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24

_ Exemple mineur.
ra
Eg tr Eir = º', fi_:r_,flffl‘h;fi“
fia_. _t-fl

Les exemples des Trilles qui sont praticables dans tous les modes,se trouyeronl
dans les exercices. (Voyez la gamme chromatique Trillée 0u cadencée, planche — qui
indique les ¡;nmlmns.)

SECTION TROISTEÉME,

Du petit Grouppe, ou Grupetto. (1)


On donne ce nom a un agrément compose de trois notes, que l'on ap'_pvll(-. impro-
prement cadence brisce.
doivent tou]nur—. former une lwrcp mineure ou une tierce
Les trois pllms notes
diminuée, autrement le Grupetto seroit dun effet dur et désagréable.
Exemple.
en montant en descendant
De Efi C&.Efi
1 C
T e e. #
3T mineur
3 diminu ee .

Pour le bien faire .on doit marquer la premiere note p-lrn% fort que les autres,
et la soutenir plus longtems.
Il y a une espece de Grupetto qui se fail apres la note principale, et que l'on
indique par ce signe .
Exemple.,
Exécution . Indication. Exccution.
Indication.
&¿"¡ E_E_' % Ze [%“ ?@

peut lorner de cette maniere et de beaucoup d'autres.

d Exemple.
— Z
ndication .

E De> -MA E;,


Ek g- L.5 —
r

Exécution.
. Pg R,

de la Méthode de Chant. On ne sauroit trop engager les éleves a la


(1) Extrait en partic
; 25 . £
Voici un agrément qui tient á la fois du Mordant et du Grupetto .

ARTICEE PR n
DES MOTVEMENS.,
La FLÚTE se préte facilement a Texecution de tous les mnuvemet_ls;‘ses sons sou-
o tenus ont, dans TAdagio,la douceur el lonction propres au caractere des chants re-
| ligieux; dans le mouvement modere, l‘axpression' touchante qui convient a la
- romance, et dans les mouvemens vifs, le brillant et la volubilité qui entraine et
' porte a la gaiete. _ -
“Létude fréquente des mouvemens lents perfectionnera lembouchure; les sons
acquerront du moélleux et de la rondeur par les soins que l'on apportera a les
filer et a les soutenir. Le-coup de langue que nous avons indique pour ces mou-
vemens doit élre donné sans secheresse et sans saceade. '

I, . SECTION PREMIERE .

De I'Adagir).
» Le caractere de l'Adagio, quoique large et severe, n'exclut pourtant pas les . : Es
|
» Ornemens; au contraire, c'est peut étre le mouvement qui s'y préte davantage; |
» mais ces ornemens doivent étre d'une noble simplícit¿ et toujours en rapport ayec
i
| ¥4
» lesprit du morceau; le sentiment met ici des bornes aux preceptes; e'est lui qui f
a » doit inspirer les choses de gout et de convenance, cependant comme le sentiment [
» peut étre développé et nourri par des connoissances relatives a celles dont nous q I’_‘_ í
» traitons, nous inviterons
‘les éleyes a consulter souyenl la methode de chant du I !
» Conservatoire,car on chante ayee- la FiÓDE comme avec la voix, les moyens. seuls
» different; nous les inviterons aussi & étudier les -r??g¡es de lharmonie, afin de ne :
» Pl¡wm"les notes d'agrémens qu'a propos et suivant ces regles. -Í"'¿ '
» Si létude des mouyemens lents est nécessaire au développement du son el a las- - s
» surance de intonation, celle des mouyemens vifs est indispensable pour aequérir
» de la légereté et de la nelteté dans lexécution des traits. - X .
TE7 T

SECTION DEUXIÉME.
De VAllegro.
» L'Allegro doit étre joué-avec hardiesse; mais il ne faul pas confondre cette
consulter, car on doit chanter avec un instrument comme avec la voix, les moyens seuls sont
si edifférens l . .
»
26 :
tout avee Vaudace qui entreprend Lout el |
»:hardiesse qui se possede el qui ordonne
ctement;qui ne Nige r
3 .» n'acheve rien;qui jette les notes avec saccade, 0u les pique indistin
s en les confondant,
» chante 'point; qui ne phrase point; qui abuse de tous les principe
» ou qui les délruit tous dans l'emportement de son exécution.
étre brillant, le coup de langue doit étre si
» Le jeu du mouyement Allegru devant

