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Corrigé des exercices du chp 13

Exercice 1 : Niveau sonore et risques auditifs


1. Le niveau sonore maximal ne présentant aucun risque est 80 dB, et le niveau maximal
émis par le casque du baladeur est 100 dB.
2. Le niveau sonore maximal de l’orchestre pendant un concert de musique classique peut
atteindre 110 dB.
3. Le niveau sonore maximal du casque est inférieur à celui au cœur du concert, et il est
équivalent à celui d’une tronçonneuse.
4. Les musiciens professionnels, ne pouvant pas s’éloigner les uns des autres dans
l’orchestre, pourraient porter des protections auditives limitant le niveau sonore, comme des
bouchons d’oreille spéciaux pour les musiciens. Ressource complémentaire

Exercice 2 : Les sons des mammifères marins


1. Le champ auditif humain s’étalant de 20 Hz à 20 kHz, on pourrait entendre la baleine dont
le chant est émis autour de 4 kHz. Par contre, les clics du dauphin sont émis à une
fréquence supérieure à celles perceptibles par les humains.
2. Le niveau sonore d’émission des mammifères marins est très important, largement
supérieur à celui des humains. Mais dans l’eau la propagation des sons est différente, plus
difficile.
Exercice 3 : Distance et niveau sonore
1. D’après l’abaque, à 3 m, il y a une atténuation de 9,5 dB. 115 - 9.5 = 105,5 dB ; donc à 3
m de la scène, le niveau sonore est de 105,5 dB. D’après l’abaque, à 10 m, il y a une
atténuation de 20 dB. 115 - 20 = 95 dB ; donc à 10 m de la scène, le niveau sonore est de
95 dB.
2. Pour avoir 90 dB maximum au niveau des oreilles, il faut donc une atténuation de 25 dB.
D’après le document, pour avoir cette atténuation, il faut reculer d’environ 18 m.
3. Chers spectateurs ! Préservez vos oreilles ! Pour cela, ne restez pas trop près des
enceintes et reculez à 20 m. Si vous ne résistez pas à l’envie d'approcher vos musiciens
favoris, pensez aux protections auditives !
Exercice 6 : Écouter le silence Compétence
Chez les 2 individus testés, on constate une activité cérébrale au niveau du cortex auditif
(gauche et droit) lors de l’écoute d’un son, signalée en rouge. Mais on constate aussi une
activité localisée au même endroit (en jaune) ou à proximité immédiate (en vert), lorsque les
individus « écoutent le silence ». On peut donc affirmer que l’écoute du silence active le
cortex auditif, quasiment comme l’écoute d’un son.
Exercice 7 :
Sur l’IRMf du bébé endormi, on constate la présence de deux zones activées, situées au
niveau du lobe temporal, plus précisément au niveau du cortex auditif. Cette activité
cérébrale est donc localisée comme lorsqu’une personne entend, on peut donc
effectivement affirmer que le bébé entend lorsqu'il dort.

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