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Date:

1952
1954
Edition :
seuil
Auteur Ahmed SEFRIOUI

Date et lieu
de naissance - 1915, Fès
Date et lieu - 2004, Rabat
de décès

Titres - Le chapelet d’ambre


importants de - La maison de servitude
ses œuvres - Le jardin des sortilèges
Les circonstances de La manière de raconter Personnages Thèmes de l’histoire
l’œuvre l’histoire
•Famille du narrateur: Sidi • les souvenirs
• Le siècle: 20ème • Focalisation Mohammed, Lalla Zoubida, Maâlem d’enfance
siècle Abdeslem.
:Interne. • Le Msid / L’école
•La voisine du rez-de-chaussée :
• Le lieu de l’histoire: • Narrateur: Sidi La voyante Lalla Kanza.
coranique
La Médina de Fès Mohammed (enfant), • La situation de la
•La famille de la voisine du
• Date des parfois un narrateur premier étage: Rahma, son mari femme
événements: adulte Driss El Aouad et sa fille Zineb. • La maraboutisme
L’enfance du • Registre de langue: •La famille de la voisine du second (Visite des
narrateur (6 ans) Langage courante étage: Fatma Bziouya et son mari sanctuaires)
(1915+6 ans)1921 • Temps verbaux : Driss El Aouad. • La superstition
• Le contexte Alternance des temps •La famille de l’ancienne voisine
de Lalla Zoubida : Lalla Aïcha et • La religion
historique: la du récit (passé • La solidarité
son mari Moulay Larbi.
colonisation française simple et imparfait)
et des temps du • La polygamie
• La durée des •Les autres personnages:
événements: 9 mois discours (paroles • Les traditions, la
rapportées). • Le Fqih, les condisciples de Sidi culture et le
 presque une année Mohammed. patrimoine
• Abdallah l’épicier, Driss le teigneux marocain...
• Le présent: Révèle • Si Othman, Lalla Khadija Salama,
souvent la présence Zhor, la fille du coiffeur,
d’un narrateur adulte •Sidi El Arafi…
Lalla Maâlem Tisserand Dar Chouafa 2ème étage Sidi 6 ans
Zoubida Abdeslem Mohammed

Rahma Driss EL Fabricants Dar Chouafa 1er étage Zineb 7 ans


Aouad des
charrues
Fatma Allal Jardinier Dar 2ème étage
Bziouiya Chouafa
Kanza (La Dar Chouafa Rez- de -
voyante) chaussée

Lalla Aïcha Moulay Babouchier Zankat 2ème étage


Larbi Hajjama
Sidi Mohammed est un enfant de six ans. Il habite avec
son père et sa mère à « Dar Chouafa ». C’est un
enfant rêveur et imaginatif. Son fidèle ami est sa
Boîte à Merveilles. Il raconte dans ce roman ses
journées au Msid, ses visites aux saints et aux voyants
en compagnie de sa mère Lalla Zoubida. Leur vie va
se bousculer lorsque le père perdra son capital et
s’absentera de la maison. Mais la joie et le calme
régnera vers la fin après son retour.
• Présentation du narrateur, description du lieu d’habitation « Dar Chouafa » et des activités des voisins.
• L’évocation de souvenir de bain maure.
• La dispute de RAHMA avec Lalla Zoubida à propos de lessive et l’évanouissement du garçon.
• L’évocation de l’école coranique, la visite de Lalla Aïcha et la visite du sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb.
• Le narrateur Sidi Mohammed se fait griffer par un chat dans la cour de la Zaouia . Blessé, il bénéficie d’un
repos de 2 jours de convalescence.

• L’école coranique, l’achat de la lampe à pétrole, la disparition et les retrouvailles avec Zineb.
• L’organisation de repas pour les mendiants aveugles.

• L’arrivée du printemps, Les ennuis de Lalla Aïcha, et l’histoire de Abdallah, l’épicier.

• Journée au Msid ,les élèves avaient quinze jours pour préparer la fête de nouvel an.
• La mort et l’enterrement d’un voisin : Sidi Mohammed Ben Tahar, le coiffeur.
• Cauchemar et délire du narrateur.

• Nettoyage du Msid et fierté du narrateur nommé «chef des frotteurs».


• L’achat des habits neufs à la « kissariya ».
• Mésaventure de Si Othman (marié à une très jeune fille).
Les préparatifs de la Achoura dans les maisons, la séance chez le coiffeur.
Le jour de la fête: le réveil tôt du garçon, la célébration de la Achoura au Msid.
La visite inattendue de Lalla Aïcha.

Le déménagement de l’école suite à la chaleur.


L’achat des bracelets au souk des bijoutiers et la dispute entre le père et le courtier.
Cris et pleurs: Lalla Aïcha est abandonnée par Moulay Larbi qui se remarie avec la fille de coiffeur.

• la maladie du narrateur. Le père perd son capital au souk des enchères aux haïks.
• Son départ aux environs de Fès pour travailler comme moissonneur.
• Les souffrances de l’enfant: sa boîte s’est transformé en cercueil.

• La consultation du fqih (Sidi EL Arafi)


• La décision de Lallla Zoubida de retenir l’enfant à la maison.
• Visite d’un émissaire de la part du père (Maâlem Abdeslem a envoyé de l’argent à sa famille).

• Bavardage de bonnes femmes.


• le récit des ennuies de Moulay Larbi avec sa nouvelle épouse.

• Le retour du père et le bonheur retrouvé.


• La visite de Driss El Aouad et le divorce de Moulay Larbi.
• Le retour de sidi Mohammed à sa boîte à merveilles.
•Le voyage du père à la
• Le narrateur- campagne. Son travail • Le retour de
personnage vit comme moissonneur l’équilibre: le
avec ses parents afin de pouvoir amasser bonheur de la
sans problème. l'argent nécessaire pour famille
se rétablir dans son
• Sa vie est • La ruine du père: atelier.
caractérisé par Maâlem Le retour du • La solitude
la solitude. • Le congé accordé au
Abdeslem perd petit qui ne va pas à
père de narrateur
•Il aime son son capital l'école coranique à et la
monde invisible. cause de sa faiblesse. réouverture
dans la cohue
•Son unique ami • la tristesse de la mère de sa boîte à
est sa boîte à des enchères
aux haïks. qui se rend aux merveilles.
merveilles. mausolées et consulte
les voyants.
• Q 1. L’auteur de ce roman est:
• A. Guy de Maupassant
• B. Victor Hugo
• C. Ahmed SEFRIOUI

• Q2. Quels sont les dates/ lieux de naissance et de décès de l’auteur?


• A. Né au château de Miromesnil en 1850 et mort à Paris en 1893
• B. Né à Fès en 1915 et décédé à Rabat en 2004
• C. Né à Besançon en 1802 et mort à Paris en 1885

• Q 3. En quel siècle Ahmed SEFRIOUI a-t-il vécu ?


• A. Le 20ème siècle
• B. Le 19ème siècle
• C. Le 18ème siècle
• Q 4. Parmi ces romans, lesquels sont d’Ahmed SEFRIOUI ?
• A . Voyageur sans Bagages – l’Alouette
• B . Le Chapelet d’Ambre – la maison de servitude
• C . Les Misérables – Notre Dame de Paris

• Q 5 . La « Boîte à Merveilles » est écrit et publié en:


• A. En 1952 et publié en 1954
• B. En 1951 et publié en 1952
• C. En 1950 et publié en 1951

• Q 6 . Quel est le genre littéraire de l'œuvre ?


• A. Un roman à thèse
• B. Un roman policier
• C. Un roman autobiographique
• Q 7. Le contexte historique de l’histoire :
• A. la colonisation française
• B. La Marche Verte
• C. l’indépendance du pays

• Q 8. A quel courant littéraire appartient « La Boîte à Merveilles »?


• A. Le romantisme
• B. La littérature maghrébine d’expression anglaise
• C. La littérature maghrébine d’expression française

• Q 9. Combien y a-t-il de saisons dans l'œuvre ? Lesquelles?


• A. Deux saisons: l’automne et l’hiver
• B. trois saisons: L’hiver, le printemps et l’été
• C. Quatre saisons: L’automne, l’hiver, le printemps et l’été
• Q10. Combien y a-t-il de chapitres dans l'œuvre ?
• A. Dix chapitres
• B. Onze chapitres
• C. Douze chapitres

• Q11. Quelle est la durée du récit:


• A. Presque une année
• B. Trois ans
• C. Deux ans

• Q12. Quelle est la ville du récit ?


• A. Rabat
• B. Fès
• C. Meknès
• Q13. Qui est le narrateur de ce récit ?
• A. Abdallah, l’épicier
• B. Sidi Mohammed
• C. Moulay Larbi
• Q 14. Le narrateur- enfant a :
• A. 5 ans
• B. 7 ans
• C. 6 ans
• Q 15. De quoi souffre-t-il ?
• A. De la solitude
• B. De la migraine
• C. De la peur
• Q 16. Le narrateur adulte utilise :
• A. Les temps du récit (le passé simple et l’imparfait)= Enoncé coupé
• B. Les temps du discours (le présent d’énonciation, le passé composé, le
futur simple) = Enoncé ancré
• C. Autres temps

• Q17. Quel est le rôle du narrateur adulte ?


• A . Le narrateur adulte commente les événements qu’il a vécus étant
enfant
• B. Le narrateur adulte n’a aucun rôle dans l’histoire
• C. Le narrateur adulte raconte sa vie présente
Chapitre I
:
Deux éléments déclenchent le récit : la nuit et la solitude. Le narrateur songe au poids de sa solitude et
part à la recherche de ses origines en évoquant son enfance.
Un enfant de six ans, qui se distingue des autres enfants qu’il côtoie. Il est fragile, solitaire, rêveur,
fasciné par le monde invisible. A travers les souvenirs de l’adulte et le regard de l’enfant, le lecteur
découvre la maison habitée par ses parents et ses nombreux locataires.
La visite commence par le rez-de-chaussée habité par une voyante. La maison porte son nom : « Dar
Chouafa ». On fait connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel de musique Gnawa, et on passe au
premier étage où Rahma, sa fille Zineb et son mari EL Aouad, fabricant de charrues, disposaient d’une
seule pièce. La famille du narrateur partage le deuxième étage avec Fatma Bziouya.
L’enfant , lui, habite un univers de fables et de mystères, nourri par les récits de Abdallah, l’épicier et
les discours de son père sur l’au-delà.
L’enfant de six ans accompagne sa mère au bain maure. Il s’ennuie au milieu des femmes, Cet espace
de vapeur, de rumeurs, et d’agitation était pour lui bel et bien l’Enfer.
Le chapitre se termine sur une querelle spectaculaire dont les acteurs sont la maman de l’enfant, Lalla
Zoubida et sa voisine, Rahma.
• Q1. Pourquoi le narrateur ne dort-il pas?
• A. Parce qu’il écoute de la musique.
• B. Parce qu’il est malade.
• C. Parce qu’il est écrasé par le poids de sa solitude.

• Q2. Pour quelle raison le narrateur veut-il attraper un moineau ?


• A. Pour en faire un ami.
• B. Pour le tuer.
• C. Pour le vendre.

• Q3. Qu’est-ce qui montre que le narrateur va faire un retour en arrière?


