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INTRODUCTION A L’OUTIL

INFORMATIQUE
NOTION D’ORDINATEUR
• Présentation de l'ordinateur
• Un ordinateur est un ensemble de circuits
électroniques permettant de manipuler des
données sous forme binaire, c'est-à-dire
sous forme de bits. Le mot « ordinateur »
provient de la société IBM France
• Il s’appelait vulgairement un
« calculateur » (traduction littérale du mot
anglais « computer »).
Constitution de l'ordinateur
Un ordinateur est un ensemble de composants
électroniques modulaires, c'est-à-dire des
composants pouvant être remplacés par
d'autres composants ayant éventuellement
des caractéristiques différentes, capables de
faire fonctionner des programmes
informatiques.
On parle ainsi de
« hardware » pour désigner l'ensemble des
éléments matériels de l'ordinateur
« software » pour désigner la partie logiciel.
Constitution de l'ordinateur
BOITIER
• Le boîtier (ou châssis) de l'ordinateur est
le squelette métallique abritant ses
différents composants internes.
• Les boîtiers ont d'autres utilités:
– l'isolement phonique;
– La protection contre les rayonnements;
– électromagnétiques.
BOITIER
BOITIER
Le boîtier loge La carte mère
Et comporte sur la face avant:
- Des emplacements pour les périphériques de
stockage sur la face avant;
- Des boutons permettant de contrôler
- Un certain nombre de voyants permettant de
vérifier l'état de marche de l'appareil et l'activité
des disques durs.
Sur la face arrière:
- Des ouvertures pour des cartes d'extension
- Des interfaces d'entrée-sortie connectées sur
la carte mère.
BOITIER
• Le type de boîtier est la première décision
à prendre quand on assemble un
ordinateur.
• Il intègre généralement l’alimentation
électrique nécessaire à l’ordinateur et aux
composants installés.
• Les boîtiers peuvent être de type tour ou
desktop.
BOITIER
• Les éléments de choix principaux d'un
boîtier sont:
– Son facteur de forme,
– Ses dimensions,
– Le nombre d'emplacements pour des
lecteurs,
– Son alimentation,
– La connectique en façade
– Son design et ses couleurs.
BOITIER
• Le facteur de forme (en anglais form
factor) désigne le format de l'emplacement
prévu pour la carte mère, les types de
connecteurs et leur agencement.
• Il conditionne ainsi le type de carte mère
que le boîtier peut accueillir.
BOITIER
Dimensions et nombre d’emplacement
• La taille du boîtier conditionne le nombre d'emplacements pour les lecteurs
en façade, ainsi que le nombre d'emplacements pour des disques durs en
interne. On distingue généralement les catégories suivantes :
• Grand tour : grande taille (60 à 70 cm de hauteur),
– 4 à 6 emplacements 5"1/4 en façade;
– 2 ou 3 emplacements 3"1/2 en façade;
– 2ou 3 emplacements 3"1/2 en interne.
• Moyen tour : taille moyenne (40 à 50 cm de hauteur),
– 3 à 4 emplacements 5"1/4 en façade;
– 2 emplacements 3"1/2 en façade.
• Mini tour : petite dimension (35 à 40 cm de hauteur)
– Généralement 3 emplacements 5"1/4;
– 2 emplacements 3"1/2 en façade;
– 2 emplacement 3"1/2 en interne.
• Barebone (littéralement « os nu ») ou mini-PC :plus petit format de boîtier
(10 à 20 cm de hauteur). La plupart du temps les barebone sont des
ordinateurs pré assemblés embarquant une carte mère ayant un facteur de
forme réduit (SFF, pour Small Form Factor).
– généralement un ou deux emplacements 5"1/4;
– 1 emplacement 3"1/2 en façade;
– 1 emplacement 3"1/2 en interne.
BOITIER
Connectique
• Actuellement on propose de plus en plus
des boîtiers avec un panneau de
connecteurs en façade. Ces connecteurs
doivent, pour être fonctionnels, être
raccordés en interne à la carte mère
BOITIER
• Aération
• Un boîtier renferme l'ensemble de l'électronique
interne de l'ordinateur. Il est donc impératif de
choisir un boîtier possédant une bonne
ventilation, c'est-à-dire un maximum de
ventilateurs, ainsi que des aérations. Il est ainsi
conseillé de choisir un boîtier comportant au
minimum une entrée d'air à l'avant, munie d'un
filtre à air amovible, ainsi que d'une sortie d'air à
l'arrière.
Bloc d’alimentation
• Le boîtier héberge également un bloc
d'alimentation électrique (appelé
communément alimentation), chargé de fournir
un courant électrique stable et continu à
l'ensemble des éléments constitutifs de
l'ordinateur.
• L'alimentation sert donc à convertir le courant
alternatif du réseau électrique (220 ou 110
Volts) en une tension continue de 5 Volts pour
les composants de l'ordinateur et de 12 volts
pour certains périphériques internes (disques,
lecteurs de CD-ROM, ...).
• Le bloc d'alimentation est caractérisé par sa
puissance, qui est généralement comprise entre
200 et 450 Watts.
Bloc d’alimentation
Carte mère
Les composants matériels de l'ordinateur sont
architecturés autour d'une carte principale
comportant quelques circuits intégrés et
beaucoup de composants électroniques:
cette carte est appelée carte mère.
Elle peut être mono- ou biprocesseur.
Les cartes mères biprocesseurs sont
habituellement installées pour des OS
réseau avancés comme Windows 2000,
Unix, Linux ... etc.
Carte mère
La carte mère est aussi appelée carte
système ou carte principale.
Tous les autres composants sont reliés à,
contrôlés par ou dépendent de la carte
mère pour communiquer avec d’autres
périphériques du système.
La carte système est la plus grande carte de
circuit imprimé du PC et tous les systèmes
en comprennent une. Elle accueille
généralement les composants suivants:
Carte mère
• Le processeur;
• Les circuits du contrôleur (chipset, jeu de puces);
• Le bus;
• La mémoire RAM;
• Les connecteurs d’extension pour ajouter des
cartes supplémentaires;
• Les ports pour périphériques externes;
• Le CMOS (semi-conducteur complémentaire en
oxyde de métal);
• Mémoire morte (ROM);
• Les puces BIOS;
• Des puces supplémentaires offrant des
fonctionnalités variées.
Carte mère
Carte mère
• Composants intégrés
• La carte mère contient un certain nombre d'éléments embarqués,
c'est-à-dire intégrés sur son circuit imprimé  :
• Le chipset, circuit qui contrôle la majorité des ressources (interface
de bus du processeur, mémoire cache et mémoire vive, slots
d'extension,...),
• L'horloge et la pile du CMOS (Complementary Metal Oxide Semiconductor) ,
• Le BIOS,
• Le bus système et les bus d'extension.
• En outre, les cartes mères récentes embarquent généralement un
certain nombre de périphériques multimédia et réseau pouvant être
désactivés :
– carte réseau intégrée ;
– carte graphique intégrée ;
– carte son intégrée ;
– contrôleurs de disques durs évolués.
Carte mère
Carte mère
Facteur de forme Dimensions Emplacements

