Vous êtes sur la page 1sur 39

PLAN

-Règles prudentielles
le dispositif réglementaire
les ratios de solvabilité ou de couverture de risque
-Environnement bancaire
-L’organisation du système bancaire
-Le compte et les moyens de paiement
le compte bancaire et son ouverture
le chèque
les cartes bancaires
les autres moyens de paiement
-la mise à disposition
-le virement
la procuration
les incidents de paiement
la clôture de compte
-les instruments de paiement (les effets de commerce)
-Les activités de financement
-Les crédits de trésorerie et à la consommation
-Les crédits immobiliers 1
SOMMAIRE

LES PRINCIPALES REGLEMENTATIONS


PRUDENTIELLES

LA REGLEMENTATION PRUDENTIELLE
ALGERIENNE

LES RATIOS PRUDENTIELS


 - solvabilité
 - liquidité

2
2
HISTORIQUE
Le risque est inhérent à l'entreprise et constitue même son
essence.

Créer une entreprise revient déjà à prendre un risque, la survie et la


pérennité de l'entreprise n'est jamais assuré quel que soit sa taille.

Historiquement, l'homme a de tout temps été confronté aux


dangers: catastrophes naturelles (tremblement de terre, inondation,
éruption volcanique, avalanche, cyclone, etc.), de maladies, de
guerres ou de toute autre manifestation, l'homme fut amené à réagir
face au danger du risque naturel.

Au XVII siècle les philosophes et les moralistes englobaient le


risque dans la notion de prudence.

4
Définition

Le risque découle de l’incertitude inhérente à toute


action ou activité et pouvant avoir un impact sur la
réalisation des objectifs, des résultats et des
avantages (du projet)

Il est mesuré par son impact et sa probabilité.

Le risque dans sa dimension générale recouvre


tout événement susceptible d'empêcher une
organisation de réaliser ses objectifs ou de
maximiser ses performances.

7
7

5
Les risques sont partout et leurs conséquences concernent
l'humanité tout entière : le naufrage du Titanic ou celui du
Prestige, l'explosion de la navette spatiale Challenger, la
catastrophe de Tchernobyl, la faillite de la Barings( la Barings a
été mise en faillite à cause de placements à découvert
supérieurs aux fonds propres de la banque)..
Tout cela aurait pu être évitée ou, du moins leurs
conséquences limitées. Mais le plus grave est que, si aucune
expérience n'est tirée de ces catastrophes, d'autres se
produiront dans les mêmes secteurs d'activité et pour des
raisons analogues.
Une forte libéralisation a conduit à une importante volatilité
des services bancaires et de nouvelles menaces pour les
banques. Cette instabilité du système bancaire s'est
manifestée par une crise d'illiquidité aigue (la crise asiatique
en juillet 1997) jusqu'au milieu des années 1990 et n'a épargné
aucun continent et encore moins l'Afrique.

6
Le phénomène prudentiel est le nouveau défi que
se lancent les établissements de crédit dans la
mesure qu'il est nécessaire au processus
d'échange.
En effet, dans son activité d'intermédiation
financière et afin d'assurer une sécurité financière
et une bonne allocation des ressources, la banque
doit inscrire dans ses priorités stratégiques la
maîtrise des risques auxquels elle se trouve
confrontée et ce en adoptant une politique de
gestion des risques.

7
Ainsi, l'environnement économique et financier est
devenu de plus en plus source de risques, voir
dangereux pour les banques qui vivent, mais qui peuvent
aussi mourir des risques qu'elles ont pris.

Du fait de ces mutations, les banques ont relevé des défis


exceptionnels afin de se doter d'avantages concurrentiels
déterminants.

La banque, en effet, ressemble de plus en plus à


une « machine à risque » : elle prend des risques, les
transforme et les incorpore au service et aux produits
bancaires qu'elle offre.

8
Mais comment mesurer et améliorer l'efficacité
d'une telle machine. Sachant que le risque
opérationnel est un risque important pour l'activité
bancaire, bien qu'il soit parfois difficile à
appréhender et à quantifier il peut être à l'origine
de pertes significatives voir de faillites.

