SRUHORHORPRHEPREUPP eee eee eee eee
Ne ee
< Yat-/l place pour 2! hunun dans
Ca sadence contemperaine? >>
ee monde le la science se characke'rise par une
Longue tradition oe progre's exceptionnels, parbois
margvé par oles contlits sodaux Concernank sa
role, sesintentions ef ses Limites acceptahler,
Aa tronstion vers un monele Cargement ligital
mon sevlement perplexe cet olehak deja existant,
mais aussi crée une nowelle structure souak ans
Laguelle Les limites entre notre survie e & £ 'evo-
hotion scientifique ne sont phus tragables. Dans
ce_contexte, guel est 4 rbhe oe La science
contarmporoine e4 comment pourrast -on La trou te
a’une maniére consuente e+ Logigue!
de commnute sceatitigue jot sant olovte un
rie prinapal dans Le meintien Aun certain
niveav ole qualité olans La vie humaine eins gue
dans La minimisation oles Vuctevrs gu La me-
mancent.. Ayjourd tu, La recherche parse olans
un e'tak beavcoup plus pratique atin ole lonner
des solutions ethicaces concernant La santé
umoine,, 2 ecologic et La surpoprlation. Cepe-
nedant, pn vor qve_guelgves f* opp Grea trons
Lendent' 2 prevopver oles rewetions contrad)-
y ; 5 .
letorres 2 a fois of Le communau te lamin.
+ oly public. au general,
Mabgre Le bast gue ce plebat a porters
Ses_orrpines olans Le manguve ole connaissances
ou La edi fhusion systematiqve ole tausses into
rmotons, catte mehiance envers quelques prak-
gues peut se justifies dans certains cas. Lane
Une point ole vue histertgve, Une se'ne a ‘aci—
olents Hragigues comme L utilisation ole baAombe atomigve 7 Lu catastrophe nuclewre qui
a suv), mis en boute La nature brenvellante
ote ce “omoine. Le public @ progressryement
adopte @' opinion gue L evolstion scientifique
cree un cercle vieeux gu est responsable pour
E'alkternation rapidhe entre progtes et ele sastre.
On povrrart egalement sovtenir gue La old gra
ation ole L environment conse vn exemple
Froppant gui rentie olans cette categoric.
Liachwte' indlustrie/te, bien que soit catalyste
ote Lo transition vers une soveé+é avance'e
est presgue absokumen? respomab€e Lun
probleme quthle essaie erotes Me resoelre
actreklement.
En olehors ole ces echece, oles inguietucles
ont exprimees par Ze public sur Les intere'ts
et Bribe soue'tah we Lu sdence. On ne
peut pas nier gue recherche olepend Largement
oles centres ofe pouvoir economiques &t poG—
tigues gui eet ine variete oles pryets,
mettant en cause £ okjectvte generale
ols conckstons. Cette relation ole epends-
nee aims: gue Ci abeenation Le migev acaclnigua
vis-a-vis dy pubbc, cre'enk L impression gu th
aun besoin urgent de Levenir ples access hte
ef sponible pour notre bien commen. Farce
Ls petnds ep cuse come Le pandlemie
Coud-14. ont montie La gp teumeat gp rancke
prtentil ole La science I Cray,
sur_ses objectif{i humanistes
eve
Se concentreComment “tre done rassute’ gue La recherche se
troure dan, La borne elirection: ox reponse re'stole.
en grancle porte dLans La promotion ole La broe thy-
gue e? ces applications. Ce clernier_a La possib-
B1e Lf etab@y oles criteres moracx et oles
Gates gu protegent Les valeurs humanistes et
oninimisent Le Langer A applications Catast rop hi-
ques. La preseme active of La broethique
ainsi oye une _snftiative = stematigue Vers La
eeimuratisation Ces conneysances scenthoues,
clemystifiera radiealement Le Lemoine ot
mePbra tn aux theories lo complet gw nus ent
a Bimege ole La suvence cMan: La sphere
| piiigve
€s4 1h done temps 6 changer? La sctence a
en oh Ly sure,
ole Levolution e+ ote maintien 0 L'humante.
Avec 2 ase precievse lv mibev universitaire ef
CO aolep tion o@ one approche plur rea—mpts
centee sur human (Lest probabLeacent
Yemps pour nous & embrasger Le gon pry res serenh=
Ligue et comprenolie geile n'est ni SouhaitabIe
nt _plavible oe am vivre. en ocbehors ‘elle.
Cachroniguement ete! La_mo