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Implémentation et configuration d’un réseau informatique :

cas de CAMTEL

La vie quotidienne des particuliers et des professionnels est envahie par les
images et la vidéo numérique, le courrier électronique, le téléphone portable.
Portés par une innovation qui nous surprend chaque jour, les techniques de
l’information sont maintenant un moteur de croissance présent dans tous les
secteurs économiques et dans les industries. C’est ainsi que, pour demeurer à
la pointe de la technologie, l’opérateur historique CAMTEL ne cesse d’innover
son réseau.
Initialement concentré sur le réseau filaire, l’opérateur dispose à présent d’un
réseau CDMA et d’un réseau NGN. Face à la forte concurrence qu’elle
confronte, l’entreprise doit fournir une bonne qualité de service afin de
demeurer compétitive dans le secteur des télécommunications. Dans un tel
environnement, une meilleure implémentation et configuration de son réseau
est de rigueur. C’est dans ce cadre que ce rapport de stage intitulé
« Implémentation et Configuration d’un Réseau Informatique : cas de
CAMTEL » est réalisé.
L’objectif est donc double :
- Etudier les dessous d’un réseau informatique en disant quelques mots à
propos de sa présentation générale.
- En profiter pour construire un réseau d’entreprise qui, n’est finalement
rien d’autre qu’un réseau local.

Rédigé et présenté par : YENE ABBE HENRI CEDRIC CAREL Page 1


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cas de CAMTEL

PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE


CAMTEL ET DEROULEMENT DU STAGE.

CHAPITRE I : PRESENTATION DE CAMTEL

CAMTEL (Cameroon Telecommunications) est l’opérateur historique du secteur


des télécommunications au Cameroun. C’est une société d’Etat créée par le
Décret N° 98/198 du 08/09/98 dans le cadre de la restructuration du secteur
des télécommunications qui faisait suite à la Loi N°98/014 du 14/07/98
portante libéralisation dudit secteur, avec comme actionnaires : l’Etat
Camerounais (51%) etlaSNI (49%).

I : HISTORIQUE ET ORGANIGRAMME

Il s’agira pour nous dans cette section de donner d’une part l’historique de
CAMTEL, tout en présentant ces principales missions et, les services offerts et
d’autre part, son organigramme.
A. HISTORIQUE

CAMTEL est née en 1998 de la fusion de l’ex-direction des télécommunications


(MINPOSTEL) et l’ex-Intelcam ; alors en charge des communications
téléphoniques internationales. La filiale de téléphonie mobile, CAMTEL-MOBIL,
fut vendue à l’opérateur de télécommunication MTN en Février 2000.
Ces changements sont intervenus lors de la libéralisation du secteur des
télécommunications au Cameroun. En 2005, la société a lancé le service de
téléphonie mobile (CT-PHONE) basée sur la technologie CDMA.
Pour ce qui est de la fourniture d’accès Internet, après l’arrimage du Cameroun
au réseau transcontinental du système SAT3/WASC/SAFE (South Atlantic câble
N°3/West African Submarine Câble/South Africa Far East) en 2003, CAMTEL a
largement densifié son offre internet aussi bien aux particuliers qu’aux
entreprises, parmi lesquelles de nombreuxfournisseurs d’accès. Ceci n’aurait
pas été réalisé si CAMTEL ne se fixait pas un cahier de charges à respecter.

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B. PRINCIPALES MISSIONS

CAMTEL a pour mission :


- L’étude, l’installation, l’exploitation et l’entretien de toutes les
infrastructures nécessaires à la fourniture des services de
télécommunications sur l’ensemble du territoire national, ainsi que, la
connexion des réseaux nationaux aux réseaux étrangers ;
- L’échange des comptes avec les autres opérateurs nationaux et
internationaux des télécommunications ;
- La réalisation des opérations commerciales.
Dans le but de l’accomplissement de ses multiples missions, CAMTEL offre de
multiples services.
C. LES SERVICES OFFERTS

L’Entreprise CAMTEL est l’opérateur public de téléphonie au Cameroun. Au


rang des services qu’il fournit, on peut principalement citer :
 La téléphonie fixe (avec ou sans fil)
 La téléphonie mobile de type CDMA (city phone)
 Internet (par Dial-up, ADSL, VSAT, Wireless…)
 Les réseaux d’entreprises (lignes spécialisées, VSAT, …)
Ces principaux services sont offerts sous deux formes :
 Offre aux particuliers
 Offre aux entreprises.
Pour le bon fonctionnement d’une structure, il faut bien une organisation
hiérarchique. C’est ainsi que nous présenterons son organigramme.

