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PREMIÈRE
CLEF. 2 TRAITS.
* Clefde l'unité,de la priorité et dela pcr- — . Dixmille.
f'ection: un, unité,parfait,
Clavisunitatis,prioritatiset perfectionis
: ,/J Decem millia.
y
(1) unus, primus. Ty'-x, primus, perfeclum, Oùan
simile; x-tâ, ccelum
;ecp.iale, ; x sang, per (•i)
totam vitam;x-sïn, toto corde; x-x, sin- T. Mesurededixpiedschinois.
gillatim. ^X^ Mensuradecempedumsiuensiuin.
CARACTÈRES JOINTS A LACLEF. Tchângx-foù,maritus; x-jin, velyo-x, soccr;
(5) fang-x, Bonziorum domus; là-x, mutuè
1 TRAIT. pugnare.
— Trois.
Porter,fort,robuste. -—- Numerustrès. Ty'-x,tertius; tsdy-x,repe-
T Geslare,fortis, robustus,substituereloco sân titis vicibusseu efficaciter.Legituretiam
Tïngalterius,littera temporariainter cliy-kân (G)sdn,iterùm;x-sc,diùcogitare ; tsdy-x,mul-
(2) MCn-x,plebs;pïng-x,milites: lîng-x,pu- toties.
pillus omnibusdestituais;x-hiên,triennii Enhaut, dessus,suprême,parfait,aller.
tempusquo filiiobmortempareiltumces- h Suprà,superior,nobilis, rex, altus,ascen-
santa muneribuspublicis; tching-x,com- Chàngdere, pluris;estimare, ire.Tây-x,supremus:
plere auuuiuaitatis1Gvel 18; x-hiâng, (7) hoàng-x,imperator;x-pèn,libellumimpe-
carophvllum. ratori porrigere;x-chy',olim; x-oii,men-
L. Sept, numerus dies; x-tf', coelimoderator.Legituretiam
[j Septem, septinuis. Chàng, à locoinferioriad superioremas-
cendere: x-chïng,tonustertius.
Ts'y Ty'-x,septimus.
(3)
—L'explication decesseptpremiers caractères
chinois,quicomprennent la premièrepageduDictionnaire
grandin-folio, publiéen1813, en prendpresquetroisdansle nôtre;etlederniercaractère danscette
expliqué
le n°S13,n'estquelen°582dansceluiqui a étépubliaparDeguignes
livraison, fils.Il y a donc,danscette
première livraison,231caractères
de plusexpliqués
quedanslamêmepartiedel'in-folio.
NOTREDICTIONNAIRE
COMPREND:
1°Environtouslescaractères
chinoisusuelsduDictionnaire de Khâng-hi,
impérial aunombrede31,21h,
dansl'explication ona reproduit
desquels la plupartdesdéfinitions
des9,520caractères compris dansle
Hân-tsfu-si-l
duP.Dasile deGlemona, définitions
revuessurlestextesoriginaux etconsidérablement
augmentées
2°Lareproduction encaractèreschinoisdesexpressions composéesetdesplirasesexplicatives; carac-
tèresomisdanslesmanuscrits
duP.Basile quel'onpossède, etdansl'éditionin-folio
de 1813;
3"Lesêtymotogies descaractères
expliqués,tiréesdeslexicographeschinoisles plusestimés,principale-
mentduChoûe-wên;
WLaprononciation descaractères
expliqués,seloncellesdela languemandarine, delalangueannamite,
desdialectes
deCanton,delaprovince duFou-kicn et duJapon;
5° UnIndexdesprincipaux motsfrançais,avecrenvoisauxcaractères chinois expliqués,etc.
DICTIONNAIRE
KÏY.MOLOGJOl'i:
CHINOIS-ANNAMITE LATIN-FRANÇAIS.
—TYPOGRAPHIE
PARIS. DEFIRMIN DIDOT FILSETCOMPAGNIE,
FRÈRES,
del'Institut
Imprimeurs deFrance,
rueJacob,
B6.
AVANT-PROPOS.
2. Sjb '\t mtL -r*. C/ioûe wên kicii tsèu. « Dictionnaire explicatif des
« caractères », par Hiù-chùi, qui le termina, selon la date de sa préface ,
l'an iai de notre ère. Edition en la volumes ou peu chinois, et 4° kioûan
ou sections, contenant les commentaires de Siu.
C'est ce dictionnairedont Prémare a dit {Notitia lingax Sinicse,p. 7) : < Diumul-
« tumqueterendus est 111e liberomnibus qui veram litterarum analysim scire cupiunt,
« sed a paucis intelligitur. » — Deuxéditions différentes.
4. y^ "|lp /Kjîg vM Loûh chou tfsîng hoên. « Recueil choisi des six
« classes de caractères », composé par 'Weï-kiao, et publié en six livres.
Edition de i54o.
Le P. Cibot,qui l'a eu en sa possession,dit de ce livre : « J'ai fait encore beaucoup
« d'usage du Lieou tsing hoen, qui est un chef-d'oeuvred'érudition et de critique,
« j'ai presquedit de morale et de philosophie.»
5- Tf. JE. R^I îfffl ^" tchlê ywn soriï. Dictionnaire rédigé par ordre
de tons et de consonnances finales, et publié en 1397.—'JO Pen ou v°lumes-
Les exemplesperpétuelsd'expressions composéesde deux et de trois caractères
qui y sont donnés (tirés des Kîng, des Historiens, des Poêles, des Philosophes,
classéspar ordre), seraient fort utiles pour composerun grand dictionnairedu même
genre. Il a servidebase au Pëi-wtn-yûn-fùu, dont il sera questionci-après.
X AVANT-PROPOS.
^' iL ffi- ff@ Jfcf Ou.tch'ê yi'mfoù. Dictionnaire rédigé par ordre
de tons et de consonnances finales et initiales d'un nouveau système.
C'estcelui que le Rév. Morrison(1) dit,'dans la Préfacede son Dictionnaire tonique
chinois-anglais, avoir pris pourbase, en le comparantà celuide Khâng-hîet au «Dic-
« tionnaire alphabétiquedes missionnaires catholiques(du P. Basilede G-lemonà).»
Il fut publié en 1708, en 22 volumes,et il a été longtemps introuvableen Chine. J'en
possèdeun autre exemplairemanuscrit copié à Pé-king, d'une très-belle et très-élé-
gante écriture. — 22pèn ou vol.in-8°.
8. =l§ E|p J5j qc. r^j 'Hiâï chïngp'întséu tlsiên. Dictionnaire rédigé
aussi selon l'ordre des consonnances classées d'après les groupes phonéti-
ques. — 18 pèn ou volumes.
Il fut composépar Yû Hiêu-hl et Yû Hiên-têh, son fils, qui le publia en 1677.Il
comprend 32,895caractères,lesseuls usitésde la langue chinoise, accompagnésd'ex-
cellentes définitionstrès-utiles pour bienconnaîtreles moeurset coutumesde la Chine.
C'estun de ceuxdont le P. Basilede Glemonàs'est serviavecle plusd'avantagepour
la compositionde son dictionnaire.
10. ^fr 'S* ~f- SBC Yùh Pângtséu 'wéï. Abrégé du dictionnaire pré-
cédent. Edition de poche, de iy36. — 4 v°l- in-ia.
i3. \|p % \J[ ;£ f jj Jjf Yû ting Pèi wên yûn fou. Grand Die-
tionnaire de la littérature chinoise, rédigé par ordre impérial. — Edition
de 1711, i3o ^è/îouvol. in-8°.
C'estun vrai « Trésorde la langue chinoise », rempli d'une multitudeinnombrable
d'exemples,et d'une impressiontrès-compacte,rédigé par ordre du célèbreempereur
Khâng-hî, avecune préface de sa main. Il est d'un prix très-élevéet rare en Europe.
i5. 2gJf ~V -j|jf fit Yi wên tfoïing Van. « Examen général des carac-
tères classiques ». —^o pèn ou vol. in-8°. Publié en I8OD.
Dictionnaireclasséselonl'ordre des214Radicaux,parChâ-moûh, qui passa, dit-on,
trente ansde sa vieà le rédiger.Il présenteles formesclassiquesanciennesetmodernes
de chaque caractère expliqué, et fut terminé en 1798.L'impression en est fort belle.
C'est, avecle Dictionnaireimpérial de Khâng-hî, celuiquej'ai suivi de préférence. Il a,
sur le premier, l'avantaged'être dégagéd'une foule de choses peu essentielles; d'avoir
des définitionsnettes et clairesque je me suis attachéà reproduire en transcription
(commepreuvesjustificativesdes significations données), et d'offrir, à la suite de
l'explicationde chaquecaractère, les différentes formesanciennesen tchouàn de ces
mêmes caractères, avec l'indication des livres et des inscriptions anciennes d'où
ces formes ont été tirées.
17. I7y "prf %S Ipë Széyin chïh i. « Sens expliqué des caractères com-
pris dans les quatre tons ». Edition de 1821. — 12 pèn ou vol. in-8°.
Ce Dictionnairedonne seulement une brève explicationdes 9,550 caractères clas-
siques, rangés selonl'ordre desa14 Radicaux, compris dans le Pêï wên ytin fou, en
ndiquantminutieusementles tons dont ils sont affectés,et en renvoyant,pour de plus
amples explications,à ce mêmeDictionnaire énoncé ci-dessus,auquel il sert d'Index.
20. j— -/g- -fîp |jg San 'hôh pieu làn. Dictionnaire synoptique man-
dchou-chinois-mongol, par ordre de matières. — 12 pèn ou vol. grand
in-8°. Edition de 1792.
DELAPAGEVIII
EMPLOYES
DANSCETTEPUBLICATION.
Dès l'année 1832, j'avais formé le projet de publier plusieurs ouvrages des
anciens philosophes chinois, en les accompagnant de deux traductions : l'une
latine littérale, et l'autre française, avec des extraits nombreux des commen-
taires originaux. N'ayant pu obtenir de les faire imprimer à l'imprimerie du
gouvernement (qui d'ailleurs ne possédait que des types chinois démesurés et
grossiers), je proposai à M. Marcellin Legrand , l'habile graveur de cette im-
primerie, d'entreprendre sous ma direction la gravure d'un corps de caractères
chinois sur poinçons d'acier, d'après un système qui réduirait le nombre de ces
poinçons d'environ les cinq sixièmes, ce qui permettrait, avec quatre à cinq
mille types différents, de reproduire par l'impression les trente à trente-deux
mille caractères usuels différents du Dictionnaire impérial de Khâng-hî.
Cette proposition fut accueillie, et quelques années après, en 1837, je pu-
bliais, comme je l'ai dit ci-dessus, le Prospectus d'une nouvelle édition (revue
sur plusieurs manuscrits et sur les textes originaux) du Dictionnaire chinois-
latin du P. Basile de Glemonà, paru en 1813, sous le nom de Deguignes fils,
et je publiais aussi en chinois, en latin et en français, à l'aide des nombreux
types ainsi gravés, le premier des livres politiques et moraux de Confucius (le
Ta ihiôh, ou la ' Grande Étude'), avec la traduction complète du commentaire
du célèbre philosophe Tchou-hi; et la première livraison, aussi en chinois, en
latin et en français, du Livre de Lao-tseu, le Tào-tëh-kîng, avec la traduction
de nombreux commentaires. Si les autres livraisons de ce dernier ouvrage
n'ont pas été imprimées depuis, on peut en connaître la cause dans mon Sup-
plément aux VINDICLE SINICE,paru en 1843.
Aussitôt après ces deux publications, faites à mes frais, l'attention des per-
sonnes qui, en Europe et en Asie, s'intéressaient aux progrès des études chi-
noises, se porta sur les nouveaux types chinois avec lesquels ces publications
avaient été imprimées. Dès 1840, M. Alexandre de Humboldt, m'ayant consulté
b
XV11I NOTEAMJITIONJSELLE.
au sujet de ces mêmes types, en assura une frappe de M. Marcellin Legrand,
laquelle fut livrée l'année suivante au gouvernement prussien, sur un Certifié
conforme portant la date du lor mars 1841, qui m'avait été demandé.
Quelques années après, en 1844, une autre frappe plus complète de ces
mêmes types chinois divisibles fut livrée à la Mission presbytérienne des
États-Unis établie en Chine. Depuis cette époque, cette mission s'en est servie
pour imprimer un grand nombre d'ouvrages écrits en chinois, et d'autres des-
tinés à renseignement de cette langue ; et ces éditions font l'admiration des
indigènes (1). Une imprimerie de Macao possède aussi ces caractères.
Cependant, dès avant 1844, plusieurs Lettrés furent si frappés de l'apparition
en Chine de ces nouveaux types que les auteurs d'un grand Traité de géogra-
phie historique universelle (2) (la Chine exceptée), publié la même année par
Lin, gouverneur général ou Vice-Roides deux Kouâng (les provinces de Kouang-
toung et de Kouang-si), en font une mention spéciale. On m'y désigne nomi-
nativement comme étant le promoteur de ces nouveaux types, et on ajoute
que « des hommes de Prusse (M. de Humboldt sans doute et le roi de Prusse
Frédéric-Guillaume IV) avaient encouragé l'entreprise de leurs deniers (par
l'achat d'une frappe de M. Marcellin Legrand) (3). »
ETYMOLOGIQUE
CHINOIS-ANNAMITE LATIN-FRANCAIS.
-p-P'éi. A.phi. C.p'i. F. phi. J.Ji. [fig.s.] l'~r~v|K'ieou.A.kheo. Terra elevataC.fâo.F.k'ieou.3. ko.
^1^,(16) Magnum.Valdè. Offerre,Nomen J-y- (18) (t'ii chikao tclièj.
montis.Grand.(Choù-K.).Extrêmement.Offrir L J Collisseupamismons.Locuscircum-
(uneloiau Ciel).Nomdemontagne. circaeminens etin mediodéclins.Magnum.Va-
ETTM. Caractèrefigurantla formeet le son. cuum.Nomenproprium.Tertreélevésansla main
ttt. Chi'.A.th'ê.C.chai.F.si.hsei.Syn.tL de l'homme.Collineoulieu élevéde touscôtés
THI (17)Tempus. Soeculum. Vita.TrigintaT avecune dépressionau milieu.(Kh.lu). Grand
annorum spatium. Hereditarius. Nomenproprium. (enparlantdeparentsauxquels ondoitdu respect)
Temps.Siècle.Vie.Unegénérationd'homme, une Nom propre.
duréede30années.Héréditaire. Nompropre. Jmï!î youên—, terra elevataetrotundaubiCcclo
—kiâ'i,munclus. Soeculum. [temps.]\$] | hoaii—,sacrificium offertur.Tertrerondet
— 'e monde. leslimitesdu élevé oùl'onoffredessacrifices au Ciel.
1133
jY' S""> [Litt.
— fah,soeculorum omnium exemplar. -{--ï fàng—,terra quaclrata u biTerroesacrificatur.
i 2* —phap,le modèlede touslessiècles. fj
I?/-f- I phu'o'—,Tertrecarré oùl'on sacrifieà la
— kiâ, noh'dis Terre.
familia. O Tnî —,nomenmontisuhi Confuciiparentes
;jC— già, famillenoble,héréditaire.
Ifcî*
î ^r —tsùn,soeculorum honoratissimus. lui I Jù—, filiumrogaverunt. Nomd'unecolline
I -g — ton, le plus vénérédes siècles.Titre oùle père et la mèrede Khoung-tseu,
donnéà FohouBouddha ses sectateurs;en cius),demandèrent unegrâceà leurfils. (Coufu- [taies.
par
sanskrit lâkadjit,le ' conquérantou vainqueur—.î —"
sàn—, locusuhi habitanthominesimmor-
desmondes'. I tam—, lieuoù habitentles immortels, ou
tchù, mundidominas. [deBouddha.anachorètes divinisés.
14~K— —chu, le Seigneurdumonde.Autrenom LLI pi —, | transcriptiondumotsanskritbliik-
ssé,soeculorum negolia. J-L| li —,{chou,quisignifie'mendiant'. C'est
g*"— siC,lesaffairesdu siècle,dumonde. lenom
1"ifc" donnéà certainsreligieux
fontprofession de mendicité. «Les
bouddhistes qui
ou
tâï, hominum generatio. [30° d'années. Sàng-mên,
— dai, une une religieux T ao-sse,seretirent dansl'intérieurde
IJJ génération,comprenant leurscommunautés ; lesPi-khieou(bliikchous, re-
I —jîn, soeculorum homines. [tion. ligieuxbouddhistes)
V — nho'n, leshommes d u l a pratiquent la mendicité. »
IVb.— / siècle, généra-(Weï-choû).
ill, î thsè hxc hoc
—, vita, soeculum. — li, dix famillesde dixpersonnescha-
U{;| thu —, cettevie,cemonde-ci. IÏFJ
3l cune,réuniesau mêmelieu,et
•J? î lâï —, vitaadvenicnda, fulura lesmêmesusages.(Tchouàng-tseu.).pratiquant
/|C | lai —, vieà venir,vie future. Nompropreservantà formerbeaucoupde
—, totum<vitoe tempus. nomscomposés, comme TsoKhieou-ming (contem-
1ïnh'dt—, tout le tempsde cettevie. porain de Confucius, l'auteurdu Tso-tchouan),
t T châng—,soecula proeterita Loung-Khieou, Hian-Khieou, etc.—Petitnomde
I. I thu'o'ng—, lessièclespassés. KnoUNG-TSEU, ouConfucius,queleslettréschi-
A T mîng—, bonafamasemperduratura. nois,par respect, prononcentMeod,enlisantles
'P | dên—, renommée séculaire. Livresclassiques. Plusieursdictionnaires chinois
^ Ttâng-—,indans tempore priesenti. offrentce caractèreentouréd'uncartouche hono-
0J I d'ang—, l'âgeactuel. rifiquequenousavonsimitédanscelui-ci.LeI-wàn
tclrîih—, insoeculo nasci. pi làn laisseen blanc laplaceque ce caractère
^1 | xu'ât —, naîtreence monde. rT* khieôu devaitoccuper,etil le définitainsi:
-f; Tk'iù—, exiresoeculo; mori.• NOMPOSTHUME DUPREMIER INSTITUTEUR DES
2* I khu —, sortirdece monde; mourir. HOMMES, DUSUPRÊME SAINT, OMISPARRES-
ièj Tthsiân—, pristina-vita. PECT.Les lettréschinoisne se. permettentpas
Wi I '«'««—, vieprécédente, antérieure. d'écrirececaractèrepur; ilsle remplacent r*t?
parun autrequia la mêmeprononciation. \f\*
ETYM. Le Choùe-wêu dérivece caractèred'un
' '
sséwoùchi kouân;koudnssé woùchï; litterati signesupérieur nord et du signehorizontalin-
ne-haheant hereditariaofficia;publicorum-ofjicio- férieurindiquantla ' terre'. Ceux quihabitentla
rum.negoliane cumulcntur.«'Que les lettrés collinesontfixéssur' le côtéméridional. ' Il estde
« (c.-à-d.ceuxqui sontaptes à occuperlesem- laclassedessignesfiguratifs(lapremière). C'est
« ploispublics)n'aient pasde fonctionshérédi- aussiun Groupephonétique.
tétaires; qu'ils ne cumulent pas différentsém- T3T"Ping. A. binh.C.piitg. F.peng.J.fei.
etplois.» (Meng-tseu, K!VI. Kao-tse,'hia, c. 7, |/SJ (19)Nomencyclicum. Piscium cauda.In
§3).Menciisecundusinterpresait (part.2,p.168); opposilis : supràet infrà,anteàet posteà; ad si-
Gallicè. Que la mêmepersonnene cumulepas gnificandum suprà, vel anteàusurpantur : kia,ï ;
deuxplacesà lafois. [Hocproeceptum illesupra- ad significandum verbposteàetinfràutunturping,
dictusinterpresjamdiù oblitusessevidetur.] tiug.Le3ecaractèredu cycle,sériede 10. Queue
EITM.Ce caractèreest composédu signe-+- depoisson (quefigurait saformeancienne). Brillant
dix, répététroisfois,et portantaveclui sa pro- (Tseu-weï).Tà-ping,nom d'un esprit ou d'un
nonciation. (Ch.w.). génie.(Khang-hi.). H- Groupephonétique.
M 1« RADICAL, — 2° RADICAL, 12
|
DE5 A 10TBAITS qui ferait supposer(pie les vasesen question
Thièn. A. f/item. C .F. l'/iiém. , T.
( en. étaientcomposés dece métal.
rjEp Lambere. A iunco •
|Zy
_ avecun(20) trakere. L écher.
traîner crochet(enformede langue).
Tchïng,A.thu'd.C.ching. F.sin.J.jôo. 2eRADICAL.
ZjZ* | ^K
/-<V(21) Unumaltericonnectera. Opitulari. A.c on.
Sustenlare. Liberare.Offerre.Accipere. C.houan.F.kwunJ.kon.
Lierune IKoùen.
(25)Superioris et inferioris , interseres-
choseà uneautre. Continuer. (Yu-pien). Aider. pectum
Seconder (enqualitéde ministre, ou indicat.Indein librisetproecipuc in Dic-
autrement). characterMe, de quoagiiur,hoc signo
« L'empereur Yaoavaitneuf' aides' (ouministres : tionariis,
tsô);Glumavait septauxiliaires
' 'amis' (j-eèu).'Yuindicatur. Caractère indiquantunecommunication
dehautenbas.(Ch.w.). Il sertdansles livres,
avait cinq; ' assistants (tching) ou ministres.
(Koûe-tseu). Assister (pardessecours). ' Aider' le et surtoutdansles
' représenter Dictionnaires,
' le caractère à indiquerou
cité immédiatement,
peupleà cultiverlesmûriers.« (Khang-hi.). Dé- oudonton
libérer.Offrir.Recevoir.Danscederniersensil ' ' donnel'explication, afinde ne pasle
' ' répéter chaquefois, cesigneen tenantlieu.
estprispour synonymede tc'hing: WT Nousl'employons avecla mêmesignification dans
ce Dictionnaire, à l'exempledesChinois ; comme
I -k| — siàng,primasm'uùsler. (Hoeï-tien). '
I 1H —tu'o'iig,premierministreaidantl'Emp. le signe— représente aussila prononciation
ducaractèreabsent.
T
4-, tehoùng—, médius adjutor. il F. hieou.J. kiô. Paulatimin Ion-
f | trung —, grandofficierdu palais(grand *\ Kieôu. Vovsser
(26)gum prolrahere.Contorquere.
chambellan?) quia le privilèged'écrireà l'empe- graduellement des rejetons.Entrelacercomme
reur.
~1TTchï , basiscohamioe pourfairemiecorde.L'anciencaractèreétait fi-
tapïdere. °guratif.+ Groupephonétique /l+kfeff
"Pt | thuch—,based'unecolonnede pierre, ï.kb.Ua. Var.1|S| JgJ
T j(l4.JL«',k
^fc foiing•—,adulari,blandiri. | (27) Particulauniversalis pro numeris
îp | phong—,aduler,flagorner. lUe qui.Particulenuméralepourtous lescaset
ETYMOL. Le Choûe-wèn dérivece caractèrede lesgenres,lespersonnes etleschoses.Ainsiondit.
la figurede ' deuxmains' (anc. forme)qui re- ï — jîn, unushomo.
çoiventle 1sïeou signedu pouvoir,espècede / \ nheit— nh'on,unhomme
sceauqui leurestaccordépar le prince -+-Gr. . ..II eiilh— jîn, duohomines.
—' I /îVnlù
I
phonétique. — nlio'n,deuxhommes.
~F~T Tiêou. A.d'au.C. tiû. F. teôu.J. tsiô. ^ î //t- d-Z.ïunechose— kiàn\vë, unares.
~^s^(22)Abjicere. (Componitur hoeclitteraex I l| >yJ quelconque.Ici ÂV'ÀH
- »> : semel ut estunenuméralespéciale, individuelle etpartitive
^5C l'iu et significans abjicere La première-variante,avecle Rad.homme (9),
ampliusnonrepelalur).Repousser; rejeterdema- s'emploie, quandon le veut, pour les ' person-
nière à ne pas être obligéde recommencer. — nes'; et 'la seconde, avecle Rad. bambou(118)
Sién-tieôu, modicum quid. pourles choses'
f\-_ Ancienneformedu car. Ciel: ~T~Î ii -£• I [T joh yebuï ho tch'in,«0 ! si
/LVoy. leRad. 37, 1trait. 7\. TJ pj I JE j'avais un ministrehabile! »
J£4- Ping. A. tinh.C.ping.F. peng.J. fei (ChourK.). — Aileorientaleet aileoccidentale
vlr . (23)Conjunctio: Et. Cum.Simul. Singuli. d'un palais.«Au premiermoisdu printemps,le
Omnes.Conjonction : Et. Avec.Ensemble. 4?-t fils du Ciel (l'empereur)habite l'aile gauche
Chacun.Tous. — Forme vulgaire de j£Jf. (tsb ko)quifait faceà l'orient; autroisième mois
—fèï,nullomodo. dela mêmesaison,il habitel'ailedroite(yéou
ko).« (Li-Ki,yûeï-ling).
jy —phi,d'aucunefaçon.
I4J-
—hîng,pcr eamdem-viam incedeve. ^y Ya. A. gia. C.F. ci.J. a. Furcaet quod-
— m archer d anslamême voie. | (28)libetin duospartessicdividiturad
1/r\jj — liùnh, instaripsiuslitleroe. Extremum manùsinter
— lï, totis-viribus. et digitum.Fourche,branched'arbre quidigitum se bi-
JJ
1-J-. lue, detoutessesforces r éunies. ; dansle Kiâng-nân onappelleyà lesbran-
— ming,sesemorti,ut aliusmoriatur, furque chesdesarbres.(,T.-\v. p. 1.).Extrémitéfourchue
[A P|ï — mt'nh,exponere. S'exposer soi-même à desobjets,comme cellededeuxdoigtsdelamain
la mort pour causercelled'un autre.Au-dessusécartés
estla figured'une' colline', ce qui indiqueque — yà-theôu,ancilla,famula.
cet emblèmede l'autoritéest porté ' haut'. —gia dàii,servante,domestique
-f- Groupephonétique. 3 TRAITS.
jlfJTèou.F. toe. J. to. Vas-viniquo utun-
t-t-j Tehoùng.' A. troung. C. tchoung.F
H2 (24)turin sacrifiais.Vaseà vindont on
se sertdanslessacrifices. T~^(29)tioung.J, tchiou.Quodad nidlam
(Chi-K.). LeChoue-wên déclinâtpartem, nec excedit,necdéficit, dicitur
auRad.del'or(-*>*•R.167); ce ' tehoùng '
jointcecaractère (p'iïp'iên, poii i eidhwoûkoùo,pou
13 2e RADICAL, 3 TR. 3' RADICAL, ^ 14
|
/.;; tdd'véï ' tchoùng'). (Pin-tseu-tsien). Rectitude —lnng,promovere hélium;rebcllare.-
susciterunerévolteintérieure.
naturalis;semina"virlutum in liomineà Cceloi«- Itljjta 3-t[- •—hu'ng,
dita. Intus,intrà, in. In medio.Dimidium.Per- ~Jfî îîl i10"—yomiS' "onestiis"'-
fection.Plénum. /Eqnale. Nomen proprium. • . I />J bat—dung, celanesertà rien.
Tono' : Scopumattïngere.Approbariin ccr- ETYM.Ce caractèreest 'forméd'une figure
taminc. à ' anglesdroits partagéed'unema-
Milieuparlait.(Cliou-K. Tchoùng-y.). Droituregéométrique
nière égaleparune ' lignedroite' ; il estde la
naturelle.(Tchéou-li).« Les anciensempereur;classeindiquantla chose.+ Groupephonétique.
« Yao, Chun, Yu, Wen-wànget Wou-wâng, -f* Khâï. F. haï.J. Loin.Gramen,lierha.
« Tcheou-koung et Klioung-tseu (Confucius) se
« transmirent successivement cette doctrine,que T^ (30) Herbe,plantes herbacéescroissant
l'homme étaittout entière pêle-mêle et enconfusion. (Ch.vt\).
«l'étudedu coeurde '
«dansla connaissance dece ' milieu ou ' droi- =4;.-Foûng.A.phong. C.fwig.F. hong.J.bô.
« Ce dil
«turc naturelle'. (Tseu-weï). milieu, ciès venusta.Herbeluxuriante. | (31) Herba luxurians. Faciepinguis;fa-
icl'auteurdu Pin-tseu-tsien, quin'inclined'aucui Au fig. Visage
« coté,quinerestepasenarrièredubut ni neh plein; d'un aspectagréable.(Chi-K.).Caractère
« dépasse,n'estpasun corps,unesubstance(une anciennement liguratif.+ Groupephonétique.
« ligne)déterminée; ce sontlestempset lescir- jJTj Kouàn, A. qudn.C F. lioiian.i.kouan
« constancesqui le déterminent(soin dit eiill / | (32) Capillosneeterein formantduorum
ciisciï).» — Au milieu, dansle seinde. ciAi commun,quodest propriumpeirvulorum. Juveitis
ceprintemps,c'est ' dansle sein' du principequijamneclitcapillos.Adolescent. Nouersesche-
cemâle(Ydng,le soleil)que toutesleschoses nais veuxsur la têtedemanièreà formerdeuxcornes
cisent, se' produisent;en automne,c'est ' dan: à la façondes adolescents chinois.Fig.Adoles-
« lesein du principefemelle(Yin)que toute: cent.Dansla languevulgaire,onnommecesdeux
ciles chosesprennentleur completdéveloppe-'cornestsoimg-kid. -\- Car.figuratif [J. kouan
cement. » (1ersHau,dans Khang-hî). —Moitié trfa Tch'ouàn. A.qudn.Ctdi'un.T?.tch,ouan.
(Lie-tseu).Parlait. (Li-Ki). Contenant tout. (1e'' •-j-' (33)Filotrajicere,inlineamcogère.Nu-
— Auton ', il signifie
Han).Égal.Nompropre. Ê tre mérale rerumin lineamcoactarum, ut rosariorum,
Atteindrele but entirantà la llèclie. rcçi monetarum S inensium. Enfiler.Particulenumérale
au
danssesexamens(atteindreson but, figuré) deschosesenfilées ensemble, commedes grainsde
De plus : Rendremanifeste;produireau grain chapelets,despiècesdemonnaieschinoises.
jour.(Tcliouang-tseu).Résumé sommaire. (Tcliéou —kouàn,filo insercre.
concorder avec.(Li-ki.Tso-tch.) (utmonetas).
li).Correspondreà, 1"fifc
J?{—quàn, faireuneenfiladedemonnaies.
T I —jîn, médiat or, intercessor. — tsèu,l Onappelleaujourd'huiainsiles
I /V — nho'n,médiateur,négociateur,[perius 1]T Y —tu, j bons ou cédillesdesmandarins
T..Tjîn—,facieipars internares et labrumsu préposés à la gardedes grenierspublics.
/V | nho'n—,partiedu visageentrelesnarine
Ttat —kotie,Sinarumimperiiim. -Jf
[etla lèvresup A JtZi> j§^ ~jf ijfc t wéni poiî kouàn—, style
du la Chine / /P J», | incohérentdont les idées
I jzîl—qu'ôc,le royaume milieu, nesont pas bien agencées entreelles.Luhoiuin,
— i, 'vousconforme. il signifieassuetus,accoutumé à : ciII s'estaccou-
I^£j[vj,— y, conforme à sesvoeux. cctumé(Itoiiân), en voyageant, auxmoeurs et cou-
—yoûng, médium immutabile. «tûmesdesbarbares.» (Chî-K.Tà-ya).
Itfc — dong,
/3f dusecond l'Invariabilité danslemilieu.Ti Caractèreindicatif, -f- Gr.phonétique,
tre desQuatreLivresclassiques ETYM.
— sîn, corsincerum, rectum. lifcj Tch'ân.A.ran. F.tch'wanJ.san.[G.fig.]
y | (34)Ve.ru.Instrumentum ad carnesas-
l\\ —
IjC t'âm,coeurdroit, sincère.(Chî-K.). sandas. Gril.Ustensile pourrôtirlesviandes.
— kiên,inmedio.Numérale cubiculornm.
1HH|/J| —«/«;-,danslemilieu.Numérale deseh. àc
— foiing,exvendinclementid infirmus.
fSh—phong,renduinfirme
ITFf par l'infl.duveut .^ ëji 3eRADICAL.
— tâng,regniadminister ; régi à decretis
"fEJ— dang,ministred'Etat. C.tchii.F.tchù.H.lchou.
