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brie de Cours de Liaison Chinnique (Chapitre l) Par Prof. Dr. SOPBUL PONDIO Emmanuel, Pour tes filigres : Chimie I et Physique l f TA CTT LE MODEL QUANTIQUE DE ’ATCME wy . 4% Préreauls: - “Connatssances élémenaires sur lex phnoménes vibratotres Foir a + Forces tlectrostatiques (lol de coulomb) * ' covigsite peg ~ Travail d'une force, Energie potentielle, | aoe oan ~ Modéle de Rutherford de l'atome . | | Pour Vessentiel des objectify ——" ‘éoudiant doit devenir capable de vw» ¢ Décrire le nodéle de Rohe de Vatome.... eed 1 ¢Expligicer,lé mécanisme de absorption et de l'émission dis rayormement| mmatitre tla vructure du spectie de Viydrogine. °°" Cer les quire nombres quantgus et quer les vais Gul pewvent prére: *Colesler-'uh des trols pombres A, ZN, consist les de autres, | °°" | 5 Exloier les résultats maditrcitques. obterus pour pouvoir determiner the Inconmue | queeonqie. |” ee FOUR ie [gee | + Formuler le\principe de la théorie des ‘quanta, | | Mots, Clés: on Enission, Wat excitl, Bat fondamental, Fréquence,\Longueur d'onde, ‘Nombre. quartique, Photon ; Quantym; "Quanta, Quantification ; Rates. (spectraley), Séries de rates ; ‘Spectres continu, siscontiny’; Transition tlectronique,... * ‘ de: YGéndatés eat mmission Ma a de son Pouvoit explicdtif; il en résulte deux-axes trés distincts de la « scienée de la. iére ». ay La structurd du Noyau “4 : mo Crest objet "étude do la. physique nucléaie. La stricture da’nyan intkresse trés pea le chimiste car les réactidns chimiques ne ‘mettent en jeu qué’ le comportement de certding Electrons, © * NB. :Le domaine de la « chimic'mucléaire n; stinléresse & Wa fadioactivité aux réabtions mucléaires et aux transmutations, | EAE | ** Ce domaine seléve de. la: chimie: physique, La connaissance de oestin du «mpage: ledrsnigjup.» est absglument nécessaire our comprendre la chimie. Cy Raragraphe la décrt selon Je ‘modele.44ditige, ou| modéle de Bohr, Dans co moiltle electron est conbidéré cdmmé une particule en mouvement4,Plus Ipin, ’atome sera décrt en considérant ’électron oh plus ‘une particule ‘mais plutdt copnme une onde, : 4 ‘ i Lé principe dd la quantification de’énergie, et la diaition di nombres quattiques sont deux points esseaticls {les modéles récents de atome, woth da Comme le mopéle de Dalton, celui de Rutherford n’appofte, aucune base dt [interprétation: pour |a diversté des propriftés des éléments (métaux, non métaux, gaz inetes, ..) ni par leur valence. Ce modéle ne permet pas par ailleurs dexpliquer les caractéristiques des ‘species d’émission des atomes, 4a été surtout conc ‘pr Permettre 'interprétaton des spectre d'émissioh dea atones, by | Vorganisi n du «nuage-dlectroniquen.® "© Ls ise Syllabus Free of Charge for Chem Copyright© AU Rights Reserved: This document or any part t id {any form for conrmecil purposes without the writen person the oe Es . _“ Scanné avec CamScanner price ‘du Cours de Liaison Chimigue (Chapitre I) Par Prof, Dr. SOPBUE FONDJO {mmanuel, Pour les filidres : Chimie I et Physique !- rergie entre la matiére et le rayonnement ~ La pectroscopie 2 Tes échaniges a) Le rayonnenient électromagnétique La lumbére est un exemple de rayonnementélectromagnétiqu Creslune forme d’énergic, qui ‘se propage sous forme dune onde (c’est-a-dire un phénoméno vibratoire) carpotérisés par ~ ting vitesse de propagation C ; c = lang fréquends v (nombre de vib ar seconde) ; ‘ + longueut d’onde 2. (distance pendant une vibrati 7 fe) se propagent| dans $2 vide a la:vitesse fata Les grahklours Wet v varicat en fonction déla nature du rayonnement @lectremagnétque. 