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sgn Pet RESUME LLtitisation des modiles mathématiques ext un Chaussee 5 pa tom geome {rique et def charges quell est amenge f sin Solvent" complexes et coven, ces moddles been cul te moyen ble pour obtenie immeiatement ces ottesapproches, mals abies. ‘ont séuni dans oct article ls prin: ‘Spates forties de calcul de chausées, dlapo- ‘placements, contrainter ou -délormations dans une stticrre, souple ou nig, surmise 3 faction dune charge cxulawe ow eliptaque ‘Sermuteniau de cause. MOTS CLES - 22 - Cateul det chausstes- Cat Guetour mécanique -Portati: Chaurtes foorpe 1 Cnange reparrc " Canucrarenqucr Ma mig eter “ fF :t~«d@Y MECANIQUE DES CHAUSSEES 1. Quelques formules utiles pour le calcul des chaussées sur petites calculatrices programmables INTRODUCTION —_ Le dimensionnement d'une chaussée par une méthode rationnelle conduit la détermination des épaisseurs des différentes couches 4 partir de la connaissance du sol, ou de Pancienne chaussée s'il s‘agit d'un renforcement, des, matériaux mis en place et du trafic envisagé [1]. Dans ce but on fait appel a des modéles mathématiques Alaborés qui schématisent = structure par le nombre de ses couches, leurs paisseurs et les types d’interface; — es matériaux par leur comportement mécanique; = le trafic par une charge unitaire dite de référence. Ces modétes, qui fournissent les contraintes, déformations cet déplacements différents niveaux et ‘distances des ‘charges, sont la plupart du temps trés performants mais nécessitent un ordinateur de taille moyenne. ‘Une autre approche est offerte par les calculatrives de poche programmables. Dans certains eas de schématisation simplifige (nombre de couches réduit, roue unique, interfaces identiques), elles permettent de disposer immédiatement de valeurs plus ou moins approchées (sclon le degré de schématisation) des paramétres de calcul afin deffectuer un « dégrossissage » du probleme pose. 53 Dans cet article, les auteurs ont recensé une grande partic des formuies, en général analytiques, utiles pour le calcul des déplacements et contraintes dans. une cchaussée soumise di une charge circulaire ou elliptique (tableau récapitulatif 1). La validité des résultats fobtenus dépend en grande partie des parametres entrée, c'est pourquoi les auteurs ont regroupé a la suite de ces formules quelques. relations « aide- mémoire » pdur la détermination des caractéristiques mécaniques et des valeurs limites des materiaux. Liambition de cet article n’est pas de réduire le dimensionnement des chaussées “a utilisation de formutes de calcul (ce serait une erreur d'interpréta- tion), mais plutot de constituer un document pratique our le calcul simplifié des chaussées Notations. rayon de la charge demprointe ecu ou dem-axe Sulvant x de la charge dempceinteeiptique Semi-aee suivant y de a charge d'empreinteeliptique ‘un jure fréquence du cha Spaissour de la dalle, ‘aissour de ta couche i ‘module de réaction du sot ‘avon do rigidta de Ta. dale hombre io couches ourcontage dos vides Splacement vertical Usliexion a la surface ‘Seplacement da sot ‘cootdonnées cartsiennes d'un point Puehgggs7as"apenae ‘conconvation volumique un mélange bitumineux Concentration volumiaue corigée «Fun mélange bicum modula d'Young de In dalle ‘modile Young de a couche | poids total de Ta charge fmodule-du bitume ‘modulo do Fenrebé bitumineux Volume de bitume SSRRApPUREPOT A & etormation de traction dans 1s couche bitumineuse Sr formation do Waetion aamiseibio dane la couche bituminouse seformation vertcale du so! © éfermation vorteate admissible dt sol v Goatticiant de Poisson Contrainte de taction en coin de dalle ontainte de traction en bord de dalle Eontainte radale do action Fontaine de waetion suivant % au centre de to dalle ontainte de toction suwvant y au centre de 13 dalle DETERMINATION DES DEPLACEMENTS ET DES DEFLEXIONS —___ CAS D'UN MASSIF SEML-INFINI ‘Modéle de Boussinesq avec roue simple [2] (La charge sur le massif semi-infini