I^jî —choii,amanuensis à secretis. ^' Tchù.A.chu. Dominas.
(35)Princeps. Prince,souve-
1^-13 —tlio', secrétaire intimeou particulier. rain, maître.[Soepèin librisnihil aliud quam
TJ.H— siâng,adjutorin consiliis regiis. punctumsignilicat.]
I \ jj —tu'o'ng,assistantduconseil privé. ETYM. Ce caractèrefiguraitanciennement une
T Cp —-kiûn,armorum minister secundarius. flamme ; . « C'est, dit le Choue-wèn, ce qui
I t|3.— qu'an,ministrede la guerreen seconc setient tj droit,détachéde tout support,et qui
T"~T* — tclling,magistraluum cwilium prteses. a le savoiren«cetteflammepartage.» Cha-moiï fait observerà
— diliih,d irecteur d e l'Intérieur. ce sujetque e st celle quigouverne
I |£ —
tchîng, a djutor secundarius. —
1~T 7Jy— tltttd,assistant duministère del'Intérieui le corps : j ^ ^ £ j ^ {^ Tenu
—nièn, homotrigintaannosnatus.[âg< tchè, ï chi'nichl TCHU ts'aïyi. Cetteflammein-
IAj -^p" — nié»,hommearrivéan milieudeso telligente ou lumineuse, ccntinue-t-il,a sonsiège
15 3e RADICAL, ^ 3 TRAITS. 16
originairedansl'intérieurducoeur: JQ^>sin.Elle Quodin aliquâre est proecipuum. Nomenpropr
est droite, ne penchant d'aucun côté. Le Maître,seigneur.Chef.Dominer, diriger, gouver-
coeurlui-même (oul'organedu sentiment) ner.Nompropre.« Celuiquifaitde grandesac
appar- '«
tient à l'élémentigné: ;j^ ho. Cet organedu lionset quirépandauloin ses bienfaits;qui
sentimentest de la nature des intelligen-« estéclairéetinstruit,etdontlespensées sonttou-
ces lumineuses (sin tchi, ckinmingyè). Lefeu «« joursdignesd'admiration;qui aimele peuple
appartientoriginairement à ce qui estrouge. Le et se plaîtdanslasociétédeshommesinstruits
coeur(oul'organedu sentiment)est aussirouge, « (leslettrés),celui-làpeut êtreappeléun véri-
maissansmélange defaux.Cetteflamme intelligente« tableseigneuret maître tchù: iieri-
ou spirituelleet lumineuse,quia pour basela (ctatis dominus). » (Auteurc(/itédansjustilioe,
Khang-hi.).
droiture,est le principedirigeantde toutesles Tchohestune qualification que l'on donneaux
actions[tsaïwén ssé tchèyè). (I-wên-pi-lari). » ministresdu rang de Tà-foù.On appelletchoh
Cecaractèreestfiguratif;il représentela flammeceluiquireçoitquelqu'uncommeun hôte,en op-
qui brûle au-dessusd'une lampe.» (Loù chou positionàceluiquiestreçu,quel'onnommepin :
tching'o.).
I (35 h).Cestroisgouttesouflammes, ré- âtfilîis-ïf
PKn j". '"3o -fciS.lt-il
It M il '"iloPin,.wêiP'njàn;
tc/l"«"«tchuydn.
> ^ pétéessouscette forme,se prennent, « Quel'hôtequiest reçuse comportecommeun
dans lesancienslivresbouddhiques traduitsen hôte reçu; que l'hôte qui reçoit se comporte
chinois,pourle caractèreta. i (n°187),pronom commeunhôterecevant.» (Li-Ki).
démonstratif despersonnes1/ éloignées ; et dans —,pîn, excipiens hospesdiciturtchù;
l'écriturethsàoou cursive,c'est le caractère (gp.' 1^ —,t'an, exceptus hospesdiciturpîn.
p '/n'a.Cesmêmestrois gouttesou flammesTchoù-pln, commetermecomposé, signifieaussi
ont, dansle livre bouddhique intitulé Nié-pdnhôtesen général,sansdistinction.
King,surle Nirvana,ou ' cessation del'existence — tsàï, gubernare,regere.
mortelle', lesensd'unetriadesuprême,figurée Idb ^p — té', gouverner, diriger.
aussipar troisy eux.et troisétoiles,etsur lesquels — chèou,custodire, servare.
signes lesécrivainsbouddhiques sont loind'être I>^^ — thu, garder, conserver.
d'accord.(VoirieTching-tseu-thoung, sub-voce). —i, <votuntas, intentum.
Cessignesy ont unsenstoutparticulierquenous 1^~- &—JJ, volonté, dessein,intention.
ne pouvonsexposerici. — tsi,quiproeest sacrifiais ; sacrifiais,[leur.
"TT Houân.A.hoan.C.un.F.wdnJ. gouan. IM£ /f>—t'ê, quiprésideaux sacrifices:sacriiica-
/^U (3G) Orbiculus. Piluloe médicinales. Ro- tseù—, liberum arbitrium.
tundum.Globule.Pilulesmédicinales. [même.
Rond.On ItEj pj lu—,libre-arbitre, volontémaîtresse d'elle-
nommeainsi,engénéral,toutechoserondecomme 'an—,beuefactor. [Qui in
un oeuf, ou roulante.(Kh. h.). Nompropre. ItgJ b énéficia aliquem
l(n an —, bienfaiteur. [contulii].
+ Groupephonétique. Formevulgaire~tï koûng—,filialrégis,uel imperatoris.
2^ công—,
Iyt fillesd u souverain. (Kh.hi.)-
3 TRAITS. T tchângkoûng—, régissorores.
MTt 2^ I truo' công—, lessoeursde l'empereur.
KL Tân. A. don. C.F. tin. 1. tan. iïttfa1 cnnl—>tabellce in templis defiinctorum.
J J (37) Color ruheus. R uhrum. Cinnaharis tablettesdesdéfunts,etc.
Couleur Cinabre 'P'r I th'dn—,
natwa.Minium.Rouge. rouge. _f—I thîoeu—,Coelidominus.,
natif.Vermillon. Nompropre. A I thièn—, le.Seigneurdu Ciel.(Termeem-
— sin,sinecrus,sinefalsilate. les
—
IY)[_^ —t'àm,sincère,sansfausseté.
ployé
gnifier ' Dieu'missionnaires
par
en chinois).
catholiquespour si-
TT .L châ, arenaruhra. . |4-JJ kià —,paterfamilias.
| yky — sa, terreoupoussièrerouge. ^V I gia—, pèrede famille,maîtredemaison.
T
5A? î—,tolamalicujussontis familiam delere.
j"t^Ttien—, stabularius.
'y-^?I di—,anéantirtoutelafamilled'uncriminel. /fj | d'ién—,chefdesécuriesdel'empereur.
iLT Tmèou—, nomen monlis,florum, regni. ETTM.Ce caractèrereprésenteun support
—
tfT. I mail nomd'unemontagne, decertaines ouchandelier an-dessusduquelbrille unemèche
fleurset d'unroyaume.C'est lenom d'unefleur defeu.Dansl'ancienne ce signeest placé
célèbredans les poésieschinoises : la pceoniadansuue habitation,unforme, temple. Il estfiguratif.
mcoii-tdn. -f- Gr.phonétique.
—tchâo,imperatoris mandalum. [rouge). A.linh C. tsing.F. tam.J. tan.
IifJJP'fj,—tchieù,éd\limpérial (marquédupinceau #Tsing. (39)Puteus.Nomen proprium. Puits.Nom
ÉTYM.Caract.figuratif. Hiu-chindit que le propre.Ce caractère,que l'on remplace mainte-
signequireprésentel'ouvertured'un puits avec nantparsaformemoderne(R. 7, 2), représentait
un point, ou une autre goutte au milieu, en
' des anciennement la distribution dehuitfamilles ran-
figurelaforme.C'estla .' pierrephilosophale géesautourdu puitscommunplacéau centre,et
sectateurs duTao.-+-&•.phonétique. •dontla gouttefiguraitla cavité.(Ch.w.). Dansla
-^l—Tchù.A.chu'.C.tchu.F. tchoii.S.chou. formemoderne,cette gouttea été supprimée
~T*.(38) Dominas;dominari,proeesse. Rcx. -+-Groupe phonétique.
17 4« RADICAL, 3 TRAITS. 18
J ' C'est
finien' espaceet en temps l'opposéde
/ 4eRADICAL. tsdn, récent'. Attendre. [tus.
—ptli, à longotemporeséparât us; sejunc-
F.
K.phi!et:C.p'it. p'iet. J. bets.
Inclinéà In.I ff>\—biêt,séparé(devous)depuislongtemps,
(40) liescurvatoe
yP'iëh. ad sinislram. t ^-, — yàng,à multotemporeexspectatus.
gaucheet commefigurantunedirection à gauche. | J-|J— ngu'ong,(je)désire(vous)voir depuis
(Ch.w.). Lui : parvenirà. [Cesexpressions de politessesonttrès-
"T Fëh. [Car.fig.].Rescurvatoe ad dexlram,longtemps.
fréquentes dansle styleépistolaire chinois].
V (41)Inclinéà droite.(Ch.w ). L'opposé ÉTVM. ce caractère
du précédent.
Selonle Choûe-wên, ' ' re-
présentedanssa formeles deuxjambes d'un
Ducere;ïnducere.Clarum hommequi s'appuie par derrièresur un sup-
ri. (42) Conduire ; menercomme par la port. + Groupephonétique.
main.Clair,manifeste.(Ch. w.).L'ancienne forme -<*Tseh. Racines de plantes et d'arbustes
était figurative. "C (49)dontlespousses,sortieshorsde terre,
"t I. FluoréCouler.(Ch.vv.).Cestroisder- semblents'appuyer sur elle. Delà lesensde :
V*.(43)nierscaractères nesontpasemployés' s'appuyersur' qu'il a qqf.+ Gr.phon.
actuellement, quoiqu'ilssoientcitésdansquelques ->r Tchî. A. chi.C.tclii.F. tcld.J. si, chi.
' nomi-
dictionnaires. <_, (50) Litteraauxiliaris; postposila
'
A nghê.Y.ghéy.J. ghei.Herbas nibus facit genitivum ' '
; i>erbisfaeit,relativa,
XYi'.(44)prxcidcre;metère.Aptedisponere.participia.Pronomen : Ille,isle;suus.Item: Pro-
Gubernare ; regere. Coeteros <virtuteet habilitate gredi.Perveiiire ad. Mutare.Particuleauxiliaire,
excedere.Sapientumappellativum. Legitureiiam d'unusagetrès-étendu euchinois.Placéeaprèsun
ngâiineodemsensu. Faucher,moissonner. (Chw.). nom,elle indiqueque celuiqui la précèdeest'
Mettreenbonordre;diriger,gouverner. (Eulh-ya).danssa dépendance, ouaucasquenousnommons
Dénomination de ceuxquisurpassentles autres génitif;placéeaprèsles caractèresqui peuvent
par leurstalentset leursvertus,ha y' etngâï, avoirunesignification verbale,ellelesrendactifs,
avecleRad.140, mêmesens.Car.figuratif. en faitdesparticipes,ou devientelle-même un
—f— Tsô. F. tchb.J. sa. Manussinistra. pronomrelatif. Pronomdémonstratif Lui,Elle,
/ (45)Maingauche.Côtégauche.AncienneEux,Ceux-ci,Ceux-là,etc.Elle signifieaussiA
de, en cequiconcerne. (Voirl'exemple du
formede 7r. Voir pour l'explicationde ce ca- l'égard Li-ki,cité ci-dessous). Deplus,elleestaussiprise
ractèreleRad. 48, 2 traits. comme-verbede mouvement : Allerd'unlieuà un
"TÏ-.Nàï.A.nâi.CF. liai.J.nai. [Car.fig.] autre; parvenirà. Passerde... à.Un Et encore: Né-
: Cerlè. gliger (iyè). Changer (pién-yè). écrivainchi-
J -J (i6) Littera conjanctiva Equidem. citédansle dictionnairede Khang-hi,dit
Idcircb.Ergo.Id est.Sed.Tune.Scilicet.Littera nois, «touteslesfoisquece caractèreest employé
pronominalis : Tu, tuus; Vos,rester.Particuleex- que .cdansle langage, : ouun rapportde
plicative,copulativesuitàet conjonctive, ' reliantla ic' dépendance ' il indique
ssb chou)'despersonnes et'
de celle '. (yebu
partie phrasequi En effet.qui précède « deschoses; ou un rapportde détermination
(Eulh-ya). C'est-à-dire. Ainsi.Mais. « (yebussbtchi' ssé),ouenfinun rapportde mou- '
Alors.A savoir. vers (yebussbwàng).C'est, dansles
âfe-i*, —m'ingHiHô;Asavoir(Yao)or- «.vement « troiscas,uneparticulede ' relation'. Tchou-hi
"W %XW
IA^ <louna » Hî etàHô. (Choù-Kîng).
Pronoma/{-ridit .
Quelquefois c'estune particuleexplétive. tchitchi tchi tchi,sciebat(Con-
de la 2epersonnedansle Choû-Kîng. Nomd'un 7î|l 7_t, ^-^ 2S ;£ fucius)hoc : percenisse-ad api-
certainfruit. Nomdelieu. «il savait à l'âge de GOans)
ÉIYM.L'auteurdu Choûe-wên dit que cette cem; (Confucius,
particule qu'ilétaitparvenuau sommetde l'expérience
(dansson ancienneforme)dénote«la choses.«(Comment.surleLùn-yû,
des
« difficulté d'exprimersa pensée,et que saforme iX Q _L W>I hoù min tchi K.l,ch.2, §4).
« représentelesoufflequisort difficilement dela t'soùng tchi.
« bouche.» + Gr.phonétique. HAFQ^ Vi I Idebpopulushic sequitureum.
ce le suit.
s/ (47) Formeanciennedu caractère~2~ C'estpourquoitout peuple
/\ où, cinq. Cetteformeest maintenant/7
employée pourlechiffre4 dansl'écriture
* commer-£ Jt ff{ fi J? W Hf^ leùlhpUyénT* A
ciale.Gr phonétique. l'égardde sesparents»et de ceux quel'on aime,
onestsouventpartial. (Li-ki,et Tâ-hifih,c. 8).
2-4 TRAITS I Lecaractèrey* tchi est aussi pris dansune
t-t K/ièou-A. cu'ii.C.kao.F.kéou.J.Mo. acception presquesynonyme (thoùng) de rx? tchi,
/V (48)Diu.Longotempore;diutiùs; sine «serendreenmilieuéloigné,»tandisque le pre-
interm'issione. Jamdudum. Jamdiii.Longuedurée. miersignifie« serendredansun lieu rapproché
Depuislongtemps. Caractère qui exprime(dansle « deceluioù l'on se trouve.» (Khâng-hî).Ce
Y-Kînget le Tchoûng-yoûng) une duréeperma-mêmedictionnaire citedesexemples à l'appuide
nenteet sansinterruption ; dansLao-tseu ' l'in- sondire, et ajouteque,dansl'un et l'autrecas,
19 4e RADICAL, / 5 A 6 TRAITS. 20
lesensetlesonde tchi,commeprononciation, sont t^f Toûï. A. dût.C.F. tuf. ,T.tai.—Gr.ph.
lesmêmes.Cetteobservation expliquerait pourquoi \~\ (57)Agger,acervus ;terroecumulus. Amas,
il y a dansla languegraphiquedesChinois tant monceau deferre. Cecaractèreestd'anc.forme.
decaractèresqui sont priscomme synonymes ' ',' kwai.J. koai.—Gr.phonét.
du ' son', la -jyj*K.oûaï.F.
à causede la seuleressemblance —J-~(58)Formevulgaireducaractère suivant.
' forme' n'en ayantaucune; et pourquoiaussiil (Tching-tseu-thoung).
' [phon.
y a tant decaractères danscettemême' langue ~f~. Koûaï.h.quai.CF.kwai.J.ltouai.—Gr
'
graphiquequi ne 'représententqueàlel'exclusion son' de 2
-^J* (59) Peiversus. Malus. C allidus Pervers,
certainsmotsde la langue parlée', méchant,rusé.Etrange.
detoutesignification ' graphique '. —
ETYM.Cecaractèrefiguraitprimitivement des lî, peiversus,malus.
roseauxsortantdeterre.(Ch. w.). [7^— lé, pervers,malintentionné,
Iïrf méchant.
sa. C.telut.F. .1.sa. —khiào, ' vafer,a stulus,
ingenio p romptus.
//f=1Tohâ A. tchay.
Statim.Inopinatb.Breri I-fjZJ —saô,rusé,astucieux,adroit.
\-~(51)Derepentè. £3p-*;T'chïng. A.thang.G. ching.F.séng.i.jô.
tempore. Iridium.Toutà coup.Soudain;inopiné- ^jV (60)Regere; gubernarecurrumquatuor
ment.Commencement. equorum. Ascendere.Opportunitatem
— jàn, derepentè. Tono' : Quadriga.Binarium arripere.
rerum numérale.
IRfè —
j,jj nh'ïm, s oudain. Item: Quaternarium' sagittarum,avittm
— k'ién, inopinatb videre. numérale.Agger in equorum, quoquatuoreminentcolles.
/L
1J3J — Men, voirtout à coup. n3> t& Gouverner ; dirigerdeschevauxattelésà un char,
çff Hoû.LittcraA.hô. C.F.'oH.J./io.Syn.J /?f à un quadrige.Montersur.(Y.-K.). Saisirl'occa-
J (52) infine interrogatwa in
; ' clau- sion favorable.(Meng-ts.) Auton ' : Char, qua-
t '
•suloemediodénotâtet significatad ', vel in ; drige.Particulenumérale deschosesbinaires; des
dativumetiamfacit. Particuleinterrogative, dubi- chosesou couplesquaternaires;deschevaux;
tativeà lafin de la phrase; dansle contexteelle (Li-ki) de
; flècheset d'oiseaux.Terreoùdomi-
signifie : A,Dans.Elleexprime aussile rapportdu nentquatrecollines.En arithmétique : Multiplier.
'
datif. Quelquefois particule explétive'. ~Xi&rtI iPjfcP°Mlj°ù—cnh nons,cutarripere Il n'y
/^* î î—, anjustiun est? i ftr I zp^yoecasionem, opportunitatem.
R. | nghï —, est-cejuste?celaconvient-il? arien de tel que de saisirl'occasion.(Meng-ts.).
jjtFTkhô —, licet-ne? Tni — chi, opportunitatem arripere.
J I klia —, celasepeut-il?celaest-ilpermis? | I)5J" — tnh saisirl'occasion opportune.
Tk'î —, -— secundum
|]5 co' —,forsitan. il peutarriverque. — foung, arripere-ventum.
5SÎ| peut-être; IT-rf
jïlv pkong, saisir un ventfavorable.
ETYM.Selonle Choiïe-wên, l'anciencaractère — ma, equumconscendere.
« figuraitleson» s'échappant dansl'airet y pre- ITË Jiy —ma,monteruncheval.
nantune forme.-\- Groupe phonétique. *$*î kià —,genealogia particularisfamilioe.Li-
Gr.ph. ^ I gia—,généalogie d'une famille,[brihistorici,
=3j T&h.k.phap.C.fat.F.Iwat.hfô.
-<C_,(53) Dejfectus {hhiûefrienfè). Vaeuum.~~f* T -^ têt lcsiàn—tcldkoûeli.
Lapsus.DénuédetouteMan- qua- I LeI "0 PMUnroyaumedemillecharsdeguerre.
Egestas.Nécessitas. caractèretch/ng,dansleslivresbouddhi-
lité ouattribut.Abandonné. (Tchouang-tse).
ques, sertà lesdivers
querde. Insuffisant. Las,fatigué. ' ' oudésigner métaphoriquement
' véhicules ' dela loi de Bouddha,
Luféï, cecar.a lesensdeverbeactif: abjicere,enchars sanskritfana, qu'ilsdisentêtre aunombrede
destruere, perdère,renverser,détruire,perdre. cinq. (Voy. Foëkoiie-ki, p. 10). [fyv]-
î khoûen—,,valdè.fatigatus.
J
El! | khàn —,très-fatigué. ~7jp\Tc'hoùï. A. thùf.CF.sùf. J.soui.[Car.
t^O*Tkliioûng"—, pauperrimus. A'A-(Gl)Pendere.Proprièdiciturdeherbiset
dénuédetout arborions quoe,nimisfructibusonustoe, ramosincli-
£$*}| kimg—, très-pauvre, nant.Pendre.Il sedit desplanteset
Tsè. C.F. tclié.. T.
c hi, si.Gr. phonétique. proprement
jf* desarbresqui, étanttrès-chargés de fruits,incli-
/fi (54) Morari.S'arrêter,demeurer.Onle nentleurstiges ou leursbranchesvers la terre.
confondsouventaveclemêmegr. -+-le Rad. 38. Voirlemême car. danssaformemod.,R. 32, 5
5Afi TRAITS.
t*? V'èïi.V.phdi.i.pai.[Caract.figuratif]. £ . 5eRADICAL.
)\\. (55) F lumiriis
brachium.Brasdefleuveo u
de rivière.Coursd'eauqui se diviseencoulant. T' I, yïh. A.àt. C.iit.V.it.Lits.Syn.
(Choîie-wen). (02)Littera temporaria,intradecemse-
•â I. F. J. i. — Groupe phonétique.Ceca- cunda.Unum.Primum.Curmm, inflexum.Piscium
77 (5C) Rew.ru. Retourner. (Ch.w.). cauda.Lilterasomissasin scriptoannotare.Idem
ractère, peu le
usité,représente corps
' en del'homme
' retourné arrière etiamcum »ï. Nomen proprium.Caraetère ey-
21 S0RADICAL, 7. 4 A'10. TRAITS. 22
clique,le seconddansla sériede 10. 1, premier, — yen,ad loquendum veniamprzebere.
danscertainesémiméralions ouséries; 2, second, I-1-- pt — ngôn,accorderlafaveurde parler.
pi'iscommecaractèredu cycle. Courbe,penché. »pt Yè.A. dà. C.ya. F. yea. J; ya.
(Jueuede poisson.(Eulh-ya).Suppléerdescarac- TNi (68)ParticulaEliam,Et, Item,Insuper.
tèresomisdansuntexte Nompr. Syn.de - Litterajinalis,instarpunctifinalis.Particule auxi-
— niào,hirundo. liaireà sens très-variés.Elle est ' résomptive
mj — d'ied, hirondelle.
1ÉÎ au commencement desphrases,et elle signifie:
M î k'iâh—, primuset secimilus. Et, Aussi,même.Quandellesetrouve entredeux
\ | giàp —, premieret second;À, B. membresd'unephrase,elleest ' interrogative '.
T. Ttâi—, primumprincipium. [Tao. Placée à la fin, c'est une particule' explélive
/ V | tlio'i—, premierprincipedans la sectedu qui tenninel'émission dela voix.
T±£ tchoûng — tchè, médium, [de quolocii-
1 Yla A.««..CF.yin..T.m.[Car.fig.].Gr.ph. Jl|
\ i(C3)Absconditum; abscondere. Caché;ca- T I iz H tus est.Lemilieu(dontila étéquestion).
cher.(Yu-pien).Anc. formedeyin.(R.170,tr.H). ^£j _L..T. iclitchè peu yè, virtitsea (est)
lEF' H 4 {Lafundamentum cnimverb.
xi. Y&h,yëh. Oiseau a u bleu
plumage foncé;
l L(64) genre d'hirondelle dont le chant f 0 II jUyèpouhchikôujmyè,
n'estqu'uneespècede cri. El I /C PI /* Vii et nonverumest.unus
homo.Et cen'estcertespasvéritablement unhomme.
I* Miè, m'. C. mat.F. bëà.,T.ba. fjF 3f/ «F |lf khb hoû? kho yè. Potest-ne :'
In
^Jj (65)Obliquas. lingudregiùSi-Ida, i n- J T o J ffilPotest.Peut-il?Il peut.
canlator sse-mièappellabatur. VideLiao-sse:His- LTTM. L'originede cecaractèreserait singu-
toriaregniLiao.Nomenproprium.Oblique.Dans lière,selon le Choûe-wên. Sonancienneformere-
la languedes peuplesdu royaumede Si-hià(à présenterait les parties cachées(pudenda)de la
l'ouestde la Chine)un magiciens'appelaitsse- femme.Cha-moii faitobserverà ce sujet que les
miè.'Voix l'histoireofficielle desLiao(ne siècle). modernes l'ignorent complètement
Nompropre. Dansledialectede Canton,ce ca-
ractèreest interrogatif: Matyè ; mat y'e jiu ? DE4 A10TRAITS.
quis?qui?quelhomme?
Jj K'ièoii.A.cii'uC.kao. F. kieou.J. hioù. Jr; I. Bace étrangèrede chiensintroduite
Novem. Multi. Legilureliamk'ieoû, ployé •QJ,(69) autrefoisà Macao.(Louï-pien). Em-
y [j (66) commegroupephonétique.
congregare; Khieôu, quoddamregnum.Neuf.
Beaucoup. Lu kieou,réunir,rassembler. Klùeoii, M K'î. A.kê.C. ki.Y.key.î.koui. Syn.H-f
nomd'unroyaume. [metica.dumMude (70) Sortesmitteread déterminait- |
A&Tti—,nonum. _LI k'ièou—,ars arith- tum quoutuntur, id, quoaliquis dubitat.Quoddam inslrumen-
ut Diemon venialet scribatquid
Pft | d'e—,neuvième.)\j \ cu'u—,art ducal- quisscirecupit.Consulter le sort pourl'interroger
— hoh, congregare. [cul. surdeschoses douteuses. (Ch.w.). SelonleTboung-
Tzf— hap,réunir « Il—
1^, réunit touslesprin- tien(Encyclopédie de Tou-yéou, qui vivaitsous
ces vassaux». (Lûn-yû). NombremystiquelesThâng),danslesÉtats del'occidentde l'Asie,
chezlesanciensChinois.Dansle Y-King,le pre- onseservaitdemoutonspour consulterle sort.
mier kouaQUsymboledeFoii-hiest interprété Le chefdes devinsétaitappeléssê-ki.(Kli.hi.).
parlenombreJT, kièou,9, qui estceluidu ~JQ jijl Tchî. J. chi. Principium. Origo.ft^
thiên, ' ciel', en tant que «puissanceprimor- ]Zfu(71)Principe,origine'. F.vulg.de %13
dialeefficientepar laquellele mondeest gou- Loùan. Perturbatus,Perlurbare.?£}\
verné.» {thiênhiàichiyè. Khanghi). OnJit dans SI L (72)Troublé, troubler.F.vulg.de ]ljL
l'ancienphilosophe Lie-tse: «LeUn ' s'étant -t-r[ Hiëi. i) Hicï-tovlt\,nom de royaume.
HlL (Î3) (Tsi-yùn).
transformédevintlenombre9; le 9 transformé 7p1 Joù. A. nhu.C. ii.F. ji, jou. J. jou.
estle grandfaîte,oul'extrêmelimitede toutes ïjr"U(ji) Lac.Mamilloe; ubera.Laitduseinde
choses(Jvièou). » -{-Groupephonétique. la femme, dontellenourritsonenfant.(J.-vr.p. 1.).
s^r K'ïh. A.kh'ât.C. hat.F. khit.J. ko/s. —mon,nulrix. T-=^-—liiâng,i«çe/u«m.
L L(67)Rogare;stipemrogitare.Petere;men- IJ3. y màu,nourrice.| fE| —huo',encens.
dicare.Dure.Demander l'aumône,mendier.Don- ssé—, quatuorubera.
ner. — Dansleslivresbouddhiques traduitsen HT | tù —, « Les quatre mamellesde Wùn-
chinoisdu sanskrit,le motp'ï-k'ieou(ensanskrit Wâng»; locutionqui exprimel'extrêmebienfai-
bikeltou),estrendupar k'ïh, 'mendiant'. sance.T'hiën-joh,nomd'une,certaineétoile.
Prononcék'i, ce caractèresignifie«toutesles ÉTYM. L'ancienneformereprésentaitun en-
chosesà l'usagede l'homme(fanyii fin wëh)», fantà la mamelle.
commenousdisons«unechose,deschoses.» T^T Yàn. Progrcdi.Alleren avant. (Sup-
—tseù,méridiens. -pu (75)plémentauDictionnaire Tseù-Weï).
I'Y_ J — tu, mendiant. IIA Tsïeh. Amputare.. Amputer. -T*tt
— 'an,favorcmpetere. pEu(76)Cecaractèreestsynonyme de 'pÈy^
IgtJÈJ— an, mendierdesfaveurs VoyezleRad. 62, 10tr.
23 5e RADICAL, 7V 6e RADICAL, ] 24
jfcT K'hiën. Formevulgairedu caractèreRevoluûo. Pan-louàn,se rebellare,se révolter.
^pL O7)q,u suit- ÉTTM.L'ancienneformeprésenteun enchevê-
trementdetraits et une confusionqui semblent
10-13TBA1TS. fairenaîtrel'idéeattribuéeà ce caractère.
rfe£-K'hiên.A..càn.C.kon.V.kdn,k'ien.3.koun. ^A Lin. Trislilia.Tristesse;affliction. Nom
Coelum. Cali -virtus et Wr\i (81)d'unanimalau corpsjaune età la
sp.(j(Jfi) efficacissima blanche.
nunquam quiescens.Coelum, quoad«subslantiam », queueÊ|;r I. K.y.CF. i.i. its.Avants,cupidus.Te-
dicitur thiên; « naturelles»,
operationes etnun- 3Xi (82)
diciturk'hiën.Iquoad
ndefessus.Progredi.Agere etiam JJ-gîNiëh.Avare, cupide.Obstiné. [nax.
sislere.R ex.Forùs.
quamsiccum.Nomen. Diligens. Legiturvertu V.giep. i.gô.Introducere.Dirigere.
k'àh, LeCiel.La 5rCli ( 83) Introduire. Diriger.(Khâng-hî)
proprium.
efGcace du Ciel,quinese' reposejamais. LeCiel,
quant à la ' substance (liingt'kï), est nommé ' GcRADICAL.
^A^ Viên;quant à ses ' opérationsnaturelles J
(sîngthsing)estnommékhiên.(Tching-tseù). Infa-
tigable.(Pèn-i).Avancer.Agirsans jamaiss'arrê- k'ùt.F.kwat.J.kets.
ter. (Chi-ming). L'undesK'ouade Foii-hi.Roi. (84) Uncusad sinistramretortus.Crochet
JKhioûek.A.ouj'e/.C.
Fort. Diligent.Au ton À,et lu k'hàn,il signifierecourbéà gauche. [retortus.
Sec,desséché. (Chî-K.).Nomdans
propre. 1 Kioueh.F. kwat.J. tel. Uncus ad.dexlram
ÉlYM.L'ancienneforme, le Y-Kîng,en J^ (85)Fer recourbéen senscontrairedu
Koù-wèn,représente,à droite, le Ciel,par une'
convexe,et, à gauche,les signes haut ' précédent.
ligne A.lieu. C. liu.F. lido.J. rô.
et ' bas', aveclesoleilaumilieu. Lilteraquxverbisadditafacitproe-
Tchi.K.ti-i.V.tê.3 Moderari. TLiào. (80)
:J£T .tchi.Regerc. terita[at nonsemper']. Perficere.Absolvere. Clarè
^LC 9)Diriger.Gouverner.Ane.formede agnoscere. Caractère indiquant,dansle stylemo-
V'p) tchi (Rad.85. 5). derne,qu'unechoseest terminée,qu'unecertaine
actionestachevée,qu'unfait estparfaitement ou
A.
<OTLouân. loan.C.lùn.F. louânJ. ran. suffisamment connu. Signedu ' prétérit' dans
A
]fjLi(80)Perturbatus;Perturbare(wén). beaucoup decas. Connu,expliquéparfaitement.
réguladejlectere. Tumultuari. Confusio; confuse. clara notitia;manifesté.
Tumultus. Mxcilare. Item: Tumultus sedare.Ora- — nhien,adverbe: manifestement.
tionisepilogusquodictain compendium redigun- 1M>—jân,
^ — tâng, res transacta,ad finemperducta.
tur. Furiosè.Cecaractèresignifieordinairement : — d'ang, chosedéterminée, conclue.