2x) oe aor -t0 ¥ 30 109 10.94 0 2 om (Hse wt [1 r9er0 00 108 4 BH we JOH BOK JO" PEO om 1081 | stig. 4 Les domaines dw Rayonnement dlectromagnétique parla mati¢re | jf by- L’émission et Pabsorption du rayonnement eat se proguie de deux Les échanges cPénergie entre la, mati et le rayonriement pew ‘maniéres. i —> Iipeut avoir} \émission de rayonnement par la matiére. BExempes:= Sourees umineuses Goleit, ampoules @ iieandescence, flarames, | tis «stn, yer bats) i | Ryonnement UY Campes UY, lampes Abronzer, ete); * ft i l ‘General Chet aaa Fe Cor Can nd ss TS ‘ Generate right Alght Reyereed This daument or any part heea/ mu net reproduced edindrclal purposes without the writen permission of the autor. in any form for} a % a Scanné avec CamScanner Abrégé da Cours de Linison Chimique (Chapitre l Par Prof. Dr. Sopa Emmanuel, Pour led flares : Chimie Vet Ph iysique L ' z spethe "andlyse spectrale Pun rayonnement: cas‘ dune shirce énfetiant un spectre Ue fisceas nl bar Source S comport uncertain nombre de riiaton He fréquencea (ou longuow donde) diffdrentes & ta ‘raversée dh prisme, chacune de ces radiation est séparée pour onsttver un fhisccauMtnet qui fomne sur eran pe ie image de fa letilld L). 11 Dy aura sur ‘eran autant de raies Qu’il y a des radiati ‘ = a ‘dans l¢ rayontiement émis pat fa sourpe S. La déviation du faisceau Inmineux. Parl souice§ est Pant i pies grande 7 dq divi oT Hi.3 Schéma de prieipé d'un spectrographe ; 3} Led spectres atontiquis ' it ; Las atone n'¢mettent un rayonnement que lorsqu'ils sont exits (pdr Exémjlé: «En pulvéisant une soluiin de NaCl dans ne femme, en jaunt, coyfir dif rayonnemeat mis pres atomes de sodian ( orsqu’une niaimite contenant de Peau salée «'déborde » suiine cuisiniére & g i * Gn obtient ‘les. mémes; résultats. par Paction’ tun ct (Cincelle entre dev électrodes, décharge dans un gaz) ot ; Les. mayomioments qui en résultent.produisent des spectres de'raies,| comportant un crsonble de Géqueyces carictéritiques. de chaque élément. Uanalyst des. spectres: {Fémission consitye ube méthode analyse chimique des métaux t des sliaghs Na Exemple : ceed f + Lanalyse de Ja lumiére reyue d'un astre (tiles, use, soleil, etc.) permet de savoir xs quels éléments y sont présents, ee % : Tas dqunel assigns de chaque élément gont stricternent is vasables iy" al ne i Iw i. : re Asp om ho as 4)-Le specire de Vatome Whydrogine’ a2 Gi =p FF Le spectre d’émission de hydrogiie comporte un grand nombre! de ries dans ultraviolet, le visible bt Vinfra-fouge. West eal cmpiriquement que les fiéquences do ces ries sont lonnées par la. yf Le a : ay ie General Chey Crs Slabs Fes of Charge fir Chemise Tad Pas Sdn : Conyrighet AU Rights is document or any pat thereoaust not be fod ‘any form for commercil purposes without the writen permission ofthe author, ' relation i= Ry. f me (Chapitre I) Par Prof. Dr. OpHUEE FONDIO fe ef Physique J Abrigé du oe de hiaison Chinig Emmanuel, Rour les, fi bres ¢ nl ines oon de Wlevisos, ras, tc) ' —_ ~TOndes hertzionnes (antennés de ra i ; +» Ihpeut avoitabsprptioa de I’énexgié id yn'rayonnement parla maitre, | Exemples : ~| Liexposition d'un objet ail goeil, dntraine son échauffement mee | Gersinds partes denges ducomps pevent absorber des X,et apparaisient alors hiires da «radiographies »; | Agi Y es alisorptioné dans les. domaines: de VIR, 1'UV, In RMN Et les Rayurls X, trouvent ‘Hinipeantes applica’ dans és domaines varigs tels fue la chimie analytique fctures ;,des. composes corganiques et inorganiques), la | (détermjnation des, sth ‘ photocliimie, etc. + do ee Eeatnalj spectrale ~Spiectrés continus i aiscontinns tones 5 Lorsgl aa tayobsieméit comporte toutes [eS Jonguours donde (ou totes les fiéquences) dans oe mds Wetonres do opines bo fyondemé quel on dit qu'il présente un 7 Fog ae e ie 3 ee: - ,.