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Nuances Matieres
Désignation ISO
U.S.A A.T.S.M.
U.S.A S.A.E.
Désignation
Désignation
Désignation AFNOR
NOUVELLE ANCIENNE
Famille 1000 : la couche est d'autant plus transparente que les teneurs en fer et silicium sont faibles.
Famille 2000 : la couche a une épaisseur limitée et est poreuse ce qui diminue son pouvoir protecteur.
* Les alliages contenant du cuivre (famille 2000 et certains alliages de la famille 7000) résistent mal à la corrosion.
Famille 5000 : la couche est grisâtre et dépend des autres éléments d'addition (chrome et manganèse).
* Les alliages de la famille 5000 résistent bien à la corrosion si la teneur en magnésium ne dépasse pas 4 %. Au delà de
EN AW-5754 A-G 3 M Al Mg 3 - -
EN AW-5754 A-G 3 M Al Mg 3 - -
EN AW-5754 A-G 3 M Al Mg 3 - -
Famille 6000 : le procédé d'anodisation est largement utilisé dans la menuiserie métallique.
* Les alliages de la famille 6000 ont un bon comportement et ceci d'autant plus qu'ils ont une très bonne aptitude à l'anod
EN AW 6082 Bonne alternative au 2017 (Profilés construction navale - charpente - visserie - rivets - transp
Famille 7000 : les conditions d'anodisation doivent être ajustées à la composition et au type de protection recherchée.
* Les alliages de la famille 7000 sans cuivre résistent bien à la corrosion. Certains alliages à basse teneur en zinc sont uti
EN AW-7022
Résistance à la corrosion
Les alliages d'aluminium sont réputés comme résistants relativement bien à la corrosion. Cependant, dans certaines condit
qui dépendent de la composition de l'alliage et de son état métallurgique.
Plus la teneur en impuretés fer et silicium est faible, plus l'aluminium et ses alliages résistent à la corrosion.
L'aluminium est le métal le plus récemment découvert puisqu'il n'est utilisé industriellement que depuis la fin du XIX° siècl
Pourtant l'alun, sulfate double d'aluminium et de potassium, le composé d'aluminium le plus anciennement connu, était dé
Il a fallu attendre 1825 pour que Hans Christian Oersted obtienne l'aluminium à l'état de corps simple sous forme d'une po
Ce n'est qu'en 1854 qu' Henri Sainte-Claire-Deville présente le premier lingot d'aluminium obtenu à l'état fondu, par un pro
Mais ce procédé était compliqué ce qui donnait un métal très cher, réservé à des utilisations dans le luxe et l'orfèvrerie.
En 1886, Paul Louis Toussaint Héroult en France et Charles Martin Hall aux Etats Unis déposent indépendamment leurs
L'invention de la dynamo, qui remplaça la pile comme source d'électricité, et l'utilisation des chutes hydrauliques : la " hou
P.L.T. Héroult monte sa première usine en 1887 à Neuhausen en Suisse, sur une chute du Rhin, berceau de la société l'A
C.M. Hall monte en 1888 une usine pour la Pittsburgh Reduction Co qui deviendra en 1907 l'Aluminum Company of Amer
L'aluminium est entré dans sa phase industrielle ; sa production a connu en 100 ans une croissance prodigieuse, le metta
Production
Année mondiale (tonnes)
1886 13
1890 200
1900 5 700
1910 44 350
1920 121 000
1930 269 000
1940 810 000
1950 1 507 000
1960 4 624 000
1970 10 307 000
1980 16 000 000
1999 28 000 000
L'aluminium est d'abord employé à l'état pur pour sa légèreté et son inaltérabilité, mais la mise au point d'alliages d'une pl
Conrad Claessen trouve en 1905 la possibilité de durcir certains alliages par traitement thermique. Alfred Wilm met au po
Les gisements du minerai de départ, la bauxite, sont très nombreux et importants sur tout le globe terrestre. Les plus vieu
La bauxite est un mélange d'oxyde d'aluminium, l'alumine, d'oxyde de silicium, la silice, d'oxyde de fer, d'oxyde de titane e
alumine : 40 - 60 %
silice : 2 - 12 %
oxyde de fer : 18 - 25 %
oxyde de titane : 2-4%
eau : 10 - 15 %
L'extraction de l'alumine s'effectue par attaque de la bauxite à température et pression élevées au moyen d'une solution d
De la solution épurée, refroidie et diluée, on peut tirer l'hydroxyde d'aluminium : Al(OH)3 ; celui-ci est calciné à 1200°C po
L'alumine est mélangée à de la cryolithe et ce mélange est liquide à 1000°C ; l'électrolyse de l'alumine se fait dans une gr
Le passage du courant continu décompose l'alumine : l'aluminium liquide à 1000°C se dépose à la cathode, au fond de la
La tension continue appliquée aux électrodes est de 4,5 à 6 V ; l'intensité du courant passant dans la cuve n'a cessé de p
La consommation électrique de l'électrolyse de l'aluminium est importante, de l'ordre de 13.000 kWh par tonne d'aluminiu
Pour fabriquer 1 tonne d'aluminium, il faut 2 tonnes d'alumine et 4 tonnes de bauxite.
Les emplois de l'aluminium et de ses alliages se sont développés dans des proportions surprenantes pour des raisons tec
- l'aluminium est un métal dont la densité est faible, ce qui vaut à ses alliages la dénomination d'alliages légers. L'aluminiu
Masse
volumique
Métal pur (kg/dm3)
Lithium 0,53
Magnésium 1,74
Aluminium 2,70
Titane 4,51
Fer 7,86
Cuivre 8,96
Plomb 11,40
L'aluminium est donc 3,3 fois plus " léger " que le cuivre et 2,9 fois plus léger que le fer ; il " pèse " grossièrement 3 fois m
C'est cette caractéristique qui a valu aux alliages d'aluminium leur développement dans les moyens de transport et en pa
La comparaison de l'aluminium avec les autres métaux utilisés industriellement montre qu'il est souvent plus intéressant p
* A poids égal, un fil en aluminium conduit 2,1 fois plus d'électricité qu'un fil en cuivre et 18 fois plus qu'un fil en acier. A co
* A poids égal, la résistance mécanique d'un produit en alliage d'aluminium 7075 est 2,3 fois plus forte que celle d'un bron
* A poids égal, l'absorption électromagnétique (aptitude au blindage électro-magnétique) d'une tôle en aluminium est 2,6 f
La résistance mécanique de l'aluminium pur est relativement faible et interdit son emploi pour certaines applications. Cett
- les alliages sans durcissement structural (alliages non trempants),
- les alliages à durcissement structural (alliages trempants).
Cette différence entre alliages est due à l'élément d'addition principal, quelle que soit sa teneur.
Il n'y a rarement qu'un seul élément ajouté (élément principal). Des additions d'autres éléments secondaires vont aussi in
Il y a enfin des éléments présents dans l'alliage sans qu'ils aient été ajoutés volontairement ; ce sont les impuretés dont le
Tous les éléments jouent, par leur nature et leur teneur, sur plusieurs propriétés de l'alliage comme :
* les caractéristiques mécaniques (charge de rupture Rm, limite élastique Rp02, l'allongement à la rupture A%, la dureté H
* la masse volumique,
* les conductivités électrique et thermique,
* la résistance à la corrosion,
* l'aptitude au soudage,
* l'usinabilité,
* l'aptitude à la déformation,
* l'aptitude à l'anodisation.
L'aluminium est capable de se " marier " avec grand nombre d'autres éléments donnant ainsi naissance à beaucoup d'alli
Les alliages d'aluminium sont classés en sept familles selon l'élément principal d'addition. Dans chaque famille, les différe
Le tableau suivant donne les désignations des principaux alliages des 6 familles d'alliages de corroyage (à l'exception de
ISO
France CEN
Nouveau Ancien Allemagne
1000 : aluminium sans élément d'addition
1050A A5 Al99.5 Al99.5 3.0255
1070A A7 Al99.7 Al99.7 3.0275
1080 A8 Al99.8 Al99.8 3.0285
1200 A4 Al99.0 Al99 3.0205
2000 : aluminium + cuivre
2011 AU5PbBi AlCu6BiPb AlCuBiPb 3.1655
2014 AU4SG AlCu4SiMg AlCuSiMn 3.1255
2017A AU4G AlCu4MgSi AlCuMg1 3.1325
2024 AU4G1 AlCu4Mg1 AlCuMg2 3.1355
2030 AU4Pb AlCuPbMg (AlCuMgPb) (3.1645)
2618A AU2GN AlCu2MgNi
3000 : aluminium + manganèse
3003 AM1 AlMn1Cu AlMnCu 3.0517
3004 AM1G AlMn1Mg1 AlMn1Mg1 3.0526
5000 : aluminium + magnésium
5005 AG06 AlMg1 (AlMg1) (3.3315)
5052 AlMg2.5 AlMg2.5 3.3523
5056A AG5 AlMg5 AlMg5 3.3555
5083 AG4,5 AlMg4.5Mn AlMg4.5Mn 3.3547
5086 AG4MC AlMg4 AlMg4Mn 3.3545
5454 AlMg3Mn AlMg2.7Mn 3.3537
5754 AG3M AlMg3 AlMg3 3.3535
6000 : aluminium + magnésium + silicium
6005A AlSiMg AlMgSi0.7 3.3210
6060 AGS AlMgSi AlMgSi0.5 3.3206
6061 AlMg1SiCu AlMg1SiCu 3.3211
6082 ASGM0.7 AlSi1Mg AlMgSi1 3.3215
7000 : aluminium + zinc + magnésium
7020 AZ5G AlZn4.5Mg1 AlZn4.5Mg1 3.4335
7075 AZ5GU AlZn6MgCu AlZnMgCu1.5 3.4365
Il est possible d'augmenter la résistance mécanique de l'aluminium et de tous ses alliages par déformation à froid appelée
L'écrouissage est la seule façon de durcir les alliages sans durcissement structural (alliages non trempants).Ces alliages
Les autres familles peuvent être durcies en plus par traitements thermiques de durcissement structural.
