réseaux numériques
Canal à multiple trajets
Modulation
Egalisation
Antenne intelligente
Pr. Emmanuel TONYE
Ecole Nationale Supérieure Polytechnique de Yaoundé
Université de Yaoundé I, Cameroun
www.enspy-telecom.org
Octobre 2009
1
http://127.0.0.1/Radiocom_mobile_english/
Bibliographie
• Exercices corrigés
• Projet (Planification d’un réseau)
– Documentation
2
Glossaire
3
Glossaire
4
Antenne intelligente
Une station de base équipée d’une antenne dont on peut
adapter la répartition de l’énergie rayonnée
6
Les attentes des réseaux sans fil
• La couverture et la mobilité
– Le système doit être disponible à n’ importe quel endroit où les
utilisateurs souhaitent l’utiliser (Handover, Roaming, etc.)
• La capacité
– Au fur et à mesure que le nombre d’utilisateurs augmente dans le
système, les demandes placées sur le spectre alloué augmentent
proportionnellement
• La qualité
⁻ Bonne perception dans un système de voix
⁻ Faible taux d’erreurs (BER: bit error rate) dans un système de données
7
MSC
Int
e rfa HLR AuC
ce
Ab
is
MS eU
m
BTS
fac
A
e rfac e
ter
BSC Int
In
MS VLR
BTS BSC
X 25
MS NSS
BTS
MS OMC
BSS 8
Différents matériels utilisés
9
WI-FIBER, plus rapide que la
fibre optique
10
La rareté et le coût élevé
des ressources radio
11
Solution possible à la rareté et
coût élevé des fréquences
• CDMA (Code division multiple access, en français
Accès multiple par répartition en code (AMRC)) est
un système de codage des transmissions, basé sur la
technique d’étalement de spectre.
12
Transmission sans fil
Onde refléchie
ou en Non visibilité directe
(NLOS)
Onde en Relais
Visibilité directe hertzien
(LOS)
13
Schéma de la transmission
…
0101 … 00010 … X Propagation Egalisation
Porteuse
Démodulation et
correction d’erreurs
Modulation (Viterbi ou max
Vraisemblance)
14
Antenne dans une Chaîne de transmission
Spread
Spectrum (SS)
- Etalement
15
Chaîne de transmission – Exemples de traitement
16
Plan
• Canal à multiple trajets
• Modulation
• Effet du canal à trajets multiples sur la
modulation
• Egalisation
• Antennes intelligentes
17
Le canal de propagation
Difficultés à pallier
• La dispersion des retards (Delay spread).
• L’évanouissement (ou fading) de Rayleigh,
qui est une variation temporelle de la phase
des ondes dues aux différentes réflexions
multiples.
• Le décalage en fréquence (Doppler shift).
• Des interférences constructives ou
destructives.
• L’interférence co-canal. Etc.
18
Canal de trajets multiples
• Canal long
• Canal court
– Les chemins multiples empruntés par le faisceau
dépendent du relief environnant.
– On peut donc considérer la distribution des délais
successifs entre les arrivées de ces signaux comme
étant une distribution stochastique. Ces délais seront
distribués autour d’une valeur moyenne (écart type).
19
Le canal de propagation
Réflexions spéculaires,
Réfractions,
Diffusions
et Diffractions sur des obstacles
20
Propagation par multitrajet
21
Exemple de représentation de réception
en présence de trajets multiples
Cas de 4 trajets proches
(séparation < 1chip= 1µs)
T0 1s
- 22 -
Exemples de distribution
• Canaux de Rayleigh et de Rice
Critère de détection
Si , signal présent
I 2 Q 2 Vt
Si , signal absent
I 2 Q 2 Vt
I : corrélation en phase
Q : corrélation en quadrature
- 23 -
Canal Simulé
n trajets
1 chip 1 s
n ~ 2
- 24 -
Etalement de spectre (1/3)
• On désire transmettre un symbol :
25
Etalement de spectre (2/3)
• Pour un même symbole, plusieurs
chemins possibles :
Symbole
∆T donc étalement
• Et en général :
∆T
∆T≈ 0
26
Etalement de spectre (3/3)
• Haut débit implique envoi de plusieurs
symboles par intervalles de temps de plus
en plus petit :
S1 S2
∆T = Chevauchement
a0
τ1
τ2
a1
τ3
a2
+
a3
τ4
a4
τ5
a5
τ6
29
Exemple de Simulation canal de
trajets multiples
Trajet 1 (T)
Trajet 2 (3T)
Trajet 3 (4T)
30
Simulation canal de trajets multiples
• Illustration :
Trajet Délai atténuation
1 1T 0.5
Trajet 1 (T) 2 3T 0.6
Trajet 2 (3T)
3 4T 0.8
Trajet (4T)
Arrivée données
S0 Sortie = 0.5*S0
S1 S0 Sortie = 0.5*S1
S2 S1 S0 Sortie = 0.5*S2+0.6*S0
S3 S2 S1 S0 Sortie = 0.5*S3+0.6*S1+0.8*S0
S4 S3 S2 S1 Sortie = 0.5*S4+0.6*S2+0.8*S1
32
• Canal à multiple trajets
• Modulation
• Transmission
• Egalisation
• Antennes adaptatives
33
Modulation
• Echantillonnage et codage :
Amplitude Code
0 00000000
1 00000001
… …
253 11111101
254 11111110
255 11111111
34
Débit binaire et rapidité de modulation
35
Modulation BPSK et QPSK
Rs est la
rapidité de
modulation
• http://www.univ-lemans.fr/enseignements/physique/02/electro/modula.html
• http://www.ta-formation.com/cours-am/am/jav-am.htm
38
Modulation
• Modulation d’amplitude (2 états)
Constellation :
A2
A1 Amplitude
Correspondance :
Amplitude Signal
A1 0
A2 1
39
Un symbol
Modulation
• Modulation d’amplitude 2 états
40
Modulation
• Modulation d’amplitude 4 états
Constellation :
A4
A0
A1
Correspondance :
Amplitude Signal
A1 00
A2 01
A3 10
A4 11
41
Modulation
• Modulation d’amplitude 4 états
43
Modulation
• Modulation de fréquence (2 états) :
Constellation :
f2
f1 Fréquence
Correspondance :
Fréquence Signal
1 0 0 1
f1 0
f2 1
44
Modulation hybride :
• Amplitude et phase (QPSK ou QAM) :
45
Modulation
• Amplitude et phase :
– En réalité, le diagramme est le suivant :
46
Modulation hybride
• Amplitude et phase :
– On peut compliquer, au risque de commettre
beaucoup d’erreur :
16 états 47
Modulation hybride
QAM 64 (26), 6 bits par symbole. QAM 128 (27), 7 bits par symbole.
48
• Canal à multiple trajets
• Modulation
• Effet du canal à trajets multiples sur la
modulation
• Egalisation
• Antennes adaptatives
49
oui Message non
aléatoire ?