À cela, des difficultés ne tiennent pas seulement à


la nature des risques pris, ceux-ci pour la plupart
ne sont pas en effet d'une nature nouvelle (risque
de crédit, de marché, solvabilité, risque de
liquidité). Ils sont bien connus dans leur principe.

9
Définition des règles prudentielles

Afin de protéger les épargnants, le législateur a défini


certaines règles prudentielles visant à limiter les prises de
risques trop importantes au sein du capital d'un fonds.
Un ratio prudentiel est un ratio en deçà duquel une banque
présente un risque d’insolvabilité.
Ce ratio se mesure en comparant le niveau des
engagements d’une banque (le montant qu’elle prête) au
montant de ses fonds propres (capital apporté par les
actionnaires et profit de la banque).
Les normes prudentielles sont des exigences de sécurité
("prudence") imposées aux banque pour que celles-ci
soient solides

10
Le dispositif réglementaire

Les règles de gestion ou règles prudentielles ont pour


objet de fixer un certain nombre de contraintes aux
établissements de crédit dans le but d’assurer :
 
leur solvabilité,
leur liquidité,
leur structure financière.
 
Ces règles concernent aussi bien, les dispositions qui
conditionnent l’exercice de la profession bancaire que
les normes assignées aux banques.

11
Les règles prudentielles imposées aux
banques et établissements financiers
LE CAPITAL MINIMUM

 
    C’EST LE TICKET D’ENTREE DE LA PROFESSION
Selon le 3ème principe du comité de bale pour un contrôle bancaire efficace,
les autorités bancaires doivent fixer à toutes les banques et
établissements financiers des exigences de fonds propres minimales
appropriées.
Cette norme est l’une des premières règles observées par le législateur
algérien, notamment dans l’article 133 de la loi 90/10 sur la monnaie et le
crédit du 14 Avril 1990 et l’article 88 de l’ordonnance 03/11 du 26 Aout
2003.
L’application de cette disposition de loi est définie par le règlement n°08/04
du 23 Décembre 2008 relatif au capital minimum des banques et
établissements financiers exerçant en Algérie, qui fixe
10 Milliards de DA pour les banques
 3,5 Milliards de DA pour les établissements financiers
12
A QUOI SERT LE CAPITAL D’UNE BANQUE ?

Le capital d’une banque ou d’un établissement financier


est un élément essentiel de ses fonds propres.
Les fond propres, c’est un matelas qui permet à la banque
de faire face à des coups dures, comme par exemple une
vague de retrait importante non prévue, une perte
accidentelle lorsque une entreprise clientèle fait faillite ou
lorsque qu’un client particulier n’honore pas sa dette.
La difficulté qui n’aura échappé à personne c’est puisque
les fonds propres sont sensés protégés les banques
contres les imprévus, comment savoir qu’un niveau de
fonds propres est nécessaire, puisque par définition ils
servent à gérer les imprévus et bien pour cela il existe des
règles dites prudentielles.

13
Les autorités monétaires fixe le montant des fonds
propres qui dépendent du volume des engagement pris
par la banque c’est ce que l’on appelle le ratio de
solvabilité. ( Le ratio de solvabilité permet d'établir une
estimation de la capacité à long terme d'une entreprise à
rembourser ses dettes.)
Les fonds propres visent à renforcer davantage leur
solidité financière ainsi que la stabilité du système
bancaire algérien et contribue également à la protection
des déposants (couverture de risques).
Le capital d’une banque ou d’un établissement financier est
un élément essentiel de ses fonds propres.
il vise à renforcer davantage leur solidité financière ainsi que
la stabilité du système bancaire algérien et contribue
également à la protection des déposants.
14
LES FONDS PROPRES PRUDENTIELS
La définition des fonds propres prudentiels est donnée par le
règlement 95-05 et l’instruction 74-94 de la Banque
d’Algérie.
Contenu des fonds propres:
Ils regroupent :
– le capital social,
–les réserves,
– le résultat non distribué, etc.
Les autres éléments du passif d’une banque sont les dépôts,
l’épargne des ménages, ainsi que les dettes.