Entre l'état recuit et l'état le plus dur normalement produit, il est défini plusieurs états intermédiaires ; ces états, dont les n
Le tableau ci-dessous donne les désignations normalisées des états écrouis :
Etats
Niveau de dureté Etats écrouis Etats restaurés stabilisés
Recuit O
1/8 dur H11 H31
H12
H13
1/4 dur H22 H32
H14
H15
1/2 dur H24 H34
H16
H17
3/4 dur H26 H36
4/4 dur H18 H28 H38
extra dur H19
Les alliages des familles 2000, 6000 et 7000 peuvent être durcis par traitement thermique de mise en solution et trempe,
- soit à la température ambiante (maturation ou vieillissement naturel),
- soit par chauffage (revenu ou maturation accélérée ou vieillissement artificiel).
C'est par ces traitements qu'ils atteignent leurs caractéristiques maximales ; de plus, il est possible de combiner durcissem
La mise en solution, traitement thermique à haute température peut être faite dans un four mais pour certains alliages, en
Le tableau ci-dessous donne la désignation normalisée des états ainsi obtenus valables en France et en Europe:
traitement au Déformation à
Opérations four chaud
Trempe + maturation T4 T1
Trempe + écrouissage +
maturation T3 T2
Trempe + revenu T6 T5
Trempe + sous-revenu T61 T51
Trempe + sur-revenu T66 T56
Trempe + sur-revenu
désensibilisant à la
corrosion sous contrainte T73
Trempe + sur-revenu
désensibilisant à la
corrosion exfoliante T76
Trempe + écrouissage +
revenu T8 T10
Trempe + revenu +
écrouissage T9
T51, T56 : état normalisé uniquement dans la norme européenne NF EN 515 (Octobre 1993).
T10 : état normalisé uniquement dans la norme française NF A 02-006 (Novembre 1985) qui est annulée et remplacée pa
La trempe qui suit le traitement thermique de mise en solution introduit dans beaucoup de produit des contraintes internes
Le tableau ci-dessous donne des valeurs typiques de la composition et d'un certain nombre de propriétés physiques des
Composition en %
Alliage Fe Si Cu Mn
1050A 0.2 0.15
2017A 0.5 4 0.7
2024 4.3 0.6
2030 3.9 0,6
5083 0.7
5086 0.4
5754 0.3
6060 0.2 0.45
6082 1 0.7
7075 1.6
Le tableau ci-dessous donne des valeurs typiques des caractéristiques mécaniques, des propriétés de mise en oeuvre et
Caractéristiques mécaniques
Usinage - Décolletage
L'aluminium et ses alliages s'usinent avec facilité à condition de prendre quelques précautions aux grandes vitesses de co
Les alliages - états les plus adaptés à l'usinage sont les suivants :
2017A T4, 2024 T3 ,2618A T851
5083 H111
6082 T6
7075 T651
Les alliages spécifiques pour le décolletage contiennent du plomb ou du plomb et du bismuth ( éléments qui favorisent gr
2011 T3, 2030 T3
6262 T9
Soudage
Si de façon générale tous les alliages d'aluminium sont soudables, ils ne se comportent pas tous de manière identique ; il
* les alliages à durcissement structural exempts de cuivre ( famille 6000 et certains alliages de la famille 7000 ).
Le cycle thermique de soudage affecte les caractéristiques mécaniques du métal de base qui est généralement à l'état tre
Les alliages - états typiques sont les : 6060 T5, 6082 T6 ,7020 T5.
* les alliages à durcissement structural contenant du cuivre (famille 2000 et certains alliages de la famille 7000)
Ces alliages sont dans l'ensemble difficilement soudables parce que, d'une part, ils sont sujets aux criques lors de la solid
Utilisations structurales
Les alliages d'aluminium sont très utilisés pour des applications structurales faisant concurrence aux aciers.
Le module élastique des alliages d'aluminium, de l'ordre du tiers de celui des aciers, conduit, pour éviter des fléchissemen
Les alliages - états les plus utilisés sont les :
5083 H22, 5086 H24 ,5754 H24
6005A T5 ,6061 T6, 6082 T6
7020 T5
Lorsque les constructions sont soumises à des contraintes importantes, l'emploi des alliages ci-dessus conduirait à des é
Les alliages - états utilisés sont les :
2014 T6 ,2017A T4 ,2024 T3
7075 T6
Etat métallurgique
* Les états écrouis résistent globalement moins bien que les états recuits.
* Les états trempés revenus (T5 et T6), qui confèrent à l'alliage ses caractéristiques maximales, résistent moins bien que
Le milieu en contact duquel est placé l'alliage d'aluminium a aussi son importance. Si le pH de ce milieu est compris entre
Dans des milieux acides (pH<4), les comportements sont très variables. L'aluminium par exemple résiste bien à l'acide ac
Dans les milieux alcalins (pH>9), l'aluminium est généralement vigoureusement attaqué. Il résiste cependant bien à l'amm
Lorsque l'aluminium est en contact avec des matériaux comme le graphite, l'acier doux ou un alliage cuivreux, dans un m
Oxydation anodique
L'oxydation anodique ou anodisation permet d'édifier une couche d'oxyde beaucoup plus épaisse que la pellicule d'alumin
- une bonne protection contre la corrosion,
- une amélioration de l'aspect de surface, qui va durer dans le temps ; de plus la couche anodique peut être colorée,
- une modification de plusieurs propriétés de la surface comme par exemple : isolation électrique, pouvoir réflecteur, dure
Les alliages d'aluminium ne se prêtent pas de façon identique au traitement d'anodisation. Les alliages les plus aptes app
Conducteurs électriques
La conductivité des alliages d'aluminium varie de 63% pour l'aluminium pur à moins de 30% pour certains alliages des fam
Les conducteurs électriques sont fabriqués avec des alliages de deux familles :
1000 lorsque la résistance mécanique de l'aluminium est suffisante,
6000 lorsque le conducteur doit avoir une résistance mécanique supérieure.
L'alliage dont la résistance mécanique ne diminue pratiquement pas jusqu'à une température de 150°C est le 2618A :
Pour les basses températures, atteintes dans des applications cryogéniques comme le stockage et le transport des gaz li
Barres : produits livrés en longueur droite dont la section est identique sur toute la longueur et qui a une forme ronde, car
Fils : produits de section ronde et de très grande longueur livrées enroulées en couronnes.
Tubes : produits creux livrés en longueur droite dont l'épaisseur est constante tout autour de la section ; celle-ci peut avoi
Méplats : produits livrés en longueur droite de section rectangulaire dont le rapport largeur sur épaisseur ne dépasse pas
Profils : produits livrés en longueur droite dont la section peut avoir une forme simple, en L, appelés aussi cornière, en U
Ils sont obtenus par laminage ; leur section est rectangulaire et le rapport largeur sur épaisseur est supérieur à 10.
Tôles : produits laminés livrés à plat ; leur longueur est donc une dimension de livraison.
On distingue les tôles minces, dont l'épaisseur est comprise entre 0,2 et 1 mm, les tôles moyennes, dont l'épaisseur est c
Elles peuvent être livrées nues ou revêtues d'un film de protection adhésif ; elles peuvent être plaquées c'est à dire colam
Bandes : ce sont les mêmes produits que les tôles minces et moyennes de faible épaisseur, livrés enroulés en rouleaux.
8.1 Usinage
L'aluminium et ses alliages possèdent une bonne aptitude au travail par outils coupants, mais il y a lieu de tenir compte d
- Les alliages légers ont une faible densité qui diminue les effets d'inertie et permet des vitesses de rotation et de translati
- La conductivité thermique élevée favorise le refroidissement, la chaleur étant évacuée presque totalement par les copea
- Le faible module d'élasticité peut entraîner des déformations en cas de porte à faux.
