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Usages Et Exploitations Des Espaces Forestiers Dans Le Monde
Usages Et Exploitations Des Espaces Forestiers Dans Le Monde
Idée de capital économique d’une filière forêt bois avec des intérêts matériels, aussi en terme
d’aménagements avec cette idée de la forêt qui est une ressource naturelle à exploiter. Globalement,
la notion de ressource naturelle c’est une matière fournie par la planète et ses composantes bio-
physiques qui est contingente à l’état des techniques et usages. Parfois, on a un besoin donc la
ressource est indispensable. Dans une logique prédatrice, la ressource est un gisement à exploiter
jusqu’à épuisement, avant de l’abandonner qui devient espace déchet. Logique extractiviste (aller au
delà du point de renouvellement de la ressource). Débat sur la raréfaction des ressources et tensions
entre besoins et disponibilité de la ressource et éventuellement des conséquences géopolitiques =>
durabilité de l’exploitation des ressources
=> idée (sur)exploitation
=> vision des espaces forestiers
=> monétisation des espaces forestiers
C’est une ressource pas comme une autre, une quasi tradition
=> production de bois (filière bois et sylviculture, d’amont en aval)
=> chasse cueillette
=> usage récréatif et touristique des forêts
Sylviculture = l’ensemble des pratiques d’exploitation et de gestion d’une forêt en vue d’en retirer
un bénéfice économique.
J.Gracq Lettrine deux : description littérale de la forêt des landes « non pas le chaos verdoyant de la
sylve originelle mais une sévère et rigide société d’arbres matriculée et regroupée par classes
d’âge » // « c’est ici la cité des pins »
=> cité monospécifique et géométrique avec coupes rases et rotation des parcelles
Filière bois = activité en aval de la production ainsi que la transformation du bois => ensemble des
acteurs de l’exploitation forestière et de la transformation
=> bois de sillage (charpente, menuiserie, ameublement)
=> bois rond (de chauffage) retour avec pellets (biomasse), poêles, inserts (chauffage
renouvelable)
=> bois d’industrie (papeterie avec Clairefontaine (Vosges), carton (livraisons), les palettes,
les cagettes, panneaux de particules (aggloméré (mobiliers), contreplaqué, du lamellé collé (chaises
de la classe)
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On peut recycler une partie du bois (déchiqueter, retransformer).
Bois sorti des forêts mondiales réparti en proportion quasi égale entre bois industriel et le bois
énergie
=> explosion de la construction par panneaux
Cette tendance se développe depuis les 1990’s, le bois a suivi le mouvement de la financiarisation
(mobilité, décloisonnement, explosion des demandes)
La Chine est devenue le 1er importateur mondial de bois rond industriel et de panneaux à base de
bois
=> importe des USA, de France
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Pour chinois: ils n’ont pas le droit d’exploiter leurs propres chênes depuis 2017 parce qu’ils étaient
surexploités
Bois qui vient d’Europe et aussi d’Asie et a une 50aine de concessions forestières qui lui
appartiennent (Scandinavie et fédération de Russie)
=> image d’IKEA qu’il faut soigner surtout dans public de consommateurs assez bercé par
le dvlpt durable et la transition écolo (gestion durable du bois)
=> société s’impose d’acheter du bois de forêt certifiées (FSC)
Pour autant, il y a une partie de GREENWASHING car on estime que seul 1/4 de son bois conso
est labellisé. Il y a eu des affaires de déforestation pour IKEA: 2020 forêt ancienne à raison de 800
arbres par jour
=> enjeu fort car débouché c’est Allemagne qui st sensible au dvlpt durable (20% du chiffre
d’affaire d’IKEA)
IKEA = FTN avec idée d’hyper-concentration des activités industrielles (possède ses concessions,
transforme et commercialise elle-même)
=> peu conglomérante (se concentre en se diversifiant) ici c’est verticale, une filière que tu
contrôle d’amont en aval (horizontal: on rachète tous les concurrents)
=> réussite industrielle locale (saga familiale), très intégrés localement (encore les magasins
d’origine), village de AGUNNARYD
Sylviculture = plantation d’arbres et gestion des forêts avec pratiques par régénération naturelle
(graines) soit pas régénération végétatives (rejets de souches), soit régénération artificielle
(plantations de petits pieds, comme dans les Landes après incendie).
L’outil principal du forestier c’est la coupe (où, comment, quoi), notion de densité, de sélection des
espèces (essences), entretien ou exploitation et pour quels usages ?