« Exciterdes troubles,des émeutes», quoiqu'il Iji&JJJ — absolutum
ait signifiéprimitivement «Gouverner»,(Eulh- =p-.—szé, negolium.
affaireterminée,consommée.
ya); Gouverner selonla raison,(Yu-p'ieu). Etre I-jJj su,
clansunétat d'anarchie,sansgouvernement. Nom /JH— poûhtëh, jde inalorei statu; de
propre. Voirsa formevulgaire,n° 72. ^P /[^f— b'dtd'âc, \summobonoet malo.
("y
— t'chîn,) Fidelissubditus.Ministerqui, KJ î pâ—, salis; sufficit.
bai —,assez;celasuffit,
IpT[T*.— th.'an,) in regimine,proeclarè adjuvat.0[2|
it H ]'o (oungb)k'ién—, egovidi. [cede.
«ïBïtlE + A^TS iXiTu I nga'kien—,j'aivu,j'aiprisconnaissan-
jèoulouânt'chi'nchïhjîn, Woù-wdng dixit: ego kn >-^ I tchi tào —, ' j'en àai «. pris connais-
habeodirigentesministros decem*viros: j'ai dix /'r i^S- I sance', équivalant Vu et ap-
ministres habilesà gouverner.(Choû-Kîng). Dans prouvé.» C'estla formulequelesempereurs chi-
unautre endroitdumêmelivreil estdit : « Il noistracentà l'encrerougeavecleurpinceau,à la
' Mémoires,
gouverne (louân)à sa volonté;maisil estrespec- findes propositions de décrets',etc.,
tueux.» Lecommentaire ajoute: «Il ala direc- quileur sont présentés par leurs ministrescom-
tion[louân),le gouvernement desaffaires,maisil pétents.(VoirleGrandRecueild'éditsde Young-
estrespectueuxdansl'intérieurde la maisondu tching,intitulé: Tchoàphi yû tché, en 112vo-
prince.» lumeschinois,passim.)
t X'T'—ta, indiscriminatim ÉTYM.L'ancienneformereprésentaitun en-
etfuriosèperçutère. fantsansbras.
à tort età travers. (Choiïe-wên).
j ] J ——d'à', frapper t] Kiëh. Quisemblesemouvoir.Quia l'ap-
jân, tumultuosè. Verbaimpudica.
jf)j—
IMi nhiên,Tumultueusement. Parolesindéc. ^\ (87)parencedumouvement.
— yân, sineordinesermocinari. DE3 A 7 TRAITS.
pt — ng'àn,parlerà tort età travers.
I-t- Yù.A.d'u.
—
T *U tsô,sederesineordine. ~7*^ C.yïï.F.;'.J.yo.+ Gr.phon.
[nion. J ($&)Dare.Donare. Concedere. Ego.Prce-
I j^ — 'oa>êtreassissansordredansuneréu- positio' In'. Donner(parun supérieurà un in-
— wéï,sineordine. Accorder.Luyû, Pronomdela première
III-]!L—vï, sansordre; pêle-mêle. —Louàn-ll,férieur).
personnedanslesQuatreLivres : Je,
classiques
veritatemobscurare. Obscurcir lavérité.Pien-loudn,Nous.Dansle Chî-King ou ' Livredesvers', ce
9K 7« RAmr.AT,. 4 TRAITb. 26
pronomest attribuépar les commentateurs auî K > toritéqui procèdede la ' dualité' est faible.»
Chang-ti_hl^?> 'e souverainsuprême.Prépo- " < zxtI **—*secundus; adjuvare; coadjutor;dubitare
sitiouBans. Syn.pt ^ Jp | d'i—, second;aider; coadjuteur;douter
jRégisfilius.Partiri. Distinguera.
/t T foii—,infunderc v. g. virilités,
[coeurdel'h. . Filsde 1 l'Empereur.
legermedesvertusdansle' t 1 —jîn, paterPartager. Distinguer.
]y | fini —. implanter et mater.
-gfc-Se, Ché. A. su. G sz. F. J. su. zt. | / V— nho'n,le pèreet la mère.
-=P" (89)Negolium.Secretum;mysterium. • ~v î * poiili—sîn, nonduplexcorde:fidelis
lies. Opus,opcrari.Officium. Efficere-ut '
(se).lus- /V I 'Li bât-—l'àm, fidèle et sincère. [liàng.
tituere;pcrficere(lïh). Uù; adhibere(yebu).Ser- .A-îS
vire(Joung).Perpendere(ying).Dirigere(tchi). ' ' "êî I [/I téi cEi ei'"' 'vc'— ' siàng
f în
Affairesordinaires(les grandesse nommentU J
IlUM I ÏÀ' gt nf [Lepremierprincipe]se
' tching', ou d'administration publique).Tra- ' divisa et devint deux', pour formerle couple
vail, charge,occupation,magistrature.Faireen primitif [liàng: le principemâleYdng, et le
sorte que. Établir. Employer.Servir.(Li-Ki).principe femelleYin).(Y-King.Hi-tse).
Examinersoigneusement; régler ensuite.(Ssé-ki). — Dansl'écritureantique,c'estle caractère
.Kïfc —t'sîng,negolium./fc î hing—,operari. (90") f- chiing(n"8). Selonle ' Loû
IPJ — tinh, affaire. \\ \ hiaik, opérer. <
chou peu i ', le traithorizontal inférieurindiquele
JfK—.nïeh, officium. corps,
! le substratum; letrait supérieur pluscourt
^ — nghiep,charge,emploi. >
indique
' supérieur ' ; ce dernier
l'objet; ' placé'dessus', c'est
-' Tsiào—,parfum negolium; negotiolum. placé dessous '
', c'est inférieur'.
*J I lieu —,petiteaffaire,de peud'importance. ——Dans l'écritureantique,c'est le carac-
yèou—, quisealienisnegotiisimpïicat. • (90ï)
tère-pT 'hid (n" 9).
tT I liu'u —, engagédanslesaffairesd'autrui. ~~J.Tchouh. Petit pas; mouvement en
& j to—,molcstus. -4r-I pên —, habilitas. \J (91)avant[fig.] du pieddroit. Lamarcheen
À? | d'à—,importun. tJ(SI "dn—>habileté. .avantdu
7T I koùng—, res publicoe. piedgaucheest figuréeparle caractère
X\, | công—, lesaffairespubliques. 4 (R..00),et laréuniondesdeuxmouvements est'
r£ I tchâï—, delegatinegolium, officium.
7f- | sai—, affaireoumissiond'un envoyé. figuréepar les deuxsignesréunis(R. 1-i4): 4r
-L. Ttchù—, secrelariusConcilii. Yù. A. TU.G.jii. F. i. J. 5. Syn.-R
Zf.
2C I chu —, secrétaireduConseildesministres. J (92) Dicere.Ire. Litleraauxtliaris Jjï
f toû—, secretarius secundus. . velproepositio
[seil. deserviens accusulivo casui;sigiùfi-
fJ7P d'à—, secrétaire e nsecond du - <
mêmecon- catquein, W ad. Nomenherbveaqualilis et no-
$3j T tlioûng—, 'menarboris. Id. Nomen.
interpres. proprium.Dire.(Ëulh-yà).
;trtt. | th'ông—, interprèteordinaire. Aller,se rendreà. (Chi-k.). A causede. (1-li).
~jTLI tching—, respoliticie. Particuleauxiliairede relation,servant
J£X I chdnh—, affaired'administration
.[que.
publi-_ miner ' le rapportdes mots,à préciser' àladéter-
'
' passif' danslesverbes pen-
j <i*li—kouàu,Senalus. [lesaffaires. ' sée.Elle formelesens
' termerelatif ' d'une ;
Ïpft lE I H l'—aiian,Sénat(magistrats elle marque le comparaison ;
dirigeantellesignifieaussi' ' relativement '
I X- g.—joui,(omne)negotium(sit)sicutvotum. • cequi concerne pour', à ', en
I %r 'tl!> — '*'"'' fi 'lue t°ut:vousarriveselon 1 d'unarbre.Nom '. Nom d'une planteaquatique,
vosvoeux.[Expression de courtoisie]. ' propre.Yù-yù,expression
' Aspectd'unemarche adver-
|
biale: dans '.
JH.— foumoù,seroircpatriet malri. ETYM.L'ancienneformefigurele soufflequi l'éloignement
IA'j* J*^_ ^(-—^/i«/n'a'K,servirsonpèreetsamère. . < sort dela boucheet s'étenddansl'air. (Choiic-
~J?~£fâ I poïih kiug—, inexpertus. iwên).-J- Groupe phonétique.
^I^TZC I "àt kinh —, inexpérimenté. Yû. Ancienne l'ormedu caractèrequi
LTYM. L'ancienneforme ' unemainqui; ^
tientun ' pinceau' avecunefigure v (W ) précède,employé commegr. pho/i.
bouche', offrant
ainsiunsenscombiné «
de négociations DE2 A 4 TRAITS.
« rôle,avecla parla pa-
desrésultats par l'é-
« criture.» -J-consignation
Groupephonétique.
~~*.Yùn.X.v'dn.C.wm.V.in.J.on. Syn.-t—f-"
£\ (93)Dicere,loqui.Circulaire. Dire, y»a,*
jpg-Ancienneformeducarnet.(Rad,87, 4) S_. ,parler,exprimer sa penséepar dessons.Dansles
-jfl' Voir,pourl'explication, ce mêmeRad.J"*
K!nget leshistoriens(ssè),-^^ ydn estemployé
! 7eRADICAL. commel'équivalent de |—-|yueh,' dire,parler'
Tournercommedans uncercle: « Le Cielne se
—- Eùlh.k.nlu. J. HI.A.F.-Ji. var.sf". (c ' meutpoint; les quatresaisonsfontleurrévo-
'(90)Duo.Numerus binarius.—"VjDeux.lly, , «< Iution(-2~f fV yûa 'hid, « tournentou se
Nombre binaire.C'estleprincipedunombreterres- - «i succèdent) », et tous lesêtresde la naturese
tre. (Ch.-w.). Selonlephilosophe Siun-tseu, «l'au-- «( transforment. « (Kouau-tsèu).Particuleex-
'
«torité qui procèdede1''unité est forte; l'au-- plétive. ]
-27 7" RADICAL, Z2 . 2 A.6 TRAITS. 28
à-direle
; hocmodo; tali Li-kietle le le le
yàn yûn,mulliludinum-voces Y-Kîng, Chî-King, Choù-King,
1TI —'—voixdclalbule;decettefaçon. [modo. ÉTYM. Tçhùn-thsiéou.
Hiu-chin dérivece '
caractèredes deux
yùnyùn,ainsirépété,équivaut à l'expression, '
«comme élémentsYàngetYin.(mâleet femelle)
II l'adverbiale:joù t'seu,joii-t'seh, quirési-
dentdans l'espace entrele Cielet la Terre,
situé
-£/Vf fèn—, perlurliare. [cela»; ceeàet là». et danslequel ils s'unissent.Cesdeux éléments
T77 Iphàn—, susciterdestroubles. sontreprésentés parla lignehorizontale supérieure
ÉTYM. Le caractère primitiffiguraitlesvapeurs et horizontale
qui s'élèventdes montagnes et desvalléeset se la ligne inférieure.+ Gr. phonét.
replientsur elles-mêmes. On y ajoutaensuitele [t. Tsing.A.tt'nh.Ctsing.V.tehing. ï.chei.
signedelapluieëfs» iti,pourenfairelecaractèrePuits; y\ (90) Puteus.Locusuhi aqua hauritur.
WÊ*ylin, « nuagesvaporeux», et alors-%£ ~T"fTlieuoùl'on puisede l'eaueu terre.
"25Cyùn devintle synonyme j^j yuëh de t'iën—, locusinter parietescwloapertus.
/\. | thien—,petitecourdesmaisons chinoises.
(R. 73).Ch.w. -+-Groupe phonétique. î chi—,puteuscommunis.
Hoù. A. ho.C.su.F.
~TÇ Lillerarelative. hoû.J. -fc-
go. cttm. tyî I tlù—, puitscommun.Foire,marché.
l-f (91) : mutub,sinutl,
Locusubi' qui aiùmalia —jàu, clarè,distincte.
Colltgere. occidunt,carnes
suspendunt, dicitur boù'. Mutuellement. Ensem-Ihâx JJJJ—nhu'ng,clairement,distinctement.
ble, avec.Réuniraumêmeendroit.L'étalauquel — f'ièn, \Ager in novempartesicquales
lesbouclierssuspendent leursviandes. \\\ — dièn, jdivisus,quiagerin oclofamilias
Irrl
— siàng,Adinvicem. distribuebatur, quorumunaquicque unampartent
N.ttH — tu'o',Réciproquement. accipiebat sibï colendam, nonamxerbomnes sinutl
excolehant.
î AAil— vvcb,l'escouchant habenlesut oslrew. Régi [sione.
I Ty-il—'v'c't> animauxrevêtusd'écaillés, comme , resbenèdisposita ; continenti sueces-
lestortueset leshuîtres. IT I , chosesbiendisposées ; de succession
ÉTYM. L'ancienne formefiguraitdesobjetscro- continue.Nomd'uneConstellation de l'hémisphère
chussetenantensemble. Fig.-+-Groupe piton. austral, etc.Nompropre.
-T~*Où.A.ngliù.C.'ng.F.nguJ.goA.f. ~J * Siouân. A.
cang.C. karig.Syn.-J-F»
jLL (95)Numerus quinque. Nomeitpropr. /I . .. (97)Scrulari.Extendere. Evulgare.^'£J
Nombrecinq. Nom propre. On l'appelleaussi Pronutlgare. Scruter,explorer.Étendre.Publier,
nombre'médial'. Le nombredu Cielest 5, le promulguer. Nompropre.
nombredela Terreestaussi5. (Y-1L). [mérita. I •+•
/& I ti—,quintus. T -fc—hinf>,quinquc ele- | H jI ^—koù,—kin, abantiquottsqueruine.
-f depuisl'antiquitéjusqu'àcejour.
j^ï I d'e—,cinquième.| ]}—hàiih, les5élém. ÉTYM.Cecaractèreestcomposédu signe^2.
(Cesont,selonlesChinois:l'Eau,le Feu,leBois, ' deux', et d'un autre qui, danssou ancienne
le Métalet la Terre).
— tchàug,quinque forme, f igurait un ' méandre' ou lignedroitere-
•virilités. pliéesur elle-même. Delà le sensde « se déve-
if) — thu'o'ng,lescinqvertuscardinales. lopper,» de « s'étendreaveceffortet persévé-
(i££*
:
(Cesont la Bienfaisance, la Justice,la Conve-rance.»Ce méandreestdevenule caractère
nance,la Science et la Sincérité). hoci,qui, répété,estdevenuaussilenomen |tt) da-
—fàng,quinque mundipartes. noisdesMahométaus, lesquels«se sontétendus
JJ—phu'o', les cinqpointscardinaux.(Ce avecuuepersévérance
14-. incessante »danstoutel'Asie.
sont: l'Est, le Sud,l'Ouest,leNordetle Centre). T=T
— sëh,quinquecolores. Kéng. A.ciinh.C. karig.J. ko.Syn.TÇ
J?\ . (98)Terminus. Summum.
12?LJ — sac,lescinqcouleurs.(Cesont: leBleu Investi Cognoscere. "/_
gare veterum
d'azur,le Jaune,le Rouge,leBlancet le Noir). Terme,sommetou limite.anliquilatis gesta, moutimenta.
— tsioh,quinquedignitatum scruterles
gradus. faitset gestesdes anciens,Connaître,
et les monumentsde
Ifât|lg' — tru'o'c',les cinqordresde dignitésno- l'antiquité. — Cecaractèreestquelquefois
biliaires.(Cesont: leskoùng,lièou,pëh, tseiiet fonduà tort par certainsauteursavecle con-
nàn,quequelques sinologues traduisent parPrince, dent, quiestalorsprononcédemême. précé-
Marquis,Comte,Baronet Chevalier). [dines.
— Km,quinqueproecipuanmi qnrlutum or- DE5 AG TItAITS.
H,/^flrj— lu'an,lescinqgrandesrelationssocia-
les. (Cesontcelles: duPrinceavecsesMinistres, —tJ Hoâng. X.hu'ông.G.fong.F.hong.i.kid.
desPèreset desEnfants,desFrèresaînéset des y\_i (99)Adverbium : Quanlômagis.Potiori
Frèrescadets,desEpouxentre euxet'desAmis).jure. A plusforteraison.Employé danslesKinget
— kob,quinque f ruges. leslivreshistoriques. AvecleRadical 15: "vP
7fîJ<î— Itlt'ôc,les cinqsortesde grains.(Ce il signifie: aquafrigida.Eaufroide,glacée»/[<
1fÊ~fL
sont: le Riz, leMilletpanaché,le Blé sarrasin, T{*Tlâï —, amicum convenire.
leFromentet lesLégumineuses). /rZ I lai—, visiterun ami.
—king, quinqueLibri'canonici. sieôu—, quoddam instrtimentum musicum.
[-£{??—
'V'JL. l'i'nh,lesCinqLivrescanoniques ; c'est- #|_ j tu —, instrumentde musique.
~ 30
29 7e RADICAL, S A 6 TR. S" RADICAL.
[M* Siê. A.la. C.mse.G. sa. J. sia. —L 8eRADICAL.
—\ (100)Parum, odicum. Parumper.Peu,
eu petitequantité,"isiê, modicum quid.Unpeu.
Lu so, il est priscommepronomdémonstratif. | Ce Radical,quise prononcetheoû,prisiso-
Cela,Ces.Danslesvers,finaleqqf.purement phou. lément,manquede signification.
ÉTYM. Cecaractèreest composé de JiQ tn*è, X.vdiig.C.moiig. Syn.-^ A*
' cela,ces', et de . eitlh, ' deux', signifiant ÙWâng. (103)Perdere; plus wquofino n*_pSK
auxyeux: ' ces deuxseulement ' ; delà le sens dedilus.Exlinguere.Mori.Fugere.Oblivisci. De-
' functus. Perdreson temps dans les plaisirset la
de peu'. en négligeant sesaffaires.(Mcng-tseu).
rj-fc Yâ. A. â. C. à,l.a. Var. JJf Syn.-gg- débauche, Éteindreou anéantir; anéanti. Cesserd'être.
*-fH(101) Sccundus;alteri /[}}£ lo^i Fuir; sesoustrairepar la fuite;exilé.(Tà-'hiôh).
immediatus. Itavocaturphilosophas Metig-tse, quasi Oublier.Défunt.Particulenégative.
non liceat Confucioleiptiparari, sed immédiate —)in,fitgitiv us. \ A-— tchih,) seipsum
postipsuni potière. Il J\—nho'n, fugitif. \ J\— 'btit, ] perdere.
1—' sot'onlm maritus.
"" | ï| y"
/fRrl ' ttfi p'ào-
nho'ii—,lemarid'unede sessoeurs. II /A* et i/J 0, ^f —Jln.,*:ti"
SWiA M J3l "" cx"c11C considère pas
Lesbeaux-pères de deuxgendresse nomment(derentreren desonÉtat, le royaume
mutuellement et lesdeux possession
y in, gendres s'appellentde Tcin)comme unechoseprécieuse. « (Tà-hioh,
entreeuxyd. (Chî-K.). eh. 10, § 12).
Particuleà sens nondéterminé et purement ÉTYM.
' phonétique ' dansle Danssaforme ancienne,ce caractère
langagedela conversation. composé dusigne' entrer' (R.12)etdu signe
Lesobjetsqui ont l'extrémitéfourchue,comme était ' caché', abscondilmn Par sacomposition
lesbranchesd'arbres,senomment à; danscecas, signifiedonc' entrer (n°5Ci).
le caractère(27)et celui-ci,jointyau Rad.arbre il ', ou ' qui estentrédans
le caché;le néant,l'oubli'. Formeanc. \f\
(75),sontemployés de préférence.
Il est aussiquelquefois synonyme de 'o (Syn. 2 TRAITS.
ci-dessus) ; danslesancienssceauxsurtout,ces
deuxcaractères sontsouventprisl'un pourl'autre. T Kâng.A.cang.G.hliong. v. n-'-Syu.dj;
ÉTYM. L'ancienneformereprésente deuxhom- J~[_t(Wt)Collum. " /Lhàng/TV
(Legiluretittm
mesinclinésdansunsensopposé.(Ch.-w.). in eodemsensu). Itemk'àng: Altum.Error,culpa.
-ZT Kïh.A.eue. G.Y.liiU./tiok, Id.+ Gr.plt. Violentus ; pervicax.Operire.; coutegere.Itùmicus,
ÏVA.(10)Urgere ; urgens.Celeriler. Feslinatio.adversarius. Qaoedam constellalio.Coudel'homme.
Sollicitéaceelerare. Presser,pressant.Prompte-(Ch.-w.). Haut, élevéjusqu'aufaite. (Ts.tch.).
meut.Hâte,hâteravecprécipitation. Erreur, faute. (Y-K.)Violent,obstiné.Couvrir,
trt 1 wëh—,neproperes. s'étendresur. (Ts.tch.). Ennemi,adversaire(ttk
//J I <vot—,nevouspressezpas.(Chî-K.). yè). — Lu K'àng,Certaineconstellation.
^t t EL^ *>fc TAiïli poiiknéngkâng.
ÉTYM.Cecar.est composé dessignesprimitifsiHt ~Y 'ï MbI si "? Ht ! 7F cliin,yen nèhgkÎMÇ-
(ou Radicaux) : homme, bouche, mainetdeux.Le
tsoûng. it Si le bonheurne doit pas mecou-
signe . deux (en haut et en bas, lesautres vrir, s'étendresurrao\, il pourradu moinss'é-
signesau milieu)représentele Cielet la Terre. tendresurmesancêtres». (Tso-tchouan).
(Ch.-w.). Siu-kiaïdit à cesujetquecelasignifie: -ta T siàng—, joequales quorumunuspotestalteri
« prendrelessaisonsdu ciel (lesobserveret les If) I tu'o' —,\ résistera. Égauxdeforce.
« suivre)pour'le profit(desbiens)de la terre.Si
« la ' bouche consultel'opportunité et que la iracundus. [porté.
« ' main' saisisse'promptement ' lescirconstan- ;{!(,—khi, enclinà la colère,irascible,
I*fe—k'i, em-
' cou'
" ces, onne peutperdrelesoccasions. » ETYM. L'ancienne forme représente le
Onvoit par cettecitationla manièredontles de l'homme.(Ch.-w.).
lexicographes chinoisanalysentleurscaractères. 4 TRAITS.
Ilsy trouventbiendeschosesdontnoslanguesal-
phabétiques ne peuvent donnerlamoindre idée. K'iâo. A. giao. C.kao.Syn.rfj^ ^{£
Leurlangueelle-même s'estenquelquesorteaussi y*^ „3^_(105)Congredi,congressus. %/\ /ffy
matérialisée en perdantbeaucoupde saformefi- Unio.Societas. Arnicas.Collare,Tcslium pars.Mê-
gurative. ler ensemble;réunir;réunion(koungyè,holtyà).
Ausurplus,nousne pouvons,dansce diction- Sedit deslinéaments desKoûadeFouh-hidansle
naire,quedonner'quelques aperçusdela manièreY-Kîng. Société.Amis.Colletdevêtement.(Yâng-
dontlescaractèreschinoisont été composés. Les dialecteprovincial).
Chinoisy ontconsacréeux-mêmes denombreuxtseù;
cl il faudrait,pourbien comprendre la , Diciturdeavibus volandoeuntibus et
volumes, redeuntibus. Vold'oiseaux.
primitive
composition ilsle de cescaractères, les repré- 1T I
— ï, negoliari,mercaturam exercere.
senter,comme fout,dansleurformeantique — di, négocier,fairele commerce.
ce
figurative; à ce qu'il nousseraitdifficile defaire ici. I£J^J
Nousrenvoyons que nousen avonsdit dans — foû,tradere. [marchandises
l'écrit intitulé: Sinico-rEgyptiaca, etc I/X. |y — plut,livrer,délivrer, transmettredes
31 8e RADICAL, -J-. 7 TRAITS. 32
— chèou,comniunicare, transmittere. I A — mîng,famamappelere.Gloria:cupidus.
^— thu, communiquer,
I--£ transmettre. | 'pj — danh,aspirerà se faireunnom.
T27*— tseù, / moneta.chartaceaqad tempove — kouëh,regnopotiri.
I J — tic', {dynastioe Sung utebantur'. IJ3|
fa| — ku'oc,régnerpendanttant d'années
t tît — tchoûh,traderealiquemaielaliquod. — youug,pro libitouti.
I jjj — xûdt,livrerunepersonne ouunechose. Ilqpf /TJ —dung,userd'unechoseà savolonté.
—il, desïsterealiquâre locoaliénas. —foûh,felicitatefrui.
nHi =f— thé, 1-emeUre une choseà la direction 15j"jEt /PtiEl—phu'o'c,jouirdela félicité,
TITT— hào,sincèrenarrare. [d'imautre. ^y* î yen—, convivari.
| Jçj*— — hao', exposer,racontersincèrement. ^5Ç*I y'ën —, recevoirdesconvives.(Tso-tch.).
hou,commiscere, confunderc; commixlus. ËTVM. Selonle Choùe-wèn, cecaractèreestdé-
1~r~ *-f —lia,mêlerensemble, confondre.Mêlé. rivé du signeabrégéde l'élévation(kaô,R. 189)
T — yeôu,amicitias nectere. et du signede la parole(R. 73). Il figuredans
I.x>KC. — huà,uouerdesrelationsd'amitié. l'ancienneformequelqu'unqui s'avancetenant
ËTVM. L'ancienneformereprésentaitdes jain-. en maindesobjetsd'offrandes.
besentremêlées. (Ch.-w.). -pîj*K'ïng. A.kinli.Cking.J.kei. -f-Gr. ph.
*y Hàl.A./io't.C./toi.Fluii.J.ghei.-\-Gr.ph. y\-\ (110)Magnum (tàyë). Collisvaldèemi-
^\^ (106)LitleraIwrariaà nondhordnoctlsnens.Decem milliamillium.Grand.Collinepro-
ad undecimam. Caractèrehoraire indiquantle éminente.(Eulh-ya).Nomde nombre: Dix mil-
tempsde9 à 11heuresdela nuit, qui estla se- lions.Nom —ssé, propre.
condeveille.Nomdecettemêmeheurechinoise. Cour.Là oùle filsdu Ciel
— yuëh; luttadécima.Nomenproprium. IfîjK PlJ«—su , \{Regia.
(l'empereur) tient sa Cour (ton).
' grand' (làyi), et sséveut
IptJJ —nguyét,dixième lune.Nompropre, Kingalors signifie
'
—•chi,forumnondinarium. direla ' foule (ichoàngyè).
1)3—thi, marchétenu à certainsjoursiixes. jî, T pëh—, Sinensis
I-f- nunecariaRegia.
L. 1, yïh. A.diéc.G.fi. F ek.J. fc/d,ye/i. "\\£i I bac —, Courdu Nord.(Capitaleactuelle
yX* (10*0Parliculaconjunctiva : Et. Eliam. de l'Empirechinois.)
Cum.Particuleconjonctive : Et. Aussi.Même. —-pâo,Nuntiiispublionsurbisprimariic.
Deplus{yeôuye).Nompropre. ^f-pL
IJiij-t —ùâo,Moniteurde la métropole.
Également. —hda,urbisprimarixdialeclos.
"y*Tpoiïh—,Non-ne?Ita-neverti?
/Y>| b'dt—, N'est-ce pas?N'est-ilpasainsi? p]IJ —khoât,dialectede Pë-king.'
I^pf-
T £7—ko,—haà,etiampotest, etiambenè. , valdètristis.
IrifJ a I /ij-—khd,—hao',oui, celase peut, 1| | , qui inspirela tristesse.
c'estbien.Marqueparticulière d'assentiment. vation ËTVM.Car.composédu signeabrégédel'élé-
R. 2. 11estfiguratifparcombinaison.
~Y î i/V -^ypoiih— chouëhhoiil (Lùn-yû). -. Tetdu .*Lin. A. làm. F. .Uni.Horreum.Locus
'y I pt/L j Nonneetiamjucundum!
ËTVM. L'ancienne forme unhomme |B|conserver (111)ubi grana recondunlur.Grenier
lesbrasretombantlelongdureprésentait
corps. - +-Gr. plwn. pour les grains.Ancienneformedu
5 ET,C TRAITS. caractèrelia, R. 53, 13tr. W§
'f^f*Hêng.A.'han/i. DE7 A 19 TKAITS.
Chang'.V.heng.i.kiaô.
X (108)Penetrare.Coelivirtusproutrébus -f^f T'ïng. A. dinli.C.ting.J.li.-\-Gr. ph.
incremenla tribuit.Legituretiamhiâng,in eodem *^j (WX) .Porticusseuatria in liùspublicis
sensu.Pénétrer.Vertuou influencedu Cielen ad itinerantium solamen etrequiem.Item: Porticus
tant qu'elle fait croître toutechose.Il signifie, in hortis. Quiescere.Morari.Mquale.Rectum.
dansleY-Kîng,«la réunionde toutce qu'il y a Portiqueou pavillonérigéà distancesurlesvoies
de grandet de biendanslanature» (Jdâichi hoéî publiquespour servird'asileaux voyageurs. Pa-
yè). Cecaractère estsouventprispourle suivant. villondejardin.Belvédère. Reposer.Lieudehalte
-+-Groupe phonétique. [J. kiaô. et de repos pourles troupesenmarche.Égal,
p-t*'Hiàng A.hu'o'ng.C.héong.F. hiang. uni, droit.
-^J""(109) Inferioresofferresuperioribus (< !I | t'ïng-t'îng, Erectus,qui est érigé, debout.
'Idafimgchàng).Sacrijicare Nomd'unemontagne.
(tsiyè). Oblatis frui.
Inférieursoffrantqqc.à leurssupérieurs. Sacri- J Jfc —•ping,
fier(auxEspritsouGénies).Jouir desoffrandes. I \~— binli.planum.
égalisé,surfaceplane.
Selonle Li-ki,l'actedescinqordresdemanda- — woù,meridies.Reclus.
rinsse rendantà la couravecleurs présentsse 1U- \ — ngo, heuredemidi.Droit,vertical.
nommait hiàng. -\- Recipere. Recevoir; —toûh,) in meliorem ordiucmsesetrans-
— tsi,sacrijicare;sacrijicium |.=k
Bp. —d'oc,fformare.Améliorer sanaturephy-
o f erre.
IM^ /j\ —•té, sacrifier; offrirun sacrifice. sique. ( Lao-tseù. Inscriptionde Si-ngau-fou).
— chéou,oetatis longinquitale frui. ÉTYM. Composédu caractère' haut' abrégé
j5y— tho,jouird'unelonguevie.
!|j=; et du groupephonétiqueJ ting.(Ch.-w.).
33 9° RADICAL, H0M0> L'HOMME. 34
j\/\î
A. C.
•jif Hâng.C lu'o'ng. Hong.Syn.i-Q le plusintelligentde touslesêtresde.l'univers.
^TJj (113) redore,conjidere(sinyè). f]/y\ D'aprèsle Li-ki,Vhomme estle ' produitvirtuel'
Clarion(mïngyè).Solissplendor.Nomen proprium. (tëh)duCielet dela Terre;l'uniondugrandprin-
Croireà; sefierà. (Meug-ts ). Brillant;clartédu cipetak\e(Ydng) etdugrandprincipefemelle (Yin);
soleil.Nompropre la réunionde l'espritpur et de l'espritsubstan-
l-^ztî sûl—, intégrajidelitas. tiel; la fleuret l'essencedes cinq éléments(jin
|pf I lin —, fidélitéà touteépreuve. telle: thiënti tchitëh; YinYângtchikido;kotie-i
chintchihoe'C; ou hingtchisieoûkhi).
"~T~* j "T"t'iën— \\aà,jarndiescit? Le caractère
/\. I J tiilen— lieu,il fait déjàjour. jin forme,ungrandnombred'ex-
Ainsion s'ensert pourdé-
-fLf Pôh. A. bac.F. pâk.J. fakf. Hô-nàn pressions composées.
signerles mandarins,les officiersdu gouverne-
'==^J(114)Quxdam terrainprovincid les lettrés, en oppositionà min' plebs',
Nomdelieu de la provincedeHô-nàu.Lieu de ment, Il indiqueaussile paysnatal,la nationa-
résidencedel'ancienempereurTcliing-tang, peuple.
dela litéquand il estjointà unnomdelieu, de pays,
dynastieChaug(1780av.J.-C). Il y a troisloca- decontrée. Jointàdesnomsd'arts,de métiers,de
litésdecenom: l'uneau midi, l'autre'au nord, professions, il formedesnomsconcretsqui dési-
et l'autreà l'ouest. gnentceuxquiselivrentà cesarts,à cesmétiers,
•^f-f*Choh.k.thiie.Quis.Quare.Vronominter- à cesprofessions ; qui lespratiquent.