Génération du Ouverture d’une
message zone de saisie
Lecture du
message
non
Message conforme?
oui Alerte
Choix de la
modulation
Nouvelle
Amp. Fréq. Phase Amp + Freq Amp + Freq + Phase
modulation
51
(4.24) MODULATION D’AMPLITUDE
Visibilité directe
52
MODULATION D’AMPLITUDE
Canal à trajets multiples
53
(4.26) Modulation de fréquence
Visibilité directe
54
Modulation de fréquence
Canal à trajets multiples
55
(4.28) Modulation d’amplitude et fréquence
Visibilité directe
56
Modulation de phase
(4.29)
Canal à trajets multiples
57
(4.30) Modulation d’amplitude et fréquence
Visibilité directe
58
Modulation d’amplitude et fréquence
Canal à trajets multiples
59
Modulation de fréquence et phase
Visibilité directe
60
Modulation de fréquence et phase
canal à trajets multiples
61
Modulation d’amplitude, fréquence et phase
Visibilité directe
62
Modulation d’amplitude, fréquence et phase
Canal à trajets multiples
63
• Canal à multiple trajets
• Modulation
• Effet du canal à trajets multiples sur la
modulation
• Egalisation
• Antennes adaptatives
64
Pourquoi l’Egalisation?
• Si par exemple nous savons qu’il y a 3
chemins possibles pour atteindre le
récepteur:
Chemin direct
Deuxième chemin
Troisième chemin
67
Comment faire une égalisation ?
Envoi d’un signal connu
• Pour anticiper on envoi un signal connu s1(t) et on
sait que s2(t) sera une combinaison linéaire de s1(t)
et de ses retards:
S1(t) S2(t)
Canal de distorsion
• S2(t) = a1S1(t)+a2S1(t-dt)+a3S1(t-2dt)+….
68
Comment faire une égalisation ?
Générer les parasites à partir du signal désiré
• Il suffit alors de calculer les coefficients a2,
a3, … an pour en déduire
approximativement les composantes
parasites à supprimer.
• Par la suite, dès qu’on capte le premier
composant, on l’utilise pour générer les
parasites par anticipation puis on les
soustrait au fur et à mesure.
69
Comment faire une égalisation ?
• Observation : En ce qui concerne la
transmission numérique, on réserve les
premiers symboles à l’ »apprentissage » ie
au calcul des coefficients a1, … an.
• Ce qui a pour effet de diminuer la bande
passante. On peut alors être amené
supprimer ou à réduire le nombre de
symboles nécessaires à l’apprentissage
pour accroître le débit.
70
Egalisation en aveugle et semi-aveugle
71
Trois Familles de structures
d’égalisation aveugle
Sn
xn g k rn k sˆn
Filtre linéaire
72
2. Egalisation directe par filtrage
non linéaire
rn Sn-v
F +
F : filtre linéaire
D : organe de décision
∫ : filtre non linéaire 73
3. Égalisation du canal discret équivalent
suivi d’un algorithme du maximun de
vraisemblance (Viterbi)
75
Scenario Egalisation
76
• Canal à multiple trajets
• Modulation
• Effet du canal à trajets multiples sur la
modulation
• Egalisation
• Antennes adaptatives
77
Antenne - Définition
• Un équipement de forme variable, utilisé
pour émettre ou recevoir des ondes
radioélectriques.
• ou encore un dispositif qui transforme
l’énergie électrique en énergie magnétique
(antenne d’émission) ou traduit un
rayonnement électromagnétique en
courant induit (antenne de réception).
78
Antennes - Caractéristiques
• Champs rayonnés (Diagrammes de rayonnement)
• Intensité de rayonnement
• Directivité
• Gain
• Puissance rayonnée
• Surface effective
• Résistance de radiation
• Angle d’ouverture
• Rapport Eavant/Earrière
• Rendement du faisceau
• Polarisation
• Bande passante
• Impédance d’entrée
• Longueur effective.
79
DIAGRAMME DE RAYONNEMENT
• C’est une représentation graphique de la variation des propriétés de
rayonnement d’une antenne en fonction des coordonnées dans l’espace.
• Les propriétés de rayonnement inclus la densité de puissance, intensité
de rayonnement, la force du champ ou la valeur de la directivité.
• On aura alors à choisir une représentation cartésienne (2D ou 3D), polaire
ou sphérique.
81
Diagramme de rayonnement (3)
La représentation du diagramme de rayonnement
peut tenir compte soit de l’intensité de rayonnement
U ou du champ électrique rayonné E. on aura alors à
choisir une représentation cartésienne (2D ou 3D),
une repré-sentation polaire ou une représenta-tion
sphérique:
82
Intensité de rayonnement U(θ,φ)
2
Prad Ud U sin d d
0 0
83
GAIN
G
(
,) e
U
,
P ePrend: efficacité
4
c
d de l’antenne
cd
r
ad perte diélectrique
en compte : Réflexion – conduction
Prad Ud U sin d d
0 0
Prad : puissance rayonnée
84
Directivité
• La directivité d’une
antenne exprime le U 4U
rapport entre la puissance D
maximale observée en un U o Prad
point d’une direction
donnée à la puissance Uo : intensité de rayonnement
qu’on observerait en ce source isotrope
même point si la même U : intensité de rayonnement
puissance rayonnée par direction donnée
l’antenne source était Prad : Puissance rayonnée
irradiée par une source
isotrope.
85
Calcul de la directivité à partir du Champ E
• Sachant que :
2
r 2
U ( , ) E (r , , ) on en déduit :
2
2
4 U max 2 r E ( r , ,
2
D0 max
Prad Prad
avec 120 dans le vide .
86
Directivité : Ouverture à 3dB
●
Une antenne est caractérisée par son
ouverture dans le plan vertical et dans le
plan horizontal.
●
Plus l'ouverture sera faible, plus le gain
sera important .
87
Algorithme de calcul de l’angle d’Ouverture à 3dB
88
Rapport entre Eav et Ear
• Elle est définie comme le rapport entre le champ
maximum dans la direction désirée (lobe principal)
sur le champ maximum dans la direction non
désirée (lobe arrière).
• Si son expression n’est pas définie, l’algorithme
suivant permet de l’évaluer :
1- Identifier le maximum du lobe principal qui est
défini comme le point où l’amplitude du champ
cesse de croître.
2- On fait le rapport entre ce maximum et celui du
lobe secondaire.
89
POLARISATION (2)
Orientation du vecteur champ électrique d’une onde électromagnétique.
Donnée utile pour l’optimisation d’une liaison ou pour son brouillage.
• Verticale ( V )
• Grand profil
• Horizontale ( H )
• Faible profil
(immeuble, ...)
• Circulaire droite ou gauche ( CD – CG )
• Elliptique ( E )
92
BANDE PASSANTE
2 catégories :
• Bande étroite
• Large Bande
– BW = fS / fb
fb fC fS
fS: frequence supérieure
fb : frequence basse
fC : frequence centrale
Fcentrale ( f max f min ) / 2.
