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Université Tunis El Manar

Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de


Tunis
Cours: Analyse des approches organisationnelle

Thème 12: la théorie de la connaissance: l’essor du


knowledge management

Niveau: 1ère MBA


Année universitaire: 2019/2020
Introduction
PLAN:
Problématique
I. Émergence du management de connaissance
II. Théorie classique de la connaissance
III. Le Knowledge Management
1. Définitions du KM
2. Définitions des principaux concepts : donnée, information, connaissance
3. Niveaux de la connaissance 
4. Les objectif du Knowledge Management
5. Les outils du management des connaissances
6. les enjeux du management des connaissances
7. Les limites du management des connaissances
8. Le KM pour l’organisation
9. Le KM pour l’individu
IV. Les différentes approches du management des connaissances
V. Quelques modèles du KM
Conclusion 2

Bibliographie
INTRODUCTION:

 La gestion des connaissances ou Knowledge management(KM) est l’un des sujets les plus brulants
aujourd’hui tant dans le monde de l’industrie et le monde de la recherche d’information.
 La gestion des connaissances est désormais une notion permanente dans les entreprise et la
performance d’une entreprise dépend de plus en plus de sa capacité à rendre accessible
(partager) la somme des connaissances explicites et tacites des individus.

Dans notre vis quotidienne, nous traitons avec une énorme quantité de
données et d’informations.

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Problématique:
COMMENT ON PEUT CONSIDÉRÉ
LA THÉORIE DU MANAGEMENT
DE CONNAISSANCE COMME UNE
RESSOURCE STRATÉGIQUE POUR
L'ENTREPRISE ?

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I. ÉMERGENCE DU MANAGEMENT DE CONNAISSANCE
(1/2)

 Le management des connaissances, en anglais « Knowledge Management », ou KM, est une discipline
professionnelle, apparue au milieu des années 1990, dont l’objet est de faciliter la création, la
formalisation, la pérennisation et la valorisation des connaissances, savoirs et savoir-faire, nécessaires
à l’accomplissement des activités de l’organisation.
 Au cours des années 1970, des chercheurs tels que Peter Drucker, Paul Strassman et Peter Senge ont
commencé à développer les théories et les applications pratiques de la gestion des connaissances en
tant que discipline.
 Des études clés ont été menées pour examiner comment les connaissances étaient produites, utilisées
et diffusées au sein d'une organisation. Au fur et à mesure que les organisations se réduisaient, elles se
rendaient compte qu'elles perdaient de précieuses connaissances et informations.
5
I. ÉMERGENCE DU MANAGEMENT DE CONNAISSANCE
(2/2)

 D'autres organisations se développent et ne peuvent pas suivre les nouvelles connaissances et


informations qu'elles développent.
 Les entreprises et les organisations ont commencé à chercher comment mieux gérer les connaissances
acquises et les connaissances perdues au sein de leur organisation. La technologie pourrait ouvrir des
solutions à l'élément de gestion, mais il fallait faire davantage pour que les organisations gèrent au mieux
les connaissances et l'information (Uriarte, 2008, p. 34).

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II. THÉORIE CLASSIQUE DE LA CONNAISSANCE
(1/3)

Premier pas introductif dans la théorie de la connaissance:

 Suivant son contexte d'utilisation, la proposition « la terre tourne autour du soleil » :
• A été historiquement une hypothèse ou un pari ou une croyance tant que personne n'a été en
mesure de la démontrer rationnellement.
• Un savoir car elle est issue d'un corpus d'astronomie dûment validé par la communauté scientifique.
Une fois formalisé, un savoir existe de manière indépendante.
• Une croyance vraie pour un individu qui affirme ce savoir mais qui ne sait pas l'expliquer.
• Une connaissance pour un individu qui sait expliquer ce savoir pour lui-même et/ou pour autrui

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II.  THÉORIE CLASSIQUE DE LA CONNAISSANCE
(2/3)

 Théorie classique de la connaissance:


  Croyance vraie justifiée:

