STRUCTURALE EN
PLASTICITE
HIERARCHISATION DE
L’ENSEIGNEMENT DES METHODES
D’ANALYSE GLOBALE
Utilité du calcul post-élastique
Approche équivalente
I < I'
v << v'
I/v > I/v'
Loi s-e pour l’acier doux
s
fu
fy Ep
se
E
e
ee ep eu er
Idéalisation indéfiniment élastique
s
s=Ee
E
e
Idéalisation élastique-plastique
s
fy
E
e
ey
Idéalisation élastique-plastique
s
fy
E
e
ey
Idéalisation élastique-plastique
s
fy
E
e
ey
Idéalisation rigide-plastique
s
fy
e
TREILLIS CHARGE JUSQU’A LA RUINE
Système à trois barres
EA EA EA
L X
Y ° 45° Y
Par symétrie:
45
Même effort Y dans
barres obliques
Equilibre vertical
P
X+2Y cos 45° = P
Système à trois barres
EA EA EA
L X
Y ° 45° Y
45
Equation de compatibilité
d Y L cos 45
XL
et cos 45
EA EA
P
D’où : X = 2Y
Système à trois barres
Charge limite élastique 2P
X
Equilibre : X+2Y cos 45° = P 2 2
Compatibilité : X = 2Y P
Y
2 2
X>Y donc barre verticale se plastifie en premier lieu pour une
charge appliquée P=Pe telle que X=Afy, d’où:
2 2 Af y
Pe Af y d' où : Y
2 2
fy L
e
E
Efforts X et Y Déplacement vertical
X/Afy
Y/Afy P
0,5 Pe
P/Afy d
2 fy L
1
2 E
Système à trois barres
Etat de déformation plastique limitée
• La barre verticale, plastifiée, peut s’étirer sous charge
constante: elle est en régime plastique
• Elle ne peut plus contribuer à la reprise de tout
supplément de charge; seules les barres obliques -
restées élastiques - peuvent assurer ce rôle
• Equilibre : X+2Y cos 45° Afy+ 2Y cos 45° = P
P Af y
d’où : Y
2
• Le système est en état de déformation plastique limitée
tant que les barres obliques ne plastifient pas à leur tour
Système à trois barres
Charge limite plastique
• Les barres obliques se plastifient à leur tour sous
P Af y
Y Af y
2
• Il y correspond une charge limite plastique
Pl 1 2 Af y
2 Pe
• Le déplacement s’obtient selon
L
Y
cos 45 2f y L
l donc l 2 e
EA cos 45 E
Efforts X et Y Déplacement vertical
X/Afy
Y/Afy P
1
Pl
0,5 Pe
P/Afy d
2 fy L 2f y L
1 1 2
2 E E
Système à trois barres
Charge limite plastique
• Lorsque les 3 barres sont plastifiées, il n’y a plus aucun
composant du système qui est élastique.
• Le système peut se déformer sous charge constante,
sous réserve de négliger l’effet du changement de
géométrie.
• Cette charge, égale à Pl , est la charge limite plastique; on
dit que le système est en état de déformation plastique
libre.
• Cette charge est considérée comme la charge de ruine du
système.
Système à trois barres
Décharge à partir de l’état limite plastique
• Le déchargement de chacune des barres se fait selon une
droite parallèle à la droite de chargement
• Il en va de même pour la flèche
X/Afy
Y/Afy P
1
Pl
0,5 Pe
2
1
2 P/Afy d
2 fy L 2f y L
1 1 2
2 E E
1 2
A la décharge complète, il subsiste des efforts
résiduels et une flèche résiduelle
X/Afy
Y/Afy P
1
Pl
0,5 Pe
P/Afy d
2 fy L 2f y L
1 1 2
2 E E
Ppl A f y 2 A f y cos 45
A fy 1 2
Vérification expérimentale
Essais sur des systèmes du type précédent,
faits d’acier doux ou d’aluminium, montrent un
très bon accord entre théorie et expérience
jusqu’à la charge limite plastique Ppl
Au-delà de cette charge, l’expérience montre
une légère croissance de la charge au-delà de
Ppl alors que la théorie conduit à un palier.
Cette différence résulte de l’écrouissage, négligé
dans la théorie.