® ste sti présente un spetre conte de fukravolt 8 Vinraronge isiblé: Ceti sé jsf. par le phénomene de laro-ene 1 qui présente toutes les couleurs avec fine transition cbatinve ean eles,» " ayoinchneats ‘ne comporteat qe duelqves fréquences (on Tongseurs donde) d ‘ der dofaaines du Yayonndinenteetroniagstianss on Sk c |Lahiitre nie parla ddcharge dans les 22, PAF UPS fumae dectrique 5 : + Braise speciale d'un aoniment consiste& determiner ia fréquence: (oudela engueur eo) i 3 ‘Vatlition de Vintensité (Pun rayonnement en fonetion dela fréquence n. |" (ay Spectre Contin, (b) Spectre discontinu (ott speptie de raies). | : + “+ Reidfo¢n|totrnasit le bouton de recherche des stations un sécepteur fadid, on'effectue ainsi une candle spectre, On, «lai une etme de éqpences dans un intervalle donné (jos grandes ‘ondes, les me oyesines, Ws ondes éouites) et on ne rewoit emission (eesti, Sénersic), Sour cexsndf pains d’euseur rexponantes des équences Prop des duct. Leslee? ‘prouve qu'on! as dénergio. Le speetre des ondes radio est donc un spectre ‘disebitimn. ion fonctionne de. fagon analogue. 1 General Chenltry Copyright® All Rights Reser ‘ian form for commercial pu part poses ithout the writen perinision of te author. Scanné avec CamScanner Fmamanuel Peat Liaison Chimique (Chaplire ) Par Prof. pn. Sovnuls FONDIO, Bmunanuel, Por is fliéres : Chimie le Physigns {oreus ; aes SSS aa { 1 i tnt Ry an dD consitue ta formule de Walmer, 1 ny n I ‘ | i 7 Ru= 1,097373,107 mi, la constante de Rydberg ° ‘Aver 7 C=2,99.108 ms" lavitesse de la famiére daps le vide a “hr et ta Sont des nombres entiers,tels que : n= 1,2,3) ete, : etm = (a1), n142) ete * ' Lensemble des raies correspondent june valeur deb ncals iasak n ‘Ge3 valeursing = (art), (ort ae z beset Gatien open. cont . i ees eae = i Domaiié | aa (al =i), m=2,3)4 Ultravigiet + Balnier (il 2); ny =3, 45: Visible! = ren (n) =3), 2 =4, 5]6, mek > (m1 =4), m=5; 67, | Re Moyer lu illum, th=6,7,8, inten. | 4)-Lathéorie des quanta et Ié moiléle de Bohr ha Dans le mi Q de Rathtfrd es echon cielet aia bans it done souk ‘une accélération centre: " ee oe a ES ; Selon le-théprie de Pelectromagnétijne,'si une charge -életique cbt soumise: & aceélération, ily a é | ssion d'un Tayonnement électromagnétique. | Exeimple :'~ 1 ki Ainsi, le rine d’émission radios de, ete. ‘ayonnement (donc d> I"énergie). La diminution srogressive db Pénergid de Fel vement d'un. électron:dévrdits'accompagner’ de. Rémissi Hemmanente d'un 1 devrait pew. a pea le raprocher du ya jusqu’ ce qu'il figs partner su i. 1a grande stbilité et longue danke de vie apparent des le modile de Rutherford. D’autre par, les atoniesn'émetent dé rayonnement ic ell sont prlalsblement exci ‘de plus le spectre de of rayonnement est discontji (spectre de riies). | i Pour résoudre|ces. contradictions, Niels Bohr (Physicien Danois, 1885-1962, Prix Nobel. 1922) propose en 1913 un mhodéle fondé.sur « la:thédirie des quanta », inmaginée quelques années plutét par Max Planck (Physiclen allemand, 1858-1947, Prix Nobel 1918) et (Albert Binstein Physicien allemande, 1879-1955, PfixNobel 1921). - °° = ee | Cette} théorie permet .d°expliquer divers Phénomnes ftels que. Peffet’ Photoglectrique (arrfchement d’électrons & un métal sous action oe rayonnement de courte ‘ongueur d’onde (fortement énergétiquie). Boe ine ; Les. change (absorption ou, mission) i énergie ea le’ rayoiinement et la matigre ne peut.se fhire de maniére continye, mais par, quianttés inininien petites. Elles ne ee General Chemistry Course Syllabus Free of Charge for Chemistry I dnd Pliyalcs Pin not Conyright1AN Migs Reserved: This document or any part thereof must ‘in any form for commecal purposes without the writen permission ofthe Kop Mt ood wd cub Gerth ow “an | | @-La on quanta | “"Seanne avec CamScanner “Abrigd dha Chars de Eetson Cihique (Chapel) Par Prof. Dr, SOPBUE FONDIO ‘Emunanuel, Hour les filtres : Chimie Tet Physique I. ccomnie la matitre est donc ire et wi aspect corpusculaire, Un rayonnement peut étre défrit soit comme une onde, «seit comme unifux de partcales (les photons quiseprésententchacun wn quantum énergie) La d’um quantum dépend de la fréquence v du rayonnement eer : [I Quantum (photon) = h.2 er i i 5626.10" J 1a constante de Plack. | Avec ~ “+. ‘Lemécanisme de I'absorption et de I'émission d'un rayonnement pa un atorne peut étre staat oie . 