ENSA- MARRAKECH TDMQ Le commutateur [A.B,C] s‘éert [4.8,c]=A.1B,C)+[4,c1.8 ‘Afin de prowver la deuxiéme relation on considére [aecl=—l8C, 4] = —8.1C,4]~[B,4l.C = BIA,C] + IA,BLC (a) Pour n= 1 on obtient [X,P]=i.h cos relations sont par définition vérifiés. LX, P2] = PAX,PI+(X,PLP =2i.P. On suppose maintenant que la relation [X,Pr] = iAn.P™ est validé pour n =k et on montre =k+1: = P.Lx, Pr] + [x,PL Pr P.AemP*2) +i.8. PP Sih (ee) P au‘elle reste valide pour [o,Pe] = Ix, PP \ commutateur A.B sont soit 1(position Impulsion); 2-temps-Energie) 3-angle moment cinétique (b) Le commutateur développé comme suit [A.F(A,B)] peut etre [AFABI= 3 F[AA*B"] 3 FA MAYAB)+(4,A5]B} = - > vou BSF(A.B)]oncbten CarAB= 3 RaiBana nF, AmB ine on = 5 FalfAB.B'Js[BA"JB) = “ Sarma <3[k|p >= x. = 9G) SIR WD >= y.< yb >= HO) <2/fW >=z.< 2 >= ZY) f |p. ><,|dy, = 15 J be>, espace des états une partiule 3 trois dimensions, et [x.y.2) avec |r) + xyz) = In) = [a)lydl2) Les fonctions donde associées sont donc factorisées:: (7) = (x).9(9).9(@).Cest le cas pour les vecteurs de base eux-mémes (7179) = 80 — 79) = 6G 0). 6 — ¥o)-8(2 — 2) | lw) =| dx.dy.dz.y(x,y,2)|x,y,2) Le passage dla représontation d'une base {|x >} 2 autre représentation d'une base (|p, >} fait Intervenir les nombres < x\p, >=< p,lx >*. 3 gipex/h Ou< xlky >=< kyle >. yet Unket|g> estreprésanté par < x|y >= (a) dans la représentation {Iz >} et < pel >= p(P.) dans la représentation (Ip, >} ) En utllsant une des relations qui expriment que {|x >} et{ip, >} Constituant des bases, donner g(x) et o(p.), en déduire la transformation qui les reli. ""= pin 1 2a yx) v@=f a, TD MQ Topérateurs1 Cai Tog SO vd, v@.) == VO)=f de v= "a VPI af er wOdde ¥@)= ‘y(x) esta transformée de Fourler de (p,) Y(P,) est la transformée de Fourier inverse de yx) by latransformée de Fourier de p,.2(p,) est -ih Jue TFIp.vie.)1=~2 90) 5 ix. vO) =U vO w (p,) = TF [(-i.x/h)"p(x)] TF(y® (x) =(i-p/h)? wx) lelp. = (0. >" “ evi (p,jpoe poe [i toe-trycie, bv) Ay De VE, 0 ‘On reconnait alors dans cette relation la transformée de Fourier de p,.(p), Cest- die 22. W(>) [Appendice |, relation (28a)]. Done: Grip bp) = 4. ery (riP. WW) © Vinh. Calaler:(r1P IP); # Cr IX, Pell W) = (7 OX. Pe = Pe XB) Sow = x(r Pel) a noo get) 7 gg erm = ikirlp) Ce calcul étant valable pour |) quelconque et pour n’importe quel ket de base {|7)}, on en conclut gues [X,?e] = it (rlP 1p) ae] th te Tega eee) Toutes les composantes du ket P,|p) en représentation {|r)}, ssobticnnent en ‘multipliant celles de Ip) par la constants, py, Ip) est kek propre de P, avec la yaleur DEQREE Px + R et P sont des observables alr) e wf dr, =f P, P VO de, 1 en Teg b OPP IAP TeaS 'P,W(P, )dp, = ih 2 (a) 5 a =-ih yo) y . a <2|P, pam -ih we) = y) Dans la représentation d'une base {|7 >} B=-iAV w- . a og wx-ih S = Cite 5 exig> it) trex] o>] a ax a a a = Cit 2 