A l’actif, nous trouvons les crédits et les prêts aux ménages


et aux entreprises, les services, le portefeuille de titres, etc.

15
Les fonds propres de la banque
Une gestion prudente doit permettre à la banque de faire face
aux risques.
En cas de perte importante, très peu probable, mais toujours
possible, les fonds propres de la banque offrent une marge de
sécurité supplémentaire.

Constitués par l'apport des actionnaires et par les bénéfices


mis en réserve, ces fonds propres forment une sorte de
"coussin".
Ils permettront de rembourser les déposants et les créanciers
en cas de difficulté majeure.

16
LA SOLVABILITE

Objectifs :

 limiter les risques de contrepartie des banques en


fonction de l’importance de leurs fonds propres
harmoniser les règles de la concurrence entre les
banques
Pour une banque, les dettes sont essentiellement
constituées des dépôts à vue et les actifs des crédits
octroyés.

17
- Pour distribuer plus de crédit, la banque doit :
       

soit collecter davantage de dépôts, au risque de ne pas


pouvoir rembourser ceux ci, soit renforcer ses fonds
propres.
 
- L’actif présente toujours un caractère aléatoire et donc
    

risqué surtout lorsqu’il est constitué essentiellement de


créances, alors que les dettes sont inéluctables.
 
-C’est pourquoi il faut qu’une partie de l’actif soit financé
ou couverte non par des dettes mais par le capital.

-Les fonds propres sont donc garants de la solvabilité de


la banque face aux pertes que les risques pris à l’actif
sont susceptibles d’engendrer.

18
Les montants des fonds propres et des actifs pondérés
sont mis en relation.

Le rapport qui résulte de cette comparaison doit être égal


ou supérieur à 8%.
-Lorsque les engagements de la banque dépassent ses avoirs
et le risque ne peut pas être couvert par un emprunt, il faut
utiliser les fonds propres.
 - But de la réglementation sur la solvabilité, c’est augmenter la
sécurité des déposants et permettre à tout moment de les
rembourser. Problème de l ’assurance dépôt .
- La réglementation sur la solvabilité vise à couvrir
exclusivement par les fonds propres, les risques de
contrepartie

19
Présentation du comité de Bale
Ce n'est, en effet, qu'en 1974 avec la création du
Comite de Bale, puis en 1988 avec l'adoption de
≪l'accord de Bale sur la convergence
internationale des fonds propres ≫, que le
contrôle prudentiel a pris la forme qu'on lui connait
actuellement.

20
L'accord de 1988 a eu, de ce fait, le mérite de donner
une définition universelle des fonds propres
bancaires, avec en prime la création d'un ratio de
solvabilité appelé ≪ratio Cooke≫ qui s'est imposé,
depuis, comme la principale norme de solvabilité
dans le domaine.

La plupart des pays, l'Algérie comprise, ont adopté


les dispositions de l'accord dans leurs
réglementations respectives, en les complétant,
toutefois, par des normes et des règles a caractère
national.

21
LA CRÉATION DU COMITÉ DE BÂLE :

Comme nous l'avons dit précédemment, le monde


a connu depuis le milieu des années 70 des
changements considérables dans le domaine
bancaire et financier, ces changements sont a
l'origine de l'apparition et du renforcement de
beaucoup de risques.

22
Le RATIO de SOLVABILITÉ ou
de COUVERTURE DES RISQUES

Ce ratio essentiel, connu sous le nom de


‘’Ratio Cooke’’, a pour objectif  de:

• renforcer la solvabilité et la stabilité du système


bancaire 

• atténuer les inégalités concurrentielles entre les


banques

•Vise à garantir un niveau minimum de capitaux


propres, afin d’assurer la solidité financière des
banques
23
DÉFINITION DU RATIO COOKE :

Ce ratio constitue une norme universelle de solvabilité


bancaire.
Il vise a limiter deux risques bancaires majeurs : le
risque de crédit (accord de Bale, version 1988.) et le
risque de marché (amendement de 1996).