ATX 305 mm x 244 mm AGP / 6 PCI


microATX 244 mm x 244 mm AGP / 3 PCI
FlexATX 229 mm x 191 mm AGP / 2 PCI
Mini ATX 284 mm x 208 mm AGP / 4 PCI
Mini ITX 170 mm x 170 mm 1 PCI
Nano ITX 120 mm x 120 mm 1 MiniPCI
BTX 325 mm x 267 mm 7
microBTX 264 mm x 267 mm 4
picoBTX 203 mm x 267 mm 1
Bios
Le BIOS (« Basic Input/Output System » traduisez « Système
de gestion élémentaire des entrées/sorties ») est un
composant essentiel de l'ordinateur, permettant le contrôle
des éléments matériels.
Il s'agit d'un petit logiciel dont une partie est dans une ROM
(mémoire morte), et une autre partie est dans un EEPROM
(mémoire modifiable par impulsions électriques, d'où le
terme flasher pour désigner l'action de modifier l'EEPROM).
• Le POST: Lorsque le système est mis sous-tension ou
réamorcé (Reset), le BIOS fait l'inventaire du matériel
présent dans l'ordinateur et effectue un test (appelé POST,
pour "Power-On Self Test") afin de vérifier son bon
fonctionnement.
• Effectuer un test du processeur (CPU)
• Vérifier la configuration du CMOS
• Initialiser le timer (l'horloge interne)
Bios
• Initialiser le contrôleur DMA (Direct Memory Access)
• Vérifier la mémoire vive et la mémoire cache
• Installer toutes les fonctions du BIOS
• Vérifier toutes les configurations (clavier, disquettes,
disques durs ...)
• Si jamais le POST rencontre une erreur, il va essayer de
continuer le démarrage de l'ordinateur. Toutefois si
l'erreur est grave, le BIOS va arrêter le système et :
– afficher un message à l'écran si possible (le matériel d'affichage
n'étant pas forcément encore initialisée ou bien pouvant être
défaillant) ;
– émettre un signal sonore, sous forme d'une séquence de bips
(beeps en anglais) permettant de diagnostiquer l'origine de la
panne ;
– envoyer un code (appelé code POST) sur le port série de
l'ordinateur, pouvant être récupéré à l'aide d'un matériel
spécifique de diagnostic.
• Si tout est correct, le BIOS émettra généralement un bip
bref, signalant qu'il n'y a pas d'erreur.
• Le setup du BIOS
Bios
• La plupart des BIOS ont un « setup » (programme de configuration)
qui permet de modifier la configuration basique du système. Ce type
d'information est stockée dans une mémoire autoalimentée (à l'aide
d'une pile) afin que l'information soit conservée même lorsque le
système est hors tension (la mémoire vive est réinitialisée à chaque
redémarrage).
• Lorsque le système est mis sous tension, le BIOS affiche un
message de copyright à l'écran, puis il effectue les tests de
diagnostics et d'initialisation. Lorsque tous les tests ont été
effectués, le BIOS affiche un message invitant l'utilisateur à appuyer
sur une ou plusieurs touches afin d'entrer dans le setup du BIOS.
• Selon la marque du BIOS il peut s'agir de la touche F2, de la touche
F10, de la touche DEL (sur les claviers français : "Suppr"), ou bien
d'une des séquences de touche suivantes :
• Ctrl+Alt+S , Ctrl+Alt+Esc, Ctrl+Alt+Ins,
• Sur les BIOS Award le message suivant est affiché lors du POST :
– TO ENTER SETUP BEFORE BOOT PRESS CTRL-ALT-ESC
Ce message signifie « PRESSEZ "CTRL-ALT-ESC », OR DEL
KEY ou la touche "DEL" pour entrer dans le "SETUP" avant le
démarrage du PC »
Connecteurs de mémoire vive
• Les connecteurs de mémoire vive
• La mémoire vive (RAM pour Random Access Memory)
permet de stocker des informations pendant tout le temps
de fonctionnement de l'ordinateur, son contenu est par
contre détruit dès lors que l'ordinateur est éteint ou
redémarré, contrairement à une mémoire de masse telle
que le disque dur. On parle de « volatilité » pour désigner ce
phénomène.
• Pourquoi alors utiliser de la mémoire vive alors que les
disques durs reviennent moins chers à capacité égale? La
réponse est que la mémoire vive est extrêmement rapide
par comparaison aux périphériques de stockage de masse
tels que le disque dur. Elle possède en effet un temps de
réponse de l'ordre de quelques dizaines de nanosecondes
(environ 70 pour la DRAM, 60 pour la RAM EDO, et 10 pour
la SDRAM voire 6 ns sur les SDRam DDR) contre quelques
millisecondes pour le disque dur.
• La mémoire vive se présente sous la forme de barrettes qui
se branchent sur les connecteurs de la carte mère.

Mémoire
Rôle de la mémoire
• On appelle « mémoire » tout composant électronique
capable de stocker temporairement des données. On
distingue ainsi deux grandes catégories de mémoires :
• la mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
permettant de mémoriser temporairement les données lors
de l'exécution des programmes. La mémoire centrale est
réalisée à l'aide de micro-conducteurs, c'est-à-dire des
circuits électroniques spécialisés rapides. La mémoire
centrale correspond à ce que l'on appelle la mémoire vive.
• la mémoire de masse (appelée également mémoire
physique ou mémoire externe) permettant de stocker des
informations à long terme, y compris lors de l'arrêt de
l'ordinateur. La mémoire de masse correspond aux
dispositifs de stockage magnétiques, tels que le disque dur,
aux dispositifs de stockage optique, correspondant par
exemple aux CD-ROM ou aux DVD-ROM, ainsi qu'aux
mémoires mortes.
Mémoire
• Caractéristiques techniques
• Les principales caractéristiques d'une mémoire sont les
suivantes :
• La capacité, représentant le volume global
d'informations (en bits) que la mémoire peut stocker ;
• Le temps d'accès, correspondant à l'intervalle de temps
entre la demande de lecture/écriture et la disponibilité de
la donnée ;
• Le temps de cycle, représentant l'intervalle de temps
minimum entre deux accès successifs ;
• Le débit, définissant le volume d'information échangé
par unité de temps, exprimé en bits par seconde ;
• La non volatilité caractérisant l'aptitude d'une mémoire
à conserver les données lorsqu'elle n'est plus alimentée
électriquement.
Mémoire
Ainsi, la mémoire idéale possède une grande capacité avec
des temps d'accès et temps de cycle très restreints, un
débit élevé.
• Néanmoins les mémoires rapides sont également les
plus onéreuses. C'est la raison pour laquelle des
mémoire utilisant différentes technologiques sont
utilisées dans un ordinateur, interfacées les unes avec
les autres et organisées de façon hiérarchique.
• Les mémoires les plus rapides sont situées en faible
quantité à proximité du processeur et les mémoires de
masse, moins rapides, servent à stocker les informations
de manière permanente.
Mémoire
• La mémoire cache est une forme particulière de puce
d’ordinateur, ou firmware. Elle est conçue pour améliorer
les performances de la mémoire. Elle stocke les
informations utilisées fréquemment et les transfère au
processeur beaucoup plus rapidement que la RAM.
• La plupart des ordinateurs utilisent deux niveaux
distincts de mémoire cache:
– Le cache L1 est placé sur le processeur. 
– Le cache L2 est placé entre le processeur et la mémoire vive
dynamique.
• Le cache L1 est plus rapide que le L2 car il est situé
dans le processeur et fonctionne à la même vitesse que
lui. C’est à cet emplacement que le processeur
recherche en premier lieu ses données. S’il n'y trouve
rien, la recherche se poursuit dans le L2 et enfin dans la
mémoire principale.