90) +n) 08S ex\0>)] a é = at2 ofs) theta) «shal gf), =ing) [R60 cP. 8 fo ft.8, ina, En déduire [xP] r et Dsymétre et parké Drabord Ecrire la matrice d'un opérateur et ‘comment calculer les éléments de matrice d'un ‘opérateur. ‘On considére observable Atel que AIG re > 8 Alp >=|G > Ecrire la matrice (A) représentant A dans la base {lei >)|e2 >} 1 GAG >== 0 12 =< |Al@, >=< G19 >= 1 a, =< 9, |Alg >< 9 |9: >=1 4, =<, |Alg, >=< 9, |G, >=0 D’oa: © (4 ay) (0 1 Ae - 42 4} \1 0 Dsymétl et parte ces remarques sur la symétrie du systéme gssoeot. xe développées, Considérons opération de réfledon par rapport au mille da segment |olgnant ‘A et B (figure), Cette opération a pour effet =|B>;P|B>=|A> Cet opérateur , qu'on apple «par», présente los propriéés évidentes suivantes P=P* =P? West a la fis untae et hermétigue. Puisgue, en conséquence, son carré est égal 1a lidentité, P= (On dit qu'il est « involutif »), ses valeurs propres ne peuvent tre que 1. En considérant a matrice de P dans bate 8 p(t 10 On vérifieaisément que P ales deux valeurs propres post Associées respectivement aux deux vecteurs ropres(normés) 1 |s>= 35 /A>s |B> (On constate que ces vecteurs coincident avec les vecteurs propres de H jolt, | Eneffet, 'opérateur P commute avec le harallvonien H (HP]=0 Comme on peut le vérfier directement ua partir des matrices P® ; cela découle encore plus rapidement de expression H=E,1-KP (On retrouve done bien les résuitats généraux du chapitre 1, section 5: les deux opérateurs H et P commutant, ils ont mémes vecteurs propres. Dans des situations ol le bamitanieo H est beaucoup plus compliqué, existence d'un opérateur de symétrie tel que la parité P commutant avec H, permet souvent de simplifier la diagonalisation de ce demier. Les états propres de H étant aussi tats propres de P, sont dts de \parité paire" pour |f>=|+> et de « parté impaire » pour je>=|—>. (On peut donner encore une autre écriture du ‘bailtaoizo en introduisant les deux opérateurs (=P) lest immédiat de verifier, cause de P? =T, les TD MQ: opérateursLesdeux opérateurs IT et II_sont donc les deux projecteurs (orthogonaux) sur les vecteurs propres | >- En les utilisant, le bamiltonien se réécrit H=G,-KM, +E, + KT. H=E,I, +E, H=E, |+><-|+E, |-><-| Cette expression met en pleine lumiére la ‘decomposition spectrale de ft: on y voit ses valeurs propres Ey et E, associées respectivement aux vecteurs propres |+>et |~> soit 2(K,P,.t)=2.P% remitonien dune particule libre 1D. Eerie équation e Schrédinger ans la représentation {|x >} et{|py >). Puis dans{|7 >Jet{] p >}. sot HG,3.0 + 9) rramitonien d'une particule libre iy 3D. Ecrire l'équation de Schrodinger dans la représentation {| 7 >} etl >} Soit l'opérateur moment cinétique angulaire (dite aus orbital) cateuler [Ly .L] (LL) [Wp -2p,) (2p, -*p,)) =Lyp,.2p.]