Qu'il soit perçu comme un bruit nuisible ou comme une composante indissociable de l'identité urbaine, le son fait partie intégrante du quotidien des Montréalais, de façon tantôt subtile, tantôt fracassante. Toutefois, un décalage marqué entre le paysage et les sons de la métropole exaspère des acousticiens, qui rêvent d'une intégration mieux pensée dans l'espace public. La composante sonore devrait-elle être davantage prise en compte quand vient le temps de réfléchir à l’aménagement des villes?Invité : Anne-Marie ProvostÉquipe :Meeker Guerrier, animateurAnne-Marie Provost, journalisteXavier Kronström Richard et Félix Deschênes, réalisateursMarie-Ève Brassard, recherchisteAlexis Elina, composition musicale originalePour joindre l'équipe du balado : balado@ledevoir.com