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D. ORGANIGRAMME

Pour mieux remplir ses missions, CAMTEL a adopté une organisation à plusieurs
niveaux :
- Un Conseil d’Administration ayant à agir au nom de la société et à la
représenter vis-à-vis des pouvoirs publics, des tiers et de toute
l’administration ;
- Une Direction Générale composée des services rattachés, de
l’Administration Centrale et des services extérieurs.
L’Administration Centrale comprend :
 La Direction Commerciale et du Markéting, qui assure la planification et
la mise en œuvre de la conception du prix, de la distribution des offres,
produits, promotions, services, etc.
 La Direction Technique qui assure la conception du réseau, le
déploiement des sites, la maintenance des équipements et l’optimisation
du réseau ;
 La Direction des Systèmes d’Informations pour la mise en œuvre des
applications informatiques pour les différentes directions utilisatrices ;
 La Direction des Finances et du Budget qui, garantit le bon emploi et
optimise l’utilisation des ressources (humaines, financières, physiques,
informationnelles,…)
 La Direction des Ressources Humaines, pour le recrutement,
l’intégration, la mobilité interne, la gestion administrative et paie ;
 La Direction des Approvisionnements et de la Logistique ;
 Les services extérieurs qui permettent de rapprocher l’Entreprise de sa
clientèle ;
 Les services rattachés.

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II : Présentation de la Direction des Systèmes d’Informations et Réseaux IP


(DSIR IP)

A. Présentation et missions de la direction

Placée sous l’autorité d’un directeur et assisté par deux adjoints, la


Direction desSystèmes d’information et des Réseaux IP définit et met en
œuvre la politique informatique ainsi que la politique d’exploitation, de
maintenance, la supervision des réseaux et des services IP en accord avec la
stratégie générale de l’entreprise. A ce titre elle est chargée de :
 L’élaboration de la politique informatique ;
 De la conduite du plan des systèmes d’information, des réseaux et
des services IP ;
 Conduite de la politique de sécurité des systèmes et des réseaux IP ;
 De l’allocation des ressources réseaux et des services IP ;
 Du contrôle des bases de données des plates-formes réseaux
intelligents et services à valeur ajoutée ;
 Du suivie des objectifs de qualités et de productivité en rapport avec
la direction commerciale et marketing ;
 De l’appui à la négociation, à la rédaction des offres commerciales.

La DSIR comprend 04 sous directions avec respectivement pour


missions :

i. La Sous-Direction de l’Ingénierie et des Applications ;


ii. La Sous-Direction des Infrastructures des Systèmes et de la
Sécurité ;
iii. La Sous-Direction des Réseaux IP ;
iv. Le Centre Multimédia ;

(1) : Sous-Direction de l’Ingénierie et des Applications


(2) : Sous-Direction des Infrastructures des Systèmes et de la Sécurité
(3) : Sous-Direction des Réseaux IP

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CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE

A. ACCUEIL ET INTEGRATION

L’accueil au sein de la CAMTEL a été très chaleureux, après nous être annoncés
à la DRH, notre orientation à ses différents services plus particulièrement à la
DSIR IP s’est également fait aisément.
Notre intégration au sein de la CAMTEL, et particulièrement à la DSIR IP s’est
fait assez rapidement. Malgré le statut de stagiaire dont nous jouissons, nous
paraissions comme une partie intégrante de cette structure.

B. ACTIVITES MENEES

Les différentes activités dont nous avons eu à effectuer dans cette structure
sont :
- Refaire le système d’un ordinateur
- Mise à jour des applications d’un ordinateur
- Adressage de plusieurs machines vers un seul serveur (plusieurs ordinateurs
vers une seule imprimant
- Reconnaissance des outils d’un réseau informatique
- Montage d’une baie pour Switch
- Reconnaissance des différents composants d’une UC
- Initialisation et Installation des PC de ladite société avant déploiement
- Installation des mises à jour dans les PC de la société.
- Maintenance préventive

C. APPRECIATION DU STAGE

Ce stage effectué à la CAMTEL nous a été très instructif de par son aspect
professionnel. Nous ne prétendrons pas avoir observé tous les aspects de cette
profession mais, nous pouvons dire que pour une prise de contact ce fut très
bénéfique.

