i : @ a Mathématiques rie Te -» « Autocorrection™ 3 & Nombres complexes / . | 1) Q~2i° =4~ 81+ 4? =4~81-4=Bh 2» 342i 3421 3421 _3+2I(2-49 12i+4i 14-81 2i2=i) 41-2? 244i Q¥4N2—<4i) Bee 20 72 105} 3) CHP HT +3432 +? avec ?. id’on (1+ =1431-3 -7= 4) kétant réel, le dénominateur 2k-+ (i? — 1)i est écrit sous forme algébrique ; sa partie réelle s’annule pour k= 0, sa partie imaginaire s’annule pour k= 1 ou k=—1 ; donc ce 2k+(P Di (2k? —YAK-H Di] 4k + (=P ’ or 4k™+ (k? = 1)? = 4k? +k* — 2k? + 1ak4 + 2k? +15 (k? +1)’, Pod | k+i Qk +k -1)+kQ-K +i [BR—1 kG RB) | 2k + (kK? —Di (+1? Geen e+ 1P Exercice 2 : On a avantage A partir de l’expression : | U(a)= a+ (1a) x ‘ bo ‘et A montrer qu’elle est égale T(a). ba Ona: Ula=at(l-a) (on multiplie numérateur et dénominateur par ba). ba-i En multipliant le numérateur et le dénominateur par i, on fait apparaitre le dénominateur cherché : a wed ibo 2 oy = at (1a cari? =-1, (9 oxi En réduisant au méme dénominateur, on obtient une fraction unique dont on développe et réduit Je numérateur (a= AabO+D+(1=O)ibio _ aidan a+ ibo- acid ibo+1 l+ibo , atriba foi Ua) et donc, puisque b = wa: 1+ibo a@riaaw_ \+iaw aaa l+ibo i+ibo ua =T(@). 1082 @ Chapitre 3 133Mathématiques 3m Nombres complexes Exercice 3 1) Soit A et B les points d’affixes respectives ‘2+ Let 421; M Mantle point daffixe: 2, le module de (z— 2 ~ A) est égal ala distance AM, et le module de (z + 1 - 21) est égal a la distance BM. Lacondition |z— 2 - i] =|z2+1~2i) Gquivaut done & : AM = BM, L’ensemble cherché est donc la médiatrice de [4B] (voir figure ci- contre). (Comme |- 2— i =|1- 2i|= V5, cette médiatrice passe par Vorigine O). 'b) Montrons-le également par le calcul : La condition [z—2—i|=|z +1—2i{ est équivalente a |z~2—if? =f2-+1-29f', soit, sachant que pour tout complexe Z, » équivalente a: (€-2-1)(Z=2=7) = (z+1-2i(Z+1—2i),, soit encore en utilisant les propriétés de la conjugaison, équivalente 4: (2-2-(Z-2+ 1) = (241-2 +1421, © 22-22 +iz~2z2+-4—2i-iz+2i+ apres simplification : 22+ ie 22 -iz 22+ Diz+2+142i-2i2-2+4A ; soit 4+2iz+2-2iz ig—22~-2+2i2-iz=0 > 3(2+2)~i(2-2) Sachant que z+2 Rez) et 2-7 =2iJn(z) et en notant x la partie réelle de z et y la partie imaginaire de z, cette équation s*écrit encore : ~6r + 2y=0 ey =3x, > ‘Nous avons ainsi trouvé par le calcul I’équation cartésienne de la médiatrice de [4B] ; on peut vérifier sur la figure qu’elle passe par le point O et le point de coordonnées (1, 3). 2) M étant un point distinct de A et de B, la condition Arg@+1-2) =Ang@-2-)+" [rl s*écrit - ° (i ait) -(i, Ait + [27] cad, (aii.aii) =» (27). L'ensemble cherché est done le segment ouvert JABI. 1082 m Chapite 3 134 ,Mathématiques Exercice 4 1y Le module de z=—3—i V3 est: = VC" +BY =Vi2 = 23. ‘Un argument ede z est donné pa 3 3m Nombres complexes jcosar= 2) 3-2 est le produit de z par le complexe (-1) qui a pour module I et pour argument 7, et par suite—2a pour module 243 et pour argument 2 + ¢=!3% un autre argument de -z est a = 2m soit 7 (ce qu’on pouvait trouver directement). Sous forme trigonométrique :|-2=23| {cos +isin 2) 3+iN3 = 23 ilexe(-™) isin (-)| (on utilise le fait que Arg 2=—Arg 2) ; un autre