TIMISOARA
Brasov, Sighisoara
L'église typique de Maramures
Le regime communiste
• Après 1945, ceux qui ont accédé au pouvoir ont accepté: l’abandon des intérêts nationaux, la
soviétisation de la Roumanie, l’instauration de la dictature du prolétariat, l’annihilation de
l’État de droit et du pluralisme, la destruction des partis politiques et de la continuité
constitutionnelle de l’État roumain, l’annihilation de certaines catégories sociales (par
emprisonnements, déportations, travail forcé, marginalisation, assassinats).
• Les mouvements et les actions étudiantes ont été réprimées, les paysans s’opposant à la
collectivisation ont été arrêtés, déportés, tués, les mouvements ouvriers ont été réprimés, les
partisans de la résistance anticommuniste ont été exterminés.
• On ne peut pas ignorer la répression contre la culture et les cultes, contre le patrimoine
historique et culturel (par des démolitions), le rejet de la civilisation et de la culture
occidentale.
• On ne peut pas ignorer les effets de la « politique démographique » (la Loi 36/1966 interdisait
l’avortement), de « l’alimentation rationnelle » (la suppression des vivres), de l’interruption du
chauffage, la destruction des repères et leur remplacement par des dogmes (collectivisation,
industrialisation, suppression de la propriété privée), le « contrôle social » de la vie intime des
personnes, l’isolement par rapport au monde...
• La pauvreté et l’appauvrissement ont conduit à l’abrutissement, à la perte du respect de soi, de
la confiance et l’esprit de solidarité...
• croître la dépendance à l’égard des ressources publics (cette dépendance n’a pas été
strictement économique, toutes les libertés ont été limitées par l’État ayant des aspirations
totalitaires).
• En 2006, le président de la Roumanie a condamné le système communiste – depuis sa création
(1944– 1947), jusqu’à son effondrement (décembre 1989) – le définissant comme « illégal et
criminel » .
La mentalité paternaliste
• Dans quelle mesure les habitants manifestent-ils de l’intérêt pour la gouvernance locale? Sont-ils
prêts à s’impliquer dans le développement de la localité? Que savent-ils et de quelles sources sur
l’activité de la Mairie et du Conseil Local? Participent-ils aux réunions publiques? Dans l’affirmative,
quelles sont les questions qu’ils soulèvent? Croient-ils que les projets visant le développement
durable pourraient être menés à bonne fin dans leurs communautés? etc.
• À partir des données de l’Eurobaromètre de 2010, 24% des villages, pendant les deux années avant,
n’ont pas organisé de réunions publiques ; 48% des habitants interrogés n’ont pas participé à des
réunions pareilles ; dans 73% des communautés territoriales n’existaient pas des organisations
communautaires ; 75% des villages n’ont déposé de projets pour obtenir des fonds europeens etc.
• Les perceptions et les représentations concernant le rôle de l’État dans la vie de ses citoyens
peuvent prouver le degré de (in)dépendance à l’égard de l’État, aussi que la (in)capacité d’assumer
des responsabilités individuelles. Dans une recherche de 2010 utilisant des indicateurs de mesure de
la perception du rôle de l’État, on a constaté que
• les Roumains perçoivent l’État comme protecteur (78% en 1990, 63% en 2010),
• ils considèrent que l’État doit protéger les gens face aux problèmes économiques (32% en 2010,
• 36 % affirment que « chacun doit savoir prendre soin de soi-même »).
• 88% voyent l’obligation du Gouvernement d’assurer des emplois aux citoyens ;
• 97% considèrent que c’est l’obligation de l’État d’assurer un niveau de vie décent aux vieillards,
d’assurer du soin médical aux malades, un niveau de vie décent aux chômeurs.
principes:
• l’universalité: chaque personne a le droit d’assistance sociale dans les conditions prévus par les lois;
• la solidarité sociale: la communauté participe a l’aide des personnes en dificulté pour maintenir la
cohésion sociale;
• le parténariat: les institutions publiques et les organisations de la societé civile cooperent pour
organiser et developper les services sociaux;
• la subsidiarité: l’Etat intervient quand l’initiative locale ne satisfait pas suffissament les besoins des
personnes et des groupes.
L’ORGANISATION ET LE FONCTIONNEMET DU SYSTEME D’ASSISTANCE SOCIALE
AU NIVEAU CENTRAL
b. Allocation supplementaire pour les familles qui ont d’enfants (Loi 119/1997)
Les conditions pour obtenir cette allocation sont prouvés par le livret de famille (dans lequel sont inscrits : les membres de la
famille, la filiation des enfants, leur situation juridique etc.
