Scribd Logo
Importer

Bienvenue sur Scribd !

  • Espaces Vectoriels. Cours

    Transféré par

    magnisam3105
    7 vues14 pages

    Titre original

    5. Espaces Vectoriels. Cours

    Copyright

    © © All Rights Reserved

    Formats disponibles

    PDF ou lisez en ligne sur Scribd

    Avez-vous trouvé ce document utile ?

    Ce contenu est-il inapproprié ?

    Signaler ce document

    Droits d'auteur :

    © All Rights Reserved
    Téléchargez comme PDF ou lisez en ligne sur Scribd
    Signaler comme contenu inapproprié
    7 vues14 pages

    Espaces Vectoriels. Cours

    Transféré par

    magnisam3105

    Droits d'auteur :

    © All Rights Reserved
    Téléchargez comme PDF ou lisez en ligne sur Scribd
    Signaler comme contenu inapproprié
    sur 14
    Chapitre 5. Espaces vectoriels Maths SUP OPTIMALPREPA Fiche de cours Dans tout le cours, désigne ensemble Bou C. |. Espaces vectoriels 1. Espaces vectorils 1 Définition. Soit E un ensemble non vide muni de deux lois notées + et, On dit que (E, +, «) est un espace vectoriel sur i ou espace vectotiel si ~ (Es) estun groupe commutatif (1. s+ est ume loi de composition interne sur B, associative, commutative, admettant un lément neutre, et tele que tout élément de E soit inversible pour la loi +), + est une loi de composition externe sur E de domaine K: WucE, VAEK, (2-u)eE, Deus =Reuthey ber , J Q4y) us aus peu JEP VO ER) Ga oa duu) Leu - ve, xemples (8, +, +) (ne N9 est un espace vectorel sur, ~ (IX), +, +) est un espace vectorel sur K, ~(KalX], +, +») (BEN) est un espace vectorel sur Ee, ensemble des fonctions (de classe C*, ne, de classe C*) de I dans R(< R) est un espace vectorel sur R, —Trensemble des applications d'un ensemble non vide dans E (oi Eest un espace vectorel sur ) est un espace vectorel sur &, ~Heensemble des suites éléments de K est un espace vectorel sur, ~ AK), ensemble des matrices cartée dort de n & coefficients dans XK, est un espace vectorie sur K. 2, Espace vectoriel produit Soient neN*, (B, (yon lensembleE VG, EE/A= (yaa ¥= WDyaay XY = 4 WHEE /X= (cay VREK, 2X= (OK) soe tune famille de espace vectoriels. On appelle espace vectoriel produit des espaces vectorels Ep... x Ey muni des deux lois + et + définies par 3, Sous-espaces vectoriels = Définition, Soient (E, +, «) un espace vectoriel et F cE, Fest un sous espace-vectotiel de (E, -F#@, Peststable pour +: V(u, Yie FY (u+ v)eR, WO, We KxR, (A-u)eF, + SiF est un sous-espace vectoriel de (8, +, +), alors (en notant encore + et «les restriction des lois + et «4 F) :(F, +, «) est un 2 OPTIMAL SUP-SPE espace vectorial + SiFet G sont deux sous-espaces vectotels de (6, +, »), alors F eG est un sous-espace vectorel de B 4, Sous-espace vectoriel engendré par une partie Solent (8, +, +) un espace vectotiel et A&E 1 Définition. On appelle sous-space engendé par A, et on note Vect (A), ensemble égal intersection de tous les sous spaces vectoriels de E contenant A. = Propriétés, = Vect (A) est un sousespace vectoriel de . + Si Fest un sous-espace vectotiel de E contenant A, alos Vect (A) < F. On dit aussi que Vect (A) est, au sens de inclusion, le plus petit sous-espace vectorel de E engendré par A Dans la suite du cours tout espace vectoriel de la forme (B, + «) sera noté plus implement E comme c'est le cas par convention lorsqu'l n'y a pas dambuiguité sur la nature des los de B. |. Combinaisons ires d'une famille de vecteurs sSoient neN, Bun Kespace vectorel, (u),_., une famille de vecteurs de E et ue. On dit que u est combinaison linéaire des vecteus de afi (u),,, 130), eK, u= Eu, ‘sSoient net", Bun Kespace vectoriel et (u),_, une famille de vecteurs de E, Lensemble des combinaisons linaires des vecteurs de la famille (u),,),, €St un sous-espace vectoriel de E. Cest le sousespace vectoriel engendé par les vecteurs de la ail (U) gy HOLE VEC (Us, aU