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LA COMMISSION

L'EXPECTATIVE NEW YORK NY USA Mer 05.04.50

57. Que tout le monde soit très respectueux. Et maintenant, il peut y avoir des étrangers qui n’ont
pas encore entendu parler comment l’Esprit de Dieu qui m’a donné ce ministère opère. Cela m’a été
donné par un Ange à ma naissance. Cela s’est manifesté il y a trois ans. Cela m’a toujours suivi, Cela
me faisait savoir que Cela était proche. Puis, Cela est venu vers moi, C’était un Homme. Il a été vu
dans des réunions plusieurs fois. C’est un Homme grand et costaud, d’environ 200 livres [90,7 kg], aux
cheveux noirs tombant sur Ses épaules. Il a témoigné quand Il est arrivé, Il a dit : « Je suis envoyé de
la Présence de Dieu pour te dire que ta naissance et ta vie, c’est pour montrer que tu dois
amener un don de guérison aux peuples du monde. » Et Il s’est mis à me dire différentes choses
qui arriveraient.

Je Lui ai dit que je n’étais pas instruit et que je ne pouvais pas aller. Il m’a dit qu’il me serait donné
deux signes.

J’ai dit : « Les gens ne me croiront pas, car je ne suis pas assez instruit pour leur parler. »

Il a dit : « Il te sera donné deux signes, comme il en a été donné au prophète Moïse. » Il a dit : « Un
signe sera que tu–tu détecteras les maladies par ta main. Quand les gens entreront en contact avec
toi, eh bien, tu pourras leur révéler les maladies dont ils souffrent par un discernement spirituel. » Et
puis, Il a dit : « Si tu es sincère, il arrivera alors que tu révéleras aux gens les secrets de leurs coeurs et
les choses qu’ils ont faites dans leur vie, qui ont peut-être empêché leur guérison, et tout. »

LE MINISTERE EXPLIQUE MINNEAPOLIS MN USA Mar 11.07.50

21. Quand Il–Il m’a rencontré cette nuit-là et qu’Il m’a parlé, moi–moi avec ma simple instruction
de l’école primaire, comment pouvais-je aller rencontrer des gens du monde pour apporter ce don-là ?
Il a dit : « Je serai avec toi. »

J’ai dit : « Ils ne me croiront pas. »

Il a dit : « Il te sera donné deux signes. »

Or, rappelez-vous, les signes ne guérissent pas ; les signes suscitent la foi pour être guéri.
Mais c’est uniquement par la foi qu’on est guéri. Comprenez-vous ? Voyez ? Voyez ? Les
signes suscitent seulement la foi.
LE MINISTERE EXPLIQUE MINNEAPOLIS MN USA Mar 11.07.50

22. Il n’y a pas longtemps, je pense, à Houston, on a photographié Cela, un photographe.


Beaucoup parmi vous, je pense… Combien ont déjà vu la photo ? Faites-nous voir la… Oh ! beaucoup
parmi vous…

Là, c’est la partie… C’est Lui qui opère la guérison. Ce n’est pas moi-même ; je suis juste un
canal. C’est comme la piscine de Béthesda, ce–ce n’était pas l’eau qui guérissait ; c’était
l’Ange sur l’eau qui opérait la guérison. Ce n’est pas l’homme qui guérit, c’est l’Esprit de Dieu
sur l’homme qui opère la guérison. Voyez ? Comprenez-vous ce que je veux dire ?
L’ANGE DE DIEU PHOENIX AZ USA Dim 02.11.47

16. Et je portais une montre, j’ai saisi une femme là, la première, elle avait une tumeur, et la
tumeur a arrêté… les vibrations ont arrêté ma montre. Je ne peux pas prier pour les gens tout en
portant une montre. Je peux vous le démontrer cet après-midi. Elle s’arrêtera chaque fois, les
vibrations contre cette montre Longines pimpant neuf. Elle–elle s’arrêtera ; la vibration l’arrêtera. Et
j’ai montré à un prédicateur venant de…?… Il est quelque part ici, dans l’assistance, cet après-midi. Et
il… Elle–elle s’est arrêtée. La vibration l’a arrêtée

L’ANGE DE DIEU PHOENIX AZ USA Dim 02.11.47

28. Je me demande si la petite fille espagnole de Sacramento qui était dans la salle cette nuit-là,
qui était assise là, et elle était assise là au fond de la salle, et elle se disait dans son coeur… C’était une
catholique. Elle se disait : « Je ne peux pas arriver là où se trouve frère Branham. Mais si seulement il
me regarde dans les yeux, je serai guérie. » Je ne savais rien sur cette jeune fille. Elle était là et
habitait… là, au-delà de Long Beach, ou quelque part là, dans des réunions.

