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Reglement Interieur Sidiba Group
Reglement Interieur Sidiba Group
Article 1 : Objet
Le présent Règlement Intérieur établi conformément aux dispositions légales et
réglementaires en vigueur a pour objet de fixer :
Sous réserve du visa de l’Inspection du Travail et des lois sociales, le présent code intérieur
pourra être complété, suivant les circonstances, par des notes de services ou circulaires
signées du Directeur Général.
Ces notes auront le même caractère obligatoire que le Règlement Intérieur.
En conséquence, le personnel doit se trouver à son poste, en tenue correcte, à l’heure fixée
pour le début de chaque séance de travail.
Toutefois cette durée peut être dépassée par l’application des règles relatives aux
équivalences, aux heures supplémentaires et à la récupération des heures de travail
perdues.
Pour les besoins du service, le travailleur pourrait être amené à effectuer des heures
supplémentaires de façon explicite sur demande écrite ou orale de l’employeur ou
lorsqu’elles sont effectuées directement par le salarié sans que l’employeur ne s’y oppose
par accord implicite.
Ces heures supplémentaires sont un critère de valorisation en cas de primes fixées d’un
commun accord avec les salariés.
Tout retard doit être signalé et justifié auprès de la personne habilitée au contrôle.
Les retards répétés et non justifiés peuvent entraîner des sanctions allant de la demande
d’explication, à la sanction disciplinaire.
Aucun salarié ne peut s'absenter de son poste de travail sans motif valable ni quitter
l'établissement sans autorisation préalable.
Tout travailleur qui ne peut se rendre à son lieu de travail pour quelques raisons que ce soit,
sauf en cas d’impossibilité absolue, de maladie ou de provenance brusque d’un évènement
objet de l’absence doit en avertir l’entreprise par lettre, téléphone e-mail ou tout autre
moyen, en indiquant les motifs de l’absence et la durée.
Le travailleur comptant au moins six (6) mois de présence dans l’entreprise bénéficie à
l’occasion des évènements familiaux dûment justifiées, ci-après énumérés, d’une
permission exceptionnelle, non déductible du congé réglementaire, sans aucune retenue de
salaire, dans la limite de dix (10) jours par an, à savoir :
Le travailleur qui désire s’absenter dans le cadre de ces permissions doit donc en faire la
demande 48 heures à l’avance.
Toute permission de cette nature doit faire l’objet d’une autorisation préalablement écrite
par l‘employeur.
En ce qui concerne les autres membres de la famille, non citée ci-dessus une permission
de deux (02) jours pourra être accordée en cas de décès d’un (01) jour en cas de mariage.
Ces absences ne seront pas payées.
Le droit de jouissance acquis après douze (12) mois de service effectif pour une durée d’un
(1) mois.
Tout salarié aura droit à un congé payé à partir de la signature de son contrat.
La période et les dates de congés seront déterminées chaque année d’un commun accord
entre la Direction de l’entreprise et l’employé compte tenu des nécessités du service.
Une fois la date de congé fixée, elle ne peut être ni anticipée, ni retardée d’une période
supérieure à trois (03) mois.
Au moment de départ en congé, l’employeur doit remettre au travailleur, une fiche
mentionnant les dates de départ et de reprise de service. Procéder au paiement de
l’allocation de congé.
L’employeur versera donc pendant toute la durée du congé une allocation qui sera calculée
conformément aux dispositions légales.
Le rappel du travailleur en congé pourra intervenir en cas de nécessité de service. Dans ce
cas, le travailleur rappelé conservera intégralement le bénéfice de son allocation de congé
et percevra de nouveau son salaire dès la reprise du travail.
Article 9 : Interdictions
2 – d’entrer dans les locaux de la société en état d’ivresse ou d’y introduire dans les dits
locaux des boissons alcoolisées, de la drogue, ou toutes autres substances euphorisantes
ou toxiques ;
8 – de porter des chaussures non fermées, sauf cas de force majeure dû à une maladie,
accident…
9 – d’exercer toute pression sur le personnel pour faire obstacle à la liberté du travail ;
12 – de détenir et de porter des armes blanches ou à feu dans les locaux de SIDIBA
GROUP ;
13 – d’introduire des marchandises, soit pour les vendre, soit pour les entraver
15 – de faire pression sur un (1) subordonné pour obtenir l’accomplissement d’un travail
contraire à l’objet social de la société ou d’un acte contraire aux bonnes mœurs ;
16 – De jouer aux jeux de toute nature durant les horaires de service (jeux vidéo et de
hasard…)
17 –De faire sortir des locaux de SIDIBA GROUP des biens sans autorisation préalable du
responsable hiérarchique
Cette énumération relative aux interdictions n’est pas exhaustive. La Direction prendra
toutes les dispositions qu’elle jugera nécessaire pour la bonne marche de l’entreprise.
Les agissements de harcèlement de toute personne dans le but d’obtenir des faveurs de
nature sexuelle à son profit ou au profit d’un tiers sont interdits.
Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire
pour avoir témoigné des agissements définis à l’alinéa précédent ou pour les avoir relatés.
Est passible d’une sanction disciplinaire tout salarié ayant procédé aux agissements
précédemment définis
« Aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour
objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte
à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son
avenir professionnel. Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l’objet d’une
mesure discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matière de rémunération, de
formation, de reclassement, d’affectation, de qualification, de classification, de promotion
professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat pour avoir subi, ou refusé de
subir, les agissements définis à l’alinéa précédent ou pour avoir témoigné de tels
agissements ou les avoir relatés.
