Chapitre VII Les Oscillateurs Mécaniques

Chapitre VII : Les Oscillateurs mécaniques.
Physique
DOMAINE D’ETUDE : MECANIQUE
OG3 : ANALYSER LES SYSTEMES MECANIQUES

EN MOUVEMENT
Chapitre VII : LES OSCILLATEURS MECANIQUES
Définitions.  Si l’oscillateur n’est sousis à aucune force

 Un oscillateur mécanique est un système en dissipative (frottements…), l’énergie
mouvement de part et d’autre de sa position mécanique totale est conservée.
d’équilibre stable.
Dans ce cas, on dit que le système effectue un On distingue deux types d’oscillateurs
mouvement oscillatoire. mécaniques :
 Les oscillateurs mécaniques
 Un mouvement oscillatoire est un harmoniques ;
mouvement périodique de va et vient autour  Les oscillateurs mécaniques non
d’une position d’équilibre qui se répète harmoniques.
identique à lui – même à des intervalles de
temps successifs égaux.
A. Oscillateurs mécaniques harmoniques.
 La période T est la durée d’une oscillation
complète ; c’est – à – dire l’intervalle de Définition : Un oscillateur mécanique
temps constant qui sépare deux passages au harmonique est un oscillateur dont
même point dans le même sens. l’élongation du mouvement obéit a une fonction
Elle se mesure en seconde (s). sinusoïdale du temps.
 La fréquence correspond au nombre de

périodes par seconde. Suivant la nature de la trajectoire décrite par
l’oscillateur, on distingue :
Elle se mesure en hertz ( ).  Les oscillations de translation.

Exemple : Mouvement d’une masse accrochée
 Les oscillations sont libres si, une fois à un ressort.
écarté de sa position d’équibre, le système  Les oscillations de rotation.
susceptible d’osciller, est abondonné à lui – Exemple : Mouvement d’une balançoire ou
même. celui du balancier d’une horloge.
Proposé par Yann Norfé BEMBA (L’expert) & Ing. Le – Sage KIF
CENTRE D’ENCADREMENT SAVOIR & LOGIQUE : ceslogique@yahoo.com 1
Chapitre VII : Les Oscillateurs mécaniques. Physique
I. Mouvement rectiligne sinusoïdal (MRS).

0
I.1. Etude cinématique.
0 0 0 0
I.1.1. Définition : On dit qu’un point M est en
mouvement rectiligne sinusoïdal lorsque son On obtient alors la courbe de la figure 1 ci –
équation horaire est de la forme : dessous :
( )
+ xm
: élongation de M ( ) T/4 3T/4 5T/4

: amplitutde du mouvement ou élongation O t
maximale ( ) T/2 T
( ) : phase du mouvement à l’instant t. - xm
: pulsation du mouvement ( )
: phase initiale ( ) Figure 1
Remarque : I.1.2. Périodicité du mouvement.

 , et sont des constantes A partir d’un instant quelconque, le
déterminées à partir des conditions mouvement se reproduit identique à lui – même
initiales du mouvement. chaque fois que le temps augmente d’une
 Le mobile se déplace entre deux période.
positions extrêmes – et + Un tel mouvement est dit périodique , de
telque : période :
Représentation graphique du sinusoïde. Avec :

( )
Conditions initiales : à t = 0 ;
Ainsi :
La représentation graphique de l’élongation x I.1.3. Vitesse linéaire.

du mobile M aux différents instants tels que L’élongation de M étant de la forme :
consignés dans le tableau ci – dessous, en ( )
considérant des inervalles de temps successifs ̇( ) ( )
et réguliers variant de donne la courbe
sinusoïdale (sinusoïde) décrite par M. ̇ ( )
I.1.4. Accélération linéaire. I.2.1.1. Pendule élastique horizontal.