• A. La phrase « Je ne dors pas ».
• B. la phrase: «ma solitude ne date pas d’hier».
• C. La phrase « Je songe à ma solitude ».
• Q4. « Ma solitude ne date pas d’hier. » Cela veut dire que:
• A. Ma solitude date d’aujourd’hui.
• B. Ma solitude date de très loin, elle est si ancienne.
• C. Ma solitude date d’hier.

• Q5. Où habitait le narrateur ?


•A. A Dar Kitoune.
•B. A Dar Idrissiyine.
•C. A Dar Chouafa.

• Q6. Qui habitait au rez-de-chaussée? Combien y a-t-il de pièces?


• A. Kanza, la chouafa. Deux pièces.
• B. Fatma Bziouya. Deux pièces.
• C. La famille du narrateur. Deux pièces.
• Q6. Qui habitait au premier étage? Combien y a-t-il de pièces?
• A. La famille du narrateur. Deux pièces.
• B. La famille de Driss El Aouad. Une pièce.
• C. Fatma Bziouya. Deux pièces.

• Q7. Qui sont les locataires du deuxième étage?


• A. La famille du narrateur et la famille de Driss El Aouad.
• B. La famille de Driss El Aouad et Fatma Bziouya.
• C. La famille du narrateur et Fatma Bziouya.

• Q8. À quoi le narrateur assimile-t-il sa mémoire à l'âge de six ans?


• A. À une cire fraîche.
• B. À un fruit vert.
• C. À une feuille blanche.
• 9. Pourquoi le narrateur veut-il entamer l’écriture de son roman autobiographie ?
• A. Afin d’égayer et comprendre la raison de sa solitude.
• B. Afin de devenir célèbre.
• C. Afin d’oublier ses parents.

• Q10. Le narrateur est-il sûr de la véracité (authenticité) des événements qu’il raconte ?
Justifiez votre réponse.
• A. Oui, car tout est écrit dans un agenda.
• B. Non, car il a tout oublié.
• C. Oui, le narrateur est sûr de la véracité (authenticité) des événements qu’il raconte.

• Q 11. Le narrateur avait un penchant pour:


• A. le jeu
• B. le rêve
• C. l’amusement
• Q12. Les autres bambins (Petits enfants) se contentent :
• A. Du néant
• B. Du visible
• C. De l’invisible

• Q 13. Qu’est-ce qui distinguait le narrateur des autres enfants de six ans ?
• A. Ses petits camarades de l’école avaient un penchant pour le rêve.
• B. Les enfants âgés de six ans apprenaient bien leurs leçons.
• C. Les enfants âgés de six ans cherchaient à imiter alors que le narrateur voulait connaître.

• Q14. Où se trouve l'école coranique du narrateur ?


• A. À la porte de Derb Noualla.
• B. À la rue Jiaf.
• C. À la porte de Derb Doukala.
• Q15. À quoi le narrateur compare-t-il le bain maure?
• A. Au paradis.
• B. À l'enfer.
• C. Au Msid.

• Q16. Le sentiment que le narrateur éprouve à l’égard du bain maure est :


• A. le malaise .
• B. la colère.
• C. le bonheur.

• Q17. Est-ce que l’auteur était fréquemment soumis à l’éprouve du bain?


• A. Une fois par semaine.
• B. Rarement.
• C. Une fois par moi.
• Q18. A quoi se livrait Sidi Mohammed quand sa mère ne le portait pas au bain maure?
• A. À une séance de musique.
• B. A la lecture.
• C. A ses fantaisies.

• Q19. Que contient la boîte à merveilles du narrateur?


• A. Des Objets hétéroclites.
• B. Des vêtements.
• C. Des livres.

• Q20. Comment le narrateur considère-t-il les objets de sa boîte à merveilles?


• A. Comme un talisman qui protège contre le mauvais oeil.
• B. Comme ses seuls amis.
• C. Comme des boîtes de médicaments.
• Q21 Quel incident important s'est-il produit à la fin de ce premier chapitre à cause de la
lessive?
• A. La séance de la confrérie des Gnaouas.
• B. La dispute entre Lalla Zoubida et Rahma.
• C. La mort de la voyante.

• Q22. Quelle est la cause de la dispute entre Rahma et la mère du narrateur?


• A. Rahma a fait sa lessive un lundi.
• B. Rahma a pris la lampe de Zoubida.
• C. Rahma a insulté le fils de Zoubida.

• Q23. Pourquoi le narrateur s’évanouit-il?


• A. À cause de la chaleur du bain maure
• B. À cause du grand bruit engendré par la dispute entre sa mère et son père.
• C. À cause du grand bruit engendré par la dispute entre sa mère et Rahma
• Q24.Quelles sont les origines de la famille du narrateur?
• A. Origines sahraouies.
• B. Origines andalouses.
• C. Origines montagnardes.

• Q25. Pourquoi l’auteur utilise-t-il des mots arabes dans le roman ?

• Q26 . Quelle place occupait la femme dans la société de l’époque ?


Le narrateur redoute le mardi car il doit, comme tous les écoliers du Msid, réciter les chapitres de
Coran appris depuis l'entrée à l'école. Le regard du Fqih et les coups de sa baguette de cognassier
étaient source de ses cauchemars et de ses souffrances.
A son retour du Msid, Sidi Mohammed trouve sa mère souffrante (une terrible migraine). Lalla
Aïcha, une ancienne voisine de la famille rend visite à Lalla Zoubida et lui conseille de monter tous les
trois au sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb pour soulager ses maux et conjurer (=écarter en priant) le
mauvais œil qui a frappé son fils.
Au mausolée, le garçon se fait griffer par un chat dans la cour de la Zaouia. Blessé, il bénéficie d’un
repos de deux jours de convalescence.
Durant ce repos, l’enfant, assiste au cérémonial des matinées, reçoit deux beignets de Fatma
Bziouya et un cabochon de verre de Rahma.
Les courses du ménage étaient assurées par l’apprenti de son père, Driss le teigneux. La famille
depuis un temps ne connaissait plus les difficultés des autres ménages et jouissait d’un certain
confort.
• Q1. A quoi était consacré le mardi au Msid?
• A. Au repas collectif.
• B. A la révision des chapitres du Coran.
• C. Au nettoyage de l’école.
• Q2. Comment le narrateur considère-t-il ce jour?
• A. Comme un jour de fête
• B. Comme un jour ordinaire
• C. Comme un jour néfaste avec une nuit peuplée de cauchemars.
• Q3. Pourquoi Lalla Zoubida reçut-elle froidement son fils à son retour du Msid?
• A. Elle souffrait d'une terrible migraine.
• B. Elle était occupée à faire la lessive.
• C. Elle était en colère.

• Q3. Qui est Lalla Aïcha ?


• A. Lalla Aïcha est une ancienne voisine de la famille du Sidi Mohammed.
• B. la mère de Lalla Zoubida.
• C. La sœur de Maâlem Abdeslem.
• Q4. Quel conseil donna-t-elle
. à la mère du narrateur?
• A. Faire un don au fqih.
• B. Aller visiter Sidi Ali Boughaleb.
• C. Aller consulter un médecin.
• Q5. Quel sentiment Lalla Aïcha inspirait elle à l'enfant?
• A. Un sentiment de dégoût.
• B. Une certaine pitié.
• C. Un certain malaise
• Q6. D'après Lalla Aïcha, à quoi servirait la visite de Sidi Ali Boughaleb?
• A. À respirer le grand air.
• B. À faire revenir le mari.
• C. À guérir la mère et l'enfant.
• Q7. Quel sens donnez-vous au mot catafalque?
• A. Estrade sur laquelle est placé le cercueil.
• B. L'estrade sur laquelle les pèlerins font la prière.
• C. La chambre des pèlerins.

• Q8. Qu'arriva-t-il au petit garçon lors de la visite du Mausolée?


• A. Il a été griffé par un chien.
• B. Il a été griffé par un chat.
• C. Il a été giflé par sa mère.
• Q9. Pourquoi le petit garçon n'ira-t-il pas au Msid le mercredi?
• A. Il n'avait pas préparé ses leçons.
• B. Il était fatigué. Réponse: B. Il était fatigué. «Ce matin, j’entendis mon
père lui chuchoter : - Ne l’envoie pas au Msid, il semble
• C. Il voulait accompagner son père. bien fatigué. »

• Q10. Combien de jours durerait "le congé" du petit garçon?


• A. Trois jours et demi.
• B. Quatre jours et demi. Réponse: C. Deux jours et demi.« Nous étions mercredi, le jour
• C. Deux jours et demi. suivant était ordinairement jour de congé et le vendredi l’école
n’ouvrait qu’après la prière de midi. J’avais devant moi deux jours et
demi. »
• Q11. Quel est le cérémonial des matinées à Dar Chouafa ?
• A. les habitants se réveillent chacun à son rythme et échangent des salutations d’usage.
• B. Les habitants se disputent chaque jour.
• C. Les habitants brûlaient des aromates. Réponse: A . les habitants se réveillent chacun à
son rythme et échangent des salutations d’usage.
• Q12. Depuis combien d'années la famille du narrateur habitait-elle Dar Chouafa?
• A. Six ans.
• B. Deux ans.
Réponse: C. Trois ans. « Depuis trois ans que nous habitions
• C. Trois ans
ensemble, elles avaient répété les mêmes phrases chaque matin. »

• Q13. Comment s'appelait le mari de Fatma Bziouya et quel est son métier?
• A. Allal, un jardinier.
• B. Abdeslem, un jardinier.
• C. Abdallah, un cuisinier. Réponse: A. Allal, un jardinier. « Allal, le mari de
Fatma Bziouya, jardinier de son état. »

• Q14. Qui était Driss le teigneux?


• A. L'associé du Maâlem Abdeslem.
• B. Un apprenti du Maâlem Abdeslem.
• C. Le frère de Zoubida.
Réponse: B. Un apprenti du Maâlem Abdeslem.
• Q15. Qu’est-ce qui montre que la famille du narrateur est assez aisée ?
• A. Leur maison est composée de trois pièces.
• B. La famille peut se permettre de manger de la viande trois à quatre fois par semaine.
• C. La famille peut se permettre d'inviter les voisins chaque semaine.
Réponse: B. La famille peut se permettre de manger de la viande trois à quatre fois
par semaine. « La situation de mon père était assez prospère. Nous pouvions
nous permettre de manger de la viande trois à quatre fois par semaine. »
• Q16. Quel était le métier du père du narrateur?
• A. Un tisserand.
• B. Un jardinier. Réponse: A. Un tisserand de couvertures. « Il s’acheta donc un
• C. Un fabricant de charrues. minimum de matériel, loua un coin dans un atelier et
s’installa tisserand. »

• Q17. À combien de Kilomètres de Fès se trouvait le village d'origine du père du


narrateur?
• A. À 100 Kilomètres. Réponse: C. À 50 Kilomètres. « Papa, d’origine montagnarde
• B. À 150 Kilomètres. comme ma mère…son village situé à une cinquantaine de
kilomètres de la grande ville. »
• C. À 50 Kilomètres.
• Q18. Quel est le seul jour de la semaine où Maâlem Abdeslem déjeunait-il avec
sa famille?
• A. Le dimanche.
• B. Le vendredi.
• C. Le samedi. Réponse: B . Le vendredi. « Driss venait… au milieu du jour chercher le
déjeuner de son patron. Mon père mangeait à l’atelier. Il venait
seulement le soir après la dernière prière. Le vendredi faisait
exception. »

• Q19. Quel cadeau offrit Rahma au petit garçon?


