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Urbanisation du Système d’Information

I. Introduction

Une entreprise accumule au cours des années des milliers de documents, dans des bases de
données éparses avec parfois des redondances.

Dans ce contexte les entreprises se dirigent vers plus de réactivité, plus de décentralisation,
plus d’implication individuelle et plus d’autonomie, cela signifie deux choses : un besoin
plus grand d’information et de systèmes pour les organiser.

Le système d’information est aujourd’hui au cœur du fonctionnement de toute organisation, et


son efficacité en conditionne les performances.

II. Les composants du Système d’information

 Du matériel, réseaux (hardware) : serveurs, postes de travail, téléphone, imprimante,


tout type d’équipement utilisé dans l’entreprise.
 Les logiciels, applications (softwares) : Messagerie, bureautique, Intranet,
Applications métiers (CRM, SCM, …) ;
 Données : Suivi des flux opérationnels (tout est enregistré, tracé, suivi, utilisé),
données de synthèse ventes / secteur, coûts, rentabilité…
 Des processus : Qui fait quoi, comment, quand, quelles données, quels flux
opérationnels
 Personnes : Individuel, Groupes, Internes, Partenaires, Clients, Sous-traitants ;
Banque

L’évolution constante des métiers et des techniques a complexifié la gestion des systèmes. Il
est donc vital pour l’entreprise de gérer son système d’information avec rigueur et cohérence.
Pour ce faire, elle doit disposer de deux outils indispensables :

 Un outil d’Urbanisation du SI : Comment intégrer les nouvelles technologies


(SOA/Web Services, EAI, Cloud Computing, …) sans perdre en cohérence ou
homogénéité dans le S.I. ?
 Un outil de Gouvernance du SI : Comment sont prises les décisions concernant le
système d’information ?

III. Urbanisation des SI

Pour maîtriser progressivement l’évolution des SI avec la réactivité nécessaire et pour réduire
les coûts informatiques, une réponse est apportée par la démarche d’urbanisation des systèmes
d’information. Cette démarche d'urbanisation vise un SI capable d’accompagner la stratégie
d'entreprise dans le meilleur rapport coûts/qualité/délais.

L’urbanisation est née de la volonté d’avoir un système d’information évolutif et peu coûteux.
Elle permet de « ranger » son système d’information, établir ou de ré-établir une relation entre
les systèmes informatiques et la stratégie de l’entreprise et intégrer progressivement les
demandes d’évolutions du système d’information par une approche rationnelle.

III.1. Origine de l’urbanisation des SI

A partir des années 60, les systèmes d’information se sont développés par ajout successifs
d’applicatifs et de structures de données sans souci de cohérence globale.

• Aucune infrastructure n’est capable de fédérer les multiples composants du SI ;


• Aucune réflexion au niveau des composants ne prend en compte l’architecture globale,
 Les Directions des SI (DSI) se trouvent devant l’impossibilité de faire évoluer un SI
trop rigide due à l’impossibilité de le refondre totalement, de la complexité trop
grande, des délais trop longs et des coûts trop élevés ;

L’urbanisation de système d’information est née dans les fin 1980, début 1990 au sein des
banques.

III.2. Définition de l’Urbanisation du SI

L’urbanisme des villes consiste à faire évoluer la ville, sans tout casser et tout reconstruire :
Certains quartiers sont rasés et reconstruits, certains sont retapés et d’autres sont restés tels
quels. Le terme « urbanisation » des SI est utilisé par analogie avec les travaux d'architecture
et d'urbanisme dans une ville en comparant une entreprise avec une ville. Les concepts
manipulés s'apparentent à ceux de l'urbanisation de l'habitat humain (organisation des villes,
du territoire), concepts qui ont été réutilisés en informatique pour formaliser ou modéliser la
réingénierie du système d'information (SI).

Urbaniser : organiser la transformation progressive et continue du système d’information


visant à le simplifier, à optimiser sa valeur ajoutée et à le rendre plus réactif et flexible vis à
vis des évolutions stratégiques de l'entreprise, tout en s'appuyant sur les opportunités
technologiques du marché.

