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Modélisation sémantique de

données
Modélisation sémantique de données
Modélisation d'une base de données au
niveau conceptuel
• Le but de ce cours est la structuration du modelé relationnelle à
partir de donnais extraite de monde réel.
• Dans ce stage on concéder le modèle relationnel comme un
ensemble de tables, chaque est constituée de colombes,
chaque colonne possède un nome.
• Les tables sont liée sémantiquement entre eux.
Relations
• Une relation (Table) est composée d'attributs.
• Une relation possède un nom
• Elle possède aussi une clef primaire qui permet d'identifier sans
ambiguïté chaque line de cette relation.
• Un premier exemple de :
• Edition (id_ed, nom_ed)
• Il existe un autre type de clef appelé clef étrangère. La clef étrangère
est un attribut d'une relation qui fait référence à la clef primaire d'une
autre relation (ces deux clefs devront donc avoir le même type de
données).
Règles de gestion métiers
Avant de vous lancer dans la création des tables, il vous
faut recueillir les besoins des futurs utilisateurs de
l’application.
Et à partir de ces besoins, Il faut être en mesure d'établir
les règles de gestion des données à conserver.
Règles de gestion métiers
Par l'exemple pour le SI d'une bibliothèque:

Pour chaque livre, on doit connaître le titre, l'année de
parution, un résumé et le type (roman, poésie, ...).

Un livre peut être rédigé par aucun, un ou plusieurs auteurs.

on connaît le nom, le prénom des auteurs
Dictionnaire des données
• Le dictionnaire des données est un document qui regroupe toutes les données à
conserver dans la base. Pour chaque donnée, il indique :

Le code mnémonique : il s'agit d'un libellé désignant une donnée
(«titre_l» pour le titre d'un livre)

La désignation : il s'agit d'une mention décrivant ce à quoi la donnée
correspond (par exemple «titre du livre»)

Le type de donnée : A ou Alphabétique, N ou Numérique , AN ou
Alphanumérique , Date , Booléen.

La taille : le nombre de caractères ou de chiffres.

Et parfois des remarques ou observations complémentaires (par
exemple si une donnée est strictement supérieure à 0, etc).
Passage au modèle relationnel
• Il y plusieurs technique pour faire la passage des règles de gestion et
dictionnaire de données au modèle relationnel (modèle entité
association, dépendance fonctionnel, diagramme de classe de l’UML,
etc.). Dans ce coure on va détailler deux techniques:
• Passage par le modèle entité association.
• Passage par la dépendance fonctionnels
modèle entité association
• L’idée force du modèle entité-association est de représenter, par un schéma
standardisé, les différents éléments constitutifs du système d’information,
appelés attributs (exemple : nom, âge, ...), et les relations qui les unissent,
appelées associations.
• C’est schemas graphique constitué des entité liée par des association.
Entités
• Chaque entité est unique et est décrite par un ensemble de
propriétés ( appelées attributs ou caractéristiques).
• Une des propriétés de l'entité est l'identifiant. Cette propriété doit
posséder des occurrences uniques et doit.
• Le formalisme d'une entité est le suivant :
Associations
• Une association définit un lien sémantique entre une ou plusieurs
entités. En effet, la définition de liens entre entités permet de traduire
une partie des règles de gestion qui n'ont pas été satisfaites par la
simple définition des entités.
• Le formalisme d'une association est le suivant :

• Généralement le nom de l'association est un verbe définissant le lien


entre les entités qui sont reliées par cette dernière.
Instance
• Les entité ou les associations sont des type alors les instance sont les
individus d’une entité ou un association.
• Par exemple soit le modèle E/A suivant:
• On a
• l’entité auteur, ses instances sont
Les auteurs nommés: «Ali», «Ahmed», etc.
• l’entité Livre, ses instances sont
Les livres intitulé «Java», «Bdd», «C++».
• l’association rédiger, ses instances sont:
«Ali rédige Java», «Ali rédige C++», «Ahmed rédige Bdd»
Cardinalités
• Repsentent le nombre des instances d'un entite qui paerticepent à une
association.
• Une cardinalité est définie comme ceci : (minimum, maximum)
• Les cardinalités les plus répandues sont les suivantes : (0,N) ; (1,N) ; (0,1) ; (1,1).
• On peut toutefois tomber sur des règles de gestion imposant des cardinalités
avec des valeurs particulières.
Élaboration modèle E/A
Passe du modèle E/S au modèle relationnel

Les relations sont issues des entités du modèle E/A et de


certaines associations. Nous allons maintenant aborder ces
règles de conversion de façon plus précise.
Règle 1 - conversion d'une entité


En règle générale, toute entité du E/A devient une relation dont la clef
est l'identifiant de cette entité.

