1
Evolution favorable : Amélioration
des lésions neurologiques
• traumatisme crânien en phase d’éveil,
• ablation chirurgicale récente d’une tumeur
compressive,
• accident vasculaire cérébral récent,
• sclérose en plaques à la phase de récupération
relative suivant une poussée,
• syndrome de Guillain Barré en voie de
récupération, etc…
Le plus souvent cette amélioration n’est pas totale et
cette phase se prolonge par une phase de
séquelles.
2
Evolution favorable : Amélioration des
lésions neurologiques
• C’est l’évolution idéale. Le rééducateur et son patient
sont heureux de voir les progrès qui ont lieu quelque soit
le type de prise en charge.
• Ces progrès spontanés semblent valider toutes les
formes de prise en charge, même les plus farfelues.
• Il faudrait que le thérapeute soit vraiment néfaste pour
obtenir un mauvais résultat.
• Pourtant, l’expérience prouve que l’approche
fonctionnelle permet de gagner du temps, et d’optimiser
totalement les acquisitions spontanées des patients.
• Les approches non – fonctionnelles (ou partiellement
fonctionnelles) peuvent laisser des lacunes importantes
dans les acquisitions.
3
Stabilité – chronicité des lésions neurologiques
Exemples :
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Stabilité – chronicité des lésions neurologiques
6
Aggravation rapide des lésions
neurologiques
• Exemples :
• SEP en phase de poussée évolutive,
• tumeur maligne en pleine évolution,
• etc…
Dans ces pathologies, le résultat
fonctionnel sera le plus souvent
décevant quelle que soit la
technique utilisée.
7
Aggravation très lente des lésions neurologiques
Exemples :
• Hérédo dégénérescence spino
cérébelleuses,
• SEP à formes lentement progressives,
• etc…
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Aggravation très lente des lésions neurologiques
11
Un consensus en neurophysiologie
Schéma simplifié du système nerveux central. Allen et
Tsukahara (1974) repris par J. Paillard
Ataxie page 58 fig. 2.2
12
Le schéma simplifié du système nerveux permet
d’expliquer les capacités motrices des patients
présentant un syndrome cérébelleux chronique.
Ataxie page 59 fig. 2.3 13
Le schéma simplifié du système nerveux permet
d’expliquer les capacités motrices des patients
présentant une ataxie proprioceptive chronique.
Ataxie page 61 fig. 2.4 14
Le schéma d’Allen et Tsukahara permet
d’expliquer les capacités motrices des patients
présentant un syndrome parkinsonien
15
Quelle compensation pour une lésion du cortex moteur ?
16
Syndrome pyramidal = atteinte du
faisceau pyramidal
Cette notion classique est devenu obsolète
(J. Massion)
L’exploitation + ou –
Possibilités de
efficace des capacités du
récupération capacité
patient dépendent du
de dépendant de la
rééducateur
lésion cérébrale
La rééducation en
neurologie a
Motivation et souvent été
participation décrite comme
du patient « l’art
d’accommoder
les restes25»