Il est completé par la mairie (en base de documents originels: certificat de mariage, actes d’identité de deux épouses, certificats
de naissance des enfants etc.) et donné au titulaire par le maire, a l’ocasion du mariage ; completé a la main, l’ancre noire, en
langue roumaine ; n’est permise aucune modification ; chaque complétation ulterieure, chaque actualisation est faite par le service
d’état civile du conseil local de la localité de domicile.
Les enfants confiés aux instituions de protéction ne sont considerés dans l’entretien de la famille.
Ni cette allocation n’est imposable.
c. Allocation complementaire pour les familles dont chaque membre a sous 40 euros par mois, et pour les familles monoparentales.
d. Allocation d’entretien pour les enfants en placement famillial ou confiés (environ 20 euros par mois)
Une comission au niveau de departement analyse la situation d’un enfant en difficulté et, dans son interet, decide :
Le confier a une famile, personne ou organism privé autorisé ;
L’adoption
Provisoirement dans un service publique autorisé
Placement dans une famille
Placement dans un service publique specialisé
Placement en regime d’urgence
Placement dans une famille assistée.
! Le respect de la continuité rationelle de l’éducation de l’enfant, de son origine étnique, réligieuse, culturelle, linguistique.
d. Allocation pour les nouveaux-nes (environ 60 euros) pour les premiers 4 enfants nés vivants.
2. LES AIDES SOCIAUX ET SPECIAUX
a. Revenu minimum garanti mensuel, pour les familles et pour les personnes seules.
Une ênquète établit tous les revenus realisés par la famille (y compris les terrains, les batiments, biens mobiles et imobiles etc.).
L’obligation d’une declaration sur responsabilité de la part de la personne qui sollicite le RMG.
Le montant est assuré par le budget local (en argent, nature, payement de dépenses pour entretien, le chauffage de la maison) etc.
Les personnes aptes de travail qui ont RMG sont obligés a effectué 72 heures de travail d’interet local.
Quand les conditions ne sont pas accomplies, le RMG peut-etre suspendu ou modifié.
La responsabilité pour l’enquete appartient au travailleur social etc.
b. Aide d’urgence
pour couvrir les dépenses avec l’enterrement
aide financier pour les personnes en extreme difficulté a cause de la santé,
Aide pour les personnes ayant afféctions tres graves, pour traitement et interventions chirurgicales a l’étranger
aides pour les réffugiés
aide pour chauffage pendant le saison froid (5 mois, 1novembre-1 avril)
aide pour les veterrains de guerre etc.
1. Les services d’assistance sociale sont des services professionnalisés, par méthodes et téchniques spécifiques de diagnose et intérvention
(information, consilliation, thérapie individuelle et collective).
2. Les services de soin socio-medicale pour les personnes qui sont en impossibilité d’avoir une vie digne, dues au afféctions physiques,
psychiques, mentales ou sensorielles ; ainsi, pour les personnes qui souffrent de maladies incurables en derniere phase.
a. services primaires
idéntification de besoins individuelle et de groupe
idéntifier les beneficiaires
information sur les situation de risque, sur les droits des personnes,
mesures éducatifs et de surveillance
conseils pour:
les personnes agées, handicapés, malades croniques, dependants d’alcool, substances toiques, drogues, contaminés SIDA, pour
leurs familles,
pour les familles qui adoptent des enfants,
pour les jeunes qui quittent les institutions de protection,
pour les personnes negligés, abusés, victimes de la violence, de trafique de personnes, prostitution etc.
pour les SDF, victimes du trafique etc.
b. Services specialises
accueil, soin, recupération, réhabilitation, reinsertion pour les handicapés, malade croniques, dependantes d’alcool,
substances toxiques, drogues, victimes de la violence etc.
support et assistance, accompagnement pour les enfants et les familles en difficulté
l’insértion de jeunes qui quittent le systeme de protéction apres 18 ans
assistance et soutien pour les personnes agées
acceuil et soin en situations d’urgence etc.
2. Les services de soin, surveillance socio-medicale
Services de support : aide pour preparer la nourriture, pour livrer la nourriture, faire des
achats, activités de menage, accompagner dans les moyens de transport, recréation etc.
