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Le Gaz De

Shiste
Qu’est-ce que le gaz de
Shiste
Le gaz de schiste, aussi appelé
gaz de shale, est du gaz naturel
de type non conventionnel.
puisqu'il ne peut être extrait
selon les techniques de forage
dites classiques. Il est
emprisonné dans des formations
rocheuses sédimentaire , déposée à
l’origine sous forme d’argile et de
limon, situées entre 1 et
3 kilomètres sous terre.
D’apparence semblable à celle de
l’ardoise d’un tableau noir, le
schiste est la roche sédimentaire
la plus répandue au monde comme il
possède moins d'impureté que
d'autres ressources naturelles il
bénéficie d'une forte demande dans
l'industrie. Sa présence dans le
sous-sol québécois est dut à la
transformation de sédiments et de
matières organiques il y a 450
millions d'années dans les basses-
Comment retiré le gaz de schiste ?
 À cause de la faible perméabilité de
cette roche, le défi était de trouver un
moyen pour récupérer le gaz sans qu'il
s'échappe par les fissures.
 C'est grâce au travailleur ingénieur
et entrepreneur texan George Mitchell
qu'il a été possible de développer une
méthode d'extraction. Après plusieurs
année d'essais, il a mit au point la
technique de la fracturation hydraulique
vers la fin des années 1990.
 À la suite d'un forage vertical, et
d’un à l'horizontale, permet de récupérer
le gaz dans la couche de schiste de chaque
côté du puits.
 L'hydrofracturation consiste à
injecter de l'eau, dont la pression fait
éclater la roche, et du sable au moment de
la fracturation du schiste.
 Les grains de sable, qui s'incrustent
dans les fractures pour les refermer,
constituent la principale innovation dans
le procédé d'extraction du gaz de schiste.


Pourquoi en parle-t-on
maintenant ?
Car la découverte d'une
importante quantité de gaz de
schiste au Québec, fin 2007, et
l'amélioration des techniques
de forage ont suscité l'intérêt
des sociétés gazières du pays
aussi bien que celle du
gouvernement.
Les Avantages du
développement de l’industrie
des gaz de Schiste au
Québec.
Selon les calculs de la ministre des Ressources naturelles, Nathalie
Normandeau, le Québec achète à l'Alberta près de 14 milliards de
dollars annuellement en pétrole et en gaz.
L'économiste en chef de Talisman Energy, Dean Foreman, estime que si le

Québec exploite le plein potentiel de cette ressource naturelle, il


éviterait d'importer l'équivalent de 2 milliards de dollars par
année en hydrocarbures André Caillé évalue que l'industrie du gaz
de schiste pourrait créer autour de 7500 emplois locaux.
Le Ministère des Ressources naturelles et de la Faune parle aussi de

quelque 3000 emplois indirects.



Les Désavantages du
développement de l’industrie des
Gaz de Schistes au Québec.
 L'un des principaux enjeux de l'exploitation du gaz de schiste repose sur la manière
de la réaliser sans risques pour l'environnement et les populations locales.
 Les conséquences sur l'environnement de cette industrie encore jeune demeurent
incertaines. Aux États-Unis, les risques ont déjà été démontrés en Pennsylvanie, où des
nappes phréatiques ont été contaminées par des fuites de gaz.
 Si les experts de l'industrie se veulent rassurants quant aux possibilités de fuites à
cause des nouvelles mesures de forage, soulignant que les puits sont maintenant
construits avec un triple coffrage d'acier cimenté, les effets à long terme sont encore
méconnus.
 La technique de fracturation utilise 95 % d'eau, environ 5 % de sable et moins de 1
% de produits chimiques . Ces produits permettent notamment d'augmenter la fluidité de
l'eau, d'éviter la corrosion des coffrages protecteurs du puits et d'éliminer la
pollution organique.
 Les groupes écologistes s'inquiètent du fait qu'entre 25 et 50 % de l'eau utilisée
pour le procédé d'extraction, donc mélangée aux additifs, est récupérable - ce qui est
bien peu à leur avis.
 Certaines compagnies gazières ont publié une liste des produits utilisés. Ils sont
inoffensifs, estiment-elles, puisqu'on peut les retrouver dans nombre de biens de
consommation. Comme aucune réglementation ne les force à publier ces listes, rien ne
garantit qu'elles soient exhaustives.