- Les alliages contenant plus de 1 % de silicium ( famille 4000, 2014A, 6081, 6181, 6082, 6351A ) usent plus rapidement
- traitements mécaniques
* polissage : bufflage à l'émeri, tamponnage à la pâte à polir, avivage à la pâte à aviver.
* satinage mécanique ou brossage pour obtenir un aspect mat.
* sablage, grenaillage pour recouvrement métallique ou peinture ; le grenaillage améliore la résistance à la fatigue de la p
- traitements chimiques
- anodisation : ce procédé consiste à former à la surface du métal une couche d'alumine par électrolyse dans un bain acid
Le tableau ci-dessous donne les plages de températures à utiliser selon les familles d'alliages pour les différents types de
La précision des températures atteintes pour les traitements de mise en solution et de revenu est importante : elle doit êtr
Mise en
Famille d'alliage Recuit Restauration Revenu
solution
1000 325-360°C 225-280°C
375-410°C
2000 refroidissement 475-530°C 160-190°C
lent (40°C/h)
3000 345-400°C 250-300°C
5000 345-380°C 240-280°C
365-410°C
6000 refroidissement 530-535°C 165-185°C
lent (40°C/h)
375-410°C
7000 refroidissement 450-465°C 100-177°C
lent (40°C/h)
Soudage
L'aluminium se recouvre spontanément à l'air d'une pellicule protectrice continue d'oxyde dont le point de fusion est très é
Le soudage oxyacétylénique est utilisé généralement pour des épaisseurs jusqu'à 3 mm. Il nécessite l'emploi d'un produit
Le soudage à l'arc sous gaz inerte a l'avantage de ne pas nécessiter l'emploi de flux de soudage. Le procédé TIG (Tungs
Les alliages d'aluminium peuvent aussi être soudés électriquement par point ou à la molette, par bombardement électroni
Brasage
Dans le cas du brasage fort, le métal d'apport est un alliage d'aluminium dont la température de fusion est supérieure à 45
Dans le cas du brasage tendre, le métal d'apport a une température de fusion inférieure à 450°C ; ce sont des alliages d'é
Dans tous les cas il est nécessaire d'utiliser un flux de décapage avant brasage qu'il faut éliminer après brasage.
Rivetage
Cette vieille technique est utilisée dans le cas d'assemblage sollicités mécaniquement, les efforts étant exercés dans le pl
Les alliages utilisés pour les rivets doivent être des alliages d'aluminium, compatibles avec les alliages des pièces à asse
Les rivets sont généralement fabriqués dans les alliages 1050A et 3003 recuits ou écrouis, 5754 et 5086 recuits, 6061 et
9. Précautions d'emploi
Les produits en aluminium ont une surface fragile. Ils sont sensibles aux coups et aux rayures. De plus, les produits ne so
- éviter tous les chocs avec des pièces métalliques,
- ne pas stocker les produits directement sur d'autres produits,
- éviter les frottements entre produits,
- si le stockage vertical n'est pas possible, il faut stocker les produits horizontalement avec suffisamment de supports pou
Les produits en aluminium, même s'ils sont protégés par leur pellicule d'alumine, sont sensibles à la corrosion :
- les produits qui ont été mouillés doivent être parfaitement séchés avant stockage,
- il faut éviter tout phénomène de condensation ; celle-ci arrive lorsque des produits viennent de l'extérieur où il fait froid e
- la pellicule d'alumine naturelle a une épaisseur de l'ordre de 100 Å (10-5 mm) ; elle est attaquée par les acides forts, aci
Dans le cas de contact avec d'autres métaux en présence d'un liquide conducteur qui sert d'électrolyte, c'est le plus souve
ALLIAGES LEGERS
Mass Density
Dimensions
Condition
Shape
Fusion ou de
solidification
Intervalle de
Dimensions
Volumique
Masse
Forme
Etat
D=diametre
C=cote s/p
ep=épaisseur
Kg/dm3 °C
minimum de 99%
O, H111 Toutes 2.705 646 à 657
Barres et tubes
H14 ep<=10 2.705 646 à 657
étirés
ir protecteur.
istent mal à la corrosion.
ément d'alliage
Barres et tubes
T3 D<=80 2.79 550 à 650
étirés
eté commerciale.
élément d'alliage
ant que l'aluminium et de bon comportement
lément d'alliage
manganèse).
e dépasse pas 4 %. Au delà de cette teneur, il est nécessaire de traiter thermiquement le métal (état H116).
élément d'alliage
O, H111 Laminé 0,2 à 50 2.66 574 à 638
O, H111 Laminé 50 à 80 2.66 574 à 638
O, H111 Barre filée D<=200 2.66 574 à 638
H12 Barre étirée D<=30 2.66 574 à 638
F Barre filée D<200 2.66 574 à 638
F Barre filée 200<D<250 2.66 574 à 638
H112 Barre filée D<=200 2.66 574 à 638
une très bonne aptitude à l'anodisation qui forme une couche d'alumine épaisse et protectrice.
t Silicium
T5 Barre filée D ou C<=150 2.7 615 à 655
pe de protection recherchée.
s à basse teneur en zinc sont utilisés comme placage de protection des tôles en alliage 7000 au cuivre destinées à l'aéronautique.
ment d'alliage
O Laminé 0,4 à 12,5 2.78 604 à 645
T4 Laminé 0,4 à 12,5 2.78 604 à 645
T6 Laminé 0,35 à 40 2.78 604 à 645
T6 Barres filées D ou C<=50 2.78 604 à 645
50<D ou
T6 Barres filées 2.78 604 à 645
C<=200
Y29 Moulé - 2.78 604 à 645
entuellement
Cependant, dans certaines conditions d'exposition, ils peuvent subir un endommagement. Celui-ci peut se manifester sous différentes for
nt à la corrosion.
éposent indépendamment leurs brevets sur la production d'aluminium par électrolyse à chaud de l'alumine, oxyde déshydraté de l'alumi
es chutes hydrauliques : la " houille blanche ", rendit possible la production économique du métal.
u Rhin, berceau de la société l'Aluminium Suisse. Il monte une usine en 1889 à Froges (Isère), berceau de l'hydroélectricité française d
7 l'Aluminum Company of America.
croissance prodigieuse, le mettant au premier rang des métaux non ferreux et au deuxième de tous les métaux derrière le fer, ainsi que
mise au point d'alliages d'une plus grande résistance mécanique va être déterminante.
ermique. Alfred Wilm met au point le " Duralumin " (aluminium de Düren), alliage d'aluminium et de cuivre, qui durcit par trempe. Aladar
le globe terrestre. Les plus vieux, aujourd'hui épuisés, étaient dans le sud de la France, en particulier près du village des Baux en Prov
oxyde de fer, d'oxyde de titane et d'eau. Les teneurs de ces différents oxydes sont les suivantes :
vées au moyen d'une solution de soude caustique (procédé Bayer). Les impuretés insolubles sont séparées de la solution par décanta
celui-ci est calciné à 1200°C pour donner l'alumine : Al2O3, qui se présente sous la forme d'une poudre de couleur blanche.
de l'alumine se fait dans une grande cuve peu profonde, dont le fond est garni de graphite qui sert de cathode (pôle -). Les anodes (pô
pose à la cathode, au fond de la cuve, et l'oxygène se dégage aux anodes en les brûlant ; celles-ci sont donc consommées et changée
ant dans la cuve n'a cessé de progresser au fil des ans avec les améliorations technologiques apportées aux cuves : la toute première
3.000 kWh par tonne d'aluminium produite.
ation d'alliages légers. L'aluminium est le métal le plus léger après le lithium et le magnésium :
" pèse " grossièrement 3 fois moins que les métaux industriels usuels.
s moyens de transport et en particulier dans l'aéronautique.
arée à celle du standard cuivre IACS, cela représente 63 %. Les alliages d'aluminium ont une conductivité plus faible que celle de l'alum
ers. Cette qualité s'ajoute à ses propriétés de conduction électrique et milite en faveur de son utilisation dans les blindages de câbles, d
vre sa surface ; cette couche est parfaitement couvrante et protège le métal sous-jacent. De plus, il est possible d'accroître cette protec
les métaux purs, la gamme d'alliage très étendue permet de trouver celui qui correspond aux contraintes d'utilisation envisagée.