Les furniseurs de services sont personnes physiques ou juridiques, publiques ou privés qui
sont acreditées dans les conditions de la loi; le personnel de specialité est formé en
institutions d’enseignement supérieur.
Les standards de qualité etablis par MMSSF.
Les furnisseurs ont des contrats, conventions.
Les membres desfamilles et les volontaires peuvent être impliqués.
Les services spécialisés sont realisés par les équipes pluridisciplinaires (assistant social,
assistent maternel, intendant, accompagnateur, assistent personnel, éducateur specialisé,
psychothérapeute, psychopédagogue, thérapeute, kinetothérapeute, logopede, médecin etc.
La sollicitation - en étapes :
Evaluation initiale
Plan d’intervention
Evaluation complexe
Plan individuel
Implementation des mesures du plan
Monitorisation
Reevaluation
Les Services communautaires d’assistance sociale (l’administration publique locale paye le furniseur pour un service
accordé au beneficiaire)
changer les mentalités et acquerir un minimum de connaissances de culture sociale, culture de la vie saine.
impliquer les specialistes bien formés
impliquer les ONG
developper, diversifier les services, leur efficacité
un systeme correcte de monitorisation des services et de fonds depensés.
Les Services specialises d’assistance sociale en institutions et au domicile: enfants, pers.handicap, personnes agees;
services sociales : soin, prevention de la marginalisation, integration, conseils juridiques, administrative, soutien pour le
payement de dettes, menage du logement, preparation de la nourriture etc.
services sociomedicales : hygiene personnelle, readaptation physique et psychique, adaptation de la maison en foction
des besoins de la personne etc.
Les memes services dans les foyers pour les personnes agées.
L’Accueil dans les institutions d’assistance sociale se realise quand le maintien au domicile n’est pas possible ; il faut une
évaluation sociale et sociomédicale de la personne.
Il y a un nomenclateur des institutions d’assistance sociale.
Problemes sociaux lies aux familles:
familles desorganisées,
Orphelins,
abandon familial,
Monoparentalite,
enfants seuls,
Divorcés,
problemes d’ordre économique : revenu insufissant, budget desequilibré etc.
problemes d’ordre éducatif : negliger, nesurveiller les enfants, manque de soin
problemes d’ordre socio-afectif : mécontentements, tensions etc.
Autres :
Vagabondage,
sans-abris
mandience
prostitution
consommation d’alcool
migration (i)legale etc.
FINANCEMENT:
Le budget d’Etat
Le budget local
Fonds extrabudgetaires, donations, sponsorisations, contributions des
beneficiaires.
Fond Roumain pour Developpement Social (Loi 129/1998)
Activites autofinances
Les arrangements institutionnels ont été le résultat des intérêts politiques internes et de réactions aux pressions
occidentales (Banque mondiale, FMI, UE) afin de rejoindre les structures euro-atlantiques, ou imposer des
conditions sur les prêts...
Nominations à des postes sur des critères politiques (postes qui demandaient compétence, d’où l’entree dans la
structure des opportunistes incompétents qui ont commencé chaque fois de « zéro » …)
Compensation de l'inefficacité par indemnisations généreuses et "dons" électoraux (fait qui a conduit à une
dépendance accrue de l'Etat de nombreux segments sociaux…),
Ignoration de groupes sociaux à risque reel, mais sans impact contestataire et électoral.
retraites anticipées, départs en retraite frauduleuse, retraites de luxe (MAPN, MI, SRI etc) ; ont conduit à
augmentation du nombre de retraités à 6 millions, tandis que le nombre d'employés est 5 millions (d’où
déséquilibres majeurs dans le système de protection sociale).
La baisse du taux de natalite et de mariage (nombreux jeunes, en particulier de zones rurales, ont quité le pays
pour trouver un emploi).
niveau des pensions et des salaires très faibles pour les plus nombreux, et tres hauts pour les privilégiés (les
élus ont voté eux-mêmes leurs pensions spéciales, les magistrats ont donné de verdicts afin d’avoir salaires et
pensions privilégiés, ainsi que les personnes retraitées du MI, MAPN, SRI, SIE, ME …
les fonctionnaires publics etc ont eu leur système de rémunérations spéciales, benefices etc.
Meme les prêtres - catégorie sociale qui à une grande influence dans les communautés et sur les politiques - ont
reçu des privilèges (salaires, subventions pour la construction et la réparation des églises, l'introduction de la
religion à l'école pour donner emplois au milliers des diplômés des facultés de théologie)...