Chaque propriété de l'entité devient un attribut de la relation
correspondante.
Règle 2 - conversion d'associations (0/1,N)
• conversion d'associations n'ayant que des cardinalités de type (0/1,N)
• Une association ayant des cardinalités (0,N) ou (1,N) de part et d'autre
devient une relation dont la clef est constituée des identifiants des
entités reliées par cette association.
• Ces identifiants seront donc également des clefs étrangères respectives.
On parle de relations associatives.


Rediger (id_a#, id_l#, nb_chapitres)
Règle 3 -Conversion des associations (1,1)
Conversion des associations ayant au moins une cardinalité de type (1,1)
• La règle de conversion la plus répandue est d'ajouter une clef étrangère dans
la relation qui correspond à l'entité se situant du côté de la cardinalité (1,1).
• Cette clef étrangère fera donc référence à la clef de la relation correspondant à
la seconde entité.
Deux restrictions s'imposent :

Les données portées par l'association ajoutées à relation dont la clef
étrangère est ajoutée.

L'association doit être binaire (c'est à dire relier uniquement deux
entités et pas plus).
Règle 4 - Conversion des associations (0,1)
Conversion des associations ayant au moins une cardinalité de type (0,1)et
dont les autres cardinalités sont de type (0,1/N):
Deux cas sont possibles:

Créer la clef étrangère dans la relation correspondant à l'entité du côté de
la cardinalité (0,1).

Créer une relation associative qui serait identifié de la même façon que
pour une cardinalité (1,1).

• Categorie (id_cat, libelle_cat)


• Livre (id_l, titre_l, annee_l, resume_l, id_cat#)
Dépendances fonctionnelles
• Soit deux propriétés (ou données) P1 et P2. On dit que P1 et P2 sont reliées
par une dépendance fonctionnelle (DF) si et seulement si une occurrence (ou
valeur) de P1 permet de connaître une et une seule occurrence de P2.
• Cette dépendance est représentée comme ceci : P1 → P2
• On dit que P1 est la source de la DF et que P2 en est le but.
Types de DF
• Une DF doit être :


élémentaire : C'est l'intégralité de la source qui doit déterminer le
but d'une DF. Par exemple si P1 → P3 alors P1,P2 → P3 n'est pas
élémentaire.

directe : La DF ne doit pas être obtenue par transitivité. Par
exemple, si P1 → P2 et P2 → P3 alors P1 → P3 a été obtenue par
transitivité et, donc, n'est pas directe.
Graphe de Dépendances Fonctionnelles
• Moyen de visualiser les DFs. Les sommets correspondent aux attributs, les
arcs correspondent aux DFE entre les attributs
Graphe de Dépendances Fonctionnelles
• Moyen de visualiser les DFs. Les sommets correspondent aux attributs, les
arcs correspondent aux DFE entre les attributs
Niveaux de normalisation
Les 3 premiers niveaux de normalisations sont les plus répandus et les plus
appliqués.

Première forme normale (1FN ou 1NF).

Deuxième forme normale (2FN ou 2NF).

Troisième forme normale (3FN ou 3NF).

Forme Normale de Boyce Codd (FNBC ou BCNF) ;

Quatrième forme normale (4FN ou 4NF) ;

Cinquième forme normale(5FN ou) ;

Forme normale domaine clef (FNDC ou DKNF) ;

Sixième forme normale (6FN ou 6NF)
Dans ce cours on s’intéresse que au 1FN, 2FN, 3FN, et FNBC.
Première forme normale

Première forme normale (1FN ou 1NF) : Les attributs d'une relation doivent
être atomiques et doivent être en dépendance fonctionnelle avec la clef
primaire de cette dernière.

Exemple : Solution:
Deuxième forme normale

Deuxième forme normale (2FN ou 2NF) : Il faut être en 1FN et que toutes
les dépendances fonctionnelles entre la clef primaire et les autres attributs
de la relation soient élémentaires. Autrement dit, les attributs doivent
dépendre de la totalité de la clef.

Exemple : Solution:
Troisième forme normale

Troisième forme normale (3FN ou 3NF) : Il faut être en 2FN et que toutes les
dépendances fonctionnelles entre la clef primaire de la relation et les autres
attributs soient directes.

Exemple :


Solution:
Forme Normale de Boyce Codd

Forme Normale de Boyce Codd (FNBC ou BCNF) : Il faut être en en troisième
forme normale et dont tous les attributs non-clé ne sont pas source de
dépendance fonctionnelle (DF) vers une partie de la clé.
Exemple : Solution:

On remarque que le type VL (véhicule léger) ou


PL (poids lourd) est déterminé par la valeur du PTAC.
Passage du DF au modèle relationnel
• D‘abords on commence par la création de la super relation qui contient tous
les attributs dans le dictionnaire de données.
• Ensuite à partir des règles gestion on définie les dépendances fonctionnelles.
• En suite extrais de la super relation toutes les relations en 1FN.
• En suite extrais des relations en 1FN toutes les relations en 2FN.
• En suite extrais des relations en 2FN toutes les relations en 3FN.
• En suite extrais des relations en 3FN toutes les relations en FNBC.

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