700 MPa, donc largement équivalente à celles des aciers trempés.
s températures et ses caractéristiques mécaniques augmentent même aux températures des gaz liquéfiés, d'où son utilisation en cryog
C) et à celle du fer (1536°C) ; cela ne lui permet pas de résister aux très hautes températures. Il existe cependant des alliages qui résis
est la suivante :
'il est souvent plus intéressant pour des raisons techniques et économiques :
8 fois plus qu'un fil en acier. A conduction électrique égale, le prix d'un conducteur en aluminium est égal à 40 % du prix d'un conducteu
ois plus forte que celle d'un bronze CuSn6 et 1,5 fois plus forte que celle d'un acier trempé. A résistance mécanique égale, le prix d'un p
d'une tôle en aluminium est 2,6 fois plus forte que celle d'une tôle en cuivre. A absorption électromagnétique égale, le prix d'un blindage
our certaines applications. Cette résistance mécanique peut être notablement augmentée par l'addition d'autres métaux, formant ainsi
ments secondaires vont aussi influer sur les caractéristiques de l'alliage.
nt ; ce sont les impuretés dont les plus importantes sont le fer et le silicium, et dont il faut contrôler précisément la teneur pour certaines
nsi naissance à beaucoup d'alliages différents ayant un faisceau de propriétés très larges et permettant de satisfaire un grand nombre
Dans chaque famille, les différents alliages ont des caractères " génétiques " communs mais ont aussi chacun leur propre personnalité
Grande bretagne
USA Nouveau Ancien
t d'addition
(1050) 1B 1050A
(1070)
1080 1A 1080A
1C 1200
vre
2011 FC1 2011
2014 (H15) (2014A)
(2017)
2024
par déformation à froid appelée écrouissage. Cette déformation diminue simultanément l'aptitude des alliages à la déformation à froid
ent structural.
médiaires ; ces états, dont les niveaux de dureté atteints sont croissants peuvent être obtenus de deux façons : soit en partant d'un allia
pour lesquels des limites de caractéristiques mécaniques et une résistance à la corrosion exfoliante sont spécifiées.
possible de combiner durcissement par écrouissage et durcissement par traitement thermique de mise en solution, trempe et maturatio
r mais pour certains alliages, en particulier ceux de la famille 6000, elle peut être faite au cours d'une opération de déformation à chaud
n France et en Europe:
produit des contraintes internes qui les déforment, et qui peuvent nuire à certaines applications ; les produits sont alors détensionnés p
Résist.
corrosion Aptitu. soudage Usina. Aptitu. déform. Aptitu. anodis.
A A C A A
A A B B A
C D A C C
C D B D C
C D A C C
A A C B A
A A B B A
A A C B A
A A B D A
A A C B A
A A B D A
A B C C A
A B C C A
C D B D B
ions aux grandes vitesses de coupe et d'utiliser des outils adaptés. Les alliages d'aluminium s'usinent mieux que l'aluminium pur ; c'est
muth ( éléments qui favorisent grandement la fragmentation du copeau ) sont les suivants :
s de la famille 7000 ).
qui est généralement à l'état trempé-revenu ; cette perte est définitive pour les alliages de la famille 6000 sauf s'il est possible d'effectu
es de la famille 7000)
ujets aux criques lors de la solidification de la soudure, et que, d'autre part, leurs caractéristiques mécaniques après soudage sont forte
es ci-dessus conduirait à des épaisseurs ou à des sections incompatibles avec l'allégement recherché. Il est nécessaire alors d'utiliser
un alliage cuivreux, dans un milieu très conducteur d'électricité comme l'eau de mer, il subit une attaque importante qui peut aller jusqu
épaisse que la pellicule d'alumine naturelle ; cette couche confère ainsi au métal :
ockage et le transport des gaz liquéfiés, on utilise le 5086 dont la charge de rupture augmente à basse température :
L, appelés aussi cornière, en U, en T, ou une forme plus compliquée dont la description complète nécessite un plan coté. Ils sont souve
moyennes, dont l'épaisseur est comprise entre 1 et 20 mm et les tôle fortes, dont l'épaisseur est supérieure à 20 mm.
être plaquées c'est à dire colaminées avec une tôle de faible épaisseur dans un alliage résistant bien à la corrosion ; elles peuvent être
mais il y a lieu de tenir compte d'un certain nombre de particularités propres à ces matériaux.
esses de rotation et de translation élevées.
esque totalement par les copeaux.
6351A ) usent plus rapidement les outils ce qui oblige à réduire la vitesse de coupe.
n en bain d'acide nitrique (tous alliages sauf famille 2000) ou d'acide sulfochromique (famille 2000) et rinçage.
par électrolyse dans un bain acide. Cette couche de quelques dizaines de microns est poreuse, présentant des pores perpendiculaires à
dont le point de fusion est très élevé (2020°C). Très stable, cette couche d'alumine est un obstacle qu'il convient d'éliminer au moment
Il nécessite l'emploi d'un produit chimique décapant, le flux de soudage, pour éliminer la couche d'alumine ; le flux est porté par la bagu
oudage. Le procédé TIG (Tungsten Inert Gas) utilise une électrode réfractaire en tungstène thorié ; le soudage est fait généralement en
tte, par bombardement électronique qui permet de souder en une passe des épaisseurs atteignant 150 mm, par frottement et pression,
ure de fusion est supérieure à 450°C et inférieure à celle des pièces à assembler. Les familles d'alliages brasables sont : 1000, 3000, 5
450°C ; ce sont des alliages d'étain (température de fusion entre 180°C et 260°C), des alliages de zinc (température de fusion entre 35
éliminer après brasage.
s efforts étant exercés dans le plan de joint des tôles ou des pièces.
c les alliages des pièces à assembler pour éviter les risques de corrosion galvanique.
s, 5754 et 5086 recuits, 6061 et 6181 trempés et 2017A posés sur trempe fraîche.
ures. De plus, les produits ne sont pas parfaitement rigides et peuvent être déformés. Il est indispensable de les manipuler et de les sto
ent de l'extérieur où il fait froid et qu'on les stocke dans un hall chauffé. Il faut déballer les produits et les laisser se réchauffer douceme
ttaquée par les acides forts, acide chlorhydrique, sulfurique ou nitrique, et par les bases comme la soude caustique.
d'électrolyte, c'est le plus souvent l'aluminium qui est attaqué ; c'est le cas lorsque l'alliage d'aluminium est en contact avec le cuivre et
Coefficient of
Specific heat
Conductivity
Expansion
Resistivity
Thermal
Thermal
Ultimate Strength
Coefficient de
Conductivité
Thermique
Résistivité
thermique
Massique
dilatation
Capacité
linéique
Limite de
rupture
d de l'alumine, oxyde déshydraté de l'aluminium, dissoute dans de la cryolithe fondue (fluorure double de sodium et d'aluminium).
re), berceau de l'hydroélectricité française développée par Aristide Bergès, puis une autre à La Praz dans la vallée de l'Arc (Savoie).
de tous les métaux derrière le fer, ainsi que l'illustre les chiffres suivants :
m et de cuivre, qui durcit par trempe. Aladar Pacz imagine en 1920 l'alliage aluminium silicium affiné au sodium, " l'Alpax ".
particulier près du village des Baux en Provence, qui a donné son nom au minerai.
es sont séparées de la solution par décantation et filtration et portent le nom de " boues rouges " en raison de leur couleur due à la prés
d'une poudre de couleur blanche.
qui sert de cathode (pôle -). Les anodes (pôle +) sont faites avec de la pâte de coke et de brai précuite et plongent dans le bain.
elles-ci sont donc consommées et changées régulièrement. L'aluminium est récupéré par siphonnage dans une poche de coulée.
ues apportées aux cuves : la toute première cuve d'Héroult avait 4000 A ; en 1914, les cuves avaient 20.000 A, 100.000 A en 1944, 175
e conductivité plus faible que celle de l'aluminium pur, variant de 30 % à 50 % IACS. A poids égal de cuivre, l'aluminium a une conduct
n utilisation dans les blindages de câbles, dans les circuits électroniques et dans la réalisation de bon nombre d'appareils de mesure.
plus, il est possible d'accroître cette protection par les traitements d'oxydation anodique (anodisation).
A résistance mécanique égale, le prix d'un produit en 7075 est égal à 35% de celui d'un produit en bronze CuSn6.
ectromagnétique égale, le prix d'un blindage en tôle d'aluminium est égal à 30 % de celui d'une tôle en cuivre.
par l'addition d'autres métaux, formant ainsi des alliages. Ceux-ci peuvent être classés en deux catégories :
ntrôler précisément la teneur pour certaines utilisations car leur influence peut être défavorable.
us de deux façons : soit en partant d'un alliage complètement recuit et en l'écrouissant partiellement, soit en partant d'un alliage complè
xfoliante sont spécifiées.
ions ; les produits sont alors détensionnés par traction, par compression ou par ces deux opérations combinées ; la désignation des éta
Conductivité Conductivité
électrique thermique
%IACS W.m-1.K-1
62 231
34 134
30 120
34 135
29 120
31 126
33 132
52 200
41 174
33 130
Applications
Bâtiment,
Cuisine
Méca.Géné
Aéro.
