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administratives
Pour ce devoir j’ai eu 12, c’est pas du haut vol, mais ca peut donner des idées
Le but des juridictions administratives est de tempérer les excès de l’administration éviter les abus et erreur de
droit. L’administrateur a tout de même un large pouvoir discrétionnaire concernant des décisions
individuelles (parait que c’est trop vague) .Cependant, vers la fin du Xxème siècle, on constate que le juge
administratif n’a fait qu’accroître son pouvoir en matière de contrôle de décisions administratives et plus
particulièrement sur les motifs de celles-ci. Le contrôle du juge administratif consiste à vérifier la légalité
externe, c’est-à-dire l’autorité compétente ainsi que le respect des conditions de forme et de procédure. Il
vérifie aussi la légalité interne, pour déterminer s’il y a ou non un détournement de pouvoir, une violation de la
hierarchie des normes ou encore, une erreur sur les motifs de droit ou de fait dans l’acte qui a été pris. C’est le
contrôle de la légalité interne, des motifs, qui vont déterminer l’étendue des pouvoirs du juge administratif. Les
motifs sont composés d’éléments objectifs et antérieurs à l’acte, c’est eux qui sont à l’origine de la décision.
Parmi ces éléments objectifs, les motifs de droit et de fait. On appelle motif de droit, la règle juridique qui fonde
la décision, une erreur sur celle-ci entraîne l’annulation de l’acte pour défaut de base légale. Il en va de même
pour une mauvaise interprétation d’une norme juridique. Pour un motif de fait, l’erreur concerne la situation sur
laquelle l’administration s’est fondée. Le juge va vérifier à la fois la qualification juridique des faits et leur
existence matérielle. A l’origine, le contrôle des motifs de droit étaient la règle, en revanche, le contrôle des
motifs de faits, alors exceptionnel, n’est apparu qu’au début du Xxème siècle avec deux arrêts majeurs : Conseil
d'Etat 4 AVRIL 1914 GOMEL et Conseil d'Etat 14 JANVIER 1916 CAMINO. Ces deux arrêts marquent une extension
du pouvoir de contrôle du juge administratif sur les motifs des décisions administratives, il s’agit de savoir si
cette étendue s’est ou non avérée dans le temps et quelles sont ses limites. Ainsi, nous verrons dans un premier
temps que cette extension est certaine. Dans un second temps, il s’agira de déterminer les faibles limites au
contrôle du juge. (pareil la prof a pas aimé ça)
Après tout ça j’ai dit que le contrôle restreint devenait exceptionnel mais la prof
m’a demandé de préciser pk.
2 La théorie du bilan
J’ai parlé de Ville Nouvelle Est 1971 et de SAFER d’Auvergne contre B. j’ai dit que
la théorie était peu usité machin mais je n’ai eu aucun commentaire sur cette
partie.
II Les faibles limites au contrôle du juge sur les motifs des décisions
administratives
bon sur cette partie apparemment j’ai un peu foiré, elle m’a demandé de préciser
pourquoi c’est une véritable appréciation d’opportunité, j’ai réutilisé Benjamin et
apparemment j’aurai pas du. donc je pense qu’il vaut mieux s’en tenir aux
principes de bases.
Ici, j’ai fait une petite évolution historique avant 1973 contrôle restreint car loi sur
les publications étrangéres très relachée accentuation du contrôle en 97 ET 2003
contrôle normal
aucune limitation aux pouvoirs du juge j’ai fait une petite citation « juger
l’administration c’est encore administrer blabla .. Grosso modo ici, j’ai donné mon
point de vue.