La théorie classique repose sur l'idée que la connaissance est une croyance vraie et justifiée , et non
seulement une croyance vraie.
Cette clause supplémentaire permet d'exclure du domaine de la connaissance les cas dans lesquels
notre croyance est vraie, mais où nous ne sommes pas en mesure d'expliquer pourquoi elle est vraie.
Un individu peut ainsi croire que la terre tourne autour du soleil (proposition p) par simple ouï dire, sans
être capable de l'expliquer.
La proposition p est vraie, mais l'individu en question ne sait pas que la terre tourne autour du soleil.
Cela reste une croyance. 8
II.  THÉORIE CLASSIQUE DE LA CONNAISSANCE
(3/3)

• La justification de la croyance est donc l'élément crucial de cette analyse traditionnelle de la


connaissance, et de nombreuses théories contemporaines cherchent à en déterminer
précisément la nature et les modalités ;
• la théorie de la justification est l'une des principales branches de la théorie de la connaissance.
Le terme de « connaissance » a longtemps désigné, en philosophie, des croyances dont la
vérité est justifiée de manière certaine.
Toute croyance présentant un moindre degré de justification constitue à ce compte une « opinion
probable » (ou connaissance par provision).
Ce point de vue prévaut encore dans l'œuvre de Bertrand Russell (notamment dans les Problèmes de
Philosophie, 1912). Au cours des décennies qui suivirent, l'idée selon laquelle le degré de justification
des croyances doit s'évaluer en termes de certitude a perdu en influence.
9
III. LE KNOWLEDGE MANAGEMENT
1.DÉFINITIONS DU KM: (1/2)

 Selon Quintas en 1997: le management des connaissances est un processus organisationnel


permettant l’acquisition, la structuration, l’intégration et la diffusion de la connaissance des
individus à travers l’organisation, en vue d’offrir une aide au travail et d’accroître l’efficacité
organisationnelle.
 Pour Anne–Sophie Godfroy-Génin, professeur agrégé de philosophie à l’ENSAM de Paris, le KM
consiste à stocker de l’information, la faire circuler, la transmettre, la filtrer, la trier pour adapter
son contenu à son récepteur, [et] créer alors de nouvelles connaissances, qui à leur tour seront
stockées, transmises, etc. ».
Le management des connaissances n’est pas, une fin en soi, c’est un moyen
donné aux entreprises d’accroître leur performance  10
(2/2)
 Selon Platon, la connaissance est à l'intersection de vérité et de croyance

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2.  DÉFINITIONS DES PRINCIPAUX CONCEPTS : DONNÉE, INFORMATION,
CONNAISSANCE (1/2)

Une donnée est un fait brut qui résulte d’une


observation neutre, d’une mesure effectuée
par un instrument. Elle peut être quantitative
ou qualitative.

information est une collection de données


organisées dans le but de délivrer un message,
le plus souvent sous une forme visible, imagée,
écrite ou orale. 
12
(2/2)
Une connaissance est une information reconnue
comme valide et qui a pris de la valeur. La
connaissance peut être :

Explicite c’est-à-dire une connaissance


formalisée, transférable et partagée qui peut être Tacite c’est-à-dire une connaissance personnelle,
traitée par ordinateur, stockée dans une base de acquise par l'expérience, spécifique à un contexte
données, accessible aux salariés dans un langage donné, difficile à transcrire dans un langage. Le
compréhensible (ex: les procédures, plans, salarié n'a pas toujours envie de la partager (ex :
modèles pour fabriquer un produit ou réaliser une secrets de métiers …).
tâche).   
 