Avant le XIXè (France) on avait des taillis majoritaires (hors forêt de chasse)
Après, taillis sous futées car plus de machines et plus de résineux qui ne se conduit qu’en futé
PNF: recherche résilience, gestion des maladies, résistance aux aléas climatiques
Problème, métier classique de forestier se heurte de + en + à un regard public plus averti et plus
sensible: la coupe est de - en - acceptée socialement et relayée par les réseaux sociaux
Se sont réorientés, on changé de marché car le bois de chauffage parisien est mort: le sapin de Noël
(Epicéas et Douglas). Taux de résineux de 25 à 45% de l’espace forestier dans le Morvan en 40 ans.
=> 1ère région de production d’épicéas de Noël en France
Modification brutale dénoncée par les habitants (Les envahisseurs par l’association Autun-Morvan-
Ecologie) => dénoncent la dénaturalisation, leur forêt millénaire disparait au profit des résineux à
coupe-rase. Début 2000, grpment Forester pour lutter sur l’autre pan: sauvegarde des feuillus du
Morvan qui gèrent 350ha, pas de coupe-rase, pas de résineux (interdits), une diversité des essences
(futtée jardinée/irrégulière). On est sur un conflit d’usage et de représentations, les habitants ne
veulent pas se sentir dépossédés de leur forêt « millénaire », et une pop rurale aussi isolée réussit à
avoir une action contraire
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2° Les critiques envers certains pratiques sylvicoles
Ce que reprochent la plupart des scientifiques et gens c’est pas forcément couper mais c’est la
transformation radicale du paysage: surtout la coupe-rase
=> changement radical
=> idée de méthodes industrielles sur paysages considérés naturels
=> problème environnementaux (biodiversité, érosion des sols, augmentation des
températures)
Pour l’IFN, la coupe-rase en gestion forestière c’est l’abattage de l’ensemble des arbres d’une
parcelle.
Aujourd’hui, elle se développe parce qu’on a une concentration progressive des domaines forestiers.
Mais même ne France où la propriété forestier est encore morcelée, on a des gestion clé en main,
appels à des services, des coopératives forestières: alliance forêt-bois
=> AFB propose la gestion de la parcelle mais aussi de replanter la parcelle (décharge des
gens parfois plus éloignés des massifs forestiers de l’entretien des forêts)
2020, député LFI Mathilde Panot a déposé une proposition de loi pour interdire les coupes-rase
> 0,5ha. Elle s’appuie sur ce qui se fait ailleurs en Europe, comparaison de la juridiction sur la
coupe. Depuis 1975 en Autriche les coupes-rase de + 0,5ha sont soumises à autorisation spéciale.
Depuis 1902 en Suisse, les coupes-rases sont interdites et ça a été reprécisé en 1991 « les coupes
rases et toutes les formes d’exploitation dont les effets pervers peuvent être assimilés à ceux des
coupes-rases sont inadmissibles »
=> législation française assez permissive
=> forêt est essentiellement une ressource, un capital à faire fructifier et n’a pas l’idée de
personnalité juridique à part.
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=> mvt de l’éco certification du bois: cahier des charges de bonne gestion sylvicole. La
certif est d’abord pour le sylviculteur sur sa parcelle mais s’étend à toute la filière => idée que le
meuble n’est pas obligé de faire 3x le tour du monde avant d’arriver
2 grands standarts
=> FSC: Forest Stewardship Council depuis 1993, ONG internationale qui va certifier et qui
certifie 185M d’ha actuellement avec une exigence très forte: 70 critères. PB: coût +++ pour les
proprio car surcoût de production important
=> PEFC 1990, label plutôt européen, 50 pays, avec idée d’un engagement d’asteurs de
filière: question des droits des travailleurs forestiers (pas seulement la bonne gestion) mais une
conception vertueuses de la filière bois)
=> WWF dès 1980’s viser déforestation en milieu tropical car c’est là qu’il y a de
problèmes politiques et géopolitiques
• Inflation des labels à toutes les échelles dont les csqs dont le maintien de la rentabilité, d’un
système économique local
=> Bois de France
=> Terres de Hêtres (Vosges)
=> Bois des Pyrénées
La tendance mondiale sur une filière bois c’est qu’on passe d’un secteur informel important à une
structuration croissante de la filière qui va être plus controlée, système entrepreneurial et capitaliste.
Tendance aussi à la concentration: moins de personnes mais des gens qui sont sur les volumes et
espaces plus grands.
Usages du bois diversifiés et qui se spécialisent de + en +, plus techniques donc besoin de gens
qualifiés
=> bois énergie: processus entre le petit bois ramassés (mort) jusqu’aux pellets (entreprises,
machines, savoir-faire)
=> bois comme matériau du futur: bioéconomie avec produits biosourcés qui fait que dans
les pays occidentaux, filière bois = promue filière indus stratégique (France depuis 2015) et un
secteur clé de la transition écologique et énergétique. On peut faire des textiles (bambou),
parfumerie, pharmacologie, colle à partir de bois maritime, bois en fibre de carbone (aviation),
bâtiments: 3x moins énergivore que le béton, 17x moins que la production de verre, 130x moins que
l’acier, 475x moins que l’aluminium. Bois = renouvelable, recyclable, durable. Elasticité du bois:
Palais de Pékin, piliers en bois osés sur des socles (pas figé) donc pilier danse sur son socle pendant
le séisme et maintenu par la toiture qui exerce une pression.