Je suis entré dans la réunion ce soir-là ; je prêchais. Et pendant que je prêchais, j’ai vu le–le… on dirait
que la foi continuait à tirer cela, juste à ma droite. J’ai regardé vers le bas et au fond de la salle, j’ai
dit : « Cette jeune fille, assise très loin, dites-lui de venir ici. » J’ai dit : « Venez ici, jeune fille. » Et j’ai
son témoignage. Elle a failli s’évanouir. Elle a dit : « Moi ? »

J’ai dit : « Vous, en petit chapeau rond, venez ici. » Elle s’est avancée humblement. Elle souffrait de la
tuberculose. Je l’ai tenue par la main, j’ai dit : « Vous souffrez de la tuberculose. Mais ‘AINSI DIT LE
SEIGNEUR’… » C’était tout. C’était fini. Le lendemain matin, elle re-… elle a donné son coeur à Christ.
Elle a été baptisée, elle a amené sa famille.

LA RESURRECTION DE LAZARE EVANSVILLE IN USA Dim 22.11.53

3. Et alors, lorsque je… La chose suivante dont je me souviens, c’est que le–le jeune homme et
les autres m’ont amené ailleurs, dehors. C’était donc vraiment–vraiment très glorieux. Je crois qu’on
est sur le point de déboucher quelque part dans la réunion. Les gens commencent bien à apprendre, à
saisir ce que cela représente.

En fait, comme on parle de Vandalia, il y a quelque temps, alors que je sortais de la voiture, une dame
(qui est présentement quelque part ici dans la salle, sa fille et elle) m’a donné un témoignage de
Vandalia. Elle disait qu’elle était… Et maintenant, si je comprends bien la chose… je l’espère bien. Elle
me racontait cela il n’y a pas longtemps, disant qu’elle faisait… lorsque j’étais à Vandalia, elle faisait la
vaisselle… Et elle avait une très grosse tumeur, comme un pamplemousse ou… et elle a dit qu’elle
avait secoué les mains… le Seigneur lui avait dit : « Va à Vandalia pour ta guérison. »

Elle est allée vers son mari et celui-ci lui a dit : « Cela nous est bien impossible, chérie, a-t-il dit, je…
seulement… Nous n’avons que dix dollars et quelques, je dois donc les utiliser pour autre chose. »
LA RESURRECTION DE LAZARE EVANSVILLE IN USA Dim 22.11.53

4. C’était donc le samedi, et elle était très déçue. Elle a alors continué, elle s’est mise–elle s’est
mise à prier, disant : « Maintenant, Seigneur, c’est Toi qui m’as parlé ; maintenant, parle-lui un peu
sur quoi faire avec ces dix dollars. »

Et elle a dit que, peu après, le lendemain matin, a-t-elle dit, elle s’est levée, et il pleuvait. Son mari est
venu et lui a demandé : « Tu disais que tu voulais aller à Vandalia ? » Ils sont partis.

…Eh bien, mes amis, c’est sur ce que Dieu m’a dit que je fais reposer cela. Il a dit : « Si tu es sincère
quand tu pries, si tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière. » Voyez-vous ?

LA RESURRECTION DE LAZARE EVANSVILLE IN USA Dim 22.11.53

6…Eh bien, lorsque Dieu a fait donc cela, eh bien, alors son mari… Il a dû aussi pousser son mari. Vous
voyez, nous demandons des choses à Dieu et, parfois, nous ne Lui accordons pas le temps de nous
répondre. C’est vrai, n’est-ce pas ?

LES MALADIES ET LES AFFLICTIONS LOUISVILLE KY USA 00.01.50

145. Il a dit : « Pasteur, a-t-il dit, ma vieille maman était une bonne femme pieuse. » Il a dit : « Elle
ne m’avait jamais dit un mensonge de toute sa vie. » Il a dit : « Elle est morte il y a de cela dix ans
maintenant. » Il a dit : « Je n’ai même jamais entendu parler de vous de toute ma vie. » Il a dit : «
J’habite à environ cent miles [160 km] d’ici. » Il a dit : « Hier soir… » Il a dit : « Ça fait plusieurs années
que je suis aveugle. » Il a dit : « Hier soir, je me suis réveillé, et à côté de mon lit se tenait ma vieille
maman. Et elle a dit : ‘Mon enfant chéri, va à El Dorado, en Arkansas, et demande quelqu’un du nom
de Branham.’ Elle a dit : ‘Le Seigneur a donné un don de guérison divine. Tu recouvreras la vue.’ » Oh !
la la ! On dirait que mon coeur devenait gros comme ça. J’ai vu que c’est Dieu qui parlait.

