systèmes de communications
mobiles CDMA,OFDM, OFDMA,
WCDMA…
Chapitre 0 Introduction et Motivation (4 h)
TV terrestre
500 MHz
Partie émission :
Partie réception :
signal
antenne duplex ampli Démod ampli Décod
utile
LNA
synthé fi
Notion de canal radio
La chaîne de transmission radio :
émetteur RF récepteur RF
num/analog analog/num
canal radio
Les « boîtiers » contenant l’électronique sont reliés aux antennes via
des lignes ou câbles (feeders).
D’un point de vue traitement du signal, l’ensemble des déformations de
l’onde engendrées par la propagation guidée+libre forme le canal radio.
Où se perd l’énergie ?
Agenda
• information analogique
• information numérique
1. Structure générale d ’une chaîne de transmission
A) Information analogique
A) Information analogique
A) Information analogique
A) Information analogique
A) Information analogique
A) Information analogique
Ampli. réception
Source Transducteur Emetteur
filtrage
(démodulation)
(décodage) Canal
(C. Num.-Anal)
Amplification
(de puissance)
A) Information analogique
B) Information numérique
B) Information numérique
Terminaux informatiques
(ou autres)
B) Information numérique
Equipements Terminaux de
Traitement des Données
B) Information numérique
Equipements de Terminaison
de Circuit de Données
=
Modem
B) Information numérique
Interfaces numériques
B) Information numérique
Interfaces analogiques
B) Information numérique
Ligne de transmission
Définition :
Exemples :
• Signal analogique
• Signal numérique
2. Transmission en bande de base
2. Transmission en bande de base
2. Transmission en bande de base
Avantages de la TBB :
Inconvénients de la TBB :
Inconvénients de la TBB :
• Impossibilité de transmission à l’air libre pour signaux BF
fmin fmax
20 Hz 20 kHz
Son
l = 15000 km l = 15 km
20 Hz 5 MHz
Vidéo
l = 15000 km l = 60 m
3. Modulation
Définition :
Avantages de la modulation :
Avantages de la modulation :
Df / f faible : 10 / 500 = 2%
3. Modulation
Avantages de la modulation :
f
Spectre d’amplitude d’un message en bande de base
3. Modulation
-f1 f1 f
... ... f
-f2 -f1 f1 f2
3. Modulation
Inconvénients de la modulation :
Modulations analogiques
3. Exemple Modulation
PORTEUSE
continue
(sinusoïdale)
impulsions
3. Exemple Modulation
PORTEUSE MESSAGE
continue analogique
(sinusoïdale) (continu)
discret
impulsions (numérique)
3. Exemple Modulation
PORTEUSE MESSAGE
continue AM - FM - PM analogique
(sinusoïdale) (continu)
discret
impulsions (numérique)
3. Exemple Modulation
PORTEUSE MESSAGE
continue analogique
(sinusoïdale) (continu)
ASK
FSK
PSK
discret
impulsions (numérique)
3. Exemple Modulation
PORTEUSE MESSAGE
continue analogique
(sinusoïdale) (continu)
PPM
PAM
discret
impulsions (numérique)
3. Exemple Modulation
PORTEUSE MESSAGE
continue analogique
(sinusoïdale) (continu)
discret
impulsions (numérique)
PCM - W-CDMA
Exemple de Modulations en
Pratique
• Modulations analogique
– AM
– FM
– ...
• Modulations numérique
– FSK
– GMSK
Modulation AM
Fs = 8000; % Sampling rate is 8000 samples per second.
Fc = 300; % Carrier frequency in Hz
t = [0:.1*Fs]'/Fs; % Sampling times for .1 second
x = sin(20*pi*t); % Representation of the signal
y = ammod(x,Fc,Fs); % Modulate x to produce y.
figure;subplot(2,1,1);
plot(t,x); % Plot x on top.
subplot(2,1,2); plot(t,y)% Plot y below.
Modulation AM
Pour deux signaux sur deux canaux différents
y = awgn(y,10,'measured',103); % Add0.5noise.
z = amdemod(y,Fc,Fs,phasedev); % Demodulate.
% Plot the original and recovered signals.0
figure; -0.5
plot(t,x,'k-',t,z,'g-');
-1
legend('Original signal','Recovered signal');
-1.5
-2
0 0.5 1 1.5 2 2.5
Modulation AM DBL
% Sample the signal 100 times per second, for 2 seconds.