4 ascek absorption| ‘Atome excité (EJ ~~ mone peo) + Rajon eee») PP E-3, +b i ! ‘ ‘anion ‘Atom excité (B,) _Lalssion payonnenient (de fréquence v) + Afome non excité (E,) i Hy. proiete de Vatome de Bohr ety —- Les.catctristiques essenteles da mofBle-de Vatome proposé par Nils Bethysont les ‘suivantes : . i) |Lénergio de Pélectron (ou'plus précisément énergie du Jeaene électionoyan) est |quantiide, cestA-dire quelle-ne peut prendre que eertines valeurs déterminées ‘qu’on appelle niveaux d’énergies. ~ . ' vi) ‘Cliaque! valeur possible ‘dé I ergie d'un. électron contend Avune trajectoire circulaire stable: (sir laquelle’ I*électron'né «rayomne » pas et ne-perd done pas SEL «| dténerpie) et une distance noyau-électron. ” ie - ? : fii) © -| Les chingemedts “d'énergie Wuit électron ne peuvent sfeffectver que par sauts 4 | diséonkinus d'un niveau & un autre: On appele ces sau des fransitin ~ ee { Soit AB}la variation @’énergi¢ assoéiée & une transition, la fréquence di rayonnement eco + | absor'éiou émis ést définie parla felation : AB= hv | ‘I Ba Vabgence'd’une exeitation exttrieiie, un électron se trove en permanence sur le niveau. &évergie:Te-plus bas possible. Lorsque tous les électrons se trouvent & leur niveau d*énergie leplus bas possible, Patome est dans eal fondareenta, si non il est dans un'éat excité. : ve mddéle rend bien compte: des: obséivations faites & propos| des spectres d’émission atomiques. Ea bet i = Leh lest etait normalemént a niveau d'énrgie le plas bis possible ils ne penvent perdre de I’énergie. L’émissioii d'un rayonnement n°est possible que si une excitatic rc ’éhergie) les porte d'abord’& un. niveau supéricur, ot ifs pourront ensuite + sqedlescendie sur un nivean inférieur, en émettant un photon. | = Wrisence de niveau €ietdi bic defini et celle de la cotton AE = hy, justiient les spectres! de raies, Séul un rayontlément dont la fréquence|satisfat & cette condition pobr Pune Yes transitions possbles put’échanger de V'énergie avec Vatome aussi bien pohdant "mission que pendant absorption. | eee General Cheniry Course Sylabus Free of Charge for Chemistry Land Physics 1 Stude Copyright® AU Rights Reserveds This document or any part thereof must not be reprodieced ‘in ny form for commercial purposes withont the written permission of the author. Scanné avec CamScanner Emmanuel, Poxr Ids fiiéres : Chimio I et Physique I OF Cie Phiome Thytrogine > ToT TF La trijectoird de 1électron autour-du:noyau est cifculaire Am ° caractéristique impose que la force attraction covlombienne (Force-centriptte) qu’cxerce le noyat sur I'électron est ‘exactement compensde par la force centrfuge-que subit I’élétron en lowvemed st a tajectoire circular | : | Abrégé eu Cours.de Liaisori Chimique (Chapitre I) Par Prof. Dr. "| FONDIO m\glectron * ‘Modéle analogue du systéme plaiétae (soeil-erre ou terre-lune) = i NY ites) Lai = . Fig. 3 Schéma du modle de Bohr de 'atome d’liydrogéve. i ec bi Meee ont o Seeelecat™ “f Cri th => Bf atroaBo0 ' F : Plus Pélectiin: est proche dus‘npyau, pis} énergie: de E Pélection (ou plus précisément, Péfergie da systtn slectroa-noyau) est grande. a pee Pd Plus éectron est loin du noyay moing|son éxergie est rand io Le moment-angulaire: Pout tease compts, du caraciéce discontiny, des tiveaux d’énergic de Patonie d’bydrogéne, Bohr pastile en plus que’ le moment angulare orbital He Mélectron est ivan i -_| General