LES MALADIES ET LES AFFLICTIONS LOUISVILLE KY USA 00.01.50

146. Si l’homme ne veut pas croire cela, Dieu le déclarera d’une autre façon à celui qui a un
coeur sincère. Il le fera.
LES MALADIES ET LES AFFLICTIONS LOUISVILLE KY USA 00.01.50

147. Je lui ai imposé les mains, j’ai dit : « Frère, le Seigneur Jésus qui vous a donné cette vision se
tient ici maintenant pour vous guérir. » J’ai ôté mes mains de lui. Je l’ai tenu par la main, la cataracte
était morte. Les larmes ont commencé à… coulaient de ses joues.

LES MALADIES ET LES AFFLICTIONS LOUISVILLE KY USA 00.01.50

148. Il a dit : « Je Te remercie, Seigneur. Je Te remercie, Seigneur. »

Elle a dit, sa femme a dit : « Chéri, est-ce que tu vois ? »

Il a dit : « Oui, je vois. »


Elle a dit : « Oh ! Vraiment, tu–tu vois, chéri ? »

LES MALADIES ET LES AFFLICTIONS LOUISVILLE KY USA 00.01.50

149. Il a dit : « Oui. » Il a dit : « C’est une voiture rouge qui est stationnée là. » Oh ! la la ! Elle s’est
mise à crier comme cela. Et alors, on m’a pris, on m’a amené à la voiture.

LES MALADIES ET LES AFFLICTIONS LOUISVILLE KY USA 00.01.50

150. Plus tard, je suis descendu d’un avion un soir, près de Memphis, dans le Tennessee, et je m’en
allais, j’ai entendu quelqu’un crier : « Bonjour, pasteur Branham. » Je suis allé là. Et qui était-ce ?
C’était lui là, normal, il pouvait lire sa Bible ou n’importe quoi. »

LES MALADIES ET LES AFFLICTIONS LOUISVILLE KY USA 00.01.50

151. Je me suis dit : « Grâce étonnante, oh ! quel doux son, qui sauva un malheureux… »

LES MALADIES ET LES AFFLICTIONS LOUISVILLE KY USA 00.01.50

152. Il est toujours le même ce soir qu’Il était alors. Il est ici, mes amis. Tout ce que je vous
demande de faire, c’est croire que je vous ai dit la Vérité. Puis, observez la puissance du Dieu Tout-
Puissant agir, comme je l’ai dit. Si ça ne se fait pas, alors dites que frère Branham est un faux
prophète. Si ça se fait, alors croyez en Dieu à cause du témoignage. Inclinons la tête.

LE SECOND MIRACLE ERIE PA USA Dim 29.07.51S

79. Mais je me rappelle quand elle s’est cognée à moi, elle a dit : « Excusez-moi. »

J’ai dit : « Que voulez-vous ? »

Elle a dit : « J’ai perdu mon père. » Elle a dit : « Je n’arrive pas à le retrouver et je suis aveugle,
monsieur. »

Et j’ai dit : « D’où venez-vous ? »

Elle a dit : « De Memphis. »

Et j’ai dit… J’ai regardé là et j’ai vu tout un tas de bus affrétés, j’étais à Jonesboro. J’ai regardé et j’ai
vu des bus affrétés parqués là ; j’ai vu l’un d’eux, il y était mentionné : Memphis. J’ai dit : « Que faites-
vous ici ? »

Elle a dit : « Je suis venue voir le guérisseur. »

Et j’ai dit : « Le quoi ? »

Elle a dit : « Le guérisseur. »

Il n’y avait personne là, huit jours, c’est là que j’étais resté à l’estrade quatre jours et quatre nuits sans
même quitter l’estrade, en train de prier pour les malades. Je dormais à l’estrade, je mangeais à
l’estrade, ce que je mange. Et j’ai dit : « Croyez-vous que c’est vrai ? »

Elle a dit : « Oui, monsieur. »

Et j’ai dit : « Eh bien, avec tous les bons médecins que nous avons… »
Elle a dit : « Monsieur, quand j’étais une petite fille, j’ai vu des cataractes me venir aux yeux. Le
médecin m’a dit que quand cela mûrirait (Je ne sais pas ce qu’elle voulait dire par là), on les
enlèverait. » Et elle a dit : « Or, ils se sont enroulés autour de mes nerfs optiques. Si on les enlevait, on
m’arracherait les yeux. » Et elle a dit : « J’ai suivi ce matin à la radio qu’un homme venu d’ici à
Kennett, aveugle pendant douze ans, a recouvré la vue. » C’est ce qui était arrivé ce matin-là. Elle a dit
: « Je suis venue voir si je peux voir cet homme. » Elle a dit : « On me dit que je ne peux même pas
m’approcher du bâtiment. » Elle a dit : « J’ai perdu mon père et je–je suis aveugle, personne ne veut
m’aider à regagner le bus. »

Et j’ai dit : « Croyez-vous ce qu’il en est de cet Ange-là ?