Proprieés: += Pour tout nuplet de téels (a, G2, cy) : Veet (Uy, Us, Uy Boy) = Vece (Uy Ua 5 Uy). + Pour tout nuplet de réels (@, ay.» Oy) tel que ot #0 : Vect(Z oy Us 5 Us) +Siorest une permutation de (2, n} alors: Vec(Uy Uw) = Vee Gay Way Us: Vect(Uy Ua, Us) Ill Familles libres, familles génératrices, bases Famille libre. Soient ne N*, Eun K-espace vectorel, (4),,., une famille finie de vecteurs de E. La famille (4)... €3t une fami bre de B i VO) gai, (Exuo = Vie tmh.a=0) Dans le cas contraire, on dit qu'elle est liée. Propriété une famille de polyndmes de degrés deux a deux dstinets est une famille libre de BX]. La réciproque est fausse, Famille génératrice. Soient ne N*, E un K-espace vectoriel, (u),,, une famille finie de vecteurs de E, La famille (0) cee €8t une famille génératrice de E si et seulement si: Vue E, 3(A),.,,¢K", u= E Ait, i si et seulement si B= Vect Uy ty a) Base. Soient neN,E un Keespace vectoril, (1), une famille finie de vecteurs de E, La famille (4), est une base de Esiet seulement si (u),., est une fami libre et génératice de B, doncsi et seulement si Dau Nea’ Yue8, 31(4),..61, u Espaces vectoriels / Maths SUP 3 «spaces vectoriels de dimension fine. Soit un Kespace vectriel. On dit que Best de cmension fine s'il admet une famille genratice fie. «Existence de bases (théoréme de la base extraite). Sot un K-espace vectorel distinct de {0} admettant une famille génératrce finie SI existe alors une base de E constituée de vecteus de ¥. «Théoréme de la dimension. Soit £ un K-espace vectoriel distinct de {0} admettant une famille génératrice fini Toutes les bases de E ont alors méme longueur: la dimension de B, notée dim (par convention, on a: dim {0} = 0). Résultats usuels + dim t= 9, + dim W(X] =n + 1. 1 Soient Bet F deux K-espaces vectorels de dimensions finies espectives mn et p, (€), de. Alor Ex Fest un espace vectorel de dimension fini, une base de E x Fest (G 09)sone (Or Manne)» Ct din * F)= dim E + dim F. ne base de Bet (A oq ne base 2, Bases canoniques des espaces vectorels ysuels = Soit ne N°. Pour tout ie (1, n}, on note e; le vecteur 4 n coordonnées : €, = (0, 0,... , 0, 1, 0, .. 0) (Lest placé en i&* position, La famille (¢),, estla base canonique de Wc. Tout vecteuru = (A), dans a base (e),_,séeritalons:u = 3 Aye, sSoit ne N*. La famille (X),.,. est la base canonique de t,[X]- = Caractérisation d'une famille de vecteurs de E. Soientn et p deux entietsnaturels non nuls, B un K-espace vectorie! de dimension net (4), une famile de p vecteus de E — sila famille (up, est une famille libre de B, alors p = n. Dans ces conditions, la famille (u),,,, est une base de si et seulement sip =n, ~silafamile(u),.eSt une famille génératice de E, alors p = n, Dans ces conditions, la famille (4), est une base de Esiet seulement sp = a = Théoreme de la base incompléte. Soient n et p deux entiers nature's non nuls tels que p 2 Ala limite du programme : + Toute famille de polynémes non nuls de degrés échelonnés est libre dans K(X) [NB Les déterminanes de vecteus sont traltés part dans le chapitre“Déterminants" Chapitre 5bis. Espaces affines Maths SUP OPTIMALPREPA Fiche de cours (complément au chapitre 5) Dans tout le cous, désigne ensemble Rou C. 1. Translation Soient E un K-espace vectorel, Translation, Soit 2¢E, On appelle translation de E de vecteur a Papplication t, définie sur B par : Vxe B, ts) Notations. + On note F(6), Pensemble ds translations de E + SiVest une partie de E, on note a+ V, ensemble 1). 