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COMMENT ELEVER LES BOVINS ET PROTEGER

L’ENVIRONNEMENT ?
PLAN DE L’EXPOSE
1. INTRODUCTION
 DEFINITIONS DE QUELQUES CONCEPTS
a. ELEVAGE
b. ENVIRONNEMENT
c. PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
2. IMPACTS DE L’ELEVAGE SUR L’ENVIRONNEMENT
 DESAVANTAGES
 DEGRADATION DES TERRES
 DEFORESTATION ET LA DESERTIFICATION
 EMISSIONS DES GAZ A EFFET DE SERRE
 RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE
 POLLUTION DE L’ATMOSPHERE ET DES EAUX
 PERTE DE LA DIVERSITE BIOLOGIQUE OU BIODIVERSITE
 SUPATURAGE;
 COMPETIONS ALIMENTAIRES;
 AVANTAGES;
 LABOUR;
 APPORT DES SUBSTANCES NUTITIVES;
 FERTILISATION DES SOLS;
 STOCKAGE DE L’AZOTE DANS LES PRAIRIES
 ENTRETIEN LES ZONES HUMIDES.
3. ETAPES DE LA MAITRISE DE CES IMPACTS SUR L’ENVIRONNEMENT
 ANALYSER LES EVOLUTIONS PENDANT LONGTEMPS
 RECUEILLIR TOUT EN CONCERVANT LES DONNEES UTILSES
 ETABLIR UN INDICTEUR PERTINENT OU TABLEAU DE BORRD EN LE RENDANT
DISPONIBLE;
 FAIRE LA MISE EN PLACE DES DISPOSITIFS DE SUVI;
INTRODUCTIONS
 
DEFINITION DE QUELQUES CONCEPTS
 
ELEVAGE
 
L’élevage est l'ensemble des activités qui assurent l'entretien et la multiplication des animaux souvent domestiques
(vaches ; chèvres ; moutons ; etc.), parfois sauvages, pour l'usage des humains.

ENVIRONNEMENT

L'environnement est l’ensemble des éléments (biotiques ou abiotiques) qui entourent un individu ou une espèce et dont
certains contribuent directement à subvenir à ses besoins, ou encore l'ensemble des conditions naturelles (physiques,
chimiques, biologiques) et culturelles (sociologiques) susceptibles d’agir sur les organismes vivants et les activités
humaines.

PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT

Est cette prise de conscience qu’on a lorsqu'on sait que la mondialisation peut causer des problèmes à l’environnement.
C’est en fait, faire en sorte que les mauvais facteurs ne nuisent pas à l’environnement.
L’impact de l’élevage sur l’environnement

DESAVANTAGES

Dégradation des terres

Deforestation

D’abord, le plus logique. Il faut nécessairement avoir suffisamment de place pour pouvoir élever tous ces animaux.

L’herbe retrouvée dans les pâturages n’est pas suffisante pour la consommation des animaux. Il faut donc leur
fournir plus de nourriture, appelée « fourrage ». Près du tiers des terres arables, c’est-à-dire des terres qui sont
propices à la culture, sont utilisées pour faire pousser des végétaux qui serviront à nourrir les animaux.
Lorsque l’on coupe les arbres pour ses activites, on fait en fait la deforestation. Par exemple les activités de la
braise, implantation dune ferme etc
D’abord, le plus logique. Il faut nécessairement avoir suffisamment de place pour pouvoir élever tous ces animaux.
L’herbe retrouvée dans les pâturages n’est pas suffisante pour la consommation des animaux. Il faut donc leur
fournir plus de nourriture, appelée « fourrage ». Près du tiers des terres arables, c’est-à-dire des terres qui sont
propices à la culture, sont utilisées pour faire pousser des végétaux qui serviront à nourrir les animaux.
Désertification

. Plusieurs facteurs sont responsables de la dégradation de la qualité des sols, notamment l’utilisation d’herbicides,
d’insecticides ou d’engrais, ainsi que l’accumulation excessive et concentrée des excréments des animaux. Cette dégradation
rend les terres moins fertiles, ce que les agriculteurs tentent de compenser en utilisant plus de produits chimiques.
Lorsqu’on brule une brousse, on désertifie en quelque sorte le sol. C’est pourquoi après avoir cultivé ou récolté, il est conseillé
de laisser les feuilles mortes sur le sol, parce qu’une feuille est une organe qui va se décomposer et ainsi minéraliser le sol.