Elle a dit : « Oui, monsieur. » Et elle a dit…

J’ai dit : « Croyez-vous que si cet homme-là priait pour vous, vous seriez guérie ? »

Elle a dit : « Je vais vous dire ce que vous avez à faire. Si vous me tenez par la main et que vous me
conduisiez là où il est, je serai en mesure de trouver mon père après. » C’était trop pour moi. J’ai dit :
« Croyez-vous que c’est vrai ? »

Elle a dit : « Oui, monsieur. »

J’ai dit : « Peut-être que c’est moi que vous êtes censée voir. » Et elle m’a saisi ; elle a dit : « Est-ce
vous le guérisseur ? »

J’ai dit : « Non, mam’selle, c’est moi frère Branham. » J’ai dit : « C’est Jésus qui est le Guérisseur. »

Elle a dit : « Frère Branham, ne me laissez pas. » Une pauvre jeune fille aveugle là debout...

Et j’ai dit : « Assurément, je ne le ferais pas, soeur. Je suis sûr que Dieu ne le fera pas. »

Et je n’oublierai jamais, je l’ai tenue par la main et j’ai dit : « Seigneur Jésus, il y a quelques mille neuf
cents ans, une vieille croix rugueuse était tirée dans les rues de Jérusalem, et cela effaçait les
empreintes des pas de Celui qui la portait, Son pauvre petit corps frêle, mince, tombait sous le
fardeau… » [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

LA FOI VIENT DE CE QU’ON ENTEND CHICAGO IL USA Sam 20.03.54

45. Anne s’est dit: «Voyons. Si Sara, qui avait environ cent ans, pouvait recevoir la semence (Anne
avait probablement, environ, oh! peut-être quarante, cinquante, soixante ans ou à peu près cet âge-
là.), s’est-elle dit, moi aussi, je peux recevoir la semence.» La foi vient de ce qu’on entend. La voilà qui
se rend au temple. Elle monte là pour–pour adorer Dieu. Elle ne faisait cas de ce que quelqu’un
d’autre disait, ce que… certaines personnes qui y allaient avec elle parlaient de ceci, de cela. Elle y
était allée dans un seul but; celui de recevoir l’exaucement à sa prière. Si vous avez la même attitude
ici ce soir, vous allez retourner avec le même genre de bénédiction qu’Anne avait reçue, avec l’AINSI
DIT LE SEIGNEUR.
62-1230E MONSIEUR.EST.CE.LE.SIGNE.DE.LA.FIN_ JEFF.IN V-3.N-7 DIMANCHE_

401 † Or, le premier Pull, c’étaient de très petits oiseaux – ces vols. Ils ont continué, pour aller
rencontrer le temps, rencontrer la venue du Seigneur – le premier message.

402 La deuxième fois, c’étaient les secrets du coeur. Premièrement, c’était prendre une personne
par la main et lui dire ce qu’elle avait. Puis, leurs péchés furent révélés, et il leur fut dit ce qu’ils
devaient faire, et... Est-ce vrai? Alors, cela est arrivé parfaitement comme Dieu l’a dit, et vous en êtes
témoins, ainsi que le monde et l’église.

62-1230E MONSIEUR.EST.CE.LE.SIGNE.DE.LA.FIN_ JEFF.IN V-3.N-7 DIMANCHE_

406 † Remarquez, le premier petit vol – la main. Le second était plus grand, plus blanc – des
colombes, le Saint-Esprit révélant les secrets du coeur. Et le troisième vol, c’étaient des Anges! Non
pas des oiseaux, des Anges! Et c’est la fin des temps. Tout est là.

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

269. Le ministère de Jésus consistait en trois Pulls. Le saviez-vous? Remarquez. Soyez sincères
comme jamais dans votre vie, pendant une minute maintenant, pour quelques minutes.

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

270. Son premier Pull fut la guérison des malades. Il devint un Homme très populaire. Tout le
monde Le croyait, semble-t-il. Est-ce vrai? Quand Il partait guérir les malades, tout le monde Le voulait
dans son église.

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

271. Mais un jour, Il se retourna et commença à prophétiser, car Il était la Parole, et Il était le
Prophète dont Moïse avait parlé. Et quand Il alla leur dire... Il leur révéla comment ils vivaient et les
choses qu’ils faisaient, Il devint très impopulaire. Ce fut Son deuxième Pull.

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

272. Je me demande si cela ne s’est pas exactement produit à nouveau? Pensez-y une minute tout
simplement. Serait-ce possible? Le premier, la guérison; tout le monde! Le deuxième... «Oh! cela ne
pouvait être que ‘Jésus seul’, cela pourrait être Béelzébul, cela pourrait être un...» C’est ce qu’ils firent
là, voyez? Ce sont les mêmes esprits vivant dans les mêmes sortes de gens, condamnant les gens qui
ne pouvaient jamais être sauvés, parce qu’ils étaient au préalable condamnés, ils–comme Judas
Iscariot, né fils de la perdition. Vous dites : «Judas?» Bien sûr.