/ BLU
Fs = 100;
t = [0:2*Fs+1]'/Fs;
Fc = 10; % Carrier frequency
x = sin(2*pi*t); % Sinusoidal signal
% Modulate x using single- and double-sideband AM.
ydouble = ammod(x,Fc,Fs);
ysingle = ssbmod(x,Fc,Fs);
% Compute spectra of both modulated signals.
zdouble = fft(ydouble);
zdouble = abs(zdouble(1:length(zdouble)/2+1));
frqdouble = [0:length(zdouble)-1]*Fs/length(zdouble)/2;
zsingle = fft(ysingle);
zsingle = abs(zsingle(1:length(zsingle)/2+1));
frqsingle = [0:length(zsingle)-1]*Fs/length(zsingle)/2;
% Plot spectra of both modulated signals.
figure;
subplot(2,1,1); plot(frqdouble,zdouble);
title('Spectrum of double-sideband signal');
subplot(2,1,2); plot(frqsingle,zsingle);
title('Spectrum of single-sideband signal');
Modulations Numériques
Pour le représentation des signaux numérique en utilise
des ensemble d’éléments finie.
Exemple de signaux
[2 3; 3 3; 7 3;0 3;]
Exemples de modulation numé
% Create a random digital message
M = 16; % Alphabet size
x = randint(5000,1,M); % Message signal
% Use 16-QAM modulation.
y = qammod(x,M);
% Transmit signal through an AWGN channel.
ynoisy = awgn(y,15,'measured');
% Create scatter plot from noisy data.
scatterplot(ynoisy);
% Demodulate to recover the message.
z = qamdemod(ynoisy,M);
% Check symbol error rate.
[num,rt]= symerr(x,z)
Exemples de modulation numé
Combinaison de la modulation avec un filter de forme
La bande de garde
La bande totale
La bande de chaque canal
Exemple :
TDMA en pratique
Une Trame constitue de m slots du temps
La transmission d’un utilisateur n’est pas continue : la nature
numérique du signal
Overhead
time
2. Partage des ressources radio
Principe
7. Canal physique duplex
fu = fd – DWduplex
Si les codes sont bien choisis, sur la durée d’un bit, (donc de m chips), la
moyenne de CA.CA et de CB.CB est égale à m/2, tandis que CA.CB a une
moyenne nulle :
Remarques :
La séquence somme est transmise sur trois niveaux d’amplitudes avec
deux émetteurs. quatre avec trois émetteurs etc. La moyenne sur chaque
durée d’un bit est nulle.
En réception les signaux sur chaque durée d’un bit de message ont une
moyenne non nulle, ce qui permet la reconstitution du signal par simple filtre
passe bas.
Les codes sont choisis tels que leur produit scalaire CA.CB soit nul et CA.CA
soit maximum (codes orthogonaux = produit scalaire nul).
Cette notion de produit scalaire n’est pas limitée aux vecteurs dans le plan,
mais est générale. Le code est ici un vecteur dont les composantes sont les
chips.
Principe de l’accès multiple avec codes
Si l’on effectue une moyenne non pas sur les chips d’une période mais à
cheval, les moyennes seront globalement plus faibles => ceci permet de
synchroniser la réception pour certains systèmes, en recherchant la position où
l’on obtient (en valeur absolue) un maximum.
Les codes sont dans ce cas choisis tels que le produit scalaire d’un code
par lui-même décalé soit pratiquement nul.
En revanche, si le bruit est en bande large tel que le bruit blanc gaussien, plus
la bande est large plus la puissance du bruit est importante (densité spectrale
constante).
Le bruit blanc gaussien est une fonction dont les composantes fréquentielles
ont la même amplitude (au sens transformée de Fourier), tandis que
l’amplitude de la fonction elle-même à chaque instant est distribuée selon une
loi Normale (cloche de Gauss).