» donné ‘ferme el décidé, comme nous lavons indiqué, mais sans sécheresse;les traits
el phrasés pour en éviter fi
» doivent toujours étre hardis et déterminés; mais chantés
» Varidité el la monotonie. - _
ettraient
» Il est des cas ou les phrases qui s'enchainent dans les traits ne perm
doit le faire avec !
» de respirer qu'en coupant la phrase ou le trait, dans ce cas on
note,ou en deroberune lorsquil y ena deux (s Ir
» adresse, il faut prendre sur la valeur dune
k moyen
sur le méme dégre pour prendre le tems de respirer, ces moyens employes conyenable -
et a la grace .de Vexécution. ,
» ment peuvent méme ajoutera la force, a la elarté
Extrait de la Méthode de Basson du Conservatoire.
:

ARTICLE
*

ONZE. . _E
: eo
DE L'AVANTAGE DE'SE SERVIR D'UNE FLUTE |
|

4 TROIS PETITES CLEFS. B


imorceaux quand il se trouye un ou plusieurs bémols, ou diczes lsi
1 Pour tous les
: S e ; «| e
a la clef.
20 Pour la justesse de tous les demi-tons en général et principalement pour ceux de eu A
en bas, tel que sr bémol 0u le /a dieze qui naturellement sont sonrds et faux. desient
loctave
4
S 3% Pour donner plus de force et de justesse au fa dieze ainsi qu’aufc_z'he'care.
á
4% Pour égaliser les sons foibles et leur donner plus de foree dans le grave.
et surtout par demi-ton. D
59 Pour toutes les octaves
6° Pour la facilité de beaucoup de traits qui seroient souyent tres difficiles et sans
CE é
aucun effet.
des trilles majeurs et mineurs,et enfin pour rendre parfaite y
7 Pour la justesse
et brillante Vexéculion sur cet instrument. ' .

Ter ; l
Enempla

et de la justesse qu’il y a pour exécuter ce trait, el autres du ;


De la facilité
ou du la dieze. ' "
méme genre, en se servant de la petite clef du si bémol !
3 s .
…,'...._…._ d i EA e
. i
É
s =|
o
|
|
-
- - 27 1
)
A |
i Exemple 27 ;
en se'servant de la petite clef du la bémol ou. so7-dieze !
a, Méme facilité et justesse
AE2e
—a e SF ||
b - E —
ru oo : —=
Pr= RPe PRC s r 0ra P7= = )
= =
Sp
MELOPEES |
- E
U méme chose & loctave.
=
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i g—w — — = = = — i l T
— -
| ... Fe : 7 22 a* -
=
4
.

i
T" — Exemple ae
& Sty : TN I a
|:'1 Ce trait difficile et sourd dans le bas devient tres aisé, tres €gal, et plusju ste par
) le moyen de la petite clef du fa.

E
{ i

Exemple 4m¢
dire indispensable; sans elle i
Dans ce trait la petite clef du f/r est pour ainsi
En il seroit impossible de faire entendre distinctement la différence entre le /a
dieze et le mi dieze; il faut la tenir ouverte pendant tout ce trait et bien arti-
de la petite clef ce trait seroit a éviter, tandis qu'il -
n E culer. Sans le secours
facile et juste. - '
E devient tres
í=
!
]

il
Exemple 5m°
les gammes par demi-tons il faudroit, pour bien faire, se servir tou-
Dans
petites clefs, surtout pour la 17 octave en bas, afin den acquérir
s jours des trois
heure [habitude, et de pouvoir jouir promptement de lavantage qui en
de bonne
résulte pour lexécution-

T o e de lMA E - E E a s
= A Exemple 6me
Des octaves en genéral oú $i Te
il faut toujours se servir des clefs pour rendre lexé-
cution plus brillante, plus aisée ¢t plus juste, vil
AE . > » > "E E R A estnpl
U

.* e o = k '.OH,____
¥~ — pei
— * - —"J a e f ’? i a l_!!;P_' d á
h Ay hon efl
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- ñf—í!?—%.; e 'E¿rífn

-
N-

*
a
e
*
Exemple 7me ,
Genre de trait qui exige absolument la petite clef du s bemol pour rendre cette
nole * égale aux autres et lexécution infiniment plus facile .
w

=
Exemple 8c
Ce trait qui seroit sourd et ingrat, devient au contraire beaucoup plus aisé ot
plus juste en se servant de la petite clef du /a bémol. e

á%_¿% : — E ,
A SR e, S|
méme facilitd & l'c\b‘-:-fi:e énm._ _/ ; , - .
Ex¿mple gme
Méme facilité et avantage, en se servant de la petite clef du si bémol.