2, Sous-espace affine 1 Sous-espace affine. Soient A une partie de &. On dit ue A est un sous-espaceafine de BsiA = @ ou silexste un sous- espace vectorelFet un élément ack tel que: A= a+ F «Direction, Soient B un Keespace vectorel, Aun sousespace affine de E non vide, et 4. On appelle direction de A, le sous-espace vectoriel (+a, 6}. Remarque: la dtection d'un sousespace affine ne dépend pas du point a choish «Plan affine, byperplan affine. On appelle plan affine (resp. hyperplan affine) de 6, un sous-espace affine dont la slirection est un plan (Fesp. un hyperplan) de 3. Sous: fines paralidles 1 Soient E un tespace vectorel, A et B deux sousespaces affines de Enon vides de lection cespectives F et G. On dit que A est parallle 8B si F 'M-M: la démonstration est alors bien plus rapide. ES Voir les exercices : “Rang d'une famille de vecteus’, "Propriétés des sousespaces vectorels’ "Bases et dimension’ nude d'un espace vectoriel de matics’ u OPTIMAL SUP-SPE Dans la suite de la fiche méthde, on notera plus implement B un espace vectorial (E+, comme cela est usuel lorsqul ny a pas d ambguité sur les lots considérées. Montrer inclusion, deux espaces vectoriels 1. Montrer que Ec E Pour montrer qu'un espace vectorel est inclus dans un espace vectorelF, i suit de montrer que tout élément de E appartient également F, ie. : VxeE, xeF. EG" VoirVexercice: Propriété des sousespaces vectors" 2, Montrer que E =F Pour montrer que deux espaces vectorielsE et sont égaux, on peut — montrer que : Ee Fet que F < en appliquant la méthode précédente, ~si Bet F sont de dimensions fines, montrer que : Ec F ou que F & E, puis que : dim E = dim F (méthode ts courante et généralement plus rapide que la méthode précédente), UG Voirle chapitre “Applications linéaires’ IV. Montrer_ que des espaces vectoriels_sont_en_somme directe / sont supplémentaires dans E Précisons tout 'abord ce qu'iLne faut pas fare: confoncie les expressions “espaces vectoricls en somme directe” et “sous- espaces vectorels supplémentares dans E Deux sous-espaces vectorils de E en somme directe peuvent trés bien ne pas étre supplémentaies dans E, Par exemple, deux droits vecoreles D; et Dz de B® non paraléles sont en somme direct :on a done bien Dy + D; = D; © D; ; mais on 1 pas : D, © Dy = Re (es deux droites définssant un planet non pas ensemble R? en enter). Les drites D et D, ne son donc pas supplémentes dans R? En revanche, deux sous-espaces vectorelssupplémentaites dans E sont roujours en somme directe, mas efit quils sient cen somme directe n'est pas sulfsant comme le montre le contre-exemple c-dessus; voir également point 2. c-dessous. ‘L.Montrer que deux espaces vectoriels F et G sont en somme directo Pour montrer que deux espaces vectoriels F et G sont en somme direct (Le. que F+ G = F G) on peut ~ revenir la définition (rare) : montrer que tout vecteur de E + F se décompose de maniére unique comme somme d'un vecteur de E et d'un vectear de F, ~ montrer que leur intersection est {0}. IGF Voir Fevercice :"Sous-espaces vectorels supplémentaires 2. Mor vectoriels F et G sont supplémentaires dans E Pour montrer que deux espaces vectors FetG son supolémensiss dans E (ie. que F © G s'assurer (et généralement, montrer) que F et G sont des sous-espaces vectoriels de E, On peut ensuite }, il faut tout d'abord =i Best de dimension finie et connue, montrer que F et G sont en somme directe et que la somme de leuts dimensions est gale la dimension de, ~ revenir & la définition : montres (a plupart du temps par analyse-synthése, voir le chapitre "Prél vecteur de Ese décompose de fagon unique comme somme d'un vecteur de Fet d'un vecteut de G. aires’) que tout ~ montrer que E et F sont en somme ditecte et que : B= F + G. Comme on toujours : P+ G c E (ear Fest G sont des sous spaces vectories de £), égalté: B= F + G revient en fit A montrer que: ECF +G, Le. que tout vecteur de E peut s'érire Espaces vectoriels / Maths SUP w comme somme d'un vecteur de F et d'un vecteur de G. Remarque : cette demniére méthode suppose davoir préalablement “Vidée" de la décomposition en question. En effet lorsque Y’on n'a pas Tidée" de cette d€compesition, on va assez logiquement procéder par analyse synhse pour la trowver” ‘mais