⇒ n3 impair. 2
Dans R2 , on définit les ensembles F1 =
A
2
3 Je ne sais pas écrire une contraposée, donc je (x, y) ∈ R , y 6 0 et F 2 = (x, y) ∈ R , xy > 1, x > 0 .
−−−−→
S
ne vais pas réussir à faire cet exercice. On note M1 M2 la distance usuelle entre deux
4 (un ) est une suite croissante =⇒ ∀n ∈ N, points M1 et M2 de R2 . Évaluer les propositions
EN un 6 un+1 .
Exercice 4
2
Parmi les propositions suivantes, déterminer les- et z 6= y). Montrer que f est nécessairement une
quelles sont vraies et lesquelles sont fausses. On es- fonction affine.
saiera de justifier les affirmations vraies, et de don-
ner des contre-exemples aux affirmations fausses.
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1 ∀x ∈ R, x > 2.
Exercice 11
2 ∃x ∈ R, 2 < x < 4.
3 ∀x > 0, ∃y > 0, y < x. 1 Démontrer que pour tout entier naturel n non
n
n(n + 1)
A
4 ∀n ∈ N, ∃p ∈ N, p = 2n.
X
nul, k=
2
S
5 ∀n ∈ N, ∃p ∈ N, n(n + 1) = 2p. k=0
N
n
X n(n + 1)(2n + 1)
nul, k2 =
1 1 x+1
7 ∀y ∈ R\ , ∃x ∈ R\ , y= . 6
E
2 2 2x − 1 k=0
M
X n2 (n + 1)2
nul, k3 =
4
*
k=0
Exercice 8 *
4 Démontrer que pour tout entier naturel n non
em nul, que :
Xn
k(k + 1)(k + 2) =
n(n + 1)(n + 2)(n + 3)
d
4
k=0
ca
Exercice 9 6 Soient a et b deux réels et n un entier naturel
non nul, démontrer que :
Soit f une application de R dans R. Nier, de an −bn = (a − b) an−1 + an−2 b + ... + abn−2 + bn−1
suivent :
A
la manière la plus précise possible, les énoncés qui
En déduire une formule pour an + bn pour n
impair et pour n > 2.
S A
1 Pour tout x ∈ R, f (x) 6 1 ;
2 L’application f est croissante ;
3 L’application f est croissante et positive ;
EN
4 Il existe x ∈ R+ , f (x) 6 0 ;
5 Il existe x ∈ R tel que quelque soit y ∈ R, si
x < y alors, f (x) > f (y).
Exercice 12
Calculer inf
a
+
b
tel que (a, b) ∈ R∗+ .
M
b a
Exercice 10 Exercice 13
Soit f une fonction réelle vérifiant ∀(x, y, z) ∈ R3 , Les phrases suivantes sont-elles équivalentes ?
f (y) − f (x) f (z) − f (x) Lorsqu’elles ne le sont pas, donnez des exemples de
= (en supposant que z 6= x fonction f et g qui aideront à contredire.
y−x z−x
3
1 ∀x ∈ R, (f (x) = 0etg(x) = 0) et 1 Calculer f (0). Montrer que f est paire.
(∀x ∈ R, f (x) = 0) et (∀x ∈ R, g(x) = 0)
2 Montrer que f 00 est constante.
2 ∀x ∈ R, (f (x) = 0oug(x) = 0) et
(∀x ∈ R, f (x) = 0) ou (∀x ∈ R, g(x) = 0) 3 Conclure.
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A
(a) Montrer que ]0; 1[ est un ouvert de R
(b) En niant la définition ci-dessus, montrer
que [0; 1[ n’est pas un ouvert de R.
1 Montrer que pour tout entier n supérieur ou
égal à 1, 40n n! est divisible par (5n)!
S
Exercice 14
N
2 Démontrer par récurrence que pour tout entier
naturel n, 32n − 1 est un multiple de 8.
E
Écrire les contraposées des implications sui-
vantes et les démontrer, n étant un entier naturel, x Exercice 18
* M
et y des nombres réels.
*
Soit f : R −→ R une fonction. Nier des assertions
1 n premier =⇒ n = 2 ou n est impair
2 xy 6= 0 =⇒ x 6= 0 et y 6= 0
y
avec quantificateurs suivantes :
m
1 ∀x ∈ R, f (x) 6= 0
3 x 6= y =⇒ (x + 1)(y − 1) 6= (x − 1)(y + 1).
ca
4 ∀ε > 0, ∃θ > 0, ∀(x, y) ∈ I 2 ,
Exercice 15 (| x − y |6 θ =⇒ (| f (x) − f (y) |) 6 ε).