Émission de gaz à effets de serre

Réchauffement climatique

Concernant les rejets de méthane (que l’on désigne souvent par les « rots » des vaches), ils sont inhérents au processus de
digestion des ruminants et donc difficiles à contrôler.
Toutefois, ce n’est pas le CO2 qui amène le plus de problèmes. Les ruminants, comme les vaches par exemple, produisent du
méthane, un gaz qui possède un « potentiel de réchauffement climatique » 23 fois plus élevé que le CO2. L’élevage est
responsable de 37% des émissions de méthane causées par l’homme.
Dans le même sens, l’élevage produit 65% de l’oxyde nitreux, un gaz au « potentiel de réchauffement climatique » 296 fois
plus élevé que le CO2. Bref, un cocktail explosif !
Donc, l’élevage bovin, les matières fécales des bovins contiennent des gaz principalement le CH4, ces gaz vont jusqu’à la
couche d’ozone et ainsi il y aura des perturbations climatiques, telle élévation de température. Et c’est ce qui cause parfois des
pluies acides.

Pollution de l’eau

Comme pour les terres, l’eau se retrouve contaminée par les produits chimiques (insecticides, herbicides, etc.) et les
excréments des animaux. Cette eau s’infiltre sous terre et rejoint des nappes d’eau souterraines appelées nappes phréatiques,
ce qui contamine de grandes quantités d’eau potable.

Donc lorsqu’il y aura pluie par exemple, l’eau va se mélanger avec les excréments retrouvés à la surface de la terre et avec les
produits chimiques dans le sol jusqu’à atteindre la couche souterraine de l’eau potable (source des BISHIMPO, forages, etc.)

Perte de la biodiversité

Les terres utilisées pour l’élevage étaient autrefois l’habitat de nombreuses espèces animales et végétales. Cela veut dire que
les animaux sauvages ont perdu le tiers de leurs habitats naturels à cause de l’élevage de bétail.

Il ne faut pas non plus oublier les autres points énumérés précédemment. La pollution de l’air, de l’eau et des terres ont
définitivement un impact sur la faune et la flore indigène.
Pour faire l’élevage dans une brousse par exemple, avant d’implanter sa ferme, on coupe les arbres ainsi que toutes les autres
espèces végétales que l’on trouve sans valeur et après les espèces animales sauvages qui y vivaient vont être obligés de fuir vu
que leur habitat est dégradé. L’endroit où ces espèces iront, elles seront appelées envahissantes.

Le surpâturage
 
Le surpâturage est un excès de « pression de pâturage » par des animaux (domestiques, semi domestiques ou marrons),
autrement dit une surexploitation des ressources végétales servant à l'alimentation de ces derniers

Ex : Sur un terrain (pâturage) de 50Km2 qui ne peut contenir que 1000 bovins mais on y met 10 000 bovins pour un élevage
extensif ou les animaux passent nuit dehors et mangent sur pâturage, il y aura des concurrences entre eux-mêmes c’est-à-dire les
faibles risquent d’être battus par les forts à cause de la quantité suffisante des graminées (poacées) et le fait que ces animaux
piétinent incessamment la petite surface de terre ça détruit le sol.

Compétition alimentaire

VACHES OU CEREALES : IL N’EST PAS NECESSAIRE DE CHOISIR ?

Il y a concurrence alimentaire lorsque les animaux reçoivent des aliments qui seraient également propres à l’alimentation
humaine. C’est le cas, par exemple, lorsque les vaches consomment du blé que l’homme pourrait consommer également.
 
