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asymétrique: Le
cryptosystème RSA
RÉALISÉ PAR:
Numéro d’inscription : MK283M
• NAJMI ABDELHAMID
ENCADRÉ PAR: Omar Ibn Khattab
– B décode le message
– A transmet le
– A a la clé –A encode le à l’aide de la clé privée
message codé à
publique de B. message E(M ) qu’il est le seul à
B.
connaitre D(E(M ))
https://sectigostore.com/blog/ecdsa-vs-rsa-everything-you-need-to-know/ 4
Transmission d’un message 5
Source: https://www.preveil.com/blog/public-and-private-key
6
Génération d’une paire de clés : publique et privée
Source : https://www.youtube.com/user/Computerphile
Application de l’algorithme 16
relativement grand
Pour donner un exemple, utilisons un nombre grand comparé à
ceux qu’on avait utilisés pour le chiffrement et déchiffrement, soit
n = 100895598169
Le programme retourne :
Temps nécessaire pour casser la RSA 19
Le meilleur algorithme permettant de factoriser n est celui de Richard Schroeppel (non
publié)
La factorisation par cette méthode se fait en 𝑒 ln(𝑛)⋅ln(ln(𝑛)) étapes
Cette énergie constitue l’énergie consommée par un ordinateur pour factoriser le nombre
‘n’ en ses deux facteurs premiers, d’où trouver la clé privée.
Comparaison qualitative entre 21
RSA et RSA-AES
AES AES-RSA RSA
Algorithme Symétrique Symétrique Asymétrique
Chiffrement Très rapide Rapide Lent
Déchiffrement Très rapide Rapide Lent
Sécurité Sécurité fragile Sécurité Sécurité robuste
moyenne
la cryptographie asymétrique
Soit M ∈ Z/nZ (M doit etre assez petit pour qu’on soit sûrs de toujours
avoir : M < n).
On a alors :
D(E(M )) ≡ E(D(M )) ≡ Med [n]
Soit M‘ ≡ Me [n].
Alors ∃k ∈ Z, M’ = Me + kn
De plus, comme ed ≡ 1 [(p − 1)(q − 1)], alors :
∃k’ ∈ Z, ed = 1 + k’(p − 1)(q − 1).
Developpons M ‘d = (Me + kn)d avec la formule du binôme de Newton:
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𝑗
𝑀′𝑑 = ∑𝑑𝑗=0 𝐶𝑑 𝑀𝑒 𝑗 (𝑘𝑛)𝑑−𝑗
𝑗
De faç̧on triviale, on a : ∀j ∈ [0, d −1], n|(𝐶𝑑 (Me)j (kn)d−j ) donc
𝑗
n| ∑𝑑𝑗=0 𝐶𝑑 𝑀𝑒 𝑗 (𝑘𝑛)𝑑−𝑗
Soit que n|(M − M1+k’(p−1)(q−1) ).
D’après le petit théorème de Fermat, p étant premier, on a :
′𝑞 𝑝 ′𝑞 ′ 𝑝 ′ ′ 𝑞−𝑘 ′ 𝑞−𝑘 ′ +𝑘 ′
𝑀 𝑀 𝑘 𝑀 −𝑘 𝑀 −𝑘 𝑀 𝑘 ≡ 𝑀 1+𝑘 ≡ 𝑀[𝑝] donc:
M1+k’(p−1)(q−1) ≡ M [p]
′ 𝑝−1 𝑞−1
soit 𝑝 ∣ 𝑀 − 𝑀 1+𝑘 .
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1+𝑘 ′ (𝑝−1)(𝑞−1)
De même, 𝑞 ∣ 𝑀 − 𝑀 donc
′
𝑝𝑞 = 𝑛 ∣ 𝑀 − 𝑀1+𝑘 (𝑝−1)(𝑞−1)
soit enfin 𝑛 ∣ 𝑀 − 𝑀𝑒𝑑 .
𝑗
Finalement, 𝑛 ∣ 𝑀 − ∑𝑑𝑗=0 𝐶𝑑 𝑀𝑒 𝑗 (𝑘𝑛)𝑑−𝑗
donc 𝑛 ∣ 𝑀 − 𝑀′𝑑
𝑒
d'où : 𝑀′𝑑 ≡ 𝑀𝑒 𝑑 ≡ 𝑀 𝑑 ≡ 𝑀[𝑛]
Annexe 4 : (Méthode de Factorisation Fermat)
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Méthode de factorisation de Fermat
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