SECTION FLECHIE
CHARGEE JUSQU’À LA RUINE
Flexion plastique d’une section
doublement symétrique
e<ey e=ey e>ey e
d
h ce=2ey /h
c=ey /d
d
Me = fy W
d ce = Me /EI= 2ey /h
h c=ey /d
Etat élastoplastique
d
M = ∫s y dA
c e= 2ey /h
s=fy c=ey /d
c e /c = 2d/h
Flexion plastique d’une section
doublement symétrique
Mp = ∫s y dA = fy ∫ydA
h Z=2S
= fy Z
c=c e h/2d
s=fy c=
Flexion pure plastique d’une
section doublement symétrique
Mp est une idéalisation parce que:
d
h
d
= + -
fy
fy fy fy
M = Me,d + Mp - Mp,d
= fy Wd + f yZ - f yZ d
Loi moment-courbure
M f y Wd f y Z f y Z d
M e fyW
M fy Z Wd Z d
1 Z Z
M e fy W
M p Z d Wd Fonction de la hauteur
1 relative 2d/h, donc de ce/c
Me Z
Si M tend vers Mp, c tend
M Mp e
1 f vers l’infini et f(ce/c) tend
Me Me vers 0 donc M/Me est
asymptotique à Mp/Me
Facteur de forme a=Mp/Me=Z /W
Loi moment-courbure
M/Me
2 2,0
1,70
1,5 1,50
1,27
1
Premier bénéfice de la plasticité
Adaptation dans la section
c/ce
1 2 4 6 8 10 12 14
Loi moment-courbure
M/Me
2
Profilé en double té
Fléchi autour de l’axe fort yy
1,5
Z=Mp/Me Loi idéalisée
1,10-1,22
1 Loi réelle
Loi réelle
c/ce
1 2 4 6 8 10 12 14
Effet d’une décharge
Mise en charge élasto-plastique
+
+
- -
+ +
-
-
ANE
ANP
<fy fy fy
A1 Z = A1y1+A2y2
A1=A2= A/2 y1
A2 y2 = (A/2) (y1+y2)
NOTION DE ROTULE PLASTIQUE
Notion de rotule plastique
Théorie de flexion pure généralisée au cas de
flexion simple (M+V) et de flexion composée
(M+N) car N et V influencent peu le moment
plastique.
Application de la théorie plastique aux ossatures
en acier doux.
Une section de Classe 1 ou 2 est caractérisée
par un moment plastique Mp = fy Z
Ce moment engendre une courbure en principe
infinie.
Notion de rotule plastique
La longueur de la zone élasto-plastique reste
toujours assez limitée
La courbure de la partie élastique reste faible
mais celle de la partie élasto-plastique croît
rapidement dans la zone partiellement plastifiée
et ce d’autant qu’on se rapproche de la section
totalement plastifiée
Tout se passe donc comme si des tronçons
rigides étaient articulés les uns aux autres au
droit des sections pleinement plastifiées
Notion de rotule plastique
Moment
Me Mp
Courbure
2 tronçons fléchis
élastiquement et
zone élasto-plastique
2 tronçons rigides
avec rotule plastique
Concept de rotule plastique
Rotule plastique = articulation «à frottement»
concentrée en une section, celle où Mp est
atteint.
Articulation «à frottement», à savoir :
• Reste rigide tant que M< Mp
• Ne peut tourner que si Mp est atteint
En-dehors de la rotule, les éléments sont
élastiques et leur courbure est négligée devant
la courbure naissant dans la rotule plastique.