• A. Une pièce d'un franc.
• B. Des beignets.
• C. Un cabochon de verre.

Réponse: C. Un cabochon de verre. « Rahma… me glissa un objet dans la


main un objet lisse et froid…C’était un gros cabochon de verre. »
Après deux jours et demi de repos, Le vendredi après déjeuner, l’enfant se retrouve à l’école scandant
Les mots sur sa planchette. Le temps passe lentement. La fin des cours est un moment de délivrance et de
soulagement pour lui.
Le soir, Lalla Zoubida remarque que Fatma Bziouya s’éclaire avec une lampe à pétrole. Après le dîner,
elle demande à son époux d'acheter une lampe pareille. Le lendemain, au retour du Msid, l’enfant en
trouve une accrochée au mur.
Un événement imprévu se produit : Zineb disparaît lorsqu'elle accompagne sa mère Rahma à un
baptême. L’événement est une occasion pour lalla Zoubida de se réconcilier avec sa voisine. Toutes les
femmes partagent le chagrin de Rahma. Lalla Zoubida se dirige en compagnie de Fatma Bziuoya vers
Moulay Idriss pour le prier de venir en aide à la famille de la disparue. Elles réussissent à la retrouver à
la « maison des Idrissides ». Rahma, en guise de remerciements à Dieu, organise un repas pour les
mendiants.
Le soir, Sidi Mohammed sort sa Boîte à Merveilles, mais ses objets refusent de lui offrir l’enchantement
désiré, il se met à pleurer.
• Q1. Quand le narrateur retourna-t-il à l'école après son long "congé" ?
• A. Le vendredi matin.
• B. Le vendredi après-midi.
• C. Le jeudi matin. Réponse : B. Le vendredi après-midi.

• Q2. Par quel mot le narrateur qualifia-t-il les heures passées au Msid ?
• A. Le bonheur.
• B. Le plaisir. Réponse: C. Les souffrances. «Nous étions heureux quand
• C. Les souffrances. commençaient ces litanies. Elles signifiaient la fin de nos
souffrances » Le narrateur s’ennuie et attend l’heure de sortie
avec impatience.

• Q3. Quel signe annonçait la fin de la journée au Msid le vendredi ?


• A. Réciter des vers de Bnou Achir.
• B. Chanter la première sourate du coran.
• C. Faire les ablutions.
Réponse: A. Réciter des vers de Bnou Achir.
• Q4. Quel objet Fatma Bziouya venait-elle d'acquérir ?
• A. Une table ronde.
• B. Une lampe à pétrole.
• C. Un chandelier de cuivre. Réponse: B. Une lampe à pétrole
• Q5. De quoi Lalla Zoubida essaya-t-elle de convaincre son mari ?
• A. De la nécessité d'avoir une lampe à pétrole.
• B. De la nécessité d'avoir du charbon en réserve.
• C. De la nécessité d'avoir un nouveau poêle.
Réponse: A. De la nécessité d'avoir une lampe à pétrole « les bougies devenaient
de moindre qualité, qu’il en fallait une tous les trois jours/ la pièce paraissait
lugubre avec toutes ces ombres qui s’amassaient dans les angles. »
• Q6. Comment le narrateur qualifia-t-il la manière avec laquelle sa mère procédait
pour convaincre son mari ?
• A. Gauche.
• B. Habile. Réponse: B. Habile «J’admirais intérieurement l’habileté
• C. Maladroite. de ma mère.
• Q7. Quel malheur avait frappé Rahma ?
• A. Sa fille Zineb s'était cassé la jambe.
• B. Son mari l'avait répudiée. Réponse: C. Sa fille Zineb avait disparu « Zineb
• C. Sa fille Zineb avait disparu. s’était volatilisée, le sol l’avait engloutie et il n’en
restait pas la moindre trace. »
• Q8. Dans quelle circonstance Rahma avait-elle perdu sa fille ?
• A. Zineb s'était perdue dans la foule à Rsif.
• B. Zineb s'était perdue en allant faire des commissions.
• C. Zineb s'était perdue sur la route du Mausolée Sidi Ali Boughaleb.

Réponse: A. Zineb s'était perdue dans la foule à Rsif.


• Q9. De quelle façon les femmes exprimaient-elles leur chagrin en compassion avec
Rahma ?
• A. En gardant le silence.
• B. En pleurant et en se lamentant
Réponse: B. En pleurant et en se lamentant
• C. En se flagellant.
• Q10. Que constitua la disparition de Zineb pour Lalla Zoubida ?
• A. Une occasion de se réconcilier avec Rahma.
• B. Une occasion de visiter Moulay Idriss.
• C. Une occasion de visiter la Chouafa. Réponse: A. Une occasion de se réconcilier
avec Rahma.
• Q11. Quel sentiment éprouvait le narrateur pour Zineb ?
• A. Il l'appréciait.
• B. Il l'adorait. Réponse: C. Il ne l'aimait pas. « Je n’aimais pas Zineb,
• C. Il ne l'aimait pas. sa disparition me réjouissait plutôt. »

• Q12. Quelle était la raison profonde qui poussa Sidi Mohammed à pleurer ?
• A. Il avait faim.
• B. Il avait mal aux yeux.
• C. Il avait du chagrin pour Zineb.
Réponse: A. Il avait faim. « Cela m’est égal qu’on ne
retrouve pas Zineb, je pleure parce que j’ai faim! »
• Q13. Où Zineb avait-elle été retrouvée ?
• A. À la maison des orphelins.
• B. À la maison des Idrissides.
• C. À la maison des aveugles. Réponse: B. À la maison des Idrissides.

• Q14. Qu'organisa Rahma pour remercier Dieu d'avoir retrouvé sa fille ?


• A. Une cérémonie pour les voisines.
• B. Une séance de Gnaouas.
Réponse: C. Un repas pour les mendiants
• C. Un repas pour les mendiants.

• Q15. À quoi recourait Sidi Mohammed une fois seul et triste ?


• A. Aux bras de sa maman.
• B. À sa boîte à merveilles.
• C. À sa voisine Zineb. Réponse: B. À sa boîte à merveilles.
• Q16. La boîte à merveilles avait-elle toujours le même effet
sur le narrateur ?
• A. La boîte avait perdu sa métamorphose.
• B. La boîte le plongea dans l'admiration.
• C. La boîte le transporta dans le monde invisible.

Réponse: A. La boîte avait perdu sa métamorphose. « J’ouvris la


Boîte… afin de jouir plus intensément du spectacle.
L’enchantement disparut, je trouvai simplement un cabochon de
verre, des boutons et des clous sans âme et sans mystère. »
Chapitre IV
Sidi Mohammed et sa mère rendent visite à Lalla Aïcha qui habite dans
l’impasse de Zankat Hajjama. Ils passent toute la journée chez cette ancienne
voisine. les deux femmes se livrent à leurs commérages. Sidi Mohammed joue
avec les enfants de la maison à la mariée. le jeu s’achève par une dispute et des
hurlements.
De retour à la maison, Lalla Zoubida fait part à son mari des ennuis du mari de
Lalla Aïcha, Moulay Larbi avec son ouvrier et associé Abdelkader. Ce dernier
avait renié ses dettes et même plus il avait prétendu avoir versé la moitié du
capital de l’affaire. Les juges s’étaient prononcés en faveur de Abdelkader.
Le père à son tour se charge de raconter les histoires d’Abdallah l’épicier.
Personnage dont les récits excitent l’imagination de Sidi Mohammed et
l’obsédèrent durant toute son enfance.
• Q1. De quelle saison s'agissait-il ?
• A. Du printemps.
• B. De l'automne.
• C. De l'été. Réponse: A. La saison du printemps

• Q2. Chez qui Lalla Zoubida et son fils étaient-ils invités ?


• A. Chez Lalla Kanza.
• B. Chez Lalla Aïcha.
Réponse: B. Chez Lalla Aïcha.
• C. Chez Lalla Fatma.

• Q3.Où habitait Lalla Aïcha ?


• A. À Bab Noualla.
• B. À Zankat Rsif.
• C. À Zankat Hajjama. Réponse: C. À Zankat Hajjama.
• Q4. Comment Lalla Aïcha parle-t-elle de ses voisines avec Lalla Zoubida?
• A. Elle les traite de menteuses
• B. Elle se moquent d’elles
• C. Elle les flatte hautement avant de chuchoter à l’oreille de son invitée sa véritable pensée
Réponse: C. Lalla Aïcha sait que ses voisines épient ses dires, c’est
pourquoi elle ne manque pas de les flatter hautement avant de
chuchoter à l’oreille de son invitée sa véritable pensée.
• Q5. Avec qui le narrateur joua-t-il à la mariée ?
• A. Avec les enfants de la maison de Lalla Aïcha.
• B. Avec les enfants de la maison de Dar Chouafa.
Réponse: A. Avec les enfants de la
• C. Avec les chats de la maison de Lalla Aïcha.
maison de Lalla Aïcha.
• Q6. Par quoi finit le jeu des enfants ?
• A. Par une fête
Réponse: B . Par une dispute « La
• B. Par une dispute.
mariée et ses invités se mirent à
• C.. Par la lecture du premier chapitre du coran.
hurler, à se battre. »
• Q7. Quel aspect de Rahma et de Fatma était exposé par Lalla Zoubida ?
• A. Leur beauté.
• B. Leur inexpérience.
• C. Leur cruauté. Réponse: A . Leur beauté.

• Q8. Qui, d'après le narrateur, parlait peu et priait beaucoup ?


• A. Lalla Aïcha.
• B. Moulay Larbi.
• C. Son père. Réponse: C. Son père

• Q9. Qui, d'après le narrateur, parlait trop et ne priait pas assez ?


• A. La Chouafa.
• B. Sa mère
• C. Abdallah, l’épicier
Réponse: B. Sa mère
• Q10. Qui était Moulay Larbi ?
• A. Le mari de Lalla Kanza.
• B. Le mari de Lalla Aïcha.
• C. Le mari de Lalla Rahma.
Réponse: B . Le mari de Lalla Aïcha.

• Q11. Que fit Lalla Aïcha quand elle retrouva Zoubida après le conciliabule avec son mari ?
• A. Elle l’informe de la décision de Moulay Larbi de vendre la maison
• B. Elle l’informe de sa décision de voyager
• C. Elle l’informe en pleurant des problèmes de son mari
Réponse: C. Elle l’informe en pleurant des problèmes de son mari.

• Q12. Que fit Lalla Zoubida après le déjeuner du vendredi ?


• A. Lalla Zoubida raconte les problèmes de Moulay Larbi avec un certain Abdelkader à son mari.
• B. Elle retourna chez Lalla Aïcha. Réponse: A. Lalla Zoubida raconte les problèmes
• C. Elle se rendit au bain maure. de Moulay Larbi avec un certain Abdelkader à
son mari.
• Q13. Qui était Abdelkader ?
• A. L'associé de Moulay Larbi.
• B. L'apprenti de Maâlem Abdeslem.
• C. Le patron de Moulay Larbi. Réponse: A . L'associé de Moulay Larbi.