Mémoire
ROM (Read Only Memory ou mémoire en lecture seule): Permet de stocker
des données en l'absence de courant électrique, appelée également
mémoire non volatile car elle ne s'efface pas lors de la mise hors tension du
système.
• ROMpermet notamment de conserver les données nécessaires au
démarrage de l'ordinateur. En effet, les paramètres du disque (essentiels à
son initialisation) font partie de ces données vitales à l'amorçage.
• Différentes mémoires de type ROM contiennent des données
indispensables au démarrage, c'est-à-dire :
– Le BIOS est un programme permettant de piloter les interfaces d'entrée-sortie
principales du système, d'où le nom de BIOS ROM donné parfois à la puce de
mémoire morte de la carte-mère qui l'héberge.
– Le chargeur d'amorce: un programme permettant de charger le système
d'exploitation en mémoire (vive) et de le lancer. Celui-ci cherche généralement le
système d'exploitation sur les lecteurs. Le Setup CMOS, c'est l'écran disponible
à l'allumage de l'ordinateur permettant de modifier les paramètres du système
(souvent appelé BIOS à tort...).
– Le Power-On Self Test (POST), programme exécuté automatiquement à
l'amorçage du système permettant de faire un test du système (c'est pour cela
par exemple que vous voyez le système "compter" la RAM au démarrage).
• Les ROM ont un temps d'accès de l'ordre de 150 ns tandis qu'une mémoire
de type SDRAM a un temps d'accès d'environ 10 ns),
Mémoire
• Mémoire RAM (RAM pour Random Access Memory):Il
s'agit d'une mémoire temporaire ou volatile. Les données
en RAM sont perdues lorsque l’ordinateur est mis hors
tension.
• Les puces de mémoire vive sur la carte mère de
l’ordinateur contiennent les données et les programmes
que le processeur utilise.
• La mémoire RAM est donc une mémoire de stockage des
données les plus utilisées pour permettre à ces dernières
d'être retrouvées rapidement par le processeur.
• La quantité et le type de mémoire du système ont une
incidence majeure sur les performances de l'ordinateur.
Certains programmes nécessitent davantage de mémoire
que d’autres.
• De manière générale, un ordinateur utilisant Windows 95,
98 ou ME doit disposer de 64 Mo de mémoire RAM.
Mémoire
• Deux classes de mémoire RAM sont fréquemment
utilisées : la mémoire vive statique (SRAM) et la
mémoire vive dynamique (DRAM).
• La mémoire SRAM est relativement plus chère, mais elle
est rapide et conserve ses données quand le courant est
coupé pendant un bref moment. Ceci est utile pendant
les pannes d'électricité inopinées. La mémoire SRAM est
utilisée pour la mémoire cache.
• La DRAM est bon marché et plutôt lente. Elle nécessite
une alimentation électrique sans interruption pour
conserver les données. Elle stocke ces données dans de
petits condensateurs qui doivent être rafraîchis pour
conserver celles-ci.
Mémoire
• La mémoire RAM peut être installée sur la carte mère de
manière permanente ou bien sous forme de barrettes.
Celles-ci sont appelées barrettes SIMM (Single Inline
Memory Modules) ou barrettes DIMM (Dual Inline
Memory Modules).
• La plupart des cartes mères ont des restrictions quant à
la quantité et au type de RAM qui peuvent être ajoutés
ou pris en charge.
• Certains systèmes n'utilisent que des barrettes SIMM,
d'autres exigent que deux ou quatre barrettes identiques
soient installées. De plus, certains systèmes n’utilisent
que de la RAM avec parité et d'autres, sans parité. Cette
parité permet la vérification des erreurs pour assurer
l'intégrité des données. Les barrettes sans parité n'ont
pas cette capacité.
Mémoire
• Une barrette SIMM se connecte sur la carte mère à l'aide d'un
connecteur à 72 ou 30 broches.
– Deux barrettes SIMM à 72 broches peuvent être installés
sur un ordinateur prenant en charge un flux de données
de 64 bits.
– Avec une barrette SIMM, les contacts des deux côtés du
circuit imprimé sont reliées entre eux, formant une seule
rangée de broches.
• Une barrette DIMM se branche sur une banque de mémoire
utilisant un connecteur à 168 broches.
– Une seul barrette DIMM à 168 broches peut supporter
64 bits (sans parité) et 72 bits (avec parité) de flux de
données.
– Cette configuration est utilisée aujourd'hui par la toute
dernière génération de systèmes à 64 bits.
– Les broches placées de chaque côté d'une carte DIMM ne
sont pas reliées entre elles, comme c'est le cas avec les
cartes SIMM, et forment donc deux rangées de contacts.
Mémoire
• Formats de barrettes de mémoire vive
• Il existe de nombreux types de mémoires vives. Celles-ci
se présentent toutes sous la forme de barrettes de
mémoire enfichables sur la carte-mère.
• Les premières mémoires se présentaient sous la forme
de puces appelées DIP (Dual Inline Package). Désormais
les mémoires se trouvent généralement sous la forme de
barrettes, c'est-à-dire des cartes enfichables dans des
connecteurs prévus à cet effet. On distingue
habituellement trois types de barrettes de RAM :
• les barrettes au format SIMM (Single Inline Memory
Module) : il s'agit de circuits imprimés dont une des faces
possède des puces de mémoire. Il existe deux types de
barrettes SIMM, selon le nombre de connecteurs :
• Les barrettes SIMM à 30 connecteurs (dont les
dimensions sont 89x13mm) sont des mémoires 8 bits qui
équipaient les premières générations de PC (286, 386).
Mémoire
Mémoire
Les barrettes SIMM à 72 connecteurs (dont les
dimensions sont 108x25mm) sont des mémoires
capables de gérer 32 bits de données
simultanément. Ces mémoires équipent des PC
allant du 386DX aux premiers Pentium. Sur ces
derniers le processeur travaille avec un bus de
données d'une largeur de 64 bits, c'est la raison
pour laquelle il faut absolument équiper ces
ordinateurs de deux barrettes SIMM.
Mémoire
Mémoire
les barrettes au format DIMM (Dual Inline Memory
Module) sont des mémoires 64 bits, ce qui
explique pourquoi il n'est pas nécessaire de les
apparier. Les barrettes DIMM possèdent des