Toute rupture de contrat qui en résulterait, toute disposition ou tout acte contraire est nul de
plein droit ».
Les salariés sont tenus d’utiliser le matériel et l’outillage (matériels, machines, logiciels,
véhicules…) à eux confiés par l’entreprise pour l’accomplissement de leur travail sans
pouvoir en faire un autre usage, ni à des fins personnelles.
Les conducteurs de véhicules ou d’engins mécaniques sont soumis aux mêmes obligations
en ce qui concerne le véhicule ou l’engin qui leur sont confié.
Toutes personne non autorisée surprise au volant d’un véhicule sera passives de sanctions
sévères telles que définies l’art.12 du présent règlement intérieur.
Il en est de même pour tout membre du personnel qui prête son véhicule à un tiers sauf en
cas de force majeure.
Tout accident de véhicule ou tout autre engin doit faire l’objet des dispositions suivantes :
Tout accident commis en dehors des heures de service, hors des chantiers établis,
et sans justifications valable exposera le membre à des sanctions disciplinaires et s’il
y’a lieu :
- Au retrait de l’engin ;
- A la réparation du matériel par le mis en cause.
Affectation de matériel
Lorsque le matériel est confié à un membre du personnel, celui-ci en est responsable.
Toute disparition de ce matériel devra être immédiatement signalée au supérieur
hiérarchique direct.
Les défectuosités constatées sur le matériel par les employés travaillant sur ces engins
doivent être signalées au supérieur hiérarchique immédiatement.
Les conducteurs de véhicules sont soumis aux mêmes obligations en ce qui concerne les
véhicules qui leurs sont affectés.
Le personnel doit tenir son matériel en bon état de marche, de propreté et signaler au
supérieur hiérarchique les arrêts ou anomalies constatés dans le fonctionnement de ces
matériels dès qu’ils se produisent.
Toute disparition de matériel devra être immédiatement, par voie orale puis par écrit
signalée par le membre du personnel à son supérieur hiérarchique.
Le membre du personnel est tenu de remettre, lors de son départ de l’entreprise, tout
document (carte professionnelle) ou matériel mis à sa disposition dans le cadre de ses
activités sans préjudice de poursuite judiciaire.
Ils s’exposent au licenciement sans préavis, ni indemnités s’ils laissent conduire leur
véhicule par des personnes étrangères à la société ou les apprentis.
Tout agissement fautif d’un salarié (dont tout acte pouvant porter atteinte à la sécurité ou
pouvant troubler le bon fonctionnement de l’entreprise, et spécialement toute infraction au
présent règlement et à ses annexes, à ses adaptations ou modifications et aux notes de
services de l’entreprise) peut faire l’objet d’une sanction, pouvant affecter, immédiatement
ou non sa non présence dans l’entreprise, sa fonction, sa carrière ou sa rémunération.
Selon la nature et les circonstances de l’acte, les sanctions susceptibles d’être appliqués
par la Direction au salarié, dans le cadre des dispositions légales et réglementaires sont les
suivantes :
- L’avertissement écrit ;
- La mise à pied sans salaire de 1 à 3 jours ;
- La mise à pied sans salaire de 4 à 8 jours ;
- Le licenciement
En ce qui concerne la mise à pied de quatre (4) à huit (8) jours, le délai est porté à huit (8)
mois. Il est interdit à l’employeur d’infliger une double sanction pour la même faute.
La suppression de salaire pour absence non justifié, ne fait pas obstacle à l’application des
sanctions disciplinaires :
Avertissement
Des avertissements écrits peuvent être infligés au personnel dans les cas suivants :
Retards répétés ;
Infraction à la discipline, à la morale ou aux règles d’hygiène ;
Retard volontaire dans l‘exécution du travail, suspension du travail
Mise à pied
La mise à pied temporaire sera infligée lorsqu’une des fautes énumérées ci-dessus
présentera, du fait des circonstances, un caractère de gravité accentué et également
lorsque le travailleur qui a déjà reçu un avertissement écrit, commet dans un délai de six
(06) mois une faute justifiant la même sanction.
- Cas de retard
Tout retard d’un salarié doit être signalé dans les meilleurs délais à ses collaborateurs.
SIDIBA GROUP concède un retard de quinze (15) minutes sur deux (02) jours ouvrables
durant la semaine de travail, toutefois ce retard doit être signalé pour prendre des
dispositions au sein de l’entreprise.
Au de-là de cette faveur tout retard injustifié sera sanctionné par une retenue sur le salaire
mensuel.
Durant l’année le salarié a droit à quinze (15) jours cumulés d’arrêt maladie payés
intégralement par l’employeur.
Enfin au-delà des vingt (20) jours cumulés de repos maladie au cours de l’année, l’entreprise
procèdera à une retenue sur le salaire mensuel.
Les retenues pour arrêt maladie seront appliquées sur le salaire mensuel sur la base du
procédé du cas précédent d’absence.
Article 14 : Hygiène
Les locaux de l’entreprise et les annexes tels que les lieux d’aisance doivent être laissé,
après usage, parfaitement propres.
Il est créé au sein de la Société un comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail
conformément aux dispositions de l’article 42-1 du Code du Travail et aux règles relatives à
sa composition et à son fonctionnement.
Article 15 : Sécurité
Tout accident, même léger survenu au cours du travail ou du trajet doit être immédiatement
porté à la connaissance de la direction.
Article 16 : Modification
Direction Générale