P/L (115)rogatif Qui?Pourquoi ?Variantesy-
A A" ift J'H'i'".r"' l'homme, c'estl'humanité
nouymiqne de 9îf (B. 39, 8)q. v. / V |—tLamême.(Chi-ming, citédansKli.hi.).
jî=f T'àn. k.d'an.'F.ih'an.i.tan.-^-Gr.piton. Iï nhà'l—, —, unushomo. | Expression demodes-
g| (116)Fidelis, sincerus.Perfection.Ma- un homme.(tie employéepar des
en parlantd'eux-mêmes.
gnum.Multian.Legituretiamtchên. Nomenpro-princes
prium.Nomen regnimaritimi. Fidèle;sincère.Par- .' T eûl—,pateret mater.'-£*j niù—,foemina.
fait. Grand. Beaucoup.Nompropre.Nomd'un I nid—,lepèreetlamère.y\| mi'—,la fem-
royaumemaritimeétranger. JJ] Tuâu—, mas. 1~fT fan—,quisquis. [me.
=4?Ttchùn-tchën,marchedifficilesans progrèsJ] J nain—,mâle./L | phdm—,quiquecesoit.
HJjI sensible.(J. w. p. 1.). -/-*Tkôu—, antiquitatis liomines.
~fêa Wèï. À. w'.F. bé. J. bi. H | cô—, les hommesde l'antiquité.
,^BT* (117)Indefessus. Invictus à labore.Wèi- §É î chén—,bonusvir. KaXè;
xàyaGôs.
wèi: Itidefessè. (Y.-K.).Idemlegitur: ' wêï' .*Ca- ta I thiën—-, hommevertueuxet bon.
nari; conatus. Infatigable. D'une manière infatiga- T ngfih—, maluset
ble.S'efforcer; effortsrépétés.(Chî-K.).Nom delieu. jjjj àc homme nequamhomo.
)(ii | —, méchant,vicieux.
-L T ta—,magnates.X I siào—,homovilis.
lesgrands J | tieu—,petithomme.
J\. 4, anc. f. fo 71 9° RADICAL./V | d'ai—, tchù—,dominas.
OBSERVATIONS. ' ' dece ±1 I chu—,maîtredemaison
' Radical ' ou' Lesnombreuxdérivés dérivés ti> Tk'ià—, domesticus.
Signegénérique', quise già —, domestique.
montent àplus de700,sontpresque touscomposés%^| W J màï—,mercator."T"Tkoung—, mechani-
[eus.
1"dusignegénérique figuratif J\. ou4 jin, Jï | mai—,négociant. J_ | cong—,mécanicien.
...jeu (gainsliomo),et 2°de différents' groupes' ±T ssé—, li/teratus, r£ Ttchàï—,legatus.
placésà droite,lesquels n'ontici,pourla plupart, | si—,docteur,lettré 2c \ sa'—> envoyé.
d'autrcvaleur que celleduson,c.-a-d.dela pro- 3z Tfàn—, extraneus.
nonciation dumotde la langueparléequeleca- 'JU | phen—, étrangerde l'ouest.
ractèreestdestinéà représenter. Touscescarac- ~=hTi —, advenu.
tères(àpeud'exceptions près)appartiennent donc /^ I di —•étrangeren général; barbare.
à la5°classedéformation descaractères nommés néï—,meauxor.£&I tsûn—,veslrauxor
' s'adjoignent le son'. Cesontdes AI | nài—,mafemme.-t§-
kiâï-chîng, qui | t'on—,votrefemme.
caractères réellement idéo-phonétiques. (Voirnos -U T fou—,regulorumuxor.
Sinico-^Lgyptiaca. Paris, 1842,p.' 42et suif.). J\_ I phu—,femme desprinces.
Quelquefois le ' groupephonétique contribue au , omnes liomines.
senstoutàla sa ' ' '
foispar ' forme etparle son', IT | , tousleshommes.
oula ' prononciation qui luiest propre. — k'ëh, hospes.
1>i?pi — khdch,unhôteenvisite
A.nho'n.C.fan, F. 'jin. ï.jin, nin. -£f*T mèou—, quidamhomo.
AJln.(118)Homo.Vir. L'homme.Selonle ^ I ma—, un certainhomme
Choiie-wên, l'hommereprésentépar ce caractère Bp ï ching—, sanctusvir,
' figuratif'est, danssa nature,l'êtrele plusnoble :£ I thdnli—, un sainthomme.
du Cielet dela Terre [t'iënli tchi sing kouèï hièn—, homo.
tsoûïtchèyè).SelonChah-moh (I-wen-pi-lan), c'est tî I hièn—, sapiens unhommesage
35 9e RADICAL, \ 2 TRAITS. 36
'
mordiale qui donnelavie à tous les êtresvi-
~\* Tyii ï —, egounushomo. ' cha-
y I d'u'-nhà't—,moi,simplehomme.C'est vants.Quandil s'agitdeYHomme,c'estla
ainsiques'appellent souventlesempereurs. (K.hî). rité, l'humanité, ', agit. Ce
jin qui son par quoi
—, discipuli.[' hommesdelà porte'. l'hommemontrelasur supériorité de âme,deson
mmén mon—, lesdisciplesd'un' philosophe , les intelligence (ling) ' tous lesautresêtres, c'est
Danslesidéesdes Chinois,les Chîng-jîn ' sont parsessentiments de charité,de commisération,
les sagesde l'antiquitéqui, douésdefacultésex- d'humanité'. (Loiïh-chou-tching-'o, cité dans
traordinaires, ont atteint, commeConfucius, la Khâng-hi).
perfectionhumaine;les seconds,les ' hièn-jîn', /-Lj Lëh.A. lac.C. F. lék.J ryok.[fig.sou],
sontles sagesde secondordre qui ontapproché \/J (121)Residuum, superjluum. Ninima,vel
despremiersparleurseffortsincessants.Dansles décimapars, seu,e decemuna.Résiduou fraction
vers, et pour,la ' rime', ce caractèrese pro- denombre.Superfluou reste des sacrifices;la
nonceyen,yàn. dixièmepartie.Lu lïh, diligens,vires exercerez
h. Ancienne formedun° 2, quirepré-/ô^ Diligent.Exercersesfacultésintellectuelles.
"l sente un clou Cguréainsi: | Z~CSynonymedu Radical144. N'est pas
chëh.A.thdp.C.cliap.Y'.sip.J .chip. I J usité.
(119)Denariushominum
^Chili, numerus.Nom- ÎTT Tsëh. A.trac.C.tcliak.F.tcliek.3.dsik.
bre dedix hommes.Dansl'antiquité,deuxpelo- jj V (122).Inclinatus. Adlatusadsistere. Cur-
tons,de cinqhommeschacun,formaienten mar- vum.Verhorunisinicorum tonusnon planas. In-
cheuneescouade dedix.(Khâng-hi). Dansle Chî- cliné.Setenirauprèsdeqqn. Courbé.Toninégal
Kîng(Livre des vers),un tcliàngou chapitreest dansla prononciation descaractèreschinois.
appelécliïh. T p'ing —, accents distinguésdansla versifi-
î rf-zft--w® 1'utensiliadomestica. | H — kiûh, /[> |" I cationchinoise;p'ing comprend les accents
—
I T^/J cA,ustens.domestiques. | ^-%—eu, id. decenom(chànget 'Ida); tsëh,lesaccents' chàng.
'
Ainsiappelésparcequ'ilssontde dixespèces. ' k'iûet' jïh. Les' syllabes ' affectéesde l'accent
•—mo,auis?Locution interrogative dans p'ing 'sont dites égales'; cellesaffectées des
/Z» le stylevulgaire.
IHfc- accents tsëh':'', sontdites' inégales'.
ETYM. Rad. 'homme',-+-'groupephonétique — tsiëh,concubina, veluxorsecundaria.
et significatif ' chïh,dix, = 10 hommes. ITV~£Ç—thiéc,concubine oufemme desecond rang.
/_ Jîn. A. nho'n.C.yan. F. jin. J. jin. ± Ttchïh—, speciesmonetoe.
|_—(120)Chantas,humanitas, pietas;misc- ')y | xich—, espècedemonnaierougeâtre.
ricordia. Interiormrtutumconcentus;charitas /T7 FOÛ.C.Y.hoù.~i.fou.Darc.Donner un^J-
commiserativa omniumvirtutumnexus; virtutum |,X.(123)objetàqq. aveclamain.Ane.forme |jj
sinicarum regina. Nomén proprium.Charité,cardi-piété, /K Foû.A.phû.G.fod.¥.houJ.fou.[f\g. son]
humanité.Réuniondescinqgrandesvertus II (124)Prosternere. Lahi;cadere
Dejicerc.
nales(V.n° 95),comprenant touteslesautresver- Se prosterner.Jeter bas. TomberLufeou . se
tus ettouslesactesdebienfaisance. Nompropre. prosternerlafacecontreterre.
«L'humanité (jîn),est-ildit dansle Li-ki(li- Il* K'iêou.A.euà. Ctcheou.Y.kiù. i.kiou,
«.y un), estlefondement dela justice,l'essence en \/U (125)Pur. Jungere.Unire.Odisse;ini-
« quelquesorteincorporée (t'ï) de la des
pratique micus. Couple; Joindre; unir. Haïr; ennemi.
« devoirs.Ceuxqui ont obtenucettevertu sont (Chi-Kîng). Nompropre.
« dignesde vénération.» [equidem. ÉTYM.Caractèredelaclasse' figurantle son'.
l JTJ—tchè: jîn yè, humanitas : homo I jj Pâh. F. pat. J. liais-.Nomen proprium.
pj / v Iji — gid nho'ndd,l'humanité,c'est
I±£ I/V (126)Nompropre.(Tseu-'weï).
ul'homme même», est-il
d itdans leTchoûng-yoûng. /tt Tchàng. Nom de la mèrede l'ancien
S ZE.R$l î F? 0] H fi Uùn-tsèuVi jin, l/L (127)philosophe Meng-tse.
fa T Bfi I /t MKA isoA« tchàngjin. 71 Kïn. A. 1dm. C. kam.F. /dm.J. Kn.
Le Princeoul'hommesupérieur,quis'incorpore '--f (128)In hoctempore;mine.Modo.Ence
(t'î)la charité,l'humanité,quisel'identifie,suffit temps-ci. Encemoment. Maintenant. Particuleex-
par celamême à civiliser(litt.à agrandir,lehang, primant' à l'instantmême'. (Khâng-hi).
à élever)leshommes. (Y-King). [cleas. ftïï I ifrî l H î J0l"l~' eûl7~>mouh—>mmc<
JTJî ko—,fructuumnu- 7"r I llll I H I nHU'—> "'" —t muc—> '""'
J —thu,semence.~ffii
1~J?—Vx,semcn. \ qud—,noyaudefruit. eodemtempore, maintenant,encemomentmême.
—, ocidipupilla. T pj—yuëhyhocmense.
pt Tmouh
PJ I mue—, pupillede l'oeil. H—nh'dt,cejourd'hui.| JJ—nguyèt,dansce
Ipt—]ih,hodiè
— hioûng,humanus arnicas. I iX~— sîng,hàcviid [mois
In/[j — huinh,un amibon, charitable. I 2JQ—sinh,danscettevie.
ETYM. Le caractèrey^youdn (R. 10,2) est — chî, hocswculo.
. ' deux', et du signe/ [_i Itrf: Hy — ihi, danscesiècle
' hommeducar.
composé
'. Lecar. jin estaussicomposé du signe + î koù—, antiquiet récentes.
' homme'et du signe'deux'. ' Quandil s'agit pt | cd —,lesancienset lesmodernes
du Ciel, c'est Youdn,la vertu originaire,pri- ETYM. L'étymologie de cecar. estdouteuse.
37 9e RADICAL, \ 3 TRAITS. 38
/\^ Kiâï. A. giai. C.V.kai. J. kai. Sustinere.Pouvoir, vaincre.(Ch.-w.).Porter;
J\ (129)Terminus. Auxiliari.Magnum. Par- soutenir.
vum.Lorïca.Solus.In bonoperseverare. Interrum- T i-—\—kiën, humcrisgestarc.
père.Terme; limite.Séparation.(Y-K.).Assister. | J^ — Idén,portersur sesépaules.(Chî-K.).
Chî-K.).Grand.(Id.).Petit.(Yaug-tse). Cuirasse. | ^.m _ sj, (jmmattenté,diligenter.
Seul, sanscompagne(en parlant des animaux). | q>|l| _ t(, très-attentivement, avecdiligence.
Persévérer danslesmeilleures limites.(Eûl-yà).In- / t Ssè A.sL c „ p su j c/ii;sLrf s i
terrompre.Nomderoyaume.Nompropre. \^£ (134)Studere.(Ch.w.).Proefecturam ge-
-jft T qp J^ ffik'ieou—yùlikoùe;petereauxi-
l'w" à Demander
rens.Iiwestigare.Inlerpres(thoûng-ssé). Étudier.
*f>I J A m magnoregno. Fonctionnaire Nomde magistra-
dessecoursà ungrandEtat. (Tsoh-tchouàn). ture.Fairedespublic.(Li-ki). investigations. Interprète.(Chî-K.).
î 1— —ji», ïaumliam.Auxiliaires. «Netriom-*SH «, Tfëh wënfëhssè;n'étantpas soumisà
I /\ nlio'n,i pherqu'à l'aide d'auxiliaires, ce j\S\Xi\j\] | des investigations humiliantes;
n'estpasunepreuvedegrandebravoure,v (lu.). ijH»Y wëh wàngkiiin-lsè.(le peuple)ne
A}Tling—, servushonoratus (liais). #-JlH/PÎ J trompepassessupérieurs.(Chî-K.).
P I lành—, votredomestique. /pt Sin. Ancienne formede /i
X î siào—,servusparvus(meus), Ii—*(135)Voy.ci-après,7tr. | pzf
J I lieu—, mondomestique. /.T, T'a. A.tha.CF.t'dJ.la.Syn.Ai* O*
IU j pâo —,\coadjutoragricolarumpnesidis, Itli (136) Pronomen.Me. Ipse.| Q 0Q 0
|^C I bu'ù—,\ quiadestrégiterrasaranti. Al'ius. Quis(clioùï)}Pronom opposéà celuides
tfa I koûeï—,fdius-velfratresdominalionis itue. ' personnes éloignées '
(pi) etdifférentdeceluides
^H I qui—, lefilsoules f rèresde votre seigneurie,'personnesprochaines(t'sèu)'.(Khâng-hî). Lui.
t. Tmoûh—,magnum gelu(quasiarborumlorica).Elle.Eux. Elles.Pronominterrogatifqui?(I-wên-
7fî | m'de—,grandegeléequicouvrelesarbresde pi-làn).Sujet et complément
<pronom d'un verbeactif.
—, uiiushomo. [glaçons.Quelquefois II
' j ïnhdt interrogatif.(Yiih-pien).
| —, unhommeordinaire.(Seditdesoi signifieaussi'sans droiture,dépravé,pervers'.
•££î tsiëh—, sincerus,ingenuus.[parmodestie).|î -ù 7]Lt£ ~Kî kiùn-tsc tchingeiilhpoûkt'a.
gP I ti'ét—,sincère,ingénieux. /M J IL III)"\ | le sageestdroit,sincèreet non
—jân, subilb,derepenlè. î CI—jïh, aliodie. ['pervers'.(Yaug-tse).
IM 5m— nhùn,toutà coup.Soudain. I H — "h'àt, un autrejour.
ETYM. L'anciencaractèrereprésente unhomme J Ji —j"m,alius homo.
entredeux«limites». (Ch.-w.). I /*• — nho'n,un autrehomme.
Z-Tt.3ïnS;jèn,A..nhung.C.yng.F.jeng.3.jj5, J -fc—fàng,alia regio.
\/J (130) Quia. Juxld. Sicut.Sicutanteh. I /J—/>""o, uneautrecontrée.
Coidïnuare. Iterum.'Nomenregni.Nomenproprium. î |4.At tïli, suus.
Parceque; pour tellecause. (Lûn-yù).Scion; 1\\~J — dïch, le sien(delui),
commeavant.Continuer.De nouveau.Nom de M T fou—, humeris res ge.stalm.
royaume. Nompropre. Ja | phu— toutechoseportéepar desboeufsou
I^ — —
fouh,et TMr— jàn. "eutantea. deschevauxestainsiappelée.(Khâng-hî). Lut'6,
| ]%.—phuc, et^ | /^ nU'ûn,commeavant. il signifieaussi,seul: toutcequi est portéà dos
— sûu,proavifdius. d'animaux.(lb.). [telw.
U!£ % - t'en,petit-fils. tJLTchkng. A.truVng.C.tcheuiig.V.timig.J.
T| _ >nonasseqia. 1^(137) Armorum nomengenericum. Inniti.
| | -, ne pas attemdreau butdesesdésirs. LegUur etiamtchàog Nomgé|]él.ique desarmesde'
II T'soûng. A.tông.Obsequi. Obechre; ob- sur; seconfierà. Se litauton
jy\(\%\) seeundare. A. Ab. Ex.De.Suivre. guen.e. S'appuyer
jansce derniersens.
Obéir.Seconformer à. Préposition marquantl'a- t-r- T ta dimicare;bellum.
blation.Cecaractèreestemployé danslesdiction-J J | dd—, ^, combattre;combat,
'
naireschinoispour marquerla dérivation'. y. j pîng_; armamiiitaria.
T iK—siaô,àpuero. î -fa —làï,abinilio. -jjj | bin/i—, armesde guerre.
| J —tiéu, desl'enfance.| /^—lai, dèsle pr. ^jj Tï . succurrere.
—
fMJ* jk î ~YT- poulàï,— pou—,minquam.j| |. hi —, secourir.
Vallai -b'àt-, jamais.
Aj I Tl Tchin Capim -i; /((Vffito(ch w }
ETYM.Cecar. représente deuxhommes quim Cheveux ; quia unegrande
sesuivent.Cestlatonneprimitiver du caractère U ^
T velure.
, (i38)
nC ™ • du • épais
i. signe ;homme » du • che-
i signe •;
. . , . , ompose et poils
AJ l'01'me »nc'ducar-'I111* 1"1(5ir„0:/fffi K (R. 59).
' On emploie
L ce ' groupe'avecle R. 190.
IA (132)C'estle nomdeFohouFoe, \JV ._ %, J-! ,
liouddha. 44- foù- K-l',m- *"* [»" [°ar- "S"1'']-
I g (139)Dare;tradere.Jyomenpropr. Don»
3 IKAIIS livrer.Nompr. (Kîn-kâng K. )
uer^trausmettre,
Z~YTsè.A.tu .Ctsai.¥.tchû.3.chi, si.[fig.s.l. A. I fën—,proecipere, mandare.
I~y (133) Passe, subjicere (khëh).Gestare.JJ \ phàn—, ordonner,chargerde.
39 9° RADICAL, 4 .3 TRAITS. 40
-J=j I kiâo —, traaere. jin tchi tchàngyè). Mille militum dux.Milleasses
^ | giao—,transmettre, livrer. simultrajeçti. Herbxluxuriantes.Chefde mille
J.-^ î t'oh —, aliculaliquld credere. hommes. Millepiècesde monnaie de cuivre(fsiêri)
~JLi I *''a'c—,confierquelquechoseà quelqu'un.réuniespar uneligature.Herbes luxuriantes.
n|M î choïih —, commendare. ÉTYM.Cecaractèreest ' figuratif en même
/ajj | chiu—, confierauxsoinsde quelqu'un.' tempsqu'unde seséléments significatifs (celuide
ETYM. Cecaractère e st du ' main droite, m ille)comprend le 'son '.
composé signe
(à droite)et du signe' homme'auquelcettemain /IJT Hàn. Le mêmequesonsynonyme J.0
tend quelquechose.(Ch.-w.).De là le sensde I J (147)phonétique. Rad.64, 7tr. V.l^f
donner,transmettre. A4r *>yïh.A./^'tfï.C.F.g(viit,gitjMtz. [fig.s.]
/|K Sien.A.tien.C. sin.F. sien,J. sen. |£j(148) Fortis,robustus.Valens.Fort, ro-
| f-1—I(140)Immortcdes hommes vel beatisectse buste. Courageux.
Tdo: JjgL. Hommes qui, selonlessectateurs du / T. Ta. A. d'ai. (HàïIchoûngtl ming).Nom
Tâo(etde Bouddha), ontacquisl'immortalité. «Des | /V (149)d'uneterresituéeaumilieudelamcr
« vieillards qui ne meurentpoint(dans lescondi- /Xi ïloân. A.d'o'n.C¥.hwdn.J. hun.[fig.s.]
« tions ordinaires) '
sont dits immortels'(sien). \)u (150)Zew'iy/£'pè.Léger.Lufân,mèmesens.
« Etre sien, c'est être élevéd'unétat inférieurà A/-t Pôh, cho.[fig.s.]Ligare.Moderuri ; com-
« un étatsupérieur(tsiën) ; cetétatsupérieur,c'est \~J (151) pescere (yoli yè). Lier. Modérer,
« laretraitesolitaireauseindesmontagnes. » (Tsi-
C'estaussilà le sensde la apaiser. (Choiïe-wèu).
ming,dansKhâng-hi). / TyTâï.A.d'ai.C. F.taé,lai, J. dai. [fig.s.]
composition ducaractère qui estformédu signe | \i(152) Generatio.
'homme' et du signe' montagne'!H (R.46). Regumséries.Vices//«-
hù —, I quinque siensunt:coelum, plere;locoalterius.Vicarius. Unegénération. Une
spiritus, dynastiequi tientla place d'uneautre. Remplir
£| I ngu—, (terra,aqua, anima humana. lesfonctions d'uneautre.N.
— ngo,locomei. T pr. [legatus.
Kin-siên,veljîn-jôh,veltchë-lciohsien,suntno- 4-iSè— k'iouân, de-
minaspiriluum sectxFoeet Tâo. — àma
avis;quantvelocissimè. Idll$% nga, place | *'fë—X7«e«,envoyé.
Tâï-siën,quoedam . I sàn—,j1resfamilix imperatorioe
yV Hiën. Homosedenssupramontem. —" antiquw,
[fig.] I tam—,\scilicet:'Hià,Yin et ïcheoû
XU (141)Homme demeurant sur unemonta- lesgénérations successives.
gne.Cecaractèren'est le mêmequele précé- Llh-ldi,
dent. (Choïie-wèn). —par,
CeltedéfinitiondeHiu- /v Ling.A.lcinh.C7.ling. J. r/, rei (pour/(').'
chin fait voir que le caractèreprécédent,sien, dare.Edicere. ~\i (153)Leges.Edictum.Prohibere.Man-
n'avaitpas,danssacomposition, leRad.'homme', Nobilis;fionoratus,* eminens. Bo-
maisbienleRad. 14 (Jïh,ingredi),avec' lequelil tmm. Voxloquendihonorijica. Lois.Édits.Défen-
a une Lessienou immor-dre. Ordonner. Oublier. Noble,honoré;d'unrang
granderessemblance,
tels' en questionsont donc,d'aprèscetteétymo- éminent. Expression honorifiqueet de courtoisie
logie,ceuxquiseretirentdanslesmontagnes, loin dontonl'ait usageenversles personnesavecles-
onse trouve; par exemple:
du monde,pour y terminerleursjours. quelles
Hiënsignifie aussi: « quiparaîtsemouvoiravec — tsùn,nobilistuuspater.
et lenteur». IJàr
Jgl— — *d«,votrenoblepère(ou,lepère
négligence deV.E.).
A~f T'ohà. Puella (c/iàonia yè). Genioin- t'àng, nobilistua mater. [E.).
\\2 (142)dulgere(kiâoï yè). Legituretiam1}î/i Jj!.— d'ang,votrenoblemère(oulamèredeV.
tôh .•pronomen thâ (136);llle, llla. Jeunefille. — làng, nobilistuus Jilifts.
(Ch.-w.).Selivreràtoutessesfantaisies. (Yu-pien).Auton f{f —lang,xotrenoblefils(oulefilsdeV.E.).
Iftff
Se prendaussipourle pronomT'a (n° 136).I,-^ hià p'ïng, il a lesdéfinitions suivantes:
II, Elle, Eux.De plus,il est synonyme de'XXI /-J- I szè-lî'.ig, famuli; servire.
X~f' Hoûng. Venterrotundus(tafoïihyè). lytl I su —, domestiques. Servir.(Meng-tse).
| I (143)Gros ventre(Cli.-w.).Nomd'homme. ling-ling,campanulx sonilus.Ling-ling, ono-
I\ T'hoûug. A. d'ông, F. F. long.3. tô. IT | matopée;son d'uneclochette.Nompropre.
~J*.(144)Ce caractère,dansles livresdes Ting-ling,nomd'un pays.
Tao-sse,est pris pour(R. 30, Z)VE\Simul; idem. OJ I, yi. A.(/('.C.F./. .T.i. Ane.forme
Cum.Convenire Vasvini.Ensemble, |PJ le même. V^A(151)Ciim(utcausale).In. Pcr.Con-ppt
Avec.Convenir. Vaseà vin.Nompropre. Causa.A, vel, Ab.Facerc.Uti.Fi/lire,de"
/fTl Jin. A.nhdn.C.F. Jim.,T.ji'n.[fig.s.]. forme.
sinere.Avec.Dans.Pai. Conformément. Acause
|/j (145)Mensuraoctocubitorum S'iiùcorum, de. Seservirde; faireusage.Finir; cesser.(Meng-
Metirïprofunditatem (fouchi'n).Mesurede 8 pieds tse). Commeparticule,ce' caractèremarquela
chinoisoude3 coudées (la longueur de cetteme- 1manièreoul'instrument s'il est placéavantle
surea étédifférente selonlesépoques). (V.Khang-verbe;le ' résultatou l'intention's'il ne vient
hi). Mesurerune profondeurquelconque.Ceca- qu'après.
ractèreest souventprispoursyn. de Sjwa tp/j )J\ ge. I sô—, ideb, igilur.
I so'—, c'estpourquoi.
/-*f* T'siën.A.thién. G.¥..tc/t'cen.J.clien. EJ î chi —, propterhoc.
I |(146) Proepositus millehominibus (tlsién /£ I thi —, à causedecela
41 9° RADICAL, \ 4 TRAITS. 42
IL Tkou—, oblianecausant;ideireb. ZK, Nî, î. Encomposition : nî-hoân,ignarus;
p)( I k'ô—, pourcela; à causedecela. | ^ (1*>4) qui a i'aird'unignorant,[fig.s.]
— (wéï,reputare,existimare. / pt Wâh. Nomenregionis.
I45>[Sj — mi,estimertel, considérer comme. ][-} (165)Nomde pays.
Cecaractère,très-usité danstous les styles,joue
' : \yum. Z/r ^>woù. A.ngo.C. 'ng.F. ngou.J. koo.
souventlerôled'un ' articledéterminatif || (1GG) Par numerus. Duplex./Èquale.So-
•£§ft+t —cliïwêïkio,ibrectumreputarecur- cii.Nomen proprium.liombTe\)air. Lesdeuxparties
1BJ7c n PH Croirele droitcourbe,levraifaux. d'untoutégalesentreelles.Nompropre,[fig.s.]
ETYM. LeChoûe-wèn dit cecaract.'figuratif. A]\- Kièn.Dividere.
A.kién.C.Aire. F. kien.J. ken.
Partiri. Legitur etiam
'/Tff Woûh.Concitatus, perturbatus, inquietus.kién\\; Numérale(167)
rerumet negotiorum.Diviser;
I/L (155)Agité,troublé,inquiet.(Y-Kîng).
I f-, P'ân. Tollerese. Formevulg.de ;(gffcpartager. la
( Ch.w.).
' numérale 'Selit aussikién. Dansce cas,
deschoses desar-
TV (156) V oirsousleR. 64 (à 15 tr.). 2fS c'est partagées,
ticlesdecommerce. (Loûhchoukoù).
4 TRAITS. |jf I ssé—,negolium
nhdt—,unechose,^p*| su —, uneaffaire
1ï—,resuna.
/t^ Fàn. Laforme
Rebellare. Reverti.Se révolter,t^ ttZ. Twëh—, utensilia.
fIX.( 157) plusenusageest(R.29)fA. ']//} j mât—, desustensiles
1,1 Tchâo.Vultùperterritus.Visage troublé. ï—î, unavestis
\'y (158)Lutchâo: quiestdepetitestature. 1-4- </\ nhdt—y,unvêtement.
A/ri Yàng et Nîàng.A. nghuo'ng.Cyeung- tiâo—,index,syllabus.
I "J (159)F.giang.J. kiô.—Erectocapitein tî | d'iéù—, listedediversarticles.
altumaspicere(kih cliebuwàng yè). Suspicere.£f Tkôh—, quoeque capita.
Yàng : A superiorealiquidexpectore. Innïtlmo- O I câc—, chaquechapitred'unlivre.
raliter (chiyè,tseûyè). Regarderen hauten le- AlfaT'àn. Synonyme duRad.t'àn (190,4).
vantlatête.Contempler. LuYàng : Attendreqq. I/U (168)Capilliprolixi etpendentes.Lut'àn,
chose d'un supérieur.Se confieren quelqu'un. il signifie:Sistere,quiescere, S'arrêter,sereposer.
Nompropre. IK Kiàï. A.giâi. C.F.kâi.J. kai. [fig.s.]
Ar î kieoù—,jamdudumdesiderote. \)\ (169)Bonum(che'nyè). Magnum(tàyè).
/V | ku'ù—,depuis longtemps je désirev ousvoir. Famulus. Bon.Grand.Domestique.
Yàng wàng, e xpectatio; sperare; attente,espérer. /v T ling—, Dominationis t-estroe
— yedu,expectore; être dansl'attente. famulus.
— mou,desiderare;désirer. *JÏ I lành—, leserviteurdeVotreSeigneurie.
Il signifieaussi{tchoûng sink'i mou);in cordede ijv Tsiào—,mon meusfamulus.
aliquocumamorerecogitare. C'est' l'expression de J | ùêu—, domestique.
désiretd'attented'uncoeurpleind'affection '. ' ^ Tk'iao—, alicujuspatronum agere.
ÉTYM. Cecar. est composé du signe' homme X. I thiên—,seconstituerlepatrondequelqu'un
et dugroupephonétique significatif yàug A^\ Yào. En :
composition Yào-k'ido, non
Kiên.En unmu- l/V (170) extensus (poiih chinyè).Distortum.
compositionkièn-tchoù,
/^
I-[ (160)sicien.Luking, grand,attentif,[f.s.] IJr'. Fûng. Nomd'un 'immortel' dela secte
IU T'sé. Synonymedu Rad. 76 U Nom l~~f 1^ (171)duTào.(Yu-pieu);
Jin. A.nhdm.C.yam.F.jim.J. jin.[f.s.]
(A (161) d'homme,a T'sze-fei\ était |T~ (172)Protegere(pàoyè). Amico fidelis.
ceunhommehabiledansl'art defabriquerlesar- Muheri
« mesde guerre.« (Sun-tse). [fig.s.] [tsiô. àptus.Posse(k'àn yè). Mimasexsequi(tdng
Âti-tTohoûng.K.trong.G.tchung.V. tiong.J. yè). Legituretiamjin : Posse,subjicere (khëyè).Uti
inter secundus (yoûng y è). Munus, o fficium. Id quodquasisuper
|^ (162) Secundus fratres;
mensiscujuslibet ex quatuorannitemporibus. humerasportatur (foùyè)t*Nomcn proprium.Proté-
Infe- ger.(Ch.w.).D'unendelitéàtouteépreuve.(Kh.h.).
rior.Médium. Instrumentum musicum. Nomenpro- avecaménitéuneamitiémutuelle(igan
vrium.Frèrepuîné.Le secondmoisdechacunePratiquer sin yoiiehjin). Apteà remplirdesfonctions
desquatre saisons d el'année. I nférieur. L enombre siâng
de trois.Instrumentde musique.Nompr. publiques. Occuperunechargepublique.Suppor-
moyen — toûng,médiumhyemis. ter. — Selit aussijin ; dansce cas, il signifie:
Avoirle pouvoirde; employer, oufaireusagede,
IA.y~ — d'ong,le milieude l'hiver. ce que l'onportecomme surlesépaules(aufiguré).
