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MODULE
CAHIER N°5
Modèles probabilistes
Parmi les modèles probabilistes, citons la « valeur en risque » (« Value at Risk », VaR),
les « résultats en risques » (« earning at risk »), les « flux de trésorerie en risque »
(« cash flow at risk ») ainsi que les développements de modèles de distribution des
pertes opérationnelles et de crédit.
Les modèles probabilistes peuvent être utilisés pour différents horizons temporels,
pour fournir des mesures telles que, par exemple, des fourchettes de valorisations
d’instruments financiers dans le temps. Ils peuvent également servir à évaluer les
résultats attendus ou les résultats moyens par comparaison avec des impacts
inattendus ou extrêmes.
II.6 FONDAMENTAUX DE L’ÉVALUATION DES RISQUES : ASPECTS
CONCEPTUELS
DES RISQUES
Modèles non probabilistes:
Les modèles non probabilistes utilisent des hypothèses subjectives afin d’estimer
l’impact d’événements, sans en quantifier la probabilité d’occurrence. L’évaluation de
l’impact se fonde alors sur des données historiques ou sur des simulations construites
à partir d’hypothèses de comportements futurs. Parmi les modèles non probabilistes,
citons les mesures de la sensibilité, la simulation du stress (ou Stress Test) et l’analyse
du scénarii.
TECHNIQUES D’ÉVALUATION
Benchmarking :
Les données collectées sur les événements, les processus et les indicateurs
de mesure sont utilisées pour comparer la performance des entités.
Certaines entités ont recours au benchmarking pour évaluer la probabilité de
survenance et l’impact de certains événements dans le secteur d’activité.
Au plan pratique, lorsque le choix se porte sur l’évaluation individuelle, elle peut se faire simultanément
avec l’interlocuteur ou l’expert métier pendant l’entretien d’identification des risques.
L’évaluation collective nécessite, en revanche beaucoup plus de préparation (matrice des évaluateurs,
fiche d’évaluation, planification des ateliers, centralisation et traitement des données d’évaluation, etc.);
elle se fera donc hors entretien d’identification.
L’évaluation collective sera privilégiée lorsque plusieurs experts métiers peuvent avoir un avis pertinent
sur un domaine (process, fonction, thématique, etc.); par contre, dans un contexte où les compétences ou
la maîtrise des différents sujets ont un caractère exclusif (limitée à une personne), l’évaluation individuelle
sera privilégiée.
(*) Le biais d’évaluation se définit comme une erreur de jugement ou d’appréciation par l’évaluateur
CHOIX ET MISE EN ŒUVRE DE LA MÉTHODE : ASPECTS PRATIQUES
— Hiérarchisation
Les risques sont hiérarchisés selon leur criticité (produit de leur gravité moyenne et de leur
probabilité d’occurrence moyenne) et présentés sous forme de top 5 ou top 10 ou top n.
— Restitution graphique
Les risques sont ensuite positionnés sur des matrices de criticité permettant de déterminer
le profil de risque de l’entreprise et d’en fournir une visualisation à l’instant t.
CHOIX ET MISE EN ŒUVRE DE LA MÉTHODE : ASPECTS PRATIQUES
— Etape 2 – Identification & analyse des contrôles : Il lui est demandé de renseigner
tous les dispositifs de contrôle et d’apprécier leur niveau de maturité conceptuelle et
ce, sur une base déclarative. La prise en compte d’un dispositif obéit à 3 conditions :
Existence – Mise en œuvre – Mise à jour. L’objectif, à ce stade de la démarche, n’est
pas d’effectuer des tests sur les contrôles (tâche dévolue à l’audit).