93
SURFACE EQUIVALENTE OU DE
CAPTATION
94
Impédance et rendement d’antenne
95
Puissance isotrope rayonnée (PIRE, angl. EIRP)
• Dans la direction optimale du lobe principal, le gain directif G(q, j) est égal à G 0. On
définit la puissance isotrope rayonnée de la manière suivante:
• Quand on utilise une antenne directive (par exemple une antenne parabolique),
il est clair qu'on va chercher à l'orienter de manière optimale pour avoir G(q,
j)=G0. dans la direction choisie. Dans ce cas, la PIRE suffit pour connaître la
densité de puissance à une distance r q uelconque
96
Ondes sphériques
• http://www.glafreniere.com/spheriques.htm
• En juillet 2006, M. Jocelyn Marcotte a réussi à établir les formules
complètes qui permettent de reproduire les ondes stationnaires
sphériques. Convergentes – Divergentes - Mixtes
• http://elap.montefiore.ulg.ac.be/services/elm/demos/parabole.html
98
Onde plane
• Une onde EM est constituée d'un champ électrique E et d'un champ magnétique H .
Dans le vide, ces deux champs sont orthogonaux et transverses (perpendiculaires à la
direction de propagation): c'est une onde TEM (Transverse Electro-Magnétique) aussi
appelé onde plane.
99
Résumé
100
Diagramme de
rayonnement
Le diagramme de rayonnement ou diagramme d'antenne décrit
la force relative du champ rayonné dans diverses directions de
l'antenne, à une distance constante.
102
Diplôme de Hertz
• On utilise les coordonnées
sphériques, avec l'hypothèse que r
>> L (zone de champ lointain) et L
petit devant la longueur d'onde.
107
Caractérisation d’une antenne demi-onde (diagramme
de rayonnement en coordonnées sphériques)
108
109
Antennes adaptatives
• Diagramme de rayonnement adapté
• Accès multiple à répartition spatiale
• Antennes réseau à commutation de faisceaux
• Antennes réseau adaptatives ou antennes
intelligentes
• Modélisation
110
Systèmes d’antennes intelligentes
Introduction (1/2)
• Les systèmes à antennes intelligentes déterminent la
localisation du mobile pour se focaliser et émettre
l’énergie uniquement dans les directions souhaitées.
• Avec pour avantage l’augmentation de la capacité
grâce à:
– La réduction de la taille du motif (RTM)
– L’Accès Multiple par Répartition Spatiale,
AMRS ( SDMA, Space Division Multiple
Access)
111
Systèmes d’antennes intelligentes
Introduction (2/2)
112
Diagramme de rayonnement adapté
AVANTAGE
. Optimisation de la
puissance
rayonnée
. Parasité éliminé
. Utilisateur
supplémentaire
couvert
113
Diagramme de rayonnement
adapté
114
Diagramme de rayonnement adapté
115
Avantages recherchés
• Couverture et mobilité
– Le système doit être disponible à n’ importe quel endroit où les
utilisateurs souhaitent l’ utiliser (Handover, Roaming, etc.)
• Capacité
– Au fur et à mesure que le nombre d’utilisateurs augmente dans le
système, les demandes placées sur le spectre alloué augmentent
proportionnellement
• Qualité
⁻ Bonne perception dans un système de voix
⁻ Faible taux d’erreurs (BER: bit error rate) dans un système de données
116
Avantages des antennes intelligentes
1. améliore la capacité
de communication
2. augmente la qualité
de communication
3. amplifie la portée de
la communication
117
Avantages des antennes intelligentes
4. augmente la
couverture des
cellules
5. Augmente le temps
d’utilisation des
batteries du Mobile
118
Antennes adaptatives
• Diagramme de rayonnement adapté
• Accès multiple à répartition spatiale
• Antennes réseau à commutation de faisceaux
• Antennes réseau adaptatives ou antennes
intelligentes
• Modélisation
119
Accès multiple à division spatiale
• SDMA (Space
Division Multiple
Access) justifie le
développement des
antennes
adaptatives ou
antennes
intelligentes.
120
Réutilisation de la fréquence
voire du code
Facteur de réutilisation Réutilisation sans Réutilisation sans
de la fréquence = 7 contrainte de la contrainte de la
fréquence fréquence ou de code
TDMA CDMA SDMA
121
Accès Multiple par Répartition Spatiale (AMRS)
( SDMA, Space Division Multiple Access) (1/6)
• La SDMA est une technique suscitant un intérêt
croissant depuis quelques années.
122
Accès Multiple par Répartition Spatiale (AMRS)
( SDMA, Space Division Multiple Access) (2/6)
• Les modifications nécessaires sont limitées aux
BS et ne concernent pas les mobiles, ce qui
permet l’introduction de SDMA dans les
systèmes existants.
123
Accès Multiple par Répartition Spatiale (AMRS)
( SDMA, Space Division Multiple Access) (3/6)
• Ce système est composé par une antenne réseau et par
une DSP (digital Signal Processor) dont le rôle est de
traiter en temps réel les signaux reçus et ceux à émettre
au niveau des antennes.
• Les N signaux obtenus au niveau de N antennes du
réseau sont envoyés à la DSP, multipliant le signal de
chaque antenne par une valeur approprié Wi* et
sommant finalement tous les termes. Le signal de sortie
s’écrit sous la forme :
124
Accès Multiple par Répartition Spatiale (AMRS)
( SDMA, Space Division Multiple Access) (4/6)
• Le choix adéquat des poids du vecteur
125
Accès Multiple par Répartition Spatiale (AMRS)
( SDMA, Space Division Multiple Access) (5/6)
126
Accès Multiple par Répartition Spatiale (AMRS)
( SDMA, Space Division Multiple Access) (6/6)
127
Exploitation dans le Bluetooth
• Deux ordinateurs communiques sans subir
les ondes du téléphone.
128
Exploitation en localisation et
navigation aériennes
129
Antennes adaptatives
• Diagramme de rayonnement adapté
• Accès multiple à répartition spatiale
• Types d’antennes
• Modélisation
130
Structure générale d’une
antenne adaptative
1) Antenne à
réseau
d’éléments
2) Système de
contrôle des
amplitudes et
des phases
d’excitation
3) Processeur des
signaux
131
Antenne réseau
• Système constitué d’une série linéaire,
carrée, circulaire ou volumique d’antennes
simples telles que les antennes
omnidirectionnelles classiques dont on
combine les différents signaux induits pour
former un signal unique en sortie
132
Exemples de configurations
d’antenne réseau
133
ANTENNES RESEAUX
PRINCIPES
• Il y a plusieurs facteurs qui contribuent à la
formation du diagramme global de rayonnement
de l’antenne réseau :
- Configuration géométrique réseau (linéaire, circulaire,
planaire, volumique)
- Espacement entre les sources
- Amplitude d’excitation pour chaque élément,
- Phase d’excitation pour chaque élément,
- Diagramme de rayonnement
- Polarisation de chaque élément.
134
ANTENNES RESEAUX
LINEAIRES (1/3)
135
ANTENNES RESEAUX
LINEAIRES (2/3)
136
ANTENNES RESEAUX
LINEAIRES (3/3)
• La direction de rayonnement maximale est
donnée par :
138
Simulation sous matlab, EasyPHP et MySQL
Réseau Linéaire (1/2)
139
Simulation sous matlab, EasyPHP et MySQL
Réseau Linéaire (2/2)
140
Simulation sous matlab, EasyPHP et MySQL
Réseau Planaire
141
Simulation sous matlab, EasyPHP et MySQL
Réseau Circulaire
142
Contrôle et pondération
• Le terme « antenne adaptative » ou
« antenne intelligente » lui est attribué
lorsque les différents signaux induits sont
pondérés de manière variable avant d’être
combinés pour ajuster dynamiquement le
gain afin de contrô ler la réception,
l’émission ou les deux.