Chemistry Conte Syllabus Fres of Charge for Chemistry | and Physics {Studer Copyright© Ait Rights Reserved: This document or any part thereof mitt not be reprod ‘in any form for commercial purposes without the writen permission of the ator. cog a . : WW Bel Scanné avec CamScanner » Abrégd dh Curs de Hazon Chimiqne (Chapitre I) Par Prof Pr sop UE FONDIO rane, Bow es fides: Chimie Het Physique ' sat angulaire orbital de Vleciron sur une orbite areal (dont Vexpression ext ie des valeurs discontinues ou quanta; i t ti | none du moment angulaire est égale d=. | On | égal & uninombre enter de fois la = Le moment dra de 'électron sur une orbite donnée est coma, Soil: ax ) 2, 3,ete. : ; | De Péuation (8) on duit: © (dans (I) donne: @! : i i i | te Ore) > (permit ivité du vide);¢ = 1,602x10" C, h= 6, P4Axl0"* Is, "V36nxi0 : Nor in 9,looxio* ke Amott ‘valeur que Peut avoir r a0 Ab = 10 vn, Fig. 4 Orbited circofaiges deatome 7. : ‘ i gS Niveaus d'sergie Boftrongne de hype dan ended ahr YPatome Whydrogbae dans le adele de Bohr in rerppacait Jes ‘constntes dans equation (8), on expresso suivate de I vitesse de Pélectron sur Vorbite ny he 22108 [oe métres/seconde 1 ee on Sas Te of Charge for Cy Tene Pye Copyrighad ll Rights Maservel: rf Chg reef mat wt be coe ok sonata parpoes who the ten persion of the ath teat Scanné avec CamScanner yese du Cours de Liaison Chimique (Chapltre I) Par Prof. Dr, Emmanuel, Pour les filiéres : Chimte lor Phe ’ Sornuk ronpso (6) dans (3) donne 1 En remplagant les constantes par leur valeur, on a: 1 B= _2L757x10" ge Joule Pour =4, of a: Lrexpression fea des énergies permises est done : ] ‘AE <0 pour une émission et AE > 0 pour une absorption. (fie ae ; | ete wee Dela foal (9 a, 1 pee? 2 | ‘généralisée de la Formule de Baimer, avec : elicit de a constant de iydbere ne! we Ry es ee ve Bi=-13,6 eV ~ ~ i: échangée au cours ine transition (absorption ou mission) entre une orbite de rang met une orbite de rang.m a pour expression : Bst P énergie totale lle Punk L'énergie @y 5) Les quatre Hon Cob i @énission atomique lpésence dan chimp magnéigue (eft Zeeman) ou uf pip Alectrique (effet Stark), Je mddéle. de: Bohr de. Bohr. a été ultécieurement thodifié ‘pb complété, Ces observations ont entmeié Sommerfeld toposer d’atibuer ax fietron§ des tralectoires elliptiques et on. pas cireulaires (inoddte dé Bohr-Sommerfeld). i NB iCes'a L'état d'un eloppenients théoriques ultérieurs ne. font pas partie dejca programme. lectron dans un atome: (@:est-a-dite & Ta fois san énergie ét la géométrie “quisont les quatre npmbres-quantiqies n, 1h met s, a Les valeurs de ces quatre nombres « identifies un électron fn un [Les nomibres)n ets sont des variables indépendaites, mas es de et m sont fonction de celle te A : . ‘Symbole | Dénofnination,| 7 Vales possibles 7 a Principal £234,000 melo T 1 Secorfdaire |.6,1,2, (a1) 0$is(a-1) conpaleirs der m Magnjtique | 1,40, et | 1 smsJ> 21+] valeurs dem 8 Desqin . ~ | 41/2,-19 hee | ‘ Le schéma db organisation du « nage, électronique » pour les aibmes & plusieurs lectrons est basé sug ces quatre paramétres, Les prévisions théoriques du modale de Bohr sont en excellente cond lance avee leg résultats expérit dure (Energie.et fiéquence des raies du spectre 4g PhydroBSie) pour Te cas Particulier de Patomé hydrogéne. Mais les résultats sont beaucoug moins ¢onéordants pour les atomes ayant plusicurs électrons. Ceci enifaison des interactions-entre: les ‘Glectrons eux- ‘mémes qui sajoutent aux interactions noyati-électrons, + a es 15 Slabs Free of Charge for Chemisty T and Phys I Sadenfe ints Reserved: This document or any part thereof must not be reproduc in any yorm, ifogions mercial purposes without the written permission of the author. Scanné avec CamScanner

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