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Les Moteurs A Combustion Interne
Les Moteurs A Combustion Interne
I/ Introduction :
Les moteurs thermiques sont des machines énergétiques dont le but est de transformer
l’énergie chimique du gaz en une énergie thermique puis en une énergie mécanique.
Moteurs thermiques
* Turbine à gaz
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Premier temps :
Le piston étant au point mort bas, supposons le
cylindre rempli d’un mélange combustible, air et vapeur
d’essence ; celui-ci occupe donc le volume V+Vo. Les
soupapes sont fermées ; dans la course ascendante du
piston le mélange est comprimé et il occupe finalement
le volume Vo. Le rapport volumétrique de compression
est ainsi : V Vo ; = 7, valeur courante du moteur
Vo
à essence. Durant cette course (ou ce temps) la machine
joue le rôle d’un compresseur donc d’une machine
réceptrice.
Fig. 1
Deuxième temps :
Le piston est au point mort haut, soupapes fermées ;le volume Vo est rempli de
mélange comprimé. Le cylindre devient alors chambre de combustion ; une étincelle
électrique allume le mélange qui est supposé brûler instantanément dans le volume Vo. La
température et la pression croissent. Durant la course descendante du piston, course de
détente, la machine devient motrice. Une partie de la chaleur reçue par le fluide se transforme
en travail fourni au milieu extérieur par l’intermédiaire du piston et du système bille-
manivelle.
Troisième temps :
Lorsque le piston est au point mort bas la soupape d’échappement s’ouvre. Dans sa
deuxième course ascendante le piston évacue à l’atmosphère le gaz de combustion ; c’est la
course échappement.
Quatrième temps :
La deuxième course descendante du piston assure l’admission dans le cylindre d’une
nouvelle charge de mélange combustible.
Le cycle de la machine s’effectue donc sur deux tours de vilebrequin, en quatre
courses du piston en quatre temps : compression, combustion et détente, échappement,
admission.
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Fig. 2
Premier temps : Compression : 1 2.
La loi des gaz parfait donne : P1.V1 = r.T1 V = 287 × 300 = 0,86 m 3 / kg
1 5
10
Le rapport volumétrique de compression le plus utilisé pour les moteurs à essence est : = 7.
=
V V1 = 0,86 = 0,126 m3/kg.
= 7 V2 =
1
V 2
7 7
La transformation est isentropique donc on a :
P1 V1 = P2 V2 P2 = P1 ( V1 ) = P1 = 15.105 Pa.
V2
Calculons T2 :
T1. V1 1 = T2 V2 1 T2 = T1 ( V1 )-1 = T2 = 654°K
V2
P2 = 15.105 Pa ; V2 = 0,126m3 / kg ; T2 = 381°C.
Q12 = 0 ; W12 = cv. T = 252,7 kJ / kg.
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-
* 3 4 : détente isentropique : P4 V = P3 V P4 = P3 ( V
4
3
4 ) = P3 -
V3
P4 = 4,05.105 Pa; T4 = T3 = 1240°k.
1
Q34 = 0 et W34 = cv (T4 – T3) = -1025 kJ/kg.
* 4 5 : détente isochore :
W45 = 0 et Q45 = cv T = 0,714 (300 – 1210) = -645 KJ/kg.
Troisième et quatrième temps :
Le tracé du cycle est terminé puisque le fluide est revenu au point initial 1 donc les
deux courses d’échappement et d’admission sont des opérations mécaniques qui n’intéressent
en aucune façon le cycle thermodynamique.
b- Bilan mécanique :
Le travail reçue : W12 = 250 kJ / kg.
Le travail fournie : W34 = -1025 kJ / kg
Wcycle = W12 + W23 + W34 + W41 = -775 kJ/ kg.
Donc on vérifie bien le premier principe de la thermodynamique : Wcycle. + Qcycle. = 0.
c- Rendement thermodynamique du cycle :
Travail theorique disponible
Thermo.
Energie thermique dépense (chaleur)
A.N : = W cycle 775 54,5%
Q23 1420
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* Allumage :
La combustion n’est pas instantanée, il est nécessaire d’allumer le mélange avant le P.M.H.
C’est l’avance à l’allumage (15° à 35°), variable suivant la rotation du moteur.
Conséquence : Malgré cette avance, le point de pression maximale a lieu un peu après le
PMH (10° à 15° point 3).
* Soupape d’échappement :
– L’avance à l’ouverture est importante (40 à 50° point 4). La course de détente est ainsi
réduite, mais lorsque le piston arrive au PMB, la pression dans le cylindre est assez faible et la
poussée sur le piston au moment où il commence la course d’échappement est elle-même
faible.