La vitesse de M obtenue en dérivant
l’élongation de M est telle que : Schéma : Le système est posé sur un plan
̇ ( ) horizontal immobile comme l’indique la figure
̇ 2 ci – dessous. On écarte le pendule de sa
̈( ) ( )
position d’équilibre en le tirant d’une distance
( ) xm, puis on le lâche sans vitesse initiale à t = 0.
D’où : Le système oscille entre les points A et A’.
̈
G
(S)
(a)
I.1.5. Equation différentielle. xm G
Une équation différentielle est une équation qui (S)
établit une relation entre une fonction et ses
dérivées. Dans notre cas d’étude, en x ⃗ (b)
considérant l’expression établis de ⃗ G (S)
l’accélération du mobile, on a : (c)
̈ x’ A’ O A x
̈ ⃗
Soit :
Figure 2
a) Etude dynamique:
 R.T.S.G ;
Ceci est une équation différentielle du second
 Système d’étude : Solide de masse (m) en
ordre sans second membre, caractéristique
translation rectiligne ;
d’un mouvement rectiligne sinusoïdal
admettant des solutions de la forme :  B.F.E.A : ⃗ ; ⃗ ; ⃗ .
 T.C.I : ∑
( ) ⃗ ⃗ ⃗
ou  Projection du T.C.I suivant (x’x) :
( )
Avec et ̈
̈
̈
I.2. Etude dynamique et énergétique. D’où :
I.2.1. Etude du pendule élastique.
̈
Un pendule élastique est constitué d’un solide
de masse m accroché à l’exremité d’un ressort
à spire non jointives, de constante de raideur K
tandis que l’autre extrémité du ressort est fixe.
Ou :  Expression de l’énergie mécanique EM
̈ ̇ ̇
Conclusion : Ceci est une équation
différentielle du second ordre sans second ̇( ̈ )
membre, caractéristique d’un mouvement ̇ ̈
rectiligne sinusoïdal dont les solutions sont de D’où :
la forme :
̈
( )
̈
 La période T est telle que : Ou :

 La fréquence sera : différentielle du second ordre sans second
membre, caractéristique d’un mouvement
√ rectiligne sinusoïdal dont les solutions sont de
la forme :
( )
 La période T est telle que :

Note : La détermination des autres paramètres
du mouvement du mobile (amplitude et
√
phase initiale ) nécessite la connaissance des
contidions initiales du mouvement.
 La fréquence sera :
b) Etude énergétique. √
 R.T.S.G ;
 Système d’étude : Solide + ressort +
terre.
Le système devient isolé, donc conservatif :
l’énergie mécanique se conserve.
I.2.1.2. Pendule élastique vertical. Ainsi, on obtient :

̈
Schéma : L’extrémité supérieure du ressort est ̈
fixé à un support immobile comme l’indique la
figure 3 ci – dessous. On écarte le pendule de
sa position d’équilibre en le tirant d’une
̈
distance xm vers le bas, puis on le lâche sans
vitesse initiale à t = 0. Le système oscille entre
les points A et A’.
(a) (b) (c) (d)

x’ ̈
Ou :
A’
⃗
⃗
O
(S) x
différentielle du second ordre sans second
⃗ M
(S) A
rectiligne sinusoïdal dont les solutions sont de
(S) ⃗
la forme :
x ( )
Figure 3  La période T est telle que :
a) Etude dynamique: √
 R.T.S.G ;
 Système d’étude : Solide de masse (m) en  La fréquence est :
translation rectiligne ;
 B.F.E.A : ⃗ ; ⃗ .
 T.C.I : ∑ √
⃗ ⃗
 Projection du T.C.I suivant (x’x) :
Avec ( ) et ̈ b) Etude énergétique.

( )  R.T.S.G ;
̈
̈
terre.
A l’équilibre (fig. b), on a :
⃗ ⃗ ⃗ ⃗ ⃗
l’énergie mécanique se conserve.
 Expression de l’énergie mécanique EM II. Mouvement sinusoïdal de rotation

(M.S.R)
II.1. Etude cinématique.
̇ ( )
II.1.1. Définition : On dit qu’un point M est
̈ ̇ ̇( ) ̇
animé d’un mouvement sinusoïdal de rotation
̇( ̈ ) lorsque son équation horaire est de la forme :
̇ ̈
( )
A l’équilibre :
Ainsi :
̈ : élongation angulaire de M ( );
: amplitutde du mouvement ou élongation
̈ angulaire maximale ( );
( ) : phase du mouvement à l’instant t ;
: pulsation du mouvement ( );
: phase initiale ( );
̈
Ou : Remarque :
 , et sont des constantes déterminées
à partir des conditions initiales du
mouvement.
 Le mobile se déplace entre deux positions
Conclusion : Ceci est une équation extrêmes et telque :
différentielle du second ordre sans second .
membre, caractéristique d’un mouvement  Si à t = 0 ; , alors
rectiligne sinusoïdal dont les solutions sont de
la forme :  Le mouvement est périodique de période :
( )
Représentation graphique du sinusoïde.