Dans ce contexte,
une polarisation des revenus
ressources insuffisates pour les catégories qui sont vraiment à risque et ne demandent des aides...
La plupart des documents, lois etc. sont similaires a celles européenne ;
la Roumanie a dû les appliquer ...
Un gros problème est le manque de l'approche intégré et de la capacité de mise
en œuvre de stratégies
Effets négatifs :
l'absence de cohérence decisionnelle et institutionnelle, expérimentation
continue, provisorat, incertitudes…
… toutes ont été estompees entre 2000 - 2008 grace a l'opportunité de travailler à
l'étranger.
Plus concretement:
REVENUS, INEGALITE, PAUVRETE
Revenu moyen des ménages en Roumanie est un quart du revenu moyen des ménages dans les anciens
États membres de l'UE (UE-15)
La Roumanie est parmi les pays européens à forte incidence de la pauvreté ( 19% en 2010).
Les populations les plus exposes au risque de pauvreté sont : les enfants, les personnes âgées seules, les
agriculteurs chômeurs, les retraités, les tziganes etc.
Le risque de pauvreté est plus élevé dans la population rurale et la population du Nord-Est, Sud-Est et du
Sud-Ouest du pays etc.
Propositions:
distribution et redistribution des revenus centrées sur les familles avec nombreux enfants,
encourager les jeunes et les chomeurs entrer sur le marché du travail,
encourager ceux en préretraite restent plus longtemps au travail,
garantir un revenu minimum pour les personnes âgées sans pension, pour les autres qui n’ont revenus.
une loi unique pour les salariés budgétairs afin de réduire / éliminer les inequités du système.
corrélation des revenus (salaires, bénéfices, etc.) avec les taxes / cotisations au système de sécurité
sociale
relations bien pensés, harmonisés et réglementés entre le salaire minimum, les allocations de chômage,
la pension etc
système de prévention et de contrôle de l'allocation des ressources publiques pour prévenir
et éliminer les inégalités et la fraude.
L’interdiction par la loi, de toute approbation des dépenses, sans
couverture budgétaire certifié par le Ministère des Finances !
RISQUES, VULNERABILITES ET SOLUTIONS LIEES A L'EMPLOI
Propositions prioritaires:
La création d'emplois (exploitations minieres, PME etc.)
Les jeunes de zones rurales, les tziganes, les femmes - groupes cibles prioritaires pour les
politiques de l'emploi.
- Mise en œuvre des programmes de travaux publics en se concentrant sur les zones rurales et pauvres.
- Promotion des formes flexibles d'emploi etc.
L'accès des jeunes a un logement est difficile, surtout dans les zones urbaines (ne peuvent accéder aux prêts
hypothécaires; devraient faire économies plus de 30 ans pour acheter un appartement de deux chambres…)
la plupart des tziganes vive dans les mauvaises conditions de logement (effets sur d'autres aspects importants
de leur vie, en particulier sur l'éducation et l’acces a la santé).
le nombre de personnes sans-abri : 10 000-12 000 (24 morts pendant les derniers jours …)
Mesures prioritaires:
L'augmentation des dépenses publiques pour logements
Accroître l'accès aux services publics (eau etc.) en particulier dans les zones rurales.
programme de micro-prêts pour améliorer les conditions de vie, isolation thermique, reparation des facades etc.
Amélioration de l'accès à un logement décent pour les tziganes
programme de logement pour les jeunes
refuges et services pour les sans-abri etc.
LE SYSTEME DE PROTECTION SOCIALE
Les pensions et les assurances santé - environ 78% des dépenses sociale totales
Les dépenses annuelles totales pour les retraites - plus de 10 milliards euros (la plus grande
catégorie de dépenses budgétaires - environ 7,8% dans le PIB, en 2010).
régimes spéciaux injustes, pensions d'invalidité incorrectes (le nombre de pensions d'invalidité a
augmenté quatre fois depuis 1990 ...)
Mesures:
Réduction du nombre de retraités
élimination de retraites aberrantes (exagérément élevés)
Réduction du nombre de revolutionnaires remuneres
Augmentation de l'âge de la retraite à 65 ans pour les deux sexes
éviter de déséquilibrer le fond de retraite par decisions politiques ou judiciaires
l'unification du système public de retraite etc.