• Q14. Qu'est-ce que Abdelkader avait nié ?


• A. Avoir volé le matériel de l'atelier.
• B. Avoir contracté une dette à Moulay Larbi.
• C. Avoir épousé une seconde femme.
Réponse: B. Avoir contracté une dette à Moulay Larbi. « Il a même
prétendu avoir versé la moitié du capital de l’affaire de Moulay Larbi. »
• Q15. Quel était le verdict des experts ?
• A. Ils se sont prononcés pour la saisie de l'atelier.
• B. Ils se sont prononcés en faveur d’Abdelkader.
• C. Ils se sont prononcés en faveur de Moulay Larbi.

Réponse: B . Ils se sont prononcés en faveur d’Abdelkader.


• Q16. Comment le narrateur qualifia-t-il Zineb ?
• A. Ingénieuse.
• B. Bête.
Réponse: B. Bête, « Une fille aussi bête que Zineb ne
• C. Intelligente.
peut rien trouver d’amusant dans sa pauvre cervelle. »

• Q17. Que pouvait permettre la boîte à merveilles au narrateur ?


• A. De jouer avec ses camarades du Msid.
• B. De partager ses secrets avec Zineb.
• C. De s'évader du monde réel.
Réponse: C. De s'évader du monde réel. « Moi, j’avais des trésors cachés
dans ma Boîte à Merveilles. J’étais seul à les connaître. Je pouvais
m’évader de ce monde de contrainte encombré de pachas. »
• Q18. Qui était Abdallah ?
• A. Un épicier qui raconte des histoires.
• B. Un coiffeur qui écrit des biographies.
Réponse: A. Un épicier qui raconte des
• C. Un menuisier qui raconte des histoires.
histoires.
• Q19. Comment les ennemis d'Abdallah le qualifiaient-ils ?
• A. Menteur, hypocrite et sorcier.
• B. Faible, ignorant et lâche.
• C. Mécréant, perfide et traître. Réponse: A. Menteur, hypocrite et sorcier.

• Q20. Comment peut-on appeler le récit de l'histoire d'Abdallah fait par


Maâlem Abdeslem ?
• A. Récit introducteur.
• B. Récit de clôture.
• C. Récit enchâssé.
Réponse: C. Récit enchâssé. « Quand le narrateur premier cède la place à des
personnages qui racontent des récits à leur manière et deviennent des
narrateurs à leur tour. »
Journée au Msid. Le Fqih parle aux enfants de la Achoura. Ils ont quinze jours pour préparer la
fête du nouvel an. Ils ont congé pour le reste de la journée. Revenu à la maison, l’enfant a peur car
il est seul, sa mère était sortie avec Lalla Aïcha avant son arrivée. Lorsque Lalla Zoubida est de
retour, elle chuchote à Fatma Bziouya, puis à Rahma les soucis de Lalla Aïcha. En femme dévouée,
Lalla Aïcha se dépouille de ses bijoux et de son mobilier pour aider son mari à remettre en marche
son atelier.
Des cris et des hurlements déchirants s’élèvent: Sidi Mohammed Ben Tahar, le coiffeur, un voisin
est mort. On le pleure et on assiste à ses obsèques.
Ayant assisté aux funérailles, le narrateur songe à la mort et à l'enterrement. Pour le consoler,
le père lui raconte une histoire.
L’enfant reçoit une nouvelle merveille, c’est une chaîne que sa mère lui avait donnée. Mais le
chat de Zineb lui vole la chaîne et prend la fuite! Une Dispute a lieu alors entre Sidi Mohammed et la
fille de Rahma.
• Q1. Comment était le fqih le mercredi ?
• A. Maussade.
• B. Taciturne. Réponse: C . Souriant et comme conséquence
• C. Souriant. « Pas un élève ne reçut la bastonnade. »

• Q2. Quelle fête les écoliers allaient-ils célébrer ?


• A. Ramadan.
• B. Achoura.
Réponse: B . La fête de Achoura « Nous avions quinze
• C. Aïd al-adha. jours pour préparer la fête. »

• Q3. Quelle était la cause de l'absence de la mère du narrateur ?


• A. Elle était montée sur la terrasse.
• B. Elle était allée au bain maure.
• C. Elle était sortie avec Lalla Aïcha. Réponse: C . Elle était sortie avec Lalla Aïcha.
• Q4. Quelle nouvelle rapporta Zoubida de chez Lalla Aïcha ?
• A. Lalla Aïcha allait consulter la Chouafa.
• B. Lalla Aïcha a vendu ses bijoux et son mobilier.
• C. Lalla Aïcha a acheté de nouveaux bijoux.
Réponse: B . Lalla Aïcha a vendu ses bijoux et son mobilier pour
aider son mari à s'installer et à acheter du matériel.
Q5. Qui était mort dans le quartier ?
• A. Sidi Abdallah, l'épicier.
• B. Sidi Ali ben Tahar, le menuisier. Réponse: C . Sidi Mohammed ben Tahar, le
• C. Sidi Mohammed ben Tahar, le coiffeur. coiffeur.

• Q6. Pourquoi Zoubida voulut-elle partir sur-le-champ à la maison du défunt ?


• A. Elle avait envie de pleurer.
• B. Elle avait envie de manger.
• C. Elle voulait aider à préparer le repas. Réponse: A . Elle avait envie de pleurer.
• Q7. Par quel mot le narrateur désigna-t-il les femmes qui criaient dans la maison du
mort ?
• A. Les pleureuses.
• B. Les rieuses. Réponse: A . Les pleureuses «Je sautais les marches
• C. Les brailleuses. quatre à quatre pour rejoindre les pleureuses au rez-
de-chaussée »

• Q8. Que provoqua la mort du coiffeur chez Sidi Mohammed ?


• A. L'activité et le dynamisme.
• B. La passivité et l'attente.
• C. La fièvre et le délire. Réponse: C . La fièvre et le délire.

• Q9. En quoi la boîte à merveilles se métamorphosait-elle dans le délire de Sidi


Mohammed ?
• A. En château.
• B. En cercueil. Réponse: B . En cercueil qui l’emporte dans des palais
d’émeraude. « Ma Boîte à Merveilles. Elle grandit
• C. En berceau.
démesurément, prit la forme d’un cercueil. »
• Q10. Quel cadeau le narrateur reçut-il de sa mère ?
• A. Un gilet rouge.
• B. Une chaînette de cuivre.
• C. Un cabochon de verre. Réponse: B . Une chaînette de cuivre.

• Q11. Qu'était-il arrivé à la chaînette de cuivre ?


• A. Elle a été emportée par le chat de Zineb.
• B. Elle a été volée par les enfants du quartier.
• C. Elle est tombée dans la marmite sur le feu.
Réponse: A . Elle a été emportée par le chat de Zineb.

• Q12. Pourquoi Sidi Mohammed s'était-il disputé violemment avec Zineb ?


• A. Il a rendu Zineb responsable du vol de sa chaînette par le chat.
• B. Il a rendu Zineb responsable de la mort du coiffeur.
• C. Il a rendu Zineb responsable du vol de sa boîte à merveilles.
Réponse: A . Il a rendu Zineb responsable du vol de sa
chaînette par le chat.
Les préparatifs de la fête d’Achoura commencent. Le fqih distribue les tâches et
forme des équipes. Sidi Mohamed est nommé chef des frotteurs. La salle du Msid est
nettoyée, les murs sont blanchis à la chaux et le sol frotté à grande eau.
Lalla Zoubida emmène Sidi Mohammed à la kissaria pour lui acheter des
vêtements neufs. En route, elle apprend d’une voisine de Lalla Aïcha que les
affaires de Moulay Larbi vont bien. Arrivée à la kissariya, la mère achète une
cotonnade blanche, un gilet pour son fils ; puis une satinette pour la Chouafa.
De retour à la maison, Sidi Mohammed se dispute avec Zineb, ce qui met en
colère sa mère. Enfin toutes les voisines prêtent l’oreille à Rahma qui raconte
l’histoire de Khadija avec son mari Si Othman.
.
• Q1 Que se passe-t-il au msid à l’occasion d’Achoura ?
• A. Le maître donne trois jours de repos aux élèves
• B. Le maître demande aux élèves d’apprendre deux sourates du Coran
• C. Le maître collecte les dons pour renouveler les nattes et forme des équipes pour
blanchir les murs et nettoyer le sol.
Réponse: C. Le maître collecte les dons pour renouveler les nattes et forme des
équipes pour blanchir les murs et nettoyer le sol.
• Q2. Quand le travail de rénovation de l'école a-t-il commencé ?
• A. Huit jours avant la fête de l’Achoura.
• B. Cinq jours avant la fête de l’Achoura.
• C. Dix jours avant la fête de l’Achoura. Réponse: A. Huit jours avant la fête de l’Achoura.

• Q3. Quel rôle joue le narrateur dans le nettoyage du Msid ?


• A. Chef des balayeurs.
• B. Chef des frotteurs.
Réponse: B. Le narrateur est nommé chef des frotteurs et
• C. Chef des blanchisseurs. cette fonction le remplit de fierté
• Q4. Pourquoi Lalla Zoubida empêcha-t-elle Sidi Mohammed d'aller à l’école ?
• A. Elle voulait le punir pour sa dispute avec Zineb.
• B. Elle voulait l'emmener à la Kissaria.
• C. Sidi Mohammed avait de la fièvre. Réponse : B. A l’occasion de Achoura, Elle voulait
l'emmener à la Kissaria pour lui acheter des habits
neufs.
• Q5. Pourquoi le narrateur était-il réprimandé par sa mère avant la sortie pour la Kissaria ?
• A. Il s'est disputé avec sa voisine Zineb.
• B. Il a taché sa djellaba blanche.
• C. Il n'a pas entendu les appels de sa mère alors qu'il jouait sur la terrasse.
Réponse : C. Il n'a pas entendu les appels de sa mère alors qu'il
jouait sur la terrasse.
• Q6. À quoi servirait l'argent que la Chouafa donna à Zoubida lorsqu'elle partait pour la
Kissaria ?
• A. À acheter une dejellaba
• B. À acheter de la satinette noire.
• C. À acheter de la cotonnade bleue.
Réponse: B. À acheter de la satinette noire.
• Q7. Qui était la femme rencontrée près de Sidi Ahmed Tijani ?
• A. Une voisine de Lalla Aïcha.
• B. La Moqadama de Sidi Ahmed Tijani.
• C. La caissière du bain maure. Réponse: A. Une voisine de Lalla Aïcha qui commente la
fin heureuse de l’affaire Moulay Larbi grâce aux
sacrifices de sa femme.

• Q8. Quels étaient les objets achetés à la Kissaria par Zoubida pour son fils ?
• A. De la cotonnade blanche et une paire de babouches.
• B. De la cotonnade blanche et un gilet rouge.
• C. Un gilet rouge et une djellaba blanche. Réponse: B. De la cotonnade blanche (pour
confectionner une chemise pour Sidi
Mohammed) et un gilet rouge
• Q9. Comment le petit garçon s'imaginerait-il portant son gilet rouge le jour de l'Achoura ?
• A. Comme un prince de légende.
• B. Comme le pacha de la ville. Réponse: A. Comme un prince de légende « Ne serais-je
• C. Comme le fqih de son école. pas un prince de légende avec ce gilet somptueux ? »
• Q10. Pourquoi Sidi Mohammed se disputa-t-il avec Zineb ?
• A. La fille lui vola son gilet.
• B. La fille lui fit une grimace. Réponse: B. La fille lui fit une grimace. «Zineb me fit une
horrible grimace, je lui en fis une encore plus
• C. La fille lui vola sa chaînette. épouvantable. Elle se mit à hurler, à ameuter tout le
quartier.»

