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Environnement Juridique CM
Environnement Juridique CM
Prof CM :
mariia.domina-repiquet@univ-lorraine.fr
Prof TD :
david.de-beaudemont@univ-lorraine.fr
catherine.vauthier@orange.fr
examen 23 octobre
Programme prévisionnel :
- Le droit ne se retrouve pas uniquement dans les relations entre personnes privées, entre
particuliers ? Il y a aussi vocation à regir les relations avec mes personnes publiques, comme
l’Etat les entreprise publiques ou les collectivités territoriales
- Un enseignant à l’Université est généralement un agent de la fonction publique, payé par l’état
pour enseigner et faire des recherches
Si vous êtes étudiant à l’Univ c’est que l’état français reconnaît l’existence d’un droit à l’éducation en
ayant accès à différents services (enseignement, bu…) en demandant une faible participation.
Le langage juridique :
- Le droit est une discipline à la fois scientifique et littéraire, qui utilise un vocabulaire juridique
- Un certain nombre de termes latin ou de locutions latines. Ils expliquent de façon concise une
règle de droit.
Droit civil : comprend principalement les règles relatives aux personnes, à la famille et aux
obligations.
Droit commercial : est l’ensemble des règles applicables entre commerçants qu’ils soient des
personnes physiques ou morales. Les droit commerciale est marqué par la volonté de simplifier les
règles du droit civil, pour répondre aux exigence de rapidité des opérations commerciales.
Droit des affaires : droit bancaire, droit des sociétés, droit des assurances, droits des
transports
Droit mixte :
Droit pénal : qui à pour objet de réprimer les atteintes portées à l’ordre public, à la sécurité
publiques et à la santé publique, est a priori organisé pour la protection de l’intérêt public. Il est
constitué des lois impératives et s’apparente en cela au droit public. Mais la plupart du temps les
infraction constatées sont des atteintes portés aux particuliers.
Droit international : celui qui régit les relations sociales internationales soit entre les états, soit entre
les individus
Droit international privé : règlemente les rapports entre particuliers dès lors que ces rapport
comportent un élément étranger
3) La règle de droit :
- La règle de droit est une règle qui est générale et abstraite, permanente et obligatoire qui a un
contenu nominatif
- Générale et abstraite : la règle de droit s’applique à toutes les personnes ou catégorie sans
distinction (ex : art 9 de code civil)
- Permanente : la loi s’applique sans interruption du jour de sa naissance à celui de sa mort, de
sa promulgation à son abrogation
- Obligatoire : la règle de droit est en principe sanctionnée par la puissance publique, c’est-à-dire
que les tribunaux peuvent contraindre le destinataire de la règle à la respecter. Ce dernier
caractère permet de distinguer la règle de droit des autres règles de conduite (ex : règles
morale, religieuses, qui sont sanctionnées par la conscience individuelles ou par le jugement
sociale)
4) Les sources du droit :
- La constitution
- Le droit international et européen
- Les lois
- Les règlement
- La jurisprudence
- Le contrat
- La doctrine
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o Les juridictions civiles tranchent les litiges (loyer, divorce, consommation, succession...) mais
n'infligent pas de peines.
Pour les juridictions civiles, le tribunal ou le juge compétent change selon la nature de
l'affaire et le montant en jeu ;
o Les juridictions pénales sanctionnent les atteintes aux personnes, aux biens et à la société.
Devant les juridictions pénales, c'est le type d'infraction qui définit la juridiction compétente ;
de l'infraction la moins grave (la contravention) à la plus grave (le crime).
- La première instance
- L’appel
- La cassation
Cas pratique :
Mme X prétend que son mari la trompe avec une autre femme. Elle réclame le divorce. M X nie ces
fais et soutient que Mme X a abandonné sans motif le domicile conjugal. Il souhaite que la demande
de divorce soit rejetée.
M X est défendeur
Les juridictions de première instance connaissent des affaires pour la première fois. Elles les
examinent en fait et en droit :
En fait : l’objectif est ici de savoir ce qui s’est réellement passé. Pour cela, le juge entend les
personnes qui s’opposent ( es parties) ou, plus fréquemment les avocats qui les représentent
et qui donnent leur propres version des faits.
Les juges vont examiner les différentes preuves produites par chacune des parties (témoignages,
lettre, constat d’huissier, etc…) et vont arrêter la version des faits qui leur semble le mieux établie.