– Le retard de la fermeture est de l’ordre de 10° à 20° (point 6). Les quelques dixièmes de
millimètres que la soupape a encore à parcourir sont ainsi pris sur la course descendante du
piston ou course d’admission.
Fig.3
c- Echange de chaleur :
Pour réduire la température des organes de moteur (cylindre, culasse, piston,
soupape…), il est nécessaire d’établir une circulation d’eau ou d’air autour du cylindre. Il y a
donc échange de chaleur entre le fluide et le milieu extérieur.
La compression réelle commence au point 1, elle n’est plus isentropique, c’est une
polytrope : PVn = cte avec n < ; n varie entre 1,3 pour la compression et 1,35 pour la
détente. Pendant la combustion, cette échange de chaleur est très important car la température
de gaz est très élevée.
Cela revient à dire qu’un gramme d’essence dont le pouvoir calorifique inférieur est
Pci = 42 kJ ne donne en réalité que 25 à 35 kJ / kg.
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combustion à température encore élevé, il se mélange à la nouvelle charge de gaz frais en fin
d’admission. Le mélange carburé réchauffé par le gaz de combustion résiduel et par la paroi
chaude du cylindre est à une température d’environ 40° à 50°C. La masse de mélange qui
occupe le volume V + V0 est ainsi réduite.
5/ Résultats du cycle réel :
Le travail indiqué Wi en J / cycle est mesuré par l’air du cycle réel. Si nous
connaissons l’énergie dépensé sous forme de combustible, nous trouvons :
Wi
* Rendement indiqué : ηi = .
énergie thermique dépensée
* Puissance indiqué : Pi = Wi .X. = Peff/ méc
avec : X = nombre de cycles par seconde : - X = N pour moteur à 4 temps.
2 x 60
- X = N pour moteur à 2 temps
60
N = nombre de tours par minute.
* Pression moyenne indiqué : pmi = Wi
V
avec V : Volume engendré par le piston par course ou cylindré en m3.
– en raison de perte par frottement mécanique nous recueillons sur l’arbre du moteur qu’une
partie du travail indiqué.
* Travail effectif par cycle : Weff = Wi . méc avec méc = 0,75 ÷ 0,9 étant le rendement
mécanique.
* Rendement effectif : ηeff Weff ηi x ηmec. .
énergie thermique depensée
* Pression moyenne effectif : pmeff = Wef f Pmi x mec.
V
* Puissance effectif : Peff = weff x = pmeff . V . X.
* Consommation par Kilowatt-heure (KWh) effectif : (1 KWh = 3600 KJ).
C= 3600 en g / kwh.
ηeff x Pci
avec Pci = 42 kJ / g pour l’essence et 44 kJ / g pour le gas-oil
Application :
Un moteur d’automobile a les caractéristiques suivantes :
Moteur essence à 4 temps, 4 cylindres, d’alésage 75mm et de course 73 mm, puissance
effective 32 KW à n = 4500 tr/mn ; méc = 0,8
* Calculer la pression moyenne effective ?
On a Peff = pmeff. V x X avec V π d² x C x 4 et X n
4 120
Peff
pmeff =
π . d² . C . X
AN: pmeff = 66 10 N/m² = 6,6 105 Pa
4
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* Déterminer le i :
eff 0,245
i 0,305
mec 0,8
* Déterminer la pression moyenne indiqué :
Peff 66
Pm i = = = 82,5 N/cm²
η mec 0,8
6/ Problème de la puissance :
Les problèmes de la puissance consistent à utiliser dans un volume donné un moteur
de puissance effective aussi élevé que possible. C’est le problème qui doit résoudre les
constructeurs des moteurs.
b- Suralimentation du moteur :
La masse d’air admise dans un cylindre de volume V1 = V + V0 est m. avec V0 : volume
mort ; V : Cylindrée. Cette masse m est : m = V1 avec V = rT1 (kg / m3).
V P1
m = V1 = V1 P1 = K. P1 m = k P1
V rT1 T1 T1
Donc, la masse d’air dépend de P et T.
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Ce problème se pose dans le cas d’avion, la masse d’air qui entre n’est pas la même
sur le sol que dans les hautes altitudes. La quantité de chaleur apportée par le combustible
dépend de m, ainsi que le travail théorique, la puissance et la pression moyenne.
Suralimenté un moteur consiste à augmenter cette pression moyenne en admettent par
cycle une charge d’air aussi élevé que possible.