• Q11. Quelle est la réaction de Lalla Zoubida face à cette dispute?


• A. Furieuse, elle le saisit brutalement par le bras ,se plaignait de son mauvais destin, et finit par
l’abandonner dans un coin renifler tout à son aise.
• B. Furieuse, elle le priva de son gilet.
• C. Furieuse, elle frappa son fils.

Réponse: A. Furieuse, elle le saisit brutalement par le bras, se plaignait de son


mauvais destin et finit par l’abandonner dans un coin. «Furieuse, ma mère me saisit
brutalement par le bras et m’entraîna jusqu’à notre chambre. Elle se plaignait à
haute voix de son mauvais destin/ Elle m’abandonna dans un coin, me laissa renifler
tout à mon aise.»
• Q12. Qui était Lalla Khadija ?
• A. Une jeune et charmante voisine, soeur de Lalla Aïcha.
• B. Une jeune et charmante voisine, épouse de Sidi Mohammed ben Taher.
• C. Une jeune et charmante voisine, épouse de l'oncle Othman.
Réponse: C. Une jeune et charmante voisine, épouse de l'oncle
Othman.

• Q13.Quel était le sujet de l'histoire racontée par Rahma dans ce chapitre ?


• A. Comment Lalla Khadija traitait son vieux mari, l’oncle Othman.
• B. Comment Lalla Aïcha traitait son vieux mari.
• C. Comment Lalla Kanza traitait ses clients.
Réponse : A. Comment Lalla Khadija traitait son vieux mari, l’oncle
Othman: l’histoire que M'Barka , l'ancienne esclave de l'oncle Othman, a
racontée à Rahma.
Deux jours avant Achoura, les femmes s’achètent des tambourins et des bendirs.
Sidi Mohammed joue à la trompette. Hamoussa l’interrompt et lui demande de rejoindre ses camarades au Msid afin de
participer à l’équipement des lustres.
Le lendemain, l’enfant et son père vont au souk pour acheter des jouets et un cierge avant de passer chez le coiffeur Si
Abderrahman. Sidi Mohammed n’aime pas cette personne car c’est lui qui le circoncirait un jour.
A part ses récits ennuyeux et son audace de se mêler dans la vie intime de ses clients, le coiffeur a bien décrit « la rue » de
sorte que lorsque l’enfant sort, il la trouve toute différente et revêt un aspect éclatant.
Le jour de la fête arrive, on se réveille à trois heures du matin. L’enfant met ses vêtements neufs et accompagne son père au
Msid célébrer ce jour exceptionnel. Dans la rue, le père lui donne cinq francs et un cierge pour le fqih.
Au Msid éclairé, les écoliers psalmodient de Coran avec ferveur. A L’occasion de Achoura, le fqih accorde à ses disciples
trois jours de vacances. Le jour de la rentrée étant un jeudi, le congé durerait alors quatre jours.
Après le déjeuner de fête, le père emmène avec lui le narrateur au sanctuaire Moulay Idriss pour accomplir des prières.
L’après-midi, Lalla Aïcha fait à Lalla Zoubida une visite surprise. Au moment où la visiteuse veut lui confier un secret, la
mère permet à son fils d’aller jouer sur la terrasse. Le soir, Sidi Mohammed, lassé de son tambour et de sa trompette, ouvre
sa Boîte à Merveilles. Mais il est trop fatigué pour se livrer à ses jeux.
• Q1. Qu’est-ce que les femmes avaient acheté pour l’Achoura ?
• A. Des tambourins, des bendirs et des tambours de basque
• B. Des tam-tams, des darboukas.
• C. Des timbales, des taârijas. Réponse: A. Des tambourins, des bendirs et des tambours
de basque

• Q2. Quel instrument de musique Maâlem Abdeslem avait-il offert à son fils ?
• A. Une flûte.
• B. Une trompette. Réponse: B. Une trompette «La veille, mon père m’avait
• C. Une clarinette. offert une trompette très fruste en fer-blanc »
• Q3. Pourquoi Hammoussa (Azzouz Berrada) vint-il interrompre le récital à la trompette du
narrateur ?
• A. Il a été envoyé par le maître pour chercher Sidi Mohammed.
• B. Il a été envoyé par Maâlem Abdeslem pour remettre les jouets à Sidi Mohammed.
• C. Il a été envoyé par la Chouafa pour faire taire Sidi Mohammed.

Réponse: A. Il a été envoyé par le maître pour chercher Sidi Mohammed afin de
participer à l’équipement des lustres.
• Q4. Quel achat fit le père à Bab Moulay Idriss et à quoi allait-il servir ?
• A. Des amandes et des cacahuètes pour les invités du jour de la fête.
• B. Un poulet pour le déjeuner de l'Achoura.
• C. Un cierge à offrir au maître d'école.
Réponse: C. Un cierge à offrir au maître d'école. « Nous irions …à Bab Moulay
Idriss faire l’acquisition d’un cierge. La nuit de l’Achoura, je l’offrirais au maître
d’école. »
• Q5. Quels jouets acheta Maâlem Abdeslem à son fils ?
• A. Une nouvelle flute, un tambourin et une glace ronde.
• B. Un tambour, une nouvelle trompette et un petit chariot.
• C. Un tambour, un petit harmonica et une nouvelle trompette.

Réponse: B . Un tambour, une nouvelle trompette et un petit chariot. «ce jeune


homme a été gâté: un tambour, une trompette, un magnifique chariot »
• Q6. Qu’est-ce qui inquièta le narrateur dans sa sortie avec son père?
• A. la séance du coiffeur, Si Abderrahman
• B. La séance du Coran
• C. La séance du bain maure. Réponse: A . La séance du coiffeur, Si Abderrahman.
• Q7. Pourquoi le narrateur n'aimait-il pas Si Abderrahman ?
• A. Le coiffeur serait chargé de lui pratiquer une saignée
• B. Le coiffeur serait chargé de le circoncire.
• C. Le coiffeur ne savait pas raconter des histoires. Réponse: B . Le coiffeur serait chargé de
le circoncire.
• Q8. Qui était Sidi Ahmed ? Qui allait-t-il épouser ?
• A. Le fils de El Haj Ali Lamrani, le marchand de thé.
• B. Le fils d’El Haj Allal Chraïbi, le marchand de thé.
• C. Le fils d’El Haj Larbi Amara, le marchand de thé.
Réponse: A . Le fils de El Haj Ali Lamrani, le marchand de thé du quartier
Sagha. Il allait épouser la fille de Si Omar le notaire.
• Q9. Que voulait dire "se marier" selon le coiffeur ?
• A. Donner à sa mère l'occasion de se reposer puisque tout le travail sera fait par la jeune épouse.
• B. Créer des liens de parenté avec une autre famille et avoir des enfants capables d'aider les parents
dans la vieillesse.
• C. Se conformer à la religion musulmane.
Réponse: B . Créer des liens de parenté avec une autre famille et avoir
des enfants capables d'aider les parents dans la vieillesse.
• Q10. Quelle expression utilisa le coiffeur pour exprimer son amour de la rue de
la ville de Fès ?
• A. Une cérémonie perpétuelle.
• B. Une fête fabuleuse.
Réponse: C . Un perpétuel spectacle «La rue pour moi est un
• C. Un perpétuel spectacle.
perpétuel spectacle.»

• Q11. Qu’arriva-t-il à Sidi Mohammed alors que le coiffeur le rasait ?


• A. Il s'endormit.
• B. Il s'évanouit.
Réponse: A. Il s'endormit. «Je finis par m’endormir. Ma tête s’en
• C. Il se mit à pleurer. alla de travers et la lame me mordit légèrement. »

• Q12. À quelle heure Lalla Zoubida réveilla-t-elle son fils le jour de l'Achoura ?
• A. À sept heures du matin.
• B. À trois heures du matin. Réponse: B . À trois heures du matin « Réveille-toi, il est
• C. À cinq heures du matin. trois heures du matin.»
• Q12. Quelle impression avait le narrateur en poussant la porte du Msid le jour de l'Achoura ?
• A. De vivre une fête fabuleuse.
• B. D'être venu avant les autres.
• C. De passer un examen. Réponse: A . De vivre une fête fabuleuse. « Cette impression de fête
fabuleuse s’accentua lorsque je poussai la porte du Msid . »
• Q13. Par quoi se termine la célébration de l’Achoura au Msid ?
• A. Par une journée de repos.
• B. Par la distribution des friandises.
• C. Par une longue invocation et un congé de quatre jours.
Réponse: C. Par une longue invocation et un congé de quatre jours. «II nous donna trois
jours de repos. Le jour de la rentrée étant un jeudi, le congé durerait quatre jours.»
• Q14. Quel a été le programme prévu pour la journée de l’Achoura ?
• A. Voyager aux environs de Fès.
• B. Le matin, accompagner son père à Moulay Driss pour la prière, et après le déjeuner, accompagner sa
mère chez son amie Lalla Aïcha.
• C. Visiter les mausolées de la ville.
Réponse: B. « Le matin, mon père se proposait de m’emmener à Moulay Idriss, le patron de
la ville. Après la prière en commun, nous reviendrions déjeuner. L’après-midi,
j’accompagnerais ma mère chez notre amie Lalla Aïcha.»
• Q15. Quel imprévu changea le programme prévu pour l’après-midi de L’Achoura ?
• A. L'arrivée inattendue de Lalla Aïcha.
• B. La dégradation de la santé de Sidi Mohammed.
• C. Le départ inattendu de Maâlem Abdeslem.
Réponse: A . L'arrivée inattendue de Lalla Aïcha.

• Q16. À quel moment de l’après-midi de l’Achoura, Sidi Mohammed reçut-il la


permission de monter sur la terrasse ?
• A. Quand les voisins sont tous montés sur la terrasse.
• B. Lorsque Lalla Aïcha s'apprêtait à raconter un secret.
• C. Lorsque Lalla Zoubida voulait faire la sieste.
Réponse: B . Lorsque Lalla Aïcha s'apprêtait à raconter un secret. « Ma mère me
permit de monter sur la terrasse jouer du tambour. Je compris que les deux
femmes avaient des secrets à se communiquer. »
Avec l’arrivée de la chaleur, le Msid est déménagé dans un
petit sanctuaire ce qui améliore l’aptitude d’apprentissage de Sidi
Mohammed.
Le père annonce à sa femme son intention de l’emmener au
souk des bijoutiers pour lui acheter des bracelets.
Le père se dispute avec le courtier rusé et disparaît dans la
foule.
Lalla Zoubida n’accepte pas les bracelets croyant qu’ils
attireront malheur à son foyer.
Lalla Zoubida reçoit la visite de Lalla AÏcha. Celle-ci annonce
que son mari l’a abandonnée et s’est remarié avec la fille du
coiffeur.
Sidi Mohammed tombe véritablement malade.
• Q1. Sur quelle saison s'ouvre le chapitre ?
• A. C'est le début de l'hiver
• B. C'est le début du printemps.
• C. C'est le début de l'été. Réponse : C . C'est le début de l'été.
• Q2. Avec l’arrivée de la chaleur, où le Msid fut-il déménagé ?
• A. Dans une petite maison.
• B. Dans un petit sanctuaire.
• C. Dans la mosquée du quartier. Réponse : B . Dans un petit sanctuaire, un
mausolée à deux pas plus loin .
• Q3. Quel effet eut le mausolée qui servait d'école sur Sidi Mohammed ?
• A. Un effet bénéfique sur sa santé physique et morale.
• B. Un effet mystérieux sur ses sentiments vis-à-vis du maître.
• C. Un effet nuisible sur sa santé physique et morale.