A
Dire dans chacun des cas suivants si la proposi-
tion est vraie ou fausse puis démontrer.
1 ∃x ∈ R, sin x = x
S A
2 ∃x ∈ R, ∀y ∈ R, x + y > 0
3 ∀x ∈ R, ∃y ∈ R, x + y > 0
Exercice 19
N
que :
4 ∀x ∈ R, ∀y ∈ R, x + y > 0 ∀(x, y) ∈ R2 , f (x + y) = f (x) + f (y).
E
5 ∀ε > 0, ∃a > 0, | x |< a =⇒| x |2 < ε. 1 Calculer f (0) et montrer que f est impaire.
M
2 Pour n ∈ N et x ∈ R, calculer f (nx) en fonction
de n et f (x).
3 Soit a = f (1). Montrer que pour x ∈ Q,
Exercice 16
f (x) = ax.
On se propose de déterminer les fonctions f de
R dans R deux fois dérivables sur R telles que : 4 Expliquer pourquoi tout nombre réel est limite
∀(x, y) ∈ R2 , f (x + y) + f (x − y) = 2 (f (x) + f (y)). d’une suite de nombres rationnels.
Dans (1) et (2), f est une fonction solution. 5 Conclure que pour x ∈ R, f (x) = ax.
4
Exercice 20 Exercice 23
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On rappelle qu’un nombre est dit irrationnel, On considère la suite (un ) définie
√ par u0 = 1 et
p
lorsqu’il ne peut se mettre sous la forme avec p ∈ Z pour tout entier naturel n, un+1 = un + 1.
q
et q ∈ N∗ . 1 Démontrer que pour tout entier naturel n,
√
A
1 Démontrer que 3 est irrationnel 0 < un < 2.
2 Soit p un nombre premier. Montrer que si p est
√
un nombre premier alors, p est irrationnel.
2 Démontrer que pour tout entier naturel n,
un 6 un+1 . Que peut-on en déduire ?
S
N
La réciproque est-elle vraie ? justifier votre ré-
ponse.
3 Démontrer que si a et b sont deux entiers rela-
√
tifs tels que a + b 5 = 0 alors, a = b = 0. Exercice 24 E
* M
La suite (un )n est définie par u0 = 1, u1 = 2 et
*
u2n
un+1 = pour n non nul.
un − 1
Exercice 21
y
"Deviner" une formule donnant un en fonction de
n, puis la démontrer par récurrence.
Soit n un entier naturel non nul. On note Cn
la courbe d’équation y = (1 + x)n et Dn la droite
d’équation y = 1 + nx.
em
d
1 Rappeler l’équation de la tangente à Cn au Exercice 25
point A de Cn d’abscisse 0.
ca
2 Tracer (par exemple à l’aide d’un logiciel) Cn Soit (un )n une suite d’éléments de Z définie par :
et Dn lorsque n = 2, 3.
A
En vous aidant du graphique pour obtenir une
conjecture, démontrer si les propositions suivantes
sont vraies ou fausses.
u0 = 1, u1 = 4 et pour tout n ∈ N,
un+2 = 2un+1 − un .
A n
1 ∀n ∈ N∗ , ∀x ∈ R, (1 + x) ≥ 1 + nx ;
S n
2 ∀n ∈ N∗ , ∀x ∈ R+ , (1 + x) ≥ 1 + nx ;
1 En calculant les premiers termes, conjecturez
une formule pour la suite (un )n qui ne soit pas
récurrente.
2 Démontrez cette formule par récurrence
N
n
3 ∃n ∈ N∗ , ∀x ∈ R, (1 + x) = 1 + nx ; (forte ?)
E
n
4 ∀n ∈ N∗ , ∃x ∈ R, (1 + x) = 1 + nx ;
n
5 ∃n ∈ N∗ , ∀x ∈ R∗ , (1 + x) > 1 + nx.
M Exercice 26
5
Soit la suite (zn ) définie par z0 = 0 et pour tout
entier naturel n, zn+1 = 3zn − 2n + 3
A
Exercice 32
Montrez par récurrence que pour tout n > 1, on a :
wn = 2n−1 .
S
Démontrer que, pour tout n > 3, on peut trouver
n entiers strictement positifs x1 , ..., xn deux à deux
Exercice 28
distincts, tels que :
n
X 1
xk
k=0
=1
E N
Soit (un )n la suite définie par : u0 = 0 et pour
n ∈ N, un+1 + un = n. Exprimer un en fonction de n.