puces de mémoire de part et d'autre du circuit
imprimé et ont également 84 connecteurs de
chaque côté, ce qui les dote d'un total de 168
broches. En plus de leurs dimensions plus
grandes que les barrettes SIMM (130x25mm)
ces barrettes possèdent un second détrompeur
pour éviter la confusion.
Mémoire
Mémoire
• Il peut être intéressant de noter que les
connecteurs DIMM ont été améliorés afin de
faciliter leur insertion grâce à des leviers situés
de part et d'autre du connecteur.
• Il existe en outre des modules de plus petite
taille, appelés SO DIMM (Small Outline DIMM),
destinés aux ordinateurs portables. Les
barrettes SO DIMM comportent uniquement 144
broches pour les mémoires 64 bits et 77 pour les
mémoires 32 bits.
Mémoire
• les barrettes au format RIMM (Rambus Inline Memory
Module, appelées également RD-RAM ou DRD-RAM)
sont des mémoires 64 bits développée par la société
Rambus. Elles possèdent 184 broches. Ces barrettes
possèdent deux encoches de repérage (détrompeurs),
évitant tout risque de confusion avec les modules
précédents.
• Compte tenu de leur vitesse de transfert élevée, les
barrettes RIMM possèdent un film thermique chargé
d'améliorer la dissipation de la chaleur.
• Comme dans le cas des DIMM, il existe des modules de
plus petite taille, appelés SO RIMM (Small Outline
RIMM), destinés aux ordinateurs portables. Les barrettes
SO RIMM comportent uniquement 160 broches.
Mémoire
• La SDRAM (Synchronous DRAM, traduisez RAM
synchrone), apparue en 1997, permet une lecture des
données synchronisée avec le bus de la carte-mère
• peut atteindre des temps d'accès d'environ 10 ns.
• DDR-SDRAM (Double Data Rate SDRAM) est une
mémoire basée sur la technologie SDRAM, permettant
de doubler le taux de transfert de la SDRAM à fréquence
égale.
• La DDR permet de doubler la fréquence des
lectures/écritures, avec une horloge cadencée à la
même fréquence.
• Les mémoires DDR possèdent généralement une
appellation commerciale du type PCXXXX où «XXXX»
représente le débit en Mo/s.
Mémoire
Mémoire Appellation Fréquence (RAM) Fréquence (FSB) Débit
DDR200 PC1600 200 MHz 100 MHz 1,6 Go/s
DDR266 PC2100 266 MHz 133 MHz 2,1 Go/s
DDR333 PC2700 333 MHz 166 MHz 2,7 Go/s
DDR400 PC3200 400 MHz 200 MHz 3,2 Go/s
DDR433 PC3500 433 MHz 217 MHz 3,5 Go/s
DDR466 PC3700 466 MHz 233 MHz 3,7 Go/s
DDR500 PC4000 500 MHz 250 MHz 4 Go/s
DDR533 PC4200 533 MHz 266 MHz 4,2 Go/s
DDR538 PC4300 538 MHz 269 MHz 4,3 Go/s
DDR550 PC4400 550 MHz 275 MHz 4,4 Go/s
DDR2-400 PC2-3200 400 MHz 100 MHz 3,2 Go/s
DDR2-533 PC2-4300 533 MHz 133 MHz 4,3 Go/s
DDR2-667 PC2-5300 667 MHz 167 MHz 5,3 Go/s
DDR2-675 PC2-5400 675 MHz 172,5 MHz 5,4 Go/s
DDR2-800 PC2-6400 800 MHz 200 MHz 6,4 Go/s
Mémoire
• DDR2-SDRAM
• La mémoire DDR2 (ou DDR-II) permet d'atteindre des
débits deux fois plus élevés que la DDR à fréquence
externe égale.
• On parle de QDR (Quadruple Data Rate ou quad-
pumped) pour désigner la méthode de lecture et
d'écriture utilisée. La mémoire DDR2 utilise en effet deux
canaux séparés pour la lecture et pour l'écriture, si bien
qu'elle est capable d'envoyer ou de recevoir deux fois
plus de données que la DDR.
• La DDR2 possède également un plus grand nombre de
connecteurs que la DDR classique (240 pour la DDR2
contre 184 pour la DDR).
Mémoire
• Des formes de RAM plus évoluées ou plus spécialisées
sont fréquemment mises sur le marché:
• La RAM-DAC (RAM Digital Analogic Converter) est une
forme de mémoire spécialisée conçue pour convertir des
images codées numériquement en signaux analogiques
pour les afficher.
• La mémoire vidéo (VRAM) et la mémoire Windows RAM
(WRAM) sont actuellement les meilleurs types de
mémoire pour la vidéo. Elles sont optimisées pour les
cartes vidéo et sont conçues avec port double. Cela
signifie que le processeur du chipset et la puce
RAMDAC peuvent y accéder en même temps. Un accès
simultané augmente considérablement la capacité de
traitement de la carte vidéo. Les cartes vidéo les plus
récentes prennent également en charge les nouveaux
types de RAM système, tels que la mémoire vive
dynamique synchrone (SDRAM).
Mémoire
• Mémoire flash
• La mémoire flash est un compromis entre
les mémoires de type RAM et les
mémoires mortes. En effet, la mémoire
Flash possède la non-volatilité des
mémoires mortes tout en pouvant
facilement être accessible en lecture ou en
écriture. En contrepartie les temps d'accès
des mémoires flash sont plus importants
que ceux de la mémoire vive.
Mémoire
• Les types de cartes mémoire
• Il existe un grand nombre de formats de cartes
mémoires non compatibles entre-eux, portés par
presque autant de constructeurs. Parmi ces formats de
cartes mémoire les plus courants sont :
• Les cartes Compact Flash
• Les cartes Secure Digital (appelées SD Card)
• Les cartes Memory Stick
• Les cartes Smart Media
• Les cartes MMC (MultimediaCard)
• Les cartes xD picture card
Les connecteurs d'extension
• Les connecteurs d'extension (en anglais slots) sont
des réceptacles dans lesquels il est possible d'insérer
des cartes d'extension, c'est-à-dire des cartes offrant de
nouvelles fonctionnalités ou de meilleures performances
à l'ordinateur. Il existe plusieurs sortes de connecteurs :
– Connecteur ISA (Industry Standard Architecture) : permettant de
connecter des cartes ISA, les plus lentes fonctionnant en 16-bit
– Connecteur VLB (Vesa Local Bus): Bus servant autrefois à
connecter des cartes graphiques
– Connecteur PCI (Peripheral Component InterConnect) :
permettant de connecter des cartes PCI, beaucoup plus rapides
que les cartes ISA et fonctionnant en 32-bit
– Connecteur AGP (Accelerated Graphic Port): un connecteur
rapide pour carte graphique.
– Connecteur PCI Express (Peripheral Component InterConnect
Exress) : architecture de bus plus rapide que les bus AGP et
PCI.
– Connecteur AMR (Audio Modem Riser): ce type de connecteur
permet de brancher des mini-cartes sur les PC en étant équipés
Les connecteurs d'extension
• Connecteur ISA 8 bits :

