Dey een de comonmatens: le nonscllsrtige decomanmti
ide court par Pémergence du peer-to-peer; leur premitre
ura éé la sauvegarde de leurs intérées en accusant ces
stémes de violation des droits d'auteur. Petit 4 peti,
stcomprs la nécesscé de devenir des acteurs majeurs
volution (Bertelsmann) se libérant ainsi des distrib
- Cependant, le relatf peu d'engouement pour les
yas laisse perplee,couteis es initiatives se mult
ide nouveaux acteus se dstinguent (Apple). Parallle
P2P se porte bien en raisantune partimportante du crs
Ces acteurs redoublentdingéniosté, autans sur
ue, en accusant les majors d'wliser abusivement le
ur 8 des fins anticoncurrentilles, que technologique,
le meilleur service de distribucion en ligne de conte
iques, ou économique en cherchant de nouveaux
financement pour industri. Vidée est exploiter Vet
éseaux per-to-peeren assurant une distribution Iégale
sins! sommes-nous opposés route mesure visant
leur expansion, comme la proposition de erfiation
sr ec ne encourage pas 3 produite et & par-
Feontenus notamment vie des serveurs privé, Le droit
elé de vode du financement de la création culturclle,
re une arme 3 double tranchant dans la guerre éeono
1a distibution de contenus numériques en ligne &
sur des diffculés des industries culeurells & Phewre
i. Lidée est de renouveler approche dela distribution
us, en assurant la diversté des sources de création et
js de a conceatration économique. Les solutio
eonomique échique et politique: économique, cats
juverte de nouvelles solutions de financement, notamment
Hicences nom volontaires, pourea peemetre la survie des
Industries ct encourager la créativté ea richesse de formes de
erdaton hétérogéne; thiqu et politique, caries question de ly
Prtiervaton di pattimoine de Pha, a el
Chapitre 2
Peut-on responsabiliser les nouveaux modes
de consommation de l'audiovisuel?
Frédéric Gimello-Mesplomb
Inrropucrion
Le début des années 2000 a éxé caraceérisé par la montée en
puissance du numérique dans les nouvelles formes de consomma-
ton individuelles de Timage audiovisuele, Prmi ces demires, la
[popularicé du peerto-per(P2P) comme nouveau mode de disti-
bution de fichiers ne cesse Paugmencer, en méme temps que la
radicalsation des slutions et des moyens proposés par les indus-
ttiels de La culture pour Tutte contre ce qui est tts rapidement
Appar comme un fléau de la nouvelle économie, Dans le méme
temps, la généralisation de la copie privée sur des supports de
snuvegarde numérique de moins en moins coteux a contsibué 2
tune banalsaion de ate. A Tapogée de son activité, en septembre
2001, le pionnice Napster! compuait 1,6 million e'uilisateurs
‘imultanés. En 2003, Vensemble de cs réseaux compra environ
1 Por
D. Matlin ot85 millions d'utilisateurs, dont 4 millions pour le seul réseau
KaZaA. Le 28 mai 2003, KaZaA devenait le logiciel le plus tl
chargé de histoire Internet, avec 230 millions de copies dsti-
buées, tandis que le réseau eDonkey ne cessait de gagner des
«parts de marché» sur le créneats encore libre du tEléchargement
cn bas debi,
La question posée ici nest pas de savoir si léchange de biens
‘numériques en P2P réduit les ventes de disques ou de DVD (est-
il besoin de rappeler que dautres facteurs y contibuent égale-
‘ment?), mais plutbt de comprendre si, plus profondément il ta
dluiracun changement de fond dans la maniére de «consommer »
tune ceuvre audiovisuelle. En France, cete question passe en effet,
en second plan derritre une réponse sociale au phénoméne qui,
influencée semble-il parle caraceedurgence que lui a contre
le discours médiatique, privilege Tévental des mesures repressive
classiques ainsi qu'un mode de régulation des réseaux qui conf
désormais aux foutnisseurs d'accts 4 Internet (FAD le controle
dles contenu et des usages du net. Phénoméne d'ampleur, le P2P
‘Une éuude publige en mars 2004 par Felix Oberholver (Har-
vard Business School) et Koleman Strumpf (Université de
Caroline dui Nord a Chapel Hill) conclue que le elécharge-
‘ment de fichiers musicaux en « peer-to-peer» nejoue qu'un le
sminime dans la diminution des vences de CD. Les chercheurs
‘one analysé les eeléchargements de fichiers miscaux pendant
17 semaines, au cours de lannée 2002. Hs ont ensuite mis en
correspondance les données sur les transferts de fichiers avec
les petformances des ventes des mémes chansons et albums.
Ils ont ainsi constaré qu les échanges de fichiers, méme & un
niveau élevé, se traduisent par un impact su les ventes dal
bums statistiquement proche de zéro», en concluant que
+ bien que des tdéchargements e produtent& grande éebelle, la
‘majorité des uilsateurs sone des individus qui niauraient pas
sacheté Valour, méme en Uabsence du partae de fichier
eee
masque souvent, dere quelques grandes affaires de pratage qui