on va alors montrer 'unicité de la décomposiion! et en réaité, se ramener la méthode ciessus qui consiste & revenir la definition, Aussi, il est inutile de commencer par montrer que F et G sont en somme ditecte dans ce cas. Cette derire méthode est donc 3 réserver aux cas od la décomposition est dé connue (soit parce que Von a daft Pexercice, soit parce que on a une bonne idée, soit parce que la décomposition apparait dans l'énoncé). Eniin, dans certains cas on peut également (cf. chapitre “Applications linéaires") ~ exhiber un projecteur p de E tel que F = Ker p et G = Im p, et utlser ensuite la propriété Ker p © Im p= E (valable pour les projecteus), ~ exhiber une symétrie s de E tele que F = Ker (pid) et G = Ker (p+ id, et utiliser ensuite la propriété Ker (pid) © Ker (p+ id) = E (valable pour les symétries). Cette propriété peut notamment ére utilisé lorsqu'un des sous-espaces vectorels peut s'interpréter comme ensemble des éléments invariants d'une symétrie (application linéaire involutive), comme par exemple ensemble des matrices symétriques réelles (ensemble des éléments invariants parla syméttie s: Av ‘A, c.chapitre “Systéme linéaire et calcul matriciel’) BES Voir lexercice :“Sous-espaces vectorelssupplémentaires” Pour montrer que p espaces vectoriels Fy, F,.. et Fy sont en somme directe (Le. que )F, =F; ® F)@ ..@ y= 8, a ® om peut 6 ~ revenir la défiition: montrer que tout vecteur de 3 se décompose de maniére unique comme somme de vecteurs de Fy, Bayon UF — utiliser la caractéristion de p sous-espaces vectoriels en somme directe (hors-programme en premiére année) en snontant que: Ve [pL AO: = (0) Pour montrer que p espaces vectoriels Fy, Fa, et Fy sont supplémentaires dans E (i.e. que 88, 2), il faut tout d'zbord sassuer (et généralement, montrer) que F, i, «et Fy sont des sous-espaces vectoriels de E. On peut ensuite : ~ si Best de dimension file et coanue, montrer que Fs, et sont en Somme directe et que la somme de Jeus dimensions est ae tla dimension de , ~ even a définition : monter (a plupart du temps par anlysesynhése, vot lechapte “Préliminaires’) que tout vecteur de Ese déompose de fagon unique comme some de vecteus de Fy, Fy. tr, ~ montrer que Fy, Fa. et sont en somme drecte et que :E = YF. Comme on a toujours: SF; & E (cat Fi, Fay. et Fp 2 2 sont des sous-espaces vectorels de E), 'égalité B= 30 revent en fait montter que : Ec DF, ie. que tout vecteur de B peut s'érire comme somme de vecteuts de FF. Ct Fp Remarque : cette dernire méthode suppose «avoir préalablement "Vidée” de la décomposition en question. En effet lorsque 'on n'a pas "Tidée” de cette décompexition, on va assez logiquement procéer par analyse-synthése pour la “trouver” ‘mais on va alors montrer I'unicité de In décomposition ! et en réalité, se ramener ila méthode ci-dessus qui consiste &revenir Ala défniion, Aussi, lest inutile de commencer par montrer que Fy, F,. et Fp sont en somme directe dans ce cas. Cette demiére méthode est donc & réserver aux cas ot la décomposition est défi connuse (Sot parce que lon a déj fait Pexercce, soit parce que on a une bonne idée, soit parce que la décompesition apparat dans Pénoncé) v OPTIMAL SUP-SPE BF Voirla fiche de cours. ‘5. Complements Se souvenir qu'un sous-espace vectoriel F de E admet au moins un supplémentae dans B. Se souvenir également qu'un sous-espace vectorelF de E admet une infinité de supplémentaires dans (@ la limite du programme en premiére année, «démnonstration 4 connate) : i n'y a done pas un unique sous-espace vectoriel supplémentaire de F dans E GS Voir la fiche de cours. V. Montrer qu’une famlle est libre, génératrice ou constitue une base d'un espace vectoriel Se souvenir qu'un espace vectoriel cle dimension finle admet une infnité ce familes libres, de familles génératrices et de bases. Eviter donc des phrzses commencant par: «la base de