Nombre d’utilisateurs sur la même bande :
Opération de multiplexage
CDMA : émission
On considère pour la suite (afin d’alléger les notations) que l’on normalise les gk :
On définit la fonction ρ qui permet de déterminer une corrélation entre les codes gk
On multiplexe les informations en les combinant chacune avec un ‘vecteur’ gk. Ainsi,
le paquet de bits de longueur N : bk=[bk(1), …, bk(N)]t, devient :
CDMA : réception
Transmission idéale
Si on pose alors
Conclusion :
Il apparaît donc, que pour pouvoir déterminer la bonne suite bK, il faut
transmettre au récepteur la valeur des énergies des signaux émis par chaque
utilisateur. Ensuite, le récepteur recherche parmi les 2K séquences possibles,
celle qui correspond le mieux au signal, c’est-à-dire, celle qui minimise C(rk,
bk). K étant le nombre total d’utilisateurs, on comprend qu’il soit impossible
d’utiliser ce type de récepteur pour un réseau de taille normal.
On pose
Alors
On trouve que si les codes sont orthogonaux, alors le terme central devient
nul et ce détecteur est optimal. Par contre, si ce n’est pas le cas, les
interférences avec les autres utilisateurs peuvent ne pas être négligeables.
Ceci est d’autant plus vrai que les énergies sont assez différentes : les
signaux peu puissants risquent d’être mal décodés.
CDMA : réception
Le détecteur multi-utilisateur
Le détecteur multi-utilisateur
Le détecteur multi-utilisateur
étant déterminé par une opération linéaire, la complexité des calculs est
linéaire en K. On a schématisé le fonctionnement du détecteur
CDMA : réception
Le détecteur multi-utilisateur
Le détecteur multi-utilisateur
Le premier type d’interférences est bien toléré par le CDMA, par
construction, puisque les codes utilisés sont faiblement corrélés.
Il semblerait que le CDMA soit plus performant que les autres
méthodes de multiplexage au niveau des zones de recouvrement
des cellules. Nous n’avons pas pu cependant contrôler cette
affirmation.
Les avantages du CDMA
Modèle standard
Alors dans ce schéma 1 ou -1 est transmit chaque seconde. La forme d’onde donc
passe à travers un filtre de mise en forme après par le canal + affectée par le bruit
Le signal résultant et passé par le matched filtre et échantillonné chaque seconde.
Modèle standard
Dans ce cas y à un bit entre chaque seconde mais multiplier par une faster
moving sequence {-1,1} chaque Tc
a) Clearly things that move faster in time are wider in frequency. Hence the name
“spreading”.
Si on assure qu’il n’est pas de ISI, alors les échantillons de bruit sont indépendants.
Le seuil de décision est placé en 0. Supposons que p(0)=p(1).
Performances (I)
On peut calculer la probabilité d’erreur comme suite :
Performances (I)
Dans le système CDMA
avec
Sa fonction de transfert :
n
H ( f ) C BP ( f ) r e
j 2 f t r
r 0
I.1 Modèle simplifié
Le signal analytique associé à la réponse impulsionnelle est
donc :
n
C (t ) r (t t r jˆ (t tr )
t
BP
r 0
2 pour f 0
(t ) jˆ(t )
0 pour f 0
n
2 r exp 2ft r f 0
H ( f ) CBP ( f ) r 0
0 ailleurs
I.1 Modèle simplifié
Prenons par exemple encore plus simple de
2 trajets, le direct et un retardé de t1 :
2
CBP(t) (t) (t t1 ) et CBP( f ) 1 2 2 cos2ft1
|CBP(f)|
1
–
f
1/2 t1 1/t1
I.1 Modèle simplifié
On remarque que la fonction de transfert CBP(f)H(f),
comporte des zones où le signal sera amplifié
CBP(f) > 1et des zones où le signal sera très affaibli
CBP(f) < 1( zone d’évanouissement « fading »).
Sa période de variation est de l’ordre de 1/τ ; τ étant
l’étalement des retards.
