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TD 8 L’extension du contrôle du juge sur les motifs des décisions

administratives
Pour ce devoir j’ai eu 12, c’est pas du haut vol, mais ca peut donner des idées
Le but des juridictions administratives est de tempérer les excès de l’administration éviter les abus et erreur de
droit. L’administrateur a tout de même un large pouvoir discrétionnaire concernant des décisions
individuelles (parait que c’est trop vague) .Cependant, vers la fin du Xxème siècle, on constate que le juge
administratif n’a fait qu’accroître son pouvoir en matière de contrôle de décisions administratives et plus
particulièrement sur les motifs de celles-ci. Le contrôle du juge administratif consiste à vérifier la légalité
externe, c’est-à-dire l’autorité compétente ainsi que le respect des conditions de forme et de procédure. Il
vérifie aussi la légalité interne, pour déterminer s’il y a ou non un détournement de pouvoir, une violation de la
hierarchie des normes ou encore, une erreur sur les motifs de droit ou de fait dans l’acte qui a été pris. C’est le
contrôle de la légalité interne, des motifs, qui vont déterminer l’étendue des pouvoirs du juge administratif. Les
motifs sont composés d’éléments objectifs et antérieurs à l’acte, c’est eux qui sont à l’origine de la décision.
Parmi ces éléments objectifs, les motifs de droit et de fait. On appelle motif de droit, la règle juridique qui fonde
la décision, une erreur sur celle-ci entraîne l’annulation de l’acte pour défaut de base légale. Il en va de même
pour une mauvaise interprétation d’une norme juridique. Pour un motif de fait, l’erreur concerne la situation sur
laquelle l’administration s’est fondée. Le juge va vérifier à la fois la qualification juridique des faits et leur
existence matérielle. A l’origine, le contrôle des motifs de droit étaient la règle, en revanche, le contrôle des
motifs de faits, alors exceptionnel, n’est apparu qu’au début du Xxème siècle avec deux arrêts majeurs : Conseil
d'Etat 4 AVRIL 1914 GOMEL et Conseil d'Etat 14 JANVIER 1916 CAMINO. Ces deux arrêts marquent une extension
du pouvoir de contrôle du juge administratif sur les motifs des décisions administratives, il s’agit de savoir si
cette étendue s’est ou non avérée dans le temps et quelles sont ses limites. Ainsi, nous verrons dans un premier
temps que cette extension est certaine. Dans un second temps, il s’agira de déterminer les faibles limites au
contrôle du juge. (pareil la prof a pas aimé ça)

I L’extension certaine du pouvoir du contrôle du juge administratif

AL’extension du contrôle sur les motifs de faits

1 Les circonstances de faits de nature à justifier la décision (GOMEL)

j’ai parlé de Gomel, en disant que ce contrôle pourrait amener à substituer la


décision du juge de celle de l’administration. Ensuite j’ai précisé qu’il ne se
prononcait pas sur le contrôle d’opportunité. et que le juge se reserve le contrôle
de l’erreur manif. d’appréciation (LAGRANGE 1961) dans contrôle de qual
Juridique + ce contrôle de qualif jdp n’est pas systematique (GAMBUS)

Après tout ça j’ai dit que le contrôle restreint devenait exceptionnel mais la prof
m’a demandé de préciser pk.

2 Le contrôle de la matérialité des faits en cause (CAMINO)

J’ai blablaté sur CAMINO exactitude matérielle : faits rééls et prouvés.


circonstances de fait motivant la décision contrôle exercé par le juge acte motivé
ou non quel que soit l’administration auteure de l’acte contrôle minimum en ce
qui concerne circonstance de faits qui doivent être rapprochés des conditions
légales de l’acte

B L’extension par la vérification d’adéquation du contenu de l’acte à la condition


légale

1 L’affirmation du contrôle de proportionnalité

BENJAMIN 1933 (proportionnalité à la condition légale : reponse adaptée à


l’atteinte portée à la loi) là j’ai dit que le juge se substituait carrément à
l’administrateur et LEBON 1978 (disproportion manifeste) j’ai donc di qu’il
s’agissait d’un contrôle maximum

2 La théorie du bilan

J’ai parlé de Ville Nouvelle Est 1971 et de SAFER d’Auvergne contre B. j’ai dit que
la théorie était peu usité machin mais je n’ai eu aucun commentaire sur cette
partie.

II Les faibles limites au contrôle du juge sur les motifs des décisions
administratives

A Le contrôle du juge administratif : garde fou ambivalent corrigé :


l’ambivalence de l’administrateur

1 La compétence liée du JA (contrôle normal)

Conseil d'Etat 26 mai 1950 societe laitiere provencale ou un autre exemple

2 Le pouvoir discretionnaire de l’administration (contrôle restreint)

bon sur cette partie apparemment j’ai un peu foiré, elle m’a demandé de préciser
pourquoi c’est une véritable appréciation d’opportunité, j’ai réutilisé Benjamin et
apparemment j’aurai pas du. donc je pense qu’il vaut mieux s’en tenir aux
principes de bases.

B Des contrôles plus ciblés et accentués

1 Les domaines de prédilection du juge (publications étrangères)

Ici, j’ai fait une petite évolution historique avant 1973 contrôle restreint car loi sur
les publications étrangéres très relachée accentuation du contrôle en 97 ET 2003
contrôle normal

Idem pour domaine expulsion des étrangers Belgacem Pardoc et en matière de


sanctions disciplinaires : Lebon

2 L’extension quotidienne du pouvoir du juge

aucune limitation aux pouvoirs du juge j’ai fait une petite citation « juger
l’administration c’est encore administrer blabla .. Grosso modo ici, j’ai donné mon
point de vue.

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