L'urbanisation du SI ne fait pas table rase du passé mais tient compte de l'existant et doit
permettre de mieux anticiper les évolutions ou contraintes internes et externes impactant le SI,
et en s'appuyant le cas échéant sur des opportunités technologiques.

III.3. Solutions proposées par l’urbanisation du SI

Les solutions proposées par l’urbanisation ciblent principalement trois grandes


problématiques : les échanges, les données et les fonctionnalités.

 L’axe « échanges : Un premier frein à la performance du SI est l’existence


d’architecture de communication « point à point » dans laquelle chaque application
métier « connaît » ses destinataires internes ou tiers externes (clients, partenaires,
organismes intervenants…) et assure les fonctionnalités d’échange (contrôle,
transformation, suivi, piste d’audit…).

Ces situations de dépendance figent le SI en rendant plus long et plus coûteux tout
ajout, remplacement ou évolution de systèmes émetteurs ou destinataires.
Pour rendre plus agile le SI, le simplifier et réduire le coût de fonctionnement,
l’urbanisation proposera de « sortir » des applications métier les fonctionnalités
dédiées aux échanges de flux et de les sous-traiter à un système d’échange mutualisé,
véritable plaque tournante entre émetteurs et destinataires.

 L’axe « données : Un second frein à la performance du SI vient de la réplication du


patrimoine d’informations de référence de l’entreprise (clients, produits, tarification,
contrats…).

Il en découle de longs et coûteux rapprochements de données imposés aux métiers


transversaux (marketing, risques, finance, pilotage…) pouvant compromettre leur
efficacité. De plus, des risques forts de diffusion d’informations incohérentes et de
collectes multiples des mêmes informations – auprès de la clientèle par exemple –
existent.

Pour rendre le SI plus cohérent et permettre aux métiers transversaux d’atteindre leurs
objectifs, l’urbanisation propose de centraliser certaines informations de référence (n°
de client, coordonnées, etc.), des règles de gestion associées au sein de systèmes
référentiels et de gisements de données, mutualisés et indépendants des systèmes
métier. Ces derniers étant progressivement interfacés à cette source de référence,
partagée et cohérente.

 L’axe« fonctionnalités : Un troisième frein à la performance est induit par des


imbrications (ou couplages) des besoins de métiers différents au sein des mêmes
traitements ou structures de données ainsi que par la difficulté à réutiliser des
fonctionnalités existantes.

Cette situation alourdit là encore le SI qui ne peut pas répondre aux besoins métier
dans les délais et au coût impartis.

La réponse de l’urbanisation est d’une part de recenser ces situations de couplage et de


mettre en œuvre un plan de « désimbrication » et d’autre part de permettre une plus
grande réutilisation des fonctionnalités existantes. En bout de course, il s’agit de faire
évoluer le SI vers un ensemble de fonctionnalités et de structures de données
modulaires, autonomes et homogènes d’un point de vue métier.

III.4. Objectifs de l’urbanisation du SI

L’urbanisation consiste à organiser les briques du SI dans un objectif de flexibilité et de


réactivité et intégrer progressivement les demandes d’évolution du SI par une approche
rationalisée. Elle permet au SI d’évoluer de manière fractale et itérative, sans effet de BIG
BANG, en gérant l'intégration d'applications vieillissantes et hétérogènes.
Les objectifs poursuivis par l’urbanisation peuvent être résumés en les points suivants :

 Construire une architecture du SI performante et agile capable d’évoluer rapidement et


en toute sécurité tant d’un point de vue métier que technique;

 Décomposer le SI en modules et faciliter la transformation continue du système


d’information.
 Faire évoluer le système, voire refaire certains morceaux, sans détruire l’existant et à
construire pas à pas un nouveau système cible qui doit avoir les caractéristiques
suivantes : modularité, souplesse, cohérence, évolutivité ;

 Éviter d’en créer de nouvelles grâce à la réutilisation des ressources logicielles


existantes lors du développement de nouvelles applications.

