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QUANTITATIVE
DE LA
MONNAIE.
Présenté par : Rana Ahmed
Sous la surveillance de : Dr. Rania
Ramadan.
SOMMAIRE
• Cette théorie a été développée par différents auteurs dans différents pays.
• Dès la Renaissance, Nicolas Copernic ou Jean Bodin mettent en relation le lien entre la quantité
de monnaie en circulation et l’évolution des prix.
Les classiques et néoclassique considèrent que la monnaie est neutre
Les keynésiens affirment que la monnaie est active et qu'elle est parfois
utilisée pour perfectionner les performances économiques
Les monétaristes pensent que la monnaie est active, mais que son utilisation
est en particulier nocive à l'économie .
LES COURANTS CLASSIQUE ET
NÉOCLASSIQUE
Le courant Le courant
classique néoclassique
• D’abord, le courant classique, • C’est l’approche nuance
qui préconise qu’il existe une de l’école Cambridge
dichotomie entre la sphère
• A. Marshall et A-C. Pigou vont
réelle et la sphère monétaire.
De ce fait la monnaie ne reformuler la théorie
pouvait être que neutre. quantitative de la monnaie en
• La demande de monnaie par les mettant
• l’accent sur la monnaie détenue
agents répond à la nécessité de
faire des transactions. La par les agents économiques.
monnaie ne constitue qu'un
intermédiaire des échanges.
L’ÉQUATION DE IRVING FISHER
L’équation des échanges de Fisher L’expression de la demande de monnaie telle qu’on la trouve exposée
dans l’ouvrage de Fisher ne dépend que des transactions en valeur.
Fisher établit la célèbre équation quantitative de la monnaie de la manière suivante :
M*V=P*T
L’ÉQUATION DE IRVING FISHER
• M : la masse monétaire
• V : Vitesse de circulation de la monnaie
• P : le niveau général des prix
• T : Volume global des transactions
• A travers son équation des échanges, Fisher montre, d’abord, que dans une économie, la monnaie
qui circule (M*V) est nécessairement égale à la monnaie que demandent les agents économiques
en contrepartie de leurs transactions (P*T).
L’ÉQUATION DE IRVING FISHER
• Il existe un lien causal entre la masse monétaire (M) et le niveau général des prix (P). pour cela,
il lui est nécessaire de poser trois hypothèses fondamentales :
M = k P Y , où k = 1 / V
Keynes
Keynes envisage,
envisage, à
à l'inverse
l'inverse des
des classiques,
classiques, la
la possibilité
possibilité d'une
d'une thésaurisation.
thésaurisation.
Tandis
Tandis que
que pour
pour les
les classiques
classiques il
il n'existe
n'existe pas
pas d'arbitrage
d'arbitrage entre
entre monnaie
monnaie et
et actifs
actifs
financiers,
financiers, Keynes
Keynes introduit
introduit lala théorie
théorie des
des choix
choix :: pour
pour tout
tout taux
taux d'intérêt,
d'intérêt, l'agent
l'agent
a
a le
le choix
choix entre
entre détenir
détenir de
de la
la monnaie
monnaie de de spéculation
spéculation ou
ou effectuer
effectuer des
des placements
placements
financiers.
financiers.
L’ÉQUATION DE KEYNES
n = PK ou p = n/k