• Connecteur ISA 16 bits :

• Connecteur PCI 32 bits, 5 V :

• Connecteur PCI 32 bits, 3.3 V :


Les connecteurs d'extension
Les connecteurs d'extension
• Connecteurs AGP
• Les cartes mères récentes sont équipées d'un connecteur AGP
général reconnaissable par sa couleur marron (normalisée). Il
existe trois types de connecteurs :

• Connecteur AGP 1,5 volts :

• Connecteur AGP 3,3 volts :

• Connecteur AGP universel :


Les connecteurs d'extension
• Le standard ATA (Advanced Technology Attachment) est une
interface standard permettant la connexion de périphériques de
stockage sur les ordinateurs de type PC.
• Malgré l'appellation officielle "ATA", ce standard est plus connue
sous le terme commercial IDE (Integrated Drive Electronics) ou
Enhanced IDE (EIDE ou E-IDE).
• Le standard ATA est originalement prévu pour connecter des
disques durs, toutefois une extension nommée ATAPI (ATA
Packet Interface) a été développée afin de pouvoir interfacer
d'autres périphériques de stockage (lecteurs de CD-ROM,
lecteurs de DVD-ROM, etc) sur une interface ATA.
• Depuis l'émergence de la norme Serial ATA (notée S-ATA ou
SATA), permettant de transférer les données en série, le terme
« Parallel ATA » (noté PATA ou P-ATA) remplace parfois
l'appellation "ATA" afin de marquer le contraste entre les deux
normes.
Les connecteurs d'extension
Les connecteurs d'extension
• Le standard Serial ATA (S-ATA ou SATA) est un bus
standard permettant la connexion de périphériques
de stockage haut débit sur les ordinateurs de type
PC.
• Le standard Serial ATA est apparu en février 2003
afin de pallier les limitations de la norme ATA (plus
connue sous le nom "IDE" et rétro-activement
appelée Parallel ATA), qui utilise un mode de
transmission en parallèle. En effet, le mode de
transmission en parallèle n'est pas prévu pour
supporter des fréquences élevées en raison des
problèmes liés aux interférences électromagnétiques
entre les différents fils.
Les connecteurs d'extension
• Caractéristiques techniques
• Le Serial ATA permet d'obtenir des débits de l'ordre de 187.5
Mo/s (1,5 Gb/s), or chaque octet est transmis avec un bit de
démarrage (start bit) et un bit d'arrêt (stop bit), soit un débit utile
théorique de 150 Mo/s (1,2 Gb/s).
• Le standard Serial ATA II devrait permettre d'avoisiner les 375
Mo/s (3 Gb/s), soit 300 Mo/s utiles théoriques, puis à terme 750
Mo/s (6 Gb/s), soit 600 Mo/s utiles théoriques.
• Les câbles Serial ATA peuvent mesurer jusqu'à 1 mètre de long
(contre 45 cm pour les nappes IDE). De plus, le faible nombre
de fils dans une gaine ronde permet plus de souplesse et une
meilleure circulation de l'air dans le boîtier qu'avec des nappes
IDE.
• les périphériques Serial ATA sont seuls sur chaque câble et il
n'est plus nécessaire de définir des "périphériques maîtres" et
des "périphériques esclaves"
• D'autre part, la norme Serial ATA permet le raccordement à
chaud des périphériques (Hot Plug).
Les connecteurs d'extension
• L'interface SCSI
• Le standard SCSI (Small Computer System Interface)
est une interface permettant la connexion de
plusieurs périphériques de types différents sur un
ordinateur par l’intermédiaire d’une carte, appelée
adaptateur SCSI ou contrôleur SCSI (connecté
généralement par l'intermédiaire d'un connecteur
PCI).
• Le nombre de périphériques pouvant être branchés
dépend de la largeur du bus SCSI. En effet, avec un
bus 8 bits il est possible de connecter 8 unités
physiques, contre 16 pour un bus 16 bits. Le
contrôleur SCSI représentant une unité physique à
part entière, le bus peut donc accepter 7 (8 - 1) ou 15
(16 - 1) périphériques.
Les connecteurs d'entrée-sortie
• Les connecteurs d'entrée-sortie
• La carte mère possède un certain nombre de
connecteurs d'entrées-sorties regroupés sur le
« panneau arrière ».
• La plupart des cartes mères proposent les
connecteurs suivants :
– Port série, également appelés RS-232 permettant de
connecter de vieux périphériques ;
– Port parallèle;
– Ports USB (1.1, bas débit, ou 2.0, haut débit);
– Connecteur RJ45 (appelés LAN ou port ethernet);
– Connecteur VGA (appelé SUB-D15).
Les connecteurs d'entrée-sortie
Bus
• Introduction à la notion de bus
• On appelle bus, en informatique, un ensemble
de liaisons physiques (câbles, pistes de circuits
imprimés, etc.) pouvant être exploitées en
commun par plusieurs éléments matériels afin
de communiquer.
• Les bus ont pour but de réduire le nombre de «
voies » nécessaires à la communication des
différents composants, en mutualisant les
communications sur une seule voie de données.
Bus
• Caractéristiques d'un bus
• Un bus est caractérisé par le volume d'informations
transmises simultanément. Ce volume, exprimé en bits,
correspond au nombre de lignes physiques sur
lesquelles les données sont envoyées de manière
simultanée. Une nappe de 32 fils permet ainsi de
transmettre 32 bits en parallèle. On parle ainsi de «
largeur » pour désigner le nombre de bits qu'un bus
peut transmettre simultanément.
• D'autre part, la vitesse du bus est également définie par
sa fréquence (exprimée en Hertz), c'est-à-dire le
nombre de paquets de données envoyés ou reçus par
seconde. On parle de cycle pour désigner chaque envoi
ou réception de données.
Bus
• Les principaux bus
• On distingue généralement sur un ordinateur deux
principaux bus :
• le bus système (appelé aussi bus interne, en anglais
internal bus ou front-side bus, noté FSB). Le bus
système permet au processeur de communiquer avec la
mémoire centrale du système (mémoire vive ou RAM).
• le bus d'extension (parfois appelé bus d'entrée/sortie)
permet aux divers composants de la carte-mère (USB,
série, parallèle, cartes branchées sur les connecteurs
PCI, disques durs, lecteurs et graveurs de CD-ROM,
etc.) de communiquer entre eux mais il permet surtout
l'ajout de nouveaux périphériques grâce aux
connecteurs d'extension (appelés slots) connectés sur
le bus d'entrées-sorties.
Chipset
• Le chipset
• Le chipset (traduisez jeu de composants ou jeu de
circuits) est un circuit électronique chargé de coordonner
les échanges de données entre les divers composants de
l'ordinateur (processeur, mémoire...). Dans la mesure où
le chipset est intégré à la carte mère, il est important de
choisir une carte mère intégrant un chipset récent afin de
maximiser les possibilités d'évolutivité de l'ordinateur.
• Certains chipsets intègrent parfois une puce graphique ou
une puce audio, ce qui signifie qu'il n'est pas nécessaire
d'installer une carte graphique ou une carte son. Il est
toutefois parfois conseillé de les désactiver (lorsque cela
est possible) dans le setup du BIOS et d'installer des
cartes d'extension de qualité dans les emplacements
prévus à cet effet.
Processeur
(CPU ou Central Processing Unit) )
• Le processeur (CPU, Central Processing Unit, ou Unité
Centrale de Traitement) est le cerveau de l'ordinateur. Il
permet de manipuler des informations numériques, c'est-
à-dire des informations codées sous forme binaire, et
d'exécuter les instructions stockées en mémoire.
• Un ordinateur ne fonctionne pas sans processeur. Ce
dernier est souvent surnommé « cerveau de
l'ordinateur ». Sur la carte mère, le processeur occupe
un seul circuit intégré appelé microprocesseur. Il
comporte deux éléments de base: une unité de
commande et une unité arithmétique et logique (UAL).
Processeur (CPU)
L'unité de commande indique au système informatique
comment suivre les instructions d'un programme:
- Elle pilote les transferts de données vers et depuis la mémoire
du processeur;
- Stocke temporairement les données, les instructions et les
informations traitées dans son unité arithmétique et logique.
- Dirige les signaux de commande entre le processeur et les
composants externes, tels que les disques durs, la mémoire
principale et les ports E/S.
• L’unité arithmétique et logique (UAL) effectue les
opérations logiques et arithmétiques.
– Les opérations arithmétiques sont des opérations
mathématiques fondamentales telles que les additions, les
soustractions, les multiplications et les divisions.
– Les opérations logiques, telles que ET, OU sont utilisées pour
effectuer des comparaisons et prendre des décisions. Elles
déterminent également le mode d'exécution d'un programme.
Processeur (CPU)
• Le processeur prend en charge la plupart des opérations
requises de l’ordinateur en traitant des instructions, en
envoyant des signaux, en testant la connectivité et en
s’assurant que les opérations et le matériel fonctionnent
correctement. Il fait office de messager entre les
composants, tels que la RAM, le moniteur et les lecteurs.
• Le microprocesseur est relié au reste de l’ordinateur via
trois bus : le bus de données, le bus d’adresses et le bus
de commande.
Processeur (CPU)
• Mémoire cache
• La mémoire cache (également appelée antémémoire
ou mémoire tampon) est une mémoire rapide permettant
de réduire les délais d'attente des informations stockées
en mémoire vive.
• Les ordinateurs récents possèdent plusieurs niveaux de
mémoire cache :
– La mémoire cache de premier niveau (appelée L1 Cache,
pour Level 1 Cache) est directement intégrée dans le
processeur. Elle se subdivise en 2 parties :
• La première est le cache d'instructions, qui contient les
instructions issues de la mémoire vive.
• La seconde est le cache de données, qui contient des
données issues de la mémoire vive et les données
récemment utilisées lors des opérations du processeur.
Les caches du premier niveau sont très rapides d'accés.
Leur délai d'accès tend à s'approcher de celui des
registres internes aux processeurs.
Processeur (CPU)
– La mémoire cache de second niveau (appelée L2 Cache, pour
Level 2 Cache) est située au niveau du boîtier contenant le
processeur (dans la puce). Le cache de second niveau vient
s'intercaler entre le processeur avec son cache interne et la
mémoire vive. Il est plus rapide d'accès que cette dernière mais
moins rapide que le cache de premier niveau.
– La mémoire cache de troisième niveau (appelée L3 Cache,
pour Level 3 Cache) est située au niveau de la carte mère.
• Tous ces niveaux de cache permettent de réduire les
temps de latence des différentes mémoires lors du
traitement et du transfert des informations. Pendant que le
processeur travaille, le contrôleur de cache de premier
niveau peut s'interfacer avec celui de second niveau pour
faire des transferts d'informations sans bloquer le
processeur. De même, le cache de second niveau est
interfacé avec celui de la mémoire vive (cache de
troisième niveau), pour permettre des transferts sans
bloquer le fonctionnement normal du processeur.
Processeur (CPU)
Processeur (CPU)
Dans la mesure où le processeur rayonne
thermiquement, il est nécessaire d'en dissiper
la chaleur pour éviter que ses circuits ne fondent.
Il est généralement surmonté d'un dissipateur thermique
(appelé parfois refroidisseur ou radiateur), composé d'un
métal ayant une bonne conduction thermique (cuivre ou
aluminium), chargé d'augmenter la surface d'échange
thermique du microprocesseur.
Le dissipateur thermique comporte une base en contact avec
le processeur et des ailettes afin d'augmenter la surface
d'échange thermique.
Un ventilateur accompagne généralement le dissipateur pour
améliorer la circulation de l'air autour du dissipateur et
améliorer l'échange de chaleur.
C'est le ventilateur du boîtier qui est chargé d'extraire l'air
chaud du boîtier et permettre à l'air frais provenant de
l'extérieur d'y entrer.
Processeur (CPU)
Types de sockets processeurs

