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COURS PAR OBJET : MONDIALISATION

Les accords de libre-échange:


Les autres acteurs de la
mondialisation
UNIVERSITE PARIS 13 – VILLETANEUSE
L1 DOUBLE LICENCE DROIT - ECONOMIE
SEMESTRE 1 - ANNEE 2017/2018

ALLOUCH Siwar
BERNABE Patricia
CANAGALINGAM Noël
Problématique : Dans quelle mesure les accords de libre-échange façonnent-ils
la législation et l'économie mondiale ?

SOMMAIRE

INTRODUCTION

I- Les accords bilatéraux de libre-échange entrepris par l'Union


Européenne

a) Présentation des accords


b) Les modalités de négociation de ces accords

II- Les conséquences escomptées par ces accords

a) Un dynamisme économique
b) Une harmonisation juridique

III- L'opacité de ces accords

a) Une possible ségrégation économique


b) Une asymétrie d'information pour les consommateurs

CONCLUSION

SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE
INTRODUCTION

La mondialisation est un processus de mise en relation des différentes régions du monde qui se
caractérisent par des relations d'interdépendances, d'une massification des échanges et de la
libre-circulation, des biens, des services, des hommes et des capitaux. À partir de la seconde
partie du XXe siècle et la fin de la Seconde Guerre mondiale (1939 – 1945), ce phénomène s'est
accéléré sous l'impulsion de la superpuissance américaine, qui est ressortie largement
victorieuse de cette guerre, contrairement aux pays européens et le Japon entre autres. Les
États-Unis, étant conscient de leur puissance et soucieux de trouver des débouchés extérieurs à
leurs produits imposent donc à travers l'adoption du système monétaire internationale de
Bretton-Woods en 1944, le dollar comme étant la monnaie internationale des échanges ainsi
que par les accords du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade) en 1947, la réduction
entre autres des droits de douane et des normes afin de faciliter les échanges de bien et de
services. Les normes désignent des règles, des spécifications techniques qui régissent un
domaine particulier. Le but des accords de libre-échange est justement de réduire ces normes ou
bien de les uniformiser, les harmoniser dans le but supposé d'améliorer les échanges de biens et
de services et de permettre ainsi un certain dynamisme économique. Les accords de libre-
échange se définissent comme étant une entente entre deux parties, on appelle alors cela un
accord bilatéral ou bien entre plusieurs parties, on appelle alors cela, un accord multilatéral. Ces
accords tentent donc de façonner d'une certaine manière les échanges dans le domaine
économiques par le biais de la suppression de barrières tarifaires comme les droits de douane,
ou bien par la suppression de barrières non-tarifaires tel que les formalités administratives.
Notre sujet portera sur trois accords bilatéraux que sont le CETA, le TAFTA et le JEFTA, dans
le but de répondre à la problématique suivante : Dans quelle mesure les accords de libre-
échange façonnent-ils la législation et l'économie mondiale ?

Afin de répondre à la problématique, l'étude présentera dans un premier temps les différents
accords de libre-échange entrepris par l'Union européenne, puis s’intéressera aux effets
attendus par ces accords, et enfin dans une dernière partie l'étude se focalisera sur l'opacité de
ces accords.
I- Les accords bilatéraux de libre-échange entrepris par l'Union
Européenne

Dans cette première partie, l'étude présentera les différents accords de libre-échange ainsi que
les modalités et les acteurs qui ont participé à leurs négociations.

a) Présentation des accords

Le CETA est l’acronyme de Comprehensive Economic and Trade Agreement. C'est un accord
bilatéral de libre-échange entre l'Union européenne et son deuxième partenaire commercial : le
Canada. C'est un accord qui vise à réduire pour près de la quasi-totalité des barrières aux
échanges existant jusque-là entre l'Union européenne et le Canada.

Le TAFTA ou TTIP est l'acronyme de Transatlantic Trade and Investment Partnership. C'est un
accord bilatéral de libre-échange entrepris par l'Union européenne et les États-Unis qui sont les
premiers partenaires commerciaux de l'Union Européenne. C'est un accord qui a pour but de
renforcer leurs liens économiques par la suppression des barrières aux échanges.

Le JEFTA est l'acronyme de Japan-EU Free Trade Agreement. Il désigne un accord bilatéral de
libre-échange entre l'Union européenne et le Japon.