L’évaluation des risques est une étape centrale du management des risques. Le résultat de ce travail
Principe 1 déterminera les grandes orientations du management des risques (stratégie, politique, etc.) et constituera
le socle du travail de restitution sur les risques (matrice de criticité,
L’évaluation est individuelle. Il est souhaitable que les données d’évaluation soient le produit d’une
Principe 2 analyse personnelle
L’évaluation des risques n’est pas un travail de notation ou d’appréciation des différents responsables
Principe 3 fonctionnels ou de processus. Il faut nécessairement veiller à ce que ce travail soit le plus objectif
possible
L’appréciation de la probabilité est une estimation très fine des facteurs qui rendent favorable l’apparition
Principe 4 du risque. Il peut s’agir de facteurs internes ou externes.
L’appréciation de la gravité est une estimation très fine des impacts supposés de la survenance du risque
sur la réalisation des objectifs de l’organisation. Il conviendra de ne pas surestimer des risques dont les
Principe 5 impacts sur les objectifs stratégiques ne seraient que « locaux ». De même, il faudra veiller à ne pas
sous estimer des risques
Il est important que chaque évaluateur veille à ne pas tomber dans le piège du « biais cognitif » c’est-à-
dire la tendance à commettre des « erreurs » d’évaluation compte tenu de facteurs subjectifs,
Principe 6 secondaires ou erronés.
Le biais peut porter aussi bien sur l’appréciation du risque que dans celui du contrôle.
Il est important que chaque évaluateur prenne connaissance des règles d’appétence au risque de l’institution
Principe 7 (« quel risque l’institution accepte ? », « quel risque l’institution n’accepte pas ? », « à quoi correspond le niveaux
maximum de nos échelles : crise majeure ? »)
L’exercice d’évaluation consiste à déterminer le niveau de risque inhérent et ensuite le niveau de risque résiduel sur
Principe 8 la base des dispositifs de contrôles effectivement en place.
L’évaluation (individuelles) des risques est effectuée sur la base d’une distribution
des risques identifiés par les uns et les autres à un échantillon d’évaluateurs, au
maximum de personnes à même d’évaluer le risque, afin d’obtenir une diversité
de points de vue, sur un même sujet :
Process
Process Risque
Risque 11 ::
11 évalué
évalué 33 fois
fois
Process
Process Risque
Risque 22 ::
22 évalué
évalué 33 fois
fois
Process
Process Risque
Risque 33 ::
nn évalué
évalué 11 fois
fois
— Des ateliers de cotation des risques sont organisés par ensemble homogène
(Comité de Direction, Unités opérationnelles, divisions, service, département,
équipe projet, etc. ).
— La cotation est réalisée par toutes les personnes identifiées comme étant
compétentes pour évaluer un risque donné, quand bien même elles ne l’auraient
pas identifié.
l’une de gravité potentielle sur une échelle de 1 à 10 par exemple (paire de préférence),
l’autre de probabilité d’occurrence – tenant compte des dispositifs de maîtrise dores et
déjà en place (l’exercice porte donc sur le risque net, considérant qu’évaluer d’une part
de risque brut et d’autre part l’efficacité du dispositif de maîtrise en place introduit un
biais d’évaluation délicat à maîtriser lors d’une première cartographie.)-, sur le même
type d’échelle.
Le produit des deux évaluations correspond à la notion de criticité.
— Les personnes devant coter les risques lors des ateliers d’évaluation sont encadrées
afin de limiter d’éventuels biais.
— L’équipe projet peut le cas échéant proposer une modification des cotations si elle
estime qu’un risque a été sous-évalué ou surévalué par les participants. Toute
modification par l’équipe projet est bien évidemment traçable.
— Pour être totalement exploitable, les données d’évaluation brute doivent être
assorties d’une évaluation de la maturité des contrôles. La combinaison de
l’évaluation brute et celle des contrôles permettent de déduire une évaluation du
niveau de risque résiduel correspondant au niveau de vulnérabilité et d’exposition
réelle de l’organisation.
— Les résultats des audits internes permettent ensuite d’enrichir la cartographie avec
de nouveaux risques ou de nouvelles évaluations. C’est la boucle vertueuse Audit
interne/ Management des risques.
