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Révision BAM BCH (Plume)
Révision BAM BCH (Plume)
1952
1954
Edition :
seuil
Auteur Ahmed SEFRIOUI
Date et lieu
de naissance - 1915, Fès
Date et lieu - 2004, Rabat
de décès
• L’école coranique, l’achat de la lampe à pétrole, la disparition et les retrouvailles avec Zineb.
• L’organisation de repas pour les mendiants aveugles.
• Journée au Msid ,les élèves avaient quinze jours pour préparer la fête de nouvel an.
• La mort et l’enterrement d’un voisin : Sidi Mohammed Ben Tahar, le coiffeur.
• Cauchemar et délire du narrateur.
• la maladie du narrateur. Le père perd son capital au souk des enchères aux haïks.
• Son départ aux environs de Fès pour travailler comme moissonneur.
• Les souffrances de l’enfant: sa boîte s’est transformé en cercueil.
• Q10. Le narrateur est-il sûr de la véracité (authenticité) des événements qu’il raconte ?
Justifiez votre réponse.
• A. Oui, car tout est écrit dans un agenda.
• B. Non, car il a tout oublié.
• C. Oui, le narrateur est sûr de la véracité (authenticité) des événements qu’il raconte.
• Q 13. Qu’est-ce qui distinguait le narrateur des autres enfants de six ans ?
• A. Ses petits camarades de l’école avaient un penchant pour le rêve.
• B. Les enfants âgés de six ans apprenaient bien leurs leçons.
• C. Les enfants âgés de six ans cherchaient à imiter alors que le narrateur voulait connaître.
• Q13. Comment s'appelait le mari de Fatma Bziouya et quel est son métier?
• A. Allal, un jardinier.
• B. Abdeslem, un jardinier.
• C. Abdallah, un cuisinier. Réponse: A. Allal, un jardinier. « Allal, le mari de
Fatma Bziouya, jardinier de son état. »
• Q2. Par quel mot le narrateur qualifia-t-il les heures passées au Msid ?
• A. Le bonheur.
• B. Le plaisir. Réponse: C. Les souffrances. «Nous étions heureux quand
• C. Les souffrances. commençaient ces litanies. Elles signifiaient la fin de nos
souffrances » Le narrateur s’ennuie et attend l’heure de sortie
avec impatience.
• Q12. Quelle était la raison profonde qui poussa Sidi Mohammed à pleurer ?
• A. Il avait faim.
• B. Il avait mal aux yeux.
• C. Il avait du chagrin pour Zineb.
Réponse: A. Il avait faim. « Cela m’est égal qu’on ne
retrouve pas Zineb, je pleure parce que j’ai faim! »
• Q13. Où Zineb avait-elle été retrouvée ?
• A. À la maison des orphelins.
• B. À la maison des Idrissides.
• C. À la maison des aveugles. Réponse: B. À la maison des Idrissides.
• Q11. Que fit Lalla Aïcha quand elle retrouva Zoubida après le conciliabule avec son mari ?
• A. Elle l’informe de la décision de Moulay Larbi de vendre la maison
• B. Elle l’informe de sa décision de voyager
• C. Elle l’informe en pleurant des problèmes de son mari
Réponse: C. Elle l’informe en pleurant des problèmes de son mari.
• Q8. Quels étaient les objets achetés à la Kissaria par Zoubida pour son fils ?
• A. De la cotonnade blanche et une paire de babouches.
• B. De la cotonnade blanche et un gilet rouge.
• C. Un gilet rouge et une djellaba blanche. Réponse: B. De la cotonnade blanche (pour
confectionner une chemise pour Sidi
Mohammed) et un gilet rouge
• Q9. Comment le petit garçon s'imaginerait-il portant son gilet rouge le jour de l'Achoura ?
• A. Comme un prince de légende.
• B. Comme le pacha de la ville. Réponse: A. Comme un prince de légende « Ne serais-je
• C. Comme le fqih de son école. pas un prince de légende avec ce gilet somptueux ? »
• Q10. Pourquoi Sidi Mohammed se disputa-t-il avec Zineb ?
• A. La fille lui vola son gilet.
• B. La fille lui fit une grimace. Réponse: B. La fille lui fit une grimace. «Zineb me fit une
horrible grimace, je lui en fis une encore plus
• C. La fille lui vola sa chaînette. épouvantable. Elle se mit à hurler, à ameuter tout le
quartier.»
• Q2. Quel instrument de musique Maâlem Abdeslem avait-il offert à son fils ?
• A. Une flûte.