 Réduire les coûts de maintenance en effectuant une rénovation bloc par bloc, qui
consiste à définir une nouvelle ressource qui se substitue aux anciennes et réponde aux
divers cas d’utilisation.

 Consolider deux SI comme dans le cas d’une fusion/acquisition.

 Préparer le déploiement d'une plateforme ESB (Enterprise Service Bus) à grande


échelle.

 Synchroniser les actions du SI avec la stratégie de l’entreprise, afin de renforcer la


valeur d’usage du SI et en faire un atout pour l’Entreprise

 Rendre le SI « lisible » pour favoriser le dialogue et la communication avec les


directions métiers, les Maîtrises d’ouvrage (MOA) et les Maîtrises d’œuvre (MOE)

 Contribuer à la maîtrise des coûts informatiques

Exemple : Urbaniser le Système d’Information de la Production Informatique :

 Positionner le SI de Production par rapport au SI Interne de l’Entreprise ;

 Aligner les priorités d’investissements sur le SI de Production par rapport aux


objectifs stratégiques ;

 Clarifier les responsabilités sur les différentes zones du SI que ce soit en termes de
MOE ou MOA ;

 Etablir et communiquer des règles d’urbanisme pour le Système SI de Production ;

 Evaluer les opportunités technologiques du marché ;

 Définir un plan de progrès pour le SI de Production ;

 Contribuer au choix de solutions et faciliter leur intégration dans le SI ;

 Identifier les changements nécessaires à la mise en œuvre de la stratégie de


l’entreprise ;

 Maintenir le SI dans un état cohérent tout en améliorant son efficacité ;

 Garantir une capacité à mettre en œuvre de nouvelles « briques » de qualité plus


rapidement tout en diminuant les risques et les coûts ;
III.5. Bénéfices de L’Urbanisme du SI

Les bénéfices attendus d’une approche urbanisée du SI sont principalement :

 Un alignement facilité du SI sur la stratégie de l’entreprise et une contribution


significative à l’apport de valeur ;

 Une réduction de la complexité et un renforcement de la cohérence ;

 Une meilleure préparation des décisions sur l’évolution du SI (impacts, risques, valeur
apportée...) ;

 Une diminution de la redondance applicative, mutualisation des outils informatiques,


réduction des coûts d’intégration ;

 Une réduction du coût des projets du SI et des processus en favorisant une


optimisation globale ;

 Une définition claire des rôles et responsabilités des différents acteurs.

La démarche d'urbanisation du SI commence par le recensement et la capitalisation de


l'ensemble des informations sur le système d'information de l'entreprise (bases de données,
applications, services, etc.), en relation avec leur fonction, afin de les rationnaliser et de
permettre de valoriser le capital informationnel de l'entreprise.

Une telle démarche consiste dans un premier temps à étudier les différents secteurs
fonctionnels d'une entreprise (production, administration, ventes, etc.), afin d'être en mesure
d'en réaliser un découpage en quartiers, zones et blocs à l’image d’une ville, puis d'étudier de
la même manière son système d'information.

Ce découpage en zones en fait une cartographie et met bien en évidence : modularité


fonctionnelle et échanges.

IV. Démarche d’Urbanisation du SI

IV.1 Définition de Cartographie

La cartographie est un outil central de la démarche d’urbanisation. Chaque architecture de la


démarche d’urbanisation peut être décrite par une cartographie.

IV.2. Définition de l’architecture du SI

L’architecture du SI désigne la structure générale d’un SI, l'organisation des différents


éléments du système (logiciels et/ou matériels et/ou humains et/ou informations) et des
relations entre ces éléments.