Au vu des différentes preuves, il apparaît que M X a effectivement trompé sa femme en ayant des
relations extra-conjugale avec Mme Y
En droit : il va d’abord falloir que le juge attribue aux faits qu’ils ont retenus une qualification,
c’est-à-dire qu’ils vont faire entrer ces fais dans une catégorie juridique prédéterminée.
Ici, il apparaît que le comportement de M X peut être qualifié de faute, car il a commis une violation
de l’obligation de fidélité, qui est l’une des obligations du mariage prévues par l’article 212 du Code
Civil.
Art. 212 du C. civ : « les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance. »
Les juges vont ensuite devoir rechercher la réglé de droit qui est applicable en ca de faute commise
par un époux au cours du mariage.
Art. 242 du C. civ : « Le divorce peut être demandé par l'un des époux lorsque des faits constitutifs
d'une violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage sont imputables à son
conjoint et rendent intolérable le maintien de la vie commune. »
Si Mme X arrive à convaincre les juges que la faute de M X constitue une faute grave er renouvelée,
et qu’elle rend intolérable le maintien de la vie commune, elle gagnera son procès, et obtiendra le
divorce aux torts exclusifs de M X.
Si M X n’est pas satisfait, il pourra contester cette décision devant une cours de cassation.
a) La compétence matérielle :
Art. L. 721-3 du Code de commerce :
- 1° Des contestations relatives aux engagements entre commerçants, entre artisans, entre
établissements de crédit, entre sociétés de financement ou entre eux ;
- 2° De celles relatives aux sociétés commerciales ;
- 3° De celles relatives aux actes de commerce entre toutes personnes.
Toutefois, les parties peuvent, au moment où elles contractent, convenir de soumettre à l'arbitrage
les contestations ci-dessus énumérées. Par exception, lorsque le cautionnement d'une dette
commerciale n'a pas été souscrit dans le cadre de l'activité professionnelle de la caution, la clause
compromissoire ne peut être opposée à celle-ci.
b) La compétence territoriale :
Le tribunal géographiquement compétent est celui de la commune où réside le défendeur.
Dans un litige portant sur l’exécution d’un contrat, il est aussi possible de saisir le tribunal du
lieu d’exécution du contrat.
La cours d’appel :
Compétences :
La cour d'appel réexamine les affaires déjà jugées au premier degré (1ère instance) en matière civile,
commerciale, sociale ou pénale.
du tribunal d'instance (pour les affaires dont le montant de la demande de justice est supérieur
à 4000 euros où que la somme est déterminée)
du tribunal de grande instance ;
du tribunal de commerce ;
du conseil de prud'hommes (affaires d'un montant supérieur à 4 000 euros) ;
du tribunal des affaires de sécurité sociale ;
du tribunal de police ;
du tribunal correctionnel etc.
La cours d’appel exerce son contrôle en droit et en fait sur les jugements qui lui sont soumis. Elle
peut soit confirmer la décision qui lui sont soumises. Elle peut soit confirmer la décision rendue par
les premier juges, soit l’infirmer ( annuler) en tout ou partie. Dans cette dernière hypothèse, elle
tranche à nouveau le débat au fond
Les arrêt rendus par les cours d’appel peuvent être frappés d’un pouvoir de cassation formé devant
la cours de cassation.
La cours de cassation :
Compétences :
C'est la plus haute juridiction de l'ordre judiciaire. Elle siège à Paris et exerce sa compétence sur
l'ensemble du territoire français.
Sa fonction est de vérifier la conformité des décisions des tribunaux et des cours aux règles de
droit.
Elle est saisie sur recours, le pourvoi en cassation, exercé par une personne qui a fait l'objet
d'une décision de justice ou par le ministère public.
Lorsque la Cour estime que la décision attaquée n'a pas été prise conformément aux règles de
droit, elle casse la décision. L'affaire est alors renvoyée devant une juridiction pour y être
rejugée. En effet, la Cour de cassation n'est que juge du droit, elle n'apprécie pas les faits. Si elle
rejette le pourvoi, ce qui équivaut à confirmer la décision contestée.
Chaque chambre est composée d’un président et de conseillers tous magistrats du siège. Le
ministère public est représenté par le Procureur général et des avocat généraux.
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III. droit objectifs et subjectifs
Droit objectif : est l’ensemble des règles de droit qui s’imposent à tout le monde.
Droit subjectif : est un droit dont peut se prévaloir une personne en particulier.
Ex : le droit de propriété que monsieur X possède sur un terrain.