Vérification expérimentale
Charge
Réponse expérimentale
Plim Effet de l’écrouissage
Charge limite théorique
Flèche
Charge limite - Poutre bi-encastrée (1)
Première fibre plastifiée
p lorsque M max M e
12 M e
donc pour pe
L²
Après 1ère plastification,
A C B
conformément au concept
L de rotule plastique,
comportement admis
élastique jusqu'à ce que
M A M B M p
pL²/24 - pL²/12
pL²/8
- - donc pour p1
12 M p
L²
+
Flèche varie
proportionnellement à p
pL4
384EI
-Mp
p1L²/8 et atteint sous p1
- - M p L2
+ 1
32EI
Charge limite - Poutre bi-encastrée(2)
En domaine élastoplastique
p les rotules plastiques en A et B
tournent sous moment
constant.La fléche vaut
A C B
5 pL4 M p L ²
L
384 EI 8 EI
et n'est plus proportionnelle à p
Rotules plastiques
-Mp Le moment à mi-portée croît
en A et B pL²/8
- - jusqu'à atteindre M p
+
D'où:
pl L ²
Rotule plastique -Mp Mp Mp
8
- en C - et:
pl L²/8
+ Mp 16 M p
pl
L²
Charge limite - Poutre bi-encastrée(3)
pl
P
A C B
L 16Mp /L²
pl 12Mp /L²
12Me /L²
A C B
L/2 q q q
MC=Mp
2
q
∫SPidi + ∫pd dx = SMjqj
q MA + q MB +2 q MC
2 x (½ x L/2 x L/2 pl=16 Mp/L²
x q) x p
Etat limite de ruine réel
Multiplicateur de ruine ll des charges de référence
Diagramme des M statiquement admissible (en équilibre
avec les forces extérieures appliquées) et plastiquement
admissible (en aucune section de l’ossature le moment de
flexion n’y dépasse le moment plastique de cette section)
Mécanisme de ruine, décrit par les rotations qj dans les
rotules plastiques, cinématiquement admissible (respectant
les liaisons avec le monde extérieur), tel que le travail Te
des forces extérieurs est positif
Association des Mj aux rotations qj par les lois d’écoulement
qj = 0 si -Mpj<Mj<Mpj
qj > 0 si Mj=Mpj
qj < 0 si Mj=-Mpj
Concept de diagramme licite
Propriétés d’un diagramme de moments M- licite
• Etre statiquement admissible
• Etre plastiquement admissible
Grand nombre de diagrammes de moments licites
(différant entre eux par les emplacements où on annule
les efforts intérieurs excédentaires)
A chaque diagramme licite, on peut associer un
multiplicateur statique l- des charges prises comme
référence
Concept de mécanisme licite
Propriété d’un mécanisme de ruine qj+ licite
• Etre cinématiquement admissible, c’est-à-dire
respecter les liaisons avec le monde extérieur
Grand nombre de mécanismes licites (différant entre eux
par les emplacements supposés des rotules plastiques
requises pour obtenir un mécanisme)
A chaque mécanisme licite, on peut associer un
multiplicateur cinématique l+ des charges prises comme
référence
Théorème cinématique
A priori le mécanisme de ruine n’est pas connu
Dans une ossature hyperstatique de degré h, il faut
(h+1) rotules plastiques pour former 1 mécanisme
Multiples manières de situer les rotules potentielles
de manière à former un mécanisme licite
A un tel mécanisme, on peut associer un
multiplicateur cinématique l+
Parmi ces mécanismes licites, un seul est le
mécanisme réel de ruine, auquel correspond ll
Tout multiplicateur cinématique est supérieur ou
égal au multiplicateur limite : ll ≤ l+
Théorème statique
A priori le diagramme réel n’est pas connu
Dans une ossature hyperstatique de degré h, il
est possible de construire un grand nombre de
diagrammes licites
A un tel diagramme, on peut associer un