Dans le domaine des SI, quatre types d’architectures principaux peuvent être distingués :
 Architecture des processus métier : représentation des processus métiers. Un
processus métier est un ensemble d'activités qui permettent à une entreprise
d'atteindre un objectif spécifique : Gestion d'une commande client ;

 Architecture fonctionnelle : représentation des fonctions issues de l’analyse des


processus métier: Fonctions de la gestion des Comptes ;

 Architecture applicative : représentation des applicatifs : composants logiciels, flux


échangés ;

 Architecture technique : représentation des techniques et standards de construction :


Systèmes d’exploitation, SGBD, serveurs, middleware, types de réseau…

Table 1 : Cartographie du SI

IV.3. Les étapes de l’urbanisation du SI

La démarche d’urbanisation recentre le pilotage de l’évolution du système d’information sur la


stratégie et les besoins des métiers de l’entreprise ou organisation concernée. Elle est basée sur un
modèle en quatre couches successives : Métier, Fonctionnelle, Applicative et Technique.

 Les objectifs stratégiques clairement identifiés servent à décrire le système existant et les
processus métier à mettre en œuvre.

 Les fonctions et informations utilisées par les processus sont ensuite détaillées

 Les applications et l’architecture technique permettant d’implémenter ces fonctions sont


spécifiées.

On peut alors parler d’une démarche « top-down », à savoir démarche de conception descendante.
L’urbanisation consiste alors de passer d’un système d’information existant à un SI cible par des
étapes successives de description ou construction d’architectures.
Figure 1 : Etapes de l’urbanisation du SI Top-Down

IV.3.1. Cartographie de l’architecture métier

La cartographie métier cartographie processus métier (PM) représente une vue de


l’architecture métier par une formalisation du métier de l’entreprise en répondant aux
questions quoi, qui, où et pourquoi (Merise). L’objectif est de définir les besoins du métier
vis-à-vis du système d’information.

Chaque processus peut ensuite être détaillé en présentant l’enchainement des activités à l’aide
de diagrammes de workflow ou en exploitant les diagrammes UML (Use Case et diagramme
d’activité).
La description des activités implique donc la spécification des OM : objets métiers (quoi), des
entités organisationnelles (qui) et des processus qui répondent à des objectifs (pourquoi). La
cartographie Métier de l’existant peut être associée à une cartographie Métier cible si des
évolutions métier sont envisagées en réponse à de nouveaux objectifs stratégiques.

III.3.2. Cartographie de l’architecture fonctionnelle

La cartographie fonctionnelle décrit les fonctions mises en œuvre pour réaliser les activités
(issues des processus) décrites dans l’architecture métier. Le but recherché est une
organisation logique des fonctions, fortement découplée et sans redondance.

L’architecture fonctionnelle est découpée en Zones, elles-mêmes redécoupées en Quartier


puis îlots ou blocs fonctionnels indépendants et autonomes. L’îlot, qui contient les fonctions,
est la plus petite entité du découpage.

Exemple :

 Zone fonctionnelle : Banque commerciale


 Plusieurs quartiers composent cette zone : quartier de gestion de l’épargne, quartier de
gestion des crédits.

 Le quartier de gestion de l’épargne peut être redécoupé en différents blocs (selon les
types de liquidité) : comptes chèques, épargne logement, …

Les données manipulées par ces fonctions sont également décrites. En effet, un bloc
fonctionnel est seul propriétaire des données qu’il manipule, afin de faciliter une organisation
modulaire.

Des règles d’urbanisation sont définies afin d’aider au découpage de l’architecture


fonctionnelle. Le découpage consiste premièrement à séparer les zones de référentiels
(données), d’échange (communication avec l’extérieur), de gestion interne (finance, RH,
informatique…), de stratégie et règles de décision, et les zones opérationnelles (métier).

IV.3.3. Cartographie l’architecture applicative

L’architecture applicative est une vue informatique et dynamique du SI représenté dans la


couche fonctionnelle. L’objectif est la distribution et la réutilisation des fonctions
applicatives.