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

273. Souvenez-vous qu’il était très religieux, mais il ne pouvait pas aller jusqu’au bout avec le
Message. Il pouvait en prendre une partie, mais il ne pouvait pas digérer le reste. Ils peuvent recevoir
la guérison et des choses semblables, mais quand on en arrive à Dieu qui amène des écureuils à
l’existence, ça, c’est alors trop fort pour eux : «C’est impossible.» C’était Judas. Son esprit
peut vivre jusqu’à ce point-là, il ne peut pas aller plus loin. Voyez?
SE TENIR A LA BRECHE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 23.06.63M

150. Je me suis arrêté et j’ai levé les yeux vers la montagne, et j’ai vu ces sept collines. Eh bien,
écoutez, si vous voulez comprendre quelque chose. Il y avait sept pics au sommet d’une montagne,
une montagne qui s’étend sur plusieurs miles. C’est la dernière montagne avant d’entrer dans l’autre
région, il n’y a plus de montagnes après celle-là. Et elle s’étend de l’est à l’ouest, la chaîne de
montagnes. Et elle était couronnée de neige au sommet.

SE TENIR A LA BRECHE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 23.06.63M

151. Les deux premiers petits pics, et puis un grand pic... Et puis un autre petit pic, et ensuite un pic
plus grand... Et puis un petit pic, et ensuite une énorme et longue montagne couronnée de neige. Et
j’ai dit : « Seigneur, je ne comprends pas ce que cela signifie. »

SE TENIR A LA BRECHE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 23.06.63M

152. Il a dit : « Combien de pics y a-t-il? »

SE TENIR A LA BRECHE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 23.06.63M

153. J’ai dit : « Il y en a sept. »

SE TENIR A LA BRECHE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 23.06.63M

154. « Ton nom a combien de lettres ?» B-r-a-n-h-a-m, M-a-r-r-i-o-n, B-r-a-n-h-a-m.

SE TENIR A LA BRECHE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 23.06.63M

155. Et il y avait là trois pics remarquables. Il a dit: « Ces trois pics sont le premier, le deuxième et
le troisième pulls. Le premier était la première phase de ton ministère : la petite colline; donc, ton
premier pull, c’est assez haut. (Vous savez, le signe dans la main). » Puis, il y a un petit intervalle au
milieu, correspondant à la période pendant laquelle je m’étais retiré, étant trop épuisé. La plupart
d’entre vous s’en souviennent. Et puis est venu le discernement, le deuxième pull. Eh bien, j’ai eu un
autre, il y a environ quelques années maintenant, concernant disons, ces petits pics, voyez-vous,
comme mon ministère n’était que... Et alors est venu le troisième.

SE TENIR A LA BRECHE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 23.06.63M

156. Trois est le nombre de l’achèvement, voyez-vous, le troisième. Le pic suivant était le
cinquième, le nombre de la grâce. Et le pic suivant était le septième, le nombre de la–de la perfection,
la fin. «Tu travailleras six jours; le septième, c’est le sabbat, la fin de la semaine, la fin du temps.»
Voyez-vous? Et je me suis arrêté et j’ai montré cela à Billy. Et je les ai observés.

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

264. Observez les trois pics. Il dit : «Voilà ton Premier, Deuxième et Troisième...»

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

265. Et frère Fred en a pris une remarquable photographie lorsque lui et soeur Martha étaient de
passage. La brume s’était levée du sol et avait caché tous les autres pour ne laisser voir que les trois
Pulls. Un ici, un ici et un là. Voyez, les 7!
LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

266. Observez les trois premiers. Trois, c’est la perfection, c’est alors que le ministère a commencé.

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

267. Le deuxième Pull était le discernement des esprits, la prophétie. Le premier, c’était la guérison
des malades; le deuxième, c’était la prophétie qui sortait et qui discernait les pensées cachées dans le
coeur, quand la Parole Elle-même fut rendue manifeste, ce qui est la grâce.

LES AMES QUI SONT MAINTENANT EN PRISON JEFFERSONVILLE IN USA Dim 10.11.63M

268. Mais souvenez-vous que le septième est l’achèvement. Ceci pourrait-il être le Pull final? Tout
est terminé. Serait-ce possible? Pensez-y maintenant. Réfléchissez tout simplement. Où en êtes-vous?
Voyez? Sept est toujours l’achèvement. Trois Pulls!