S=
Exemple 107
De plusieurs cadences ou trilles que lon ne sauroit fuire justes sans les secours des
petites clefs. ( Voyez la tablature des trilles pour le doigter.)
= —
la meme position pour les deux. de méme 4 Ioctave, la méme position pnur les deux,
;
= . = ; f = =
m {3 == = g—‘"%‘_—\_’_d:!:w_,,s__jj
H.

e iay
e
e
—bnemchose e, — uEl r —
y a p E *_F_'E -
= 1

)(".; trille ‘qu’on trouve souvent dlffirllt avec la position ordinaire, peut se furc\ dune autre
maniere en sc servant de la petite clef du sol dieze; (m\cz la tablature des tri
4
E 29

Sur la- maniére d'exercer les petites clefs. :

Si TYon veut parvenir á jouer en peu de tems avec les petites clefs, il faut
travailler avec soins chaque clef Tune apres’ Táutre ainsi qu'on le verra par les
exemples suivants; on pourra tout a la fois faire usage de la grande clef avec la of
poti‘m‘ clef du ra;soit pour le ra + ou bien le ra naturel il en résulte un tres Es
bon effet pour tous les deux (surtout dans la E“octave en bas) tant pour- la í
justesse que pour la rondeur du son. A i . -

EXERCICES POUR LA PETITE CLEF DU FA. É


i T Exercice. Ea

F = — — É
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fl P— |
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EXERCICES POUR LA PETITE CLEF DU SI REMOL

Observation. Il faut autant qu'il est possible se servir avec la clef du si b |


! de la petite clef du ra et de la grande clef ordinaire.

I1. Exercice.

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N°9:

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EXERCICES POUR LA PETITE CLEF DU SI BEMOL ET FA AVEC LE
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I. Exercice.
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2 Exercice.

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DULA BEMOL AVEC CELLE DU
EXERCICES POUR LA PETITE CLEF
FA ET DU SI.

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Exercices pour les petites clefs dans les tons par diezes. : |
87 -D 186

DE LA PETITE CLEF DU LA DIEZE (ST BEMOL) . i


I Exercice.

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DE LA PETITE CLEF DU SOL DIEZE (LA BEMOL).


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I Exercice.

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56
Il y a des cas ou Fon ne peut se servir de la petite clef du fu en montant par
tierceset dixiemes en coulant.
Exemple
— =
4 T r T T L L —
n — 1 1 + _' L A
t'jj J 9‘_t L)

Comme il est impossible de porter le doigt annulaire de la main droite assez


la petite clef duf sans faire cn¿l¿cndre le son intermediaire du
rapidement»sur
mi, il faut dome prévoir le genre des traits et prendre en pareille cas la po-
.
sition ordinaire .
A Vexception de lexemple ei-dessus, les tierces el dixiemes ou la petite clef du
fa est employée, peuvent se faire, tant en montant qu'en descendant, quand toutes
les notes sont detachres.
Exemple

PA e ;

Les exemples suivans serviront a se familiariser avee le


mécanisme de lVinstrument .
Etudes pour toutes les clefs en general .
Cel exemple sert a shabituer a la petite clef du Sa. : Z

E _,_E_F:?'_
o
Dans cet exemple toutes les clefs sont employées et lon s'appergoit de leur uti -
lité: il est bon a travailler principalement pour la main gauche.
a
Cet exemple est bon pour exercer la clef du so/ 4 en bas.
;.__L._[_-\\

-
ar — e E d
.—_¿_—-EE-EEE
"

59
Dans cet exemple toutes les clefs sart exercees.

Meme exemple pour les clefs, que le pre'(¿c'df.-nL_


6%
ETENDUE DE LA FLUTE,
ECHEÉLE DIATONIQUE. — —
-
' — Premiere Octave, ou sons graves.
a 0, R M M S Z E D
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—|
DEUXIEME OCTAVE,
. - ou sons du médium. _
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Premiere Octave, ou sons graves.
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Gamme chromatique par bémols.

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montant.

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Gamme cklu'mñatique par diezes et--par bémols .

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descend:

On pe sauroit trop recommander, si on veut parvenir a bien jouer de cet instrument,

Z
+
hrr
6 5
de faire beaucoup de gammes tres lentement, de bien lier et nuaneer les sons, afin
d'avoir la respiration longue et d'obtenir par ce moyen de la fermete dans Tem-
bouchure, el úne belle qualité de son. ,

PREMIERE ETUDE .
Gamme la plus facile sur la Flate.

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e Dº
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E
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L
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T — e , fl;

Gamme chro matique.

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( Í""'f' | =a a ; ;P 9 * *IP ‘2 ’E
DO 1 “- - I + - X
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| ' e C | r =
_3 Etudes en sortant de la gamme .
Gamme montant et descendant paí— Secondes . Y E
— Detachéet soutenu. - l 5 & E

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