• B. Une trompette. Réponse: B. Une trompette «La veille, mon père m’avait
• C. Une clarinette. offert une trompette très fruste en fer-blanc »
• Q3. Pourquoi Hammoussa (Azzouz Berrada) vint-il interrompre le récital à la trompette du
narrateur ?
• A. Il a été envoyé par le maître pour chercher Sidi Mohammed.
• B. Il a été envoyé par Maâlem Abdeslem pour remettre les jouets à Sidi Mohammed.
• C. Il a été envoyé par la Chouafa pour faire taire Sidi Mohammed.
Réponse: A. Il a été envoyé par le maître pour chercher Sidi Mohammed afin de
participer à l’équipement des lustres.
• Q4. Quel achat fit le père à Bab Moulay Idriss et à quoi allait-il servir ?
• A. Des amandes et des cacahuètes pour les invités du jour de la fête.
• B. Un poulet pour le déjeuner de l'Achoura.
• C. Un cierge à offrir au maître d'école.
Réponse: C. Un cierge à offrir au maître d'école. « Nous irions …à Bab Moulay
Idriss faire l’acquisition d’un cierge. La nuit de l’Achoura, je l’offrirais au maître
d’école. »
• Q5. Quels jouets acheta Maâlem Abdeslem à son fils ?
• A. Une nouvelle flute, un tambourin et une glace ronde.
• B. Un tambour, une nouvelle trompette et un petit chariot.
• C. Un tambour, un petit harmonica et une nouvelle trompette.
• Q12. À quelle heure Lalla Zoubida réveilla-t-elle son fils le jour de l'Achoura ?
• A. À sept heures du matin.
• B. À trois heures du matin. Réponse: B . À trois heures du matin « Réveille-toi, il est
• C. À cinq heures du matin. trois heures du matin.»
• Q12. Quelle impression avait le narrateur en poussant la porte du Msid le jour de l'Achoura ?
• A. De vivre une fête fabuleuse.
• B. D'être venu avant les autres.
• C. De passer un examen. Réponse: A . De vivre une fête fabuleuse. « Cette impression de fête
fabuleuse s’accentua lorsque je poussai la porte du Msid . »
• Q13. Par quoi se termine la célébration de l’Achoura au Msid ?
• A. Par une journée de repos.
• B. Par la distribution des friandises.
• C. Par une longue invocation et un congé de quatre jours.
Réponse: C. Par une longue invocation et un congé de quatre jours. «II nous donna trois
jours de repos. Le jour de la rentrée étant un jeudi, le congé durerait quatre jours.»
• Q14. Quel a été le programme prévu pour la journée de l’Achoura ?
• A. Voyager aux environs de Fès.
• B. Le matin, accompagner son père à Moulay Driss pour la prière, et après le déjeuner, accompagner sa
mère chez son amie Lalla Aïcha.
• C. Visiter les mausolées de la ville.
Réponse: B. « Le matin, mon père se proposait de m’emmener à Moulay Idriss, le patron de
la ville. Après la prière en commun, nous reviendrions déjeuner. L’après-midi,
j’accompagnerais ma mère chez notre amie Lalla Aïcha.»
• Q15. Quel imprévu changea le programme prévu pour l’après-midi de L’Achoura ?
• A. L'arrivée inattendue de Lalla Aïcha.
• B. La dégradation de la santé de Sidi Mohammed.
• C. Le départ inattendu de Maâlem Abdeslem.
Réponse: A . L'arrivée inattendue de Lalla Aïcha.
•
Réponse : A. Un effet bénéfique/ heureux sur sa santé physique et
morale. « Je me mis à aimer l’école.»
• Q4. Quelle image évoquait le mot "savant " chez le narrateur ?
• A. Un homme intelligent et soigné.
• B. Un homme maigre et mystérieux.
• C. Un homme obèse, barbu et inélégant.
Réponse : C . Un homme obèse, barbu et inélégant «Le mot savant évoquait
pour moi l’image d’un homme obèse à figure très large frangée de barbe. »
• Q5. Qu’est-ce qui justifiait l’ardeur de Sidi Mohammed dans son travail à l'école ?
• A. Gagner l'estime de son maître.
• B. Éviter la baguette de cognassier du fqih.
• C. Se démarquer de ses camarades de classe.
Réponse : B. Éviter la baguette de cognassier du fqih «J’apprenais chaque jour ma
leçon parce qu’il me semblait que mes parents m’en aimaient davantage et surtout
j’évitais ainsi la rencontre avec la lancinante baguette de cognassier. »
• Q6. Dans quelle intention le père du narrateur voulait-il aller, un lundi, au souk des bijoux ?