LES OINTS DU TEMPS DE LA FIN JEFFERSONVILLE IN USA Dim 25.07.65M

262. Remarquez, le jour même où ce messager... Pas quand il se met à parler de… mais quand il
commence à annoncer son Message. Voyez? Le Premier Pull : la guérison; le Deuxième Pull : la
prophétie; le Troisième Pull : l’ouverture de la Parole, les mystères révélés. Il n’y a rien de plus,
rien de plus élevé comme rang, pour révéler la Parole, que les prophètes. Mais le seul moyen
par lequel le prophète peut être confirmé, c’est par la Parole . Et, rappelez-vous, le Troisième
Pull, c’était l’ouverture de ces Sept Sceaux, pour révéler la Vérité cachée qui avait été scellée dans la
Parole. Le voyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

HEBREUX CHAPITRE 2, 3 JEFFERSONVILLE IN USA Mer 28.08.57

258. Et il y a quelques semaines, j’ai vu flotter sur l’eau un petit poisson qui était tué. Vous avez
tous entendu son histoire. Il y a ici Frère Woods et son frère et d’autres pour confirmer cela. Et ce
petit poisson gisait mort pendant une demi-heure sur l’eau, les entrailles sorties par sa bouche. Et le
glorieux Saint-Esprit est descendu... Après qu’IL eut annoncé la veille : «Vous allez voir la résurrection
d’un petit animal.» Et le lendemain matin, peu après le lever du soleil, nous avons vu ce petit poisson,
pas plus long que ça, quand l’Esprit du Seigneur descendit, et dit : «Petit poisson, Jésus-Christ te
rend la vie.» Et ce poisson mort, qui avait flotté sur l’eau pendant pratiquement une demi-heure,
revint à la vie, et s’éloigna en nageant aussi vite qu’il pouvait. Oh, béni soit le Nom du Seigneur!
Combien Il est merveilleux!

TOURNER LES REGARDS VERS JESUS JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63S

44. L’étonnante grâce de Jésus-Christ!

Je n’ai pas beaucoup de temps maintenant pour ajouter quelque chose, mais je–je–j’aimerais faire
cette déclaration. Combien se souviennent des écureuils? Très bien…
TOURNER LES REGARDS VERS JESUS JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63S

45. Eh bien, je ne savais pas grand-chose sur ce à quoi cela aboutirait. Et je pense que frère Wood,
frère Fred et les autres sont ici dans le bâtiment, ceux qui étaient présents quand cela arriva, ou juste
après que cela fut arrivé là-bas. Frère Rodney et frère Charlie du Kentucky, le frère de la soeur Wood
et les autres étaient présents quand cela arriva au Kentucky. C’était la deuxième fois que cela arrivait :
créer tout simplement par la parole des choses qui n’existaient pas , vous voyez, tout le temps
par la parole, confirmant les Ecritures en signe d’encouragement.

TOURNER LES REGARDS VERS JESUS JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63S

46. La troisième fois que cela arriva, c’était en faveur de Hattie Wright. Hattie est-elle ici ce soir?
C’est la... d’Edith. Combien connaissent Hattie Wright? Frère Wood et moi étions assis là quand cela
arriva. Quand le Saint-Esprit a dit : «Donne-lui ce qu’elle désire», et nous parlions de cela, comment
ces écureuils avaient été créés. Et je dis : «Il s’agit tout simplement d’une chose: Il est Jéhovah-Jiré.»

TOURNER LES REGARDS VERS JESUS JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63S

48. Elle a dit : «C’est absolument la vérité.» Et quand elle a dit cela (frère Banks Wood que voici
était l’un de ceux qui étaient là), on dirait que la pièce allait s’écrouler. Et le Saint-Esprit, la même Voix
qui avait parlé des écureuils, dit: «Donne-lui ce qu’elle demandera.»

TOURNER LES REGARDS VERS JESUS JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63S

49. Je dis: «Soeur Hattie, comme témoin devant Dieu, c’est cela. Maintenant, si vous avez le
moindre doute à l’esprit, demandez ce que vous voulez. Et si vous n’avez pas cela sur vos genoux,
alors je suis un faux prophète.» Elle dit: «Frère Branham... » Tout le monde pleurait. Elle dit: «Que
demanderai-je?»

TOURNER LES REGARDS VERS JESUS JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63S

50. Je dis: «Vous êtes pauvre et vous vivez là sur la colline, sans argent, vous pouvez demander
cela. Vous avez assise ici une soeur infirme, Edith, pour qui nous avons prié pendant des années, vous
pouvez demander sa guérison.» Je dis: «Votre père et votre mère sont âgés et affaiblis, vous pouvez
demander quelque chose pour eux. Quoi que vous demandiez, Soeur Hattie, voyez maintenant si cela
arrivera ou non, à l’instant même.» Et j’ai ajouté: «Il vient de me le dire. La même Voix a dit : ‘Donne-
lui ce qu’elle demandera.’» Elle regarda autour d’elle et dit: «Que vais-je dire, Frère Branham?»

Je dis: «Dites ce que vous désirez. Pensez à votre plus grand désir et dites-le.» Et ses garçons
ricanaient même et riaient. Et elle dit: «Le plus grand désir que j’ai, c’est le salut de mes deux fils.»