√
( )
Conditions initiales : à t = 0 ;
 La fréquence est :
Ainsi :
√
0
0 0 0 0
On obtient alors la courbe de la figure 4 ci – ( )

dessous : ou
( )
T/4 3T/4 5T/4 II.2. Etude dynamique et énergétique.

O t II.2.1. Etude d’un pendule de torsion.
T/2 T Le pendule de torsion est un système constitué
d’une tige (t) suspendue par son centre d’inertie
G à un fil de torsion de constante C.
Figure 4 Ce fil de torsion dont l’extrémité est fixe, est
vertical et matérialise l’axe de rotation ( )
autour duquel peut tourner la tige, qui reste
II.1.2. Vitesse angulaire.
dans un plan horizontal.
L’élongation de M étant de la forme :
Le système est en équilibre quand le fil n’est
( )
pas tordu.
̇( ) ( )
On rappelle que lorsque la tige tourne d’un
angle , le moment du couple de torsion
̇ ( )
M∆ ( ⃗⃗⃗ ) est proportionnel à :
M∆ ( ⃗⃗⃗ )
II.1.3 Accélération angulaire. Schéma : Le fil de torsion est fixé à son

̇ ( ) extrémité supérieur à un point (figure 5).
̇ Ecartons le pendule de sa position d’équilibre
̈( ) ( ) d’un angle et lâchons – le. Il effectue alors
̈ ( ) des oscillations de rotation autour de l’axe ( ).
̈ ( )
II.1.4. Equation différentielle.

̈ ̈
Soit :
Ceci est une équation différentielle du second

ordre sans second membre, caractéristique (t) ⃗
d’un mouvement sinusoïdal de rotation
admettant des solutions de la forme : ⃗⃗⃗ Figure 5
a) Etude dynamique.  La fréquence sera :

 R.T.S.G.
 Système : Tige de masse m en rotation. √
 B.F.E : ⃗ , ⃗ , Couple résistant ( ⃗⃗⃗ ).
 T.A.A : ∑ M∆ ( ) = ̈
M∆ ( ⃗ ) + M∆ ( ⃗ ) + M∆ ( ⃗⃗⃗ ) = ̈ b) Etude énergétique.
 R.T.S.G ;
Or M∆ ( ⃗ ) = 0 et M∆ ( ⃗ ) = 0.
 Système d’étude : Tige (t) + fil de torsion
M∆ ( ⃗⃗⃗ ) = ̈ + terre.
Ainsi : Le système devient isolé, donc conservatif :
̈ l’énergie mécanique se conserve.
̈ = 0
̈  Expression de l’énergie mécanique EM
̈ ̇ ̇
̈
̇( ̈ )
Ou :
̇ ̈
D’où :
̈

sinusoïdal de rotation admettant des solutions
̈
de la forme :
( ) Ou :

 La période T est telle que : différentielle du second ordre sans second
√ de la forme :
( )
Exemple :
 Une balançoire ;
√  Le balancier d’une horloge.
La position d’équilibre stable est celle pour

 La période T est telle que : laquellle le centre d’inertie G se trouve sur la
verticale de l’axe ( ), au – dessus de cet axe
(voir figure 6).
√ On pose , distance de l’axe de
rotation ( ) au centre d’inertie G.
( )
O
√
Remarque : Tout comme dans le cas des G

oscillations de translation, la détermination des
autres paramètres du mouvement du mobile Figure 6
(amplitude et phase initiale ) nécessite la
connaissance des contidions initiales du
mouvement. I.2. Etude dynamique et énergétique.
Ecartons le pendule de sa position d’équilibre
d’un angle et lâchons – le. Il effectue alors
des oscillations de rotation autour de l’axe ( )
B. Oscillateurs mécaniques non (figure 7).
harmoniques.
Schéma :
Définitions : Un oscillateur mécanique non ⃗
harmonique est un oscillateur dont
l’élongation du mouvement n’obéit pas à une O ( )
fonction sinusoïdale du temps de la forme :
( ) (+)
M G
I. Etude d’un pendule pesant.
h
I.1. Définition : On appelle pendule pesant
⃗
tout corps solide mobile autour d’un axe ne
passant pas par son centre de gravité.
Figure 7
a) Etude dynamique. L’équation différentielle devient, dans ce cas :

 R.T.S.G.
 Système : solide de masse m en rotation. ̈
 B.F.E : ⃗ ; ⃗ .
̈ Soit :
 T.A.A : ∑ M∆ ( ) =
M∆ ( ⃗ ) + M∆ ( ⃗ ) = ̈
Avec M∆ ( ⃗ ) = – P.d et M∆ ( ⃗ ) = 0.
Ainsi : ̈
̈ membre, caractéristique d’un mouvement
̈ sinusoïdal de rotation admettant des solutions
̈ de la forme :
D’où : ( )
Avec
̈