En Norvège, la Mjøstårnet, le bâtiment en bois le plus haut du monde, vient d’être officiellement
inauguré. Située à Brumunddal, cette tour compte 18 étages et mesure 85,4 mètres de haut.
Start Up français Woodoo 2016: combiner bois et résine pour faire du bois armé assez solide pour
remplacer tout type de béton armé, du bois augmenté plus résistant au feu, plus décoratif et qui
pourrait être utilisé comme polymère à la place des tableaux de bord de voiture.
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Depuis le Grenelle de l’environnement de 2007, toutes les nouvelles constructions françaises
doivent contenir du bois
On peut se poser la question de la pérennité de ces filières bois de plus en plus soumises à
concurrence, à compétitivité, dans des logiques mondialisées alors que de base c’était pour des
usages locaux.
Filière bois en France ajd = 425k emplois et 26Mds de chiffres d’affaires avec une implication très
rurale.
=> on a une exception économique qui est dan la pérennité du rôle de l’Etat qui est un
héritage historique (jacobin) antérieur à la Révolution française. 1669 Code Forestier (grande
réformation de 1661 par Colbert, plus important, ça change, planification de très très long terme),
1291 création du corps Philippe le Bel, 1346 ordonnance de Brunoy sous Philippe VI code forestier
qui émerge (lois claires qui encadrent)
Qui va remembrer ? Le Morvan, les Landes mais Vosges, Juras, Ardèche + compliqué
=> que 9k proprio de + de 100ha d’un seul tenant et qui sont eux influents dans la
production
=> comment améliorer la productivité sans hypothéquer
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On a qd même une filière bois structurée mais si est ancienne (héritage)
=> 2020 rapport du Sénat: « filière hétérogène et divisée, fragile et peu performante sur le
plan économique, en crise profonde »
=> dûe à fragmentation des propriétés, encore bcp de petites entreprises (ds la
scierie) même si organisation interpro ont été crées: efforts pour strat d’ens par rapport à ça
=> France Bois Forêt (2004)
=> Fibois France (2021)
Certaine incohérence entre l’amont et l’aval: toute une partie du bois échappe à la filière de
transformation française
=> pans entiers de l’éco du bois qui se sont effondrés: industrie papetière (avant Vosges
clairefontaine): concu pays du Nord. 70k gens employés en France mais la plupart des firmes
implantées sur sol française sont d’origine étrangère ex. Westrock (irlandaise)
=> entreprise qui n’a pas d’identité territoriale ou d’ancrage très fort: risque de se barrer
ailleurs
II° Les exploitations « traditionnelles » des espaces forestières: de la cueillette aux systèmes
agro-forestiers
Avant on appelait ça les menus produit, maintenant c’est les produits forestiers non ligneux
=> fruits sauvages
=> gibier
=> champignons
=> tubercules
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=> plantes médicinales (coca
=> résines
=> latex
=> écorces de certains arbres (cannelle)
Outre l’aspect alimentaire on a des prélèvements qui sont là pour une utilisation de construction et
d’habitation (ponts, cheminements surtout en Asie du Sud Est et en Afrique)
=> bambou
=> rotin
=> écorces
=> feuilles
Le cas du miel
=> chasseur cueillette spécialisé dans miel sauvage
=> pygmées d’Afrique centrale ou les Punan à Bornéo d’Asie du Sud Est
=> abeilles sauvages donc savoir-faire car pas gentilles
=> devenu art de vivre: saisonnalité, alimentaire et aussi médicinale
=> système de valeurs: respect et rites car conscience de l’importance du produit:
civilisation du miel
Feuille de palmiers
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=> boite à outils à tout faire
=> ustensile de cuisine
=> on cuit dedans
=> réutilisation actuelle au lieu du plastique
=> toiture, si ça casse ça se remplace facilement, adapté au climat ms bcp d’insectes
=> Laos encore bcp d’architecture
1/ de subsistance
Complément alimentaire à l’agriculture en produit carné pour des territoires qui n’ont pas
suffisamment fait leur transition alimentaire vers plus d’élevages (Amérique latine, Afrique, Asie du
Sud Est). Substitution en cas de soudure (fin d’une récolte et on attend celle d’après) ou de disette:
forêt élément de sécurité alimentaire parfois très très important
=> France dernière grande famine XVIIIè siècle: surmortalité moindre en Ardèche,
massif des Maures (pain des pauvres: farine de châtaigne)
Kunan de Bornéo: conso de viande issue de gibier: 150 à 200g par personne et par jour (base dans
le régime alimentaire)
2/ Le commerce
Golfe de Guinée: chasse aux grands primates: chimpanzés, gorilles aussi chauve-souris