multiplicateur statique l-
Parmi ces diagrammes licites, un seul est le
diagramme réel à la ruine, auquel correspond ll
Tout multiplicateur statique est inférieur ou égal
au multiplicateur limite : l- ≤ ll
Lemme de Feinberg
50
100
10 m
20 m
20
+
Mécanisme de ruine partiel
10 kN
36 -5
- 0
14 kN
100
10 m
20 m
- 50 50
Mp,traverse = 100 kNm
Mp,poteau = 50 kNm -
+
Degré d’hyperstaticité:
h=2
Nombre de rotules requis :
L/3 2L/3 h+1=3
L Nombre de sections
potentiellement critiques :
q q/2 s=3
l+ = ll ? OK Rotules plastiques en C et D
l+PaLq = Mp [(aq/(1-a)+q/(1-a)]
-MP
d’où
+MP +MP
l+ = (Mp /PL)*(1+a)/[a(1-a)]
Exemple 2
Poutre continue à 2 travées égales et
symétriquement chargée par forces concentrées
aL aL
A D C E B Rotules plastiques en C et E
L L même solution par symétrie:
aq/(1- q l+ = (Mp /PL)*(1+a)/[a(1-a)]
a)
q/(1-a) Rotules plastiques en D et E
q’ q l+PaL(q+q’) =
Mp [(aq/(1-a)+q/(1-a)]
+ Mp [(aq’/(1-a)+q’/(1-a’)]
-MP
d’où, à nouveau:
+MP +MP
l+ = (Mp /PL)*(1+a)/[a(1-a)]
Exemple 2
Portique rectangulaire simple encastré aux pieds
lP lP
2 3 4 2 q 3 q 4
Mp
2q
H Mp
Mécanisme de poutre
1 5 1 5
L Rotules en 1-2-3-4
Rotules en 2-3-4-5
h = 3 l+1234 PLq/2=4Mpq
Nbre de rotules nécess. : h + 1 = 4 d’où :
Nbre sect. potent. crit. : s = 5 l+ =8Mp/PL
1234
Nbre de mécan. poss. : Csh+1= 5
l+2345 =8Mp/PL
Exemple 2
Portique rectangulaire simple encastré aux pieds
lP lP
2 3 4 2 3 4
Mp
H Mp qq q
q
1 5 1 5
L Rotules en 1-2-4-5
Mécanisme de panneau
l+1245 PHq=4Mpq
d’où:
l+1245 =4Mp/PH
Exemple 2
Portique rectangulaire simple encastré aux pieds
lP lP q
2 3 4 2
q3 4
Mp 2q
H Mp qq q
q
1 5 1 5
L Rotules en 1-3-4-5
Mécanisme combiné
L Rotules en 1-2-3-5
Mécanisme combiné
l+1235, droite (PHq - PLq/2)=6Mpq d’où:
l+1235,droite =[12Mp/PL ] /(-1 + 2H/L]
l+1235, gauche (-PHq + PLq/2)=6Mpq d’où:
l+1235,gauche =[12Mp/PL ] /(1 - 2H/L]
Exemple 2
Portique rectangulaire simple encastré aux pieds
déterminant
Exemple 2
Portique rectangulaire simple encastré aux pieds
l+1234 PL/Mp= l+2345 PL/Mp = 8
l+1245 PL/Mp =4L/H
l+1345 PL/Mp =12 /(1 + 2H/L]
l+PL/Mp
12
8
Tester le 6
résultat 4
L/H
1 2 3 4 5
Exemple 2
Portique rectangulaire simple encastré aux pieds
q
? -M p
2
q3 4
2q
qq q
q
+ Mp
1 5
-M p +Mp
Rotules en 1-3-4-5
l+1345P Mécanisme combiné
C.I.
A B
C.I
3lP 4 3lP
L/2 lP 3 5
2 6
L L L L q/ q/
L 4
4
1 7
4L 4L
h = 1 donc 2 rotules
q/
Utilisation du centre 4
instantané de rotation
L/4
3q/
L L
4 3q/ q
L 4 3L
Mécanismes simples indépendants
Mécanisme de poutre (déjà évoqué)
Mécanisme de panneau (déjà évoqué)
Mécanisme de noeud
Mécanisme de nœud (1)
C
d Mp C
d qd/(L-d)
h=3 q
q
H Donc 4 rotules qL/(L-d)
Mp Mp qH/(H-d)
L qd/(H-d)
l+ = Mp [2+2d/(H-d)+2d/(L-d)]/C
l+ minimum si d0 donc l+ = 2Mp/C
Mécanisme de nœud (2)
C
Mp M’p
Mp M’’p M’p
2 3 4
h = 3
s=5 qq q
q
m=s–h=5-3=2 Mécanisme de panneau
1 5
Exemple 1
Portique rectangulaire simple encastré aux pieds (2)
2 q 3 q 4 2 3 4
2q q
qq q
Mécanisme de poutre Mécanisme de panneau
1 5 1 5
Mécanisme 1 2 3 4 5 D/Mp
Te/ P
L P
L/Mp
Mp Mp Mp Mp Mp
Poutre -1 +2 -1 0,5 4 8
Panneau -1 +1 -1 1 0,5 4 8
Poutre + -1 +2 -2 1 1 6 6
Panneau
Exemple 2
Portique rectangulaire double encastré aux pieds (1)
Résultante 4P
P 3
2P 6
4 7
2 5 8
2Mp 2Mp
2L Mp Mp Mp
1 10 9
2L 2L
h = 6
s = 10
Nbre de mécanismes possibles : Csh+1= 120