Réponse : A. Un effet bénéfique/ heureux sur sa santé physique et
morale. « Je me mis à aimer l’école.»
• Q4. Quelle image évoquait le mot "savant " chez le narrateur ?
• A. Un homme intelligent et soigné.
• B. Un homme maigre et mystérieux.
• C. Un homme obèse, barbu et inélégant.
Réponse : C . Un homme obèse, barbu et inélégant «Le mot savant évoquait
pour moi l’image d’un homme obèse à figure très large frangée de barbe. »
• Q5. Qu’est-ce qui justifiait l’ardeur de Sidi Mohammed dans son travail à l'école ?
• A. Gagner l'estime de son maître.
• B. Éviter la baguette de cognassier du fqih.
• C. Se démarquer de ses camarades de classe.
Réponse : B. Éviter la baguette de cognassier du fqih «J’apprenais chaque jour ma
leçon parce qu’il me semblait que mes parents m’en aimaient davantage et surtout
j’évitais ainsi la rencontre avec la lancinante baguette de cognassier. »
• Q6. Dans quelle intention le père du narrateur voulait-il aller, un lundi, au souk des bijoux ?
• A. Acheter des aiguilles en argent pour son atelier.
• B. Vendre des bijoux pour équiper son atelier.
• C. Offrir des bracelets à sa femme.
Réponse : C . Offrir des bracelets à sa femme. «Il y a longtemps que tu me demandes
ces bracelets soleil et lune (or et argent). Il est temps que je te les offre» .
• Q7. À quoi l'enfant compara-t-il les bijoux ?
• A. Aux fleurs.
• B. Aux objets de sa boîte à merveilles.
• C. Aux habits de l'Achoura.
Réponse : A. Aux fleurs. «Les bijoux, c’est beau comme les
fleurs »
• Q8. Comment le narrateur considéra-t-il le rire de ses parents à propos de sa comparaison ?
• A. Comme une amabilité.
• B. Comme une indélicatesse.
• C. Comme une politesse.
Réponse : B. Comme une indélicatesse. «Je sentais que ma comparaison
exprimait une idée essentielle. Elle devait être accueillie par le silence. Le
rire en une telle circonstance devenait une incongruité. . »

• Q9. Qu'est-ce que le narrateur n'arrivait pas à pardonner aux adultes ?


• A. De ne pas essayer de le comprendre.
• B. De le frapper.
• C. De le gronder. Réponse : A. De ne pas essayer de le comprendre. «Je pardonnais aux
grandes personnes de me gronder…mais je leur en voulais à mort de ne
pas essayer de me comprendre. »
• Q10. Qui a accompagné la famille du narrateur au souk des bijoutiers ?
• A. Lalla Aïcha.
• B. Fatma Bziouya.
• C. Rahma Réponse : B. Fatma Bziouya.

• Q11. À quoi le narrateur compara-t-il le souk des bijoutiers ?


• A. À une foire.
• B. Au Msid le jour de l'Achoura.
• C. À une fourmilière.
Réponse : C. À une fourmilière. « Le souk des bijoutiers
ressemblait à l’entrée d’une fourmilière. »

• Q12. Que s'était-il passé dans le souk des bijoux ?


• A. Une dispute entre Zoubida et une vendeuse.
• B. Un courtier a contrarié Zoubida en présence de son mari.
• C. Une dispute entre Abdeslem et le courtier.

Réponse : C. Une dispute entre Abdeslem et le courtier.


• Q13. Que pensa Zoubida des bijoux achetés par son mari ?
• A. Les bijoux auraient un bon effet sur les voisines.
• B. Les bijoux seraient une précaution pour les mauvais jours.
• C. Les bijoux porteraient malheur à la famille.
Réponse : C. Les bijoux porteraient malheur à la famille. «Je ne veux pas les voir,
ces bijoux de mauvais augure, dit ma mère. »
• Q14. Que désirerait Zoubida que son mari fasse de nouveaux bracelets ?
• A. Les revendre.
• B. Les cacher dans son atelier.
• C. Les échanger. Réponse : A. Les revendre. «Tu feras bien d’aller les revendre dès
demain.»
• Q15. Comment le père du narrateur expliqua-t-il l'incident du souk ?
• A. Il a disparu, car il avait oublié l'argent dans son atelier
• B. Il a corrigé le courtier qui voulait lui jouer un tour.
• C. La présence de Fatma Bziouya le gênait.
Réponse : B. Il a corrigé le courtier qui voulait lui jouer un tour. «J’ai dû
vous abandonner seules pour corriger ce mécréant.»
• Q16. Qu'était-il arrivé à Lalla Aïcha ?
• A. Son mari l'a abandonnée pour épouser une seconde femme, la fille d’Abderrahman le coiffeur.
• B. Son mari l'a abandonnée pour aller accomplir le pèlerinage à La Mecque.
• C. Son mari l'a abandonnée pour aller s'installer dans une autre ville.

Réponse : A. Son mari l'a abandonnée pour épouser une seconde


femme, la fille d’Abderrahman le coiffeur.

• Q17. Que provoquèrent les récits des malheurs de Zoubida et de Lalla Aïcha chez l'enfant alité ?
• A. L'envie de s'évader et d'ouvrir sa boîte à merveilles.
• B. La fièvre et les vomissements.
• C. Des cauchemars.

Réponse : B. La fièvre et les vomissements. «La chaleur, le lit, ces scènes


affreuses dont je sentais…tout le tragique, me rendirent vraiment malade. J’eus
de violents maux de tête, la fièvre me secoua tout entier. Je me mis à rendre sur
ma couverture. »
Chapitre IX
Sidi Mohammed souffre de la fièvre.
Le père annonce à sa famille qu’il a perdu son capital au
souk des enchères aux haïks. Il est obligé de quitter sa
famille pour aller travailler comme moissonneur aux
environs de Fès.
Souffrance de l’enfant, il a perdu son aptitude à imaginer.
Sa Boîte à Merveilles s’est transformée en cercueil.
Lalla AÏcha conseille son amie de se rendre chez Sidi El
Arafi.
• Q1. Pourquoi le narrateur qualifia-t-il le dîner de ses parents du "plus triste de leur vie " ?
• A. Ses parents avaient délaissé le dîner pour s'occuper de l'enfant.
• B. Le plat ne contenait pas de viande.
• C. Ses parents ne mangeaient pas et ne parlaient pas.
Réponse : C. Ses parents ne mangeaient pas et ne parlaient pas. «Mon père et ma
mère, chacun abîmé dans ses pensées, ne mangeaient pas, ne parlaient pas. »

• Q2. Quelle était la cause directe des difficultés du père du narrateur ?


• A. La rareté des matières premières.
• B. La perte de son capital.
• C. La morte-saison. Réponse : B. La perte de son capital

• Q3. Dans quelles circonstances Abdeslem avait-il perdu son capital ?


• A. Il a perdu son argent dans la cohue des enchères aux haïks.
• B. Il a tout investi dans l'achat d'un matériel défectueux.
• C. Son capital a été absorbé par des dettes.
Réponse : A. Il a perdu son argent dans la
cohue des enchères aux haïks.
• Q5. Quel genre de travail Abdeslem comptait-il accomplir pour résoudre ses problèmes ?
• A. Moissonneur.
• B. Menuisier. Réponse : A. Moissonneur. «Je suis un montagnard et un paysan. La
• C. Maçon. saison de la moisson commence à peine, on embauche des
moissonneurs.»
• Q4. Où Maâlem Abdeslem avait-il l'intention de travailler et pour combien de temps ?
• A. Aux environs de Taza pendant un mois.
• B. Aux environs de Fès pendant un mois.
• C. Aux environs de Rabat pendant deux mois.

Réponse : B. Aux environs de Fès pendant un mois.


• Q6. Quelle était selon Zoubida la cause de leur malheur ?
• A. Les bracelets.
• B. Les séances de danse nègre de la voyante.
• C. Le mauvais œil des voisins.

Réponse : A. Les bracelets . « Ce sont ces maudits bracelets qui ont


semé le malheur dans notre maison. »
• Q7. Que comptait faire le père du narrateur des bracelets considérés par Zoubida comme
maudits ?
• A. Les offrir au Mausolée de Moulay Idriss.
• B. Les vendre pour que sa famille puisse se nourrir pendant son absence.
• C. Les donner aux gens pauvres.
Réponse : B. Les vendre pour que sa famille puisse se nourrir pendant son absence.
«Je compte les vendre. Je vous laisserai cet argent pour vous nourrir pendant mon
absence. »
• Q8. En quoi se résuma le bagage emporté par le père du narrateur ?
• A. Une sacoche, une bêche et un sac en coton.
• B. Une valise, une faucille et un sac en laine.
• C. Une sacoche, une faucille et un sac en toile.
Réponse : C. Une sacoche, une faucille et un sac en toile. «Il partit, avec pour
tout bagage, une sacoche de berger… une faucille neuve et un sac en toile. »
• Q9. Quelle sensation fit naître le départ du père chez le narrateur ?
• A. La sensation d'avoir perdu sa boîte à merveilles.
• B. La sensation d'être devenu orphelin.
Réponse : B. La sensation d'être devenu orphelin.
• C. La sensation d'être devenu infirme.
«J’eus la sensation que nous étions abandonnés,
que nous étions devenus orphelins.»
• Q10. Que représentait le père pour le narrateur et sa mère ?
• A. La responsabilité, la sécurité, la paix et la sagesse.
• B. L'amour, la tendresse, la sécurité et la tendresse.
• C. La force, l'aventure, la sécurité et la paix.
Réponse : C. « Pour ma mère et pour moi, mon père représentait la force,
l’aventure, la sécurité, la paix. »
• Q11. Quelle interrogation obsédait le narrateur après le départ de son père ?
• A. La durée d'un mois.
• B. Le comportement de ses camarades de classe.
• C. Les difficultés de son père. Réponse :A. La durée d'un mois. «Oui, maman ; je te
demande si un mois est long.»
• Q12. Quelle réponse accorda Zoubida à l'interrogation de son fils sur la durée d'un mois ?
• A. Pour eux, un mois serait une éternité.
• B. Pour eux, un mois serait comparable au mois du ramadan.
• C. Pour eux, un mois serait un moment éphémère.
Réponse :A. Pour eux, un mois serait une éternité. «Un mois dure un mois, mon
fils, mais pour nous, le mois à venir sera une éternité. »
• Q13. Quand Sidi Mohammed avait-il retrouvé sa santé ?
• A. Le soir juste avant le départ de son père.
• B. Le matin juste après le départ de son père.
• C. Le lendemain du départ de son père.
Réponse : B. Le matin juste après le départ de son père. «Louange à Dieu !
Sidi Mohammed ! Te voilà rétabli/Est-ce que Sidi Abdeslem est parti ce matin ?
/ Oui, il doit être déjà loin. »

• Q14. En quoi s’était transformée la boîte à merveilles du narrateur après le


départ de son père ?
• A. En un ballon
• B. En un épouvantail.
• C. En un cercueil.
Réponse : C. En un cercueil. «Ce n’était plus une boîte à
merveilles mais un cercueil où gisaient les pitoyables cadavres
de mes rêves.»
• Q15. Pourquoi la santé de Sidi Mohammed s'était-elle dégradée de nouveau ?
• A. À cause de la peur quand sa mère l'avait laissé seul dans la chambre.
• B. À cause de l'hyperactivité quand il avait passé toute la journée à courir.
• C. À Cause de Fatma Bziouya qui l'avait obligé à boire sa soupe.