• On parle alors de technique de
« beamforming ».
143
Exemple de détermination des
coefficient de pondération (1/2)
Mobile désiré
Elément
x1 s111 s221
11 d’antenne 1
x2 s112 s222
12
La sortie du sommateur est :
21
22
y x1w1 x2 w2
Mobile immisçant
Elément
d’antenne 2
Elle peut être réécrite comme :
Ce système w 1 22
d’équation est 11 22 12 21
alors résolu
21
pour donner : w 2
11 22 12 21
145
Types de systèmes d’antennes intelligentes
146
Techniques fixes de formation de faisceau
Les systèmes à faisceaux commutés – SBA (1/3)
147
Techniques fixes de formation de faisceau
Les systèmes à faisceaux commutés – SBA (2/3)
148
Techniques fixes de formation de faisceau
Les systèmes à faisceaux commutés – SBA (3/3)
149
Matrices de Butler (1/6)
• Schémas des
matrices de
Butler 4x4 :
(a) matrice non
standard,
(b) matrice
standard.
150
Voir 117
Matrices de Butler (2/6)
151
Matrices de Butler (3/6)
• La matrice de Butler a deux fonctions :
La distribution des signaux RF aux éléments
rayonnants de l’antenne,
Formation et orientation de faisceaux
orthogonaux.
• En reliant la matrice de Butler entre un réseau
d’antenne et un commutateur RF, un ensemble
de faisceaux peut être réalisé en excitant
simultanément deux ports ou plus par des
signaux RF.
152
Matrices de Butler (4/6)
• Un signal présenté à un port d’entrée produira des excitations
égales à tous les ports avec un déphasage progressif entre eux,
ayant comme résultat un faisceau qui rayonne dans une
certaine direction de l’espace.
153
Matrices de Butler (5/6)
• La formation des faisceaux multiple est possible, mais il y a
une limitation. Deux faisceaux adjacents ne peuvent pas être
formés simultanément car ils s’additionnent et produisent un
faisceau simple.
154
Matrices de Butler (6/6)
• La matrice de Butler n’est pas un circuit
d’alimentation parfait, elle a les inconvénients
suivants :
La largeur de faisceau et la direction de pointage
changent avec la fréquence.
L'interconnexion est assez complexe pour une
grande matrice (beaucoup de croisements, par
exemple plus de 16 croisements sont nécessaires
pour une matrice 8*8).
Le nombre de composants est grand quand le
nombre d'éléments du réseau est grand.
155
Matrice de Blass (1/5)
157
Matrice de Blass (3/5)
• Le port 2 fournit des retards égaux à tous les éléments, ayant
pour résultat un faisceau dans le plan de rayonnement
(broadside).
158
Matrice de Blass (4/5)
• Les avantages d’employer la matrice de Blass sont :
Pour un grand réseau, la disposition d’intercommunication
du circuit est simple car il n’y a pas de croisements,
159
Matrice de Blass (5/5)
• Cependant, elle présente des inconvénients sérieux:
Chaque coupleur doit avoir une valeur différente, ce qui
complique la conception,
160
Matrice de Nolen (1/2)
• La matrice de
Nolen peut être vue
comme
combinaison d’une
matrice de Butler et
d’une matrice de
Blass, les N
éléments d’une
antenne sont
couplés à M ports
de faisceau.
161
Matrice de Nolen (2/2)
• Comme la matrice de Blass, la matrice de Nolen peut
alimenter un nombre d’antennes différent du nombre
d'orientations de faisceaux. La matrice de Nolen est composée
de déphaseurs et de coupleurs.
162
Réseau de Wullenweber
• Les avantages du réseau de Wullenweber sont sa capacité à
balayer plus de 3600 avec peu de changement des
caractéristiques de rayonnement.
• La largeur de bande de réseau de Wullenweber est limitée par
la largeur de bande et l’espacement des éléments.
163
Lentille micro-onde
• Chaque cornet d’entrée propage des ondes micro-ondes
suivant le mode TEM entre les plaques et illumine les sondes
placées sur le contour intérieur de la lentille qui transfèrent
l’énergie aux câbles coaxiaux jusqu’à un second jeu de sondes
agissant comme un réseau d’antennes linéaire de monopoles.
164
Antennes adaptatives
• Diagramme de rayonnement adapté
• Accès multiple à répartition spatiale
• Antennes réseau à commutation de faisceaux
• Antennes réseau adaptatives ou antennes
intelligentes
• Modélisation
165
Principales approches de modélisation
166
Approche à DOA
Elle se passe en trois étapes :
1. Détermination des directions d’arrivée des différents signaux incidents
2. Pondération pour détection de la ou des directions du signal utile
3. Formation conséquente du faisceau.
Determination des
Directions d’arrivée Calcul des différents poids Grâce au Facteur de réseau
Expression dépend du
type de beamformer
Interférence
Utilisateur
167
Les algorithmes de DOA (1/2)
168
Les algorithmes de DOA (2/2)
169
MUSIC (MUltiple SIgnal Classification)
170
L’algorithme MUSIC
SVD de Rx
Vecteurs propres correspondant à valeur propre faible -> espace bruit
Vecteurs propres correspondant à valeur propre élevée -> espace signal
171
Début
Organigramme
Différents paramètres du réseau d’antennes,
du bruit et des signaux incidents MUSIC
Calcul de a(θ,ø) : matrice déphasage du réseau
cas statique
Fin
172
Détermination de DOA par
l’algorithme MUSIC
Cas statique
Il correspond au cas où les utilisateurs sont
immobiles.
90°
173
Spectre de P, log (P) et dlog (P)
Planaire Linéaire
SNR= 20 dB, N = 1000
174
V.1.1.2. Influence du Rapport signal
sur bruit (SNR)
(a) (b)
SNR=10 SNR=0
N=10 N=10
(c) (d)
SNR=0, SNR=0
N=100 N=1000
175
MUSIC - Influence du pas
176
MUSIC - Influence de M et L,
nombre de sources détectables
M = 5, L = 3 M = 3, L = 3 M = 2, L = 3
177
MUSIC - Cas dynamique (1/5)
Dans nos simulations, nous n’avons considéré que des fenêtres qui ne
s’entrelacent pas
178
MUSIC -Cas dynamique (2/5)
179
MUSIC - Cas dynamique (3/5)
180
Début
Différents paramètres du réseau d’antennes, du bruit
Début
et des signaux incidents en tenant compte de la mobilité
i=1
Non Non
Calcul du spectre P
Non
Réinitialisation
de Rxx i = N ?
Oui
181
Fin
Cas dynamique (5/5)
182
Beamformings correspondants
Determination des
Directions d’arrivée Calcul des différents poids Grâce au Facteur de réseau
Expression dépend du
type de beamformer
Interférence
Utilisateur
183
Le facteur de réseau
(5.2)
184
Le beamformer
conventionnel(1/2)
Ses poids sont donnés par:
(5.3)
185
Le beamformer conventionnel (2/2)
Considérons un réseau 9x9 qui doit envoyer le faisceau suivant l’utilisateur
placé en 90° et l’annuler suivant les deux autres, interférents.