Décolletage
Chimie,cryo
transport
Chimie, cryo C.
navale
Chaudron.,
marine
Bâtiment
Transport
Aéro
m s'usinent mieux que l'aluminium pur ; c'est en particulier le cas des alliages à durcissement structural. D'une manière générale, les all
a famille 6000 sauf s'il est possible d'effectuer un nouveau traitement de revenu sur la structure soudée ; les alliages de la famille 7000
iques mécaniques après soudage sont fortement diminuées. Toutefois ces alliages sont plus ou moins sensibles à ces phénomènes : l
s par rapport à celles des aciers ; de ce fait, l'allégement résultant du remplacement de l'acier par un alliage d'aluminium n'est pas dans
t recherché. Il est nécessaire alors d'utiliser des alliages à très hautes caractéristiques mécaniques ; ces alliages ont en contrepartie un
t une attaque importante qui peut aller jusqu'à sa destruction complète.
use, présentant des pores perpendiculaires à la surface qu'il faut refermer pour que la couche soit vraiment protectrice ; ceci se fait par
Modulus of
Elongation
Hardness
Elasticity
Limite élastique
Résistance au
Allongement
Cisaillement
longitudinal
d'élasticité
Fatigue
Module
Dureté
mini
20 25 - 62 - 69
70 6 - 69 - 69
140 13 47 125 90 73
290 12 à 14 120 285 140 73
290 14 à 13 120 285 140 73
275 12 à 14 120 285 140 73
250 8 - - - 71
220 8 - - - 71
210 7 - - - 71
125 11 à 16 70 170 - 71
115 14 70 170 - 71
110 12 70 170 - 71
200 6 80 170 - 71
110 12 - 170 - 71
100 12 - 170 - 71
125 12 - 170 - 71
100 11 à 16 63 159 - 71
95 18 63 159 - 71
220 4à8 86 186 - 71
80 12 à 18 50 - - 71
80 17 50 - - 71
240 3 68 - - 71
120 8 75 150 72 69
85 max 14 à 19 30 83 60 69
110 12 à 18 65 165 95 69
110 15 65 165 95 69
240 6 à 10 95 207 95 69
240 8 95 207 95 69
530 5 - - - 72
500 5 - - - 72
180 2à4 75 - 75 74
90 14 55 - 90 74
180 4à8 80 - 105 74
200 - - - - 74
200 2 85 - - 74
200 2 85 - - 74
200 2 85 - - 74
210 1 90 - 75 74
210 4à6 90 - 105 74
220 2 - - - 74
280 4 110 - - 74
220 1.5 85 - - 74
220 2 85 - - 74
220 2 85 - - 74
220 3 85 - - 74
d'impuretés.
sodium et d'aluminium).
en partant d'un alliage complètement écroui et en le recuisant partiellement (états partiellement recuits ou restaurés) ; l'écrouissage intro
inées ; la désignation des états correspondants est obtenue en ajoutant derrière les chiffres, qui suivent la lettre T, donnés dans le tabl
une manière générale, les alliages à hautes caractéristiques mécaniques, et donc à capacité de déformation à froid faible, s'usinent bie
es alliages de la famille 7000 retrouvent une partie notable de leurs caractéristiques initiales par maturation à la température ordinaire.
nsibles à ces phénomènes : le 2618A T851 est peu sensible aux criques. L'utilisation du procédé TIG à grande concentration d'énergie
e d'aluminium n'est pas dans le rapport des densités mais est compris entre 40 % et 60 %. Cependant, la possibilité d'obtenir avec les a
lliages ont en contrepartie une faible résistance à la corrosion, une faible capacité de déformation à froid et des difficultés à être soudés
protectrice ; ceci se fait par colmatage en trempant la pièce dans de l'eau bouillante ; on peut préalablement introduire dans les pores
ieure à celle de la baguette ; il doit être éliminé après soudage car il entraîne une corrosion de l'aluminium.
s) utilise le métal d'apport comme électrode ; il est pratiqué en courant continu en polarité inverse (pôle négatif à la pièce) sous argon, c
7000 exempts de cuivre.
usion entre 280°C et 320°C).
Poisson Ratio
Coefficient de
transversal
d'élasticité
Poisson
Module
GPa
27.6 0.25
27.6 0.25
27 0.35
27.8 0.33
27.8 0.33
27.8 0.33
27.8 0.33
27.8 0.33
27.8 0.33
27 0.35
27 0.35
27 0.35
27 0.35
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
28.4 0.25
28.4 0.25
28.4 0.25
26.7 0.33
26.7 0.33
26.7 0.33
26 0.33
26 0.33
26 0.33
26 0.33
26 0.33
26 0.33
27 0.32
27 0.32
27 0.32
27 0.32
27 0.32
27 0.33
27 0.33
27 0.33
27 0.33
27 0.33
27 0.33
26 0.38
26 0.38
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
27 0.37
ransport d'électricité haute tension sur grande distance.
estaurés) ; l'écrouissage introduisant des contraintes internes au métal, il est nécessaire pour certaines applications de les supprimer p
lettre T, donnés dans le tableau ci-dessus, les chiffres suivants :
on à froid faible, s'usinent bien.
n à la température ordinaire.
nde concentration d'énergie et à protection gazeuse accrue permet une amélioration notable des résultats.
possibilité d'obtenir avec les alliages d'aluminium des profils complexes permet de compenser le faible module élastique du métal par u
t des difficultés à être soudés ce qui limite leur emploi à des applications bien particulières.
ent introduire dans les pores des pigments qui vont donner la teinte voulue à la surface après colmatage.
gatif à la pièce) sous argon, ce qui permet une bonne élimination de la pellicule d'oxyde.
Sources
Matériau non repris dans la norme Européenne. Techniques de l'ingénieur (noir), autres* (magenta)
Matériau non repris dans la norme Européenne. Techniques de l'ingénieur (noir), autres* (magenta)
Matériau non repris dans la norme Européenne. Techniques de l'ingénieur (noir), autres* (magenta)
Matériau non repris dans la norme Européenne. Techniques de l'ingénieur (noir), autres* (magenta)
Matériau non repris dans la norme Européenne. Techniques de l'ingénieur (noir), autres* (magenta)
Matériau non repris dans la norme Européenne. Techniques de l'ingénieur (noir), autres* (magenta)
profils complexes permet de compenser le faible module élastique du métal par une forme des profils qui conduit à un moment d'inertie
Austénitiques
X2CrNi18-9 1.4307 Z 3 CN 19-9 Z 2 CN 18-10
X2CrNi18-9 1.4307 Z 3 CN 19-9 Z 2 CN 18-10
X2CrNi18-9 1.4307 Z 3 CN 19-9 Z 2 CN 18-10
X2CrNi18-9 1.4307 Z 3 CN 19-9 Z 2 CN 18-10
X2CrNi18-9 1.4307 Z 3 CN 19-9 Z 2 CN 18-10
X2CrNi18-9 1.4307 Z 3 CN 19-9 Z 2 CN 18-10
Ferritiques
Z8 C 17
Tableau Matière LES CUPRO ALLIAGES
Condition
U.S.A A.S.T.M.
Désignation
Désignation
Désignation
Désignation
Désignation Ancienne
G.B.
DIN
ISO
BS
Norme de référence Etat
AFNOR désignation
CUPRO
BLINDAGE - CLINQUANT
BERRYLIUM
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 2.1247 CB 101 Non revenu Trempé mou : TB
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 Non Revenu 1/4 dur:TD2
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 Non Revenu, 1/2 dur : TD3
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 Non revenu Trempé mou : TB
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 Non Revenu 1/4 dur:TD2
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 Non Revenu 1/2 dur:TD3
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 Non Revenu dur:TD4
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 Trempé mouTB + Revenu
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 1/4 dur:TD2 + Revenu
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 1/2 dur : TD3 + Revenu
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 Trempé mouTB + Revenu
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 1/4 dur:TD2 + Revenu
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 1/2 dur : TD3 + Revenu
Cu Be 1,9 UBE2 NF A 51-114 Cu Be 2 C 17200 2.1247 CB 101 dur : TD4 + Revenu
CUPRO
PIECE DE MONNAIE - POMPES
ALUMINIUM
Cu Al 9 Ni Fe UA9 NFe ISO 1637 Moulé - Etiré (H12)
CUPRO
COUSSINET
SILICIUM
Cu-Ni 3 Si Etat TL (Brut) - 1/2 dur
Coefficient of
Conductivity
Specific heat
Dimensions
Resistivity
Expansion
Thermal
Thermal
strength
Density
Shape
Mass
Yield
Ultimate Strength
Coefficient de
solidification
Conductivité
Intervalle de
Dimensions
Thermique
Volumique
thermique
Résistivité
dilatation
Massique
élastique
Capacité
linéique
fusion /
Forme
Limite
Masse Limite de
rupture
D=diametre
20 à
C=cote s/p Rm min Rm max Rp0,2min
+300°C
ep=épaisseur
Barres 8.25 18 419 105 7.8 865 à 980 410 590 140 à 240
Barres Dim>=30 8.25 18 419 105 7.8 866 à 980 500 700 350 à 600
Barres Dim<30 8.25 18 419 105 7.8 867 à 980 570 820 720 à 720
Fils 8.25 18 419 105 7.8 868 à 980 390 550 140 à 250
Fils Dim>=30 8.25 18 419 105 7.8 869 à 980 510 650 -
Fils Dim<30 8.25 18 419 105 7.8 870 à 980 560 780 470 à 750
Fils 8.25 18 419 105 7.8 871 à 980 750 1140 610 à 960
Barres 8.25 18 419 105 7.8 872 à 980 1120 1340 960 à 1200
Barres Dim>=30 8.25 18 419 105 7.8 873 à 980 1150 1400 1000 à 1200
Barres Dim<30 8.25 18 419 105 7.8 874 à 980 1180 1450 1050 à 1370
Fils 8.25 18 419 105 7.8 875 à 980 1120 1340 980 à 1200
Fils Dim>=30 8.25 18 419 105 7.8 876 à 980 1160 1400 -
Fils Dim<30 8.25 18 419 105 7.8 877 à 980 1200 1450 1100 à 1350
Fils 8.25 18 419 105 7.8 878 à 980 1250 1550 1200 à 1460
-
-
5
A
3
2
2
4
%
12
10
10
35
35
Elongation
mini
-
-
-
-
-
-
Dureté Hardness
HV
90 à 160
175 à 260
140 à 220
365 à 430
360 à 420
350 à 400
Fatigue
-
-
-
-
-
-
-
Fatigue
270
270
270
270
270
MPa
Strength
-
-
-
-
-
-
d'élasticité de
132
132
132
132
132
GPa
Elasticity
Traction à 20°C
Module
Shear
-
-
-
-
-
-
49
49
49
49
49
d'élasticité de
GPa
Modulus
torsion à 20°C
Coeff de Poisson
-
-
-
-
-
-
0.35
0.35
0.35
0.35
0.35
Poisson Ratio
2 - 270 132 49 0.35
1 - 270 132 49 0.35
10
2
10
5
30
30
Tableau Matière
U.S.A A.S.T.M.