I O — nî, nomenConfucii. Tseng-tseudisait: «L'hommequi veut devenir
I /Q — ni, petitnomduphilosophe Khoung-tseu.«un savant(ssé)nedoitpasêtresansforced'âme
—foù,avunculus natummor. «et sansénergiede caractère ; sonfardeau(ousa
IHs3<C—phû, filscadetd'un onclematernel. «charge)estlourdetsacourseestlongue.» (Li'in-
/TT, P'i. An. ti. DividerePartiri.Pil-h6e'i,yû, L. 8, § 7).
IJ-u (163)deforinis,Diviser.Partager.Pli- t T châng—,magistratùs possessionem inire.
hôei,difforme,laid.[Car.fig.s.] | | thu'o'—, entreren possession d'unefonction
yïh.Formeprimit. ' dun°148.Composé tchoûng—,gravemunus. [publique.
€1, duRad.' homme etdu gr.ph. 'yïh '.. ET I trong—, unechargelourde,pesante.
43 9e RADICAL, A 4 TRAITS. M
)£$I tâng—, officium sibiassumere. Époux.Résister.Droit. Cacherquelquechose
jg I d'ang—, sechargerd'unemploipublic. Nompropre,[iig.s.]
M— t'soûng,geniovelsuoarbitrantindulgcre. mi.i.A.;.C.F.;.].i.[f,g.,]
H t[— tông,se livrerasesfantaisies. 1/ (187)Connectera. Litteraaux'diaris.Ille,
—i, sibimutubindulgere. [Traitécliin. angl. illa. Solum.Quia.—Yoh-ï : tristis.'Oii-ï: sonusle-
1^jl£i>—j',avoirdel'indulgence l'unpourl'autre. gentium.I-yùn:quidamsapiensantiquus.Cogno-
/— t">T .ûj J2j I ji'ni <vêïki']î\\:pietasestmumis;men.Rattacherunechoseàuneautre.(J.w.p.1.).
I—*)\ /^J {_jI ciàqueproprium.(Lûn-yù).— Pronom '. démonstratif despersonnes éloignées : Lui,
Tinni: concedo ; je vousaccordecela, comme: Elle,Eux; Celui-là.Seulement.C'est pourquoi.N.
linni k'chsûpouht'oùng,concedo quodmomentum /Jt Kïh. A.c'dp.C.F. kip.h—Mo.[fig.s.]
lemporis nonsit idem. \I)L(188)Nomenproprium. Khoung-kïh,
/"T*Wang. Marche hâtive(kïhhtngye). [f.s.] Confucii nepolisnomen.Nomd'homme. Khoung-lû,
IJL (173)C'est ainsique le Dict.Tseu-weïnom de l'âge—de virilitéde Tseu-ssé,neveude
écritfautivement ce caractère,mais il doitl'être Khoung-tseu. Presser.
avecle R. dela ' marche'GO.(Kh.hî). /t^ Yè.A. ai. C.E. de.J. ai.Calamitas. [fig.s.]
//^ Pîn. Ancienne formeducar.(R.59)Pin. [/Q (189)Affliclus;afflictio. In-
\JJ (174)Raiesdecouleursdansd'égales pro- fortunium
. (k'ii'mye).Affligé;affliction.Calamité.
portions.(Choûe-wên). l~J~ Où. A. ngliù.C. ng. F. nghu.J. go.
JL~IZ Forme vulgaire duearacl. ci-après:i\f. IZL(190) Quinquehominesdicuntur Où.
I_L (175)(Voir cecaractère n° 244). |fîî Congregare. Un groupede cinqhommes. Réunir
A~\l Fàng. À phuo. Cfong F. 'hong.l.foo. /r\ Thâng—,exercitus ordinare.[chacunleurchef.
\/J (176)Aspiciendo nonbéni dislinguere.jj | hanli—,mettredestroupesparpelotonsayanl
Levissima reisimilitudo. Similis(sidngssê £S>Twêi—, associari.
je). Sem- fiy I vi —, êtreassociéspour unmêmehut.
blableen apparence.(Ch.w.). Entrevoir. Légère ETYM.
ressemblance. Cecaractèreestdelàclassedes' combi-
4-ttTsiàng—, alleralteriferè similisest, nés', songr. phon.étantaussile nombre5.
TH I tu'o' —,presquesemblables l'un à l'autre. /-fc K'i. A.ki. C.F. ki.J. ziki.[fig.s.]
A7\. Tchoûng. Celuidontla penséeestcon- Donner. \}C (191)Dare(yuye).Habilitas,subt'dilas.
\2^\ (177)tinuellement aveclamultitude (tchi >f?î T-w\ (Ch.\v.).Habileté.Ruse,malice,fraude.
kïhtchoûng yè. Ch. w.).Troublé, effrayé.(Tse-w.): tùjin —k'iào: multihomines (sunt)
ETYM. Cecaractère,composé duRad. ' homme' ^A ! "^7habilitateproedi/i.(l,ao-Ue,T!ao-teK.)
'
etd'uncaractèrequi signifiepublic,commun', Cesontles ' '
talents,l'habileté dont
opposé à ' privé,personnel est question.« Ceuxqui enscientifique
', estde la classedes il«trentou sont douéspénè-
' combinés ', c'est-à-diredecelledontleséléments« comprennent lesloisduCielet de la
concourent parleursfiguresà formerunsenscom- « terre, mais ils ne comprennent pas cellesde
plexequise révèlepourainsidireà la vue. l'homme (t'oùng t'iên ti eùlhpouht'oùngjfn,
À K'i. A.//«'.C.F.k'i.J. ki. [fig.s.] « yoiieï k'i. » Yang-tsè).
Ir. (178)Summis pedibusinnixumrespicere. yfJi Foûh. A.plaie. C.fuk. F. kok.ï.fed.
K'i-iidng,k'i-màng:avideexpectore. Se leversur \J\. (192)Prosternere;humiliare se; sub/i-
ses piedspourregarder.S'avancerpour mieux cereseet alios. Abscondere ; recondere. Se pros-
voir.(J.w.p. 1.).Lescomposés k'i-wdng,k'i-mângterner;s'humilier; sevaincreet soumettreaussi
signifient : Regarderavidement. lesautreshommes.Cacher,tenirsecret.Lu feéu,
desoeufs.
aujour- couver
/l-t~ P'éï.Nomdedeuxfleuves.Onécrit Nompr.K'ïh-foûh,Nomderoy.
IIp (179)d'huicecar.avecleRad.85,q. v. Foiih-hi,ancienempereurchinois,l'inven-
vglteur despremierslinéaments
I2É? de l'écriture
A~^lYuh.des Magistrature anciennerempliepar chinoise et desKoùaquiportentsonnom.
I J (180) femmes.(Ch.w.)VoirauR. 38. I t'sâng—,abscondere. _^ Tsân—, I tempus
/fft Tiào.A.^'ie/i.En com^.Tido-tdng, resnon Jfc VmI tàxg—»cacher. —' | tant—, \ valdè
I yf(181)communitereveniens (pout'chdngye). hocest,quodsextalunadividiturin tria
/=-fîTûn. Stupidus, sensùsexpers.[fig.s.] calidum,foûh, scilicettsoûh-foûh
IHi (182)Stupide,grossier.Touffus,épais. foûh(médium (primumfouh),tchoûng-
Vèn. Prxcidere. Dé- foûh)etmôh-foûh(ultimum vel ter-
Âjfjt Separarc. Séparer. tium foûh); ultimum esta valdècalidum.i>
ly-l (183)tacherpar incisionou rupture. /_KFàh. A. phat. G.fat. F. hwat.i. pats.
IJXiYùh. Le mêmequ'avecleRad.GO.Voy. |^ (193)Superiorem debellare subditus,dici-
IX-(184) Servus. S erviteurà gages. Dans
certainsdialectes•Rejeter. tur tching(R. GO,5); oequales semutubimpetere,
diciturfâh. Abscondiiis 'vexilliset nonpercusso
/tf Sin. A. tdm.Timidus. Timide,craintif. tympanoaliquem invadere, dicilurt'sin(R. 9, 7=
I li (185)Sin-sin,adv.Aveccrainte,[fig.s.] invadere) ; explicatis vexilliset cuminstrumentis,
A. khang.C.F. hong.i'.kôo. tympanosonante,invadere,diciturfâh. (Vid.Pin-
' JL K'àng.
/f-L
(18G)Copulare. Par. Conjuges. Resistere.tse-tsien,s. v.). Adhuc: Jactarese. Quoddam
Rectum. Aliquidrecondere.— K'àng-li: marituset sidus.Faireune guerrerégulièreà desennemis
uxor.K'dng-tcluh : homoreclus.Accoupler.Couple. Attaqueraveclesarmesde guerre,au bruit des
45 9e RADICAL. 4 S TRAITS. 46
instrumentset lesétendardsdéployés. Faireéta- —hî woù-r- Ductor;quiexercitum prsecedit. [pe.
lagede sesmérites, Se-vanter.De plus : Abattre ILv| i>à—,chefmilitaire quicommande unetrou-
une
dubois.Ravager contrée.Punirdesrebelles. T Ji» Tta tsoûng—, vêtusconciliiproeses.
Instruments deguerre.Nomd'uneétoile. 7T>I d'ailong—, ancienprésidentduconseil
/ T.Hïêu. A.huit. C.yau.F. Mû,lut.,T.kiô. /v du tribunaldesrites. (Tchcou-li).
\/\< (194)Bonumet pulchrum(mêicliényè). LuPâ, primusinterregulos;regulorum princeps.
Parcere.Dimittere.Cessare.Repudiare. Gratulari. Le premierd'entrelescinq anciensprinces féo-
Ne; cavene.Bonet beau.Épargner, Dé-
ménager. dauxfameuxpar leursbrigandages.
pêcher;congédier. Renvoyer. Féliciter
. Paît, pro- /-f- Koù. A. cô.C.F. /cou.J. ko. [fig.s.]
— pâli, netimeas. [hibitive. I J-f (208) Nundinariifori vecligalia(du
IJ,f^t —
I P| ba,necraignezpas, n'ayez pasdecrainte. c/tôuï).Derei pretiodisputare(lûnkiayè).Quanti
Itt î siâug—, ex utraqueparte désistera. resmaleatdisceptare (lûnwëhhoyè) Taxesimpo-
| fl I lu'o'ng—, sedésisterde part et d'autre. séesdanslesmarchés (Kh.lu.). Débattrele prix
/f- Où. Ancienne formeducar.woh: l£j d'unemarchandise. Différersur la valeurd'une
I^C (1^5)Manupercutere. Vilipend-ere. \Èj'- chose,d'unobjetdecommerce.
Hommefrappant aveclamain.Insulter.V n°321. — leâng,conjectare quantialiquid valeat.
l^y Hiên. Inobsequens; pertinax (/tanyè). IJ§L §3 — lu'o', fairedes conjectures sur le prix
IT (190).Indocile,obstiné.(Cli.w.).Haine d'unechose,chercherà l'estimerà savaleur.
inextinguible. (J. w.p. 1.). /IjrKoQa. En composition : Complètement
/ X*Ho.A.hod.G.fo.[Car.comb.et fig.le s.] l/AV(209) séparé, divisé:
l/v(197) Vtensilia<velinstrumentafabro- — sîe, absolutè sejunctum. Seul: Nonrec-
•um,seuomnium mechanicorum. Outilsdesforge- 13TC /j\ tum(poiihtchingyè)•dislortum. Déviantde
ronset autresouvriers.(Dialecte de Canton.) la droiteligne.(Dictionnaire de Khàng-hî).
'
•i* I kiâ—,familix bona,res.
fournitures d'unemaison.
ÉTYM. Signe' homme et gr. phon.koua.
tfs. I S'ia—> Ce
A\£t caractère, dansl'aue. écriture/4-
— tchàng,navisonerarioe naetclerus. \/J
\\Ai(210) t cliéou.estlen"ViG,quodvide.
1p-PC Patrond'unvaisseaumarchand. /A Ni. A.né.C.ni.F. ji. i.ji, ni. Var.lfo
IV\ Klo. [fig.s.]Mutuo(s>Àng-yè). HJM211) PronomenrH.Pron.de la2e p.s. |£y
\]\ (198)Mutuel,réciproque.(Car.suppl.). —mên,vos. T Af-i—tïh, tuus.
ZTTYîng.Lemèmequesonhomon.j/wg-^w —mon,vous.| pi y—d'ich,detoi,letien.
l/T (199)Adv.D'unemanièrehâtive. |~r; T4P T fet \h~~ ngbpoùhsiàngkh.T\i, Ego,(vel)
l~y Poù.Nomd'unemontagne. Lupêï, l~lt~ I iX /T 1HPX«*'«'dealteronil curât.
\^y (200) ce caractère est synonyme de |_Q /O Ni. Formeprimitivedu caractèreprécé-
Z^t*Néï. Hominis nomen. l/u (212)dent,qui en estun homonyme.
\Y3 (201)Nomd'homme /4H- Szïh.Superbus. Prodigus.(tc'lùyè). f. s.
/<? Tobîn.Éliminer.Retrancher. Rejeterce Il±k.(213)Orgueilleux. Vaniteux.
a de Prodigue.
l/L (202)qu'ily plusimportant.(Hoaï- /OiPià.a.A.ban.C.p'ûn.Y.p,wan.J.fan.[L s.]
Z4\. Ching.Expression locale. [ndn-tse),
I/T (203) Produire del'eau (tchoiikclwùï). coîlega [^(214) Grandiorforma (ta mào).Socius,
(liiiyè).Confidere in a/iquo;Inniti(ïyè).
5 TRAITS Comilari, sequi(p'éî-yè).Granddeforme.(Ch.w.).
Compagnon; associé.Se fier, se reposersur. Ac-
/-L Hiên. Formevulg.duN°196.[fig,s.] compagner; tenir compagnie.
| j^ (204)Haineux, violent.Colèreimplacable.|nt Tt'oûng—, sociiejusdemlociatqueordinis.
/XTJNÔU.sus Junctis'viribus
(lolilïliyè).Indefes- |fj| I d'ông—,compagnonsdemêmerangetqualité.
|y*Jt(205) (king-lïhyè).Réunissant toutes Ittî Ôl î 7^'"' h°e' tcnâ°—k'a> ] redireaulam,co-
sesforces.Infatigable, [fig.s.] )| 'jyj | ffât hâitrieâ—gia, ) mitari quadri-
retournerà laCourpouraccompagner S. M
/jTj Tchoûh.Brève, curtum,exiguum. [fig.s.] gam, Tsoûh. Tristilia; tristâri
IjB (206)Bref,court,exigu. /(*p- (yeôuyè).
/t^tPëh. A.bd.G.pdk.F.pek.J.fak. fig.s.] WXt(215)Tristesse.S'affliger. (Kh.hî).
I fi) (20'l)/Etatemajor(tclidng yè).Patris fra- /tjrt Hëh. Quietus, silentiosus. Videseq./jjj.
ter major.Fratermajor.Dignitasmagnateriiaà ||q (216)Tranquille, silencieux. Syu.deIJ1II.
rege.Nomen avis.Cognomen. Le premierparl'âge. /A Llng. A.linh.C.ling.Y.leng.J. lei.[fig.s.]
(Ch. w.). Frèreaînédesonpère. Le3°desordres I P (21T)Solus (tuhyè). Ludere(lùngyè).Fa-
de distinctions publiques'dont l'on a dérivéles mulus.Seul,sansfamille.(Kh.hî.). Jouerdesco-
nomsdeBey,Beg,etc.Nomd'un oiseau.Nompr. médies,comédien.(Ch.w.). Serviteur(ssè-ling)
— fou,patrisfrater major.Patruus. —jîn,musicus, musicorum primarius.
IfU_J£—• oncledu côtédu père. IIJ V— nliân,musicien,chefde musique.
—phû,
mou,patrisfratrismajoris uxor. —
î c(A li, solers,perspicax.
HitJ- — mdu,tante,femmedufrèreaînédupère. | /)*{] — lo'i, habile,perspicace.
—
î fe. chûh; patrisfrater majordiciturpëh, /Jj Le mêmecaractère qu'avecle R. 130.
| JPvmmorverbdiciturchîih |(l| (218)Voirl'explication à cetteplace.
47 9e RADICAL, A 5 TRAITS. , 48
IVLYào.Le mêmequ'avecle Rad.64, q. v. «jardinpublic[tchoûngyouên, jardindelàfoule)»,
I A/J(219)Alïquidmanibus frangere. paraît être la transcriptionde sanghàrdma(de•
<t
/•+. Chîn. A.thdn.C.chan.F.«ra.J. sin.[î.s.] sangha, assemblée,réunion», et de drdma,
| Pp (220)Extcndere,laxare(cjioûyè). Ex~ Mjardinclosou ermitage»). Leslivresbouddhi-
plicare,dilûcidare{Ilyè). Dislorlamquod,facere ques,ajoute l'auteurchinois,disentqueyouênou
rectum(kiiihtchè,ssètchïhyè). Nomenproprium.««jardin» a ici le sensde « jardindeceuxquise
Étendre, augmenter.(Y-K.Hi-tse).Expliquer, sont réunislàensemble pourypasserleurvie. »
commelesclausesd'untraité. (V.ceuxde 1860). Aujourd'huic'estlà que demeurent lesBouddhis-
Rendredroitcequiestcourbe(etau Figuré: Faire tes,cesjardinsn'étantplus à l'usagedu public.»
rendrejusticeà quelqu'un).Nompropre. Le mêmeauteurchinoisdit que le caractère
dïstinctaetordinataexploratio. chinoisci-dessus, prononcé kià,représente en lan-
Ivjl —Iran,exposédistinctet par ordre.
IÎTtfj-—tchîn, gagefan ou indienla voyelleâ, que l'on fait
X*Tk'ién—, oscitanter extendere membva. précéderde l'articulation gutturalek; ce quiest
/V I khiém—, étendresesmembres enbâillant. exact.Maisla prononciation japonaisede ce ca-
/tl Tsiù.J.cho.Rudis,stupidus(tchuh-yè).[î.s.] ractère,kâ, estcellequi se rapprochele plusdu
sanskrit.Lesauteursdu Dictionnaire impérialde
10.(221)Grossier, stupide,ignorant.(Kh.hi). citentuncertainnombredetermes chi-
/^=1Szé, su. A. tu. C.F. sou,J. si. [fig.s.] Khâng-hi noistirés des livresbouddhiques,dans lesquels
I "} (222)Expectore (Jtéouwàngyè).Aliorumentre lecaractèrekiàoukâ:
faclaobservare (tc'hïnghéouyè).Explorare, investi- 1°Na-kia,signifiant ' dragon'(ensanskr.nàga,
gare, examinare (tc'hàh-yè). Attendre enobservant. grandserpent).
(Ch.w.).Veillersurnnepersonne. Explorerlesac- 2° K'ï-kia,'rhinocéros'; (sanskr.khad'ga).
tes, la conduitede quelqu'un.Celuiquiagitainsi. 3° Kia-na,' éléphant'; ( — gadja).
Pêng. A.binh.CV.peng.J.bod.[fig. s.] 4° Yu-kia,'sagesse éminente';
' royaume '; (sanskr.yoga).
flî "(223) Nuncius(szèyè). Obsecundure 5° Kia-pei, (skr.Kapila, royaume
(tsoûngyè). Celer,sollicitus (kïhyè). Envoyé.Se où naquitRouddha).
conformeraux ordres, aux intentionsde quel- jrr P'êï. A.phi.c. p'i. F. phe.3.fi. [fig.s.]
qu'un.Quia desmouvements vifs,inquiets. I P (227)Robustus;strenuus ;-viribuspollens
/ tjl Ssè,szù.A.tu. G.tsz'.~F. su.3.ji. [fig.s.] (yeoulïli yè). Multi(tchoûngyè).Robuste, fort,
| YJ\(224)Similis ; sim'ditudinem habere (siào- nerveux.(Ch.w.). Foule, multitude.Taï-p'êï,
yè). Slcut ; similè. Successio,successive,succederequidammons.Nomd'unecertainemontagne.
(sséyè). Specics (louïyè).Offerre(foùngyè).Cog- /|lj I. Piger, lentus(t'byè). [fig.s.]
nomen.Semblable; ressembler. Demêmeque.Suc- \/\ (228)Paresseux, lent,insouciant.
cession;succéder. Delamêmeespèce.Offrir.N.pr. A. d'ai. Forte
in Tsiàng—, similes>videri. Âl^\ I, yi. impedimentum ha-
Ipi (229)bens(Jwàtcliimào).Ineptus,balbus.
^f| I tu'o —, paraîtresemblables. Ex. Quia uneforteconstipation.
— chi,-verum videtur,et nonest. Inepte.Bègue.
/£ — tlu, celaparaîtvrai,etil ne l'est pas.
ItEf jTX Tchîng.Encomp.tchïn-koùng. Cecarac-
— féï,falsumvidetur,et nonest. I |r (230)tèredésigneunepersonne: Quipa-
7p—phi, celaparaîtfaux,et il ne l'est pas. raîtsehâter, agitéde crainte.
141;
Habetetiamhxclitieralocumincomparai ivis.Ce /(Il T'ièa.A.d'ién.G.t'in. Y.tien.J.ten.[f.s ]
car. a un sensparticulierdansles comparaisons. IPJ (231)Agricultura(tchi tienyè). Agros
Ex. : yèouchingSSÉngbtïh; yebupoïïlijoù ngb colère,arare(tsohtien).Antiquitus magnatum cur-
tïh. Suntmepotiores;suntquibusegopotiorsum. rus(kohkîngkhi).Venari(lïhyè).Agriculture. La-
« Il y ena qui sontsupérieurs à moi(quiparais- bourer.Dansl'antiquité,Chardesgrandsnommés
« senttels); maisil y ena aussi(parmieux)aux- King.Chasser,chasse.
« quelsje suissupérieur.» Hân. Lemêmequ'aVec leR.164.[fig.s.]
/O Formearchaïqueducar. pré-j»T /if.
| [J (232)Semiebrius.A moitiéivre.
I (EJ(225)cèdent,ainsiquelesuiv./Ji>» /-t- Màï.Nomenmedicinx(yoli
llm K'iâ. A.gia.C.k'ê.F.këd.J.kâ.[fig.s.]' ming).[fig.s],
' |/jv (233)Nomd'unmédicament desbarbares
I/J|-l(226)Caractèrepurement phonétique orientaux.
qui entredansl'expression enchinoisde plusieurs
nomsbouddhiques empruntésaux ouvrages boud- TÇI Ssè.A.tu. Ane.formede (R. 79) ~JjT
mori.Mourir.
dhiquessanskritsdansles traductions qu'on en a 7/V(234) Mors, 7Q
faitesen chinois,depuisleIVesiècledenotreère. /rt Tân. A. d'an. C.F.tdn.J. tan. [fig.s.]
Le Tching-tsè-thoùng, dictionnaire chinoisdont [P (235)Multitudo(t'od yè); Quicumque,
le rédacteur citesouventdeslivreset destermes i omnes(fànyè). Particula: Tantum,tamen,solum,
bouddhiques, donneplusieurs decestermesdansla sed,si.Inanis.Decipere, fallere(tchdyè).Nomen
composition desquelsentrekià, commek'id-ldn, proprium.Multitude;unnombreillimité.Autant;
qu'il dit être le nomd'un Espritou d'un Génie : senlement;mais,—si. Vide.Tromper.
(clunming).Cependantcetteexpressioncorres- • cependant;
(Hoaï-nân-tsè). Nompropre. Selonle Choûe-
pond au mot sanskritvihdra, qui veut direun1 wèn: Vêtement simpleâ courtesmanches(sïliyè)
' monastère '
', ou' demeure deceuxquisesontsé- — ma, equuseffrenis.
parésdumonde; Seng-kia-lan, qu'ilexpliquepar 1PÊ SS — ma,chevaleffréné.Débridé.
49 9e RADICAL, -f S TRAITS. 50
~Y î poùh—, nonsolum. ÉTYM. Le Clioiie-wèndit que ' ti ce caractèreest
fy I b'àt —, non-seulement. composé dusigne' phonétique (à droite),q ui
Ai*-* Tohù. A. tru. Di'ustare(Icicou lïh yè). a la signification parlui-mêmede '' bas', auquel
\^f (23G)Expectare(l'ingyè). Rester long- l'ona jointpar la suitele Radical homme'.
tempsdebout.(Choiïe-wên). Attendreen regardant. /->- Tohû.A. chà.C.tchii.F. tchè.J. djioo.
« L'ayantsuividesyeuxjusqu'àce qu'il le perdît IX (245)Sislere(tclàyè). Stare(lïhyè). Mo-
« de vue, il resta longtemps deboutà la même rari (kiàyè).S'arrêter.Setenirdebout.Demeurer.
Hplaceen pleurant.»(Chi-Khig). [fig.s.]. kiù—,habitare. I TJ-— tsàï, i ., '
A/r? Poù. A.bô.C.pb. F.poil.i.po. [fig.s.] MI | eu—,habiterdansiuilieu. | ft —tâi, j1
If|J (237)Circuitus ; circuire(piényè). Un- I tsàin*''—' "*' habitat? [t-il?
dequaque. Entendère,dispergere. Circuit;contour-êHK^Bï Pi VI I tai na li—, où, en quellieuhabite-
ner detoutepart. Etendre;disséminer. )77 ~YTjîn poiih—,ferre nequeo.
/fit Voù.A.a>«.Contemnere; illudere.[fig.s.] j[î£/j>| nha'nb'àt—,je ne puisle supporter.
! y- (238)Mépriser;railler.FormeancienneÏÇjTlieôu—, detinerealiquem domi.
dumêmecaractèreayant 7 traits.Voy. ]33| lu'u—, retenirquelqu'un,par ex. chezsoi.
Â-\~Kiû. Même car. qu'avecleRad.113.jjj — chèou,ab opèrecessare,
IZ» (239)Malaavertere.Écarter,détour-/|l It^^T"—thu, cesserd'avoirla mainà l'oeuvre.
nerdesmalheurs;etc. [fig.s.]. A~h Tsô.A.ta. C.tso.F. tcho.J. sa. [fig.s.]
/«f»'Pi. Nonrectum,pravum.[fig.s.] I/T (246)Adesse,auxdiari(fouyè).Adjutor
|/X (240)Quiestpleinde fausseté;dépravé. (eùlhje). Aiderquelqu'undanssesfonctions;as-
jtTJ Châo.A.tlùêu.Situsmajorum inavorumsister.Conseiller.Ministre.
| ]Î!J(241)aulddispositus .Lucnào:rectumfaci-_L.î loûh—, sexconsiliarii TOU Foïi-hï.
nus(liiàïhingyè). Tablettedesancêtres. Bonneaction./• | lue—,lessixministres del'anc.emp.Fou-hi.
/[IL Tsè. Cecaract. répété(tsè-tsè)signifie: ' ETYM. Selonle Choiïe-wên, ce caractèresignifie
IU-L(242)Valdèparvus; ingéniaetbonismo- ' assister ' de lamain', étant composédu signe
ribusdestitutus (siàoyè).Très-petit,au propre; et ' main et du Rad. ~T ' koàng(48),quisignifie•
au fig.hommedépourvudetalentsetde principes. ouvrier'. AvecleRad. homme', c'estl'homme
Au* -£?FI « Leshommesde ' talentsin- éclairéqui aideunsouveraindeseslumières.
1] I 1/X n /£. férieursetdemauvaisprincipes' A-J-* Yeôu.A.hu'ù.C. yau.F. yù.J. iou.[fig. s.].
«.(tsè-tsè), ceux-làont debellesdemeures. » (Chî- l'tJ (247)Auxdiari(tsôtsôuyè). Opem ferre.
Kîng,Siao-yà).[lig.s.] xVider. Secourir,protéger.(Chou-Kîng).
/.L Wéi.A.-M.C.wai.F. ui. J. H. [fig.s.]- L "Tt Zp TTTP chàngl'iênfoû — 'hiamin;
I IL (243)Conditioregularis(wéïtc/iè: tching _L.yx."j* I I PQsupremumCoelumconvenienler
yè).Status,seulocuscuique débitas,dicitur(wêi.Di- subvenitmiserispopulis. « Le Ciel suprêmeest
gnitas.Disponere. Numérale personarum magistra-venuausecoursdupeuplemisérable quia eucon-
tusdegentium. État, rang,condition propresdesin- fianceenlui. » (Cliôu-Kîng, Thâng-kâo).
dividus.Primitivement : Siégerdechaquecôtéd'un ÉTYM.Ce caractère,selonle Choûe-wên,ne
portique. (Ch.w.).Place,état que chacundoitoc- doitêtrecomposé quedela partiedroitequi,dans
cuper,ciLesage désirenepassortirdesa condition,sa formeactuelle,est le ' groupephonétique '.
desonrang.» (Y-K.).Dignité.Disposer, mettreen Celui-ci est composé du signe' main' et du signe
ordre.Numérale despersonnes en dignité. ' bouche',anciennement ' figuratifs',lesquelssi-
— li,regere,dominarï. Gouverner, dominer. gnifiaient: ' aiderde la main et de la parole',
li —, status,sedes,État,position,situation. comme lesministresetserviteursd'unprince.On
TJiTî lïh —, vestrxdominationis persona. ajoutaensuiteà sagauchele signe'homme', à tort,
Jf}J | lié't—, VotreSeigneurie. [perialis. selonCha-mou. Ce.car.s'écritaussiavecle R. 113.
.gj t tsioh—,dignitas.OiM I loûng—,thronus im- Â&tYâng. Corpusnonporreclum velexten-
ffj- | tru'o'c—,dignité.pg| long—,letrôneimp. l/C (248)sum(t'ipoiihchïnyè).Nonétendu.
ffi î tell —, assequisedem. (Kh.hi). Au ton ', mêmesens.Il se prendquel-
j^f | d'àc —, obtenirunesituation. quefoispourle n° 159, qui a la mêmepronon-
A Tchïh—, perderesedem. ciation.
y^ j th'dl—, perdresa situation,sonemploi. /Jr- Vén.A..bôii.G.t'ai.Y.l'i.J.peii. [fig.s.]
/Vf Tî. A.d'ê. C.tai. F. tey. J. dei. [fig.s.] 14^ (249).Infirmas,debilis(liëhyè). Hudis,
Non de-
IS (244) allum;humile;demissum; 'vilis; exteriore figura rudis(t'soûmâo).Infirme,
nùttere,inclinare. L'opposédehaut; bas(aupropre débile.Grossier;vil; d'un extérieurcommun.
etau figuré).Abaissé;abaisser.Pencher. Formevulgairedumême' gr. phon.' avecleRad.
t$~tt T î kàokâo ,altissimum,humilissimum. 118.Onl'emploieaussivulgairement pourle car.
|PJJrtJI I caocao , très-élevé,très-bas. il (Rad.188)JîtJff,maisà tort, selonle1-wén-pi-
Af-t ï —, Idatïhjin,abjectus, vilishomo lan(subvoce).^^
I Fly / V—,hommeviletabject.
I~T~ 7l- T'ién.A.Jriém.G.tcldm.'F.tium.J.tèn.[t.s.']
I ~T fa rjTj—Hàomingt'éôu,suodecorinotam fp (250)En composition :
I J TI jzfj inussit.Il a impriméà sonfrontune — teôu,vilipendcre ; contemnere.
tached'infamie. —
|-»/ d'au,mépriser,dédaigner.
1/pT
51 9e RADICAL, j 5 TRAITS. 52
Lutc'hên : Explorare,exspectare, i : D'un
respîcere.Ob- gnifie leaspectadém. Ilse
gréable.(Chî-K.). prend
server,examiner,regarder.Dansce dernierJhB ilussrpour pron. Ce, Cet.Nompr. [tus.
sens,ce caractère se prendpour(K.147, 5). H M — péï,gibbus.^ Twèï—,pulcher,conten-
«Lesétudiantsd'aujourd'huilisenta voixbasse IJtiI5J—bai,bossu. ~£(\ n'y—,beau,satisfait.
!establettesqu'ilsexaminent. » (Li-ki). LegituretiamXo : crinessparsi.(Sse-ki).
—mh,verbaadauresalicuj'us secretb dicta. ETYM. Le Choiïe-wên donneaussià ce car.le
IrjlifJJI)—nhiép, parolesditessecrètementà l'o- sensdu pronominterrogatifQuis? Quomodo?
reillede quelqu'un.(Comm. Sou-yin). ' (u°251)(hôyè).Quoi?Pourquoi?