Nous avons étudié ce cycle à titre d’exemple au début de l’étude des moteurs. Nous y
revenons pour traduire en formule littérale le rendement thermodynamique ηth.
Ce cycle est à compression préalable du mélange carburé, 150 N/cm², dans l’exemple
étudié. Pour la même élévation de température due à la combustion (2000 °K comme dans le
cycle de Lenoir), donc avec une même dépense de combustible qui représente dans les deux
cas 1 420 KJ/kg de mélange carburé, nous avons obtenu :
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Nous raisonnons toujours sur une masse d’air, gaz parfait, de 1 kg ; cp , cv , sont constants,
rapport volumétrique de compression et de détente v1 .
v2
Fig. 4
th 1 - 1
-1
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Cette relation simple nous montre que le rendement thermodynamique ne dépend que du
rapport volumétrique de compression , donc dépend du seul point 2 du cycle : v2 = v1 ,
-1
T2 = T1. ε , P2 = P1 ε . Ainsi le cycle 1. 2. 3’. 4’ a même rendement que le précédent, seul
le travail disponible, mesuré par l’air du cycle, a diminué.
La relation nous montre également que croit avec ε :
th
– pour ε = 5 ( = 1,40) ; th
= 0,475
– pour ε = 7, valeur courante dans les moteurs actuels, th
= 0,55
– pour ε = 10, th
= 0,60
Le constructeur cherche à augmenter ; on peut en attendre en effet une augmentation du
rendement effectif, et par conséquent une réduction de la consommation de combustible par
kilowatt heure. Nous verrons bientôt qu’il n’est pas possible d’aller très loin dans cette voie.
Fig. 6
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même n tr/mn, puisque le nombre de cycles par seconde est deux fois plus grand ;
pratiquement elle n’est multipliée que par 1,7 à 1,8.
Le cycle à deux temps à explosions est réservé aux petites cylindrées, moteurs de
motocyclettes par exemple. La compression du mélange carburé avant son introduction dans le
cylindre est assurée très simplement dans le carter d’embiellage par le piston (fig. 6) ;
admission du mélange dans le carter pendant la course ascendante du piston, puis compression
pendant la course descendante et transfert dans le cylindre.
Fig. 7
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Fig. 8
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Fig. 9
1 ,4
P3 16 = 11 ; P4 = 485 = 44 N/cm²
P4 2,87 11
T3 v1
T4 v3
=
1
1
T4 2,87
0,4
; T3 16 = 1,99 ; T4 = 2 609 = 1 309 °K.
1,99
Travail échangé :
W34 = U4 – U3 = cv (T4 – T3) ; W34 = 0,71 (1 309 – 2 609) = - 925 kJ/kg.
W34 est mesuré par l’aire 3’341’.
Transformation isochore 4-1 : Quantité de chaleur échangée :
Q41 = cv (T1 – T4) ; Q41 = 0,71 (300 – 1 309) = -710 kJ/kg.
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Troisième temps 5-6 : (échappement) et quatrième temps 6.1 (admission d’une nouvelle
charge d’air). Rappelons qu’il s’agit là d’opérations qui n’intéressent pas le cycle
thermodynamique.
2/ Résultats donnés par le cycle théorique :
Bilan thermique :
Chaleur reçue par la masse d’air de 1kg sous forme de gas-oil ou énergie thermique
dépensée : Q23 = 1 700 kJ/kg.
Chaleur fournie au milieu extérieur : Q41 = -710 kJ/kg.
Qcycle = Q23 + Q41 = 1700 – 710 = 990 KJ/kg.
Bilan mécanique du cycle :
Travail reçu par l’air : W12 = 430 KJkg.
Travail fourni par l’air : W23 + W34 = - 490 – 925 = - 1415 kJ/kg.
Energie théorique disponible :
Wcycle = W12 + W23 + W34 = 430 – 1 415 = - 985 kj/kg.
Nous vérifions assez bien le principe de l’équivalence : (Q + W)cycle = 0.
L’énergie théorique disponible Wcycle est mesurée par l’air du cycle 1234.
Nous avons :
T2 -1 , T3 , T3 - T2 - 1 , T3 T2 T1 -1 . ( - 1).
T1 T2 T2
De plus :
T3 -1
, T3 , T4 T 4 -1
T4 T2 T2
-1
-1
T4 . . 1 ; T4 - T1 - 1 ; T4- T1 T1 ( - 1).
1
T1 T1
1
1 -1
th 1 - -1 .
