Opératoire
Presenté par: chelbi imene
Encadré par: Dr merabet
Il s’agit d’un ensemble de matériel et de
matériaux
permettant un acte opératoire clinique conforme
aux données acquises de la science.
- restaurations occlusales
- scellements de fissures
- traitements endodontiques
• La perforation est tendue avec l'index en sens
vestibulolingual et tirée par-dessus la dent jusqu'à
ce que la gencive soit visible.
• La digue est maintenue dans cette position.
• Ensuite, le crampon est placé par une deuxième
personne et la digue peut alors être libérée.
• La position correcte de la digue doit être vérifiée.
• Il faut faire spécialement attention à ce que la
respiration nasale soit libre et que le cadre ne gène
pas les yeux.
• Finalement, l'étanchéité de la digue est contrôlée
Extension de la digue jusqu’à ce que
la gencive soit visible
Pose du crampon
Les inconvénients sont :
- qu'une pose rapide exige une équipe
soignante de deux personnes expérimentées
- qu'un manque de place intraoral ainsi que des
réflexes vomitifs constituent souvent des
limites à cette méthode
- L'arceau du crampon est d'abord enfoncé dans la
perforation.
- La feuille de latex est ensuite pliée et tenue à la main
pendant que le crampon est fixé sur la dent.
- Par la suite, la feuille de latex est dépliée et le cadre est
mis en place.
- Le bord de la perforation est alors soulevé au-dessus
des bras du crampon.
- L'adaptation inter-dentaire et un contrôle (position
correcte et étanchéité) finissent la procédure.
- La technique dite du parachute reste la plus indiquée
pour obtenir rapidement la mise en place du champ
individuel.
1. Insertion des mors dans la perforation
2. Chargement du crampon garni sur la
pince
3. Insertion cervicale du crampon garni
4. La digue est rabattue et glissée sous les
mors avec les index
5. Passage des points de contact à l’aide
d’un fil ciré
6. Champ individuel en place.
Préparation de la mise en
place, caoutchouc replié au-dessus de
l’arceau du crampon