1
• B << C (f) = cte pas de distorsion ;
t1 BP
• B >> CBP(f) n’est pas constante distorsions fortes
« Sélectivité fréquentielle »
I.1 Modèle simplifié
En général :
Le spectre de la fonction de transfert de l’enveloppe complexe est
obtenu à partir du signal analytique :
B
2 r exp( j 2 ( f f 0 )t r f
C LP ( f ) C BP ( f f 0 ) r 2
0 ailleurs
C
2
( f )
r
re j 2f0 tr
e j 2f0 tr
LP
0 ailleurs
C LP (t ) 2 r
fr e j 2f0 tr
(t tr )
I.1 Modèle simplifié
r 2 f 0 t r
B
2 f r e
j r j t r
e f
C LP ( f ) r 2
0 ailleurs
et
C LP ( t ) 2 r e j r
(t t r )
r
I.2 Canal multitrajet :
X (t ) Re r (t ) e j 2f 0 t r ( t ) s (t t r (t ) e j 2f 0 t
I.2 Canal multitrajet :
L’expression entre les crochets montre
que le signal en bande de base subit
des atténuations ρr(t), des retards tr(t)
et des déphasages [-j 2 π f0 tr(t)].
La réponse impulsionnelle en bande de
base :
CLP (t , tr ) 2 r (t ) e t tr (t )
j 2f 0 t r ( t )
I.2 Canal multitrajet
Dans le cas des effets de retards indépendants du temps on
a :
g (t ) s (t t )
r r
C LP 2 e r
j 2 f0 tr
(t t r )
Leur présentation compacte peut être faite par l’introduction
du facteur de réflexion complexe τr et du temps de
propagation relatif τr
r 2 f
j r 0
r 0 t r
rr e phase de
0 0 0
où
r tr t0 0 max r
I.2 Canal multitrajet
τr peut être négatif mode d’expression non causal !
En général, on peut donner un multicanal par le formalisme
suivant :
j
r e r
t ( t r t 0 )
n
C MP ( t ) 2
r 0 2 0 e j 0
n
C MP ( t ) ( t ) r
r 1
r (t t r )
n
C MP ( f ) 1 r
r 1
r e j 2 ft r
I.2 Canal multitrajet
Exemple : Paramètres de retard indépendants du
temps avec : n =1, r1 = r, τ1=τ.
C2P (f) = 1+ r e-j2πft = 1 + r cos 2 π f τ – j r sin 2 π f τ
2
C2 P ( f ) 1 r 2 r cos(t )
La phase de C 2 P arg C 2 P ( f )
( f ) arctan
Im C 2 P ( f )
arctan
r sin 2 f
Re C 2 P ( f ) 1 r cos 2 f
Le temps de propagation de groupe :
1 d ( f )
g
2 df
I.2 Canal multitrajet
1 r cos( )
g ( f ) r
2P
2 2
1 r 2 r cos( )
Pour r = 0,8 ; Θ = δ/2 :
2
r
0-
1.5- 1 r
C2P
τg(f)/
(f) 1- -2-
τ r
0.5-
-4- 1 r
-B/2 1/τ 0 +B/2 -B/2 0 +B/2
f → 1/τ
f →
• B >> 1/2 sélectivité fréquentielle : distorsion forte ;
• B << 1/2 moins de distorsion.
II Modélisation du Canal
Mobile
II.1 Effets de la variation des caractéristiques
du canal mobile avec le temps : effet Doppler
X (t ) (t ) s (t )
(t ) C
X (t ) Re (t ) s(t )
c (t , ) rr (t ) 0 t r (t )
r
Le signal émis est représenté par son enveloppe
complexe αS (t). le signal reçu en bande de base est
donc :
X LP (t ) c (t , )
S ( ) d
C'est-à-dire
X LP (t ) c (t , ) s
( ) d rr (t ) s t r (t )
r
X LP (t ) rr (t ) s t r (t )
r
II.1 Effets de la variation des caractéristiques
du canal mobile avec le temps : effet Doppler
X X2
2 2 exp pour x 0
s
p (X ) s
S
PL0
0 ailleurs
Supposons que le mobile se déplace à la vitesse v et qu’il
reçoit les ondes issues d’un même signal dans toutes les
directions possibles αn c'est-à-dire que le canal est dispersif.
L’onde reçue dans la direction αn subit un décalage de
fréquence (fréquence de Doppler) égale à :
Ve
fD f 0 cos n Ve : Vitesse de SM ;
C0
et C0 : Vitesse de la lumière ;
Ve f0 : Porteuse ;
f D max f0 αn : Angle d’incidence.
C0
II.1 Effets de la variation des caractéristiques
du canal mobile avec le temps : effet Doppler
Le signal reçu par le mobile est la somme de toutes ces
ondes : il subit une variation d’amplitude et un déphasage qui
se modéliseront par une amplitude et une phase aléatoires.