13
Lorsque la connaissance est utilisée à bon escient dans un contexte
donné elle devient compétence.
3. NIVEAUX DE LA CONNAISSANCE :

 D'après Jean Maurice BRUNEAU, et Jean-François PUJOS, la connaissance a trois niveaux à savoir :
la compétence, la spécialisation, et l'expertise.
 La compétence : est une connaissance permettant d'atteindre un objectif et de remplir une
fonction, il s'agit d'une aptitude à savoir, à être et à faire. Elle s'exerce sur un domaine bien précis.
 La spécialisation : est une connaissance approfondie dans un domaine particulier, un spécialiste
n'est pas obligatoirement un expert. D'une manière générale, il décide de façon analytique.
 L'expertise : est une connaissance qui relève de la spécialisation. Elle s'appuie sur une longue
expérience reconnue. Sa finalité est de résoudre des problèmes pointus et non standards. Un
expert fait le minimum nécessaire pour résoudre le problème posé. Il est défini comme « l'homme
de l'art » 14
4. LES OBJECTIF DU KNOWLEDGE MANAGEMENT:

il permet à l’entreprise de lui répondre aux objectifs suivants :

Identifier les Apprendre


Reconnaître et
connaissances et les comment améliorer
protéger le savoir
compétences de votre la mémoire
de l'entreprise
entreprise transactionnelle

Reconnaître les Créer les connaissances


communautés de partage nécessaires au
de pratiques responsables développement de
du succès l'entreprise

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5. LES OUTILS DU MANAGEMENT DES CONNAISSANCES:

Outils de Outils Outils de


Outils de
diffusion de d'archivage : travail
communication :
l'information :  Datawarehouse collaboratif : 
 mail, chat,
Intranet, listes , Bases de Groupware,
visioconférence
de diffusion, données, GED, Forums,

FAQ, Datamining… Workflow…

un outil de management des connaissances doit répondre à quatre exigences :


• Faciliter la mise en contexte de l’information
• Diffuser de manière intelligente l’information
• Faciliter les interactions sociales entres les individus
• Fournir une interface utilisateur soignée 16
6. LES ENJEUX DU MANAGEMENT DES CONNAISSANCES
(1/2)

Les intérêts, pour l'entreprise, de gérer les connaissances sont multiples tant au niveau opérationnel
que stratégique.
 Au niveau stratégique, la gestion des connaissances permet :
 De maîtriser parfaitement le métier de l'entreprise, fondement de toute stratégie de spécialisation
 De contribuer à créer et à conserver un avantage concurrentiel
 D'offrir une meilleure qualité des produits et services, préalable aux stratégies de différenciation
 De pérenniser l'entreprise par la transmission de l'expérience acquise aux successeurs, le moment
venu.

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6. LES ENJEUX DU MANAGEMENT DES CONNAISSANCES
(2/2)

 Au niveau opérationnel, la gestion des connaissances permet :


 De ne pas répéter les mêmes erreurs et de ne pas "réinventer la roue" à chaque fois
 Le gain de temps dans la recherche d'informations
 Une meilleure indépendance en cas de départ de salariés
 Une amélioration de l'efficacité productive en diffusant les bonnes pratiques.

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7. LES LIMITES DU MANAGEMENT DES CONNAISSANCES:

 Plusieurs phénomènes rendent difficile l'appropriation par les entreprises des outils du KM:
 La compétence technique des décideurs et leur aptitude à renoncer au contrôle de l'information
souvent associée au pouvoir.
 L'abondance d'informations qui rend difficiles son traitement et son exploitation.
 La décentralisation et la délocalisation qui rendent nécessaire mais difficile l'échange d'informations.
 La conduite de tout changement au sein de l’organisation se heurte à une résistance qu’il faut
vaincre.
 Dans le cas où l’information est peu formalisable : tous les savoirs ne sont pas formalisables au même
niveau, certains savoirs ne peuvent se transmettre que par la pratique.