est schémati- sée par une pression uniforme q appliquée sur une aire circulaire de rayon a Ci Le massif semi-infini est suppose homogene, linéaire, isotrope, Slastique de module d'Young Es et de coefficient de Poisson v ) déplacements dans le massif en tout point de Vaxe dela charge, & une profondeur z wn tea mre vey ny -@ rae re + (+ 2? = ve| oO) b) déflexion a la surface du massif semi-infini (2 Modéle de Boussinesq avec jumelage type [3] Cl La charge sur te massif semi-infini est schématisée par le jumelage de T'essicu de référence frangais de 130 kN. © Le massif semi-infini est supposé homogéne, linéaire, isotrope, élastique de module d'Young Fs et de coefficient de Poisson ¥ égal 4 0.25, comme cela a été retenu dans les abaques bicouches ALIZE III gt SL BOM ge 12.50 a= 0.682 MPa EN hea SPs / = UT oreq sue vrer| SED HE e109 wo 28m se muston stro] ans ne stam] uo woritsoe SRw ae 3 rey ae 3h a 1 paca ne ener soo | Fame |B set ee sonete| et ster ero a wae (Gam Gna) Fans camer ae stem eto me “| V1 wom w09 ot seme see] reno |g ae wtepenuss| et ep amar i monn nee se eorgne| op sro 3803 ea -t00 0p a2adéne ve sonersa| we aesmerrsc] e 5 5 ws a aw oe “ae sumac 1 auytaiisvogy avatavi La déflexion au centre du jumelage est alors 11.800 E @ oll Wo est exprimé en 10°? mm et E en MPa. CAS DU MULTICOUCHE Formule de Palmer et Barber généralisée [4] (La charge sur la chaussée est schématisée par tune pression uniforme q appliquée sur une aire circulaire de rayon a, GLa chaussée est composée den — 1 couches horizontales d'épaisseur hj, de module Young E, et de coefficient de Poisson ¥,. tous égaux’ dy qui surmontent un mass? semi-infini de caractéristiques mécaniques E, ety. En-1 Maat Yaad En tn La déflexion au centre de la charge est donnée par 2aa(t = ¥) (er Eee ‘| @ (4a) Formule @’Odemark [5] (La charge sur la chaussée est schématisée par tune pression uniforme q appliquée sur ane aire circulaire de rayon a, 11 La chaussée est composée de n — 1 couches horizontales d’épaisseur ,, de module Young F, et de coefficient de Poisson ¥,, tous égaux a v qui surmontent un massif semi infini de caractéristiques mécaniques E, et v 56 Le déplacement vertical au niveau du sol support et dans axe de la charge est donné par o (sa) (sb) ReMargue: Cette formule n'est d utiliser que si les épaisseurs sont supéricures a la moitié du rayon de charge ou si le rapport E/E y. est plus petit que 2. Dans le cas d'un bicouche, ti faut prendre 0.9 4 la place de 8. Formule de Westergaard [6], [7] (La charge P est appliquée sur une aire clliptique de demi-axes a et b, a étant toujours paralléle au c6té de la dalle si la charge est proche de celui-c 1 La chaussée est une dalle homogéne, isotrope et Glastique de module d'Young E et de coefficient de Poisson v, son épaisscur I est constante, 1 Le sol constamment en contact avec Ia dalle est caractérisé par son module de réaction k. a) charge a V'intéricur de la dalle y La deflexion en un point M, de coordonnées (x, y), sous la charge ou A proximité est donnée par la formule APP, tbat tay? (pnt om eee Tn ary z (a—dux | 6 _@+4ab-+b? | (a=! 2xI*(a+b) Yond? VR — Ak rayon de rigidité de la dalle, (a) Dans le cas particulier of Vempreinte est circulaire (= b) et of le point M coincide avec le centre du cerele (x = y = 0), on obtient : P @ | (Be) 3 @ wo ate [ane (Se) ge] b) charge située le long d'un bord ou d'un joint ¢L’axe des x est pris le long du bord ou joint et Péquation de ellipse est oO La déflexion en un point M de coordonnées (0, y) situé sur axe de symétrie perpendiculaire au bord est donnée par la formule ERK [(0-ers+0803) (i -2es0a08)] ©) charge répartie sur deux dalles @ Le bord ow le joint n'a aucune possibilité de transfert mais la charge est répartie uniformément de part et d’autre du bord selon deux demi-ellipses, 1 La déflexion en un point M de coordonnées (0, y) situé sur axe de symetrie perpendiculaire au bord est calculée par la formule suivante : bi EWk [(-22+01798) (1-eree0a0%)] DETERMINATION DES