• A. Acheter des aiguilles en argent pour son atelier.
• B. Vendre des bijoux pour équiper son atelier.
• C. Offrir des bracelets à sa femme.
Réponse : C . Offrir des bracelets à sa femme. «Il y a longtemps que tu me demandes
ces bracelets soleil et lune (or et argent). Il est temps que je te les offre» .
• Q7. À quoi l'enfant compara-t-il les bijoux ?
• A. Aux fleurs.
• B. Aux objets de sa boîte à merveilles.
• C. Aux habits de l'Achoura.
Réponse : A. Aux fleurs. «Les bijoux, c’est beau comme les
fleurs »
• Q8. Comment le narrateur considéra-t-il le rire de ses parents à propos de sa comparaison ?
• A. Comme une amabilité.
• B. Comme une indélicatesse.
• C. Comme une politesse.
Réponse : B. Comme une indélicatesse. «Je sentais que ma comparaison
exprimait une idée essentielle. Elle devait être accueillie par le silence. Le
rire en une telle circonstance devenait une incongruité. . »
• Q17. Que provoquèrent les récits des malheurs de Zoubida et de Lalla Aïcha chez l'enfant alité ?
• A. L'envie de s'évader et d'ouvrir sa boîte à merveilles.
• B. La fièvre et les vomissements.
• C. Des cauchemars.
• Q16. Dans quel but Lalla Zoubida rendit-elle visite avec son fils à Lalla Aïcha ?
• A. Pour emprunter du sucre et du thé.
• B. Pour raconter ses malheurs à son amie.
• C. Pour aller consulter le voyant, Sidi EL Arafi.
Réponse : C. Pour aller consulter le voyant, Sidi EL Arafi . «Sidi El Arafi que
nous irons consulter est aveugle/ Sidi El Arafi a bonne réputation.»
Chapitre X
Superstitions
La visite chez Sidi El Arafi : Les conseils, prières et bénédictions du voyant
rassurèrent les deux femmes. L’enfant est fasciné par le voyant aveugle.
Lalla Zoubida garde l’enfant à la maison. Ainsi, elle se sent moins seule et sa
présence lui fait oublier ses malheurs . Chaque semaine, ils vont prier sous la
coupole d’un saint ( visite des principaux marabouts de la ville de Fès).
• Q2. Quel mot peut résumer la description faite par le narrateur de l'espace où se trouve la
maison de Sidi El Arafi ?
• A. Espace attrayant.
Réponse : B. Espace répugnant. « un dédale de rues de plus en
• B. Espace répugnant.
plus étroites, de plus sombres, de plus en plus encombrées de tas
• C. Espace splendide.
d’ordures et de chats efflanqués, trois portes de maison vétustes
et une bouche d’égout, des nuages de poussière et de mouches
tournoyaient dans l’air, diverses odeurs s’y livraient bataille. »
Réponse : C. Elle avait amené son fils voir un médecin. «Si nous avions rencontré
le fqih je lui aurais expliqué que je t’avais amené voir un médecin . »
• Q13. Pourquoi Lalla Zoubida ne raconta-t-elle pas aux voisines sa visite à Sidi El Arafi ?
• A. Pour faire plaisir à son fils qui l'avait supplié de ne rien dire aux voisines.
• B. Pour ne pas froisser la Chouafa et pour ne pas divulguer ses secrets.
• C. Sidi El Arafi lui avait conseillé une totale discrétion.
Zhor, une voisine, vient prendre part à la conversation. Elle affirme les propos de
Salama.
• Q2. À quoi était occupée Lalla Aïcha à l’arrivée de Lalla Zoubida et de son fils ?
• A. À chasser les mouches.
• B. À préparer le déjeuner. : . À chasser les mouches. «A grands coups
• C. À s'apitoyer sur son sort. de torchons, Lalla Aïcha chassait les mouches.»
• Q3. Qui était la première femme qui rendit visite à Lalla Aïcha et quel était son "métier " ?
• A. Kebira, une vendeuse de henné.
• B. Salama, une marieuse professionnelle.
• C. La fille du coiffeur, une brodeuse.
: Elle avait arrangé le remariage de son mari. « Dieu a voulu… que je fusse
l’intermédiaire dans ce mariage qui nous a tous rendus malheureux.»
• Q6. D'après Salama, que deviendrait la fille du coiffeur dans un avenir proche ?
• A. Une femme divorcée.
• B. Une jeune veuve. : Une femme divorcée. «la fille du coiffeur, de
• C. Une jeune maman. jeune fille, elle sera bientôt femme divorcée.»