Le monde des microprocesseurs utilise une terminologie


particulière, par exemple, socket 7, socket 370, socket
423 ou slot 1. Le socket X (où X est un nombre) décrit le
format de connexion des processeurs sur la carte mère..
Les constructeurs utilisent des types différents
d'interfaces de connexion pour leurs processeurs.

Le socket 7, aujourd'hui dépassé, est la plus connue des


grandes variantes de connexion. Il a été utilisé à un
certain moment pour les trois types de processeurs.

À chaque nouvelle version, on constate une amélioration


de la technologie et de la rapidité des processeurs.
Processeur (CPU)
• Les processeurs de type Socket utilisent un support ZIF (force d'insertion
nulle).
• Les diverses interfaces utilisent des nombres et des dispositions de
broches différents. Socket 7, par exemple, comporte 321 broches. Le
nombre de broches augmente généralement avec la version de l'interface
de connexion.
• Processeurs de type slot
Les processeurs de type slot ne sont restés qu'un an sur le marché. Intel a
abandonné la configuration socket au profit d'un processeur logé dans une
cartouche placée dans un emplacement de la carte mère pour son
processeur Pentium II. De même, AMD est passé du slot A (comparable
au slot 1) au socket A pour ses processeurs haut de gamme Athlon et
Duron.
• Processeurs Pentium
La famille actuelle des processeurs Intel Pentium comprend les Pentium II,
III, IV et Xeon. Aujourd'hui, la classe Pentium représente la norme pour les
puces de processeurs. Ces processeurs constituent les seconde et
troisième générations de processeurs Intel. En combinant la mémoire
cache avec les circuits du microprocesseur, le Pentium prend en charge
des fréquences de 1 000 MHz et plus. Les puces intégrées couvrent moins
de 6 cm2 et comprennent plus d'un million de transistors.
Processeur (CPU)
• Les processeurs Pentium ont apporté bien des
améliorations par rapport à leur prédécesseur, l'Intel
80486. Par exemple, le bus de données du Pentium a
une largeur de 64 bits et peut transporter 64 bits de
données à la fois, alors que l’Intel 486 n'en transportait
que 32.
• Le Pentium possède plusieurs mémoires cache
(stockant jusqu’à 2 Mo), l’Intel 486 ne stockait que 8 Ko.
• La vitesse accrue des processeurs nécessite que les
composants externes échangent des données plus
rapidement avec la puce.
• Ceci permet au logiciel de fonctionner plus rapidement.
Processeur (CPU)
• Vitesse du processeur
Les dénominations des processeurs Pentium 133,
Pentium 166 ou Pentium 200 sont explicites, elles
indiquent la vitesse d'exploitation maximum à laquelle le
processeur peut exécuter des instructions. Cette vitesse
n’est pas contrôlée par le microprocesseur mais par une
horloge externe située sur la carte mère. Déterminée par
la fréquence du signal d’horloge, elle est généralement
exprimée en mégahertz (MHz) ou Gigahertz (Ghz). Plus
le nombre est élevé, plus le processeur est rapide. La
vitesse des processeurs est de plus en plus élevée.
Processeur (CPU)
Le processeur peut fonctionner à une fréquence bien plus
importante que les autres puces de la carte mère. La
vitesse du processeur et la fréquence du signal
d’horloge n’ont donc pas toujours un rapport de 1 pour 1.
Un circuit synthétiseur à fréquence variable intégré à la
carte mère multiplie le signal d’horloge de manière à
permettre à la carte mère de prendre en charge
plusieurs fréquences de processeur.
Habituellement, trois facteurs déterminent la quantité
d’informations pouvant être traitée à un moment donné:
• La taille du bus interne 
• La taille du bus d’adresses 
• La vitesse du processeur.
Unité d’affichage
Ecrans d'ordinateur
• On appelle écran (ou moniteur) le périphérique
d'affichage de l'ordinateur. On distingue habituellement
deux familles d'écrans :
• Les écrans à tube cathodique (notés CRT pour Cathod
Ray Tube), équipant la majorité des ordinateurs de
bureau. Il s'agit de moniteurs volumineux et lourds,
possédant une consommation électrique élevée.
• Les écrans plats équipant la totalité des ordinateurs
portables, les assistants personnels (PDA), les appareils
photo numérique, ainsi qu'un nombre de plus en plus
grand d'ordinateurs de bureau. Il s'agit d'écrans peu
encombrants en profondeur (d'où leur nom), légers et
possédant une faible consommation électrique.
Unité d’affichage
• Caractéristiques techniques
• Les moniteurs sont souvent caractérisés par les
données suivantes :
– La définition: c'est le nombre de points (pixel) que l'écran peut
afficher, ce nombre de points est généralement compris entre
640x480 (640 points en longueur, 480 points en largeur) et
2048x1536, mais des résolutions supérieures sont
techniquement possibles.
– La taille : Elle se calcule en mesurant la diagonale de l'écran,
exprimée en pouces (un pouce équivaut à 2,54 cm). Il faut veiller
à ne pas confondre la définition de l'écran et sa taille. En effet un
écran d'une taille donnée peut afficher différentes définitions,
cependant de façon générale les écrans de grande taille
possèdent une meilleure définition. Les tailles standard des
écrans sont les suivantes (liste non exhaustive) :
• 14 pouces, soit une diagonale de 36 cm environ ;
• 15 pouces, soit une diagonale de 38 cm environ ;
• 17 pouces, soit une diagonale de 43 cm environ ;
• 19 pouces, soit une diagonale de 48 cm environ ;
• 21 pouces. soit une diagonale de 53 cm environ ;
Unité d’affichage
• La résolution: Elle détermine le nombre de pixels par unité de surface
(pixels par pouce linéaire (en anglais DPI: Dots Per Inch, traduisez points
par pouce). Une résolution de 300 dpi signifie 300 colonnes et 300 rangées
de pixels sur un pouce carré ce qui donnerait donc 90000 pixels sur un