On sait que en Afrique, on a 300 espèces de mammifères terrestres menacés par les prélèvements de
viande de brousse. Dans le bassin amazonien, 200 espèces de mammifères, 1M de tonnes de viande
par an. Pour le fleuve Congo c’est 5M de tonnes de viande par an
=> problème de sécurité sanitaire de l’alimentation
=> 70% des maladies qui ont émergées chez l’Homme depuis 1940’s sont venues de la
consommation de viande de brousse ou de contamination entre animaux de brousse et d’élevage
(sur les marchés) (marché du Wuhan suspectait le pangolin, la chauve-souris)
Mais variole du singe se transmet par consommation (victimes golfe de Guinée et bassin du Congo),
Ebola ré-émerge dès qu’il y a re-consommation et suspicion sur le VIH
Covid 19, 7M de morts => question des chauves souris et habitats qui se rapprochent de l’Homme
3/ Chasse sportive
Idée qu’elle n’est plus à finalité alimentaire: loisir car des fois ne consomment plus ce qu’il pêche
=> celle qui va cristalliser encore plus de débats (plus que la chasse commerciale)
=> pour les antis: pure cruauté sur animal
=> pour les pros: idée d’héritage et tradition, et équilibre sylvo-cynégétique
Fragmentation des forêts donc concentration du gibier, plus de grands prédateurs, introduction de
gibier: chevreuil, daim
=> tempête de 1999 impact positif sur la population de sanglier: créer des habitats avec le
désouchage des arbres: sous mortalité des marcassins et renforcé par certaines pratiques de chasse
(nourissage) forêts de Fontainebleau, Chantilly, Canada, USA.
Parcelles qui sont très très perturbées par les sangliers, retournent la terre
Il y a des débats qui sont des débats pro ou anti mai sachant des débats sociaux en arrière plan
=> chasse à courre en France
=> va cristalliser énormément de conflits: gradation dans la conflictualité
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=> association Francis Hallée pour la forêts primaires, 2023 article autour de cette
thématique
=> étude en 2018, chasse à courre moins meurtrière que la chasse à tire, en un dimanche,
chasse à tire tue autant que la chasse à courre dans toute une saison
=> militants anti-chasse suivent les chasse à courre et qui perturbent la chasse: vélo,
dans les lignes de tires, caresser l’animal pour l’empathie
=> idée qu’on est sur une survivance aristocratique avec derrière, plus cet aspect de
personnes aisées qui pose pb
=> ces chasses ont les moyens de clôturer certains espaces de chasse (Sologne)
Chasse problématique à l’échelle mondiale car des chercheurs néerlandais 2020 on fait une carte de
l’impact de la chasse à l’échelle mondiale
=> dans le déclin des mammifères: chasse = 13% notamment sous les tropiques
=> surtout les gros mammifères qui sont touchés par la chasse (+20 kilos)
=> certaines zones plus que d’autres: Cameroun, plus de la moitié des espèces de
mammifères ont été amputées de 70% de leurs effectifs à cause de la chasse (sur-chasse)
1997, DESCOLA « sociétés de botanistes et de pharmacologues avisés qui ont su mettre en oeuvre
des stratégies d’usage des ressources qui, transforment de manière durable leur environnement, ne
bouleverse pas pour autant ces principes de fonctionnement ni ses conditions de reproduction »
Parfois, on peut avoir une sur-valorisation de cette forêt: le fait de s’être approprié mentalement la
forêt, c’est aussi un outil de différenciation et de contrôle social
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B° Les formes d’agriculture en milieu forestiers (agroforesterie)
Paraculture: forme d’exploitation agroforestière qui est souvent pratiquée par des cueilleurs locaux
et qui intègre des interfaces entre productions naturelle et production forcée
Pâturage: appoint en forêt claire (pas dense). Historiquement chez nous, la glandée (nourrit les
cochons), la châtaigne…
Ex: Madagascar, population Bara zébus, côté sacré des terres, lâchent les zébus car zone refuge
pour le bétail (éviter le vol de bétail pour des raisons religieuses) et ça fonctionne
Entre agriculture et sylviculture mais ce sont bien des forêts, écosystèmes dominés par les arbres
même si les liens sont forts avec l’agriculture
Forêt jardinées: taille et âge différents mais aussi des associations, certaines le sont dans un sens de
production alimentaire et pas seulement ligneuse.
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3° Des systèmes qui structurent des terroirs
Cette agroforesterie est à associer à un zonage dans lequel va intervenir cette idée d’agroforesterie
qui tient compte de la spécificité de l’espace
=> micro-territoire de l’ordre de la parcelle
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