* M
Exercice 33 *
y
Soit (un )n∈N∗ la suite définie par : u1 = 3 et pour
m
Exercice 29 n
2X
e
tout n > 1, un+1 = uk . Démontrer que, pour
n n
X 2 k=0
d
Pour n > 1, on pose : sn = (2k − 1) . tout n non nul : un = 3n.
k=1
ca
Démontrer que pour tout pour n > 1,
n(2n − 1)(2n + 1)
sn =
3
A
Exercice 34
Exercice 30
S A 2n−1 6 n! 6 nn .
EN
On considère la suite numérique (vn )n∈N définie
7
par : v0 = et pour tout n entier naturel,
8
vn+1 = vn2
Exercice 35
M Démontrer que vn =
2n
7
8
.
On souhaite démontrer que pour tout entier n et
n
pour tout réel x > −1, on a : (1 + x) > 1 + nx.
1 Si vous voulez procéder par récurrence, porte-
t-elle sur x ? sur n ? ou sur les deux ?
2 Énoncer l’hypothèse de récurrence
3 Vérifiez que :
Exercice 31
(1 + nx) (1 + x) = 1 + (1 + n) x + nx2 .
6
4 Rédigez la démonstration. 4 Donnez-en une preuve en utilisant le principe
des tiroirs.
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Exercice 36
Exercice 39
A
∀ε > 0, | a |6 ε =⇒ a = 0.
S
2 Déterminer les réels x pour lesquels l’assertion
N
impair. Examiner la réciproque.
suivante est vraie :
3 Démontrer que si l’entier n2 − 1 n’est pas di-
visible par 8 alors, l’entier n est pair.
4 Écrire la contraposée de la proposition précé- E
∀y ∈ [0; 1], x > y =⇒ x > 2y
dente
5 En remarquant qu’un entier impair n s’écrit
* M
sous la forme : n = 4k + r avec k ∈ N et
r ∈ {1, 3} (à justifier), prouver la contraposée.
Exercice 40
*
y
On considère la suite de Fibonacci (un ) définie
par u0 = u1 = 1 et pour tout entier naturel n, on
m
donne : un+2 = un+1 + un .
Démontrer que la suite (un ) vérifie les propriétés
Exercice 37
ca
n
2 Pour tout n ∈ N, un un+2 − u2n+1 = (−1) .
de chaussettes dans n tiroirs distincts alors, il y a
au moins un tiroir contenant au moins 2 paires de 3 Avez-vous utilisé une récurrence simple ou
chaussettes (c’est le principe des tiroirs). une récurrence double ? pourquoi ?
A
tion et par calcul implicite). On cherchera à cal-
culer les premiers termes de la suite. Déduire
S
Exercice 38
son sens de sens de variation (ne conjecturer
Soit n > 1 un entier naturel. On se donne n + 1 surtout pas).
EN
réels x0 , x1 , ..., xn de [0, 1] vérifiant :
0 6 x0 6 x1 6 ... 6 xn 6 1.
On veut démontrer la propriété suivante : il y a
M
Exercice 41
deux de ces réels dont la distance est inférieure ou
1
égale à . Montrer qu’il existe une infinité de nombres pre-
n
miers.
1 Écrire à l’aide de quantificateurs et des valeurs
de xi − xi−1
2 Écrire la négation de cette formule logique
3 Rédigez une démonstration par l’absurde de la Exercice 42
propriété
7
1 Donner des exemples d’applications de R dans Exercice 45
R (puis de R2 dans R) injective et non surjec-
tive, puis surjective et non injective.
1 Soit E = N × N, on définie R par :
2 Soit f : R −→ R définie par f (x) = x − 3 (x, y)R(x0 , y 0 ) ⇔ y = y 0 . Montrer que R
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Exercice 43 p0 q.
3 Montrer que la relation R définie sur R par :
A
E/R. Soit E = Z × N∗ et (p, q)R(p0 , q 0 ) ⇔ pq 0 =
S
N
Soit la suite (xn )n∈N définie par x0 = 4 et ∀n ∈ N
xRy ⇔ xey = yex est une relation d’équi-
2x2 − 3
on donne : xn+1 = n
E
valence. Préciser, pour tout x fixé dans R, le
xn + 2 nombre d’éléments de la classe de x modulo
1 Montrer que : ∀n ∈ N : xn > 3 R.
3
2 Montrer que : ∀n ∈ N : xn+1 − 3 > (xn − 3)
2
* M
*
n
3
3 Montrer que : ∀n ∈ N : xn > +3
2 Exercice 46
4 La suite (xn )n∈N est-elle convergente ?
y
1 Soit a un entier relatif quelconque, démontrer
d
2 Démontrer que le nombre 7n + 1 est divisible
Exercice 44 par 8 si n est impair ; dans le cas n pair, donner
ca
le reste de sa division par 8.