-Lyp,.xp,]-zp,,22,] +L, P,) =yP..2lp, +%[z,P,]D, =iR(xp, -y-P)=iRL,. Con trouve de la méme fagon aue (L, LJ *ih,et (L,,L,] =i, Afindecalculer [Ly ,1],on développe: 1, .Cy-0,.0, + +1) Pour k= 440,8 en particulier (L,,LJ=0 Lt) {L,L,]+(L,L,)L, in(LL, +L,L,) (LIFL AL, J+ LLL, =iA(LL, +L,.L) Avecceci (LL, +1, +1L,]=0 Usiisant la méme approche pour les autres ‘composantes on confirme que WD), U4, +L-0 ~Comme [L, ,£?]=0., £2 commute également avec toute combinaisonlingaire des Ly + etparconséquent [L,, , 2] Remarque LL +L, +A, =(L, +i, (L, -iL, +L -AL, =) -iL,L, +iL,L, +0, +L. -a, L. ~ifL,L, +E +12 AL, =E, + +, we LL, +1, +L, =(L, -iL,)(L, +iL,) +1, +A, AU HLL, -1L,L, +L) +L 4A, = AU 4i[LLJ+1 + eal, «ot st Mouvement central {a) Le commutateur pour la composante x du moment cinétique peut étre développé comme sult, [L.. V@]=[6p, -,).VOl=bp.. V@I-lep,, VO) = yp. VOl+P.VO@lp, -21P,.VOl-2VOIr, nous avons wu que [p,flx)]=-ih.aflx)/ax [pourun movement niinansonel Ca devant a fr..1))--in or, por conséquent L.v@l-ing KO 2.) ela émeosan L,.v@ ine -. ou Or, [L,, V@)] =- ih. no, aden ve@)-aeeO (Lvi- 20) (b) Avec la forme donnée pour H il sut que nove MH0=1 5 01 +1V@, Nous avons d’abord d’abord |] Hine AVV@) A. Byatinnn TD MQ: opérateursUNIVERSITE cADI AYYAD ENSA- MARRAKECH biLU- bop, -2,)] Pulp. (vp, -2P,)]+1P,(7P, -2P,)IP, =0 car p, commute avec yet z, ainsi qu’avee p, et Ensuite [pL] =[0;,0-P, -2P,)] =P, LP, .(y-P, -2P,)]+ [P, (1 27, IP, (Pi. = (P20. -2P,)1 = Py l.s:P. -2.7,)1+[Pr(o-p, 29, 0, AlPys¥.P-1-[0 20, IB + {P,2¥-P-] -[P,.2,)-P, =p, -(yLp,.P.1+(P, ¥}P.) + fy-LP, Pd + [Pp y}P) Py = -2iRP.Py et de la méme facon Comme yD, = Pe-Py +i suit que [pi +Py +PzL.]=0 ‘qui montre de la méme fagon pour les autres composantes du moment cinétique. Par conséquent} Biz Po tj-0 Cw Si le potentiel posséde une symétrie radiale, V@* VO), P17, sit que w= Ze s70dv@=5 Par conséquent dr (22) a(vet)-(EL var Bvo=0 Comme [H,L]=0, le moment cinétique est Hayglltenign ¢’une particule dans un potentiel vecteur Si maintenant ta particule est plongée dans un ‘champ électromagnétique quelconque, la fonction de Hamilton classique devient (Appendice Il, relation (66)] REG == -a.AG.OP +GUE0, i UGG,2) et AG;2) sont les potentiessealare et vecteur qu dérivent le champ dectromagnétque, ‘et oi Best donné par Ba me+qaG, =mi+qAGt) II faut prendre garde a ne pas confondre p (impulsion de la particule) avec m. (quaotté, de mouvement de la particule) la différence entre ces ‘deux grandeurs apparait clairement. Cependant est Timpulsion 7, et non la quantité de mouvement m.¥, qu devient en mécanique ‘quantique lopérateur P satisfaisant aux relations de commutation canoniques. A(F,t) ne dépend que de # et du paramétre t (et non de) ily pas de ees pour construe Foptrateur quantque A(t) corespondant Vopérateur bapoiltopien Ht est alors donné par: RO = Lib-ad(ROp +a.U(Ke) ayes: F= 4.0 TD MQ +r opérateurs