Désignation
Désignation
Ancienne Norme de
ISO
Désignation AFNOR
désignation référence
BRONZE
PIECES SOUMISES AU FROTTEMENT
PHOSPHOREUX
Cu-Sn 8P UE 8 P
Cu-Sn 12P UE12 P
Cu-Sn5 UE5
Cu-Sn7 UE7
Cu-Sn6 UE6
Cu-Sn12
Cu-Sn 3 Zn9
CuSn25
BRONZE
ROBINETTERIE VAPEUR - HELICE DE NAVIRE (INOXYDABLE)
D'ALUMINIUM
CuAl9Ni3Fe2
CuAl9Ni5Fe3 UA9NFe
CuAl10Ni5Fe4 UA10N
BRONZE AU PLOMB
CuSn8Pb15 UE8PB15
CuSn5Pb20 UE5PB20
CuSn10Pb10 UE10PB10
CuSn7Zn4Pb6
CuSn5Zn5Pb5
BRONZES ( cuivre + Etain )
Dimensions
Condition
Density
Shape
Mass
Désignation
Désignation
Dimensions
Volumique
Forme
Masse
G.B.
DIN
BS
Etat
D=diametre
C=cote s/p
ep=épaisseur
Kg/dm3
ENT
8.8
8.8
H12
ier la sonorité)
E (INOXYDABLE)
Coefficient of
Conductivity
Specific heat
Resistivity
Expansion
Thermal
Thermal
Ultimate Strength
Coefficient de
solidification
Conductivité
Intervalle de
Thermique
thermique
Résistivité
dilatation
Massique
Capacité
linéique
fusion /
Limite de
rupture
20 à
Rm min
+300°C
Hardness
Elasticity
Strength
strength
Fatigue
Yield
Ultimate Strength
Traction à 20°C
d'élasticité de
Allongement
élastique
Module
Fatigue
Dureté
Limite
mini
Limite de
rupture
350 28
15
500 400 53 -
300 170 11 100
660
Poisson
Shear
Ratio
torsion à 20°C
d'élasticité de
Résistivité
Coeff de
Poisson
Module
Sources
GPa W.mm2/m
U.S.A A.S.T.M.
Désignation
Désignation
Ancienne Norme de
ISO
Désignation AFNOR
désignation référence
Laitons HR corroyés
CuZn23Al4 - CuZn19Al6
Cu Zn Al Fe
CuZn23Al4 solde 20 à 25 3,5 à 5 1 à 3,5
CuZn19Al6 solde 18 7 3.5
Condition
Shape
Désignation
Désignation
Forme
G.B.
DIN
BS
Etat
ND - TAMIS
Etat H12
2.0335 - Ecroui H11 Laminés
2.0335 - Ecroui H12 Laminés
2.0335 - Ecroui H13 Laminés
2.0335 - Ecroui H14 Laminés
2.0335 - Ecroui H15 Laminés
2.0335 - Ecroui H16 Laminés
2.0335 - Ecroui H17 Laminés
2.0335 - Recuit grain fin OS15 Tubes
2.0335 - Recuit courant OS35 Tubes
2.0335 - Recuit poussé OS60 Tubes
2.0335 - Ecroui H11 Tubes
2.0335 - Ecroui H12 Tubes
2.0335 - Ecroui H13 Tubes
2.0335 - Ecroui H14 Tubes
e ou centrifugée. Cependant,
pagné par le respect d'un
caractéristiques minimum, ...
)
Coefficient of
Conductivity
Specific heat
Dimensions
Expansion
Thermal
Thermal
Density
Mass
Coefficient de
Conductivité
Dimensions
Thermique
Volumique
thermique
dilatation
Massique
Capacité
linéique
Masse
D=diametre
20 à
C=cote s/p
+300°C
ep=épaisseur
8.5
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
ep 0,3 à 10 8.45 20.3 377 117
NFL 14708
AIR 9070
ASTM B138
C67000
ASTM B505
C86200
ASTM B271
C86200
BS1400 HTB2
DIN 1709
Elongation
Resistivity
strength
Yield
Ultimate Strength
solidification
Allongement
Intervalle de
Résistivité
élastique
fusion /
Limite
mini
Limite de
rupture
380 360 16
- 905 à 930 330 400 - 35
- 905 à 930 370 440 280 35
- 905 à 930 420 490 - 35
- 905 à 930 460 530 - 35
- 905 à 930 530 600 - 35
- 905 à 930 590 660 - 35
- 905 à 930 620 680 - 35
6.2 905 à 930 - - - -
6.2 905 à 930 - - - -
6.2 905 à 930 - - - -
- 905 à 930 360 440 - 42
- 905 à 930 380 460 - 35
- 905 à 930 400 500 - 25
- 905 à 930 480 600 - 12
Elasticity
Strength
Modulus
Poisson
Fatigue
Shear
Ratio
Traction à 20°C
torsion à 20°C
d'élasticité de
d'élasticité de
Coeff de
Poisson
Module
Module
Fatigue
Dureté
Sources
Norme de
référence
Norme de(bleu).
85/125 - - - - Techniques
référence de
Norme de(bleu).
105/140 - - - - l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
128/153 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
140/160 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
158/178 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de de
(bleu).
172/190 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de de
(bleu).
179/192 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
Norme de de
référence (bleu).
70/100 - 109 39.2 0.39 Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de de
(bleu).
60/85 - 109 39.2 0.39 Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
50/70 - 109 39.2 0.39 Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
90/120 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
105/140 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de de
(bleu).
125/160 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence de
(bleu).
145/185 - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques de
Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Vulcain (noir)
Norme de
référence
Norme de(bleu).
96 35.3 0.36 Techniques
référence de
Norme de(bleu).
- - - - - l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
- - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
- - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
- - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence de
(bleu).
- - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
Norme de de
Vulcain
référence
Norme de (noir)
l'Ingénieur,
(bleu).
- - 95.5 35.3 0.35 Vulcain (noir)
Techniques
référence
Norme de de
(bleu).
- - - - - l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
- - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
- - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence
Norme de
de(bleu).
- - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques
référence de
(bleu).
- - - - - Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Techniques de
170-175 Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Vulcain (noir)
Norme de
référence
Norme de(bleu).
170 (HB) - - - - Techniques de
référence (bleu).
160 (HB) - - - - l'Ingénieur,
Techniques de
210-230 Vulcain (noir)
l'Ingénieur,
Vulcain (noir)
7,6
Tableau Matière
U.S.A A.S.T.M.
Désignation
Désignation
Désignation Ancienne Norme de
ISO
AFNOR désignation référence
Cu-Ni 22 Zn 18
Cu-Ni 26 Zn 17
Cu Zn 36 Ni 3 UZ 40 Mna
Dimensions
Condition
Density
Shape
Mass
Désignation
Désignation
Dimensions
Volumique
Forme
Masse
G.B.