Mauvaise utilisation des moyens
d’extinction en raison de mise à jour
de formation ou de compétences
Sécurité
particulières en matière d’extinction
physique et Sécurité
insuffisante (Exemple : de
accès
nombreuses personnes ne savent
plus comment utiliser les systèmes
d’extinctions)
Risque que les solutions d’extinction
ne soient pas adaptées aux différents
Sécurité types d’incendies, aux matériels à
physique et Sécurité protéger ou aux lieux concernés
accès (Exemple : arroser les ordinateurs
avec de l’eau au lieu d’utiliser des gaz
suppresseurs comme le Halon).
— Les risques sont hiérarchisés selon leur criticité (produit de leur gravité moyenne
et de leur probabilité d’occurrence moyenne) et présentés sous forme de TOP
5/10/15.
— Les risques sont ensuite positionnés sur des matrices de criticité (nuage de points)
permettant de déterminer le profil de risque de l’entreprise et d’en fournir une
cartographie à l’instant t.
— Dès lors, l’organisation dispose d’un outil de pilotage par les risques, qui lui
permettra d’allouer les ressources aux risques les plus critiques, d’améliorer les
dispositifs de maîtrise des risques et du contrôle interne.
L’évaluation consiste à estimer, sur la base d’échelles prédéfinies, la probabilité d’apparition (P)
de chaque risque recensé et à estimer la gravité de leurs conséquences (G) directes et indirectes
sur les objectifs de la société.
— La criticité (C), qui est la mesure agrégée du risque, est le produit de la gravité par la
probabilité => C = P x G.
Probabilité et gravité sont évaluées par tous moyens, et présentent par essence un caractère
subjectif. Néanmoins,
— un risque qui serait déjà survenu, de façon récurrente verra bien évidemment sa
probabilité être forte,
— la gravité d’un risque doit embrasser le plus de paramètres possibles : l’évaluation de la
gravité potentielle d’un risque doit faire référence à la notion de coût complet, autant
que possible et surtout à l’impact sur les objectifs.
L’évaluation d’un risque, notamment en ce qui concerne sa gravité, doit être établie à l’aune de la
dimension de l’organisation qui procède à la cartographie du risque :
— Autrement dit, un risque sera grave s’il risque de remettre en cause d’une façon ou d’une
autre le fonctionnement, la pérennité de l’organisation observée ou la réalisation d’un
objectif critique.
EVALUATION DES RISQUES : APPROCHE QUANTITATIVE
La mise en place d’une évaluation quantitative des risques obéit à des conditions d’applicabilité précises :
— La valorisation du coût d’un risque nécessite des données comptables en entrée, une comptabilité
analytique permettant des ventilations à de multiples objets de coûts. La disponibilité de cette
information et la flexibilité du SI sont des conditions nécessaires à la faisabilité de la méthode. Notre
système est il apte à déterminer le coût du risque lié à l’arrêt de nos unités industrielles ? Ou la perte
d’une ressource clé ?
— La 2ème étape de la réflexion consiste à délimiter un périmètre cible. Pour quels processus et pour
quels risques (techniques, organisationnels, financiers, conformité) est il pertinent ou raisonnable de
réaliser une évaluation quantitative des risques ?
— Par exemple, le risque de perte d’une ressource clé aura une partie quantifiable (Indemnité de départ
+ Honoraires versés au cabinet de recrutement + Différentiel de salaire défavorable + etc.) et une
partie non quantifiable (perte d’efficacité opérationnelle liée à l’insertion de la nouvelle ressource +
Baisse de motivation des collaborateurs en raison de facteurs d’ordre affectifs + etc.).
PROBABILITE D’OCCURRENCE
Échelle Qualitative Échelle Quantitative Échelle verbale
— Une gravité exprimée en terme quantitatif signifie l’enjeu auquel l’entreprise est exposé sur la
thématique abordée
— Une probabilité exprimée en terme quantitatif correspond à un % d’impact.
