77), some. SF X; de formation des contrats, ce sigue ent et la responsabilité civile déli lea et en particulier les, ent, 4 toutes les obligations d'information a} att fonsemternent d'un contractant, méme si ce consentement n iusion d'un contrat, mais & d'autres décisions telles que ¢ fier, résilier un contrat, Ou encore exercer une quelconque optic texécution du contrat (578). 19 dep En réalité et de fagon encore plus générale, c'est-a-dire abstract obligation d'information, cette conclusion est cohérente avec la p quasi ité de la doctrine qui étend - avec quelques am nents - | jusidique des vices du consentement @ tous les actes juridiques, et pas seuler ‘au contrat (579). Or nous proposons simplement de considérer les ac juridiques accomplis au cours de I'exécution d'un contrat de facon autonome, ‘non pas par rapport ‘ace contrat. En d'autres termes, nous proposons de to ir rattacher le consentement ‘d'un contractant a l'acte juridique qu'il a condui fen particulier, de qualifier ‘obligation d'information par rapport a juridique qui en a été la source et non pas par rapport au contrat au Texécution duquel elle a été imposée. En effet, nous avons consta ne nouvelle conventio ative au contrat initial, soit 4 I'accomp! ct we unilatéral. Dans les deux cas, ces exemple, les décisions de reconduire un contrat, © odifier, d option, peuvent trés bien se trouver viciées par une erreur, une cont fncore une manceuvre dolosive. Dans ce cas, le préjudice subi par le « Mest pas toujours utilement réparé par l'allocation de domn contractuels, et encore moins par la résolution du contrat. Tl nous ‘déquat d'annuler, non pas le contrat Iui-méme ce qui serait si résolution, mais uniquement la décision viciée, Cest-d-di ‘Ontrat en Iui-méme resterait logiquement inchangé Pv 6e et que son exécution est satisfaisante. En rev bie popyerant Témission d'un consent M tentes de celles qui concernent l'exécul la ité de réserver le régin