Le Ministère du développement durable ,
de l’environnement & des Parcs.
Le ministère , dirigé par Pierre Arcand , est généralement contre
pour la raison sur l’environnement. Leurs argument sont que le gaz
de schiste est un gaz à effet de serre & augmente la pollution
atmosphérique. De plus puisque le gaz est situé dans le sol donc
près des nappes phréatiques ce qui pourrait les contaminés , ainsi
que les court d’eau environnantes. Par contre ils sont pour sur le
plan économique et développement du Québec.
Pour ce faire le MDDEP exigera quelle règlement pour d’obtenir
davantage d’information, notamment sur les aspects suivants :
La nature et la quantité des produits chimiques utilisés;
Les analyses de l’eau usée en vue de son traitement;
L’étanchéité des surfaces de travail et d’entreposage pour prévenir
une contamination des sols et des eaux souterraines;
Les méthodes proposées pour la gestion des boues de forage et des
matières résiduelles;
La manipulation et l’entreposage des matières dangereuses;
Les nuisances comme le bruit;
Le processus de fracturation.
Le Président de l’APGQ
André Caillé.
Le président de l’APGQ , André Caillé , est pour
l’exploitation du gaz de schiste sous notre sol québécois.
Pour les raisons que cette industrie rapporterais beaucoup
d’argent car elle a un grand impact économique pour le
Québec. Et permettra de créé une multitude d’emplois pour
la population.
M. Caillé s’est défendu sur le plan environnementale que le
gaz de schiste est une énergie propre et qui dégages moins
de GES comparé au Charbon & au mazout.
De plus Il promet un avenir prospère à cette source
d'énergie controversée. M. Caillé estime que le gaz de
schiste :
permettra de stabiliser l'offre énergétique partout dans
le monde, notamment en Chine et en Inde;

donnera le temps aux énergies polluantes d'être plus
propres en répondant, avec le nucléaire et le pétrole de
schiste, à la demande énergétique;

et permettra, avec l'hydroélectricité, de tripler l'offre
énergétique pour mettre fin à la « pauvreté énergétique ».
Jean Charest
Sans aucun doute le premier ministre du
Québec est n’y vas pas a reculons
concernant l’exploitation du gaz de
schiste au contraire il y vas de l’avant
comme tout les groupes qui sont pour
l’exploitation, Sont argument est que
cette industries rapportera beaucoup de
revenu pour la province.
Nathalie Normandeau
Selon la vice première ministre, ainsi que ministre
des ressources naturelles du Québec, Nathalie croit
que la province a besoins de cette ressources car
elle permettra un essor sur l’économie du Québec
ainsi elle nous rendrais plus indépendant des
province de l’ouest sur les gaz naturel. Elle estime
qu’il y a assez de gaz pour nous subvenir durant au
moins 200 ans. De plus Nathalie dit qu’elle a un
sentiment de fierté envers le gaz de schiste qui
nous appartiens.
Le BAPE

Le BAPE est particulièrement


neutre. Ils doivent effectué des
recherches & des analyses avant
de dire si Oui ou Non le gaz de
schiste est nocif sur
l’environnement.
La population de Sainte-Foy

Il n’y a pas de doute , les population des régions


touché par cette nouvelle industries ne sont pas
contents , entre autre la population de Sainte-Foy.
Ils s’opposent sur le fait que l’exploitation créera
beaucoup de bruit et plus de pollution
Leurs grandes peurs sont : Que vas t-il arrivé a la
valeur de leur maison , vont-il avoir une compensions
pour l’empiètement sur leur terrain. Cette industries
fait beaucoup réagir la pollution.
Pauline Marois
La chef de l’opposition , Pauline Marois ,
est contre l’exploite du gaz de Schiste
car selon elle il aurais trop de risque
que nous ne connaissons pas encore , et
qu’il devrait y avoir une plus grande
analyse sur ce gaz. Si elle était élue
première ministre du Québec, Pauline
Marois exigerait que la moitié de la
richesse créée par l'exploitation des gaz
de schiste revienne à l'État. Pauline
Marois en a profité pour dénoncer la
proximité qu'elle perçoit entre le
gouvernement et l'industrie, ainsi que
l'octroi « de permis d'exploration à
rabais ».
Opinion de Citoyennes
ABYGAËL
Elle est contre parce que
SARAH
ça peut être nocif pour Elle est pour parce qu’elle pense
l’environnement et n’aimerais qu’on peut développer des
pas avoir un site de forage techniques sur l’exploitation du
près de chez elle , gaz de schiste qui pourront
conscience de citoyenne. Par réduire les impacts nocifs sur
contre , elle comprend aussi l’environnement. Elle croit qu’on
l’idée que cela peut avoir de pourrait négocier ou faire des
nombreux avantages compromis où tous le monde
économiques pour le Québec donnera du siens. Selon elle ,
et permet d’être plus nous avons besoin de l’argent que

CYNTHIA
indépendant économiquement. procurerais cette industries au
Québec, elle aiderait
économiquement aux écoles, à la
Elle est contre car on peut bien ignoré les dette Provinciale, à
dangers sur l’environnement , mais ça reste l’indépendance de la province,
qu’ils sont là quand même. C’est assez aux services public etc. Par
évident que le gaz de schiste est dans le contre, tout doit être partagé ,
sol , donc c’est claire que sa va contaminé c’est- à – dire nationaliser
les nappes phréatique & les cours d’eau cette ressource naturelle.
environnantes . Mais on sais que l’important
pour tout les hauts dirigeants c’est l’argent
qui compte le plus et qui passe avant tout.
Enfin bref si j’étais une citoyenne d’une
ville où il y aurait l’exploitation, je
n’hésiterais pas a dire mon mots , comme

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