Nbre de mécanismes simples : m = s – h = 10 - 6 = 4
Mécanisme de poutre Résultante 4P
P 2P
Gauche 3 4 6 7
2 5 8
2Mp 2Mp
2L Mp Mp Mp
1 10 9
2L 2L
Mécanisme 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Te/+PL D/Mp +PL/Mp
Mp Mp 2Mp 2Mp Mp 2Mp 2Mp Mp Mp Mp
1-Poutre G -1 +2 -1 2 7 3,5
Mécanisme de poutre Résultante 4P
P 2P
Droite 3 4 6 7
2 5 8
2Mp 2Mp
2L Mp Mp Mp
1 10 9
2L 2L
Mécanisme 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Te/+PL D/Mp +PL/Mp
Mp Mp 2Mp 2Mp Mp 2Mp 2Mp Mp Mp Mp
1-Poutre G -1 +2 -1 2 7 3,5
2-Poutre D -1 +2 -1 2 7 3,5
Mécanisme de Résultante 4P
panneau P 3
2P
4 6 7
2 5 8
2Mp 2Mp
2L Mp Mp Mp
1 10 9
2L 2L
Mécanisme 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Te/+PL D/Mp +PL/Mp
Mp Mp 2Mp 2Mp Mp 2Mp 2Mp Mp Mp Mp
1-Poutre G -1 +2 -1 2 7 3,5
2-Poutre D -1 +2 -1 2 7 3,5
3-Panneau -1 1 +1 -1 +1 -1 2 6 3
Mécanisme de noeud Résultante 4P
P 3
2P 6
4 7
2 5 8
2Mp 2Mp
2L Mp Mp Mp
1 10 9
2L 2L
Mécanisme 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Te/+PL D/Mp +PL/Mp
Mp Mp 2Mp 2Mp Mp 2Mp 2Mp Mp Mp Mp
1-Poutre G -1 +2 -1 2 7 3,5
2-Poutre D -1 +2 -1 2 7 3,5
3-Panneau -1 1 +1 -1 +1 -1 2 6 3
4-Noeud +1 +1 -1 0 5
Mécanisme 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Te/+PL D/Mp +PL/Mp
Mp Mp 2Mp 2Mp Mp 2Mp 2Mp Mp Mp Mp
1-Poutre G -1 +2 -1 2 7 3,5
2-Poutre D -1 +2 -1 2 7 3,5
3-Panneau -1 1 +1 -1 +1 -1 2 6 3
4-Noeud +1 +1 -1 0 5
5 = 1+3 -1 +2 -1 +1 -1 +1 -1 4 11 2,75
1 10 9
2L 2L
M1 = - M p M3 = + 2Mp M4 = - 2Mp M 5 = + Mp M8
= - Mp M9 = + M p M10 = - Mp
Reste à déterminer :
M2, M6, M7
Mécanisme 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Te/+PL D/Mp +PL/Mp
Mp Mp 2Mp 2Mp Mp 2Mp 2Mp Mp Mp Mp
1-Poutre G -1 +2 -1 2 7 3,5
2-Poutre D -1 +2 -1 2 7 3,5
3-Panneau -1 1 +1 -1 +1 -1 2 6 3
4-Noeud +1 +1 -1 0 5
5 = 1+3 -1 +2 -1 +1 -1 +1 -1 4 11 2,75
6 = 5+2-4 -1 +2 -2 +2 -2 +1 -1 6 17 2,83
2 5 8
2Mp 2Mp
Mp Mp Mp
1 10 9
fy fy fy
fy fyc fy fy
Courbure
infinie
Effets de l’effort normal (3)
fy
d
h/2
-
= +
h/2
d +
fy
N M
M = Mp – Mp,d = ( Z – Zd ) fy N = Ad fy
Mp = Z fy Np = A fy
m = M/Mp = 1- (Zd /Z ) n = N/Np = Ad /A
Effets de l’effort normal (4)
Section rectangulaire
n
Z = bh²/4
2d h A = bh 1
Zd = bd²
b
Ad = 2bd
m
1
m = 1- (Zd /Z ) = 1-(4d²/h²) n = Ad /A = 2d/h
m = 1 – n²
Effets de l’effort normal (5)
Section en double té
n
a
1 Axe faible
M+N
h ha A.N.P Axe fort
.
t
b
m
1
Distinguer flexion d’axe fort et flexion d’axe faible
Expression de la relation m=f(n) différente selon la position de
l’axe neutre plastique (traversant la semelle or l’âme)
Effets de l’effort normal (6)
Section en double té - Pratique
Flexion d’axe fort Flexion d’axe faible
n n
m = (1-n)/(1-c) m = 1- [(n-2c)/(1-2c)]²
1 1
c =Aa/2A
c 0,18 pour profilés en I
c 0,10 pour profilés en H
2c
c m=1 m=1
1 m 1 m
Effets de l’effort tranchant
• En théorie, problème complexe et solution peu
convaincante
• En pratique, préférence donnée à une solution
empirique, inspirée de résultats d’essais
– Profilés laminés fléchis autour de l’axe fort : moment
résistant Selon
admis non affecté par
l’Eurocode 3, l’effort tranchant tant
pas d’influence deque
V Vpl (résistance de l’âme seule)
l’effort de cisaillement tant que:
– Profilés symétriques obtenus par soudage : moment
V 0,5Vpl
résistant admis non affecté par l’effort tranchant tant que
V Vpl /3