CONTRAINTES, 1 Les hypothéses et tes notations sont les mémes que celles utilisées pour le calcul des déplacements. DANS UN MASSIF SEML-INFINI DE BOUSSINESQ = Contrainte verticale En un point de axe de la charge situé a une profondeur 2, la contrainte verticale 2, est donnée par (10) (10a) = Contrainte radiate En un point de Taxe de la charge situé a une profondeur , la contrainte radiale «, est donnée par oll 9) — 20 + a= $(a +) — ry aye , + em) ay = Cisaillement maximal En un point de Taxe de la charge situé a une profondeur z, le cisaillement maximal ta, est donne par soit ez 2a + 23) ~ aarp) 1 proportionnelles dq, indépendantes dit module Fs du sol et fonction de ia variable adimensionnelle {a pour une valeur dey fixée | ReMAnques : Les contraintes 02, 6, & Tm sont Pourcentage de 1s contrainte appliquée Distibotion de 2.9, et un le long de Foxe vertical de Ia charge, CONTRAINTES HORIZONTALES DANS UN BICOUCHE Formules de Westergaard a) charge Pintérieur de la dalle Les contraimtes 9 et , a la base de la dalle, dans les directions x et y, et dans axe de la charge, ont pour valeur: a. _ 3° af ~ anh En 7 ab [v9 ( adap) a0-o8s4] © z oy P Ee =} Afeoiso.n( = F 0.239¢1 9] (13a) 'b) charge située le long d'un bord (ou d'un joint) sans transfert de charge La contrainte maximale 9, a la base de la dalle et le long du joint (ou du bord) s‘éerit 3 +P [! Ele ae | (Ta (3 + wh 100 ( ++) 4 ab +18 Soe? +209 + 118 422 co) axa 7 ou sous une autre forme oa 24 Gam (aby roo (*5*) NS stsnrtiay 6, 0 need MT ae Sega nt ra —vegtigestina-eay§] aay ©) charge répartie sur deux dalles sans transfert de charge La contrainte maximale g, ai la base de la dalle et le long du joint (ou du bord) séerit: 2.20 + yP/2 B+ yh RGa ye [s +osa+29? 9 4) charge en coin de dalle (8} La contrainte maximale o, en haut de la dalle et dans tun coin de celle-ci s'éerit (38.4)"] co we Formules de Lister et Jones [9] na [Cs Fondée sur Pétude du bicouche élastique, ces auteurs proposent une formule trés simple pour calculer la contrainte maximale de traction 0, la base d'une couche soumise d Taction d'une charge cireulaire uniformément répartie ayn ©) Formule déduite des abaques bicouches ALIZE II (3] La structure bicouche est soumise & action d'un Jumelage de Pessicu frangais de référence de 130 KN. La contrainte de traction est caleulée dans Paxe du jumelage et a la base de la couche supérieure, 1 d= 37,5em a= 0662 mre 2 5m i h Ei.” = 0,25 “ Es. = 0.25 En appelant om Ia contrainte obtenue pour l'épaisseur hy mz la contrainte obtenue pour Mépaisseur hy AH la différence hI, des épaisseurs (en em), fon obtient : Wel = Can as) ott ie © = 0,02 pour les matériaux traités aux liants hydrauliques, €=0,015 pour les matériaux traités aux liants hydrocarbonés. CONTRAINTES VERTICALES DANS UN MULTICOUCHE Formule d’Odemark et Kirk [10] Dans un multicouche élastique de m couches éepaisseur fh, de module d’Young E, soumis & une charge circulaire, la contrainte verticale @, sur le sol support est fournie par 0s b= 08'S «as iia cen pve oe cals fo, Formule de Lister 6 Jones Dav ei panne paar reakal des contrainte radiale, la contrainte verticale o, sur le sol support est calcuiée & partir de GQ" 20) 8 ? mm ~ contrainte maximale 4 la base de la dalle et le long. du joint 1873 + 0,622 = 1,495 MPa d) charge en coin de dalle — contrainte maximale en haut de la dalle et dans un o, = 1,513 MPa Formule de Palmer et Barber La charge sur la chaussée est schématisée par une Pression uniforme g de 0,662 MPa appliquée sur une aire circulaire de rayon w= 0,125 m, La structure est un tricouche dont les caractéristiques sont les suivantes hy =0,08m Ey = 6000MPa_ vy = 0,25 hy FE; = 200MPa 0.25 hy E,= SOMPa 0.25 ~ déflexion au centre de la charge Wo = 66,21 10>? mm avec E = 602 MPa Formules d’Odemark Nous nous plagons dans les _mémes conditions application que pour la formule précédente ~ déplacement vertical au niveau du sol: w, = 38,51,10-2 mm — contrainte verticale au niveau du sol: 2, = 0,031 MPa ‘Comparaison avec ALIZE II Dans les mémes hypothéses que pour les formules de Palmer ct Barber, ct Odemark, toutes les interfaces étant collées, le programme ALIZE III fournit pour la roue simple — déflexion au centre de la charge Wo = 59,8610"? mm. ~ déplacement vertical au niveau du sol : w = 43,22.10-? mm — contrainte verticale au niveau du sol: 0,033 MPa. DETERMINATION DE CERTAINES CARACTERISTIQUES DES MATERIAUX DE CHAUSSEE La validité des formules présentées plus haut repose d'une part sur le choix des valeurs des parametres entrée et dautre part sur la détermination des limites admissibles des paramétres de calcul, Dans ce but les auteurs ont rédigé un petit aide-mémoire de certaines caractéristiques des matériaux: module, coefficient de Poisson, limites admissibles. Cette liste qui ne se veut pas exhaustive ne coneerne que les matériaux de chaussée courramment rencontrés, SOL SUPPORT, Le sol est défini par des données géotechniques (nature, granulométtie, plasticité, tencur en eau, Equivalent de sable, CBR, etc.) et catalogué en France par le classement défini par le document « Recomman- dations pour tes Terrassements routiers » (SETRA- LCPC, janvier 1976). a) module Pour délinir son module diverses approches sont possibles — Si le matériau est peu sensible di Peau, homogéne, et bien connu dans une région (ex. graves propres) on peut adopter les modules déduits des essais de chargement aux. plaques, ‘Avec la connaissance du CBR en place du matériau, la littérature [11] donne des relations du type: Es(MPa) = K.CBR (CBRen%) — (21) avec K égale 4 10 pour un CBR inférieur & 10%, la valeur de X étant plus faible audeld; la valeur moyenne retenue par le LCPC est K = '5. = On connait les caractéristiques des couches supérieures de la chaussée et la déflexion de surface. A Paide du programme ALIZE ou des expressions du deuxiéme chapitre on détermine le module du sol par approches successives. ») coefficient de Poisson La bibliographie fournit des valeurs comprises entre 0.35 et 0,5 ©) limites. admissibles Divers auteurs proposent des relations entre la contrainte verticale admissible @. (ou Télongation verticale admissible ¢,) et le nombre de cycles N’ supportés par le sol, mais rares sont les expressions oti interviennent les caractéristiques mécaniques du sol. Parmi les relations les plus couramment utilisées, nous, pouvons retenir : Contraime admissible = Kerhoven et Dormon - CEs 14+ 07lgN 2 € = 0,008 (apres JeulTroy) © = 0.006 (aprés Acum et Fox) Centre de recherches routiéres de Belgique (CRR) =. 0,09607.CBRY? NH @ @, (en MPa); CBR (en %) Ces formules ont Pavantage de faire intervenir le comportement mécanique du sol par V'intermédiaire du module By ou de CBR. ongation admissible = Dormon et Metealf [12] 116.10°? W028 (2a) — CRR (13) B= 11.1072 y-903 5) = Université de Nottingham [14] #, = 216.1072 N-028 26) — SHELL (15) 10? oes en — retenue par le LCPC 0,021 N82 pour les chaussées neuves 8 faible tratie (28a) = 0,025.V-" pour les renforcements (286) Nora important :Ces expressions ont été obrenues & partir d’essais routiers. Pour des pistes daérodromes oti le nombre de eyctes N est plus faible, les formules seraient nettement différentes. a MATERIAUX GRANULAIRES, GRAVES NON TRAITEES ‘Comme les sols, les matériaux sont classés en fonetion de leur granulométrie et de leur proprete. a) module Ces matériaux ont des rigidités qui sont fonetion de Pétat de contrainte qu’ils subissent. La forme de relation la plus simple est: E Kos 29) E: module résilient Ky et Ky: constantes ': somme des contraintes principales. Dans la pratique, le module d'une couche granulaire est fonction des couches sus-jacente (i — I) et sous-jaconte a) généralement (29a) avec 1 < K, <6 — LaSHELL propose, pour un tricouche dont seule la premiére couche est traitée, la formule suivante [15] Ey = 0,20°E, G0) E, h az diamétre de la carotwe fh > hauteur de ta carotte Lorsqu’on mesure la variation du diamétre de la ‘arotte dans Je plan médian paralléle a la