 Il y a concurrence pour l’utilisation des surfaces lorsque les aliments pour animaux sont produits sur des terres sur
lesquelles on pourrait également cultiver des denrées alimentaires. Par exemple la culture de céréales fourragères au lieu de
pommes de terre sur des terres arables.

Le labour
 
Le labour des bovins, particulièrement les bœufs, sont utilisés comme animaux de trait. Ils sont en effet dociles, développent
une bonne puissance de travail et sont résistants à l’effort.

L’avantage est qu’au lieu d’utiliser les machines conçus pour le labour et dépenser inutilement ses sous, on peut utiliser ses
bêtes de trait notamment les bovins qui sont experts en ce travail-là. Et aussi on peut considérer les piétinements du sol par ces
derniers retournent très peu le sol.

Fertilité des sols et déjections animales

L’épandage des fumiers (bouse et urine avec paille) et lisiers (bouses et urines seuls) et leur décomposition ultérieure par les
micro-organismes (champignons et bactéries du sol) permettent de recycler sur place les déjections des troupeaux et de
renouveler la fertilité du sol.

Ainsi toutes les micro populations du sol vont dégrader les matières organiques mortes des troupeaux en fabriquant de l’humus
qui fertise ainsi naturellement la terre grâce aux interactions.
Le stockage de l'azote dans les prairies

La vache mange l’herbe, la digère, puis fertilise le sol par ses déjections, permettant ainsi à l’herbe de repousser.
Même si la réalité est plus complexe, on peut retenir que ce cycle permet la circulation de l’azote, un élément
nécessaire à la fertilité du sol. Sans déjections animales, on doit apporter cet élément d’une autre source, avec des
engrais chimiques. Sur le long terme, ces engrais détruisent la flore et la faune des sols, augmentant le risque de
désertification lorsque les terres ne sont plus cultivables. L’azote étant un élément minéral important pour le végétal.

Entretien des zones humides

Les zones humides (régions à eau en permanence) autrement appelées savanes marécageuses qui sont des formations
végétales à dominance d’herbes, riches en graminées ou poacées et qui sont considérées comme des pâturages.
 
L’élevage bovin entretient les zones humides sur le point où ces zones sont des pâturages et que l’homme n’aura pas
cette mauvaise idée d’y implanter ses activités notamment les cultures. Ces zones humides sont également très
avantageuses aux bestiaux parce que la végétation y est toujours verte en permanence une grande partie de l’année et
c’est à partir de celle-ci que l’homme tire certains végétaux pour fabriquer le fourrage (foin, paille, etc.) par exemple.
ETAPES DE LA MAITRISE DE CES IMPACTS SUR L’ENVIRONNEMENT
 
ANALYSER LES EVOLUTIONS PENDANT LONGTEMPS
 
Voir comment chaque ses bêtes évoluent, s’il y a des chaleurs, accouplement, etc. et aussi des cas des parasites chez certains
bestiaux.
 
RECUEILLIR TOUT EN CONCERVANT LES DONNEES UTILSES
 
S’approprier un bloque notes ou un ordinateur portable qui va recueillir toutes les informations ou données qui semblent être
utiles sur sa ferme ou son élevage entre autres les reproductions, ventes, natalités, mortalités, etc. pour ainsi voir comment les
résoudre.
 
ETABLIR UN INDICTEUR PERTINENT OU TABLEAU DE BORRD EN LE RENDANT DISPONIBLE
 
Un tableau de bord d’un véhicule, il nous prévient de biens de choses entre autres le niveau du carburant, la situation des
portes, l’excès de vitesse, etc.
 
Ici sur l’aspect bovin, ça va nous guider dans la confection des déchets animaux (matières fécales qui sont au centre de tout)
par exemple en creusant une fosse dans un endroit éloigné de l’entourage, utiliser ces déchets comme nourritures des poissons
vu que ces matières contiennent plusieurs planctons (nourriture des poissons).
 
 
FAIRE LA MISE EN PLACE DES DISPOSITIFS DE SUVI
 
Voir quand et où gérer les matières fécales après les avoir confectionnées.
 

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