Réponse : A. À cause de la peur quand sa mère l'avait laissé seul dans la


chambre. «Malgré les discussions des voisines, le bruit familier des petits balais de
doum, les crépitements des étincelles, les ronflements des soufflets, j’avais peur
/Quand ma mère revint, j’avais de nouveau la fièvre. »

• Q16. Dans quel but Lalla Zoubida rendit-elle visite avec son fils à Lalla Aïcha ?
• A. Pour emprunter du sucre et du thé.
• B. Pour raconter ses malheurs à son amie.
• C. Pour aller consulter le voyant, Sidi EL Arafi.

Réponse : C. Pour aller consulter le voyant, Sidi EL Arafi . «Sidi El Arafi que
nous irons consulter est aveugle/ Sidi El Arafi a bonne réputation.»
Chapitre X
Superstitions
La visite chez Sidi El Arafi : Les conseils, prières et bénédictions du voyant
rassurèrent les deux femmes. L’enfant est fasciné par le voyant aveugle.
Lalla Zoubida garde l’enfant à la maison. Ainsi, elle se sent moins seule et sa
présence lui fait oublier ses malheurs . Chaque semaine, ils vont prier sous la
coupole d’un saint ( visite des principaux marabouts de la ville de Fès).

Les prédications de Sidi AL Arafi se réalisent. Un messager venant de la


campagne apporte provisions, argent et bonne nouvelles de Sidi Abdeslem.
Lalla Aïcha invite Lalla Zoubida. Elle lui réserve une surprise. Il semble que
son mari reprend le chemin de la maison.
• Q1. Dans quel quartier se trouvait la maison de Sidi El Arafi ?
• A. Le quartier Seffah.
• B. Le quartier Rsif. Réponse : A. Le quartier Seffah. « Nous n’avions eu aucune
• C. Le quartier Qalklyine. peine à trouver la maison de Si El Arafi. Les gens du quartier
Seffah, fiers d’être les voisins d’un homme aussi illustre,
s’empressèrent de nous renseigner.»

• Q2. Quel mot peut résumer la description faite par le narrateur de l'espace où se trouve la
maison de Sidi El Arafi ?
• A. Espace attrayant.
Réponse : B. Espace répugnant. « un dédale de rues de plus en
• B. Espace répugnant.
plus étroites, de plus sombres, de plus en plus encombrées de tas
• C. Espace splendide.
d’ordures et de chats efflanqués, trois portes de maison vétustes
et une bouche d’égout, des nuages de poussière et de mouches
tournoyaient dans l’air, diverses odeurs s’y livraient bataille. »

• Q3. À quoi le narrateur compara-t-il le panier de Sidi El Arafi ?


• A. Au sac de toile confectionné par sa mère.
• B. À sa boîte à merveilles. Réponse : B. À sa boîte à merveilles. « Le panier de Sidi El
• C. À la sacoche de son père. Arafi rappelait ma Boîte à Merveilles.»
• Q4. Que demanda Sidi El Arafi à l'enfant en présentant le panier ?
• A. De choisir l'objet qu'il voulait emporter.
• B. De saisir un objet sans le voir. Réponse : B. De saisir un objet sans le
• C. De toucher le panier sans parler. voir.

• Q5. Quel objet Sidi Mohammed fit-il sortir du panier ?


• A. Une boule de verre.
• B. Une perle noire. Réponse : A. Une boule de verre. « Une boule de
• C. Un anneau de cuivre. verre, de la grosseur d’un œuf, se logea dans le creux
de ma main/Je la regardai avant de la lui remettre. »

• Q6. Quel conseil prodigua Sidi El Arafi à l'enfant ?


• A. D'écouter les conseils des adultes.
• B. De regarder en dedans de soi. Réponse : B. De regarder en dedans de
• C. De ne pas se préoccuper des autres. soi. « Désormais, ne sois plus triste. Si les
hommes t’abandonnent, regarde en dedans
de toi. »
• Q7. Quel objet Lalla Aïcha retira-t-elle du panier du voyant ?
• A. Une perle noire.
• B. Un anneau de cuivre.. Réponse : C. Un minuscule coquillage. « Lalla Aïcha
soupira, tout en allongeant le bras vers le panier. Elle
• C. Un minuscule coquillage
saisit un minuscule coquillage.»
• Q8. Quelle prédiction annonça le voyant à Lalla Aïcha ?
• A. Elle résidera dans une nouvelle maison.
• B. Le nid sera de nouveau reconstruit.
• C. Elle aura bientôt un enfant.
Répon se : B. Le nid sera de nouveau reconstruit. «La tempête emporta le pauvre
nid dans ses tourbillons mais, avec l’aide de Dieu, le nid sera de nouveau
reconstruit.»
• Q9. Quel objet Lalla Zoubida retira-t-elle du panier du voyant ?
• A. Une perle noire.
Réponse : A. Une perle noire. «Ma mère tendit son bras...vers
• B. Une boule de verre. le panier. Elle remit à Sidi El Arafi le produit de sa pêche.
• C. Un anneau de cuivre. C’était une perle noire .»
• Q10. Quel conseil donna Sidi El Arafi à Lalla Zoubida ?
• A. De visiter les sanctuaires des Saints de la ville.
• B. D'offrir de l'argent aux pauvres.
• C. D'organiser une Sadaka. Réponse : A. De visiter les sanctuaires des Saints de la ville
« Les Saints de Dieu qui veillent sur cette ville
t ’accordent leur protection. Visite leurs sanct uaire s.»
• Q11. Pourquoi sidi Mohammed s'était-il caché dans les plis du haïk de sa mère ?
• A. Il avait peur des chiens errants dans la rue.
• B. Il avait peur du courtier qui s'était disputé avec son père.
• C. Il avait peur du fqih qui passait dans la rue.
Réponse : C. Il avait peur du fqih qui passait dans la rue. « J’ai eu
peur/J’ai vu passer le fqih, mon maître. »
• Q12. Quel mensonge Lalla Zoubida était-elle prête à dire au maître de l'école coranique ?
• A. Elle avait emmené son fils rendre visite à un parent très malade.
• B. Elle avait besoin de son fils pour une course.
• C. Elle avait amené son fils voir un médecin.

Réponse : C. Elle avait amené son fils voir un médecin. «Si nous avions rencontré
le fqih je lui aurais expliqué que je t’avais amené voir un médecin . »
• Q13. Pourquoi Lalla Zoubida ne raconta-t-elle pas aux voisines sa visite à Sidi El Arafi ?
• A. Pour faire plaisir à son fils qui l'avait supplié de ne rien dire aux voisines.
• B. Pour ne pas froisser la Chouafa et pour ne pas divulguer ses secrets.
• C. Sidi El Arafi lui avait conseillé une totale discrétion.

Réponse : B. Pour ne pas froisser la Chouafa et pour ne pas divulguer


ses secrets. «Nous habitions avec une chouafa…Mais elle n’avait aucune
confiance en ses talents/ la peur de voir ses pauvres secrets divulgués. »
• Q14.Quelle résolution, concernant Sidi Mohammed, prit Lalla Zoubida le lendemain de la visite
de Sidi El Arafi ?
• A. De garder l'enfant à la maison durant le mois d'absence de son père.
• B. D'envoyer l'enfant à l'école pour oublier les malheurs.
• C. D'emmener son fils chez un médecin.

Réponse : A. De garder l'enfant à la maison durant le mois d'absence de


son père. « Ma mère me fit part de son intention de me garder à la
maison durant toute l’absence de mon père. »
• Q15. Quelles sont les raisons invoquées par Zoubida pour ne plus envoyer son fils à l'école ?
• A. Elle pensait que la chaleur du Msid nuirait à la santé de son fils.
• B. Elle avait besoin de son fils pour faire les courses.
• C. Elle se sentait seule et la santé de son fils laissait beaucoup à désirer.
R é p o n se : C . Elle se sentait seule et la santé de son fils laissait beaucoup à désirer. «Elle
invoqua deux solides raisons. La première: je n’étais plus qu’un paquet d’os…la seconde:
ma mère se sentait de plus en plus seule, ma présence lui faisait oublier ses malheurs. »
• Q16. Que décida Lalla Zoubida de faire avec son fils chaque semaine ?
• A. Visiter les divers sanctuaires de la ville.
• B. Aller au bain maure. Ré p o n s e : A . Visiter les divers sanctuaires de la ville «ma
• C. Rendre visite à Lalla Aïcha. mère décida de m’emmener chaque semaine prier sous la
coupole d’un Saint. »
• Q17. Qu’est-ce que le messager de Maâlem Abdeslem avait apporté de sa part à Lalla Zoubida ?
• A. De la viande, des légumes, de l'huile et de l'argent.
• B. De l’argent, des œufs, du beurre et de l'huile.
• C. De la farine, de la viande, du beurre et de l'argent.
Réponse : B. De l’argent, des œufs, du beurre et de l'huile. « Ma mère...serra précieusement
dans ses plis le trésor que lui remettait l’inconnu./Je trouvai, posés sur la petite table ronde,
une douzaine d’ œufs , un pot de terre ébréché plein de beurre et une bouteille d’huile. »
Thé et bavardages de bonnes femmes au menu chez Lalla Aïcha.

Salama, la marieuse professionnelle, demande pardon à Lalla Aïcha et son amie


pour le mal qu’elle leur a fait. Elle raconte son rôle dans le mariage de Moulay Larbi
avec la fille du coiffeur: ce dernier voulait avoir des enfants. Elle affirme que Si Larbi
a des ennuis avec sa nouvelle épouse. Cela présage un divorce certain.

Zhor, une voisine, vient prendre part à la conversation. Elle affirme les propos de
Salama.

Le papotage (bavardage) n’en finit pas. L’enfant ne comprenait pas le sens de


tous les mots. Il suit juste le rythme de syllabes.
• Q1. À qui Lalla Zoubida et son fils rendirent-ils visite ?
• A. À la fille du coiffeur.
• B. À Sidi El Arafi.
• C. À Lalla Aïcha. : . À Lalla Aïcha.

• Q2. À quoi était occupée Lalla Aïcha à l’arrivée de Lalla Zoubida et de son fils ?
• A. À chasser les mouches.
• B. À préparer le déjeuner. : . À chasser les mouches. «A grands coups
• C. À s'apitoyer sur son sort. de torchons, Lalla Aïcha chassait les mouches.»