̈
Ou :
√
différentielle non linéaire du second ordre √
sans second membre, n’admettant pas des
solutions de la forme :
( )
Conclusion : Dans le cas particulier
Alors l’oscillateur est non harmonique.
d’oscillations de faible amplitude, le pendule
pesant est un oscillateur harmonique de
rotation.
 Cas des oscillations de faibles
amplitude.
Pour que le pendule oscille sinusoïdalement il
b) Etude énergétique.
faut que le moment de rappel soit proportionnel
 R.T.S.G ;
à .
 Système d’étude : Pendule pesant + terre.
Si est petit ( ), est petit également.
Le système étant isolé, donc conservatif :
On peut confondre et exprimé en l’énergie mécanique se conserve.
radians.
Soit :
̈
 Expression de l’énergie mécanique EM

̇ différentielle du second ordre sans second
de la forme :
( ) ( )
Alors :
̇ ( )  La période T est telle que :
̈ ̇ ( ̇ ) √
̇( ̈ )
̇ ̈
D’où :
̈ √
Remarque : Si l’angle devient supérieur à 8°,

̈
la période T augmente légèrement avec
l’amplitude par la relation :
 Cas des oscillations de faible ( )

amplitude.
̇ ( )
Ainsi :
̇
̈ ̇ ̇ II. Etude du pendule simple.

̇( ̈ )
̇ ̈ II.1. Définition : On appelle pendule simple,
un point matériel de masse m, accroché à un fil
D’où :
inextensible de masse négligeable et de
̈ longueur en rotation autour de sa position
d’équilibre.
Le point matéreil est écarté de sa position L’équation différentielle est ainsi :

d’équilibre stable (fil vertical) d’un angle ̈
puis lâché sans vitesse initiale. Le point
matériel initialement situé en A décrit une D’où :
trajectoire circulaire entre les points A et A’ en ̈
passant par sa position d’équilibre. On dit que
Soit :
le système effectue des oscillations autour de sa
̈
position d’équlibre (figure 8).
Schéma :
de la forme :
( )
II.3. Expression de la période.

⃗
La période du pendule simple est définie par :
A’ A
√
(m)
⃗ √
Figure 8
Les résultats obtenus pour le pendule pesant

sont valables pour le pendule simple.
II.4. Pendule simple sychrone d’un pendule
pesant.
II.2. Equation différentielle.
Elle peut se déduire de celle du pendule pesant, Définition : On appelle pendule simple
précédemment établie. synchrone d’un pendule pesant, un pendule
Pour le pendule pesant : simple de même période que le pendule pesant.
Dans le cas d’un pendule pesant harmonique :  Longueur du pendule simple

synchrone du pendule composé.
 Pour un pendule pesant :
Pour le pendule simple :
√ ( )
 Pour un pendule simple : Exercice d’application.
√ ( ) Soit un ressort R de masse négligeable et de

longueur à vide ℓ0 = 30cm disposé
On a ( ) ( ) verticalement, est accroché à un support par
son extrémité supérieure. Si on fixe à l’autre
extrémité une masse M = 500g, R s’allonge de
√ √
5cm. On retire la masse M et on la remplace par
une masse ponctuelle m = 100g. A partir de la
position d’équilibre, on tire m vers le bas,
verticalement de 3cm puis on l’abandonne sans
vitesse. Détermine :
D’où : 1°) a) En utilisant la méthode énergétique, la
nature et l’équation horaire du mouvement. On
prendra pour origine des dates l’instant du
lâché.
b) La vitesse de m au passage par la
position d’équilibre.
c) La date de premier passage à l’abscisse
Remarque : 1,5cm en allant dans le sens positif.
R1 : La période d’un pendule simple est 2°) On recommence l’expérience en lâchant m
indépendante de la masse du point matériel, (dans les mêmes conditions) avec une vitesse
mais dépend de la longueur du pendule. verticale V0 = 0,3m/s, détermine l’équation du
mouvement de m. On prendra g = 10m/s2.
R2 : Un pendule bat la seconde lorsque sa
période des oscillations propres vaut T0 = 2s.
Corrigé.
R3 : La longueur du pendule simple peut varier
ℓ0 = 30cm ; M = 500g ; =5cm ; m = 100g ;
avec la température suivant la relation :
xm = 3cm ; g = 10m/s2.
( )
1°) a) Nature et l’équation horaire du
avec : mouvement.
: Longueur du pendule à la température
initiale ; x’
: Longueur du pendule correspondant à la
température t quelconque ; ℓ0
: Coefficient de dilatation linéaire ; ⃗
: température considérée. ⃗
O
(m) x
⃗
(m)
(m) ⃗
x
 R.T.S.G ;
terre.
l’énergie mécanique se conserve. √
 Expression de l’énergie mécanique EM