charge, on peut obtenir le module du matériau par la formule FO + 02734) B AD (44a) ¥ coefficient de Poisson AD; variation du diamétre de la carotte. b) coefficient de Poisson Pour ces types de matériaux les valeurs du coefficient de Poisson sont voisines de 0,20. ©) limites admissibles Les matériaux traités aux ants hydrauliques ont des Jois de comportement a la fatigue par flexion du type suivant, pour des valeurs de N comprises entre 10° et 107 (22) Igo =a—b.lgN (4s) b: pente de la droite de fatigue 2: contrainte de rupture par flexion a N cycles, = Lerc yy) La formule permettant de calculer la contrainte admissible d'un matériau traité aux liants hydrauli- ques se met sous Ia forme Br = (ky — bs)-kaso (46) oo: contrainte de rupture par flexion au premier chargement coefficient lié au nombre de cycles ky =1 = Bley (46a) oli pente apparente de la droite de fatigue, se déduit de b par la relation Ls weu(t8] ay bitumineux) Cas des matériaux dégradés non carottables — Dans le cas de matériaux se présentant comme une grave non traitée, on assimile leur comportement 4 celui de ce matériau, — Dans le cas dun matériau ayant fait prise mais non carottable, on se refére aux mesures de déflexion et de rayon de courbure qui permettent d'approximer son module si on connait les épaisseurs et la nature de toutes les autres couches, RECAPITULATIF DES CARACTI MECANIQUES, ISTIQU! Afin de visualiser les résultats présentés précédemment, ila semble intéressant de les rassembler Sous une forme simple et schematique (voir schéma page suivante). LZZLILLZIIZZIZIZA, & thy Py Dy Vs) eur, SSO § Cnn hauce 7° basse ft ENRORE -Saendes ll. ¢ Grave Hydraulique Grave nom traitee E Indice de plasticite Granutomieeie D, Hy vy» Sol, 6.5.) faible 7 Héquonce Fréquence élevée Gt. Cok. déerade asgraas | =m | 000 20 500 MPa CONCLUSION J Cet_ article ne constitue pas un manuel de dimensionnement des chaussées mais seulement un recueil de formules de calcul pour les chaussées, de fagon 4 pouvoir approcher rapidement et avec unc précision suffisante un certain nombre de paramétres + déflexion sous une roue simple, déplacement vertical au niveau du sol, contrainte verticale de compression sur Ie sol, contrainte ou déformations de traction par flexion dans les matériaux traités, etc. ——_—__________ rrtrtrences on UI Aurney P.. De Borssouny A., Mancino J-P., Pratique WALIZE iI ou comment introduire dans ie models théorique de dimensionnement des valeurs experimen {ales issues de observation du comportement m sf de mmatériaux et de leurs propriciés mécaniques mesurées en laboratoire, Proceeding, Sth international conference an the Structural design of asphalt pavements, Vol 1, Deltt, 1982, pp. 174-191 [2] Boussiveso V.J.. Application des potentiets& Véade de Vequilire, et dia mowoment des solides élastiques avec 66 | wo 10.000 15000 2.000 30 000 40 000 La validité de ces formules repose, d'une part, sur le respect de leur domaine d'utilisation, méme ‘sil est Parfois trop restrictif, et d'autre part sur les valeurs des parametres d'entrée, principalement les caractéris. tiques mécaniques des ‘matériaux. Souvent réduites au module de rigidité ct aw coefficient de Poisson, il est possible d'estimer, avec lune certaine précision, les earactéristiques des ‘matériaux de chaussées « classiques » en absence de résultats d'essais de laboratoire, La derniére étape du calcul simplifié consiste a comparer les valeurs de caleul des parameétres a leurs limites admissibles. BLIOGRAPHIQUES des motes. étendues sur divers ‘mathématique et d'analyse, Toss) points, de physique, Gauthier-Villars, Paris, 131 Abaques bicouches ALIZE III, publication LCPC, Paris, 1975, (4) Bsr J.B, Contribution @ Vétude rationnelle de ta conception ‘des chaussées, These de docteut-ingénieur, Grenoble, 1970. [5] Ovestane N., Undersokning av elasticetsegenskaperna hos olika jordarter’ samt teori for. berakniig. ao belagningar ‘enligt elasticitersteorien, Statens. 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