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8. KM POUR LES ORGANISATIONS
(1/2)

 Si intuitivement chacun d'entre nous pense savoir ce qu'est la connaissance dans l'organisation, en réalité la
connaissance organisationnelle est un objet très difficile à définir. La raison principale de cette difficulté est
que la connaissance est indissociable de l'individu, de sa pratique de travail comme de l'entreprise.
Considérer la connaissance comme une ressource de/pour l'entreprise conduit finalement à interroger le
rapport de l'individu à l'entreprise.
 La définition de la connaissance a depuis longtemps animé les débats philosophiques. Dans l'entreprise,
contrairement à d'autres éléments structurants (la tâche, le processus, la fonction, l'objectif, etc.), la
connaissance est naturellement très mal cernée dans l'activité opérationnelle.
 Les trois grandes structures organisationnelles fondamentales (fonctionnelle, divisionnelle et matricielle)
reposent sur un découpage en fonctions qui sont des unités opérationnelles définies dans l'objectif d'une
division et d'une spécialisation..…
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8. KM POUR LES ORGANISATIONS
(2/2)

 Pour une organisation professionnelle, privée ou publique, le KM n’est pas un fin en soi ; dès lors, la
première question qu’une organisation doit se poser n’est pas tant « qu’est ce que le KM ? » mais
plutôt « pourquoi doit-on en faire ? » c'est-à-dire « qu’est-ce qu’on en attend ? ».
 S. Duizabo & N. Guillaume (1996) distinguent trois catégories de connaissances organisationnelles
où l’on retrouve la trilogie “ savoir – faire – comprendre ” :
 Les connaissances relatives au savoir, descriptives, statiques, directement utilisables, relevant
plutôt de
l’information,
 Les connaissances relatives au faire, dynamiques, relevant plutôt des méthodes et des procédures,
 Les connaissances relatives au comprendre, issues d’enrichissements apportés par les échanges
entre les personnes et relevant plutôt de la communication. 21
9. KM POUR LES INDIVIDUS
 La constitution d’une connaissance collective au niveau du groupe va se faire par une série
d’interactions entre le tacite et l’explicite et entre l’explicite et le tacite ; ces interactions vont
pouvoir s’appuyer sur les contacts physiques entre les individus :
identification Culture de partagé processus de
collaboration
mutuelle confiance

responsabilité délibération orale action et projet


transparence
partagée commun

Développer des
Etre à jour
solutions originales

 Dans ce domaine, les dispositifs de socialisation : cafétéria, open-space, tutorat, réunion 22

d’équipe… seront déterminants ; ils pourront être efficacement relayés ou appuyés par des outils
de type groupware, visioconférence, Intranet.
IV. LES DIFFÉRENTES APPROCHES DU MANAGEMENT DES
CONNAISSANCES: (1/5)

1) Les approches théoriques :

 Les approches théoriques sont essentiellement dominées par les conceptions du


management des Connaissances développées par sept écoles de pensée regroupées en
trois grandes catégories:

23
(2/5)

les écoles dites


technologiques ou
technocratiques

mettent l’accent sur la


technologie et les bases de
données.

l’école l’école
l’école
Cartograp orientée
orientée
hique processus
24
système
(3/5)

l’école commerciale ou école économique

la connaissance est vue ici comme


un véritable capital

25
(4/5)

les écoles dites comportementales ou


behaviouristes

L’accent ici est mis sur


les pratiques de
l’école
l’école spatiale
l’école orientée management des
organisationnelle stratégie
connaissances visant à
stimuler la création des
connaissances et leur
Encourager la socialisation comme moyen partage au sein des
d’échange de connaissances.
La connaissance est une ressource clé pour
réseaux sociaux.
obtenir un avantage concurrentiel.
26
(5/5)

2) Les approches pratiques


deux grandes stratégies de gestion des connaissances émergent des différents projets menés sur le terrain  à savoir :

assure la transformation des


une stratégie de codification ou connaissances dans les bases de données
de capitalisation accessible et utilisable par quiconque
dans l’entreprise

Il s’agit donc d’encourager le partage des


une stratégie de personnalisation connaissances par la communication
ou de collaboration directe entre les individus .