argument de Zest 3 2m soit =, ob une autre forme trigonométrique de 2 AoE) mel) G2)", dont le module est (23)? soit 4x3=12 et fargument 2 XE soit 5 a 1 Enfin, ~ a pour module soit w3 1 argument de est Baan soit 2% z aC : 1,3 ici encore, on peut le vérifier directement: z6(-2 al pe 1 343 3 WB GW) 943 34iv3 1082 m Chapitre 3 135Mathématiques 3 Nombres complexes Exercice 5 et par suite a=-> (2; par suitea=—"— [2] 2? +(-2) x doa P= —F Px}.0n en déduit = (2V2)* =2* x(W2)* = 16x 4 =[64 Jet 8x(v2)' = et = soil =—16—-167 Par suite : 32—32iv3 16-161 _2+2iv3 _(2+2iV3)A-i) _ 24213-21423 1si (+ 0-|) 2 |4=1+ V3 +i(V/3 -D)| [écriture de A sous forme algébrique]. . 2) Par ailleurs, a partir du module et de !"argument obtenus pour 1‘ et v’, on trouve ; 64 2a ( 32) A= = 22 et Arg A=- = -[- MizT 12 et Arg. a) eal 1082 m Chapiivo 3 1366 Mathématiques 3m Nombres complexes x soit Arg A= 75 [2a et par suite a |4= aa{oos 3 +isin =) [forme trigonométrique de 4}. 3) En comparant ces résultats, on obtient cos % = 143 NPG 966 ot sin = 9-1 VOW? 0,259] 12 22 4 12 22 Exercice 6 ° Il faut prendre garde ici au fait que le coefficient de z* est a= 1 (ou bien on pourrait aussi se 3 ramener a l’équation 2 ~ z+ 2 0 pour avoir un coefficient de z* positif ; cette méthode peut méme étre préférable pour limiter les risques d’errours de signe). =4x(1) x3) ~6=-5=(iv5) doit es solutions : L+iv5 1 iv5 222 on vérifie qwon a bien: gt” Exercice 7 (1 + cos (2a) 2 — (2 sin (2a) 2+ 2=0. Cette équation est-elle bien du second degré ? 1+ €0s (20) = 0 €9 c0s (2a) 1 ¢9 2a= 1+ 2km (kappartenant & Z) © a= 5 + kt (kappartenant a Z). 2 r, par hypothése, aest strietement compris entre ~ = et ~ , done cette égalité ne peut pas RIS wis etre vérifige dans le cas de cet exerciee. Le coefficient de z est ~2 sin (2c) = 26’ avec 6” = -sin (2a) ; plutdt que de calculer A, il est plus simple de calculer le discriminant réduit 4’ = b” — ac , c.A.d. sin? (2) - 201 + cos (2a) = (2 sin acos a)? ~2x 2 cos* a = 4 sin” acos' @—4 cos? a cos? a(sin® @—1)=—4 cos* @<0; A’ = 4? (cos® a)’ = (2 cos” a? oi une premiere solution : Z sin(2a)+2icos*a _ 2sinarcosa@+2icos’ a _ cosa(sina@ + icos@) 1+ cos(2a’) 2cos* a cos’ @ Line ti 1 (= — a) +isi( =a); Sos SIN® +i coset) = — cos 5 — at) +i 77a) hs 1082 m Chapite 3 137@> ‘ Mathématiques 3. Nombres complexes 1 ot sritement post’ par suite = fr or -S 2; il ne peut done pas y avoir de solution inférieure a 2 En élevant au carré les deux membres, on en déduit Pimplication ; vx-2=4~x (1) > x-2=16-8x+27 (2) A Attention : ’équation (2) n’est pas équivalente & Péquation (1) ; en effet, les solutions de l’équation (2) telles que x > 2 sont solutions de Pune ou Pautre des Equations : Vx-2=4-x ou Vx-2=+(4-x) ; aprés avoir trouvé les sofutions de (2), il fuudra vérifier directement si les nombres obtenus sont solutions de (1), L’équation (2) s°éerit Y= 98418=0. Son discriminant est : A= 81-72 =9=37, Ce discriminant est positif et on a done pour I’équation (2) les deux solutions réelles 943 9-3 x= =6 tx, = 2 Ces deux valeurs sont supérieures & 2 et ne sont done pas & exclure comme solutions de T’équation (1) pour cette raison, Cependant on vérifie que pour x= 6 alors yx—2 =2 tandis que 4 — x = -2, done 6 n'est pas solution de (1) ; par contre, pourx=3, Vr—=2=1 et4 Finalement 3 est Punique solution de (1). 