- Toute règle de droit peut être considéré comme appartenant à la fois au droit objectif et au
droit subjectif
- Tout droit subjectif suppose l’existence d’une règle de droit objectif qui instaure et garanti le
droit subjectif
La question de la titularité des droits subjectif est importante, car elle permet de résoudre des
problèmes pratique d’une grande diversité :
1. A la suite d’un accident, une personne est tombée en état de coma profond ; peut on
prélever des organes sur son corps ?
2. Une femme disparaît pendant plus de 10 ans, son mari peut-il se remarier avec une autre
femme ?
3. Une entre peut-elle être pénalement responsable ? Et l’état ?
La personnalité juridique : pour être titulaire de droits subjectifs, il faut avoir l’aptitude à acquérir et
à exercer des droits. Cette aptitude, que l’on appelle la personnalité juridique est ce qui permet de
distinguer les sujets de droit et les objets de droit.
Aux différents droits subjectifs répondent généralement différents devoirs, qui peuvent souvent être
considérés comme le revers du droit subjectifs
Celui qui bénéficie du droit d’agir en justice au nom d’une société peut également être assigné
devant le juge pour répondre des faits commis par la société.
La personnalité juridique sera d’abord reconnue aux personnes physiques, c’est-à-dire aux individus
fait de chair et de sang mais également à certains groupement de biens ou d’individus, que l’on
appelle des personnes morales.
Tous les être humains sont des personnes physiques sujets de droit
Dès lors qu’il existe tout individu se voit reconnaître la personnalité juridique, et devient à ce titre,
automatiquement une personne physique sujet de droit et d’obligations.
Individu = personne physique = sujet de droit
De nos jours une telle équation peut paraître évidente, mais il n’en a pas toujours été ainsi
(esclavage)
Seuls les être humains sont des personnes physiques sujets de droit
Les animaux ?
L’article 521-1 du code pénal condamne de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000€ d’amende «
La loi du 16 février 2015 à introduit dans le code civil un article 515-14, selon lequel : «
Ainsi les animaux ne sont pas plus qualifiés de meubles par nature, mais sont seulement « soumis au
régime » des meubles ou immeubles.
Se sont des être sensibles.
Vivant
L’enfant mort-né, c’est-à-dire mort dans le ventre de sa mère ou pendant l’accouchement,
n’aura pas de vie juridique propre.
L’enfant doit respirer après l’accouchement. C’est le critère de la vie.
C’est une question de fait, dont la preuve est libre, et repose généralement sur le
témoignage des personnes lors de l’accouchement et éventuellement des observations du
médecin-légiste.
Viable
La viabilité est la capacité naturelle de vivre, l’aptitude à la vie
L’enfant doit naître avec tous les organes nécessaire à sa survie
S’il meurt dans les secondes de sa naissance, pour une raison autre que l’insuffisance de ses
organes vitaux, il aura eu l’espace de ces quelques secondes, une personnalité juridique
S’il décède en raison d’une malformation congénitale, ou d’une anomalie originelle qui
rendait sa mort inéluctable, il sera au contraire considéré comme non-viable.
En l’absence de définition légale, le droit est ici obligé de se référer aux critères scientifiques :
C’est d’un faisceau d’indices cordonnant que se déduit la mort :
Un électrocardiogramme plat pendant une durée jugée suffisante (mort cérébrale)
Une absence de circulation sanguine ;
L’abolition totale de tout réflexe
L’absences de respiration autonome
L’identification de la personnes physique :
La reconnaissance de la personnalité juridique par le droit objectif assure l’insertion de
l’individu dans la société, laquelle doit en retour prévoir identifier chacun de ses membres.
Les infos permettant d’identifier les pers physiques sont contenues dans ce qu’on appelle
l’état des personnes qui regroupe tous les éléments caractérisant l’existence juridique et la
situation familiale de l’individu. Certains des ces éléments sont de l’ordre politique
(nationalité). Les autres concernent le statut civil de l’être humain (nom, âge, sexe, domicile,
situ familiale)
La capacité
La personnalité juridique est l’aptitude à avoir des droits et des obligations, et qu’elle est
attribuée à tous individu dès lors qu’il existe
Cela signifie pas que tous les individu jouira de tous ces droits subjectifs et pourra exercer
librement
Le droit objectif pose en effet certaines limites de jouissance et à l’exercice des droits par
certaines personnes. Ces personnes ont alors leur capacité juridique réduite= personnes
vulnérables ou personnes protégées
Les personnes morales = un groupement doté de la personnalité juridique qui, par la spécificité de
ses buts et de ses intérêts à vocation à une activité distincte de celle des individus qui la compose.