DIN
BS
Etat
D=diametre
C=cote s/p
ep=épaisseur
Kg/dm3
Etat H14 8.75
Etat H12 8.8
Etat H12 8.3
Coefficient of
Thermal
Coefficient de Expansion
dilatation
20 à
+300°C
10-6/°K
linéique
Capacité
Thermique Specific heat
Massique
J/(kg.K)
Conductivité Thermal
thermique Conductivity
W/(m,K)
12
Résistivité Resistivity
10-8 W.m2/m
Intervalle de
°C
fusion /
solidification
MPa
Rm min
rupture
Limite de
Ultimate Strength
rupture
Limite de
Ultimate Strength
550
550
540
MPa
Rm max
Limite Yield
550
550
240
MPa
élastique strength
Rp0,2min
Allongement
3
2
%
Elongation
>15
mini
Dureté Hardness
HV
150
Fatigue
Fatigue
MPa
Strength
pour 108 cycles
Module
Modulus of
d'élasticité de
GPa
Elasticity
Traction à 20°C
Module
Shear
d'élasticité de
GPa
Modulus
torsion à 20°C
Coeff de Poisson
Poisson Ratio
Sources
14.5
Tableau Matière
U.S.A A.S.T.M.
Désignation
Désignation
Désignation Ancienne Norme de
ISO
AFNOR désignation référence
Z A4 G
Désignation
G.B.
BS
Condition
Etat
Forme Shape
MAILLECHORTS
Dimensions Dimensions
C=cote s/p
D=diametre
ep=épaisseur
Masse Mass
7
Volumique Density
Kg/dm3
Coefficient of
Thermal
Coefficient de Expansion
dilatation
20 à
+300°C
10-6/°K
linéique
Capacité
Thermique Specific heat
Massique
J/(kg.K)
Conductivité Thermal
thermique Conductivity
W/(m,K)
Résistivité Resistivity
10-8 W.m2/m
Intervalle de
°C
fusion /
solidification
MPa
Rm min
rupture
Limite de
Ultimate Strength
rupture
Limite de
Ultimate Strength
MPa
Rm max
Limite Yield
MPa
élastique strength
Rp0,2min
Allongement
%
Elongation
mini
Dureté Hardness
HV
Fatigue
Fatigue
MPa
Strength
pour 108 cycles
Module
Modulus of
d'élasticité de
GPa
Elasticity
Traction à 20°C
Module
Shear
d'élasticité de
GPa
Modulus
torsion à 20°C
Coeff de Poisson
Poisson Ratio
Sources
Tableau Matière
Mass Density
Dimensions
Condition
Masse Volumique
Dimensions
Désignation Norme de
Etat
normalisée référence
D=diametre
C=cote s/p
ep=épaisseur
Kg/dm3
TA6V NF L 14-601 Recuit D 8 à 200 4.425
1670
1670
Coefficient of
Thermal
Coefficient de Expansion
20 à
dilatation linéique
+100°
10-6/°K
7.6
9
Capacité Thermique
Specific heat
Massique
J/(kg.K)
523
540
Conductivité Thermal
thermique Conductivity
W/(m,K)
TITANES ET ALLIAGES
17
7
Résistivité Resistivity
W.mm2/m
47.8
48
MPa
Rm min
880
390
rupture
Limite de
Ultimate Strength
rupture
Limite de
Ultimate Strength
MPa
Rm max
1130
540
Limite élastique Yield strength
MPa
Rp0,2min
275
820
A
%
Allongement mini Elongation
8-10
20
Dureté Hardness
HB
150
260
Fatigue
Fatigue
MPa
Strength
pour 108 cycles
200
500
Poisson Ratio
Module d'élasticité de
Coeff de Poisson
torsion à 20°C
Sources
GPa
43 0.2790697674 Vulcain, Données de construction TH CSF 1978, CEZUS,UGINE.
Mass Density
Dimensions
Condition
Masse Volumique
Dimensions
Désignation Norme de
Etat
normalisée référence
D=diametre
C=cote s/p
ep=épaisseur
Kg/dm3
Ni-Cu 30 Al Trempé vieilli 8.46
Ni-Cr 15 Fe Laminé à chaud 8.42
Ni-Mo 28 Laminé hypertrempé 9.24
°C
Point de fusion
Coefficient of
Thermal
Coefficient de Expansion
20 à
dilatation linéique
+100°
10-6/°K
Capacité Thermique
Specific heat
Massique
J/(kg.K)
Conductivité Thermal
thermique Conductivity
W/(m,K)
TITANES ET ALLIAGES
Résistivité Resistivity
W.mm2/m
MPa
Rm min
rupture
Limite de
Ultimate Strength
rupture
Limite de
Ultimate Strength
800
590
900
MPa
Rm max
Limite élastique Yield strength
320
250
580
MPa
Rp0,2min
A
%
Allongement mini Elongation
35
30
20
Dureté Hardness
HB
Fatigue
Fatigue
MPa
Strength
pour 108 cycles
GPa
torsion à 20°C
Sources
MASSE
ETAT
NUANCES VOLUMIQUE R N/mm² ≥ Re N/mm² ≥
D'UTILISATION
kg/dm³
Tableau
5 Matière
MASSE
ETAT
NUANCES VOLUMIQUE R N/mm² ≥ Re N/mm² ≥
D'UTILISATION
kg/dm³
Tableau
0 Matière
3
MASSE
ETAT
NUANCES VOLUMIQUE R N/mm² ≥ Re N/mm² ≥
D'UTILISATION
kg/dm³
Aciers inoxydables
Z 15 CN 18-08 7.9 Ecroui ressort 1100
Alliages cuivreux
Cu-Be 1,9 8.25 Revenu 320°C 1260
Cu-Sn 3 Zn 9 8.85 Ecroui ressort 660 620
Alliages nickel
Ni-Cu 30 Al 8.46 Ecroui ressort 1100 970
Vieilli
Aciers de traitement
45 SC D6 7.8 TH880°CCR600°C 10890 930
A% ≥
Tableau
Matière
1
3
9
MASSE
ETAT
NUANCES VOLUMIQUE R N/mm² ≥ Re N/mm² ≥
D'UTILISATION
kg/dm³
Tableau
9 Matière
Tableau Matière M
Mass Density
Coefficient of
Specific heat
Expansion
Thermal
Shape
Température de
Coefficient de
Calorifique
Volumique
dilatation
Capacité
linéique
Fusion
Masse
Désignation Forme
20 à +100°
AlBeMet AM 162 Barre extrudée Type 1 2,071 à 2,122 1082 13.9 1506
AlBeMet AM 162 Barre extrudée Type 2 2,071 à 2,122 1082 13.9 1506
AlBeMet AM 162 Tôle 2,071 à 2,122 1082 13.9 1506
Yield strength
Conductivity
Elongation
Resistivity
Hardness
Thermal
Ultimate Strength
Limite élastique
Allongement
Conductivité
Résistivité
thermique
Dureté
Limite de
mini
rupture
Shear Modulus
Poisson Ratio
Modulus of
Elasticity
Coefficient de
longitudinal
transversal
d'élasticité
d'élasticité
Poisson
Fatigue
Module
Module
Source
107 cycles
par flexion
rotative
Tableau
6 Matière
MASSE
ETAT
NUANCES VOLUMIQUE R N/mm² ≥ Re N/mm² ≥
D'UTILISATION
kg/dm³
Tableau
18 Matière
20
15
8
18
18
20
6
23
31
36
MASSE
ETAT
NUANCES VOLUMIQUE R N/mm² ≥ Re N/mm² ≥
D'UTILISATION
kg/dm³
Acier de cémentation
XC10 7.85 TE900°C R200°C 490 345
XC 18 S 7.85 TE880°C R200°C 880 590
10 NC 6 7.85 TH875°C R200°C 830 590
10 NC 12 7.85 TH850°C R200°C 800 650
14 NC 11 7.85 TH850°C R200°C 1080 880
20 NC 6 7.83 TH850°C R200°C 1230 980
16 NCD 13 7.86 TH850°C R200°C 1200 1000
Acier de nitruration
30 CD 12 7.82 TH900°C R600°C 1080 880
40CAD6-12 7.74 TH900°C R600°C 980 785
Tableau
Matière
16
8
10
11 Mineraie de Fer
8 LA MAGNETITE
8 LA LIMONITE
8 LA FERITE
L'HEMATITE
10
10 Fer a :
En dessous du point de transformation A3 MAGNETITE
Petite Molécule : 2,8.10-8 cm
17
16 Fer γ
Au dessus du point de transformation A3 » 800°C AMAGNETITE
Grande Molécule : 3,6.10-8 cm
7
9
13
9
12
11
12
11
10
9
AMAGNETITE
MASSE
ETAT
NUANCES VOLUMIQUE R N/mm² ≥ Re N/mm² ≥
D'UTILISATION
kg/dm³
Usage général
S300 7.85 Etiré écroui 440 295
Inoxydables
Z10CNF18-09 7.92 TE1000°C/1050°C 490 215
Z10CF17 7.7 Recuit 800°C 440 245
Z12CF13 7.7 TH950°C R625°C 640 440
A% ≥ CHIMIQUE
Tableau
Matière
4
12
6
40 X12CrNIS18,8
15
13
MASSE
ETAT
NUANCES VOLUMIQUE R N/mm² ≥ Re N/mm² ≥
D'UTILISATION
kg/dm³
Tableau
30 Matière
14
MASSE
NUANCES VOLUMIQUE ETAT D'UTILISATION R N/mm² ≥
kg/dm³
Tôles à calibre
XC75 7.84 Laminé écroui 867
Aciers indéformables
90MV8 7.85 TH760°C R200°C 58HRc
Z200CW13 7.8 TE960°C R180°C 65HRc
Z160CDV12 7.75 TA 975°C R180°C 63HRc
Tableau
Matière
930 8
Tableau Matière
16NC6
16NC6
16NC6
30 NC 11
30 NC 11
XC 10
XC 10
XC 10
XC 10
XC 10
XC 10
XC 10
XC 18
XC 18
XC 18
XC 18
XC 18
XC 18
XC 18
*) Autres sources: les valeurs sont données à titre indicatif: Th CSF Données de construction 1978."Smithells Reference B
ACIERS
Condition
Shape
Forme
Désignation Française Equivalence avec les normes étrangères Etat
Norme
Allemagne Etats Unis Grande Bretagne
particulière
Coefficient of
Specific heat
Conductivity
Dimensions
Expansion
Thermal
Thermal
Température de
Coefficient de
Conductivité
Dimensions
Volumique
thermique
thermique
dilatation
Capacité
linéique
Fusion
Masse
D=diametre
C=cote s/p 20 à +100°
ep=épaisseur
Elongation
Resistivity
Hardness
Ultimate Strength
Limite élastique
Allongement
Résistivité
Dureté
Limite de
mini
rupture
Re mini ou
Rm min Rm max A mini
Rp 0,2 mini
17 550 - 300 18 -
17 520 - 270 19 -
17 500 - 245 19 -
17 630 780 430 17 -
17 600 750 380 19 -
17 550 700 320 20 -
17 680 1000 510 6 -
17 660 910 470 7 -
17 640 880 450 8 -
17 620 840 410 9 -
17 590 820 370 10 -
torsion à 20°C
d'élasticité de
d'élasticité de
Module
Module
Sources
Principe :
Le principe consiste à couler du métal liquide dans une coquille animée d' un mouvement de rotation autour de son axe .