Nous allons maintenant nous intéresser aux modalités et aux acteurs de la négociation de ces
traités.

b) Les modalités de négociation de ces accords

Les négociations pour le CETA ont été entamées dès 2009 entre les deux grands acteurs de cet
accord : la Commission européenne et le Gouvernement Canadien. Au cours des négociations
une partie de la population, notamment en Europe et des ONG ont manifesté leur
désapprobation face à cet accord, en y voyant des risques de dumping social ou bien dans le
domaine environnemental. En Europe, le système de vote impose que les Parlements de chaque
États adoptent et ratifient l'accord du CETA, afin qu'il puisse entrer en vigueur. Or, il suffit
qu'un État refuse de ratifier l'accord pour que l'accord ne rentre pas en vigueur. C'est ce qui s'est
passé fin octobre 2016. En effet, la Wallonie, l'un des deux États qui composent la Belgique a
refusé provisoirement de ratifier cet accord, ce qui a conduit à un retard dans la signature de cet
accord. Finalement, le 30 octobre 2016, la signature a enfin eu lieu, et le Parlement européen,
en Janvier 2017 a approuvé l'application de ce traité. Une partie de l'accord du CETA est entré
en vigueur dès le 21 septembre 2017.

Les négociations pour le TAFTA ont été entamées en 2013 sous l'impulsion de Président
américain Barack Obama. Après près de trois années de négociations et de contestations, cet
accord est aujourd'hui au point mort, surtout depuis l'arrivée au pouvoir aux États-Unis, du
républicain Donald Trump, farouche opposant aux traités de libre-échange, prônant de son côté
l'unilatéralisme et le protectionnisme. Cette nouvelle politique commerciale des États-Unis a
notamment conduit au retrait des Etats-Unis d'un autre accord de libre-échange : le TPP, Trans-
Pacific Partnership ou Partenariat Trans-Pacifique, en français. C'est un accord de libre-échange
signé en 2016 entre les États-Unis et douze autres pays, qui visait à dynamiser les échanges et à
contrer l'influence de la Chine en Asie.

Les négociations concernant le JEFTA ont été entamées à la même période que pour le TAFTA,
en 2013 et se sont accélérées en juillet 2017. En effet le Japon et l'Union européenne à la veille
du sommet du G20 de Hambourg, ont présenté officiellement l'accord de libre-échange : le
JEFTA.
Les négociations s'étaient accélérés au cours de l'année 2017, notamment sous l'impulsion du
Japon, qui a dû trouvé une solution après la décision de Donald Trump du retrait des États-Unis
du TPP. Le TAFTA a été finalisé le 8 décembre 2017 par l'Union européenne et le Japon.

Dans cette première partie, nous nous sommes donc intéressés à présenter les modalités et les
acteurs qui ont participé à l'élaboration de ces accords, nous allons donc présenter plus en
détails les conséquences économiques et juridiques de ces traités.
II- Les conséquences escomptés par ces accords

Dans cette deuxième partie, l'étude s’intéressera aux conséquences attendues par ces accords
tant au niveau économique que juridique.

a) Un dynamisme économique

Une extension des marchés

Tout d’abord prenons le CETA, celui-ci permettrait une extension des marchés des deux côtés
puisque l’accord concernerait 35 millions de consommateurs canadiens et 510 millions de
consommateurs européens.
Il permettrait également un accès aux marchés publics. Environ 30% des marchés publics
canadiens seront ouverts aux entreprises européennes contre 10 % auparavant (90% des
marchés publics français ont déjà été ouverts aux entreprises canadiennes avant cet accord).
Dans le cas du TAFTA, il y aurait l’instauration de la plus vaste zone de libre-échange jamais
créée, qui couvrirait près de la moitié du PIB mondial et 820 millions de consommateurs.
Certaines lois protectionnistes seraient abolies, comme le Buy American Act, une loi des années
1930, qui interdit aux administrations américaines d’acheter des biens et des services en
provenance de pays non couverts par des accords de libre-echange s’ils sont dejà produits aux
États-Unis.