- Les personnes morales de droit public : l’Etat, les collectivités territoriales et les établissements
publics administratifs
- Les personnes morales de droit privé (sociétés civiles ou commerciales, associations,
syndicats…) : qui peuvent ou non avoir un but lucratif
- Les personnes morales de droit mixte (établissements industriels et commerciaux, ordres
professionnels…)
Lorsqu’un gouvernement se voit reconnaître la personnalité morale, c’est lui-même qui est titulaire
des droits et d’obligations, et cette personnalité et distincte de celle des individus qui la composent.
Toout droit civil francais, il faut la qualitfier, faire, ne pas faire, donner. SI je n’accompli pas ces
devoirs, je suis en faute.
L’intuitu prsonae veut dire que l’intitue de la personne que tu es est important pour le contrat.
La cheminé dans la maison est un meuble, un bien est sit un meuble, soit un immeuble
Les actes portant sur des imeubles sont des faits graves necesitent la passation actes juridiques et
authentiques. A l’opposé, pour les meubles, on est dans un formalisme qui est un actes sous seint
privé. Les achats sur immeuble nécessitent des contrat a effet différé, les petits objets sont des
contrat a effet immédiat.
Droit propriété : usus (droit d’user de la chose), fructus , abus ( le droit de vendre le bien)
Le droit a l’education est un droit objectif car des qu’on est en France, tout le monde a droit a
l’education.
Droit subjectif :
Les droits patrimoniaux sont des droits qui ont une valeur pécaniaire, c’est-à-dire qu’ils sont
appreciables en argent. Ils constituent l’actif du patrimoine d’une personne.
Ce sont des droits attachés a une personne. Ils ne peuvent pas être perçus comme ayant,
directement du moins, une valeur pecuniaire ;
Contrairement aux droits patrimoniaux, les droiits extra-patrimoniaux sont incessibles : ils ne
peuvent pas être vendus.
Les libertés publiques ou libertés fondamentales protegées par la constitution : miberté dopinion,
liberté d’expression…
Les droits de la personnalité : droit au respect de la vie privée, droit a l’image, droit moral d’auteur…
Les droits extra patrimoniaux sont intransmisibles : en cas de décès, ils ne peuvent pas être transmis
aux héritiers.
Ils sont insasissables, c’est-à-dire que le creancier d’une personne e peut pas saisir les droits extra
patrimoniaux de celle-ci
Le droit a l’image
Chacun a le droit de s’opposer a la reproduction et la publication de son image par les tiers. Ce droit
est généralement invoqué a l’encontre des organes de presse ou des entreprises usant de l’image
d’une personne dans le cadre d’une opération publicitaire ou commerciale
Si la personne est simplement présente lors de l’evenement relaté : elle pourra obtenir réparation si
elle est facilement reconnaissable.
Si les personne est directement impliqué dans l’evenemnt : alors le droit a l’information pasera avant
le droit a l’image, et la perone ne peut s’oposr a la publication sauf si le traitement qui est fait par la
presse porte atteinte a la dignité de la personne humaine.
La preuve
Il ne suffit qu’un sujet de droit inoque l’existence d’un droit subjectifs pou qu’il soit consieré
titulaire de ce droit. Il faut encore qu’il soit en mesure de prouver l’existence de son droit.
Celui qui prétend qu’il peut vendre un bien car il en est le rpipriétaire doit prouver son titre
de propriété
La préntention c’est ce que veut obtenir le plaideur
Allegiuer, c’est fairevaloir en justice un fait qui justifiz le succès de la prétention
Sujets inclus dans l’examen : réviser tous ce qu’on a fait dans le cours.
Article 9 du code de procédure civile : Il incombe a chaque partie de prouver conformément a la loi
les faits nécessaires a leur prétention.
1 : La prétention
3 : La preuve des faits et actes qui composent l’allégation, qui permet le succès de cette prétention.
La partie qui a une prétention doit d’abord alléguer les faits ou actes qui justifient cette prétention.
Ensuite, elle doit prouver ces faits ou actes.
Si A reclame des dommages et intérêts a B (préention) en soutenant que B l’a renversé avec sa
voiture (allégation), il va lui falloir démontrer tous les éléments de cette alegation :
1) L’existence de l’accident
2) Le fait que B est bien l’auteur de l’accident ;
3) La réalité du dommage subi par A ;
4) Le fait que l’accident est a l’origine du dommage…
Un fait pertinent=un fait utile, parce qu’il a une inflcuence sur la descsion judiciaire a venir.