' Comment? Ille
ÉTTM.Cecaract.est composé duR. homme' dérivedusigne' hommeetdugr.ph. t'ô. [fig.s.].
et Angroupephonétique tien. /S. Chë.A. xà. Cognomen. [.fig.s.].
tpjf Hô.A.Aà.C.F. ho.J. wo,o. [fig. s.]. jJ-\ (254)Surnom.Nompropre.
I J (251)Quis(chôuïyè, nà je)? Quomodb y\. Yû. A.du. C.yii. F. i. J. yô.
(oûyè)? Quare(yânyè)?Quid (hdhyè, hiyè}? ;rpî (255)Ego(ngbyè). Verborum elegantia.
Particulainlerrogativa. Tono' : humerisgestare Nomenlunée4X.Cognomen. Pronomdela lre per-
(foûyè).Nomenproprium.Qui?Comment? Pour- sonne: Je, moi.Abondance éléganted'expressions.
quoi?Quoi?Particuleinterrogative.Lu ho, por- La 4°lunesenommeaussiyûyoueï.
tersursesépaules(sensprimitifdu caractère,selon /J. Yïh.A. d'àt. C.yat. F. yit. J. ils.
leChoiïe-wên). Nompropre,etceluid'unroyaume |/V(256) Quiescere('an yïh poûhIdoyè).
dansle Sî-yiï.(Kh.hî). Quietam agerevilam.Genioindulgere;a tumulti-
—jîn,quis? \ 'it—ssé, quidnegotii? bussesubducere. In solitudinemseseabscondera
Il /v —nhôn,qui? | =P—-su,dequelleaffaire? (yintùn yè). Proetermittere; negligere.Nom.pr.
vivredans la tranquillité etlerepos;fuirlemonde.
#11î nlm—,1UOmoihl
/k\)| j°/1-'-' comment? \| 7^—ai,
PJ-'> \ld.
\ Suivreses propresinspirations.Se soustraireau
vvoû—,nondum multum tempuselapsum est. tumultedela société;Seretirerdansla solitude.
ET '*"'— ' i' n'y aPasencore longtemps. (Kh. h î). Omettre;négliger ses devoirs.(Chou-K.).Nom
jm I
Ât |të I woùlà —, | jj î ni — chî, quandb? propre. Sè-yïh, nom du ' grandhistorien' du
de Wou-wâug (1134av. J.-C).
S JSÎ| vô co' —, ( '| fly—thi, quand? temps ÉTYM.Car.composéduRad. ' homme' et du
T
±i£ choûï—,quid?quomodb?Comment?pour- '
ri pc I thtiy—,quoi?Commesi l'on disait: je Gr.phon. yïh. Peuple', selonle Choiïe-wên.
n'osepas;commentle ferais-je ?(mouhhànjoûhô). /jftFoh. A.phdt.C.fat.V.hwut. Ane.1/ T
(Khâng-hi). Hô-chi,n'est-cepas? |/]J(257) Aspicereet non perpendere \J^\
î woûk'ônâï—,nullumestremedium. (h'idnpouh chîyè).Alicuiadversari(nïhyè).Re-
ÉfjT~fe" bellis(liyè). SectariusinsignisIndioeorientalis.
J»> J 2f»| vôkhdnai—,lachoseestdésespérée.
Cecaractèrese prendquelquefois pourifïf ' ré- Regarderles objetssansles percevoirdistincte^
' etdu ment.(Ch.w.). S'opposeraquelqu'un.Ennemi.
prouver ' . Ilest du
comp. signe homme' R J Rebelle.Nomchinoisde Bouddha,lequeln'enest
groupephonétique \\o, 'ho, ko. la transcriptionselonl'ancienneprononcia-
/">r Pïh. C. F. pit.J. pit. ffig.s.]. Habitus que tionpliât,oufat, pour bouddh.Cecaractèren'est
l^-i (252)orisetvultùsgravitateet majesiateplus usitéque dans cette acceptionet pour la
plenus(yèou'wéï i yè).[Dict.Tseu-'weï,Tseu- transcription de quelquesnomsétrangers,comme
tian, Peï-wèn-yun-fou, Sse-yîn-ehi-i], Implere, ' Sân-fôh-tsi ', nomdonné anciennement 'àRéu-
une
plénum, (mdnyè).[Kh.h.]. Hommequia uneat- partiede l'îlede Soumatra, et qui signifie
titudegraveet majestueuse conforme à la décence.niondes troisFôh'; ' Jéou-foh',Java; ' Fôh-
Plein.Nompropre.Etantrépété:pïh-pïh,il forme lang-ki',lesFrancs;tousnoms de royaumes, dit
une expressionadverbiale: majestueusement. leDictionnaire de Khâng-hi.
ETYM. Ce caractère,selonle Choûe-wên, est Le royaumedeFranceétaitconnudesChinois
composé du signe' homme' et du groupephoné- dèsle commencement du XVIesiècle.Onle trouve
tique/)/"/;. LeDictionnaire Tching-tseu-thoung re- citédansleurslivresdèscetteépoque(voirnotre
procheà Hiu-chind'avoir écritce caractèreavec éditionde MarcoPolo,p. 475),sousle nomde
le radicaljin (R. 9) ' homme', aulieuduradical /jHt Stt ^K Foh-lang-hi.Cen'est que dansle
sin (R.61),' coeur',commeo' nle trouvedansle I7P W SE traité de 1860avecla Chineque
Chi-King, ou ' Livredesvers (SectionSiao-ya),l'ona écritcenom?/+ têt Fahhoue(parabré-
et il lui donneun senstout opposé: habitussine viationdeFah-lang--\ 2J |a| là houe)le ' royaume
gravitateet majestate(woùwéiiyè). Nousavons deFrance' oudela ' Loi', pourque lesChinois
adoptél'opiniondesdictionnaires chinoisles plus ne supposentpasqu'ony pratiquela religionde
importantsetlesplusrécents.Toutefois le I-wan- Fohou Bouddha.
pi-lannelui donneque le secondsensdeplénum, Onlit dansun autre dictionnairechinois,le
plein(mdnyè). Tching-tseu-thoung, citédansle précédent,que,
IX* T'ô. A. d'à. C. F. t'o. J. la.Seprend d'aprèslesMémoires du temps,pendantla 7e an-
' '
| Q (253)pour i-X\ A-iHumerisvel costisnée youngping de l'empereurMing-tidesHan
gestare.Pulcher(mèï|lji Qyè). Pron.Ille (pi (en64denotreère),ladoctrinedeFôh commença
yè).Nom.pr. Le transportà dosdebufflesoude depénétrerdansle Royaume duMilieu(laChine).
chameaux s'exprimevulgairement par lecar. t'ô. C'estuneerreur.DutempsdesThsin(220avant
Eteintrépété: t'ô-tkô,il formeunadverbequisi- notreère),desCha-men(religieux bouddhistes), et
53 9e RADICAL, \ 6 TRAITS. 54
d'autres,se rendirentprès de l'empereurThsin ÉTTM.Le Choiie-wên dérivece caractère du
Chi-hoang,lequel,ayant considéréleur doctrinesigne"25C" nw' ' femme'et d'unautreabrégéqui
commeétrangèreet dangereuse, leslit mettreen signifie'confiance,croyance',joints au radical
prison.Du tempsde Wou-ti(l-iO-88av. J.-C.), ' homme', parceque la femmecroit facilement
il fut apportéen Chineunestatued'or de Foh,à auxbellesparolesquel'hommelui conte.
l'imitationde laquelletoutes cellesqui ont été AA? Toûng. A.(Hong.
fonduesdepuisont étéfaites.Maisce nefut réel- Cognomen. Nomd'une
lementquesouslerègnede l'empereurMing-tides Iy~ (2G1)localitédansle Liao-toung.
HanqueladoctrinedeFohouBouddhafutreçue GTBAITS
officiellement en Chine,quoiqu'elley eût déjà
pénétréplus de250ansavant.
On lit dans l'ouvragede l'ancien philosophe AXriPéï. A.bôy.G.p'iii.V.pbé. J.pei.[f.s.].
Lie-tseu[Tchodng hidtchinKîng, 3. k. f" 1, éd. 1/1)4(262) siliquidexutraquepartependais
Chi-tseu, oudes ' dixanciensphilosophes '), etqui secumdéferre(tdïyû clanclùWangpiênyè)."Spe-
florissait398ansavantnotreère, que, «dutemps cicseinguliex quolapillipendent.Pendere.Por-
de Mou-wang (1001-945 avantJ.-C.),un hommeter uneceinture dontlesboutspendentde chaque
qui faisaitdes prodigeset quiétait(l'unroyaumecôtédu corps.Ceinturede laquellependentdes
de l'extrêmeOccident,serendità sa cour.» Les ornementsen jade (selonles degréset lesfonc-
critiqueschinoisdisentquel'on cen'étaitpasle ' saint tions).Porter quelquechosesuspenduà sacein-
hommedel'Occidentque nommeFoh'. Le ture, [cultrum parfumcinguloportarc.
mêmephilosophe Lie-tseurapporteaussi(lieucité, T"Tt•—tâo, accinctus gladio; gladiumiielpotins
K. 4, fJ 3,v°),queKhoung-tseu disaitque«parmi \ /-J —d'ao, porterune épéeà saceinture.
it les peuplesdescontréesde l'Occident, il y avait ETYM. Caractèrecomposédu signe' homme',
« unhommedelascienceet de la vertules plus d'unautre(n°3G)qui signifie ' rond', et duRad.
« éminentes(chi'ng). » Cespassages,selonlesau- 50 rft kîn, ' étoffelégère' servantà ornerles
teursdesdeuxdictionnaires chinoiscités,ontété vêtements.
faussement considérés commeserapportantà Foh. / XjJtSouh.En eomp. Av? tchouh•—,non
Noussommesdu mêmeavis; lesdénominations
' d'extrêmeOccident(del'Asie)', de ' contrées I//V ( 2G2a)extension,|gf nonétendu.
del'Occident ', feraientplutôtpenserà Zoroastre /|Zt Hoêï.En A. hôi. Âih Tpéï —, hàcillùc
(Zarathoustra), eu égardsurtoutauxdatesreculées In (2G3) comp. |/p | discurrere.Per-
auxquelles lesditescitationsse rapportent. turhatus.Courirçà etlà. Troublé.
ÉTTM. Car.delà5ecl. fig.etson.Voy.Rad.GO,
AL-.Tso.A.Icic.C.tsok.F.tchdk.Ane.f. AL~ même
I p (258)Facere,operari(ivêïyè, hîng \ p groupephonétique.
yè). Exordiri(chlyè). Reformare physicèetmo- AtCHoân. Magistratus. Fonctionnaire^fïj*
raliter(tsâoyè). Tono", Exoriri(hi'ngyè, k'iyè). IpcL(263) public.Formeabrégéede [Ef
Faire ouexécutertoutacte qui produitdes ré- ÀÂf 'Hâh. Cognomen. Nom ' propre.Comp.
sultatsvisibles. Faire.Commencer, Réformer phy- l*rJ (264)duRad.' homme et gr. phon.
siquement et moralement.Auton ", Surgirdu Â~Jz. Leâo. Cecar. répété,leào-leào, signifie:
milieudela foule.Nompropre. I Q (265)quiparaîtgrand,étendu,[fig.s.].
—
_t, ±133Hfl Ichè, tcliiwéî ching, celui Hiâng.Encomp.AjfeI young—, indo-
Ii£pj ^ dl^J SÊ cIl"exercetoutessesfacultés A^Z. |ïji (266)milus.Insou-1/JE| mis, résistant.
et soninfluence pouréclairerlesautreset lesren-
dremeilleurs estappeléun ' saint' (chi'ng).(Lî-ki).
/A 'Hôh ouk'oh. Congregare, unire.[f.s.]
I TU(267)Réunir,rassembler (hoh.yè).
A^AYâng. A.d'u'o'.C.yeùng.Y.yâng.i.you.
hommeparaît,et tous lesêtres de la naturele \-\~ (2G8)Falsum;fuigcre.Dissimulare {le/ni
avec admiration. » yè). Faux; feindre.Dissimuler, [fig.s.].
contemplent (Y-King).
— wên,componere kxi— tchî, simulâtsenescire.
libriim,'versus.
I~Y•/J*'/>H —poûh
bat tri, ilfeintdenepascomprendre.
^5C—vdn,
IJ-j un des
composer livre, vers, des écrits.
— ssé,agerenegotium. —chén, probitatis Simulator; hypocrites, [pas.
—
pÈ}" thiên,celui quifeintdesvertusqu'iln'a
=p — sa', fairedesaffaires,du commerce. 1-S£
Ijfe- — yeôu,falsainformatio.
JU —koûngfoû,operari,laborare.[mains. [fausse.
1"T*I. /\ —congplm, travailler,faireoeuvre deses I-/-pj —hua', fairecroirecommevraieunechose
/g: Pëh. A.bdch. C.F. pdk. .T.pek.[fig.s ].
A/-t Kéou. Insipiens.Rudis.[fig.s.] IfJ Centum hommes. Cenlurio.Ccntum
IPj (259) Extrêmement borné; grossier. tsiân,wel (269)
sapeem. Cent h ommes, formésdedix es-
/-fr N>ng.A.ninh.C. ning. F. leng.J. ni. couades.Chefdecenthommes.Réunionouenfi-
Xy\ (2G0)Eloquiopollens (kèout'sdï yè). ladede centtsiânou sapèques.
Habilis ; idebquisehumililerappellarc volet,dicit: ÉTYM. Car.comp.durad. 'homme'etdusigne
~y I poïdining, ego inhabilis. Loquax. Élo- Ut pëh, qui signifieICO.
tf* | quent.Habilepar la parole.En parlantde
soimodestement, ondit: «.Tenesuispasunhomme AfzfHàeï. En /IL Tp'i—,<P'iestlaid,
habile(pori/tning).« Grandparleur. IR (270)compos.lIC | difforme,[f. s.].
55 9e RADICAL, \ 6 TRAITS. 56
AA,M»ng.Bonus(/(ào/è),Bon.(Ts. w.).%Af /"/\ Tsoùen.Ou-tsoûen, nomd'unanachorète
l'pj (271)Seprendqqf. dansle sensdeU'pt Ijfc.(281)immortalisé dutempsdeYao.
Très-adonné à l'ivrognerie, [fig.s.]. XJUSi. Parvusmderi (siào mao).Paraître
/-ft Kia. A.giai.C.Aài.F.Ae.J.Ai.[f.s.]. [|2y (282)petit. (Choûe-wên). [lig.s.].
I -p (272)Pulchrumiinèi yè). Bonum (hàoyè). />jf, T'iâo. A.d'ieù.CF. t'iao.l.tou. [fig.s.],
Vïrtuteprxditus(chényè). Beau.Bon.Douéde I/U (283)Solusambulare(toûhhing mdo).
vertu.Exemples : Procrastinare. Débile.Quise plaîtà voyagerseul,
î I —jîn, mulierformosa. povirêtre plus à souaise.Lu yâo : Remettrede
| / V— nAon,unebellefemme. jour en jourà faireunechose.(Siun-tseu). Débile.
—yîn,nuntiagrata,jucunda. , laborumimpatiens.
]EJ—«m,bonnesnouvelles
|jf£ reçuespar lettres. Iî I , quine supportepas le travail.
T /-. — k'îu, pulchraverba. [ses. /~r7\ Kiào.Anhào.Bonum, formosum(hào yè).
| hjj — cii, bellesparoles; phrasesliarmonieu- |^ (284)Robustus (kiënyè).Bon, beau.Ex-
— tchâng,pulchracompositio lilteraria. cellent.Vigoureux, robuste.(Hoaï-nan-tseu).
Jf? —chu'o',unbeaumorceaude style.
I^fe. 1 I — jîn, homoformosus.
•—pïh,pulcherpenicillus. I / v —nho'n,hommeremarquable parsabeauté.
=pT— Afrf,belleécrituretracéeau
I/>vV pinceau.
' /yfr T'séu.A..thich.C.t's.F.tc'lioô.J.tsz.[î.s.].
EXYM. Car. composé '
du signe homme et du |/^ (285)Quamcelerrimè (pienlïh yè). Auxi-
groupephonétique Ida. (Cli.-w.). liari (tsoûyè).Opportunum. Vicissim. Comparare
/-Sr Yïh. Nom d'unemaladie.Se ditd'un (pi yè). Ordinare.Prompt,vif, rapide. Aider.
|yP (273) homme qui, se nourrissantbien, Opportun. Alternativement. Comparer.Mettreen
restedansunétat constantde maigreur. ordre.Ala placed'un autreitâï yè). Echanger
obtenir(kïhyè).
/TE Soùh. Manè.Matin; matinal.FormeTSÎ (tîyè). Atteindre,
110.(273")antique du caract. //\. I, yïh. A.dât. Cyat.¥.yit. J. itsz.[f.s.].
(Rad.78).Jy\
ATXEûlh. Ni. A. nh'i. Secundus.Adjutor- IRI (286)Dispositiochoreasagentium(woù
|J_|. (274) Nomenloci. Nomenproprium.hingliëh yè). Choreas agere.Ordreobservépar
desdansesenchoeurs.
Second.Aide;assistant.N. de lieu.N.pr. [f.s.]- ceux qui exécutent
exécutentcesdanses.
Hommes
qui
/jf Pfa»g.A.</flA. C.ping. F.pèng.i.pi. [f.s.]- /-U Ssè, chè.k.su. C.sz V.sob.J. tsz.[f.s.]
I7T(275)Conjunctio Et. Cuiii.Simul. Singuh.
Omnes.Conjonction Et. Avec.Ensemble. Chacun.yè). |?C (287)Servire;minislrare(lingyè; yïh
Tous.Synonyme dun"411. Facere ut, etc., detitrquod,etc.Legituretiam
[ponere.ché.• Quimandatum recipit(mingtelleyè); Lé-
—nring,sesemorti,utaliusmoriatur, ex- gatus. Proelercà.Nuntius inquirendiet petendi
IA P|J — minh,s'exposer à la mort,pourqu'une causamissus(i
jùi p'ing wèii).Serviren qualité
autrepersonnemeureaussi. d'intendant,de chargéd'affaires,d'envoyé.Faire
Nota. Cecaractère a pour synonymes phonéti- en sorteque(unechosedont on a été chargése
Lu ché : Unenvoyé,unmanda-
quesayantle mêmesens,lescar.AXLÇrp Wu fasse,s'exécute). taire.Unexprèschargédeprendredesinformations.
IJ^ Kïh.K.kiêt.C.kat.V.Âat.S.kitz. [lig.s.J. "y I poiili—,nonpermittere.
I]Zt(276)Rectum (tchingje). Forlis,robustus.//|k I bat—, nepaspermettredefaireunechose.
Indefessus.Durabile(tchoiiang liiënmâo).Droit. — min,utiplèbead opérapublica. [blics.
Fort, robuste.Infatigable. Durable. ICtPC —ddn,employer lepeupleà destravauxpu-
rn Hang. Hdng-chàn,cantonde ce nom, •—tëh, (hocetiam)jieripotest.
IPC(277)dansla provincede Hoû-kouâng, If: 1/HI^ — d'dc,celapeut se faire.
quiproduitdesplantesmédicinales. [3.kwâtz. —yoûng,uti; impendere; impensa.
I-ZLHoûph,etKouôh.A.AoaV.C.A'«;.F.A'ivo(. ItriJ^j —dung,employer, seservirde.Dépenses.
|p(278) Congregare (hoéïyè).Congressus. 1. —féï ta, magnaimpensa.
Pervenire (tchiyé). Réunir.Réunion.Parvenirà. ItSÈL ^PH J\.—phi d'ai, grandesdépenses.
/Al-iK.io\iDg.Parvus(siàomdo).Miser(hànyè) I I 3£ T—jîn, tch'âï—,nuntius;delegatus.
| |it| (279) Ad brèvetempushabitare( 1u IA I / v„7r~ I —nhon,sai—,messager; envoyé.
lfuije). In flexu rogare (k'iiihje). Pauvre. •—t'chîn, legatus, intemuntius.
Malheureux de figureet d'aspect.Vagabond. De- ItE —
pi thàn, ambassadeur. Négociateur.
manderl'aumônedansune postureinclinée. -X—Tt'iën—, cmlinuntius.
£L- Koùeï.Graviter impeditus(lchoimgloiiiyè). y\ | thitn—, messager de l'empereur deChine.
I/Ii(280) Maximeiiitricalus.Quidamdi-
cunt: Inniti(ïyoûehïyè. Khâng-hî). Curvus,dis-
tortus.Homme très-embarrassé. Quelques-uns, di- L'hommequiestparvenuà l'état desaintetéou
sentlesrédacteursdudict. de Khâng-hî,préten- yè. de sageaccompli est duCieletdelaTerre.
dent que ce caractèresignifie: S'appuyersur. ÉTYM. Cecar. estXenvoyé
composédu signe.' homme'
Courbe, tortu. etdugr. pli.(Ch.w.).Le Loû-choù-thoùng dit, au
ËTVM. Composé dusigne' homme'etdugroupe A ' homme'
phonétique koueï. contraire, qu'il estcomposé du signe
57 9° RADICAL, \ 6 TRAITS. 38
'
et de j!}sse affaire', et signifie,parsacomposi- ." eûlh—,secundo. I
tion, =§*" ' ordonnerà unhommed'accomplir telle I nhi—, secondement.
chose,telleaffaire'. Auton ' : 'kk jj-tldolàï:Laboranlesprwmw dona-
/tftt Hîng. X.hinJi.C.yJtt.F. /ie«o-.
J.Aei.[f.s.]. re,'dicitur5v ,/jVlâo;Validitésbenè excipere,
Ijnj (288)Perfectèefformatum (t'oànghing diciturlàï.
Ic'hingyè).Corpscomplètement développé, parfai- Dansle stylemoderneou vulgaire,le caractère
tementïormé,et quinepeutpluschanger.(Kh.hi). TJTlàï estemployéà lafin debon ' nombrede lo-
//jh Sîn. Homoquiambulando propcrat(Jung /\. cutionspourles' renforcer dans lesens de
l/u (289)yohsidnye). Multitudo(tckoùngl'accomplissement de l'actionindiquéeverscelui
lô mâo).Homme qui, étantenrouteavec denom- qui enest le sujet; comme; nd-làï, ' prendset
breuxcavaliers,chercheà lesdevancer.Multitude.viens', c'est-à-dire'apporte'.
Nompropre. ETYM.Ce caractèreétait composé, dansl'an-
ÉTYM. Cecar.estcomposé dusigne' homme'et cienneécriture,duradicaldela marcheA etdu
dugroupe phonétique ' sidn'',quisignifieaussiavant, groupeactuellàï.Iln'estrestédansl'usage\ quele
devancer, = ' hommequidevance lesautres'. groupephonétique avecla signification du com-
/a K'àn. X.k'hàn.C.hon.T.k'hdn.3.kan. poséprimitif.
I/ÎL(200)Diciturde Homme etnon
composito /jiy 1. Ordo;dispositio (t'siyè). Classis,se-
affeclalxurbanitatis. Fortiterreclus,velrationicon- 1/? (294)ries(lèiigyè).Cadaver(chiyè).Or-
sentaneus(kàngichlh yè). Se dit d'un Hommedre,disposition. Classe,série.Cadavre,[f.s.].
graveet d'unepolitesse nonaffectée. Hommed'une Z^? Tch'i. A..zi.C.tch'i.F.tclthi.i.chi,ji.[f.s.]
droitureinébranlable.(Choùe-wên). C'est ainsi
est dépeintdansle Lûn-yû. 1^(295) Prodigus;prodigere (tc'héyè).Sum-
que Confucius ptuosus ( t'dïyè).Magnificentiam et sumptus exhi-
ÉTÏM. L e Choûe-wèn d érivece caractère du bais (tchângtàyè).Prodigue,prodiguer.
'
signe homme', d'un '
autrequisignifiebouche, Dissiper;
Hommequi déploieune
parole',et d'untroisièmequi figureuneeauqui dissipateur. grande
Somptueux.
magnificence.
couletoujoursdans mêmelit.le
/S Tohïh.A.chat.C.F.tchit.J. chitz.[f.s.]. /FP Wân. Gibbus, gibbosus. Bossu.L'ancien
l|ï (29G)philosophe Siun-tseua dit : « On
I3E (291)Firmum;durum;forte (k'iénye). «doitle
Rudis.Infirmitasanimi(tch'ïyè).Ferme,solide; «wân).»méprisercommeun bossu(tsidntchîjod
dur; fort. Grossier. Maladie;obscurcissement de [fig.s.].
l'intelligence. /^.K'oûa. A. kliôa.Taclarese. Magnilo-
— !, quiprogrcdinequit. I 7j (297)quus(h'idoyè).Homme pleinde lui-
f ne avancer. ( Kh.h.). même qui aimeà sevanter sanscesse, [fig.s.J.
H•£- i—ngat,qui peut
Irfo 'Hâi\ En comp.K'I-'hâï : Non.com /VT^Koûang.Mag- T K— fân, conri-
\yÇ (292)mune.Extraordinarium. Choseex- l/L(298)n«m.Grand.' | ^i/^viurnsplendidum
/"CiT Li.A.lê.C.lai.F.ïï. 3.ri(pourli.[fig.s.].
traordinaire,peucommune,[f.s.].
-TJT* Lai'.k.laï.C.loi.F.ldi.J.rai.Koù-W. /r&t neralis I7JJ(299)Lex.Ordo(tèngyè).Disposiliogc-
Fenire Redire (Iwân']^ Loi.Ordre. (kldïyè). In ordemcomponerc. (Ch.-wên)
7|V(293) (tchiyè). Disposition, règlegénérale.Mettreen
yè).Asscqui(kïhyè). Arcessere (tchàoyè). Trili- ordre.
cum.Venir.Revenir.Parvenir,atteindre.Faire
venir,appelerprèsdesoi. (Tchoûng-foûng). Nom -fc Tkoù cô
—, mosvêtus.
d'uneespècedeblé.Nompropre. pf | —, usagesanciens.
î~f ï fân—-,rectadispositio.
A\~ Twàng•—,ireet ventre. j L I Disposition régulière; celas'entendaussides
132 I i>dng—,faireune visite,larendre. tracéesparlescommentateurs
On lit dansle Li-ki : «La vraiepolitesseexige règles fruit leslivresque l'on étudie,enfaisant pourlireavec
ressortir
icdesvisitesréciproques ne
làï); pas rendre
« unevisitequi vousa (wàng étéfaite estune grossiè-l'ordonnance et l'agencement desdiverssujetsqui
« reté, commene pasvousla rendrequandvous y sont traités.
Ttsëh—, tribunalium
« l'avezfaiteestaussiunegrossièreté » ptil
; (li chdng I tdc—, lesloisdestribunaux leges.
wàuglàï; wàngedlhpoûlàï, fêï li yè; làï eùlh J3JJ £h- I liiih —
poùwàng,ï fêî li yè). ,\ Leges.Lois.Lecaractèreliiihdé-
I j-L—yêou,!?? 1^-| luàt—,Jsigne,en Chine,lesloisfondamen-
J yoûan—,causa. tales qui ne changent point, et qui formentle
Ijf—lich, | (l|—do, j/]-,I nguo'n—,cause.Codegénéralde
IIS—lïh,
-4-~ I koùi —, ab l'Empire ; etlecaractèreli désigne
^W pj nunc. t'soùng antiquousque les dispositions explicatives ou modificatives
VX-H W | Depuisles tempsanciensjus- doivent qui
êtresuiviesdansl'application
qu'ànosjours. ïïn. Formeanciennedu
—sûu, abnepotumfiiù. /£ caractèreXt£-
(Khâng-hî). 2C (300)Radical170, 8 tr. QuodVide.|J;g
U5£ ip•—ton,lesfilsd'arrière-petits-fils. /+. Chi. A.thi. C. chi.F.si. S. chi,fi.
—jîn, quimcumnuntium agitapudamicum. I y (301)Accipcre (ic'hingyè).Adlattisad-
IT / V—nhdn, quiremplitlesfoiictionsdemessager. sislere(kinyè).Comitari, Adesse
Sequi(ts'odngyè).
primo, (p'éï tsëh). Recevoird'un supérieur.
nhdt—.premièrement.
Iï—, I' Setenirauprèsde soumaîtreou précepteur.w.). ( Ch.
(Li-
59 9e RADICAL, \ 6 TRAITS. tiO
Suivre.Êtreprésent, attendant /*i» Tc'hà. En — sensu aut
ki).Accompagner. J Ai& tsi, quicarerevi-
desordreslesmainspendantes en signederespect. YXi(312)comp.| \j$\-voluntate
T lU—tsô, ad latusseclerc detur tclii
(chïh mào).Anceps.Arrogans.Jactarc
proximus.
I 2C —toa, êtreplacéà côtede quelqu'un. se;jactantia(k'oûayè). Quisembleavoirperdu
Cecaractèreentredansun grandnombrede ter- le sentiment.De plus, seul: Arrogant.Homme
mescomposés, surtoutde fonctions,comme:Cld- quisevanteàtout propos.Vantardise, [f.s.].
lîang, vice-président d'une cour ou ministère ; /_li Ch'ëh. A.thi.Y. t'hek.,T.tchyok.[f.s.].
Chi-wéi,gardeimpériale. \X\i (313)Timidus;timor;thnere,venerari,
ÉTYH.Caractèrecomposédu signe ' homme' animimotus(t'ïh yè).Timide; crainte;craindre
etdugroupephonétique c/ii. [f.s.]. (Ch.w.).Eprouver unsentiment de respect.
A^UMi.Blandiri(fouyè).Loelari(ia'iyè).~i\£L//.Siûn. Se prendXA. siûn, Rad. 78.
1^(301") Flatter. Se'réjouir.Syn. de/^A I F" (314)pourlecar. / 13) Cummortuoho-
A&. Tohôu.A.cAau.C.tchii.Y.tchou. ï.chiyu. minisefjigiem,seualiumhominem sepelire.Enter-
\/fi (302)Eu comp.avecd'autrescaractères. reravecunmortl'effigied'unhomme,ouunautre
—joû,corporebrevis,utprgimmis. hommevivant(coutume despremierstempsdela
Hggfftj—nhu, Cotumna brevlssupertrabemmajo- civilisation chinoiseconservéelongtemps après
rent. De taille courte.Petite colonnesur une parmi lestribus barbaresde l'Asie).Se prend
grandepoutre.Ling-tcliou. Nomd'unancienmu- aussipour: /fjj siûn (9 tr.), infirmilas(tsïltyè.
sicien. [»»oi.[f.s.]. Choûe-vvên). |^- Infirmité;infirme.Et pour :
k.liuôc. C .kmk.F. hok.J. TJ\\ hâo, ampuiare; exsecarc.
' /.jC. Houëh, Hi. R. 18. Amputer;couperunmembre. '
IJ1IL(303)Quies(tsingyè). Silenlium (tsïhyè). PU Caractèrecomposédu signe' homme
Tacilurnilas.Repos. Silence.Tranquillité. (Ghî-K.).et ÉTYM.
du ' siun'.
/-/- Yéou.k.hu'u.C.yau.¥.yetv.S.iou.[ï. s.]. groupe phonétique [f.s.].
I pjj(304)Adjuvare (tsoyè). Ministrare (siâng IU.%.ofmg.k.càng.Chmg.Y .këung.i.kiyôo.
yè).Eumquicomeditvel bibitad ampliuscome-Prondere 1^(315) Offerre(tsinyè). Alere(yàngyè).
dendumvelbibenduminvitare(kieliilieàlhk'ioûentretenir.P(k'iâyè).Proponere (kïliyé). Offrir.En-
ourvoir.Mettreen ordre.
chïliyoiiehyéou).Remunerari (pdoyè).Aider.Ser- — yàng,nutriresuperiores.
virà table.Servirà manger.Récompenser.
/rf* 'An. Quies.Tempusserenum(yenyè). 13=: jj; —dûng,nourrir,entretenirsessupérieurs.
Tchëou. Aliquidohstruendo absc'ondere
\% (305)Repos.Tempsserein.(Cli.w. f.s.). ^$1îf (316)(yè.ou yoàngpi y è). Abdere. Déro-
/if. fciûh.A. dudt.En composition : liûli- ber quelquechoseà la vue, commeun ulcère.