SERVICES D’ASSISTANCE SOCIALE
une concentration des services et institutions dans les villes chefs de
departement, loin des bénéficiaires, des communautés rurales…
services publics sociaux (SPAS) dans les zones urbaine, mais en milieu rural 18% en
2010...
l'amplification des problèmes sociaux et l'émergence des autres - "neufs" pour la société
roumaine : trafic de personnes, prostitution, consommation de drogues etc.
Problèmes à long terme pour des personnes âgées dans les zones rurales etc.
Propositions:
un système (de services) d’assistance sociale suffisant afin de prévenir et empecher
l'aggravation de cas sociaux
contrats des services sociaux
développement du partenariat public-privé
parce que les services dans les centres de soins de jour sont coûteux pour une
collectivité, sont necessaires centres de conseil et de soutien pour les parents etc.
dans le milieu rural etc.
SANTÉ
L’effort publique pour la santé est très faible (par rapport à celui d'autres pays
européens) ; mais a augmenté de 1 milliard euros en 2000, a 5 milliards en 2010.
Toutefois, il y a un décalage entre régions, communautes en ce qui concernent les
infrastructures et le personnel médical et pharmaceutique
Dans les zones urbaines sont:
88,8% de tous les hôpitaux,
91,7% de tous les cabinets médicaux,
92,3% des centres de diagnostic et de traitement,
98,1% des cabinets de specialite
79,5% de toutes les pharmacies...
Propositions:
programme national pour garantir l'accès aux services de santé de base et aux
pharmacies dans les zones rurales
la réorganisation du système (la Loi de santé actuelle 2012 et les revoltes dans tout
le pays ...)
Introduction d'assurance privée complémentaire etc.
EDUCATION
La participation à l'éducation est similaire à d'autres pays européens
La massification de l'enseignement supérieur
Difficultes d’acces pour les jeunes issus de familles très pauvres et les tziganes
Decalages etno-socio-culturelles etc.
Mesures
Évaluation de la qualité de l'éducation (la nouvelle Loi de l’education - 2011)
renforcer la collaboration entre l'école et les travailleurs sociaux en milieu
scolaire
l'extension et modernisation d’ecoles (maternelles etc.)
curriculum axé sur le développement des compétences, mieux adapté aux
réalités actuelles et aux exigences des employeurs.
L'utilisation des NTIC (facilites pour les enfants de familles pauvres etc.)
soutenir et de développer les programmes de type «la deuxième chance» etc.
GROUPES SOCIAUX A RISQUE ELEVE D'EXCLUSION SOCIALE
Les enfants
Si en 1989 en Roumanie les « maisons d’enfants », les «orphelinats» ont accueilli plus de 100.000,
en mars 2009, leur nombre a diminué à 19.856 (desinstitutionnalisation); même si des progrès
sont visibles, le nombre d'enfants à risque s’est peu diminué.
Un problème majeur : la protection des enfant restes a la maison, les parents a l’etranger
(risque de maltraitance des enfants, d'exploitation par le travail etc.)
Insertion socio-professionnelle des jeunes qui quittent le système aide à l'âge de 18 ans.
Mesures prioritaires
une evidence claire et cohérente du nombre des personnes a risque, handicapées etc.
Révision et unification des règles, des procédures pour encadrer dans un niveau, degré d’
handicap etc.
Promouvoir les soins communautaires et a domicile
Accroître l'accès public pour les personnes handicapées etc.
TZIGANES
(environ 600 000 en 2012 – recensement 2011)
Les tsiganes sont victimes de discrimination directe ou indirecte.
Une grande partie vit dans la banlieue de la société.
Le risque de violence ethnique ne peut être négligée ( exploité politiquement -
comme en Italie, particulierement penadnat la crise économique actuelle…).
Sortie premature du système d'éducation, associée à une trajectoire de vie difficile
Seulement 53% des hommes et 23% des femmes effectuent un travail rémunéré
(seulement 27 % des hommes salariés)
Environ 15% n'ont pas accès à l'électricité dans la maison etc.
Polarisation forte a l’interieur de l’ethnie etc.
Propositions:
La Strategie pour … continue
un guide pour la surveillance des données privées afin de permettre le suivi et
l'élaboration des politiques adaptées à leurs besoins
mécanismes de contrôle des aides etc.
LE CADRE INSTITUTIONNEL POUR LES POLITIQUES SOCIALES
Propositions:
création de l’Observatoire social national,
un rapport annuel sur la situation sociale
Plan opérationnel pour l'application du Pacte social, en particulier pendant la crise
actuelle etc.