• Q3. Qui était la première femme qui rendit visite à Lalla Aïcha et quel était son "métier " ?
• A. Kebira, une vendeuse de henné.
• B. Salama, une marieuse professionnelle.
• C. La fille du coiffeur, une brodeuse.

: . Salama, une marieuse professionnelle. «Ma mère posait déjà


des questions à la nouvelle venue/ Salama était marieuse professionnelle.»
• Q4.Quelle était la particularité de Salama ?
• A. Elle avait une voix d'homme.
• B. Elle bégayait.
: Elle avait une voix d'homme. «Le rire est un bienfait de
• C. Elle était aveugle.
Dieu, prononça une voix d’homme. / Je me retournai pour voir le
visiteur… Une femme se tenait dans l’encadrement de la porte. »
• Q5. Quelle faute Salama avait-elle commise envers Lalla Aïcha ?
• A. Elle avait vendu les bijoux de Lalla Aïcha à moitié prix.
• B. Elle avait arrangé le remariage de son mari.
• C. Elle avait témoigné en faveur de l'associé de son mari.

: Elle avait arrangé le remariage de son mari. « Dieu a voulu… que je fusse
l’intermédiaire dans ce mariage qui nous a tous rendus malheureux.»

• Q6. D'après Salama, que deviendrait la fille du coiffeur dans un avenir proche ?
• A. Une femme divorcée.
• B. Une jeune veuve. : Une femme divorcée. «la fille du coiffeur, de
• C. Une jeune maman. jeune fille, elle sera bientôt femme divorcée.»
• Q7. Quelle raison avança Moulay Larbi à Salama pour expliquer son désir de se remarier ?
• A. Payer sa dette envers le coiffeur.
• B. Avoir un héritier.
: Avoir un héritier. «La grande douleur de ma vie,
• C. Contrarier Lalla Aïcha.
c’est de n’avoir pas d’enfant.»

• Q8. D'après le récit de Salama, quel était le rêve de Moulay Larbi lorsque sa situation
s'était améliorée ?
• A. Avoir une jeune épouse pour égayer sa vie de travail.
• B. Exprimer sa gratitude à Lalla Aïcha.
• C. Devenir propriétaire d'un grand atelier.
: Avoir une jeune épouse pour égayer sa vie de travail. «Depuis que sa situation
s’était trouvée améliorée, il n’avait plus qu’un rêve, celui d’avoir une jeune épouse pour
égayer sa vie de travail et de lutte. »
• Q9. Qui était la jeune femme au petit visage qui rendit visite à Lalla Aïcha ?
• A. Kebira, la fille de Moulay Abdeslem.
• B. La cousine de Lalla Aïcha.
: Zhor, une voisine. «C’est toi, Zhor ? Entre donc!
• C. Zhor, une voisine.
/ Zhor montra son petit visage très maquillé.»
• Q10. D’après Zhor, dans quel quartier habitaient Moulay Larbi et sa jeune épouse ?
• A. Le quartier Seffah.
: . Le quartier El Adoua. «Tous les habitants du
• B. Le quartier El Adoua. sont au courant des difficultés que rencontre quotidiennement
• C. Le quartier Sagha. Moulay Larbi auprès de sa jeune épouse. »
• Q11. Quelle allégation soutenait la fille du coiffeur devant les témoins de la scène de ménage ?
• A. Son mari se livrait à des pratiques de sorcellerie.
• B. Son mari était stérile.
• C. Son mari était avare et il la battait.
: . Son mari était avare et il la battait. «Elle se mit à pousser des hurlements, à prendre
à témoins les voisins, prétendant que son mari la battait…qu’elle n’avait jamais assez à manger
et qu’elle devait se contenter de vêtements rapiécés, tant l’avarice de son mari était grande. »
• Q12. Pourquoi Zhor qualifia-t-elle la jeune épouse de Moulay Larbi de folle ?
• A. Elle tenait des propos absurdes et insensés.
• B. Elle était colérique et suicidaire.
• C. Elle était atteinte d'une maladie héréditaire.
: . Elle était colérique et suicidaire. «Pour un rien, elle menace son entourage de tout
casser dans la maison, monte sur la terrasse dans l’intention de se jeter dans la rue par-dessus
le mur. »
• Q13. D'après Zhor, quel indice montrait que Moulay Larbi ne supportait plus sa vie de
ménage ?
• A. Il a commencé à dormir dans son atelier.
• B. Il a commencé à rendre visite à Lalla Aïcha.
• C. Il a demandé conseil à l'imam de la mosquée.

: . Il a commencé à dormir dans son atelier. « Moulay Larbi ne supportera


pas longtemps une telle vie. Déjà, il lui arrive de dormir dans son atelier plutôt que
de rejoindre sa jeune femme. »
• Q14. Quel incident mit-il fin à la discussion des femmes à la fin du chapitre ?
• A. L'évanouissement de Sidi Mohammed.
• B. Les cris d'une des voisines de Lalla Aïcha.
• C. Sidi Mohammed renversa son verre de thé.

: . Sidi Mohammed renversa son verre de thé. «J’écoutais si intensément


que j’oubliai le verre de thé que je tenais à la main. Mes doigts se relâchèrent. Le thé
se répandit sur mes genoux. L’ivresse verbale prit fin brusquement. »
Chapitre XII
Le narrateur admire les couplets entonnés par les femmes habitant dans la maison; aussi rêve-t-il de
composer une chanson.

Au milieu des chants, un garçon arrive. Le narrateur en éprouve une grande appréhension. Il s'agit de
Allal El Yacoubi, son condisciple au Msid. Il est envoyé par le fqih afin qu'il s'enquiert de l'état de santé
du narrateur. La mère lui dit que l'enfant ne peut aller présentement à l'école coranique.

Ce qui comble le garçon c'est la nouvelle annoncée par Zineb : le retour de Maâlem Abdeslem. Toute la
maison est agitée. Les voisines font des vœux. L’enfant et sa mère sont heureux. Sidi Mohammed
raconte à son père les événements passés pendant son absence.

Driss El Aouad monte saluer le père. Il l'informe que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur
a été prononcé hier. Plongés dans leur conversation, les deux adultes oublient le petit enfant. Il se sent
triste et seul. Le narrateur prend sa Boîte à Merveilles et se met à rêver.
• Q1. Quel était l'élément nouveau qui flottait dans l'air de Dar Chouafa dès le matin ?
• A. Les chansons des femmes.
• B. Le chant des oiseaux.
• C. Les séances de musiques nègres. : . .

• Q2. Quel prénom de femme choisit le narrateur pour les chansons qu'il composera plus tard ?
• A. Zineb.
• B. Zhor.
: . Zhor
• C. Zoubida.

• Q3. Qui était le garçon venu frapper à la maison de Dar Chouafa ?


• A. Hammoussa, un camarade de classe du narrateur.
• B. Allal El Yacoubi, un camarade de classe du narrateur.
• C. Allal El Azzouzi, un apprenti de Maâlem Abdeslem.
: . Allal El Yacoubi, un camarade de classe du narrateur.
• Q4. Qui avait envoyé le garçon et pourquoi ?
• A. Lalla Aïcha, pour prendre des nouvelles de Zoubida et de Sidi Mohammed.
• B. Maâlem Abdeslam, pour livrer des provisions à Zoubida.
• C. Le fqih, pour prendre des nouvelles de Sidi Mohammed.
: Le fqih, pour prendre des nouvelles de Sidi Mohammed. Ma mère parlait.
Elle disait: Il va mieux. Tu remercieras le fqih de t’avoir envoyé prendre de ses nouvelles.
• Q5. Quelle réponse demanda Zoubida au garçon de transmettre à son maître ?
• A. Sidi Mohammed n'était pas encore rétabli.
• B. Sidi Mohammed était parti avec son père.
• C. Sidi Mohammed serait bientôt de retour au Msid.
: Sidi Mohammed n'était pas encore rétabli. u lui diras qu’il n’est pas encore
assez bien portant pour retourner au Msid.
• Q6. Quelle bonne nouvelle apporta Zineb à Lalla Zoubida ?
• A. Le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé.
• B. Sa mère venait de mettre au monde un bébé.
• C. Maâlem Abdeslem était de retour. : Maâlem Abdeslem était de retour.
J’ai vu ... le Maâlem ... Abdeslem !
• Q7. Où Zineb avait-elle aperçu Maâlem Abdeslem ?
• A. Près de la mosquée de Moulay Idriss.
• B. Près de la mosquée du bigaradier.
• C. Devant le souk aux haïks. : Près de la mosquée du bigaradier. J’ai vu Ba
Abdeslem non loin du marchand de farine, près de la mosquée
du bigaradier.
• Q8. Quelle fut la réaction de Zoubida à l'annonce du retour de Maâlem Abdeslem ?
• A. Vivante, elle ne cessait pas de remuer.
• B. Enflammée, elle n'arrêtait pas de parler.
• C. Excitée, elle nageait dans la joie. : Excitée, elle nageait dans la joie. « Prise
d’une fièvre d’activité/ Elle avait quitté la terre, elle
nageait dans la joie. »
• Q9. Qui fut venu souhaiter la bienvenue au Maâlem Abdeslem ?
• A. Le mari du Rahma, Driss EL Aouad.
• B. Son apprenti, Driss le teigneux.
: Le mari du Rahma, Driss EL Aouad
• C. Le mari de lalla Aïcha, Moulay EL Arbi.
Driss El Aouad monta chez-nous.»
• Q10. Qu’apprit Driss El Aouad à Maâlem Abdeslem à son retour ?
• A. Le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé.
• B. Rahma donnerait bientôt naissance à son deuxième enfant.
• C. Lalla Zoubida et Sidi Mohammed avaient vécu un mois d'enfer.

:
Le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé hier devant
notaire.
• Q11. Quel âge avait Maâlem Abdeslem ?
• A. La trentaine environ.
• B. La quarantaine environ.
: La quarantaine environ. Tous les deux
• C. La cinquantaine environ. frisaient la quarantaine.

• Q12. Quel était l’avis de Maâlem Abdeslem sur la polygamie ?


• A. Une chance.
: . Je savais que la folie de Moulay Larbi
• B. Une expérience.
serait passagère.
• C. Une folie.
• Q13. Pourquoi Sidi Mohammed ouvrit-il sa boîte à merveilles ?
• A. Il voulait montrer ses objets à Driss El Aouad.
• B. Il se sentit triste et seul.
• C. Il voulait fêter le retour de son père.

: Il se sentit triste et seul. Je me sentis triste et seul. Moi


aussi, j’avais des amis. Je tirai de dessous le lit ma Boîte à Merveilles. Je
l’ouvris religieusement.
• Q14. Cet excipit parle de trois retours, lesquels?
• A. Le retour du père et le retour de Driss EL Aouad.
• B. Le retour de Zineb à la maison et le retour de Sidi Mohamed à l’école coranique.
• C. Le retour du père à la maison, le retour de Moulay Larbi à sa femme et le retour de sidi
Mohammed à sa boîte à merveilles.

: Le du père à la maison, le de Moulay Larbi à sa


femme et le de sidi Mohammed à sa boîte à merveilles.

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