Toutes les questions sont indépendantes
3 Quel est le plus petit entier naturel qui, divisé
1 Soit u0 = 0, u1 = 1 et ∀n > 1, un+1 = un +
A
par 8,15,18 et 24, donne respectivement pour
2un−1 . Montrer que (i) ∀n ∈ N, un ∈ N et (ii) reste 7, 14, 17 et 23 ?
∀n ∈ N, 4 Montrer que n(n + 1)(n + 2)(n + 3) est divisible
A
1
un = (2n − (−1)n ) par 24 et que n(n + 1)(n + 2)(n + 3)(n + 4) est
3
S
divisible par 120.
2 Soit n ∈ N ; montrer que pour tout entier k > 1
k
on a : nk + knk−1 6 (n + 1)
N
3 Soit b > 0, montrer par récurrence que ∀n > 1
E n
on a : (1 + b) 6 1 +
nb (nb)2
1!
+
2!
+ ... +
(nb)n
n!
Exercice 47
8
3 Déterminer l’ensemble de tous les couples x est un réel positif. Démontrer que pour tout en-
(p, q) tels que 955p + 183q = 1. tier naturel n, l’inégalité de Bernouilli :
4 Soient m, n deux entiers tels que (m > n > 0) (1 + x)n > 1 + nx.
et a > 2 un entier. Montrer que le reste de la
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Exercice 48
propriétés suivantes :
Pn : 10n − 1 est divisible par 9
Qn : 10n + 1 est divisible par 9
A
Pour tout entier naturel n, on considère les deux
S
1 Soit k un entier impair. Montrer par récurrence
que, pour n > 1, la somme 1k + 2k + ... + nk est
un entier divisible
vraie.
E N
1 Démontrer que si Pn est vraie alors Pn+1 est
* M
3 Un élève affirme : "Donc Pn et Qn sont vraies
*
b) = 1 ou 2 ; (ii) si pgcd(a, b) = 1, montrer que pour tout entier naturel n. Expliquer pourquoi
pgcd(a + b, ab) = 1 et (iii) Si pgcd(a, b) = 1, il commet une erreur grave.
y
montrer que pgcd(a + b, a2 + b2 ) = 1 ou 2. 4 Démontrer que Pn est vraie pour tout entier
3 Déterminer l’ensemble de tous les couples naturel n.
m
(p, q) tels que 955p + 183q = 1. 5 Démontrer que Qn est fausse pour tout entier
naturel n. On pourra utiliser un raisonnement
e
4 Soient m, n deux entiers tels que (m > n > 0)
et a > 2 un entier. Montrer que le reste de la par l’absurde.
d
division euclidienne de am − 1 par an − 1 est
ca
ar −1 où r est le reste de la division euclidienne
de m par n, et que le pgcd de am − 1 et an − 1
est ad − 1 où d est le pgcd de m et n.
Exercice 52
Exercice 49
S A
Soit n un entier naturel non nul, et Sn la somme :
1 Démontrer que si n n’est √divisible par aucun
entier inférieur ou égal à n, alors n est pre-
mier.
N
2 Démontrer que les nombres n!+2, n!+3,...,n!+
n
X 1 n ne sont pas premiers.
E
Sn = .
p=1
p(p + 1) 3 En déduire que pour tout n, il existe n entiers
consécutifs non premiers
M
1 Calculer Sn
n
2 Montrer par récurrence que Sn = pour
n+1
tout n > 1.
Exercice 53
9
2 Soit n ∈ N∗ un entier pair. En déduire que
l’équation :
xn + y n = z n
Exercice 56
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A
Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont
vraies, lesquelles sont fausses et pourquoi ? tiple de 225 = 15 × 15.
1 Si un nombre est divisible par 9, alors il est di- 3 Montrer que pour tout entier n > 0, bn est un
multiple de 225. S
N
visible par 6.
2 Si un nombre est divisible par 100, alors il est
divisible par 25.
3 Si un nombre est divisible par 2 et par 3, alors E
il est divisible par 12.
4 Si un nombre est divisible par 10 et par 12,
Exercice 57
* M
Montrer que 3 divise a3 − b3 si et seulement si 3
alors il est divisible par 15.