1, done 3 est solution de (1). 2) wv! =9e3 x16e > wise’ ve E14 81_8iv3 Si 8 8 Exercice 11 1) z= 1+ cos (29) + isin (2g) =2 cos"g+ i sin (2g) = 2 cos*p+ 2isingcos p =2 cos p(cos p+ isin p)=2 cos pe”. 1082 Chapitte 3 139Mathematiques 2 cos (29) + isin (29) =2 sin® g+ 2i sin pcos p=2 sin g(sin P+ i cos g) - 2sinpr{ co 2-0) sn( 2 2} keine x ee, ‘Comme par hypothése pe pal + 608 Pet sin psont strictement positif’, donc ces 3 = Nombres complexes Geritures représentent bien des formes exponentielles de z et 2’; par suite: x 2cos@ ;|2|=2sing ; Arez= 9; Arge’= Z—g 2 Remarque : Si gest réel quelconque, les égalités z= 2 cose" et z’ = 2 sin ge"*?~ sont encore vraics mais ne représentent pas nécessairement les formes exponentielles de z et z’, car cos get sin peuvent étre négatifs ; il faudrait alors distinguer plusieurs cas pour cexprimer les arguments de z et 2’ en fonction de @. z= 20829) +isin2p) _ 2” 1+ cos(29) +isin(2p) z* D'aprés I’écriture ci-dessus du complexe z, celui-ci n'est pas nul pour pe bal (on aurait aussi pu le voir directement, car 2p¢ 0, n{ done sin (2¢) est strictement positif done non nul : Zn (2) # 0, done z # 0), done Z est bien défini, De plus, compte tenu des résultats de a) : 2sing 2? 2eosp e* Z= = (tan g) xel*?-9" = [tan g) xe" 27) ‘Comme tan g> 0 puisque pe b a , cette écriture représente la forme exponenticlle de Z, et ona: |Z|=tang et Arg Z: Exercice 12 y 2 ete Sachant que cos =: yona . (etnet) (ene? cos? x =| LAE" | EF eY Ney goto 4 3ete pemy (2 z 8 ade te set eset) te) fl 8 4° 2 = Leos3x+2c0sx =|} (cosax+3c0sx) 4 4 a ce qu’on peut vérifier par exemple pour x= 0 pour contréler les calpuls (les deux membres sont alors égaux a 1). sin'scos'e = (inx cos,yt= (Sind) Lf eV 1 1 (ae pau, 2 162i 16 Qiy Or, (2i)' = 2% = 16 x 1 = 16 ; d’autre part, pour tous complexes z et 2’: . =z at 4224 6242? ~ haz +24; , nous en déduisons : (E* 6) = el" —4(e) (0) + 66) (€*) —4(e* (oY ete ot ;: @ Mathématiques Nombres complexes dete 4 Glee 4etg 6 4 ote oh goth G(ot pet) .G “Droit: sin'r costs = Lyx 1 16 2x (e** — 2) (avec #= 1) eae 2 eset 6 Ld rosie y ot sie got 4y4 Ace 4 ot) Teel te (e"* +e") +6] A hxcostx—lxcosdx +3) 16.8 2 8 (cos8x —4cos4x+3) ce qu’on peut vérifier par exemple pour x = 0 (les deux membres sont alors nuls) et pour . Li. © alors sinx =cosx=—., sin' x=cos'x=1, 4r= ret 8= 200i 4 2B 4 1 1 84 4r=-1, cos 8¢= 1, 8x4 (14443) =a cos Ax,=-1, cas Be= 1, T= (c0s8x— 4005443) = e144 43) =o = * xcos* x) sy (eter ete) as 3 ey (ear 2? = ) 0s ( 7 ) Sy (ear 2? =32) Or, nous savons que pour tous complexes z et 2” : Gr Bo 4 102’ 4 Sa" 274 et nous en déduisons : 1 Gyle™ + Sete + 10e*e™ + 100 + See + oF I te" +5e™ +100" +100" +5e7* +e) (les deux membres sont alors égaux a 1), atLjetse™ fette™) if ette® 16 2 ~2 2 eleostsx) + 5.cos(3x) +10cos x]}, ‘oe qu'on peut par exemple vérifier pour Exe e13 Les impédances complexes de 1a résistance et de la bobine étant respectivement R et j.@, on obtient : | jtot | (R+ jLo)l | RL | @e jLayl | 1082 @ Chapitre 3 141