√
̇ ( )
D’où l’équation horaire du mouvement est :
̈ ̇ ̇( ) ̇
̇( ̈ ) ( ) ( )
̇ ̈ ( )
Ou ( )
A l’équilibre :
Ainsi :
̈ b) La vitesse de m au passage par la position
d’équilibre.
̇ ( )
̈
Au passage par la position d’équilibre x = 0.
( )
Conclusion : Ceci est une équation ( )
membre, caractéristique d’un mouvement Ainsi :
rectiligne sinusoïdal dont les solutions sont de ̇ ( )
la forme : D’où :
( )
A.N :
 Equation horaire du mouvement.
( )
{
̇ ( )
A l’instant t = 0 : ; ̇ .
{ { c) La date de premier passage à l’abscisse
1,5cm en allant dans le sens positif.
( )
Trouvons .
√ ( )
Avec le solide de masse M, on a à l’équilibre : ( )

⃗ ⃗ ⃗ ⃗ ⃗
Au premier passage à la position d’équilibre :

k = 0.
| |
D’où :
2°) V0 = 0,3m/s,
Détermination de l’équation horaire du
mouvement de m.
( )
{
̇ ( )
A l’instant t = 0 : ; ̇
{ {
( )
( )
D’où la nouvelle équation du mouvement est :
( ) (m)

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DOMAINE D’ETUDE : MECANIQUE

OG3 : ANALYSER LES SYSTEMES MECANIQUES

Chapitre VII : LES OSCILLATEURS MECANIQUES

Définitions.  Si l’oscillateur n’est sousis à aucune force

 La fréquence correspond au nombre de

Elle se mesure en hertz ( ).  Les oscillations de translation.

I. Mouvement rectiligne sinusoïdal (MRS).

: élongation de M ( ) T/4 3T/4 5T/4

Remarque : I.1.2. Périodicité du mouvement.

Représentation graphique du sinusoïde. Avec :

La représentation graphique de l’élongation x I.1.3. Vitesse linéaire.

I.1.4. Accélération linéaire. I.2.1.1. Pendule élastique horizontal.

Ou :  Expression de l’énergie mécanique EM

Conclusion : Ceci est une équation

 La période T est telle que :

I.2.1.2. Pendule élastique vertical. Ainsi, on obtient :

(a) (b) (c) (d)

Figure 3  La période T est telle que :

Avec ( ) et ̈ b) Etude énergétique.

 Expression de l’énergie mécanique EM II. Mouvement sinusoïdal de rotation

 La période T est telle que :

Représentation graphique du sinusoïde.

On obtient alors la courbe de la figure 4 ci – ( )

T/4 3T/4 5T/4 II.2. Etude dynamique et énergétique.

II.1.3 Accélération angulaire. Schéma : Le fil de torsion est fixé à son

II.1.4. Equation différentielle.

Ceci est une équation différentielle du second

a) Etude dynamique.  La fréquence sera :

̈  Expression de l’énergie mécanique EM

Conclusion : Ceci est une équation

Conclusion : Ceci est une équation

La position d’équilibre stable est celle pour

Remarque : Tout comme dans le cas des G

a) Etude dynamique. L’équation différentielle devient, dans ce cas :

 La période T est telle que :

 Expression de l’énergie mécanique EM

Remarque : Si l’angle devient supérieur à 8°,

 Cas des oscillations de faible ( )

̈ ̇ ̇ II. Etude du pendule simple.

Le point matéreil est écarté de sa position L’équation différentielle est ainsi :

II.3. Expression de la période.

Les résultats obtenus pour le pendule pesant

Dans le cas d’un pendule pesant harmonique :  Longueur du pendule simple

 Pour un pendule simple : Exercice d’application.

√ ( ) Soit un ressort R de masse négligeable et de

 Expression de l’énergie mécanique EM

Avec le solide de masse M, on a à l’équilibre : ( )

Au premier passage à la position d’équilibre :

D’où la nouvelle équation du mouvement est :

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