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DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION


GENERALE D’UN RESEAU INFORMATIQUE.
I.RESEAU INFORMATIQUE

1. DEFINITION

Le terme générique « RESEAU » définit un ensemble d’entités (objets,


personnes, etc.) interconnectées les uns avec les autres. Un réseau permet
ainsi de faire circuler des éléments matériels ou immatériels entre chacune de
ces entités selon des règles biens définies.
Par contre, un réseau informatique : est un ensemble d’ordinateurs reliés entre
eux grâce à des lignes physiques et échangeant des informations sous forme de
données numériques
2. CONCEPTION D’UN RESEAU INFORMATIQUE

Avant de concevoirun réseau informatique et de s’approprier des équipements,


nous devons avoir une idée claire de la nature de nos besoins et du type de
réseau à implémenter.
La conception du réseau que nous choisissons de mettre en œuvre devrait
convenir aux problèmes de communications que nous essayons de résoudre.
D’où, pour résoudre un problème complexe, il est souvent utile de faire un
schéma de nos problèmes et ressources même si, notre réseau peut intégrer
multiples configurations à la fois, chaque liaison individuelle devra se
configurer en l’une des conceptions mentionnées ci-après. La mise en œuvre
de chacune de ces topologies s’explique mieux par un exemple.

a. CONCEPTION POINT à POINT

Les liaisons point à point fournissent généralement une connexion internet là


ou un tel accès n’est pas disponible autrement. Un des côté de la liaison point à
point a une connexion directe à internet, alors que l’autre côté emploie le lien
pour y accéder avec les antennes appropriées et une bonne ligne de vue, il est
possible d’installer des liaisons point à point fiables de plus de 30km.

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b. POINT à MULTIPOINT

Un autre type de réseau assez populaire est le point à multipoint. Dans toute
situation ou plusieurs nœuds sont connectés en un point d’accès principal, on
parle de réseau point à multipoint. L’exemple typique d’une application point à
multipoint est l’utilisation d’un point d’accès sans fil qui fournit une connexion
à plusieurs ordinateurs portatifs. Car, ceux-ci ne communiquent pas avec les
autres directement mais, doivent être dans le champ du point d’accès afin
d’accéder au réseau.
c. MULTIPOINT à MULTIPOINT

Le troisième type de conception de réseau est le multipoint à multipoint, qui,


est aussi connu sous le nom de réseau AD HOC ou maillé (Mesh en
anglais).Dans ce type de conception réseau, il n’y a aucune autorité centrale.
Chaque nœud sur le réseau porte le trafic de tout autre selon le besoin, et tous
les nœuds communiquent les uns avec les autres directement.
L’avantage de ce type de conception réseau est que même si aucun des nœuds
n’est dans le rayon d’un point d’accès central, ils peuvent toujours
communiquer entre eux.

3. DEFINITIONS DES TYPES DE TOPOLOGIES

La topologie d’un réseau décrit la façon dont ses stations sont reliées. Nous
avons : la topologie physique et la topologie logique. La topologie logique
représente la façon selon laquelle les données transitent dans les câbles. Les
topologies logiques les plus courantes sont : Ethernet, Token ring et FDDI.
A. LES TOPOLOGIES PHYSIQUES

Un réseau informatique est constitué d’ordinateurs reliés entre eux


grâce à du matériel (câblage, cartes réseaux, ainsi que d’autres
équipements permettant d’assurer la bonne circulation des données).
L’arrangement physique de ces éléments est appelé : TOPOLOGIE
PHYSIQUE. Il en existe quatre :
- Topologie en Bus
- Topologie en Etoile
- Topologie en Anneau
- Topologie en Mesh

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1 : TOPOLOGIE EN BUS

Dans la topologie en bus, tous les éléments sont reliés à un support physique
commun. Une structure en « arbre sans racine » est utilisée. Cette topologie
est conçue de façon à ce qu’il n’y est qu’un seul chemin entre deux éléments
du réseau. Il n’y a pas de boucles. Le support est de type bidirectionnel, il
permet l’émission d’informations sur le bus vers les stations « amont et aval».
La topologie logique permet de faire des communications de point à point et se
prête naturellement à la diffusion.
Remarque : une topologie en bus est l’organisation la plus simple d’un réseau.
En effet, dans une topologie en bus, tous les ordinateurs sont reliés à une
même ligne de transmission par l’intermédiaire de câbles, généralement
coaxial. Le mot « BUS » désigne la ligne physique qui relie les machines du
réseau. Cette topologie a pour avantage d’être facile à mettre en œuvre et
fonctionner facilement, par contre, elle est extrêmement vulnérable étant
donné que si l’une des connexions est défectueuse, c’est l’ensemble du réseau
qui est affecté.
2 : TOPOLOGIE EN ETOILE