27
V. QUELQUES MODÈLES DU KM
(1/3)

 Le modèle « boîte noire » : L’organisation vue comme une boîte noire

L’organisation, est juste vue comme productrice d’un bien ou d’un service, matérialisé par son flux de
sortie, et par son activité de transformation du flux entrant.
 Le modèle de la « division du travail » :

Une vision « taylorienne » de l’organisation, le système de décision D, qui conçoit et D


pilote le système de production, et le système opérant, O, qui réalise le processus de
transformation des flux.
Les deux systèmes O et D sont en relation via des flux d’information
C’est le modèle classique de la « division du travail » qui sépare la conception des O
tâches et leur pilotage, de leur exécution opérationnelle
28
V. QUELQUES MODÈLES DU KM (MODÈLE DE NONAKA & TAKEUCHI (1995) )
(2/3)

 Modèle de Nonaka & Takeuchi (1995)

Connaissances formalisées et
transmissible sous forme de
documents réutilisables.

Connaissances que possèdent


les individus. Elle n’est pas
formalisée et difficilement
transmissible. 29
Compétences, expériences,
intuition, secrets de métiers.
V. QUELQUES MODÈLES DU KM(MODÈLE DE NONAKA & TAKEUCHI (1995) )
(3/3)

La connaissance est convertie selon quatre modes de conversion:

Socialisation : L’échange entre individus constitue le meilleur moyen de créer et de


partager la connaissance tacite.
Externalisation : L’échange et le dialogue permettent de transformer la connaissance
tacite en connaissance explicite.
Combinaison : Création de connaissances explicites à partir de la restructuration d’un
ensemble de connaissances explicites acquises par différents canaux de communication.
Internalisation : ou conversion de connaissances explicites en connaissances tacites.
L’internalisation est proche de l’apprentissage par l’action . 30
CONCLUSION

• Le KM est une approche et une vision de ménagement centrée sur le rôle des hommes dans la gestion des
connaissances.
• L'objectif ultime d'une approche de km est de développer la capacité a travailler ensemble pour mobiliser
les compétences et développer l'intelligence collective.
• La connaissance n’est pas un objet : c’est une matière humaine en perpétuelle transformation, au contact
des phénomènes, des actions, des informations, des échanges avec les autres. Contrairement aux biens
matériels, le fait de la partager n’en diminue pas la valeur. Il faut aborder la connaissance dans une logique
de lien et de flux, non de stock.
• La connaissance se transforme dans différents états (tacite, explicite, individuel, collectif).
• Le Knowledge Manager doit comprendre sa mission en tant que facilitateur de ces flux, et facilitateur
d’une culture de partage

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BIBLIOGRAPHIE
•http://sabbar.fr/management/le-management-des-connaissances/
•Claire Beyou, Manager les connaissances, Editions Liaison 2003, 206 p
•Vers un système de management des connaissances : étude et caractérisation dans le cadre d’une étude en
entreprise à structure décentralisée Alexandre Tissot Paris, 2005.
•http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/THEORIE%20DE%20LA%20CONNAISSANCE/fr-fr/#
Th.C3.A9orie_classique_de_la_connaissance
•Le knowledge management: avantage compétitif pour les PME par Abderrahim KAZOUINI, Université Cadi Ayyad
Marrakech - Licence 2007
•http://www.sietmanagement.fr/modele-de-creation-de-connaissances-la-spirale-des-connaissances-i-nonaka-h-takeu
chi/?
fbclid=IwAR2_Ssn8ycob8-7YD3_PQV9kWyHyO99OHPrZMZThAhXBos0TI5L3NRKhQB8La création de connaissances:
la spirale des connaissances – I. Nonaka et H. Takeuchi
Pratiques et méthodes du KM Pierre Prével, Éric Juin, Kelly Sellin, Véronique Remande, Louis-Pierre Guillaume, 
Alain Quinqueneau, Éric Laurent, Béatrice Javary, Ziryeb Marouf, Sophie Delmas et François Godlewski
Le management des connaissances : des concepts aux expériences, des expériences à la méthode
Jean-Yves Prax
https://www.supinfo.com/articles/single/1688--knowledge-management Bharath DJEACOUMARANE,2016
I. La connaissance organisationnelle : gérer l'ingérable 32

Aurélie Dudézert,Dans La connaissance dans les entreprises (2013), pages 9 à 38


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