pouce carré.
• Les modes graphiques
• On appelle mode graphique le mode d'affichage des informations à l'écran,
en terme de définition et de nombre de couleurs. Il représente ainsi la
capacité d'une carte graphique à gérer des détails ou celle d'un écran de les
afficher.
– MDA (Monochrome Display Adapter), le mode d'affichage des écrans
monochromes fournissant un affichage en mode texte de 80 colonnes par 25
lignes. Ce mode permettait d'afficher uniquement des caractères ASCII.
– CGA (color graphic adapter) Ce mode graphique permettait :
• un affichage en mode texte amélioré, permettant d'afficher les caractères avec 4
couleurs
• un affichage en mode graphique permettant d'afficher les pixels en 4 couleurs avec
une résolution de 320 pixels par 200 (notée 320x200)
Unité d’affichage
• EGA (Enhanced Graphic Adapter) est apparu au début des années 1985. Il
permettait d'afficher 16 couleurs avec une résolution de 640 par 350 pixels
(notée 640x350), soit des graphismes beaucoup plus fins qu'en mode CGA.
• VGA (Video graphics Array) a vu le jour en 1987. Il permet une résolution
de 720x400 en mode texte et une résolution de 640 par 480 (640x480) en
mode graphique 16 couleurs. Il permet également d'afficher 256 couleurs
avec une définition de 320x200 (mode également connu sous le nom de
MCGA pour Multi-Colour Graphics Array). Le VGA est rapidement devenu
le mode d'affichage minimum pour les ordinateurs de type PC.
• SVGA (Super Video Graphics Array) est un mode graphique permettant
d'afficher 256 couleurs à des résolutions de 640x200, 640x350 et 640x480.
Le SVGA permet également d'afficher des définitions supérieures telles que
le 800x600 ou le 1024x768 en affichant moins de couleurs.
• VESA afin de pallier le manque de standardisation des modes graphiques
un consortium réunissant les principaux fabricants de cartes graphiques
s'est créé (le VESA, Video Electronic Standard Association) afin de mettre
au point des standards graphiques.
Unité d’affichage
• SXGA Le standard SXGA (Super eXtended Graphics Array) défini par le
consortium VESA fait référence à une résolution de 1280 x 1024 en 16
millions de couleurs. Ce mode a pour caractéristique d'avoir un ration de 5:4
contrairement aux autres modes (VGA, SVGA, XGA, UXGA).
• UXGA Le mode UXGA (Ultra eXtended Graphics Array) définit une résolution
de 1600 x 1200 avec 16 millions de couleurs.
• WXGA Le mode WXGA (Wide eXtended Graphics Array) définit une
résolution de 1280 x 800 avec 16 millions de couleurs.
• WSXGA Le mode WSXGA (Wide Super eXtended Graphics Array) définit
une résolution de 1600 x 1024 avec 16 millions de couleurs.
• WSXGA+ Le mode WSXGA+ (Wide Super eXtended Graphics Array+)
définit une résolution de 1680 x 1050 avec 16 millions de couleurs.
• WUXGA Le mode WUXGA (Wide Ultra eXtended Graphics Array) définit une
résolution de 1920 x 1200 avec 16 millions de couleurs.
• QXGA Le mode QXGA (Quad eXtended Graphics Array) définit une
résolution de 2048 x 1536 avec 16 millions de couleurs.
• QSXGA Le mode QSXGA (Quad Super eXtended Graphics Array) définit
une résolution de 2560 x 2048 avec 16 millions de couleurs.
• QUXGA Le mode QUXGA (Quad Ultra eXtended Graphics Array) définit une
résolution de 32000 x 2400 avec 16 millions de couleurs.
Unité d’affichage
Les moniteurs à écran plat

• Les moniteurs à écran plat (notés parfois FPD pour


Flat panel display) se généralisent de plus en plus dans
la mesure où leur facteur d'encombrement et leur poids
sont très inférieurs à ceux des écrans CRT traditionnels.

• De plus, les technologies utilisées dans les écrans plats


sont moins consommatrices d'énergie (consommation
inférieure à 10W contre 100W pour les écrans CRT) et
n'émettent pas de rayonnement électromagnétique.
Unités de stockages
• Le rôle du disque dur
• Le disque dur est l'organe servant à conserver les données
de manière permanente, contrairement à la mémoire vive, qui
s'efface à chaque redémarrage de l'ordinateur,
• On parle parfois de mémoire de masse pour désigner les
disques durs.
• Le disque dur est relié à la carte-mère par l'intermédiaire d'un
contrôleur de disque dur faisant l'interface entre le
processeur et le disque dur. Le contrôleur de disque dur gère
les disques qui lui sont reliés, interprète les commandes
envoyées par le processeur et les achemine au disque
concerné. On distingue généralement les interfaces
suivantes :
– IDE
– SCSI
– Serial ATA
Unités de stockages
disque dur externe peut être connecté à l'ordinateur par
l'intermédiaire d'un boîtier branché sur un port USB ou
sur port parallèle.
Structure
• Un disque dur est constitué non pas d'un seul disque,
mais de plusieurs disques rigides (en anglais hard disk
signifie disque dur) en métal, en verre ou en céramique,
empilés à une très faible distance les uns des autres et
appelés plateaux (en anglais platters).
• Les disques tournent très rapidement autour d'un axe (à
plusieurs milliers de tours par minute actuellement) dans
le sens inverse des aiguilles d'une montre. Un ordinateur
fonctionne de manière binaire, c'est-à-dire que les
données sont stockées sous forme de 0 et de 1 (appelés
bits).
Unités de stockages
Unités de stockages

• La lecture et l'écriture se fait grâce à des


têtes de lecture (en anglais heads)
situées de part et d'autre de chacun des
plateaux. Ces têtes sont des électro-
aimants qui se baissent et se soulèvent
pour pouvoir lire l'information ou l'écrire.
Les têtes ne sont qu'à quelques microns
de la surface, séparées par une couche
d'air provoquée par la rotation des
disques qui crée un vent d'environ
250km/h ! De plus ces têtes sont mobiles
latéralement afin de pouvoir balayer
l'ensemble de la surface du disque.