\3p.(306)k'oûe'i:Maximus; intermagnos pri- (Ch.w.).Éloigner,cacher.(Chî-Kîng). [fig.s.].
mus(ta mào).Quiparaîtgrandentretous. C..'. F. é, i. J.i. [fig.s.]. _
/-4%Meôu.À.maû.G mau.Y.boéJbou.[f.s.]. /^I.A.j.
|yx (317)Inniti(iyè),physicèet moraliter.
|ip (307)Pariordine(tlsilèngyè).Mqualis Confidere in aliquo(p'dngfoâ yè). Conformais se
(k'iùnyé).In unumconvenire. Hommes delamême (kiùyè). Comparalio ( yû yè). S'appuyer sur, au
classeoudumêmerang.(Ch.w.).Égal.Seréunir propreet au figuré.(Ch.w.). Mettresaconfiance
ensemble dansle mêmelieu. en quelqu'un.Se conformer à. Deplus : Compa-
7 -[;t|Tpousiâng—,noninterseconveniunt. raisonouallégorie,dansles compositions littérai-
"TMHI bàttùong—, ilsneseconviennent pas. res. (Liki, liiohlu).
— juxtà reclamrationemagere.
Â~flEûlh,ji. Aspectuinnumerabile (tchoùng Î*S-— tâo,
Ijfll(308)tômào).Quia l'aspectd'unefoule IÏ-&Ï d'ao,seconformerà la droiteraison.
innombrable. /ME1 Joûng. Nomdonnépar lesanciensCbi-
/v^.LÙEI.Meditari(szêyè).Ordo;resordï- traleet IZ/C(318)noisà despeupladesdel'Asiecen-
fffl (309).natx (siàyè). Méditer.(Ch. w.). desindividus occidentale.Selonla tradition,le corps
Ordre; choses m ises
enordre par écritsur desta- qui formaientces peupladesoutri-
busavaittroiscornessurle front(jt'n cliinyebu
e t
blettes, rangéespar divisions. (Khàng-hl). sdnkioh).Il enestsouventquestion dansleChàn-
Ht I houên—, nomd'unemontagne à laquelleon hàï-kînget danslesancienslivreschinois.
JQ I donnelaformedu ciel, etdontil estbeau- ÉTYM.Caractèrecomposé du signe' homme'
coupparlédansle Ghàn-haï-Kîng. Unedeschaî- et du groupephonétique ' joûng',qui lui-même
nes desmontsHîmâlayas. signifieune ' armede guerre',une ' hallebarde '.
zfffcLoûï.Secundus; alteriimmedialus(yayè). Âjttt Joû. JEquale, o equaUler (Hûnyè). Tran-
|/fC(310)Second;qui-vienten second,[f.s.]. \flp (319)quillare.Égal;égaliser.Apaiser.
T'oûng. A.dông.G.t'ung.F. tôiig.i.toô. Tranquilliser. KhoungYing-ta,célèbrecommen-
fl3*g(311)Magnum(ta mào).Jtudis,Ignarus tateurdesKîng,et descendant de Confucius, qui
(ivo«tehi yè). Homoperditus,inulilis,qui suis vivaitsouslesThàng(7G0deJ.-C), a dit : «Celui
partibusnon satisfacit(ivc'ïtc'chiugki clùjùi : « qui désirepacifierles régionslointainesdoit
litt. : homo(sicul)utensilenondumperfectum).« préalablement rendre soumiseset tranquilles
Grand.(Ch.w.). Ignare;imbécile. ' « cellesquil'avoisinent (yoh'anrouanfdng,teing
ETYM. '
Comp.du signe homme et dugroupe icsiànchùn-joûkhikm). »
phonétique t'oûng. ÉTYM. Comp.de ' homme' et du gr. pli.joû
61 9e RADICAL, -f 7 TRAITS. 62
/fàt Tohù. Formeerronée et fautiveduca- /Irf Tân. Magnum. Amplum(td yè).
\y ractèreprécédent,n° 236. (Tseu-'wéï). \J^_ (329)Grand.Ample,[fig.s.].
Z-jt±Tsien.sousle
Formeobsolèteducaract.tsién,
/^Sôu. Ire; progredi(Jungyè). [fig.s.].
llT P^cé Rad. 140,14tr. I \/ (330)Aller;marchercomme ensautant.
Atâj I. Aspectu, agendi iiivendiquerat'wne /ÛJi Tso. Quies,pax; quiesecre (Jânyè).
\IJQ(320)kumilis.Modeste,simpledansson li (331)Repos;tranquillité;reposer,[f.s.].
attitude,sesmoeurset samanièredevivre.(Hoaï /3- T'sïn. k.tham.C.ts'am.V.tchhimJ.chin
Nàn-tseu, cité dansKhang-hi). ' IX.(332) Paulatimprogredi (tsièntsinye)
ETYM. Comp.de ' hommeet du gr. plion.\. AuJerre ; aliénausurpare.Brevis.Pygmxus.Avan-
7 TRAITS. cerpeuà peu.Enleverdespartiesd'untout.Usur-
percequi està autrui.Petit; pygmée.
Wôu.A/Wi.C.mè.F — haï, damnuminferre.
Zffe Jjoû.i.fit,ùu.[ù%. s.].
|!u£ (321)Contemnere (inànyè). JDespicere,IH^ Çf —liai, fairedutort à quelqu'un.
IlLuderc — t'siân,paulatimprogredi
(t'sinyè).Vdipenderc (h'îngfè).Aliquem Ij^j
irridere(hi-loûngyè). Mépriser. Insulter.Vilipender. lilij—tien, avancerpas à pas.
Blesserpardesrailleriesmordantes.Syn.du238. T. Tta —, annusi)aldèsterilis.
V | d'ai —, annéetrès-stérile.
/Et, Chln Spiritus(clu'iiyè). Nomengeniï / /tj Liù.A./u'.C. là.F. lé.J.rio{Ho),[f.s.]
\/i (322) (chin ming). M ulier grarida. No-
menproprium.Esprit.(Ch. w.). Nomd'unesprit Associari. Itfj (333)Collega;Socius(pdnyè).Comitari.
(Kh.lu). Femmegrosse. Nompropre. Selonle S'associer. Collègue;compagnon. Accompagner
Dict.I-weii-pi-lan, c'est ' l'espritqui résidedans [gustum.
le corps' (chinVsûnhodclan yè).Quelques-uns, /if 3. Kiuh. En I /t3—tsouh,parviun,an-
ajoute-t-il,disentquec'estl'étatd'unefemmegrosse. l/FJJ(334) comp.| |/ç—petit, étroit,court.
ETYM. 'Homme' etgroupephonétique : corps. AtT Chou.Erection stare(lïhyè).[Ch.«'.].
IV. (335) Se tenir droitcommeun arbre
/fcf» Lâo. Magnus(tayè). [fig.s.].
A'tffT'ing. Longum wideri(tchdngmâo).
|^p (323)Grand; large,ample.
Hëou. A.l/au.C./tau.F./to'u.iT./cou. l3fci(336)Quidamdicunt: Terroeadhiererc
/^i- [f.s.]. (ichù alii: Locoalterius(tàïyè). Item: Rec-
I/C (324)Secundus gradusdignitatumex his tum; ti); Colère,revereri(liingyè). Item: Planum;
olim
quos imperator dabat, scillcet :
oequale. Quiparaîtlong;lesunsdisent: Etre at-
H /fS- AH 31 H 1° koûng; 2° Mou; tachéà la terre; les autres: Aulien de. (Choïïe-
h o\% olH „T 3 „ 3°pëh;% tse!l,rt 5° wên).De plus: Droit.Révérer. Plain.Égal.
nàn.Regulus. Pulclirum (iniïyè).Litteraauxilia- ÉTYM. Composé du signe' homme'et du gr
ris : Sed;Solummodb. Pannusquadratuscontinensphonétiqueting'. '
decemtclrîh,seu' cubitos' Sinensium, per latera. /tTT T'îëh. En A~%* î ^cn^iH—i uomoma-
In scopumsagittarumexposilus.Diemdedieex- IflL (337)comp. IpEJI lus, vilis; idem
pectare.Cognomen. Seconddegrédescinqdignités siâojin. Qui a toutesles apparencesd'un
conféréesautrefoispar les souverainschinois.quod misérable.
à
[C'est tort, selon nous,queplusieurs traducteurs / £14'Chin.Encomp.Lin-chin,caputprorsus
modernesassimilent cesdignitésauxtitres euro- |-<=p- (337")inclinatiim.Tétepenchéeenavant.
de
péens Comte,Marquis,Vicomte, Baron et Che-
valier;ces dignitésn'étaientpas héréditairesen A& T'oûh. Congregare, unire(hôyè) Item:
\/U (338)Tabulas, vellibrosconscriptos, le-
Chine].Roi. Prince.Beau.Particuleauxiliaire: vltertractare
Mais,Seulement, aucommencement d'unephrase. (hièni yè). Item: Levé;despicere
Comment ? Placéeà la fin, elleestquelquefois (tiàoyè).Rassembler, réunir.
pu- (k'ïngyè). Deceptor
rement, phonétique, ou exprimantl'étonnement ou (Kh. hî). Déplus: Négliger,laisserde côté les
l'admiration.Pièce d'étoffecarréede dix pieds Tablettes(ouleslivresdesanciens)sur lesquelles
chinoissur chaquecôté.Exposé,commepointde sontécritesles règlesde conduite.Ex.: « Leurs
mire,aux coupsdesflèches.Attendrede jour en a« actions et leursexemples sont négligés,t'dli, et
» (Hoaï-nân-tseù)
jourl'accomplissement desesdésirs.Nompr. ons'abandonne à sespassions.
traiterlégèrement.
A3£ Xîùn. Pauperrimus.Syn. de fc^fe*Léger; (Kh.h.).Tromper.
Termelocalsignifiant: Violentus
l/B (325)Misérable. Yoy.auRad.116. J^ Pervicax(Jiènyè).
#Poûh. (339) (Ji'iàngyè).
/Q Tchïng. Servire,Servir. Odiohaberc (toiiiyè). Violent. Obstiné,haineux,
I3È (32G) Voirsonsynonyme phon.,Rad.00. pervers,[fig.s.].
/—f! Kiàï Synonyme identique au n° 169.
|)|% (327)Voyezl'explication. /{J} Nân. Mas.Maie.Formevulg.gj
/E Tchin.A.chân. C .tchan. F . tcliin. s \tf (339")ducar. suiv.(R.102): fj
[f. ].
I/J)C(328) Bonum (chényè). Adolescentes qui /ffiR ^° ou' ^â" t'ai'act'îreemployé comme
' danslesli-
nondumoiencria sunt.Pastorequorum. Bon. |f/p (340) syllabephonétique
passi
Adolescents quin'ont pasencoreéprouvélesplai- vresbouddhiques. [paret.
sirsdessens.Dansle norddela Chine,onappelle lif. Hiào. 1 T hido-liido, qui magnumap*
tchin«ceuxquiélèventdeschevaux». \W~(341) j I qui esten apparence grand.
63 9° RADICAL, j 7 TRAITS. 64
/|R Pien. A. tien. C. F.
p'in. pieu. J. bin. 11est
combinés). composé, selonle Ghoûe-wêu, du
13C(342)Convenions {iyè). Obsequens (chùn signe' homme' etdu signe/«', ' relier,joindre',
yè).Projicuum. Assuescere; in aliqudrediutiusse lequelindique aussi son
le ; c'estun groupeidéo-
exercere(sïh yè). Quiesccre {'dnyè).MingercSla- phonétique.
tim(tsihyè).Extemplo (tchèhyè).Opportun,con- Zt3 Tsoûh.A.thùc.O.ts'uk.V'.tcheuk.J.dszak.
venable. (Siun-tseu). Docile.Profitable. S'habituer, l-"t (kiityè). In anguslias
s'exercerà. (Li-ki).Reposer.Uriner.(1erHan). redigere[(346)Comprimerepchyè). Compescere (ntïhyè).
Aussitôt;immédiatement. (Tcliouang-tseu). comprimere ne grandescat(toànyè).Item:Aliquid
MAI t'soùng—,sualibitasequi;ad libitum. (tsouiyè). Brève.Angustum.Spissum.CUrgere ompri-
"K[| toùng—,suivresesfantaisies,sescoiivenances. mer.Réduirequelqu'unà la pauvreté,auxplus
-t- Tfâng—,proeparare; benefacere. dures privations. (Choùe-wèn). Épais.Proche,pro-
Jj j pliu'o'—, préparerà ; fairedu bien. chain.Réduireau silence.Comprimer un objet
T. I ta —, alveumexonerare. de
pourl'empêcher grandir.
/V I d'ai—, satisfaire sesbesoins Gha-moûh, l'auteurdu Dictionn.I-vvan-pi-lan,
X I siao—, mingerc faitremarquersurce caractère,auquel différents
J I tiéu —, satisfaire sespetitsbesoins. lexicographes donnent beaucoupde synonymes,
que « ceux qui, enlisantles livres,trouventaux
~~XTpoiïh—, nonexpeditproculdubio. Kmotsoucaractères tant de synonymes, n'ontpas
^f | bat—, celaneconvientcertespas. « une grandepénétration(t'seuloiih
est. chout'hodng,
conveniens, opporlums tchi »
svéïyè). Cetteobservation
U —d'ang,celaest convenable,
Ij^p—tàng, opportun. «poul'/iod/ig
esttrès-jusle,et le R. Morrison fait remarquerà
Tfjf —k'6, tune,hocmodoliect. ce proposque,par suite de la grandequantité
I J —lihà,alorscelapeutêtre. d'homophones quiexistentdansla languechinoise,
— tchi, tandemadvenit.' lesclassesde la population,
""T— chi,il arriveenfin. quin'ont pas étudié
I2£ cellelangueà fond,emploient souventlesunspour
pien-ï,conveniens ; uûlilas. lesautresdesmois oucaractèresqui n'ontentre
H. quiconvient,quiestutile.— Chûn-pien
I^r* : euxdecommunquela.prononciation. Bonnombre
opporlunitate oblatauli.—Auton 'hid ping: d'écrivains chinoisdetoutesles époquessonttom-
i pïen-pïenyàn,accuratèloqui.(Khoung- bésdanslemême abus,cequitrès-souvent reudla
IT I pt' tseu,lorsqu'ilsetrouvaità la courd'un lecture decesécrivains desecondordrefortdifficile.
prince) parlait sansaffectation le dela ÉTYM. Le caractère ci-dessusest composé du
vérité'. (Lûn-yû,1. 10, § 1). —langage '
Cecaractèresigne' homme et' dugroupephonétique ' tsoiih',
peutaussisouventse traduire,dansle stylevul- qui signifieaussi ' pied',- desortequelecar.veut
gaire,par même,bien, et indiqueune sortede direau :
figuré hommequi fouleauxpieds'.
concession conditionnelle. ( Voir Abel-Rémusat, /fit Gô,ngô.A.nga.C.ngo.Y.gôJ.nga.[{.s.].
Gramm.chin.,§ 382). I^/C(347)Derepentè; subito{tsoiihyè). Inmo~
ÉTYM.Selonle' Choûe-wèu, ' ce caractèreest mentotemporis(sidy à yè). Inclinatum ; nonrec-
composé du signe homme etdu signeTE kéng, tum(k'ingnuio).Soudain;tout à coup; subite-
quisignifie:'amender', rendremeilleur;%_ leur ment; dansun petit espace de temps.Incliné.
combinaison signifieraitque « l'homme quines'est Marcherla tètepenchée.(Ch.w.)
pasencoreaméliorédoitlefaire.» /-Il Màng. En T /ife —kiàng, injuncun-
Zff\ Toùï. Vebilis(johyè). [fig.s ]. I/(2 (348)comp.| I$£ dus.Désagréable, dé-
IjÇ (343)Faible,débile. plaisant.Luaussimâng, mêmesens.
/IW Yù. A. ngu.Aspectuetformamagnum. /_£ T£.'ieôu.AL.cdu.C.k'au.¥ .kéouj./dou.[{.s.]
I/C (344)Gfauddeformeetd'aspect. (Chî-K.). pfi (349)Homogravis.Diciturde hominein
/^? Hî. A.hé.C.haï.F. Iicï.J. ki. suisgestibusgravitatem etdécorum servante (kodng
\/f\ (345) Unumalleri conneclere (k'i yè). chùnmâo).Nomenpr. Hommegrave.Se ditd'un
y'mcire.Detinerc.Pertinere.Dependerc. Attacherhommequi, dans sou attitude,sesgesteset son
unechoseà uneautre.Lier.Retenirdansdesliens. habillement, observe touteslesbienséances. (Ch.w.).
(M.ts.).Appartenir à. Dépendre de. —Cecarac- ' Nompropre.
'
tèrejoueaussile rôle de verbesubstantifêtre
dansle stylevulgaireetlesromans. /[/K Siû. Vrbanus;affabilis(hoûanyè). Com-
I/Jv (350)positus.Poli; affable.(Ch.w.).De
—loin, aliossecumiuruinampertrahere. manières — L'auteurduDict.I-wan-
distinguées.
sfc —luy, entraînerles autresdanssa propre
IgJ dit quececaractèrese rapprochepar lesens
TJ1L—chi,quodad xvumpertinet. [ruine. pi-lan desonhomonyme A/\. sid (R.C0),maisqu'ilen
I [IL—thé, qui appartientà l'âgeactuel. diffèreun peu ]~?r\ce]>enàaTi.t(eiilhsiào piëh).
ffl-I chi—, genealogia. Avecleradicaldelamarche: Asidsignifie:mar-
]}LI thé—, généalogie; générations successives.cherà pas lents; lentogradu \ incedere;taudis
—•choûh,simulconneeti ; consanguinei. qu'avecleradicaljijin, 'homme', il désignela
—
IH/1| thu'ôc,qui ontdesrelationsde parenté. manièregénérale| d'être,desecomporter d'une
— liùan,ardenteramare
personne.
iliî — luyên,aimerardemment.
1$|$ ÉTYM.Caractèrecomposédu Rad. ' homme'
ÉTYM.Cecaractèreest dela2e classe(caract et dugroupephonétique siiu
do 9e RADICAL, \ 1 TRAITS. 66
ffa* K.ouâng. Remotum abire (lùâ kiù yè). /ST'oùng. Yoùng.A.dông.CF.young.J.yoo.
|jt (351)S'en '
allerdansun payséloigné, |fHJ(363)Dolorgravis(t'oùngye). Douleur
distant.Au ton : grave.(Choûe-wên). Lu yoùng : Imagodemor-
koûang-koûang, répété,il signifie: turbatus, lui ligneaquam olimcumcadaveresepeliebant.
1TI afflictus;affligé,troublé. ' et du Imageenboisd'unmortqu'anciennement onen-
ETYM. Composé dusigne' homme groupe terraitavecsoncadavre. (Meng-tseu, K.1,§4,6).
phonétique kouaug. Cettecoutumeanciennefut vivement combattue
À~îtSoiàh. Caputmovcrc. [fig.s.]. par Confucius,qui craignaitqu'ellene conduisit
\ft\ (352)Branlerlatête.Voy.len" 714. le peuple à enterreraussidesêtresvivants.
K'hôh.Nom donné, d ansle Sse-ki, à un /)£» Hoûen. Perficere;concluderc (tvànfi).
,ylrf-. I7G(364)Pauperlas,anguslix(kïhyè).Ache-
1X3(353)ancienempereur chinois: Ti-k'hdh.
terminerou finirune chose.
/3~"Woù. Obvlam ire.Contradïcere. [tig.s.]. ver, (Ch.w.). Lu
\tl (354)Allerau-devant de qqn.Contredire.hing : Pauvreté,angoisses. (Kh.hi).
C.tsun.F.tclum.i.chiun. . ylT??King.Droit. Rectus(tchthyè).Fortis(k'dnyè).
ÂfxLTsiûn.A.tuan. Fort, robuste.
I^C (355)Dotibus prtecedens millehominibus IrC (365) [f. s.].
(ts'âï koûotsiânji'nyè). Sapïentidetscieniidal'âs I|5J K'ién. A. Iiién.Comparalio; similitude.
Quisurpasselesautreshommesparses Il enI/L (366)Comparaison; similitude. (Ch.w.).
prmcellere. estqui lui fontsignifier: Entendreet voir
talentsnaturelset ses connaissances acquises.iï yoiieli ' 'à
Celuiquis'estplacéau-dessusd'eux la : wën k'uin.Id.). «.Il est comparable
(Choûe-wên).
par sesétudesetsesmériteslittéraires. 'jeune soeur' du ciel.» (Chî-K.)'
TJ\ —szé,I quisummum littevarum ETYM. Caractère
gradumas- du groupephonétique composé 'du signe homme'et
Ju — est. Celui dans les kièn, voir'. (Ch.w.).
I si', )sequutus qui,
concourslittéraires,aobtenule gradedetsiiin-szé, SICI. Cequi Lu
réunitdesplanchettes d'écritures.
ou docteur,le plus élevédansles lettres.—Le IJ/I (367) tchïh, graverdescaractères.
Dict.de Khàug-hiciteplusieurs autoritésquidon- I—Iï Tëh. En comp.Tdn-tëh,ineptus,in-
' à ce caractère,
nent,pour ' synonymes ceux des I'CJAJ(368)sulsus.Inepte,imbécile,[f. s.].
radicaux40, 102,162et 187, associésau même /i L Yeou. Cognomen. Nompropre.Il n'a
liX (369)pas de signification.
groupephonétique tsiûnjk. /H- Pî. En composition : Pi-khi,marcherâ
ÉïYM.Comp.dusigne'homnie'etdugr.piton. |-t- (370)pasallongés,[fig.s.].
Jtt Tchïb, Yïh.A.dp.C.F.yip.3. ip.[i\%.s.]. ^i|i San. En comp.tdn-sdn,ineptus,slo-
ICJ (356)Strenuus;fortis; robustus(juin lyïC (370")lidus.Inepte,stupide.
tclioûang mâo).Gravisincessus [kdngjin hingmdd). /]^P Loûng.Ineptus,stolidus.Ignorant, iuep-
Vaillant, résolu;fort,robuste.Marche grave etréflé- \ff (371)te, stupide.(Tseu-'weï).[fig.s.].
chied'unlaboureur dirigeant sacharrue. de
(Tch.ts.). Le dict. Khang-hifaitremarquerquece carac-
/Jj- Foù. A.phu .CF. hou.ï.fou. Au.f.Srfc tère neserencontrepas dansleslivres.
Inî (357)Auxiliari ; adjuvare(fduyé).j|lf|j l~i\ Pèi. NonCelanese
posse,nonconvenire (pouhkld
Sustinere.Aider; assister.Soutenir.ETYM.Cg.s. IT4 (372)/è). peut,n'estpascon-
/|^J ï^iàng.Aptusopife.v.Staturdprocer. [f.s.]. venable.Voirsaformeantique,11°424.(Kh.hi).
\ÏK (358)Ai'tisanhabile. (Tchouâng-tseù). }{//iSoûh.A. tue.C. tsouk.F. seuk. J. chôk.
Dehautestature. l'p (373)Consueîudo (sïhyè).Assuelus. Non
fit! Tsoù.A.lro.C.tcho. F.tchoé.J.io.[figur.]. conveniens yà).Pratiquehabituelle.Habitué
(poiili
/Api (359)Vasquoddam quoinsacrificiis utun- àpratiquertelleoutellerègledeconduite.Vulgaire.
tur, etinquovictimum ponunt (tslhiangtc/iik'i). foùng—,mores. -ULTclii —, oetatismores.
Vasedontonse sertdanslessacrifices. ET I phong—, moeurs. (IL| Lesmoeursdusiècle.
A/XiSiâo.A./ieu.G.tsià.F.siào.i.sio.[fig.s.].
f pK(360)Assimilare [siangyè).S'imite;simi-
lemfacere(sséyè). Rendresemblable à unmodèle 'Ida ssosïh yoiielisouh.L'actionque îes
cequi, dansl'origine,n'étaitpas achevéou par- foùng; hommesplacésenhautexercent surlesautrespar
fa'ït.(Lie-tseu). Faireressemblant. Imiter.(I-wan-leur conduite, ' estdite' influencebienfaisante ou
Le
pi-lan). dict.de Khang-hidonneenoutreà ce malfaisante(foùng,litt. vent); l'actionqueles
caractère l esens de pulchrum, •venustum (liàomdo, hommesplacésdans des conditionsinférieures
yoùng mèïîiào).Beau,belle, surtouten parlant exercent surlesautres,parunepratiqueconstante,
d'unefemme. Danscecas,lecaractères'écritvul-
' estdite ' habitude'.(Khàng-hî;I-wen-pi-lan).
gairement avecleRadical la
de femme', (38). soûh-jiu,vulgarishomo.
IM Pi. Voir,pourl'explication, le mênie^i£| IIyV—nlion,hommevulgaire,commun.
|*p (361)caract.ci-après(405),à 8 tr. |^f- —yôh, commune desiderium.
Lî. A. lo'i. Selonledict. deKhàng-hî,1/f>L •p \ —Désirvulgaire.
fl;||'JJ (362)cecaractèrene s'emploie pasdans — yù,proverbium (litt. vulgarislocutio).
leslivres.Iln'estd'usageque dansdes dialectes1i:"Tf pîpj —ngu, proverbe,dictonvulgaire.
locaux,en composition avecIJy commeLîng-Ii, /•jSfI sëng—, Sonzii,scureligiosiTOÛ Foh.
liabilis,expertus;habile,ex- | P pert,perspicace. 11=1I tang—, prêtresou religieuxdeFoh
3
67 9e RADICAL. 7 TRAITS. 68
'
Onappelleaussisoûh, vulgaires ', lescaractères
chi- Proestolari.
. Grand.(Ch.wèn).Attendre.(Kh.hi).
noisincorrectement tracés,maistolérésparl'usage. szè-szè,Diciturdemultistardé incedentibus.
ÉTYM. Ce caractèreest composédu signe 1T| si-si.Seditd'unefoulequirentretard,prin-
' homme ' etdu souh. .
groupephonétique cipalement d'untroupeaudebêtes.
/jft Foû.A..phu.C.foû.F.hou.J,fou. [f. s.]. ^TJT? B.i&h.A.Jûè'p.C.hâp.'F.héep.i.ltiou.[f.s.].
|-^*(374)Captivus; in beilocapiivare. Prteda; 1/^ (383)Auxiliari(pingyè). Aucloritate et
manubioe, spolia(kiûnssà houëhyè).Captif.Faire viribuspollens?quialiisopilulatur(i k'iouànlïli
desprisonniers. Butin.Prisesfaitessur l'ennemi. hiëhfoujinyè). Secourir.Celuiquiemploie l'au-
Dépouilles de guerre. toritédontil estrevêtuet lesmoyens dontil dis-
/-£. Hï. A. hï.C. hi. F. hi.J. ho. [Cg.s.]. poseà secourirceuxquisontdansle besoin.(Sse-
IIP (375)Exteriusapprobareet interiusre- kou).Nompropre.
probareanimi {miensidngchi, eûlhsût sidngfêï yè). £f Tjin-hiëh,amici fidèlesquorum unumestcor,
Contra senlentiam loqui(soiwg yè).Decipere. |I I nliân—-,iioluntasima. Amisintimes.
Approuver extérieurement et désapprouver dans I hâo—, potenset beneficus.
son l'or intérieur.(Tseu-'weï).Parlercontresa p=Ç ^^_ | hâo—, richeet bienfaisant.
pensée. Dissimuler ; tromper. Sîn.A.tin.C.sun.F.sin.An.f. A-| ±Jj
Z-i- î î—, obscurarei similitudo. (Kh.hi). fi pt Sincerus(tc'hingyè). Fi- !|—IpiI
|$\ | y —, ressemblance obscure d'unechose delis,de (384) nonestdubilandi locus(k'iohchïhpoiih
quo
À$&î 'ai —, nonclarum(poiihmingje). i je). Fuies.Credere ; con/îdere. Plusquam unànocte
liK. I al—,nonclairoutransparent;nuageux. 1b. alicubihospilari.Epistola.Notitia. Sincère,fidèle,
ytm Li.A.//. C.li. F. lé. J. ri. [Cg.s.]. danslequelon peutavoirune confianceabsolue.
HË (370) Adjuvarc ilido je). Qui nullumFoien qqn. ouen qqc.Croire; se confierà. Etre
habetutci succurrat'(woù ssbliàolai yè). V'dis; l'hôte(reçu)de quelqu'unpendantplusd'unenuit.
malimores[pi souhje). Aider; secourir.(Choûe-Lettre(confiéeà quelqu'unpour la remettre,
wên).Privé de tout secours.Mauvaises moeurs.commec'estl'usageen Chine).Nouvelle.
Deplus,onappelleli leschantsdes campagnards, B]JTkiën-sin,firmafides. |X| T kou—,id. id.
ainsiquele langage du vulgaire. + I kiêm—, fermecroyance. |H| | co,—,
/•g} Mien.A.mien. C.minjbu.F. hou.J. wo. [rf Tï—, facilisfides. g^ I chou—,epistola.
|/[i(377) Caputinclinure.Cuirus. Fleclere.^/J I di—, crédule. S | thô—, lettre.
Inclinerla tète. Penché; pencher.Syno--jg4j sin-sïh, novelhe, Tlit—tchîn,nuntius
nyme dun° 386, fou, et de (Radical19)?\Hi IlêJ >C£ — thu'c,nouvelles.| fE.—tlidn,envoyé.
/tfj Pïng. Auxiliari(hiSyè).Mit1ère(ssèyè). T Ui^tsin-p'ài,tabellaconlinens mandatum impe-
X^f(378)Aider,secourir.(Kh.hi).Envoyer. I n\ ratonsquxmagnatibus utidiploma desecu-
>Q Pào. A.bu'u.C. pb.F. pô. 1.bô.[f.s.]. ritateitineristraditur.Lettrespatentesoudesauf-
ITK(379)Firmare('««yè).Custodire(chebuconduitdonnéespar lessouverains chinoisà leurs
yè).Conservare, fidejussor (t'sioùentclùyè).Parva envoyéschargésdemissionsimportantes. Sousles
civitas moenium circumdata diciturpào (siàot'ching Tchéou,quandlesprincesserendaient à la cour,
ils portaientà la mainle sin-koùeï, '
yuëhpào).Gestareofficium (jinje). AÎere,nutrire le sceptrede
(yàngyè). Protéger.Conserver;fidéjusseur, cau- la fidélité'. Sîn-jin,negoliaconcredere. K'iën-sin,
tion.Petiteplacefortifiée. (Li-ki).Occuperuncm- mitterenuntia.Chïh-shi,promissis nonstare.
ploipublic, unemagistrature populaire. (TcheoU-li).
Nourrir,entretenir.(Ch.w.) Nompropre.
T. I t'âï-pào,magnustutor,defensor. [dignité.mmmouhkàn poiihyoùngthsing.Queles supé-
'^\, | tho'i—,1eGrandProtecteur. Ancientitrede rieursse complaisent dansla pratiquedela sincé-
-l~ Ttchù—,protector,advocatus. rité,et le peuplen'oserapointuepas avoirpour
^£ | chùa—,protecteur,défenseur.Avocat. eux dessentiments dévoués.(Lûn-yù).
pâo^cheôu, servare,custodire. ÉTYM. Le Choue-wên, qui définitce caractère
1>Vy —thu, garder,conserver. par' sincérité, droitureparfaite'(tc'hingyè),
' le
—tchâng,homoquicentum domibus pnvest.. dérive du signe homme et du signe' parole','
'
lechefoumaired'unvillagede100 formantainsi un composéà sens combinés '
1t=?
JX^—chu'o', Châh-moûh
— hou,defendere ; protegere. [feux. (2eclasse). remarqueà ce sujetque
« lesparoles deshommes sont (ou doiventêtre)
}3Jg — hdu,défendre
1i^£ ; protéger. ' '
sincères les parolesquine sontpas' sincères '
T À-f-~—yéou, adjuvare,auxiliari;(et d1'de n'étantpas;desparoles d'hommes. »
I I-TU •—hû,aider, assister. [Spiritibus).
A A^ pào t'sioûeucbîu ming,Consei- 8 TKAITS.
i /% PP mrei>itam.Conserver
1~^K savie.
/^s. Yû. A. du. Forma vulgarisTOÛ A. A.tu.C.sait.F seou.J. chou.£l&
011 (380)R.11.Formevulg.ducar. |UK (385)Voyezsonsynon.auRad.130 l'fj
#Siëou.
