Les enfants vivant au milieu des hostilités sont confrontés à différents risques en fonction de facteurs identitaires tels que l’âge, l’ethnicité la religion et l’expression du genre.
Selon une nouvelle étude, l’intégration du genre dans la mise en œuvre du mandat des enfants et des conflits armes, peut contribuer à une meilleure compréhension de l’impact des normes et des préjugés sur le genre, souvent invisibles, en matière de protection des enfants. 
C’est pourquoi la Représentante spéciale de l’ONU chargée de protéger les enfants lors des conflits armés appelle à inclure le genre dans le recueille des données pour éclairer les stratégies de prévention et de réponse.
Virginia Gamba donne quelques exemples illustratifs.
 
(Extrait sonore : a Gamba, Représentante spéciale de l’ONU pour les enfants et les conflits armés ; propos recueillis par Cristina Silveiro)