Courbe linéaire, direction 90° Courbe polaire, direction 90° Courbe logarithmique, 90°
186
Le beamformer à annulation de lobes
(Null-steering beamormer) (1/4)
Il est utilisé pour annuler une onde plane en provenance d’une direction
connue en annulant le lobe de rayonnement suivant cette direction.
Les poids sont déterminés tels que : WH.A (ø0,θ0)=1
(5.4)
WH.A (øi,θi)i≠0=0
En notation matricielle ce système devient : WHA=e1T (5.5)
Où e1 = (1,0,0…0)T (5.6)
187
Le beamformer à annulation de lobes
(Null-steering beamormer) (2/4)
W= WHA=e1T.A-1 (5.7)
WH=e1TAH(AAH)-1 (5.8)
188
Le beamformer à annulation de lobes
(Null-steering beamormer) (3/4)
190
Le beamformer optimal (1/2)
Le « beamformer » optimal permet de remédier à deux des principales
limitations du « Null-steering beamformer » :
Il ne requiert pas d’informations sur les directions des interférents.
Il maximise le rapport signal sur interférence et bruit en sortie du
réseau. (SINR : Signal to Interference and Noise Ratio).
191
Le beamformer optimal (2/2)
Nous pouvons en déduire W:
(5.11)
(5.12)
Rxx[n+1] = (nRxx[n]+X[n+1]XH[n+1]) / n+1
192
Cas statique, exemple de base
Considérons un réseau 9x9 et L=5 signaux incidents. L’utilisateur est situé
en 50° tandis que les interférents sont en 25°, 80°, 130° et 155°. SNR=20dB.
Son code MATLAB est le suivant : bf3_optimal_staticplanaire.m
N = 10 N = 10 N = 1000
Plus la valeur de N est grande, plus l’algorithme prend du temps pour converger.
193
Cas statique, limites
194
Matrice de surcharge (1/2)
Le moyen le plus simple de remédier à ces limitations est d’ajouter à
Rxx, un bruit idéal thermique artificiel. Puisque la matrice de
covariance d’un bruit thermique idéal est une matrice diagonale, nous
pouvons ajouter à Rxx une matrice diagonale qui domine l’effet nuisant
de la corrélation du bruit initial. Dans le cas du réseau linéaire, Cette
matrice de « surcharge » atténue considérablement les effets des
corrélations du bruit. Elle réduit le nombre d’échantillons requis pour
obtenir de bons résultats. Appliquons là et voyons son effet:
Avec MATLAB, la surcharge de Rxx est faite de la manière suivante :
197
Influence de M par rapport à L :
Nous constatons qu’annuler le SNR n’a pas d’effet notable sur la réponse du réseau.
199
Cas dynamique
200
Larges fenêtres et petite vitesse de
déplacement de l’utilisateur
201
Larges fenêtres et grande vitesse de
déplacement de l’utilisateur
Nous reprenons l’exemple précédent excepté que N = 1000, ce qui fait
une vitesse de 0.04 degré/échantillon. Les résultats sont rassemblés sur
la figure suivante:
202
Petites fenêtres et petite vitesse de
déplacement de l’utilisateur
Cet exemple est identique au premier mais avec cette fois des
fenêtres de 20 échantillons. Les résultats sont les suivants :
203
Résultats de simulation par
l’approche à séquence
d’apprentissage
204
Formation de voies et annulation
d'interférents (1/2)
• La première étape consiste à estimer les angles d'arrivée de
toutes les sources. Connaissant la structure du réseau, linéaire
par exemple, il est possible de former la matrice A et son
inverse ou pseudo-inverse.
• Il ne reste qu'à calculer les pondérations optimales.
205
Formation de voies et annulation
d'interférents
w H x ( i ) 1 i 1 .. N ( N lobes )
w H x ( i ) 0 i 1 .. K 1 ( K 1 zéros )
e1 1,1,...,1,0,..., 0
T
207
Approche à séquence
d’apprentissage
208
Les algorithmes d’apprentissage
209
L’algorithme du « LMS »
211
Approche semi-aveugle (2/2)
L’actualisation des poids est obtenue par minimisation de la
moyenne positive de la fonction coût :
(3.4)
Jn = ½E [(|y(n)|² - yo²)²]
Les poids sont alors : W(n+1) = W(n) - µg(W(n)) (3.5)
où
y(n) est la sortie du réseau après la nième itération ;
yo l’amplitude de l’enveloppe du signal désiré en absence
d’interférence ;
g(w(n)) une estimation de la fonction coût. Cet algorithme ne
converge pas toujours ; c’est pourquoi des informations
additionnelles sur le signal de références sont souvent
nécessitées.
212
Formation de faisceaux par
l’algorithme des moindres carrés
moyens (LMS beamformer)
213
LMS - Cas statique
214
Début
Organigramme Différents paramètres du réseau d’antennes, du bruit et des signaux incidents
i=1
Son code
Calcul de Y( :,i): Sortie du réseau après pondérations au temps i
y(:,i) = w'*X(:,i);
Erreur correspondante
e(i) = dd(i) - y(i);
i = i +1
Calcul du facteur de réseau normalisé : NAF
Non
i = N ?
Oui
216
LMS - Influence de μ (1/2)
1er Cas: μ = 0.050
2è Cas: μ = 0.005
217
LMS - Influence de μ (2/2)
N = 200 et pour μ = 0.050, la convergence est très rapide (dès les
premiers échantillons) mais les erreurs et les lobes secondaires
présentent des pics très élevés, ce qui ne favorise pas l’élimination
du bruit.
Pour μ = 0.005, le lobe principal est bien accentué tandis que les
interférences sont éliminées. De plus les erreurs sont assez basses.
Par contre l’algorithme met un peu plus de temps pour converger.
219
LMS - Influence de M
N = 200, et SNR = 20dB, comparons les courbes d’erreur pour différentes
valeurs de M :
Définition du signal de référence, Initialisation des poids, mu_cst et de la taille des fenêtres(windowsize)
i=1
Calcul de Y( :,i): Sortie du réseau après pondérations au temps i : y(:,i) = w'*X(:,i);
Nous obtenons aussi les erreurs en sortie du réseau avant et après pondérations :
Interférent 2
Interférent 1
Utilisa Utilisateur
-teur
Interférent 3
BT
B T SS
226
LMS avec multitrajet - Cas statique (3/3)
227
Début
Différents paramètres du réseau d’antennes, du bruit et des signaux incidents
Erreur correspondante
e(i) = dd(i) - y(i);
i = i +1
Calcul du facteur de réseau normalisé : NAF
Fin
228
Cas statique
Son code est le suivant: bf7_multipathplanairestatic.m
230
VI.2.2. Cas dynamique (2/2)
Nous obtenons également les erreurs en sortie du réseau.
233
Neurone biologique
• La réponse du neurone biologique est en général non linéaire.
• Mais les neurophysiologistes ont trouvé que pour quelques neurones
biologiques, le signal de sortie est proportionnel à la combinaison linéaire
de tous les signaux d’entrées fournis par les autres neurones du système
nerveux.