L’architecture applicative est décrite par la cartographie de l’ensemble des blocs ou


composants applicatifs (composants logiciel, progiciels, …) et de leurs échanges répondant à
l’organisation fonctionnelle spécifiée précédemment. Dans l’absolu, un bloc fonctionnel
devrait correspondre à un bloc applicatif. L’existant et son intégration ne permettent pas
toujours de respecter cette contrainte. Un progiciel intégré correspondra à un îlot ou bloc
applicatif (élément de granularité la plus faible, non « découpable »).

Les structures de données sont décrites au niveau de l’architecture applicative. Les accès à ces
données ainsi que la gestion de leur persistance (sauvegarde, sécurité) sont également décrite
à ce niveau. UML ou Merise offrent les modèles et diagrammes utiles à la description de
l’architecture applicative.

IV.3.4. Cartographie de l’architecture technique

Les infrastructures nécessaires au déploiement des composants définis dans la couche


applicative ainsi que la manière dont ils communiquent, sont décrites au niveau de
l’architecture technique. Le principal objectif lors de la conception de la couche technique est
la mutualisation des plateformes techniques dans le but de réaliser des économies d’échelle.

La modélisation de la couche technique est principalement constituée par des diagrammes qui
permettent de montrer la connexion entre les serveurs.
IV.4. Limites de l’urbanisation du SI

 Limites humaines:

 Innovation dans la relation MOA/MOE : Les nouvelles relations entre MOA et


MOE sont difficiles à accepter. L’urbaniste doit posséder une solide
connaissance des SI, une connaissance du métier concerné basée sur
l’expérience, de bonnes capacités de conceptualisation et de modélisation, un
bon esprit de synthèse et un grand sens de la négociation.

 Limites propres à la MOA: La capacité de la MOA à modéliser les processus


métier et à prioriser les enjeux fait souvent défaut.

 Limites propres à la MOE: La capacité à s’adapter aux changements de


réglementation, de méthode, de technologies fait souvent défaut.

 Limites des processus méthodologiques :

 Processus de constitution du plan d’urbanisme : Il existe des méthodes très


diverses mais qui ne prennent pas en compte tous les niveaux de préoccupation
(processus métier, fonctions métier, applications, alignement par rapport à la
stratégie entreprise, articulation MOA/MOE dans le projet)’ Ce sont des
méthodes propriétaires, centrées sur l’établissement du plan et font l’impasse
sur la mise en œuvre.

 Limites technologiques :

 Stabilité et maturité des technologies: L’urbanisation du SI demande à pouvoir


prendre en compte un composant du système sans devoir le remettre en cause
pour raison de mutation technologique. L’état de l’art en matière de
technologie ne doit pas systématiquement être imposé.

IV.5 Logiciels et outils de l’urbanisation du SI :

Parmi les logiciels de l’urbanisation du SI, on peut citer :

ENVISION IT:

Ses caractéristiques :

 Construire une organisation du SI performante et agile, alignée sur les processus


métiers

 Produire rapidement la cartographie actuelle et future des applications, fonctions,


systèmes et définir la transition.

 Modéliser l'organisation et les rôles de l'entreprise en relation avec les applications et


l'infrastructure.

 Gérer de grandes quantités d'informations : domaines, applications, fonctions, systèmes,


rôles et risques...

Lien de documentation sur le logiciel :


www.case-france.com/Procédure%20installation%20Envision%2010.pdf

EDREW MAX :

Ses caractéristiques :

 Interface multiplateformes pour les systèmes Mac, Windows et Linux.

 Entièrement compatible avec Microsoft Office et Visio.

 Fournit des icônes d'architecture d'entreprise de haute qualité.

 Offre des modèles intégrés pour démarrer vos projets rapidement.

 Facile à exporter votre travail dans différents formats, y compris PNG, PDF, JPG, SVG,
Visio, Word, PPT, Html, etc.

Le lien pour le télécharger : https://www.edrawsoft.com/fr/download-edrawmax.php

V. CONCLUSION:

L’urbanisme a certes atteint un bon niveau de maturité mais reste encore jeune et perfectible.
Les limites de cette approche sont donc des défis à relever et donc des facteurs clés de succès
pour réussir un projet d’urbanisation d’un système l’information.

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