. -1
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de la combustion améliore .
th
Retenons que le cycle Diesel a un rendement thermodynamique plus élevé que celui du cycle
Beau de Rochas ; cela est dû essentiellement à la valeur élevé du rapport . Avec = 16 et
= 2 nous avons trouvé = 0,616 ; avec 7 le cycle Beau de Rochas nous donne :
th
=1- 1 = 0,55. Mais s’il est possible un jour d’élever sensiblement le rapport du
th 1
moteur à essence, la supériorité actuelle du Diesel disparaîtra ; avec par exemple = 12,
=1-10,4 = 0,63.
th
12
4/ Cycle réel : (fig. 10)
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N/cm² environ. Les organes du moteur doivent être capables de supporter avec sécurité les
efforts correspondant à cette pression ; il en résulte une construction plus lourde que celle du
moteur à explosions.
Exemple : Un Diesel à deux temps, 6 cylindres 150 x 170, n = 1500 tr/mn, fournit une
puissance effective de 22 kW.
Quelle est la puissance absorbée par le compresseur Roots de balayage ?
x 1,5²
Cylindrée unitaire : x 1,7 3 l ; cylindrée totale : 6 x 3 = 18 l.
4
Nombre de cycles par seconde : 1 500 25. Volume engendré par seconde : 25 x 18 = 450 l/s,
60
soit 0,45 m3/s. Volume que doit engendrer la soufflante :
V = 0,45 x (1,3 à 1,4) = 0,6 m3/s.
Puissance indiquée : P1 =V(P2 – P1) J/s, ou W avec (P2 – P1) = 3 N/cm², soit 3 x 104 N/m²,
P 1 = 0,6 x 3 x 104 = 18 x 103 W ou 18 kW. Avec un rendement volumétrique de la soufflante
= 0,80 et un rendement mécanique m = 0,90, la puissance effective est :
v
Peff = 18 = 25 kW.
0,8 x 0,9
La soufflante de balayage est un auxiliaire important et délicat du Diesel à deux temps.
6/ Le semi-Diesel :
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la culasse volontairement mal refroidie et même parfois réchauffée par un source de chaleur
extérieure ; c’est la boule chaude du semi-Diesel.
Conséquences : construction très simple du moteur : pas de soupapes, pas de souffrante de
balayage commandée ; efforts modérés sur les organes mobiles : moteur peu sensible à la
qualité du combustible ; par contre rendement plus faible que celui du Diesel normal en raison
du faible rapport volumétrique.
Le semi-Diesel est peu construit actuellement, mais les agriculteurs l’apprécient pour
sa robustesse et sa simplicité.
Exemple : semi-Diesel de tracteur agricole : un cylindre horizontal, alésage 180 course 210,
puissance effective 23,5 kW à 800 tr/mn.
Exemple :
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TRAVEAUX DIRIGES
EXERCICE N° 1 :
Questions :
EXERCICE N°2 :
Un moteur à quatre temps à allumage commandé opère suivant un cycle standard à air.
Sachant que l’air entre dans le cylindre à T1 = 27°C et P1 = 1bar et que l’élévation de
température due à la combustion est de 1000 K .
Déterminer la température, la pression, le volume et l’énergie à chaque point du cycle ainsi
que le rendement thermodynamique du moteur.
Données : Masse d’air = 1kg ; r = 286,7 J/kg°K ; γ = 1,4 ; cp = 1 KJ/Kg°C ; ε = 7,5
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EXERCICE N° 3 :
La puissance effective d’un moteur de cylindrée V = 2 litres tournant à N = 4200 tr/mn est
de 52 Kw ; le cycle est à quatre temps.
1) Déterminer la pression moyenne effective pme.
2) Le rendement mécanique étant η = 0,85 quelle est la pression moyenne indiquée pmi ainsi
que la puissance indiquée.
EXERCICE N° 4 :
A
V
O VB VC VA
Questions :
1) Calculer la température du mélange à la fin de compression.
2) Déterminer la masse d’air introduite dans les cylindres. On déduit le travail de
compression.
3) Calculer la durée d’un cycle ainsi que la distance parcourue par le véhicule pendant ce
temps. On déduit la masse du carburant consommé pendant un cycle.
4) Calculer la température à la fin de la combustion ( Tc ).
5) Déterminer le rapport d’injection α (on définit α comme étant le rapport : VA / Vc ).
6) Calculer la température à la fin de la détente ainsi que le travail de détente.
7) Déterminer le rendement thermodynamique du cycle.
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