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Le bilan de la prépa Jeanne d’Arc en quelques phrases… d’anciens étudiants.

« La prépa a été un véritable atout dans mon cursus et dans ma recherche de


stages puisque les entreprises attachent une grande importance à la maîtrise de
la langue française. »

Chloé, Master 1 Information Communication à Paris III,


khâgne Lettres modernes 2014-2015.

« Mes années de prépa ont été de loin mes deux années d'études les plus
stimulantes intellectuellement. »

Sarah, Double Master droit français et anglais à l’Université de


Strasbourg, khâgne Lettres modernes, 2013-2014.

« C’est le reste du système éducatif qui devrait s’inspirer de cette formation qui, à mon grand
regret, semble être la seule en France à n’avoir pas perdu de vue l’enjeu majeur de l’éducation
: apprendre à penser à des êtres humains. »
Judicaëlle, en master II Études cinématographiques, Sorbonne nouvelle, khâgne cinéma 2013-
2014

« La découverte de ce nouveau monde, qu'on appellera intellectuel ou


universitaire pour faire simple, m'a d'abord effrayée. Se retrouver face à
soi-même et déconstruire tant notre vision du travail que du monde n'est
pas évident. Cependant, cela est nécessaire et ce sont des épreuves
auxquelles on est confronté un jour ou l'autre. C'est pourquoi je suis
contente que cela ait eu lieu alors que je me trouvais en prépa. »
Julie, khâgne 2016

Sans la richesse de l'enseignement qui m'a été proposé pendant ces deux
années et l’œil attentif de professeurs totalement investis dans leur
mission d'éducation des jeunes gens, je n'aurais pas pu m'orienter
sereinement dans la vie estudiantine et active.
J'ai appris à aimer le travail et le savoir alors même que j'avais perdu toute
confiance dans le système éducatif. J'ai retrouvé confiance en moi ainsi
que dans le monde qui devenait de plus en plus étranger à mes
aspirations. Ce sentiment d'angoisse face à l'avenir n'est pas rare quand
on est aussi démuni intellectuellement à la sortie du lycée et je crois qu'il
est plus fort que jamais.
Gaëlle, khâgne 2014, licenciée en études cinématographiques, en master
de philosophie à Paris IV

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