Le métal liquide est soumis à une force centrifuge tendant à l' éloigner de l' axe de rotation et à le plaquer contre la paroi de la c
Avantages :
Ce procédé d' élaboration permet d' obtenir d' excellentes qualités physiques et mécaniques du métal.
La force centrifuge, qui s' exerce pendant toute la solidification de l' alliage, limite les défauts, élimine les inclusions de toutes s
La centrifugation permet également de réaliser des pièces bimétalliques, des pièces coniques et des bagues à collerettes.
nt de rotation autour de son axe .
ques du métal.
éfauts, élimine les inclusions de toutes sortes en les expulsant vers l' alésage. La structure du métal est donc plus fine, plus compacte et plus h
L' installation peut être horizontale ou verticale et autorise la production de barres en grandes longueurs. (long. standard env.
Cette technique permet la réalisation de profilés de section pleine ou creuse, de formes variées : Barres rondes, carrées, méplat
Principe :
Le métal en fusion se trouvant dans un four de maintien passe dans une filière en graphite refroidie. La barre profilée, totalem
Avantages :
La forte pression qui s' exerce dans le four de maintien liée à la vitesse de refroidissement, confèrent à l' alliage une structure p
Ce procédé permet d' obtenir des demi-produits de bel aspect, facilement usinables, avec des cotes précises, et des caractéristiq
randes longueurs. (long. standard env. 3 m)
hite refroidie. La barre profilée, totalement solidifiée, est tirée au moyen de galets qui servent également de guides, puis est tronçonnée à la lo
nt, confèrent à l' alliage une structure particulièrement fine, compacte, homogène, étanche sous grande pression, et exempte de toutes impu
Fontes Grises
Ft25 1ère fusion 100 - 400
Emplois : Radiateurs - Baignoires - Bâtis M.O. - Marbre atelier - Bloc cylindre - Engrenage
Les fontes
Ce sont des alliages (Fer + Carbone) plus éventuellement des éléments d'addition (Nickel - Chrome - Silicium -
Suivant l'allure du haut fourneau, la nature et l'importance des éléments d'addition on obtient des fontes diffé
A l'état pur, le fer n'est pas utilisé en construction mécanique. On le trouve sous forme d'alliages comprenant
De 2% à 6% de Carbone : FONTES
De 0,05% à 1,5% de Carbone : ACIERS
Les aciers sont obtenus par affinage d'une fonte blanche (C'est éliminer par combustion une majeure partie du
Suivant le niveau de l'affinage, la nature et l'importance d'éventuels éléments d'addition on distingue plusieur
FONTE BLANCHE
Remarque : Pour garantir une aptitude particulière d'un acier, on adjoint une lettre à la désignation
XC.18 S Soudable
XC.42 TS Aptitude à subir une trempe superficielle
C K G M
Tableau
Matière
2 à 17
ilebrequins - Arbre à cames
aitement thermique
10
8
er les caractéristiques
D N Pb T W V
nts d'addition
me (C ou Cr) : 7%
m (S ou Si) : 2%
Silicium
S
Les Alliages non ferreux
Les plus importants sont les alliages d'Aluminium dits "alliages légers", les alliages de Magnésium dits "Ultra l
de Zinc et les alliages cuivreux.
a : Lettre du métal de Base (éventuellement suivie d'un indice de pureté chimique)
b : Symbole et teneur de % d'élément d'addition
A U ou Cu Sn G
Alliage de Magnésium (ex : G-A9 Z1): Ultra léger , Employé en aéronautique, industrie automobile - Machines
Cuivres et ses alliages : Le cuivre est très malléable, ductile et bon conducteur. Provient de l'affinage du minér
U6 4 = 99,4 % de pureté
Métal non allié 6 = 99,6 % de pureté
9 = 99,9 % de pureté
Industrie électrique - laboratoire
Alluminium et ses alliages : Malléable - ductile - moulant bien - bon conducteur - extrait par traitement electr
EN AW-1050A A5
Industrie chimique et alimentaire
Mise en œuvre : L'usinage des allliages non ferreux fait appel à des vitesses de coupe - des angles de coupe _ u
Alliages légers γ = 20 à 30 ° Lubrifiant souhaité, pétrole
Cuivre γ = 40 °
Bronze - Laiton γ = 0 ° Usinage à sec
EN AW-2017A A-U4 G
A-U4 G DURALUMIN pièces forgées - Aviation - Automobile
A-S13 ALPAX Pièces moulées - toutes industries
A-G5 ADURALINOX Pièces de chaudronnerie - Marine
Tableau
Matière
Pb Z ou Zn S
γ
Tableau
Matière MAINTIEN EN TEMPERATURE (AC3+
Glossaire CONDUITE DE LA TREMPE Rapide dans un bain (eau, huile). Plus le r
trempe est dure.
Choix du liquide en de la dureté à obtenir.
Température La vitesse ne doit pas être trop grande. R
400°
-------------------------------------------------
Chauffer lentement jusqu'à 400°
pour éviter les TAPURES.
EFFET DE LA TREMPE
AUGMENTATION DIMINUTION
Dureté Résilience
Allongement élastique Allongement %
Limite élastique Malléabilité
Résistance à la rupture
900° ROOZEBOUM
800°
775°
720°
0 0,2 0,4 0,6 0,85 1 1,3
MAINTIEN EN TEMPERATURE (AC3+50)
Rapide dans un bain (eau, huile). Plus le refroidissement est rapide, plus la Rappel :
rempe est dure.
Choix du liquide en de la dureté à obtenir. Acier = Fer + Carbone (0,05 à 1,7%)
La vitesse ne doit pas être trop grande. Risque de CRIQUES,TAPURES
NOTION SUR LES POINTS DE TRANSFORMATION
DES ACIERS
REFROIDISSEMENT:
L'examen au microscope de l'acier au carbone révèle ce qui
Pour obtenir un chauffage à cœur suit:
le temps varie en fonction de 1/ à l'état naturel (froid), le carbone existe dans le métal
l'épaisseur. sous forme de mélange (ferrite, perlite, cémentite), il forme
avec le fer demeuré libre un mélange non homogène.
Eviter un maintien exagéré à cette
température, risque de 2/ à haute température (»900°), le carbone qui existait à
DECARBURATION. l'état de mélange se dissout uniformément dans la masse
(austénite). L'acier est alors parfaitement homogène.
CIERS AU CARBONE
1 1,3
er = Fer + Carbone (0,05 à 1,7%)
BUT :
Diminuer la fragilité du métal (K ↑)
Supprimer les tensions interne produites par le refroidissement brusque
INCONVENIENT :
Atténue la dureté H et la résistance à la rupture Rm
RECHAUFFAGE:
Température < Trempe
Entre 200° et 550° suivant les résultats souhaités
REFROIDISSEMENT
Plus ou moins rapidement à l'air ou à l'huile
Rappel :
Acier = Fer + Carbone (0,05 à 1,7%)
r les aciers trempés.
MARQUES :
s la température augmente, plus la dureté diminue et plus la résilience augmente.
er = Fer + Carbone (0,05 à 1,7%)