Best.» etc ‘L.Montrer qu‘une fomile est libre dons E CCommengons tout d'abord par préciser que pour montrer qu'une famille de vecteus (e._., est ibre dans Bl faut 'abord sassurer que cette famille est consttuée ce vecteuts de B, Cette verification est en géneraltrés rapide, mais il fut la aie. Arai de. Pour montzer qu'une famille (e),,,, ce vecteuts de E est libre, on utilise, en général, la définition (en raisonnant par implications). Cependant, dans la résolution de l'équation 3 Aye, = 0 les fréquent de —naisonner par récurrence, en effectuant une récurrence fnie sur indice de sommation i ~maisonner par Vabsurde : en supposant un coeficient nul parm les (11 p), about une contradiction sil Sagi de fonctions dérver, intégrer, utiliser la continité, la dérvabiliré ou considéer la relation pour certaines valeurs particuliéres de (0, 1,..) ou effectuet un passage dla limite en un point ou en plus ou moins Vin, = sil S agit de suites, consider fa relation pour certanes valeurs particuliéres de n (0, 1 ..) ou en faisant un passage & la limite éventuelle lorsque n tend vers Fifi, et former ainsi un systéme (que Yon pourra interpréter sous forme matrcill, cherchant alors a prouver que la matrice considérée est inversible : voir le chapitre “Systemes linéaire et calcul matriciel — sil s'agit de polmémes, étudie leurs racines éventuelles, sans oublier que pour utiliser Forde de mulplicté k (k 2 1) ne racine, on peut s‘intéresser aux racines des polynémes P,P, .. PH (voir la fiche méthodologique "Polyndmes’). Ati Pour montrer qu'une famille (@),., de vecteurs de Eest libre, on peut également — raisonner par récurrence sur p (ce qui n'est pas la méme chose que d'effecuer, dans e cake de la méthode consistant & utiliser la définition pour p fix une récurrence surindice de sommation), ~ monte que ces vecteus appartnnent& une base de B (si Best de dimension fini), ~ montrer qui Sagi d'une famille extrite d'une Famille = 'llsagit de deux vecteurs,raisonner par absurde, en supposant quils sont colinésites. agit d'une famille de polynémes, montrer quils sont de degrés deux & deux distincs (attention, la réciproque est fause : une famille de polynémes de méme degé peut ete libre, comme le montre Pexemple des polyndmes de Lagrange), ~ montrer qui s'agit d'une famile de vecteurs propres asssociés& des valeurs propres deux deux distintes (hors programme cen premigre année, voir chapitre "Diagonalisation’) Espaces vectoriels / Maths SUP v 2, Montrer qu'une famille est lige Pour montrer qu'une famille (@),,., de vecteurs de Eest lige, on peut ~ montrer quelle nest pas libre, en montrant que 'équation Xue, = 0 admet une solution non trivial, ~ montrer quelle admet plus de vecteurs que la dimension de B (si Eest de dimension finie), ~sils'agt 'une famille de deux vecteurs, montrer quis sont colingsites (attention : dans le cas général, dire qu'une fale ‘est lige ne signifi pas nécessirement quil existe deux vecteurscolingaires dans cette fail). fs a a ; > oe Pour montrer qu'une famille de vecteus est génératrice de B, on peut ~ prouver que certains de ces vecteursforment une base de E, ~ se ramener la definition et montrer que tout vecteur de E peut s’érire comme combinaison linéaire des vecteurs de cette famille, ~ montrer que cette fall est "image d'une famille génératice d'un certain espace vectorelF par une certaine application linéaire surjective de F dans E (voir chapitre ‘Applications linéaires’) 4 fune fami it i jimension fi Pour montrer qu'une famille de vecteurs constitue une base d'un espace vectoriel E de dimension finie, on peut, aprés avoir montré quill sagt d'une famille de vecteuts de E: ~ montrer que cette famile est libre et génératrice de B, — montrer que cette famille est libre et maximale dans E (Le. que le nombre de vecteurs qu'elle comporte est égal& la

    Vous aimerez peut-être aussi