234
Réseau de N éléments et
représentation du plan E et H
235
Propagation par multitrajet
236
Diagramme de rayonnement
adapté
Direction privilégiée Accès
multiple à
repartions
spatiale
237
Réseaux neuronaux artificiels
(R.N.A)
• Simplicité de mise en œuvre (peu d'analyse mathématique préliminaire).
• Capacité d'approximation universelle prouvée.
• Possibilité de prendre le point de vue "processus = boîte noire".
• Robustesse par rapport à des défaillances internes du réseau (caractère
distribué de la représentation).
• Capacité d'adaptation aux conditions imposées par un environnement
quelconque
• Facilité de rechanger ses paramètres (poids, nombre de neurones cachés,
nombre de couches cachées…) lors d'une modification possible dans cet
environnement
• Réalisation matérielle parallèle inhérente ("neural chips").
238
Schéma fonctionnel du neurone formel
Le modèle de neurones formel présenté ici, dû à Mac CULLOCH et
PITTS, est un modèle mathématique très simple, dérivé de la réalité
biologique.
Wi0
+1
Wi1
e1
Win
en
neurone i
Schéma fonctionnel du
neurone formel
1. un ensemble des connexions (ou synapses) dont chacune se
caractérise par un poids réel. Le signal ej se trouvant à l’entrée de
la synapse j qui est connectée au neurone i. Ce signal est multiplié
par le poids de la synapse wij. wij est donc le poids de la connexion
dirigée du neurone j vers le neurone i. Si le poids est positif on
aura donc un effet excitateur et, s’il est négatif, un effet est
inhibiteur.
2. la somme pondérée Ai des signaux d’entrée (ej )1≤j≤n du
neurone i qui sont en même temps les signaux de sortie des
neurones de la couche amont auquel ce neurone est connecté. La
n n
somme Ai est donnée par l’expression suivante
i
A w e w e
i 1
ij j i
j 0
ij j
241
Fonction de transfert ou d’activation
(a) du neurone seuil, (b) du neurone linéaire et (c) du neurone sigmoïde
242
Fonction d’activation
a = f(n)
Nom de la fonction Relation d’entrée/sortie Nom sous Matlab
a=0 si n < 0
seuil hardlim
a=1 si n ≥0
a=-1 si n<0
seuil symétrique hardlims
a=1 si n≥0
a=-1 si n<-1
linéaire saturée satlins
a=n si -1< n < 1
symétrique
a=1 si n>1
linéaire positive
a=0 si n<0
poslin 1
a=n si n>0 a
1 e n
sigmoïde logsig
e n e n
tangente hyperbolique tansig a
a=1 si n maximum e n e n
compétitive complet
a=0 sinon
243
Système neuronal non
linéaire statique
• Il existe trois types
– Le perceptron multicouche MLP,
– le réseau RBFNN (Radial- Basis- Function
Neural Network)
– et le réseau d’ondelettes WNN (Wavelet
Neural Network)
244
Structure d’un perceptron multicouche MLP
Appelés aussi réseaux de type Perceptron, ce sont des réseaux dans
lesquels les informations se propagent de couche en couche, sans
chaque neurone
possibilité dansen
de retour une couche cachée est connecté à tous les
arrière.
neurones de la couche précédente et de la couche suivante
pas de connexions entre les neurones d'une même couche
Connexion Neurone
Entrée Sortie
Neurone
Couche d’entrée Couche cachée Couche de sortie
Perceptron multicouche MLP (Multi – Layer
Perceptron) ou le réseau ABFNN (Affine Basis
Function Neural Network)
246
Exemple d’un réseau multicouche de
type perceptron (3entrées,4 sorties)
247
Perceptron Multicouche
• Les réseaux multicouches est son utilisation de la méthode de la
rétropropagation de gradient comme méthode d’apprentissage.
• Ce réseau peut alors, sans difficulté, effectuer des fonctions de
classification.
• Il est en effet intéressant de connaître à priori les familles de
fonctions auxquelles vont appartenir les surfaces de décision.
• Plusieurs résultats montrent par exemple qu’un réseau de neurones
artificiels multicouche peut approximer avec une précision arbitraire
n’importe quelle transformation continue d’un espace à dimension
finie vers un autre espace à dimension finie, s’il possède
suffisamment de neurones formels cachés.
248
Perceptron Multicouche
• L’équation représentative non linéaire de
la oème sortie (1≤ o ≤ q) d’un perceptron
multicouche constitué d’une couche
d’entrée, de plusieurs couches cachées et
d’une couche de sorite est
249
Base d’apprentissage et Mise en forme
des données pour un réseau de
neurones
250
Prétraitement des données
• Un prétraitement courant consiste à éliminer les
discontinuités artificielles dans l’espace de fonctions
d’entrées et de ramener les entrées de problème à un
ensemble approprié d’informations.
• Ensuite il faut faire une normalisation idoine, qui tienne
compte de l’amplitude des valeurs acceptées par le
réseau.
• Permet de sélectionner, dans l’espace de représentation
"l’information" nécessaire à l’application.
• Cette sélection passe par la sectorisation de l’espace,
ainsi que par l’élimination de la discontinuité "des sorties
désirées" en passant par la normalisation des données.
251
Prétraitement des données
Sectorisation de l’espace – un seul lobe
• L’objectif est d'avoir "un seul lobe" qui
pointe dans la direction désiré. On a un
gradient de phases sur les éléments de
l'antenne.
• Le prétraitement consiste seulement en
une normalisation de données pour avoir
une convergence plus rapide.
252
Prétraitement des données
"lobe et zéro ou multi- lobes"
• la sectorisation de l’espace permet
d'éliminer des informations superflues et
d’augmenter la vitesse de convergence de
notre réseau.
• Le réseau neurologique rapproche la
fonction que nous modélisons en adaptant
sa structure interne à la carte de
sectorisation choisie.
253
Prétraitement des données
"lobe et zéro ou multi- lobes"
• La première étape du prétraitement divise l'espace en 17
secteurs, répété chaque 10° dans l'intervalle de -85 degrés à
+85 degrés. Des secteurs plus précis de division d'espace
peuvent être atteints en augmentant le nombre d’éléments de
réseau.
• Le vecteur d'entrée au réseau de neurones est mis sous forme
de code de 17 valeurs (une valeur pour chaque secteur). Cette
étape a l'avantage de diminuer considérablement la
discontinuité dans l’espace et d'augmenter la rapidité de
convergence.
254
Prétraitement des données
"lobe et zéro ou multi- lobes"
• La deuxième étape du prétraitement consiste à réduire les
discontinuités artificielles de pondération des phases 'Sorties
souhaitées, Targets' de réseau et de les ramener à un ensemble
approprié d’information.
• Les discontinuités entre les phases rendent difficile la phase
d'apprentissage.
• Pour faire disparaître les discontinuités indésirables, nous
avons traiter les pondérations des phases par les fonctions
'cosinus et sinus' en tant que sorties ' Targets' finales, dans le
but de former des noeuds des sorties qui émettent des valeurs
normalisés entre (-1 et +1).