TOURNER LES REGARDS VERS JESUS JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63S

51. Je dis: «Je vous les donne, au Nom de Jésus-Christ», et c’était parti ! Ils participent
fidèlement à la communion dans cette église, ces petits amis sont là au lavage des pieds avec les
hommes, et des choses comme cela. Nous en sommes tous témoins. Elle a fait un vrai choix. Sa mère
doit mourir, elle-même aussi, eux tous, mais ce qu’elle a demandé sera éternel: le salut de ses
enfants. C’était la troisième fois que cela s’est produit.
TOURNER LES REGARDS VERS JESUS JEFFERSONVILLE IN USA Dim 29.12.63S

52. La quatrième fois que cela est arrivé (je l’ai expliqué la dernière fois que j’étais ici), c’était sur
la montagne où cet orage sévissait. Combien en ont-ils entendu parler? Oh! vous tous. Très bien. Là où
l’orage sévissait. Et Dieu est mon Juge pendant que je me tiens ici. Je descendais la montagne avec
David Wood (je pense qu’il est ici quelque part) qui m’avait préparé un sandwich; c’en était un
véritable. Je pense qu’il cherchait à me rendre la pareille pour celui que j’avais préparé à son père, il y
a quelques années. Il avait mélangé de la mortadelle, de la viande et tout; je l’avais enroulé sous ma
chemise, (et il pleuvait) et c’était devenu simplement une grosse boule pâteuse. Et je descendais la
montagne. Le temps était si orageux que je ne pouvais même pas voir ma main devant moi, ou à
peine. Et je sais une chose, c’est que vous êtes désorienté à cause du vent qui tourbillonne.
Maintenant, il y a ici des témoins de cela. L’un d’eux est l’un de nos fidèles diacres, il s’agit de frère
Wheeler. Etes-vous ici, Frère Wheeler? Où est-il? Le voilà, frère Wheeler.

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58. Après avoir attendu quelques instants et mangé le sandwich que David m’avait donné, je suis
remonté là-haut et me suis assis. Et pendant que j’étais assis là (le vent tournoyait et soufflait, les
sommets des arbres se penchaient au loin; du grésil et de la neige volaient comme cela), une Voix dit:
«Je suis le Dieu de la création.» J’ai levé les yeux et me suis dit: «D’où cela est-il venu? C’était peut-
être le vent.» Il a dit: «J’ai créé les cieux et la terre. C’est Moi qui ai apaisé les vents puissants sur les
mers», et Il a continué à parler. Je me suis levé d’un bond et j’ai ôté mon chapeau. Il a dit : « Parle
simplement à l’orage et il cessera. Tout ce que tu diras, c’est ce qui arrivera.»
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59. Et j’ai dit : «Orage, arrête-toi. Et toi, soleil, brille normalement pendant quatre jours, jusqu’à
ce que nous soyons partis d’ici.»

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60. Aussitôt que j’ai dit cela, le grésil, la neige et tout le reste ont cessé de tomber; en une minute
ou deux, un soleil ardent a brillé dans mon dos. J’ai vu les vents souffler comme ceci, revenant du
nord, et descendant... je veux dire venant de l’est, ça venait de l’est, cela venait de l’ouest. Les vents
ont changé de direction et sont revenus de ce côté, et les nuages, comme une chose mystique, se sont
élevés dans l’air, et dans l’espace de quelques minutes le soleil s’est mis à briller.

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61. Eh bien, c’est la quatrième fois que cela est arrivé. Maintenant, voici ce que je–je voudrais
dire. Et je dois dire exactement la vérité. Il y a environ seize ans, j’étais en Californie avec frère John
Sharrit, et je tenais une série de réunions. Et Meda et moi, frère et soeur Sharrit et les autres, nous
logions dans un hôtel, et il y avait un homme du nom de Paul Melikian (qui s’est souvent tenu juste ici
dans ce tabernacle; c’est un Arménien fortuné), et sa femme avait mis au monde un enfant à Fresno,
en Californie, où ils habitaient; il était... vint, amena sa femme et m’a téléphoné à l’hôtel, disant:
«Puis-je faire monter mon épouse, Frère Branham?» J’ai répondu: «Oui, vous pouvez.» Le jour
suivant, je suis allé à Catalina.
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62. Ainsi, il a amené sa femme, et cette petite dame était si malade et elle... Je dis: «Posez votre
main sur la mienne, Soeur Melikian.» Et j’ai dit: «Nous verrons si le Seigneur nous le révélera.» Et
aussitôt qu’elle a posé sa main sur la mienne, j’ai dit: «Oh, cela–c’est une phlébite.» Elle a dit: «Il ne
me semble pas que j’en aie quelques symptômes.»

J’ai dit: «Surveillez cela.» Au bout de deux jours, on la soignait d’une phlébite.