• Q7. Quelle raison avança Moulay Larbi à Salama pour expliquer son désir de se remarier ?
• A. Payer sa dette envers le coiffeur.
• B. Avoir un héritier.
: Avoir un héritier. «La grande douleur de ma vie,
• C. Contrarier Lalla Aïcha.
c’est de n’avoir pas d’enfant.»
• Q8. D'après le récit de Salama, quel était le rêve de Moulay Larbi lorsque sa situation
s'était améliorée ?
• A. Avoir une jeune épouse pour égayer sa vie de travail.
• B. Exprimer sa gratitude à Lalla Aïcha.
• C. Devenir propriétaire d'un grand atelier.
: Avoir une jeune épouse pour égayer sa vie de travail. «Depuis que sa situation
s’était trouvée améliorée, il n’avait plus qu’un rêve, celui d’avoir une jeune épouse pour
égayer sa vie de travail et de lutte. »
• Q9. Qui était la jeune femme au petit visage qui rendit visite à Lalla Aïcha ?
• A. Kebira, la fille de Moulay Abdeslem.
• B. La cousine de Lalla Aïcha.
: Zhor, une voisine. «C’est toi, Zhor ? Entre donc!
• C. Zhor, une voisine.
/ Zhor montra son petit visage très maquillé.»
• Q10. D’après Zhor, dans quel quartier habitaient Moulay Larbi et sa jeune épouse ?
• A. Le quartier Seffah.
: . Le quartier El Adoua. «Tous les habitants du
• B. Le quartier El Adoua. sont au courant des difficultés que rencontre quotidiennement
• C. Le quartier Sagha. Moulay Larbi auprès de sa jeune épouse. »
• Q11. Quelle allégation soutenait la fille du coiffeur devant les témoins de la scène de ménage ?
• A. Son mari se livrait à des pratiques de sorcellerie.
• B. Son mari était stérile.
• C. Son mari était avare et il la battait.
: . Son mari était avare et il la battait. «Elle se mit à pousser des hurlements, à prendre
à témoins les voisins, prétendant que son mari la battait…qu’elle n’avait jamais assez à manger
et qu’elle devait se contenter de vêtements rapiécés, tant l’avarice de son mari était grande. »
• Q12. Pourquoi Zhor qualifia-t-elle la jeune épouse de Moulay Larbi de folle ?
• A. Elle tenait des propos absurdes et insensés.
• B. Elle était colérique et suicidaire.
• C. Elle était atteinte d'une maladie héréditaire.
: . Elle était colérique et suicidaire. «Pour un rien, elle menace son entourage de tout
casser dans la maison, monte sur la terrasse dans l’intention de se jeter dans la rue par-dessus
le mur. »
• Q13. D'après Zhor, quel indice montrait que Moulay Larbi ne supportait plus sa vie de
ménage ?
• A. Il a commencé à dormir dans son atelier.
• B. Il a commencé à rendre visite à Lalla Aïcha.
• C. Il a demandé conseil à l'imam de la mosquée.
Au milieu des chants, un garçon arrive. Le narrateur en éprouve une grande appréhension. Il s'agit de
Allal El Yacoubi, son condisciple au Msid. Il est envoyé par le fqih afin qu'il s'enquiert de l'état de santé
du narrateur. La mère lui dit que l'enfant ne peut aller présentement à l'école coranique.
Ce qui comble le garçon c'est la nouvelle annoncée par Zineb : le retour de Maâlem Abdeslem. Toute la
maison est agitée. Les voisines font des vœux. L’enfant et sa mère sont heureux. Sidi Mohammed
raconte à son père les événements passés pendant son absence.
Driss El Aouad monte saluer le père. Il l'informe que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur
a été prononcé hier. Plongés dans leur conversation, les deux adultes oublient le petit enfant. Il se sent
triste et seul. Le narrateur prend sa Boîte à Merveilles et se met à rêver.
• Q1. Quel était l'élément nouveau qui flottait dans l'air de Dar Chouafa dès le matin ?
• A. Les chansons des femmes.
• B. Le chant des oiseaux.
• C. Les séances de musiques nègres. : . .
• Q2. Quel prénom de femme choisit le narrateur pour les chansons qu'il composera plus tard ?
• A. Zineb.
• B. Zhor.
: . Zhor
• C. Zoubida.
:
Le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé hier devant
notaire.
• Q11. Quel âge avait Maâlem Abdeslem ?
• A. La trentaine environ.
• B. La quarantaine environ.
: La quarantaine environ. Tous les deux
• C. La cinquantaine environ. frisaient la quarantaine.