Réduction des obstacles au libre-échange

Afin que les entreprises puissent exporter d’avantage sans le moindre obstacle ces traités,
prévois de réduire les droits de douane et d’harmoniser les réglementations entre les deux pays.
Dans le cas du CETA, celui-ci prévoit la suppression des droits de douane sur 98% des produits
échangés entre les deux zones.
Dans le cas du TAFTA, selon les estimations de l'Organisation mondiale du commerce, on
aurait une baisse des droits en Europe de l’ordre de 5,2% du prix des produits en moyenne et de
l’ordre de 3,5% aux États-Unis. Avec le TAFTA, dans l’agroalimentaire, les deux pays ont
conclu zéro droits de douane pour presque tous les produits alimentaires.
Dans le cas de l’accord entre l’UE et le Japon, l'’UE a souhaité que le Japon supprime les
obstacles aux importations européennes afin que les entreprises européennes puissent exporter
davantage et plus facilement. Ce qui permetrait donc aux entreprises européennes d’être plus
compétitives sur le vaste territoire japonais notamment sur les produits suivants: le fromage qui
connaissait des droits de douane de 30 à 40 % et sur le chocolat jusqu’à 30%.
Ces traités prévoient également la labellisation de certains produits, ce qui donne aux
consommateurs la garantie qu’il s'agit de produits authentiques. Il permet également aux
producteurs européens de bénéficier d’une prime pour la qualité de leur production, ainsi cela
permettrait d’éviter les imitations. Dans le cas du CETA, il a été mis en place la reconnaissance
de 143 produits européens d'origine géographique protégée (AOP).

Une augmentation des échanges

Cette extension de marché permettrait par conséquent, une augmentation des échanges entre les
deux pays : ce qui pourrait faire progresser de 25% les échanges entre l’UE et le Canada. Cette
augmentation des échanges ferait augmenter le PIB des deux pays ; ainsi selon une étude de mai
2017 commandée par le Canada, le Canada verrait augmenter son PIB de 0,16% contre 0,02%
pour la France.

La Commission européenne met en avant une étude indépendante de mars 2013 pour vanter les
bénéfices potentiels du TAFTA. La croissance de l'économie européenne serait stimulée de 120
milliards d’euros. Selon une analyse d’impact indépendante, un accord commercial avec le
Japon pourrait entraîner une augmentation de la production européenne pouvant aller
jusqu’à 0,76 %. Aujourd’hui, plus de 600 000 emplois dans l’UE sont liés aux exportations vers
le Japon. Les entreprises japonaises emploient plus de 500 000 personnes dans l'UE et font
partie intégrante de l’économie européenne.

b) Une harmonisation juridique

Le but de ces accords au-delà de l'aspect économique et aussi d'harmoniser le système juridique
afin d'assurer et de faciliter la circulation des biens et des services, mais aussi de résoudre les
conflits que posent de tels échanges.

Dans le but d'une harmonisation juridique, le CETA, le TAFTA et le JEFTA contiennent des
clauses visant à réduire de manières significatives les barrières tarifaires aux échanges et
notamment des droits de douane. De plus, ces accords vont permettre de réduire certaines
normes et faciliter les échanges. Ainsi, un constructeur automobile européen pourra par exemple
exporter au Canada ses véhicules respectant les normes européennes sans avoir à respecter celle
du Canada par exemple.

Afin de résoudre de possibles conflit ces accords de libre-échange, et notamment le CETA et le


TAFTA prévoient l'instauration de tribunaux d'arbitrage spéciaux, ce qui permettrait à une
entreprise canadienne par exemple d'attaquer l’État Français si celui-ci met en place des
réformes qui empêcheraient ou handicaperaient cette entreprise canadienne. Cette mise en place
de tribunaux d'arbitrages inquiètent les associations de consommateurs et les ONG, qui pensent
que cela dissuaderait les États de mettre en œuvre par exemple des réformes visant à protéger
l'environnement.

Enfin ces accords et notamment le CETA et le TAFTA, peuvent menacer le principe de


précaution de l'Union européenne. Cette mise en place de tribunaux d'arbitrages inquiètent les
associations de consommateurs et les ONG, qui pensent que cela dissuaderait les États de
mettre en œuvre par exemple des réformes visant à protéger l'environnement.

