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PLAN SEANCE 3

1 La politique budgétaire et le déficit public


2 Les finances publiques
3 La théorie des finances publiques
4 La théorie du multiplicateur fiscal
5 Une nouvelle conception de la politique
budgétaire
6 Le Pacte de stabilité et de croissance
1 POLITIQUE BUDGETAIRE ET DEFICIT
PUBLIC : DEFINITIONS

• Part des dépenses publiques dans le PIB


2000 : 53,2 % ; 2001 : 52,6% ; 2003 : 54,3 % ;
2004 : 53,4 %.

• Part des prélèvements obligatoires dans le PIB


1999 : 45,6 %; 2000 : 45,2 %; 2002 : 43,9 %,
2003 : 43,8% ; 2004 : 43,6 ; 2005 : 44,3.
• Déficits publics
6% du PIB en 1993, 3 % (1997), 1,8 % (1999),
1,4 % (2000) ; 3,1 (2002) ; 4,1% (2003), soit
63,4 milliards d'euros ; 3,6% (2004) ; 2,9%
(2005) soit 46,7 milliards d’euros (1,5 milliards
de plus que les 45,2 prévus en LFI); prévisions
(Loi de finances pour 2006) : 2,8% soit 46,9
milliards d’euros.

• Dette publique
58,4 % (2000) ; 57,3 % (2001), 59% (2002),
65 % (2004) ; 66,4 % (2005) soit près de 1162
milliards d'euros ce qui équivaut à une dette de
19000 euros par Français.
Prévision 2006 : 65% du PIB
2 Les finances publiques
• Les finances de l'État
Budget général (Loi de finances pour 2006) :
- dépenses : 270,4 milliards
- recettes nettes : 221 milliards
- déficit : 46,9 milliards

• Les finances locales


• Les finances sociales
• Les finances européennes
3 Musgrave :
la théorie des finances publiques

Les trois fonctions économiques de


l'Etat :
la fonction d’allocation des ressources
la fonction de redistribution
la fonction de stabilisation
4 La théorie du multiplicateur fiscal

Il existe trois types de multiplicateur :


2. le multiplicateur d'investissement
3. le multiplicateur de dépenses publiques
4. le multiplicateur fiscal
La contestation de la relance
budgétaire

• la légitimité de l'action de l'État


• l'efficacité de l'action de l'État
• la « mondialisation », la construction
européenne et les impératifs de
modernisation de l'économie
5 une nouvelle conception de la
politique budgétaire

• la demande de « rassurance »
• l’Etat « réducteur d'incertitudes » ou
« État stratège »
• l'efficacité de la redistribution et de l'équité
(Pareto)
6 Le pacte de stabilité et de
croissance (PSC)
LES CRITERES DE CONVERGENCE
• Le rapport entre déficit public et produit intérieur
brut doit être inférieur à 3 %;
• Le rapport entre dette publique et produit
intérieur brut doit être inférieur à 60 %;
• Le taux d'inflation ne doit pas dépasser de plus
de 1,5 % celui des 3 pays ayant la plus faible
inflation.
La logique économique du
dispositif actuel
Le PSC poursuit trois objectifs économiques
2) limiter le risque d'un comportement de
"free rider" (passager clandestin) de la
part d'un Etat membre ;
3) compenser le fait que la zone euro ne
représente pas une zone monétaire
optimale ;
4) assurer la solvabilité des pays membres.
L'intégration fait apparaître de
nouvelles marges de manoeuvre pour
les politiques nationales…

• L'allègement de la contrainte extérieure


aux frontières de l'Union européenne
• La zone euro comme une zone
d'attractivité pour les capitaux
internationaux
• une réelle autonomie dans la politique
budgétaire

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