Un fait contestable= la loi peut interdire de contester certains faits (avant 1972, il était interdit par un
tier de contester la paternité d’un homme marié a l’egard des enfants de son épouse. Seul le mari lui-
même pouvait, dans ces conditions strictes, rapporter cette preuve)
La charge de la preuve
La charge de la preuve permet de savoir, lorsqu’il y a une contestation sur l’existence d’un droit, qui
doit prouver ce droit : est ce celui qui l’invoque, ou celui qui le consteste ?
Celui qui reclame l’execution ‘une obligation doit la prouve. Réciproquement, celui qui se pretend
liberé doit justifier le paiement.
Le temoignage est la declaration par laquelle une personne atteste la veracité de faits dont elle a eu
personnellement connaissance.
Propriété intellectuelle :
La propriété intellectuelle (PI)=> les droits liés aux creations, telles que les œuvres littéraires et
artistiques, les denominations, les logos, les images etc…
Protéger les intérêts de leurs titulaires (inventeurs, déposants…) en leur conferant des droits de
propriété exclusifs sur leurs créations.
Plusieurs droits peuvent coexister sur une même création. Par exemple, un logo peut être protéger
par le droit d’auteur, mais également par le droit des marques.
La propriété littéraire et artistiques (droits d’auteur, droits voisins, droits sui generis des producteurs
de baes de données.
Le droit d’auteru protege toutes les oeuves de l’esprit, quels qu’en soient le genre, la forme
d’expression, la destination ou le mmérité. Le critère fondamental est celui de l’originalité, entendue
comme « l’empreinte de la peronnalité de son auteur »
La protection par le droit d’auteur confiere au titulaire une exclusivité sur le droit d’autoriser ou
d’interdire l’utilisation ou la réutilisation de son œuvre. Le droit d’auteur est le droit des créateurs.
Le droit d’auteur :
Un tube de rouge a lèvres caractériqé par une absence d’angles droits l’empechant de tenir debout
et une forme rappelant un couffin ou une coque de bateau remplit-il le critère de distinctivité de la
marque.
C’est sur cette question que devait statuer le tribunal de l’union europpenne après que office de
l’union europpenne pour la intellectuelle a refusé l’enregistrement de la marque tridimensionnelle
demandée par la société guerlain au motif qu’elle ne serait qu’une simple variante des habitudes du
secteur.
Le tribunal observe que le tube présente des caractéristiques fantaisiste et differes de toute autre
forme existant sur le marché. Le fait qu’un secteur de produits, tel que celui en question , n’implique
pas en outre qu’une eventuelle nouvelle forme sera nécessairement perçue comme l’une d’elle.
La société Dstorage propose via un site internet des services de sotckage de fichiers sur ses propres
serveurs, avec la possibilité pour les abonés de diffuser des liens de telechargement.
Apres avoir constaté la présence de liens illicites pointant vers des fichiers hebergés sur Dstorage,
plusieurs organismes de défense des droits d’auteur ont addréssé a l’heergeur des notifications de
etrait des contenus.
Le caractere manifestement illicité des informations hebergés ressort notamment des nms des
fichiers qui concernent des œuvres conématographique et musicales recntes, particulièrement
onnues du grand publc et exploités a titre commercial.
L’hebergeur engage sa responsabilité pénale pour l’ensemble des fichiers ayant fait l’objet d’une
notification et n’ayant pas été supprimés dans un délais de 7 jours.
L’hebergeur est complice de contrefacon par reproduction en fournissant les serveurs (moyens de
stockage)
L’hebergeur est coauteur de contrefacons par représentation et créant et en maintenant actifs les
liens de telechargement.
Par conséquent, le tribunal judiciaire de nancy condamne la ociété a 100 000 euros d’amende et son
dirigeant
Cas Facebook : Une salariés a été licenciée pour avoir manqué a son obligation contractuelle de
confidentialité en publiant sur son compte Facebook une photographie d’une nouvelle collection de
mode auquel elle avait eu accès en exclusivité
La cours de cassation rappelle alors que la production par l’employeur d’extraits du compte privé
d’une salarié constitue une atteinte privée a sa vie privée.
Cette preuve n’est pas déloyale car la publication litigieuse avait été spontanément communiquée a
l’employeur par une autre salariée autorise a accéder comme « amie » sur ledit compte privé
Facebook.
La production de cette preuve était indispensable et proportionée au but poursuivi, soit la défence
de l’interet légitime de l’employeur a la confidentialié de ses affaires.
La cour de cassation a ici tranché en faveur du droit a la preuve vis-à-vis du droit a la vie privée, ce
qui est nouveau s’agissant d’une publication privée d’un reseau social