Le risque de marché est le risque de perte qui peut résulter des


fluctuations des prix des instruments financiers qui composent un
portefeuille.

Le risque peut porter sur le cours des actions, les taux d'intérêts,
les taux de change, les cours de matières premières, etc.

24
Pour ce faire, il impose aux banques la détention
d'un niveau de fonds propres minimum pour
faire face a des pertes éventuelles liées aux
engagements de celles-ci.
Le but de la mise en place de ce ratio est
d'unifier les règles internationales de solvabilité
qui s'appliquent aux banques, tout en renforçant
leur solvabilité, en les plaçant dans des
conditions de concurrence identiques.

25
Le ratio Cooke est un ratio de solvabilité
bancaire qui est recommandé par le Comité de
Bâle dans le cadre de ses premières
recommandations.

Ce ratio tient ce nom de Peter Cooke, un directeur


de la Banque d'Angleterre qui avait été un des
premiers à proposer la création du Comité de
Bâle et fut son premier président.

26
Le ratio Cooke est un ratio international de solvabilité que
doivent respecter les établissements de crédit et les
compagnies financières exerçant une activité internationale
importante.

Il constate le rapport entre le montant des fonds propres et


celui des encours de crédit (argent prêté qui n’a pas été
encore remboursé). 

Les banques et établissements financiers sont tenus de


respecter en permanence, sur base individuelle ou
consolidée, un coefficient minimum de solvabilité de 9,5 %
entre, d’une part, le total de leurs fonds propres
réglementaires et, d’autre part, la somme des risques de
crédit, opérationnel et de marché (RÈGLEMENT N°14-01 DU 16 FÉVRIER
2014 PORTANT COEFFICIENTS DE SOLVABILITÉ APPLICABLES AUX BANQUES ET
ÉTABLISSEMENTS FINANCIERS)

27
D’après l’accord de Bâle conclu en juillet 1988, dit accord de
Bâle I, les banques doivent, depuis le 1er janvier 1993,
respecter un rapport minimal entre les fonds propres et les
risques pondérés selon leur nature.

le calcul est effectué d'après le rapport entre les fonds propres


(capital pur) et quasi fonds propres (réserves + certaines
provisions + titres subordonnés) et l'ensemble des
engagements, pondérés selon la nature de l'emprunteur.

Le ratio Cooke doit respecter 2 exigences :

(fonds propres + quasi fonds propres) / ensemble des


engagements > 8%

fonds propres / ensemble des engagements > 4%

28
Le rapport Cooke définit d’abord les éléments
constitutifs des fonds
propres, puis donne une échelle de pondération des
risques afin de parvenir à une évaluation à peu près
homogène des uns et des autres.

Ce ratio a été durci et renforcé par les accords de Bâle II


et Bâle III.

29
Bâle II et le ratio Mac Donough
Le ratio Mc Donough est le successeur officiel du ratio
Cooke. William J. Mac Donough est l'actuel président
du comité de Bâle et de la Federal Reserve Bank of
New-York.

En effet, après plus 10 ans d'utilisation, le ratio Cooke


semble avoir ses limites.

L'objectif est de permettre une gestion plus fine des


risques en phase avec la réalité économique.

30
Les différents risques (activités de marchés,
opérationnels, crédit, etc.) pourront voir leur
pondération modifiée.

Comme pour le ratio Cooke, l'exigence de fonds


propres est maintenue à 8%.

