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Universidade de Brasília – UnB

Instituto de Letras - IL
Departamento de Teoria Literária e Literatura - TEL
Littérature Française – Panorama
Prof.: Dennys Silva-Reis
Prénom et nom: Karolliny M. Costa
Immatriculation: 15/0014228

Analyse de Corpus

Sujet : À partir du corpus de la discipline « Panorama », de quelle façon peut-on voir

l’évolution de la littérature française ?

Problématique : La position de contrôle des femmes sur les hommes et sur la majorité
des situations dans cet ensemble d’œuvres littéraires.

Ce travail a pour but faire une analyse de l’ensemble d’œuvres lues pendant le semestre
(1/2017), dans la discipline Littérature Française – Panorama. Les œuvres, choisies par
l’enseignant de la discipline, ont été tous écrites par des femmes, en visant la réflexion
sur leur position dans le monde littéraire pendant le passé du temps et aussi leurs
dénonciations et questionnements sur ceux qui se passait à la société de l’époque.
L’ensemble contient neuf livres et, dans sa majorité, les personnages féminins sont les
protagonistes. Toutes les œuvres ont une charge énorme de contenu à analyser,
cependant, ce qu’intéresse ici est la question de la soumission des hommes par des
femmes mises dans ces livres, en réfléchissant toujours sur l’évolution de la littérature
française.

Pour commencer cette analyse, on va faire un court survol sur quelques œuvres afin de
remarquer des objets qui sont pertinents à la problématique choisie dans ce document et
pendant le texte on parle sur le sujet initial.

L’œuvre « Chéri », de l’auteur Sidonie-Gabrielle Colette, est un roman qui parle d’un
amour entre un jeune homme et une demi-mondaine plus âgée que lui. Dans ce livre,
l’auteur a fait une inversion de valeurs, en mettant l’image de l’homme comme l’objet
de désir à cause de sa jeunesse et beauté, tandis que la femme a un pouvoir sur lui qui
est presque maternel. Ce livre rend de bonnes réflexions sur la question de la différance
d’âges, parce que l’acceptation de ce type de relation quand elle vient d’un homme plus
âge à une femme plus jeune la societé la voie comme normal, tandis que quand il se
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traite du contraire, une femme plus âgé avec un homme plus jeune, c’est considérée
comme ridicule et bizarre. L’image de l’homme dans cette œuvre est d’un objet sexuel,
qu’il n’y a que le physique d’intéressant, malgré qui cela deviendrait un amour après.

Un roman qui a quelques nuances semblables à ce premier, c’est « Marianne » de

Georges Sand. Il y a dans celui cette question de différence d’âges parmi les
protagonistes, cependant, le plus âgé dans ce cas c’est l’homme, qui s’appelle Pierre. Le
sujet qu’attire l’attention dans cette œuvre c’est la faut de courage de lui en assumer son
amour par sa filleule – Marianne – qui est sa voisine depuis longtemps et qui habite
toute seule. La peur est crée dans cette œuvre à cause d’une relation qui peut être
considérée comme incestueuse et qui peut causer étrangement à cause de cette question
d’âge. Menacé par la présence d’un jeune et bête prétendent, qui a d’intérêts a Marianne
seulement a cause de son énorme fortune, Pierre essai de démontrer son amour et la
jeune fille attends toujours cette attitude, car elle est également amoureuse de lui. La
position de contrôle de Marianne sur le deux hommes, principalement sur Pierre,
apparaît dedans la psychologie de l’œuvre. Le sujet du mariage est mis comme une
décision de la femme : si Pierre n’a pas tardé à agir elle se marrie avec lui, cependant,
s’il tard, elle se marrie avec l’autre, même sans être amoureuse de celui. Ainsi, on peut
voir que les deux hommes sont soumis à elle de quelque façon.

Dans l’œuvre « Ana, soror… » de Marguerite Yourcenar, la thématique de l’inceste est

plus remarqué qui n’importe quelle d’autre. L’histoire d’amour se passe entre frère et
sœur, ce qui questionne les conventions sociales toujours débattues dans la philosophie.
Leur amour porte aussi le stigmate de la religion, avec la notion du pêché et de l’enfer.
Une chose différente dans cette œuvre est qui le personnage principal n’est pas Ana, ce
qui est suggéré à cause du titre du livre, mais Miguel. En ce qui concerne a la
problématique, cette œuvre n’a pas une relation très claire de contrôle femme-homme,
ou même le contraire, mais l’impression que reste toujours est qui si Ana n’eût pas
résisté, Miguel aurait pu être poussé par le désir, ce qui donne a Ana le pouvoir de
contrôle de la situation et qui donne a l’homme une image d’être guidé par le désir et
non par l’intelligence et par la rationalité.

Une œuvre qu’aborde une question d’imposition très forte c’est « Discours sur la
bonheur » d’Émilie du Châtelet, à cause de sa singularité comme femme dans la
philosophie, ce qu’attire l’attention car la majorité des études de cette matière sont faites
par des hommes. Dans son œuvre, il y a des moments dont elle parle du bonheur des
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femmes et de comment elles peuvent le réussir. Un sujet intéressant de l’étude d’Émilie

du Châtelet ce sur l’éducation comme une façon d’être libre et, par conséquence,
heureuse. D’accord avec ses pensées philosophiques l’intelligence, principalement des
femmes, est qui va changer la société au sens de l’égalité. Une œuvre qui a une liaison
très forte et intéressant avec la pensée de Mme. du Châtelet est « Ceux qui avaient
choisi » de Charlotte Delbo. Dans ce livre, presque autobiographique, la femme a une
résistance politique et sociale beaucoup remarquée, ce qu’exemplifie tout ce que Mme.
du Châtelet voulait dire avec son discours.

Les œuvres « Le lai de Lanval » de Marie de France et « Le bleu est une couleur
chaude », malgré l’énorme distance d’époque, ont une question très remarquables en
commun : la sexualité et le préjugement. Dans « Le lai de Lanval » on a un protagoniste
qui est passionné par une dame féerique et qui, pourtant, cache cette relation jusqu’au
moment qu’une reine démontre d’intérêt en lui et, sans avoir réciprocité, elle l’accuse
d’homosexualité. Tandis que dans « Le bleu est une couleur chaude », une des
protagonistes est en train de découvrir sa sexualité, celle-là se sente cachée par la sa
famille et même par ses amis de l’école qui sont conservateurs, et l’autre est plus libre
pour s’assumer. Le thème enchaînée des ceux deux œuvres ce la découvert des
relations au dehors du commun, la premier d’un homme avec un être qui n’est pas
humane, et la deuxième qui parle d’un amour entre deux femmes, ce qui
jusqu’aujourd’hui souffre avec les gens qui se disent conservateurs. Ces œuvres sont
importantes au sens de la découvert de soi-même dans un monde fermé par les
différences.

Pour conclure cette analyse et en réponse au sujet initial de ce document, il est possible
d’affirmer à partir de cet ensemble d’œuvres, que l’évolution de la littérature française
en ce que concerne à l’image des femmes dans ce moyen, a été donnée de petit à petit
avec des détails de chaque œuvre, la façon de les décrire et de mis en scène la femme
dans une position de pouvoir. On peut constater que chaque œuvre a une façon de
démontrer cela à cause de l’époque et que, dans les plus contemporaines, les femmes
ont une espace plus ouvert pour parler de n’importe quel sujet.
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