Â& Pàng. Falsum,mendax(tchd'o yè). Oruare;componere (chïhyè). Moderari;guber-
\t>\ (381)Faux,menteur.(Kh.hi), [fig.s.]. narett'si li yè). Renovare ; restaurare.Longunt
Szè.A.si. C.tsz . F, ssu. J. chi.[Cg.s.]. (tch'àngfè). Nomenproprium.Orner; arranger,
f-ri/C (382)DJagnum (tdyè).F.xspectare (tdiyè).. disposerconvenablement. (Ch.\v.).Modérer, cou-
69 9e RADICAL, 4 8 TRAITS. 70
duire; diriger;gouverner;cultiversa personne. jfj£î hoâng—, crepusculorum tempuspost solis
Renouveler;restaurerà son état primitif.Long. ^ | occasum. Tempsdu crépuscule aprèsle cou-
(Chî-K.). Nompropre cherdusoleil.Hoënsignifie aussiseul: Trois
siëou-chîn, ovnarc,componere seipsun\. d'heureaprèsle coucherdusoleil.Luhoén :quarts Perte
y$ — tlw.ii,orner,cultiversapersonne,laren- delamémoire
Itét desvieillards (labwdngyè).(Kh.hi).
tchîn, colèrei>erum. [dremeilleure. A-U.Lan. En T A~\M—t'dï,faiblesse, dé-
I^-—truc, chercherà parvenir.^
Ife— laperfection. M'fv(393)comp. I I:j>crépitudedesvieux
Tr? —hân, epislolam componere.[enveloppe.chevaux.(Kh.hi).
I [ilil—/iàm,coinposeretpIaceruuelettrcdansson/db Piào. A. bièu. En compos.Piâo-sàn:
â4 T t'sièn-sicou, anliqui'sapientes. [temps. I^C (394)Dividere;disparliri.Diviser.Dis-
|iJ!jj tien—, les sagesde l'antiquité,desancienstribuer;partager,[fig.s.].
kièn—, connubia interaliquosdïsponere. — fën,distribuere, dividere.
tî I lùên—,(ancient.)négociateur de mariages. IyV J] —plidn,distribuerpar parties;diviser.
lîr î soiïh—,proeceptoris stipendiunt. A\fi Mâo. Pulchrum(hàomdo).Beau,/t+£
/f» I tliùc—, salaireduprécepteurouinstituteur. I pt| (295)Le même que le caractère%p\
"7"C^ ^ cfe sieôuchinei'dhhéouIdat'si, Voy.l'explicationsousle Rad.38.
1}|t
/3 lïïl /P yf%. M rectè-compone personamet 70 1, yïh. A.d'i.C.F. i.J. i. [fig.s.].
deindèfam'diarectè-ordinabitw. Cherchez à corri- I^j (39G)Despicere (k'ingyè). Vilipendere;
ger, à améliorer votrepersonne,et ensuitevotre contemnere (mdn yè).Mépriser ; vilipender;traiter
familleserabienordonnée.(Tà-'hioh).Pris pour légèrement. (Choue-vvên). [chiuk.
sonSyn.phon.(R.130),il signifie:carocumzin- A.tliuc.C.chu/;.F. thek,seule, i.
gibereetcinnamomo condita;ad solemexsiccare. /KjChoûh.
I/|?((397) Bonum (chényè).Exordium, Exor-
/tf* Fou. A..plul. G.foû.F.hou.J.fou.[fig.s.]. diri (c/àyè). Crassum, pingue(héouyè). Facerc
1/rT(38G)Flectere;inclinare(fou yè). Inoe-(tsohyè).Movere;excitare(ioungyè). Bon.(Ch.
quale Curvum(It'ioiïhyè). Pencher; s'incliner; \yèn). Commencement; commencer. (Choù-K.).
baisserlatête.Incliné,courbe.Syn.dun" 377. Épais.Faire.Exciter.
de infer'iore ETYM.Car.composé '
de 'homme et dugroupe
foù-nién, inemorarï.
—nient,sesouvenir
[^jV£j? d'un inférieur. phonétiquechoiih.
-fc •—tchùnchîking, « daignezac- AWfit f èï. Destruere, subvertere (pdïyè).Dor-
* f£. "îjfe
(\H: /KJ7J corderce qui peut se faire.J> fflu (398) sum(péi yè). Détruire.Ruiner.
(Phraseordinairement employéeau basd'unere- Dos;au fig. Tournerledos au bien, à lavertu.
quêteadresséeà unmagistratsupérieur). [dia. (Sse-ki).[fig.s.].
A3f\Hô, Annuere. Unire;concordare. Concor- /fâfe.Foûng.A.bvng.C.foûng.F. hdng.J.hoô.
\/f\*(387)'Consentir. Se réunirà. S'accorder. ITT(399)Stipendiant (lotihyè).Merces.Redi-
Kiû.A.cu.C./ttï. tttsà Regcproefectisassignati. Salaire.Emoluments
/j£ ~P.keJ.ngou. [ fig. s .]- parlesouverain auxfonctionnaires
I^N(388)Simul,omnes (Iddîyè).Conjunclim.assignés publics
Suppetere(/dû yè). Ensemble;tous. Conjointe-Fdli-Foùng, punitionpar retenuede traitement.
ment. Pourvoir,fournir.(Tchouang-tseu). N.p. I ~rjv.{oùnç;-\oûh.,proefectoriim stipendiant;,
Marque duplurielse plaçantaprèslessubstantifs. 'P<K—l°ciémoluments, traitements desmanda-
rins.Hocstipendium, in pecuniddiciturfoûng,in
F î jîn-kiù,homiiics omnes
/ V| uhôn—, tousleshommes. frumentodiciturloûh. dç.
—chih,uterque,i<e.l ETYM. Fig.etson.Ane.onécrivaitaussi?p
omnessuntrecti.[vrai. AIL Yâ. A. à.
a. C.F. J. wa. [fig.s.].
/£—thî, l'un et l'autre,outous, sontdansle
IJ3 IHH(400)Inniti(ïyè). Tono", yâ : Super-
— tsiouân,omnimodb complelus.
T. —tuyên,être complet
I7L en touteschoses. bus; arrogans(gâoyè). S'appuyersur; se confier
à. Lu yâ : Orgueilleux,
Hiâo. Imitari. arrogant.
Ajât Imiter. Synonyme /fA A~f& Yen, yëh. Magnum(ta yè). Legitur
\m (389) ducaract. R. 00,quodvide. \j^ I T! (401)eliam'an : Borealiunt hominumpro-
AAVP'âî. A.bai. T /M—yedu.Comoedi. nomen : '
tc/tingNgb).' Ego (inScrip-
Ifp (390)Eucomp.| ^Comédiens. Co- turis).GEgo(pëhji'n rand.(Ch.w.). Lu 'an, c'estl'appellation
médies ;amusementspubl. P'âi-hoêi,valdèintentus.oule pronomMoi,Nous,dontseserventleshom-
A~&T'sièn.Resnonprofunda(i'siènyè).Le- mesdunord.(Kh.hî). Pronomdela l" pers.dans
133(391)vis; rudis.Parva habilitas.Choselesversionschinoises delaBible.(Bas.).
superficielle, légère.(Cli.w.). Léger. Ignorant. AA& ï*êï.A.,bi. Formevulgaireducar. /£1È
Faiblecapacité.— Se dit, dansle Chî-Kîng,de IfÈJ(402)Voir,pourl'explicat.,len° 574.l'ffij
chevaux de' charsde guerreportantdesharnais /-fr Yoh.Formevulgairedu caractère ÊSSJ
de plaque ' '
' légère de métal; et aussid'une ar- Iff (403)Voir,pourl'explicat.,R. 103. J%
maturedestinéeà placerles hallebardes surces A&, Hih. Hilaris;Ixtari(hiyè). Joyeux;se
mêmeschars,[fig.s.J. l/IA(404)réjouir.Nomde fleuve.
/]3u Hoën. A. hân. Obscurum, tenebrosum AÎh Pèï, Vi.A.ti.C.pl.V.p'hè,pêJ.bi. [f.s.].
10 (392)(ngànyè).Slupidus.Obscur,téné- (T" (405)Facereut(szèyè). Utilitatem offerre;
breux,physiquement etmoralement. Stupide. dare (yïhyè).Obsequi (ts'oùngyè). Servus,jani-
71 9e RADICAL, \ .8 TRAITS. 72
tor(chïliyè). Faireeu sorteque.Offrirunecause î AAtsâng-tsoûh, urgentibus negotiisperturbatus.
de gain;donner.Suivresesdésirs.Domestiques.I "y — thot,troublépardesaffairesurgentes.
Portier,ouceuxquisontpréposésauxportespour, —jin, \mandarinus seupriefectus ad <vec-
répondre auxvisiteurs. (Ch.w.).Syn. u"361. Il /V'— nho'n, \ tigaliapercipienda prxpositus.
î ht pèï-ï,al'ùsbenefacere. ÉTYM. Le Choûe-wèndéfinitce caractère '
' Trésor
\y ——y, fairedubienauxautres. (ou magasin,réserve)de grains (Jtoiïh
tsâng Le souverain l esrecueille,lesréunitet
ni, nonreçusoculis,seutoivèaspicere.lesmeten yè).
HCJ /[i —nghê,regarderde travers;mépriser. pourquoionlesnomme magasin,en réserve: tsdng+V.; c'est
Zrti Tehl. Caractèresynon.dun° 541-AXS nier caractèreest dérivédu Tsâng^j— CejËjjJder-
Rola Ulleroue- 4=J signe chïh.
\lKi( 406) (idn ïè)- t'M' ' manger' ( R.8-i) etdusigneC=l' bouche' (R 30).
/g Tchâng. k.xu'o'.C.Y.tch'ang.l.lchyào. Z/X.Tsoûng. Lassus, fatigatus{koitan mào).
IJ? (407)Stolidus, crudelis{k'oâang yè).Dé- |;£J (421)Las,fatigué.Affligé,[fig.s.].
raisonnable ; cruel.(Ch.w.).Étym.fig.s. ZWiKo.A.ca.C.F.Âo.Forme vulgairede y>vV
, diciturde hommeexco. ||H| (422)Particulanumeralis nominibus jgf]
1Tj , se dit d'un homme qui, sans voir, addila.Particulenumérale auxnoms.(Voir
ajoutée
marchesansguide.(Li-ki). le n° 27). Deplus : Inclinatum; propensio{p'iën
— koùeï,animahominisà tigridedevorati.yè). Qui a dupenchantpour.(Ts. w.). [f.s.].
ItU/§, — qui, âmemalfaisante d'unhommedévoré Ziî?Koùan.A.quan.C.kûn.F.kivan.J. kon.
paruntigre.Lutséng: mèng-lscng, inilinereaber- I pf (423)Quicurruumimperatoris curamge-
rare, viarnamittere.Errer,setromperdechemin.rit {kouân jin tchukiâtclié).
' Celuiqui estlechef
Jtky,Tchl. Ire; progredi {hi'ngyè). des attelagesimpériaux.
|/i|J (408)Marcher,s'avancer.(Tseu-'weï). mentun ÉTYM.Selonle Choûe-wèn,c'étaitancienne-
Zy]çTâh. Eu M î hién—,/iegligerenagot. petit ministre{siàotc'hinyè). Cecarac-
sesaffaires. tère est fig. s.
IH (409)comp.£>^ | négliger
Z^n Yin. Formevulgairedu caractèreIS;T Z-^Pèï.A.bdi.G.pùi.V.poéy.3.bai. [f.s.].,/T^
I pt (424)Eu écritureantique(n° 372) If}
l@L(410)V.,pourl'explicat.,R. 130,5. /f=)LiRebellare
Z£CPing.k.tinh.Formeclassique ducar. Z-fr soiihyè).{fan yè). Abjectus,animiabjectio {pi
Res bi/us. Ditplicare, geminare. Seré-
177(411)Conj. : Et.Avec.Voirlen°275. I/T volter.(Choûe-wèn). Abject,vulgaire.Abjection.
ZjQKièou. Destruere(lioèïyè).Malefacere(Lùn-yù). Chosesdoublesoupaires.Doubler.
|fj (412)a/icui.Détruire,ruinerparméchan-l.rt T kiâ-pèï,.addere,multiplicare, rv.gr.
/3iHiâo. Acerbam oegritudinempatii [ceté. J}\\| gia—, faireuneaddition, multiplier, p. ex.:
I pî (413)Éprouver unegrandedouleur. [î. s.]. . î sàn —, ter magis.
Z^î Tsouï.A.toj'.F.tchât, tcli'uj.i.saï.[f.s.]. —*j tam—,troisfoisplus.(Chi-K.).
|~r (414)Adjuvare;aux'Uiari {foûyè).Aider; Où—,quinquemagis,vel
assister;secourir.Lutsùh, unecenturie;centh. 5T | ngu —, cinqfois plusouquintuplex. quintuple.
tsouï-tchè,currusà regiosecundi. pêh—,centuplex.
—
.ïfi xa,charsquisuiventceluidusouverain. §T j bach—, centuple; centfoisautant.
I-rjy
WA î yeou—î( litteratus,quinoiulum proefectu-ZfeLî pi —, *vdiset irrationalis. [raison.
3£££j du —, ( ramadeptusest. PlyXI '' —>clu' a l'âmebasseet opposéeà la
etiam
Legitur tsùh,centuria, centum homines. h.
(K. ). solitus,-vulgaris,/vilis.
zfjlj Liàng. A.lu'o'ng. Encompos.Ki-liâng: H^pèï-soûh, 'pt — tue, hommeordinaire,vulgaire,abject.
IR3(415)CaUid'Uas, habilitas{le'1iâo
yè).As- — wèu,avenuslibromemoriter reeitare.
tutus.Ruse,adresse,habileté.Astucieux, flig.s.]. 1-+f _>V—van,réciter(untexte,uneleçon)sans
/[fit Ts'iû.A.tu. C.F. tclû.J. cliii.[lig.s.]. voir, en tournantle dos au livre {péipeu 'anh
|I(X.(41G)Proximus. Juxtà.Exstimutare ; soi- yè).(KMug-hî).
licitare;urgere{t'souhyè). Proche.Prochain.Ai- I 153—' °' sl'"''tl'suomen.
guillonner.Stimuler. | I*J— d, nom d'un espritqui habitedansla
AkLKiëh.Rapere;vi au/erre.Syn.de-I-TÎ partieorientaled'unemaison.(ïchouang-tseu).
\yj (417)Voler; enleverdeforce.Voy.~FJ) /flHtT'ièn. Abundantia, copia.Syu.detlilft
Àtfr?Yoùen.A.uyên.Loetari;gaudere{hôan 1-5^(425)Abondance. V.lecar.(R.130),/]^
l/E (418)loh). Èxcitare{k'ioùan yè). Seré- /»/£fGhoûh.A. tluic.Derepcntè. Canis'velo-
jouir. Exhorter,[lig.s.]. l!/v (426)citercurrens.Spudain.Chienqui
Z-^-tLâî.A.id.Lemêmequelecar.R.GOAyh courtrapidement, [fig.s.].
|/jC(419)Pranepoj.Petit-lils.Voy.ee car.i/jC ÂijC Choûh. Formevulgairedu caractère
^S^-Tsâng.A.thu'o'.Cts'oiig.lîJch'ongJ.soô. /S lyC (427)précédent.,
^^ (420)Reponere;recondere{t'sângyè). Li.A./e'.F./ë)'.[f.s.],Forme-vulg. anc.S
Horreum.Déposer;mettreeu réserve.Grenier \}/\.(428)Irasci{nàuyè). S'irriter. $v
d'abondance. Magasin deconstruction carrée. /BHMên.A.mon.C.mûri.F.bàn.J. bon,hon.
—lin, I £|3 — fàng,Horreum. || | (429)Verbùmquodminepronominibus
£j^i —Icim,| JJJ —plivng,Grenierpublic. additum
Ijjg? facit pluralia(kiltt'iénl'sêkiâ).Motqui
73 9e RADICAL, j 8 TRAITS. 74
' ' courent m utuellement
maintenantest une articulation ajoutée,aux (pêngts'oûngsiàngfouyè).
pronoms,dansla conversation, pourindiquerle Collègues, confrères.Nompropre. '
pluriel.(Kh.hi). Exemple: ÉTYSI. Caractère composé du signe homme'et
-fp I /fTjyI Nos- 'o-me'n,nânouyen-mên. du gr.phon. pêng,lequel, prisisolément,signifie
4Al\ o I T! I Nous.Ni-mên,Vos.Vous. lui-même:' amis,compagnons, collègues'.
;S{i î yâ-mêii,onnommeainsilarésidenced'un /^Hliéh.Contemnere.Derclinquere.là.<\. /CJÊl
J||T I grandmandarin,et les gensde sasuite. I/TC(43G) Dédaigner. Abandonner.V.505. |^
Lumoén: pinguissimus. Très-gras. //!> Tch'âng. Derepenlè sistere(Iwiihtelà
/XATaô. A.d'ao.C.là F. ta.J. foo.[fig.s.]. IrU(*31)mdo).LegiluretiamT'àng in co-
. Iil] (430)Prosternere, cadere(foùyè). Detur- dentsensu.ParticulaSi; quodsi. S'arrêtertoutà
bare.Se.prosterner. (Ch.w.).Tomber.Renverser.coup.(Kh.hi). Particule conditionnelle Si, Sup-
tào-t'oûï,relrocedere.
î -L3fe. in lectumsese poséque,etc.V. la formeprim.dececar.n°798
IXB ]}5—tlwi,rétrograder.| Jjjj dejicere. . /grHéou.A./wH.C./ia«.F./(Oë.J.c/»j"5. [f.s.].
/ffS Tk'iiig-tâo, prosternere.TjÉttâo-ehîn,
— \ , lyC(438)Exspeclare (szewdngyè).Inquirere
|J^ I kuink—,seprosterner| y$ thdn,} (fàngyè). Vivredansl'espérance.S'enquérirde.
v/iÊp Tlaô—, mald'è senex. î 1 héou-jîn.) Prxfectusad hospitesin itinere
iJ\\ | laô —, vieillardtrès-âgé. I yv—nho'n,}excipiendos missus.(Kh.hî).
fejïTtiën-tào, (inverlere, subvertere, physicèet — cheôu,) Proefectus ad territorium guber-
J^S| d'iend'do,\ moraliter,Renverser, détruire. 1)-^* "y*—thu, )nandum provectus.
Â-tfoT'ân. A.d'àm.C.F.tdm.J. tan.[fig. è
s.]. JC.I tc'hïh-héou, spécula observare.
lyC(431)Quietu$('anyè).Tranquillevilain /p j xich—,êtreauxaguetspour épierquelqu'un.
agerc(tienyè). Adhuc.E contra.Qui est en re- fl£ î cbî —, tcmpus, liora.
pos.(Cli.w.). Menerunevietranquille(pouhiyè; tjy | thi—, temps,heuredujour.
nondubitare).Deplus,Encore(dansle stylevulg). Aj Tk'hi —, quindecim dierumperiodus.
attenté,diligenter. jfiljI khi—,périodede quinzejours.
ï)>»—nhiën,attentivement,
IMït'ân-jân, diligemment. 11^î chin-môchîhéou,qudhorâ?quotem-
— tsing,à negotiisnonperturbaius.[res. Êtàfc IZ, HUI pore?Quelleheureest-il?
JÏJ*"—tinli,quin'estpastroublépar lesaffai- LegituretiamHeôu : secundusgradusdignitatis
I=fe£J_
exlus quosolimimperatordabat.Fide antè,nu-
I ïi.TMfc /C M P"C Pi tB ' foh koueyè. Qui Merum 324.
non dubitatpoiestsufficeread Jideliter-regere yi. A./. C./. F.e. J. i. [fig.s.].
' ' ytjçl.
regnum.«Celuiquia dissipétoussesdoutespeut |fy (439)lnniti(iyè, széyè). Conjidere in
être capablede gouvernerfidèlementun État. » aliquo.Inclinare.S'appuyersur (moralement et
(Siun-tseu). [fig.s.]. physiquement). Se reposersurl'amitiéde quel-
À13K'iueh.A.khuàt.C.kwat.F.kwut.l.kyo. qu'un.Inclinéd'uncôté.Nompropre.
l/p4(432)Perversus,damnuminferens(kèng ji. -L ~y~~y I tclwùnglïh eàlhpoûh-i.Setenir
limâo).Pervers;hommedisposéà commettre tous T^ M. TTTJ 'y I droitdansle milieusanspencher
lesméfaits. d'aucuncoté.
I 3H '—k'iâng,pertinax,obstinât us. /iS T piên-yi,nonrectum;doetnnamalesana.
I jpif — ciCo'ng, obstiné,opiniâtre. l-ml | thlen—,nondroit; doctrinemauvaise.
/=£ Toh'oûï.A.MHj.C.F.JH)', thûy.J.szi.[f.s.'] Legituretiamkï, id omnead cujusintegritatem
|t[t(433) Grave;ponderosum. (tclwùng yè). aliquiddeest.
Iterare;repetere.Pesant;lourd.Répéter,renou- /-H-K'ilî.Facièslata,irregularis. Ch.w.-tJ^Zj
veler.Voy.l'anc.forme,n°635.Lu choùeï,nom |;P; (440)Visagelarge,difforme, [f.s.] ^U'
d'unhabileartisandu tempsdel'empereurHoang- ,/f|HT'ïh. A.thicli.Encomp.fïh t'àng; non
ti (I-wen-pi-Ian). I/RJ(441)frenatus(poiihkïyè), id est: animi
[f.s.] dotibus aliossuperans.(V. n° 798).Lettré d'une
(434)Cecaract.ne s'emploiequ'en
#fi.lng.A.liânh.C.liang.'FJiëng.Z.kaô comp. telle ardeur,qu'ilsurpassetous lesautrespar ses
/rtlh I k'iâo-hing,inopinatus et felix casus. talents.
\~ffX, | kieu—, chanceheureuseet inopinée. Ttrî Kân.Solisexorientls sicutlux.
nondeberet cotise- if-/V (442)Quiressemble à l'aubedujour.
—
|y d'uc,obtenircequin'estpasmérité,[qui.
I$&hmg-lëh,conscquiquodquis /A-Liàng. A. lu'o'ng.Remotum (rouanyè).
T &j —mien,evitarequodqttisnondeberetevitare.|./J-> (443)Distans.Longinquus. Fidelis,iierax
I /Q — mien,é viterce qui devrait ê tre subi. (sohyè). Eloigné. Distant. Fidèle,sincère,véridi-
Â-f?Tm'ng—, [superioribusadulariadaliquid que. (Li-ki).Legituretiamking : Fortis',crudelis
\y\ | nghieù—,\proeter meritum assequendum.(kidngyè).Fort, cruel.(Choiïe-wèn).
/ftffj Pêng. Adjufare; auxiliari (foh yè). /fitTsié- A.fAa.C.lsé.T.tcliek.J.cliiya.[f.s.].
I/J/J(435)Committere (wèïyè). Alicuijtdere IH (444)Falsum,simulatio (kiàyè),Mutuum
(t'oli yè). Collegsen>elconsortes(p'éng l'oùng dare seu accipere(ttiïyè). Adjuvare(tsoûyè).
lâuï).Nomenpropr.Aider,assister.(Ch. w.). Se Commodare. Laudare(tc'hôuïtsiàngyè).Particula
confieren quelqu'un.Amisqui s'aidentet sese- proponendi causant(chïh't'seù)
, ut: Hocposito, Sic
75 9" RADICAL, ^ 8 TRAITS. 76
positoquod... Faux;chosefeinte.Prêterouem- imitari.I OnécritA-\- et -{A
prunter.Aiderquelqu'unde ses moyens.Faire 1/fAfàng-hiâo, |)(\.—hiéu,imiter. \ ansi : | JJ/àng.jiK
l'élogedequelqu'un ; déposeren safaveur.Parti- /-A-Tohi.A. tri. C.tc/ii.Y.tê.S.tchi.[fig.s.].
culedéterminant un Casposésur lequels'appuie | jo. (449)Jliciiioccurrere. (yû yè). Obvium
le vestede l'argument, comme: Supposé que,etc. habere(foiingyè).Collocare(tâng yè); recon-
tsié-choû,commodare librum. dere(t'soûyè).Reipretium(wëhIda).Item: Manu
0 —tho', prêterunlivre.LesChinoisdisent apprehendere(tc'hiyè). Rencontrerquelqu'un.
fïét-
proverbialement : «prêter unlivre,c'est commeDisposer de quelqu'un;le placerdansunlieusûr
prêterKing-tcliéou » (placefortequinefut jamais (Ch.w.). Prixd'unechose.Prendreavecla main.
rendue).Unpoëtefrançaisa ditaussi: T ^Etpoiihtchi tëh, nonest operxpretium.
<iUnlivreque l'on prêteestrarementrendu; "Y i I nf ^"' — ^ac>cen'estpasleprixdelachose.
a Souventilestgâté,maisplussouvent perdu. » A>M%.'oùng.X./ihong. î /pi—tlioiing,Rudis
î -J^tsié-lâï,mutaamaccipere. |JL(450) En coropos.| | \rjignarus.Ignare.
—
I ,^V lai,emprunterde l'argentà intérêt. distentas.
— k'iû, mutuum fessas,lapsus;negotiis
dure. Hrgt—tsoùng,
;Cji—long, fatigué,l as; accabléd'affaires.
2* — khu,prêter.
1-1- ,/jffi?K'ioùen A. quyen.[fig.s.].
Lesensde cesdeuxexpressions composées estdé- l"tL Piger, lassus;clefaùgatus
terminépar lesdeuxderniersmembres,dont le Molestia(451) (p'iyè).
(Malyè).Lassitudo(Icioyè). Superbus.
premier, loi,
' fairevenirà soi';signifie'venir', et, au causatif, Peine;lassitude.Paresseux,indolent;las; fati-
et le deuxième,k'iû,signifiegué.Orgueilleux. (Hoaï-nân-tseù).
abire,' sortir' : sortirdesacaisse. T "y^î hoéïjîn poùh—, in docendoho-
î fr tsié-mîng, alteriusnome/iusurpare. "-flf
pEp / V/j* | minesnonfatigatus.(Liinyû).
I "pt—dunh,usurperlenomd'unautre. A^ Tsoùng. Hommede naturespirituelle
— ï, translatitius sensus l/P (452)de la hauteantiquité;(chànghuit
j(iï>
1=Ê^ —Y, sensmétaphorique; métaphore. chinjin).Khàng-hî.[fig.s.].
~Y Tpouh—,calceistraminei. [chezlesChin.). igKiû. K.cu.C.hii.Y.ltè. J.ldyo.[fig.s.].
~\ I bât—.chaussure enpailletressée(trèsenusage J7Ï5(453)En comp.kiû-gâo : Superbus, ar-
AHzHôeï. En /IL I pî—.deformis.Tem- rogant(poiihsûnyè).Confidens. Quin'estni hum-
I (£.(445)comp.IJTjI me ou fille laide. ble ni soumis.(Ch.w.). Orgueilleux;arrogant.
(Hoaï-nan-tseu)/ [fig.s.]. Effronté. Aiu-ya,nomd'unquadrupède.
A^. T'sién. A.thién.Cs/re.F.tch'è'en. J. sen.
/ffEfTch'âng.\.xu'o'.G.¥.tch'eangJ.chiyào. IPJ (454)Litleratorum commendabile
IjEÎ(446)Masica(yohyè). Meretrix,canta- latimm appe.t-
tri.r,.Musique. (Ch.w.). Femmede mauvaisevie, Bonum(mèï (ssétchimèitc'hlng).Pulcher;venustum,
chanteuse. hao je). Loco alterius. Épitliètelau-
dativeappliquée à un lettrépoursesproductions,
tch'âng-yeou, meretricismaritus. [engén. commesi l'on disait: bien,très-bien;beau,très-
|;§£.— u'u,marid'unecomédienne.
!/fS Comédiensbeau.Beau.Belle conformation dela bouchedans
—
î -£M hô, alternavicecantare,recitare. le sourire.(Chi-K.).Tdï—, aulieud'unautre.
—'
I <rr h°a> chanterouréciteralternativement. ÂB I,m.A.nghé.C.ngai.F.géy.3.ngei.[Ls.].
LegituretiamTch'âng : Proeire. Conducere; alio- (455)Utilitatemaddere;of/erre(pei jf
rum'dux.Proeirealiosdoctrinâet exemplo.Au yè). I/U Reiparvoeseudebilisappellalivum
ton . précéder;conduire.Précéderles autres tchi tc'hîng).Parvuli.Distinguere (jofisiào
hommes sesdoctrines e tses Se (fênyè). Ter-
par exemples. prend minus, l imes (tsiyi); extremitas (hïhtsi).Princi-
aussipourMB tch'âng.Voirau Rad. 30, 8 tr. pium(touânyè). Nomenproprium.Quiest utile,
quis'ajoute.(Ch.w.).Appellatif despetitescho-
/fsfc Tsiëh. En I Âj£—yû, Muliebris ma- ses,animéesou inanimées.Enfants.Distinguer.
I/C (447)comp.| | Jgistraturasubdynas- Terme,limite.Principe; commencement. Nom
tià Han.Magistrature defemmessousla dynastiepropre.Lui : pèi-i,(V.n° 405)nonredis oculis
des Han(Hànfoû koudnming).Lemêmegroupe (torvè)adspicere. Regarderdetravers.
phonétique tsiëh,jointau radicalde la ' femme' Mlta-A. ludn.C.F. lùn.J. rin. [f.s.].
(38), a le mêmesens.Le caractèreci-dessusse iRrJ(45G)Ordonaturalis(tc'hângyè).Spe-
prendaussipour Tsiëh groupephonétiquecies(loiùyè, péîye). Juslilia(iyè). Ratio(liyé).
avecleradical' main',(même G4),et il signifiealors: Similitudo (piyè). Seligere(tsïhyè). Ordrena-
Celeriter;festinare{tsïhyè). Gaudium,lucrumtureldeschoses.Espèces.(Ch.w.).Justice,raison
(Ilyè).Opportunum; commodum (piényè).Promp-naturelle.Ressemblance. Choisir.Nompropre.
tement.Se hâter.Joie.Profit.Favorable ; avan- "T?T°ù—,proecipuarum -virtutum ordo.Y.n°05
tageux. ' 77 I ngu —, l'ordredes cinqgrandesrelations
ÉTYM. Cecaractère '
estcomp.dusigne homme sociales.1° Interregemetsubditos
et du groupephonétique tsiëh. ; 2° interpa-
tremet filios;3°intermaritumet uxorem;4°inter
F. 3.
/lt£cFàng. A.phdng. hong. hôo.[î.s.]. fratres majoresetminores ; 5° intersociosetarni-
I/JX.(448) Imitari(hicio yè); exemplar.Inniti cas.Hi respectus vo-\^ T 2? I ta —, où —,
(iyè). Imiter ; modèlequel'onseproposede sui- cantur: Magniordi-j\. \ JT | ta —, Im'u—,
vre.S'appuyersur. (Tseu-'wéï) nés;quinqueordines
77 9e RADICAL, ^ 8-9 TRAITS. 78
. T. fët^ Td ihiôh, ou la Grande Étude, ouvragede CONFCCIUS recueilli par ses disci-
y v -T- pies, en chinois, en latin littéral et en français, avecla traduction complète
du commentairede TCHOIT-HI. Paris, 1837, in-8°. Prix (réduit de moitié pour les souscrip-
teurs au Dictionnaire) , t 6 IV.
""lir^lS ^^ Tdotëh King, ou le Livre de la Raison suprême et de la Vertu, par
'^J3 |nu>'Pi LAO-TSEU. Traduit pour la premièrefois et publiéavecune version latine
littérale et le texte chinois en regard; accompagnéde la traduction complète du commen-
taire de Sie-hoéï,etc. Paris, janvier 1838.lre livraison,in-8°. Prix (réduitid.) 5 fr.
NOTAL'impression durestantdu livreserareprise.
T ^fe JE^ Î&A>/:&fa. |+j |3J r| Td T'sîn kîng kido lieôu Mng Tchoûng-
7v<nCM ^A »)h IJ l P^ UrKoûepéï. L'Inscription Syro-chinoisede
Sî-ngan-fou, monument nestorien élevé en Chine l'an 781de notre ère, et découverten
1625;texte chinois accompagnéde la prononciation figurée, d'uue version latine verbale,
d'unetraduction française de YInscription et des commentaires chinois auxquels elle a
donné lieu, etc. Paris, 1858,in-8°. Prix (réduit id.) 6 fr.
NOTA.CettecélèbreInscriptiona été reproduiterécemment en Chine,par desLettréschinois,dans
lestroiséditionssuccessives(de1844,1847et 1853)duHaï koûet'ou tchi,à la partiequi concernela
Judée(Livre26, folios13-22,del'éditionde 1853).Lescommentaires chinoisque nousavonstraduits
s'y trouventaussireproduits.C'estlà unenouvelleconfirmation
de l'authenticitédeladiteInscription.
EN PRÉPARATION: