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Hugo-Les Miserables - Tome I - Fantine
Hugo-Les Miserables - Tome I - Fantine
LES MISÉRABLES
Tome I – FANTINE
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Les textes sont livrés tels quels sans garantie de leur
intégrité parfaite par rapport à l’original. Nous
rappelons que c’est un travail d’amateurs non
rétribués et nous essayons de promouvoir la culture
littéraire avec de maigres moyens.
BALMINETTE
Bigre de bigre !
Je me mouille les pieds ! Nous sommes embourbés.
Mes brodequins tout neufs de dix francs sont flambés.
{100} Recueils de textes souvent sentimentaux,
précieux par la reliure et les gravures. Madame Bovary
stigmatise l’effet dévastateur sur la sensibilité féminine,
et sur le goût, de cette mode venue d’Angleterre.
{101} Ce professeur de droit (1784-1854) servira
encore en III, 4, 2 : Oraison funèbre de Blondeau, par
Bossuet, texte annoté 17.
{102} Châle fabriqué en France par la maison Ternaux,
imitant le cachemire. « Boiteux » : qui n’a de palmes que
d’un côté. Pour leur mariage, Victor offrit à Adèle un
« cachemire français ». Était-ce un « ternaux boiteux » ?
{103} Il faut peut-être rapprocher ce mot de celui de
Gavroche appelant Cosette « mamselle Chosette » (IV,
15, 2).
{104} « Je suis de Badajoz ; l’amour m’appelle. Toute
mon âme est dans mes yeux parce que tu montres tes
jambes. » On ignore si cette chanson est authentique ou
l’oeuvre de Hugo : indécision qui est l’effet volontaire du
texte.
{105} Cet épisode rappelle à la fois l’été 1819 où les
Hugo rendaient visite aux Foucher alors en villégiature à
Issy, et la balançoire des Feuillantines. Double image
d’Adèle qui, comme Fantine, n’aimait pas trop être
balancée (voir Victor Hugo raconté…, ouv. cit., p. 134).
{106} Le jardin Beaujon, ancienne propriété du financier
Beaujon, était une sorte de Luna-Park, et les « montagnes
russes » y furent inaugurées le 8 juillet 1817.
{107} Molière dit, plus exactement :