Dans une topologie en étoile, les ordinateurs du réseau sont reliés à un


système matériel appelé HUB ou CONCENTRATEUR. Il s’agit d’une boîte
comprenant un certain nombre de fonctions auxquelles on peut connecter les
câbles en provenance des ordinateurs. Celui-ci a pour rôle d’assurer la
communication entre les différentes fonctions. Contrairement aux réseaux
construits sur une topologie en bus, les réseaux suivant une topologie en étoile
sont beaucoup moins vulnérables car, on peut aisément retirer une des
connexions en la débranchant du concentrateur sans pour autant paralyser le
reste du reste du réseau. En revanche, un réseau à topologie en étoile est plus
onéreux qu’un réseau en bus car, un matériel supplémentaire est nécessaire (le
hub).
3 : TOPOLOGIE EN ANNEAU

Dans la topologie en anneau, le support relie toutes les stations deux à deux,
de façon à former un anneau. Le support est utilisé de façon unidirectionnelle
et l’information circule dans un seul sens. Toute station, hors mis celle qui
génère trame, réémet le signal reçu provoquant ainsi la diffusion de la trame
dans l’anneau. On parle quelque fois de topologie active ou d’anneau actif pour
souligner le fait que la diffusion est prise en charge par chaque station au
contraire du bus qui, est intrinsèquement diffusif. Le problème de cette
topologie est son manque de fiabilité en cas de rupture du support. C’est pour

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cette raison que l’on double parfois le support. Les deux anneaux peuvent
transmettre dans le même sens ou en sens inverse. La seconde solution est
préférable car, elle permet de reconfigurer le réseau en cas de rupture des
deux anneaux.
Remarque : dans un réseau en topologie en anneau, les ordinateurs
communiquent chacun à leur tour. On a donc une boucle d’ordinateur sur
laquelle chacun d’entre eux va « avoir la parole » successivement.
Les deux principales topologies logiques utilisant cette topologie physique sont
Token ring (anneau à jeton) et FDDI.
4 : TOPOLOGIE EN MESH(MAILLEE)

Cette architecture est issue de la recherche militaire et a été utilisée par les
armées notamment Américaine et Française. C’est une technologie de rupture
comparée aux solutions centralisées classiques sans fil avec station de base. Les
solutions « mesh » autorisent un déploiement rapide et simplifié, une grande
évolutivité de la couverture et, de par leur maillage, une forte tolérance aux
pannes et aux interférences, réduisant significativement les coûts d’installation
et d’exploitation des réseaux. Notons que, cette topologie celle utilisée par
l’entreprise CAMTEL.
Dans la topologie mesh (maillée), chaque machine est reliée à toutes les autres
par un câble. Cette topologie correspond à plusieurs liaisons point à point.
L’inconvénient est le nombre de liaisons nécessaires qui devient très élevé
lorsque le nombre de terminaux l’est. Dans le cas d’une couverture WI-FI, on
parle de topologie « mesh ». La topologie mesh est une structure réseau
hybride reprenant un câblage en étoile regroupant différents nœuds de
réseaux.
Ce type d’architecture réseau n’est pratiquement utilisé que pour les réseaux
internet. Contrairement à un réseau en étoile, chaque concentrateur peut
utiliser plusieurs routes différentes pour relier deux ordinateurs entre eux. Ceci
nécessite des routeurs intelligents appelés SWITCH. Chaque routeur choisit la
ligne de communication la plus rapide possible en fonction de la distance ou du
trafic sur une branche du réseau. Cela, permet d’éviter des points sensibles,
qui, en cas de panne coupent la connexion d’une partie du réseau.
B. TOPOLOGIES LOOGIQUES

La topologie logique représente la façon dans laquelle les données transitent


dans les supports. Les topologies les plus courantes sont :

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1 : ETHERNET

Aussi connu sous le nom de NORME IEEE802.3, l’Ethernet est une technologie
de réseau local basé sur le principe suivant : toutes les machines du réseau
Ethernet sont connectées à une même ligne de communication constituée de
câbles cylindriques. On distingue différentes variantes de technologies Ethernet
suivant le diamètre des câbles utilisés :
TECHNOLOGIE TYPE DE CÂBLE VITESSE PORTEE
10base-2 Câble coaxial de 10Mb/s 185m
faible diamètre
10base-5 Câble coaxial de 10Mb/s 500m
gros diamètre
(0,4inch)
10base-T Double paire 100Mb/s 100m
torsadée
100base-TX Double paire 100Mb/s 100m
torsadée
1000base-SX Fibre optique 1000Mb/s 500m