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63. C’est comme le petit Jimmy Pool ici; l’autre jour, il est venu avec son petit bébé qui avait eu
une crise cardiaque; on pensait que c’était une crise d’asthme. Et j’ai posé ma main sur lui, j’ai dit:
«Surveillez-le pendant quelques jours. Il a la rougeole, elle va sortir. Cela en est la fièvre.» Je l’ai
rencontré hier soir. Il a dit : «Il est maintenant couvert de rougeole.» Vous voyez?

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64. Bon, je parlais encore à soeur Melikian de la main. Elle a dit: «C’est surprenant d’observer
cela, Frère Branham.» Elle a dit: «Cela marche-t-il avec chaque main?»

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65. J’ai dit: «Eh bien, si quelque chose ne va pas chez le patient.» J’ai dit: «Eh bien, tenez, je pose
ma main sur... (beaucoup d’entre vous se tenaient là et ont observé cela) et rien n’est arrivé.» J’ai dit:
«Tenez, tout va bien chez ma femme, elle a mis sa main... regarde ici, laisse-moi poser ta main sur la
mienne.» Ma femme était assise là. Elle a posé sa main sur la mienne, et aussitôt j’ai dit: «Tu as un
kyste à l’ovaire gauche. Tu as une maladie de femme.»

Elle a dit: «Je ne sens aucun changement.»

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66. J’ai dit: «Mais tu en as.» Becky avait deux ans (ma fille, qui vient de jouer il y a quelques
instants), elle avait deux ans. Deux ans plus tard, Sarah vint au monde. Et quand... Elle vint par
césarienne, et je demandai au docteur Dillman (notre médecin, à–à Corydon) de... «Quand vous
l’aurez opérée, regardez cet ovaire gauche.» Et il le fit; il dit: «Je n’ai rien vu d’anormal.» J’ai posé ma
main; c’était toujours là.

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67. Quatre ans plus tard, Joseph arriva. Je lui demandai de regarder de nouveau. «Je n’ai rien vu
d’anormal.» Je posai ma main; c’était toujours là, ainsi, nous ne nous en sommes plus occupés.

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68. Maintenant, il faut que je vous dise ceci. Je n’aime pas le dire, mais il faut que ce soit la vérité,
voyez-vous, et c’est ce qu’il vous faut. Dites toujours la vérité, peu importe ce qui arrive.
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102. Je l’ai amenée chez un ami médecin à Louisville, le docteur Schoen, un spécialiste. Il l’a
examinée et a dit : «Madame Branham, dites à frère Branham que j’aimerais le voir.»

Elle a dit : «Docteur, qu’avez-vous trouvé ?»

Il a dit : «Je préfère le lui dire.»

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103. Alors Meda m’a téléphoné, et je m’y suis rendu. Et il a dit : «Frère Branham, elle a un kyste à
l’ovaire gauche, de la grosseur d’une noix.»

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104. Et je suis rentré à la maison avec elle, et je lui ai dit : «Te rappelles-tu ?»

Elle a dit : «Cela est arrivé chez frère Sharrit, si je ne me trompe pas, là en Californie. Tu me l’as dit il y
a seize ans maintenant.»

J’ai dit : «C’est vrai. Maintenant, cela ne fait que se manifester.»

Elle a dit : «Billy, penses-tu que c’est à cause de ce que j’ai fait ce matin-là ?»

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129. Je vous assure, cela est arrivé pour la cinquième fois depuis le cas des écureuils, puis là dans le
Kentucky, ensuite là avec les enfants Wright, ensuite cette tempête sur la montagne, je n’ai pas le
temps de vous en parler ce soir; et cette fois-ci, tout aussi certain… Cette Lumière est venue et Elle est
restée suspendue là, et Elle a dit : «Mets-toi debout.» Et je me suis mis debout. Il a dit : « Tout ce que
tu diras, il en sera ainsi.»
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130. J’ai dit : «La main de Dieu fera disparaître la tumeur avant que la main du médecin ne puisse
toucher cela.»

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134. Et puis, juste au moment où le médecin est venu soulever la couverture pour la toucher sur le
côté, quelque chose de très frais l’a parcourue, et la tumeur a disparu. Il n’y avait plus de tumeur. Et le
médecin… Elle était étendue là, et il l’a touchée; il a dit : «Madame Branham, cette tumeur était sur le
côté gauche, n’est-ce pas ?»

Elle a dit : «Oui, monsieur.»

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135. Alors il l’a renvoyée faire encore une radio; il est allé prendre ses diagrammes, et s’est mis à
les examiner de nouveau. Il a dit : «Madame Branham, je n’arrive pas à expliquer cela, mais cette
tumeur n’est plus là. Cette tumeur a disparu.»
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137. Dieu reste toujours fidèle à Sa Parole. «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne
passera point.» Le Dieu qui peut créer des écureuils, Qui peut enlever des tumeurs, est toujours le
même Dieu ce soir, car c’est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela
?

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