Ratio de Mc Donough : Fonds propres > 8% des


[85% des risques de crédits + 5% des risques de
marché + 10% des risques opérationnels]

31
Ainsi le ratio Cooke devient donc le ratio Mac Donough

£ (capitaux propres)
(Risques de crédit+risques de marché+risque opérationnel)

32
Les principaux risques gérés par les banques sont les
suivants :

• le risque de crédit, risque d’insolvabilité du débiteur lié à la


défaillance éventuelle d’un client de la banque,

• le risque de marché, qui est lié à la dépréciation des actifs (actions,


obligations…) conservés dans le bilan de la banque,

• le risque opérationnel : il s’agit de risques liés, au facteur humain,


à l’informatique, juridique, ou aux problèmes de procédures. Ils
trouvent leur origine aussi bien en interne qu’en externe,

• le risque de liquidité : il s’agit d’un risque inhérent à


l’intermédiation traditionnelle, puisque le terme des emplois est
toujours plus long que celui des ressources. Une banque incapable
de faire face à une demande massive et imprévue de retraits de
fonds émanant de sa clientèle ou d’autres établissements de crédit
est dite illiquide
33
• le risque de change résulte d’une évolution défavorable du
cours d’une devise dans laquelle la banque détient des
créances et des dettes,

• le risque d’insolvabilité : il concerne la survie de la firme


bancaire. Il est la conséquence de la manifestation d’un ou
plusieurs des risques non prévenus par la banque.
L’insolvabilité d’une banque débute en général par une crise de
liquidité car dès que les marchés commencent à se défier d’un
établissement sur la base d’informations, vérifiées ou pas, sur
des pertes élevées, celui-ci ne peut plus se refinancer.

34
Bâle III
Les accords de Bâle III sont des suggestions de nouvelles
réglementations destinées au secteur bancaire. Suite à la crise des 
subprimes en 2007, le Conseil de stabilité financière et le G20 de
2010 à Séoul ont contribué à la mise au point de nouvelles mesures
de stabilité pour le système bancaire mondial.

L'analyse des effets de la crise a abouti sur le fait que son impact
sur les banques vient de la croissance trop rapide des Bilans et hors
Bilans des banques associée à une faible qualité des fonds propres.

Les fonds propres sont censés couvrir les risques, ce qui explique
une nécessité d'augmenter leur qualité étant donné le niveau de
risque pris par les banques et leurs interdépendances.

“Bâle III” visent à augmenter la solvabilité des banques, en faisant


passer leur ratio “Fonds Propres / Actif” de 8 % à 10 %.

35
LE CONTROLE INTERNE

Le règlement n° 2002 – 03 de la Banque d’Algérie


      
s’inscrit dans un mouvement international, qui s’est
traduit, en matière prudentielle, par la publication, à
l’initiative du comité de Bâle, de 25 principes
fondamentaux pour un contrôle bancaire efficace, qui
sont adoptés dans le monde entier.
 
- Parmi ces principes, plusieurs portent sur les
procédures de mesure, de suivi et de contrôle des
différents risques auxquels les banques sont exposées.
 

36
Les autorités compétentes doivent s’assurer de
l’existence de dispositifs adéquats dans tous les
établissements bancaires soumis à leur surveillance.
 
-Il était par conséquent important de mettre en place,
en Algérie des dispositions qui non seulement soient
cohérentes avec les pratiques des autres pays mais
qui placent notre système au niveau des meilleures
pratiques internationales.
La régulation financière par la mise ne place
d’instruments et d’institutions destinés à lutter contre
ces perturbations est devenue une priorité

37
       Ce règlement définit les principales missions du contrôle
interne.

 - Il met l’accent sur les domaines les plus sensibles et distingue en


particulier :
 
> : la vérification de la conformité des opérations et des règles
internes aux dispositions en vigueur et aux usages
professionnels,

>le respect des limites en matières de risques,

>la surveillance de la qualité de l’information comptable et


financière.
 
  L’objectif de ce règlement est d’instaurer une gestion qualitative
du fonctionnement de la banque ou de l’établissement financier.

38
Les objectifs visés par le règlement s’articulent sur :
- Respect de la législation (existence d’un recueil des
textes de référence, prise en compte de ces textes dans
les procédures ..)
-Séparation des fonctions ( séparation des fonctions de
type compétence du personnel front–off des fonctions
règlement – livraison, comptabilisation, suivi et
appréciation des risques … qualification suffisante du
personnel)
- Mesures et suivi des risques : analyse des risques
avec des données qualitatives et quantitatives
suffisantes ….)

39
40

Vous aimerez peut-être aussi