Ces accords bien que présentés comme étant bénéfiques tant au niveau économiques que
juridiques, sont aussi très opaques, c'est le sujet de la dernière partie de cette étude.
III- L'opacité de ces accords

Les accords de libre-échange comptent de nombreux détracteurs mais aussi quelques partisans:

a) Une possible ségrégation économique

Entre grandes firmes et petites firmes

Les accords de libre-échange contribueraient uniquement ou presque qu’aux grandes firmes et


possiblement aux PME sous-traitantes, notamment par le fait que cet accord pourrait leur per-
mettre de bénéficier d’un accès facilité au marché canadien. Par exemple dans le secteur du tex-
tile les entreprises françaises sont très dynamiques mais sont sous représentées au Canada (elles
représentent que 7% du marché canadien) grâce à ce traité elles pourront être plus nombreuses.
Ce traité permettrait aussi un développement de l’export, grâce à la simplification des procé-
dures complémentaires, pour les PME qui représentent 75% des 10 000 entreprises exporta-
trices françaises au Canada.
Les petites firmes seraient quant à elles désavantagées par les accords de libre-échange.
Certains sont inquiets des conséquences que pourraient avoir ces traités sur l’agriculture fran
çaise déjà fragilisée. Le CETA prévoit un contingent d’importations de 65 000 tonnes de
viande bovine par an sur le sol européen, sachant que la viande canadienne est produite à
moindre coût (du fait de normes moins exigeantes) cela devrait entraîner donc une concurrence
déloyale des produits nord-américain sur les produits nationaux. Ainsi, les consommateurs pré
féreraient acheter des produits plus compétitifs. Selon la FNSEA, premier syndicat d’agriculture
en France, « les pièces de viande importées du Canada pourraient être 30% moins chères que
les viandes françaises sur le marché. »

Entre pays avantagés et pays désavantagés

Ces accords attestent qu’ils contribueraient à bénéficier aux deux parties. Or ce n’est pas le cas
car les inconvénients peuvent différer d'un pays à un autre au sein de l'Union Européenne. En
effet, comme on l’a vu précédemment avec le CETA l’agriculture française étant très affaiblie
cet accord ne fera qu’empirer la situation. Dans le cas de l’accord entre le Japon et L’Europe cet
accord a tendance à avantager les japonais notamment parce que il est impératif pour les japo-
nais de développer les exportations à l’étranger car la population japonaise a tendance à vieillir
ce qui rétrécit la taille du marché national et cette population à une spécificité, c'est qu'elle
consomme moins et épargne plus.

b) Une asymétrie d’informations pour les consommateurs

La volonté de développer des normes communes entraîneraient l’affaiblissement des normes


européennes étant plus rigoureuses notamment concernant les produits alimentaires. Il faut no-
ter que 46 substances interdites en France sont encore utilisées au Canada. C’est le cas des
OGM, du bœuf aux hormones ou encore du poulet lavé au chlore. Ainsi selon Thomas Porcher, ,
co-auteur du livre "Tafta : l’accord du plus fort"« il y a un risque pour l’Europe de se voir impo-
ser des denrées alimentaires moins sécurisées ».
Le « non-label » fait aussi débat car seulement 143 produits européens sur 1500 (accord du
Ceta) soit moins de 10% des produits européens seront protégés ce qui n’accentue pas l’authen-
ticité des produits européens et peut entraîner facilement une imitation de ces derniers. Dans
l’accord du TAFTA, les États-Unis ont quant à eux refusé la labellisation des produits français
très imités, chaque année, il se vend sur le sol américain 120 millions de bouteilles qui portent
le nom de Champagne… mais qui n'en sont pas. Enfin la menace du principe de précaution,
présenté dans la deuxième partie, constitue aussi une possible dégradation de la protection du
consommateur.
CONCLUSION

Enfin pour conclure et répondre à la problématique, nous pouvons dire que ces accords de libre-
échanges entrepris par l'Union européenne tentent de façonner l'économie et la législation
mondiales en uniformisant ou en supprimant certaines normes, au détriment peut-être du
consommateur et de la préservation de l'environnement, sans garanties certaines d'une facilité
législative et d'un dynamisme économique qu'elles promettent.
SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE

SITES WEB :

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echange-entre-lunion-europeenne-et-le-japon-est-finalise-2137802.php
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un-nouveau-ceta-1.html
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