Exemple
d’échelle Attribut ou niveau du contrôle Impact du contrôle sur le risque
qualitative
1 Rudimentaire / basique Totalement inefficace
2 Informel Peu efficace
3 Moyen / Acceptable Impact moyen
4 Satisfaisant Impact satisfaisant
5 Optimisé Impact maximal
Plus le contrôle sera mature au plan conceptuel, plus il aura d’impact sur le risque.
L’objectif du processus de management des risques n’est pas de procéder au testing des contrôles
pour évaluer leur efficacité (rôle de l’audit); il se contente de juger le risque au plan de sa
conception (control design); ce qui correspond en d’autres termes, à une efficacité supposée ou
présumée.
La mission d’audit viendra confirmer ou infirmer l’efficacité du contrôle (calculé lors de la phase de
cartographie) ; ce qui conduira naturellement au « re-calcul » du niveau de risque résiduel.
EVALUATION DES RISQUES : LES BIAIS D’ÉVALUATION
Correction de biais
Correction des évaluations ayant fait l’objet de biais une fois identifiés. Il s’agit en général des valeurs à
caractère exceptionnel (probabilité ou gravité) perturbant la mesure ou l’appréciation du risque.
Ces valeurs seront soient supprimées, soient corrigées (réévaluation, ajustements, etc.).
Il convient de noter que des données d’évaluation peuvent se situer à l’extrême de l’échelle et avoir un
caractère « normal ». Dans ces cas, les valeurs situées au centre de l’échelle constituent les valeurs
exceptionnelles sans pour autant être extrêmes.
EVALUATION DES RISQUES
‒ Analyse et retraitement des résultats. Le calcul de chaque risque se fait sur la base de la
moyenne des évaluations :
Probabilité Moyenne X Gravité Moyenne = Criticité moyenne
‒ Afin de se faire une idée sur la qualité des résultats, une analyse des moyennes d’évaluation,
tous risques confondus et des écarts type par risque permet d’avoir une opinion sur
l’homogénéité des réponses.
‒ Le calcul d’un écart type par moyenne de criticité de chaque risque est également très utile : il
permet de voir quel crédit, ou quel poids attribuer à l’évaluation d’un risque.
‒ Les données d’évaluation à caractère exceptionnel peuvent faire l’objet d’un traitement :
Lorsque l’on a des points extrêmes dans un nuage de points qui est concentré, on peut être amené à
faire valider l’évaluation compte tenu de son caractère « atypique ».
EVALUATION DES RISQUES
‒ La hiérarchisation des risques est au centre de la rationalisation du contrôle interne. Elle se fait à
deux niveaux:
Au niveau macro (périmètre) : il consiste en la réalisation d’un classement entre les processus pour la
planification des missions de contrôle PLAN D’AUDIT.
Au niveau micro (risque) : il consiste à effectuer un classement entre les risques d’un même processus
afin que les priorités de traitement soient établies sur une base rationnelle
‒ Elle permet de se focaliser en priorité sur les risques jugés inacceptables. Les risques situés en
zone acceptable ne sont pas concernés par la hiérarchisation.
Elle peut être effectuer suivant différentes modalités : numérique ou graphique
Numérique : cette modalité de hiérarchisation se fait sur la base du choix d’un critère, la criticité en
général (Probabilité x Gravité). Un classement par ordre décroissant est ensuite réalisé afin de mettre
en évidence les risques à plus forte criticité. Cette méthode se matérialise sous forme de top 5, 10 ou
15, etc.
Graphique : cette modalité correspond à la méthode des vagues de traitement. Elle consiste à classer
les risques en plusieurs groupes homogènes correspondant à des vagues de traitement.. Les priorités
de traitement sont par conséquent accordées aux vagues prioritaires.