255
Base d’apprentissage et Mise en forme
des données pour un réseau de
neurones
256
Le post-traitement des données
• La sortie du réseau de neurone est constituée
par les différentes phases (ϕi) appliquées sur
chaque élément de réseau d'antennes. Le
facteur du réseau s'écrit
258
Algorithme d’apprentissage
• Le critère d’arrêt de l’apprentissage est
souvent calculé à partir d’une fonction de coût,
caractérisant l’écart entre les valeurs de sortie
obtenues et les valeurs de références (réponses
souhaitées pour chaque exemple présenté).
259
Fichier d’apprentissage
1. Le fichier d'apprentissage comprend deux
catégories de paramètres:
– les paramètres d'entrée qui constituent les
variables à optimiser
– et les paramètres de sortie qui correspondent
aux résultats désirés
260
Fichier d’apprentissage
2. Dans chaque fichier, le nombre d'échantillons
sur lequel l'apprentissage doit s'effectuer est
fourni ainsi que le nombre de neurones
d'entrée et de sortie.
• Ce nombre d'échantillons dépend de la nature
du problème à traiter.
• Plus le résultat est sensible aux évolutions des
paramètres d'entrée, plus la discrétisation des
plages de variation est fine.
261
Exemples de fichiers de données
correspondant à notre étude
1. Un premier fichier où tous les "valeurs" du vecteur d’entrée
sont des zéros excepté un seul (+1),
2. un deuxième où toutes les valeurs sont des zéros exceptées
deux (+1 et -1).
3. un troisième fichier où toutes les valeurs sont des zéros
sauf deux (+1 et +1).
4. et un quatrième fichier où toutes les valeurs sont des
zéros sauf trois (+1, +1 et +1).
262
Exemples de fichiers de données
correspondant à notre étude
263
Récapitulatif des méthodes
d'apprentissage possibles
264
265
Structure du modèle neuronal d'un lobe directif
Valeurs Typiques de
paramètres utilisés dans l'algorithme d'apprentissage
266
Structure du modèle neuronal d'un lobe directif
267
Structure du modèle neuronal
d'un lobe- zéro et multi- lobes
268
Structure du modèle neuronal d'un lobe- zéro et multi- lobes
Evolution de la fonction d'erreur pendant la phase
d'apprentissage
269
Excitations synthétisées des lobes
directifs (direction désirée)
270
271
Méthode des réseaux de neurones
20 neurones dans la couche d’entrée
460 neurones dans la couche cachée
le nombre de neurones dans la couche de sortie est le nombre
d’éléments du réseau
coefficient d’apprentissage 0,06
momentum 0,7
seuil de tolérance 0,001
nombre d’itération maximale 6000
la fonction d’entraînement “traingdm” pour l’algorithme
d’apprentissage de rétro – propagation du gradient avec momentum.
Evolution de la fonction d’erreur
pendant la phase d’apprentissage
• Nous avons choisi pour la phase d’entraînement du réseau le
coefficient d’apprentissage 0,06, le momentum 0,7, le seuil de
tolérance 0,001 et le nombre d’itération maximale à 6000.
3
Performance is 0.000998233, Goal is 0.001
10
2
10
1
10
Training-Blue Goal-Black
0
10
-1
10
-2
10
-3
10
-4
10
0 100 200 300 400 500 600 700
726 Epochs
273
274
275
276
Prototype Antenne réseau
• Un prototype réseau (à 4 éléments) a été réalisé, pour
l’étude de couplage en plan E, bande GSM.
• f=925 MHz; h=2.5 cm; excitation à 1mm de bord
277
Prototype réseau à 8 éléments
278
Diagramme de rayonnement de lobe
directif à (30°) et de zéro à (60°)
279
Diagramme de rayonnement de deux lobes
directifs à -30° et 30°
280
Diagramme de rayonnement de trois lobes
directifs à -30°, 10 et 30°
281
EXERCICES ET PROBLEMES
Dipôle demi-onde à 100 MHz dans le plan horizontal
Enoncé
• 1. Soit un dipôle demi-onde à 100 MHz dans le plan horizontal. Calculer sa
surface équivalente maximale.
• 2. Un satellite émet un signal avec les caractéristiques suivantes :
– satellite géostationnaire, r=36'000 km
– PIRE = 49 dBW
– f = 12 GHz
On montre que la surface équivalente d'une antenne parabolique est
environ égale à la moitié de la surface de son disque. Donner la puissance
reçue par une antenne parabolique de diamètre d=70 cm.
• 3. Soient deux antennes identiques de gain G 0=10 dB et éloignées de
300m. Le signal est émis à une fréquence f=400 MHz avec une puissance
de 2.5 W.
Calculer l'affaiblissement de la l iaison et la puissance du signal reçu
(exprimé en W).
283
Dipôle demi-onde à 100 MHz dans le plan horizontal
Corrigé (1)
• 1.
• 2.
285
Champ électromagnétique rayonné par un doublet et résistance de
rayonnement
Enoncé (1)
286
Champ électromagnétique rayonné par un doublet et résistance de
rayonnement
Enoncé (2)
287
Champ électromagnétique rayonné par un doublet et résistance de
rayonnement
Enoncé (3)
288
Champ électromagnétique rayonné par un doublet et résistance de
rayonnement
Corrigé (1)
289
Champ électromagnétique rayonné par un doublet et résistance de
rayonnement
Corrigé (2)
290
Champ électromagnétique rayonné par un doublet et résistance de
rayonnement
Corrigé (3)
291
Champ électromagnétique rayonné par un doublet et résistance de
rayonnement
Corrigé (4)
292
Problème 1: Champ électromagnétique rayonné par un doublet et
résistance de rayonnement
Corrigé (5)
293
Champ électromagnétique rayonné par un doublet et résistance de rayonnement
Corrigé (6)
295
Interférences de N sources équiphases d’amplitudes différentes
Enoncé (2)
296
Interférences de N sources équiphases d’amplitudes différentes
Corrigé (1)
297
Interférences de N sources équiphases d’amplitudes différentes
Corrigé (2)
298
Interférences de N sources équiphases d’amplitudes différentes
Corrigé (3)
299
Interférences de N sources équiphases d’amplitudes différentes
Corrigé (4)
300
Problème 2: Interférences de N sources équiphases d’amplitudes
différentes
Corrigé (5)
301
Problème 2: Interférences de N sources équiphases d’amplitudes
différentes
Corrigé (6)
302
Interférences de N sources équiphases d’amplitudes différentes
Corrigé (7)
303
Interférences de N sources équiphases d’amplitudes différentes
Corrigé (8)
304
Diffraction de Fraunhoffer d’une antenne parabolique
Enoncé (1)
305
Diffraction de Fraunhoffer d’une antenne parabolique
Enoncé (2)
306
Problème 3: Diffraction de Fraunhoffer d’une antenne parabolique
Corrigé (1)
307
Problème 3: Diffraction de Fraunhoffer d’une antenne parabolique
Corrigé (2)
308
Diffraction de Fraunhoffer d’une antenne parabolique
Corrigé (3)
309
Diffraction de Fraunhoffer d’une antenne parabolique
Corrigé (4)
Vi = Z*ci Ii 312
Les paramètres S décrivent complètement un quadripole
•
b1 S11 a1 S12 a2
I1 S21 I2
a1 b2
b2 S 21 a1 S 22 a2
ou
VS
1 11
SV222
bS a b1 a2
S12
• Les paramètres S sont obtenus comme graphe de transfert associé
I1 I2
S11 b1 / a1 a2 0 S12 b1 / a2 a1 0
S 21 b2 / a1 S 22 b2 / a2 ZL1 V1 V2 ZL2
a2 0 a1 0
ai (Vi Z ci I i ) / 2 Rci ai 0 Vi Z ci I i
Sij est obtenu en connectant à l’accès j une charge ZLj = Zcj
c’est-à-dire une charge « adaptée » à l’impédance de référence
313
• Si l’impédance caractéristique de référence est réelle
Intérêt des paramètres S ?