Unités de
Caractéristiques techniques
stockages
• Capacité : volume de données pouvant être stockées sur le disque.
• Taux de transfert (ou débit) : quantité de données pouvant être lues ou
écrites sur le disque par unité de temps. Il s'exprime en bits par seconde.
• Vitesse de rotation : vitesse à laquelle les plateaux tournent, exprimée en
tours par minutes (notés rpm pour rotations par minute). La vitesse des
disques durs est de l'ordre de 7200 à 15000 rpm. Plus la vitesse de
rotation d'un disque est élevée meilleur est le débit du disque. En
revanche, un disque possédant une vitesse de rotation élevé est
généralement plus bruyant et chauffe plus facilement.
• Temps de latence (aussi appelé délai rotationnel) : temps écoulé entre le
moment où le disque trouve la piste et le moment où il trouve les données.
• Temps d'accès moyen : temps moyen que met la tête pour se positionner
sur la bonne piste et accéder à la donnée. Il représente donc le temps
moyen que met le disque entre le moment où il a reçu l'ordre de fournir
des données et le moment où il les fournit réellement. Il doit ainsi être le
plus court possible.
• Mémoire cache (ou mémoire tampon) : quantité de mémoire embarquée
sur le disque dur. La mémoire cache permet de conserver les données
auxquelles le disque accède le plus souvent afin d'améliorer les
performances globales ;
Périphériques d’entrée sortie
• Connecteur de clavier
• Les claviers sont généralement branchés à
l'arrière de l'unité centrale, sur la carte mère, sur
un connecteur PS/2 de couleur violette :
Périphériques d’entrée sortie
• Connectique
• Les claviers des premiers PC (PC/G, PC/XT et PC/AT) utilisaient des connecteurs de type
DIN. Le connecteur nommé PS/2, plus petit, le remplaça en 1987, en conservant toutefois
la compatibilité électrique avec le connecteur DIN.
• DIN : 5 broches de raccordement + blindage (rond) que l'on peut rencontrer sur d'anciens
ordinateurs. Il a complètement disparu des ordinateurs modernes.
• PS/2 : 6 broches de raccordement + blindage (rond). Il remplace dorénavant le connecteur
DIN ; seule la connectivité physique étant modifiée, des adaptateurs permettent une
interconnexion dans un sens ou dans l'autre entre ces deux modes de raccordement.
• USB : rectangulaire à quatre broches + blindage. Il remplacera probablement à court ou
moyen terme le connecteur PS/2.
• Liaison sans fil : Infra-rouge IrDA(peu utilisé), Bluetooth, radio-émission. Les claviers
utilisant cette technologie se développent à grande vitesse depuis 2004. Les technologies
de transmission sans fil utilisent un récepteur qui est tributaire de l'un des modes de
raccordement "standard" d'un clavier : USB ou port PS/2. Le "sans-fil" élimine donc la
nécessité du fil, mais pas du connecteur (Sauf dans certains cas pour les clavier Bluetooth
si un récepteur de ce type est intégré à l'ordinateur).
Le gros inconvénient des claviers sans fil est la nécessité de les alimenter en énergie, ce qui
conduit à remplacer régulièrement les piles ou à les recharger. Il faut rappeler que la
pollution et le coût engendré par la fabrication et le recyclage de ces sources d'énergies,
rendent déraisonnés leur utilisation dans un appareil qui sert à commander à proximité
immédiate un ordinateur qui lui sera de toute façon relié au réseau distribuant une énergie
beaucoup plus "propre" et économique... Autant télécommander par piles l'ouverture d'une
porte de réfrigérateur !
Périphériques d’entrée sortie
• Présentation de la souris
• La souris (en anglais «mouse» ou «mice») est un périphérique de
pointage (en anglais pointing device) servant à déplacer un curseur
sur l'écran et permettant de sélectionner, déplacer, manipuler des
objets grâce à des boutons. On appelle ainsi «clic» l'action
consistant à appuyer (cliquer) sur un bouton afin d'effectuer une
action.
• La première souris a été inventée et mise au point par Douglas
Carle Engelbart du Stanford Research Institute (SRI) : il s'agissait
d'une souris en bois contenant deux disques perpendiculaires et
relié à l'ordinateur par une paire de fils torsadés.
• Connecteur de souris
• La souris est généralement branchée à l'arrière de l'unité centrale,
sur la carte mère, sur un connecteur PS/2 de couleur verte :
• Certaines souris, possédant des fonctionnalités avancées
possèdent parfois une connectique USB.
Périphériques d’entrée sortie
• Types de souris
• Il existe plusieurs types de souris, classifiés selon la technologie de
positionnement d'une part, selon la transmission des données à l'unité
centrale d'autre part.
• On distingue ainsi plusieurs grandes familles de souris :
– Les souris mécaniques, dont le fonctionnement est basé sur une
boule (en plastique ou en caoutchouc) encastrée dans un châssis (en
plastique) transmettant le mouvement à deux rouleaux;
– Les souris opto-mécaniques, dont le fonctionnement est similaire à
celui des souris mécaniques, si ce n'est que le mouvement de la boule
est détecté par des capteurs optiques ;
– Les souris optiques, capables de déterminer le mouvement par
analyse visuelle de la surface sur laquelle elles glissent.
Souris mécanique
La souris mécanique comporte une bille sur laquelle tournent deux
rouleaux. Ces rouleaux comportent chacun un disque cranté qui tourne
entre une photodiode et une LED (Diode électroluminescente) laissant
passer la lumière par séquence. Lorsque la lumière passe, la
photodiode renvoie un bit (1), lorsqu'elle rencontre un obstacle, la
photodiode renvoie un bit nul (0). A l'aide de ces informations,
l'ordinateur peut connaître la position du curseur, voire sa vitesse.
Périphériques d’entrée sortie
• Les cartes graphiques accélératrices 2D
• La carte graphique (en anglais graphic adapter), parfois appelée
carte vidéo ou accélérateur graphique, est l'élément de
l'ordinateur chargé de convertir les données numériques à afficher
en données graphiques exploitables par un périphérique d'affichage
.
• Le rôle de la carte graphique était initialement l'envoi de pixels
graphique à un écran, ainsi qu'un ensemble de manipulation
graphiques simples :
• déplacement des blocs (curseur de la souris par exemple) ;
• tracé de lignes ;
• tracé de polygones ;
• etc.
• Les cartes graphiques récentes sont désormais équipées de
processeurs spécialisés dans le calcul de scènes graphiques
complexes en 3D !
Périphériques d’entrée sortie
Périphériques d’entrée sortie
• La carte son (en anglais audio card ou sound
card) est l'élément de l'ordinateur permettant de
gérer les entrées-sorties sonores de l'ordinateur.
• Il s'agit généralement d'un contrôleur pouvant
s'insérer dans un emplacement ISA ou PCI
(pour les plus récentes) mais de plus en plus de
cartes mères possèdent une carte son intégrée.
Périphériques d’entrée sortie
Périphériques d’entrée sortie
• Qu'est-ce qu'une carte réseau ?
• La carte réseau (appelée Network Interface Card en anglais et
notée NIC) constitue l’interface entre l’ordinateur et le câble du
réseau. La fonction d’une carte réseau est de préparer, d’envoyer et
de contrôler les données sur le réseau.
• La carte réseau possède généralement deux témoins lumineux
(LEDs) :
• La LED verte correspond à l'alimentation de la carte ;
• La LED orange (10 Mb/s) ou rouge (100 Mb/s) indique une activité
du réseau (envoi ou réception de données).
• Pour préparer les données à envoyer, la carte réseau utilise un
transceiver qui transforme les données parallèles en données
séries. Chaque carte dispose d’une adresse unique, appelée
adresse MAC, affectée par le constructeur de la carte, ce qui lui
permet d’être identifiée de façon unique dans le monde parmi toutes
les autres cartes réseau.
Périphériques d’entrée sortie

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