5 Si un nombre est divisible par 6 et par 8, alors
divise a − b.
*
il est divisible par 48.
6 Le produit des entiers de 3 à 10 est divisible y
par 1000.
7 Le produit des entiers de 3 à 10 est divisible
em Exercice 58
d
On se propose de déterminer tous les couples
par 1600
(m, n) ∈ N × N solutions de l’équation : 2m − 3n = 1.
ca
8 Si la somme des chiffres d’un entier en écri-
ture décimale vaut 39, alors il est divisible par 1 Soit k ∈ N∗ ,
3 mais pas par 9. (a) Quel est le reste de la division euclidienne
A
de 9k par 8 ?
9
(b) Déterminer les restes de la division eucli-
dienne de 32k + 1 par 8, puis de 32k+1 + 1
Exercice 55
S A par 8
2 Soit (m, n) ∈ N × N un couple de solution,
montrer à l’aide de la première question) que
EN
Étant donnés cinq nombres entiers consécutifs,
on trouve toujours parmi eux (vrai ou faux et pour-
quoi) :
m 6 2.
3 En déduire tous les couples (m, n) ∈ N × N
d’entier naturels solutions de l’équation.
4 au moins deux multiples de 3. Deux nombres entiers naturels distincts sont dits
« amicaux » (ou « amiables ») si la somme des divi-
5 au moins un nombre premier.
seurs stricts de l’un est égale à l’autre et réciproque-
6 au moins un multiple de 6. ment.
10
Exemple : les diviseurs de 10 sont 1, 2, 5, 10. Les Soit (a, b) ∈ R2 . On considère l’application f :
diviseurs stricts de 10 sont 1, 2, 5. R −→ R, x 7−→ ax + b. Déterminer une condition
nécessaire et suffisante pour que f soit bijective.
1 Établir la liste des diviseurs stricts de 220.
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Exercice 60 n ∈ N.
2 f (R2 ) et f −1 ([0, 1]) si f : R2 −→ R,
A
1 f (R) et f −1 ([−1, 1]) si f : R −→ R, x 7−→ xn ,
S
Soit n un entier naturel. On note σ(n) la somme
des diviseurs positifs de n. On dit que n est parfait si
σ(n) = 2n.
(x, y) 7−→ x2 + y 2 .
E
3 f ([0, 1]2 ) et f −1 ([0, 1]) si f
(x, y) 7−→ |x| + |y|.
N : R2 −→ R,
M
1 Les nombres 6,28,32 sont-ils parfaits ?
4 f ([0, 1]2 ) et f −1 ([0, 1]) si f : R2 −→ R,
2 Soit n un entier supérieur ou égal à 2. (x, y) 7−→ max(|x| , |y|).
(a) Montrer que σ(n) > n + 1.
(b) Démontrer que n est premier si et seule-
* *
y
ment si σ(n) = n + 1.
Exercice 64
d
Exercice 61 1 Construire une application bijective de N sur
ca
Z.
n
2 Montrer que l’application suivante est bijec-
X
1 On pose Sn = k.(k!) pour tout entier natu-
k=1
tive, f : N2 −→ N∗ , (m, n) 7−→ 2m (2n + 1).
A
rel n non nul. Montrer que Sn = (n + 1)! − 1 3 Étudier l’injectivité et la surjectivité de l’appli-
2 Montrer que 32n − 2n est divisible par 7 tout cation f : Z × N∗ −→ Q, (p, q) 7−→ p + 1q .
entier naturel.
nul, on a :
n−1
X A
3 Montrer que, pour tout entier naturel n non
S
k! 6 n!
4 Étudier l’injectivité et la surjectivité de l’appli-
cation f : Z2 −→ R, (m, n) 7−→ m + n 2.
5 Soit p : E −→ E une application vérifiant
√
EN
4 Soit Sn =
k=0
n−1
X
p=0
1
p+1
. Montrer que S2n −Sn >
n
1
2
p ◦ p = p où E est un ensemble. Montrer que si
p est injective ou surjective, alors p = IdE .
6 On considère l’application f : N −→ Z définie
n
M et en déduire que S2n > 1+ . Peut-on dire que par pour tout n ∈ N, f (n) = si n est pair et
2 2
(Sn ) converge ? n+1
f (n) = − si n est impair.
2
Montrer que f est bijective et déterminer une
expression de f −1 .
7 Soient f : N −→ N une application injective et
Exercice 62 g : N −→ N une application surjective telles
que f (n) 6 g(n). Montrer que f = g.
11