1. Le niveau sonore maximal ne présentant aucun risque est 80 dB, et le niveau maximal émis par le casque du baladeur est 100 dB. 2. Le niveau sonore maximal de l’orchestre pendant un concert de musique classique peut atteindre 110 dB. 3. Le niveau sonore maximal du casque est inférieur à celui au cœur du concert, et il est équivalent à celui d’une tronçonneuse. 4. Les musiciens professionnels, ne pouvant pas s’éloigner les uns des autres dans l’orchestre, pourraient porter des protections auditives limitant le niveau sonore, comme des bouchons d’oreille spéciaux pour les musiciens. Ressource complémentaire
Exercice 2 : Les sons des mammifères marins
1. Le champ auditif humain s’étalant de 20 Hz à 20 kHz, on pourrait entendre la baleine dont le chant est émis autour de 4 kHz. Par contre, les clics du dauphin sont émis à une fréquence supérieure à celles perceptibles par les humains. 2. Le niveau sonore d’émission des mammifères marins est très important, largement supérieur à celui des humains. Mais dans l’eau la propagation des sons est différente, plus difficile. Exercice 3 : Distance et niveau sonore 1. D’après l’abaque, à 3 m, il y a une atténuation de 9,5 dB. 115 - 9.5 = 105,5 dB ; donc à 3 m de la scène, le niveau sonore est de 105,5 dB. D’après l’abaque, à 10 m, il y a une atténuation de 20 dB. 115 - 20 = 95 dB ; donc à 10 m de la scène, le niveau sonore est de 95 dB. 2. Pour avoir 90 dB maximum au niveau des oreilles, il faut donc une atténuation de 25 dB. D’après le document, pour avoir cette atténuation, il faut reculer d’environ 18 m. 3. Chers spectateurs ! Préservez vos oreilles ! Pour cela, ne restez pas trop près des enceintes et reculez à 20 m. Si vous ne résistez pas à l’envie d'approcher vos musiciens favoris, pensez aux protections auditives ! Exercice 6 : Écouter le silence Compétence Chez les 2 individus testés, on constate une activité cérébrale au niveau du cortex auditif (gauche et droit) lors de l’écoute d’un son, signalée en rouge. Mais on constate aussi une activité localisée au même endroit (en jaune) ou à proximité immédiate (en vert), lorsque les individus « écoutent le silence ». On peut donc affirmer que l’écoute du silence active le cortex auditif, quasiment comme l’écoute d’un son. Exercice 7 : Sur l’IRMf du bébé endormi, on constate la présence de deux zones activées, situées au niveau du lobe temporal, plus précisément au niveau du cortex auditif. Cette activité cérébrale est donc localisée comme lorsqu’une personne entend, on peut donc effectivement affirmer que le bébé entend lorsqu'il dort.