• Si Rci > 0, et qu’une source d’impédance Zg = Zci est
2
a
placée à l’accès i, la puissance disponible à l’accès “i”i est
(Pdisp correspond à Zin = Zg * = Zci* , donc bi = 0)
• La puissance fournie à l’accès i est
2 2
Pfi Re(Vi I i* ) ai bi
S
11b
1/a
1a
0 2 V 0 S11 0 S
12b
1/a
2a
0 1 V 0 S12 e L
S
21b
2/a
1a
0 2
ligne adaptée S 21 e L S
22b
2/a
2a10 ligne adaptée S 22 0
315
Intérêt des paramètres S ?
i
T* T* T*
a a a S Sa
T* T*
a (1 S S ) a
T*
Quadripôle passif et sans pertes: Ptot = 0 S S 1
T*
Quadripôle passif: Ptot > 0 1 S S est définie positive
T
Quadripôle réciproque: S S
N = Tab Dp
S21
a1 b2 a2 = GL b2
S11 S22 L ?? Facteur de réflexion en entrée du quadripôle ??
b1 a2 Z in Z c V1 / I1 Z c V1 Z c I1 b1
in
S12 Z in Z c V1 / I1 Z c V1 Z c I1 a1
b N
S(
1
S
)S
S
1
in11L
2221
L
12
a
1 D 1
S
L22
319
Règle de Mason pour une ligne de transmission
I1 I2 Hypothèses
S11 S22 L a2 = GL b2
bb11 aa22
eS-12g L
b1 N e L L e L 2 L
in e L
a1 D 1 0
320
Critère de stabilité (1)
321
Critère de stabilité (2)
322
Condition d’adaptation
324
Facteur de stabilité de Rollet (2)
326
Antenne d’émission
Énoncé
327
Antenne d’émission
Corrigé (1)
328
Antenne d’émission
Corrigé (2)
329
Résistance du dipôle
Énoncé
330
Résistance du dipôle
Corrigé (1)
331
Résistance du dipôle
Corrigé (2)
333
Amplificateur d’antenne à 2.45 GHz
Énoncé (2)
334
Amplificateur d’antenne à 2.45 GHz
Corrigé (1)
Énoncé
338
Alignement d’antennes (Antenne Yagi)
Corrigé (1)
340
Liaison avec un satellite météo
Énoncé (1)
342
Liaison avec un satellite météo
Corrigé
343
Étude d’un récepteur
Énoncé (1)
345
Étude d’un récepteur
Corrigé (1)
351
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Corrigé
352
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Énoncé (1)
353
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Énoncé (2)
354
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Énoncé (3)
355
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Énoncé (4)
356
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Corrigé (1)
357
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Corrigé (2)
358
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Corrigé (3)
359
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Corrigé (4)
360
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Corrigé (5)
361
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Corrigé (6)
362
Étude d’une liaison hertzienne à 10 GHz
Corrigé (7)
363
Doublets alignés
Énoncé
364
Doublets alignés
Corrigé
365
Micro-robot mobile
Énoncé (1)
366
Micro-robot mobile
Énoncé (2)
367
Micro-robot mobile
Corrigé (1)
368
Micro-robot mobile
Corrigé (2)
369
Micro-robot mobile
Corrigé (3)
370
Micro-robot mobile
Corrigé (4)
371
Micro-robot mobile
Corrigé (5)
372
Salle de mesure – salle anicoïde
373
Mesures en hyperfréquences avec l’analyseur de réseau
L’analyseur de
réseaux est l’outil
principal de mesure
aux hautes
fréquences.
Il permet de
mesurer les ondes
transmises et
réfléchies sur un
dispositif sous test.
On a ainsi
directement accès Réponse fréquentielle
aux paramètres S. 374
Deux catégories d’analyseurs de réseaux
375
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux (1)
Il faut respecter :
A'et A a 'b ' a b
B' B
Les analyseurs de réseaux permettent
d’effectuer des mesures sur des plages
de fréquences importantes
377
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Mesure de S11
s11 visualisation
réf test
tête d’échantillonage -1 +1
378
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Mesure de S21
Q test
Générateur té diviseur b1
fréquence variable
réf
a1 a’1
b2 ' b2
Il faut respecter : égalisation des déphasages
a1 ' a1 dus aux parcours
octobre 2006 - Pr. E. TONYE 379
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Mesure globale
R A B
A B
S11 SEPARATION DES SIGNAUX S 21
R R
DETECTION
TRAITEMENT
VISUALISATION
A diaphonie
B
directivité
Générateur
fréquence variable Q
désadaptation désadaptation
de la source de la charge
nécessité d’un
étalonnage de
l’analyseur pour corriger
ces erreurs
Réponse
fréquentielle du
détecteur en
réflexion
Utilisation de charges de
référence pour calibrer
directivité
Générateur Q l’analyseur sur la bande
fréquence variable de fréquences voulue
désadaptation (kit de calibration)
de la source
383
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Mesure avec un circuit ouvert
Générateur CO
fréquence variable
384
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Mesure avec un court circuit
Générateur CC
fréquence variable
385
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Mesure avec une charge adaptée
Générateur Zc
fréquence variable
386
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Mesure S11
S11réel
Générateur Q S11M Ed Er
fréquence variable 1 Es S11réel
coupleur réponse
source
387
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Rélation entre S11 et l’impédance d’entrée
b1 v1 i1 i1 zo 1 zo 1
S11
a1 v1 i1 i1 zo 1 1 zo 11
388
Principe de fonctionnement de l’analyseur de réseaux
Mesure de l’impédance caractéristique
zc zoco .zocc
Port 1 Port 2
Test Set
câble à caractériser
Zr
389
Antennes adaptatives
Conclusion
• Les systèmes à antennes intelligentes s’adaptent
constamment à l’environnement radio au fur et à
mesure de ses changements.
• Ils reposent sur des algorithmes de traitement du
signal sophistiqués permettant de distinguer en
permanence les signaux utiles des signaux issus des
trajets multiples et des brouilleurs et de calculer leurs
directions d’arrivée.
• Grâce à la capacité de poursuite précise et de rejet
d’interférence, plusieurs utilisateurs peuvent se
partager le même canal à l’intérieur de la même
cellule.
390
BIBLIOGRAPHIE
[1] Tom MATHES, IVICA Stevanovic, Juan R. MOSIG, Algorithms for Direction of
arrival Estimation in a Smart antenna, Semester project summer 2002-2003, EPFL-
Faculté STI-LEMA, July 2003.
[2] Constantine A. BALANIS, antenna theory, analysis and design, Second Edition
John Willey & Sons Inc, New York, 2003.
391