Sur un plan strictement référentiel, la hiérarchisation des risques ne constitue pas une
composante du COSO; elle constitue un complément méthodologique pour assurer le lien
entre le système de gestion des risques et les systèmes de contrô le.
Le COSO, dans sa partie « Activités de contrô le », préconise des bonnes pratiques en matière
de systèmes et de dispositifs de contrô le interne. Afin d’assurer leur efficacité et de
maximiser leur impact sur l’entreprise, il convient de les déployer suivant une logique
rationnelle et sur la base de la criticité.
Les vagues de traitement permettent de cadencer le traitement des risques suivant les
possibilités de l’organisation au regard des ressources financières, humaines et matérielles
disponibles.
II.7 HIÉRARCHISATION DES RISQUES
Les valeurs en rouge représente les écarts type élevés. Les risques correspondant
nécessitent donc un traitement additionnel qui consiste en une suppression des valeurs
extrêmes.
Probabilité d’occurrence
- +
Gravité des conséquences
Probabilité d’occurrence
- +
Gravité des conséquences
Probabilité d’occurrence
- +
Gravité des conséquences
Probabilité d’occurrence
- +
Gravité des conséquences
Probabilité d’occurrence
- +
Gravité des conséquences
Probabilité d’occurrence
+ 10
0
- 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
- +
45
II.9 RESTITUTION DE LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES : GÉNÉRALITÉS
La restitution de la cartographie des risques fait suite aux étapes d’identification, d’évaluation
(brute et résiduelle) des risques.
Elle peut indifféremment être effectuée avant ou après la hiérarchisation des risques.
La restitution n’est pas présentée de manière explicite comme une composante du COSO; elle
constitue également un développement méthodologique au même titre que la hiérarchisation des
risques.
La restitution de la cartographie des risques permet aux décideurs, aux responsables des processus
et à tous les destinataires de la cartographie des risques de disposer d’une visibilité améliorée de la
vulnérabilité de l’entité et des différents domaines de l’organisation (processus, fonction, projet,
entité,…).
La restitution de la cartographie des risques fait souvent l’objet de confusion avec le processus de
cartographie des risques. Par exemple, la matrice de criticité (voire diapo suivante) est assimilée à à
une cartographie des risques mais en réalité elle n’est qu’une modalités de restitution du processus
de cartographie des risques.
II.9 RESTITUTION DE LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES : LES MATRICES
DE CRITICITÉ
‒ Les risques sont hiérarchisés selon leur criticité (produit de leur gravité moyenne et de leur
probabilité d’occurrence moyenne) et présentés sous forme de TOP 10/15. Ensuite, les risques
sont positionnés sur des matrices de criticité permettant de déterminer le profil de risques de
l’entreprise et d’en fournir une cartographie à l’instant t.
+ 10 + PO9.01
9
8 P09.12
P09.05
8
P09.02
7
7 P09.03
P09.04
6
6
P09.11
5
5
P09.06
4
4
G ra v ité d e s c o n sé q u e n c e s
G ra v ité d e s c o n sé q u e n c e s
P09.07
P09.10
3 3
P09.08
1
- 1
0
- 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 - 0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
- +
- + - +
II.9 RESTITUTION DE LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES : LE RADAR
La graphique en RADAR permet d’analyser la vulnérabilité d’une organisation sur différents sujets ou axes. Le schéma
ci-dessous révèle un niveau satisfaisant sur le « gardiennage et les moyens humains » et une faiblesse sur les
« Moyens d’intervention ».
100%
SURETE Conception de lieux et protection physique passive SECURITE Moyens de détection
50%
0%
Secteur : Répartition des risques sur les Histogramme : Nombre de risques par processus
processus (en %)
80
80 71
70
4%
60
49
Diriger l’entreprise
50
30% 21% 40
Piloter l’amélioration 25
continue 30
20
Acquérir les ressources 9
humaines 10