L’angle αn est considéré comme une variable aléatoire
distribuée d’une manière uniforme dans l’intervalle [-π, +π].
Pour la détermination de la distribution de la densité de
probabilité de la fréquence fD, on utilise la relation entre deux
distributions supposées.
p x ( ) et p y ( ) avec y g (r )
On a donc
d g 1
( )
p y ( ) p x g 1
( )
d
II.1 Effets de la variation des caractéristiques
du canal mobile avec le temps : effet Doppler
En utilisant cette formule sur la relation de Doppler, on obtient :
f
d arccos
f f D max
p f ( f ) p arccos
D
f D max df
f
d arccos
f D max 1 1
df f D max f
2
1
f D max
II.1 Effets de la variation des caractéristiques
du canal mobile avec le temps : effet Doppler
La densité de probabilité pdonne
f
(f) le nombre des lignes
D
donne :
s2
1 f D max
pour f f D max
2
f
1
Ss s ( f ) f D max
0 0
0 ailleurs
II.1 Effets de la variation des caractéristiques
du canal mobile avec le temps : effet Doppler
Et enfin
1
1 f D max
pour f f
2 D max
f
1
pf ( f ) f
D max
D
0 ailleurs
C LP (t ) 2 f re j 2f 0 tr (t t r )
r
Notons que le signal est convolué par une fonction dépendante des
retards : ici la convolution est discrète, mais on peut modéliser le
canal par une distribution continue de retard (Filtre transversal !)
Tm t 1 f
Bc
Tm
II.3 Sélectivité temporelle
On peut tracer le spectre de puissance Doppler du canal SC(f) qui
a l’allure d’un élargissement Doppler. Le spectre Doppler montre
alors la variation de la fréquence porteuse
SC (f) Φc(Δt)
Conclusion
• Si le canal ne varie pas dans le temps (SM – fixe) Φc(Δt) reste
constante, sa TF SC(f) est un Dirac, fD est nul et la porteuse
reste constante ;
• Si la période T des signaux émis est grande devant le temps de
cohérence Δtc ≈ 1/ fD, on observera un affaiblissement de ces
signaux ;
• Si la période T < Δtc le canal pourra être considéré comme
invariant dans
(
c
le
t) temps. S (f )
c
tc
1 f
D Spectre de Doppler
fD
III Introduction aux Modulations
Multi-porteuses (MCM)
III.1 Principe : (MCM)
S QPSK (t ) S I (t ) jS Q (t ) e j 2f 0 t
III.4 Principe de la modulation - MCM
ej2f1 t
S
d1
g1(t)
SNRZ(t) ω SMC(t)
+
bl(t)
ej2fNt
dN-1
gN(t)
III.5 Principe de la modulation multiporteuse
(MC : Multi-Channel)
Pour éviter le problème de la grande dépense on va
orthogonaliser les sous-porteuses entre eux. Tel que :
k
fk f0
TS
• TS : sera donc le temps qui sépare 2 séquences de N données.
• On prend f 1
0 ce qui rend les sous-porteuses
T
orthogonales entre eux. Le signal OFDM est donc :
MC
N 1
S OFDM (t ) d k (i ) e j 2f k t rect (t iTS )
k 0
cas de f 0 0!
1
N 1 j 2
S OFDM (t ) d k (i ) e Ts
rect (t iTS )
k 0
III.5 Principe de la modulation multiporteuse
Alors
N 1 K
S OFDM ( f ) d k e
j k
sinc TS f
T
k 0 S
(37)
• Remarque
En général, on peut par exemple alloue aux symboles mapés.
– sk = ck = dk.
– ck = ak + jbk = dk.
k
j 2 f 0 t
N 1
S OFDM (t ) ak jbk e
TS
pour iTS t (i 1)TS
k 0
III.5 Principe de la modulation multiporteuse
N 1 j 2 f 0 t
k
S (t ) Re S OFDM (t ) Re ak jbk e
TS
k 0
N 1 k k
ak cos 2 f 0
t bk sin 2 f 0
t
k 0
TS TS
a Ts Δ Δ b t
TMC TMC
1
T s
III.5 Principe de la modulation multiporteuse