Ethernet est une technologie de réseau très utilisée car le prix de revient d’un
tel réseau n’est pas très élevé. Tous les ordinateurs d’un réseau Ethernet étant
relié à une même ligne de transmission, la communication se fait à l’aide d’un
protocole appelé CSMA/CD. Ce qui signifie qu’il s’agit d’un protocole d’accès
multiple avec surveillance de porteuse (carrier sens) et détention de collisions.
Avec ce protocole, toute machine est autorisée à émettre sur la ligne à
n’importe quel moment et sans notion de priorité entre les machines.
2 : L’ANNEAU à JETON

L’anneau à jeton (Token ring en anglais) est une technologie d’accès au réseau
basé sur le principe de la communication au tour à tour, c’est-à-dire que
chaque ordinateur du réseau a la possibilité de parler à son tour. C’est un jeton
(paquet de données), circulant en boucle d’un ordinateur à un autre qui,
détermine quel ordinateur a le droit d’émettre des informations. Lorsqu’un
ordinateur est en possession du jeton, il peut émettre pendant un temps
déterminé après lequel, il remet le jeton à l’ordinateur suivant. En réalité, les
ordinateurs d’un réseau de type « anneau à jeton » ne sont pas disposés en
boucle, mais sont reliés à un répartiteur (appelé MAU) qui va donner
successivement « la parole » à chacun d’entre eux.

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3 : FDDI

La technologie LAN FDDI est une technologie d’accès au réseau sur des lignes
fibres optiques. Il s’agit en fait d’une paire d’anneaux (l’un est dit primaire,
l’autre permettant de rattacher les erreurs du premier est dit secondaire). Le
FDDI est un anneau à jeton à détention et correction d’erreurs (c’est là que
l’anneau secondaire prend son importance).
Le jeton circule entre les machines à une vitesse très élevée. Si celui-ci n’arrive
pas au bout d’un certain délai, la machine considère qu’il y a eu une erreur sur
le réseau.
La topologie FDDI ressemble de près à celle de Token ring à la différence près
qu’un ordinateur faisant partie d’un réseau FDDI peut aussi être relié à un
concentrateur MAU d’un second réseau. On parle alors de système biconnecté.

4 : LE MODE DE TRANSFERT ASYNCHRONE

L’ATM (Asynchronous Transfert Mode) il est une technologie de réseau


récente, qui, contrairement à Ethernet, Token ring et FDDI, permet de
transférer simultanément sur une même ligne des données et de la voix.
L’ATM a été mise au point au CNET contrairement au réseau synchrone
(comme les réseaux téléphoniques) ou les données sont émises de façon
synchrone c’est-à-dire que la bande passante est répartie (multiplexée) entre
les utilisateurs selon un découpage temporel, le réseau ATM transfère les
données de façon synchrone, ce qui signifie qu’il transmet dès qu’il le peut.
Alors que les réseaux synchrones n’émettent rien lorsqu’un utilisateur n’a rien
à émettre, le réseau ATM va utiliser les blancs pour transmettre d’autres
données, garantissant ainsi une meilleure bande passante.
De plus, les réseaux ATM émettent des paquets sous forme de cellules d’une
longueur de 53 octets et comprenant des identificateurs permettant de
connaître entre autre la qualité de service. L’ATM permet ainsi de transférer
des données à une vitesse allant de 25Mb/s à plus de 622Mb/s. Les
équipements nécessaires pour des réseaux ATM étant chers, ceux-ci sont
utilisés essentiellement par les opérateurs de télécommunications sur des
longues distances.

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C. LE ROUTAGE : PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT

1: PRINCIPE
Le routage est le mécanisme par lequel des chemins sont sélectionnés dans un
réseau pour acheminer les données d’un expéditeur jusqu’à un ou plusieurs
destinataires. Le routage est une tâche exécutée dans de nombreux réseaux,
tels que le réseau téléphonique, les réseaux de données électroniques comme
l’internet, et les réseaux de transports. Sa performance est importante dans les
réseaux décentralisés, c’est-à-dire où l’information n’est pas distribué par une
seule source, mais échangée entre des agents indépendants. Pour effectuer le
routage, on considère deux types de machines ou composants du réseau : les
routeurs, qui servent d’’intermédiaire dans la transmission d’un message, et les
hôtes qui émettent ou reçoivent les messages. Lorsque le routeur se trouve
entre deux réseaux dépendant d’autorités différentes, comme entre le réseau
local d’une entreprise et l’internet, on utilise alors une passerelle ; cet élément
peut être considéré comme plus évolué qu’un simple routeur en raison de la
conversion entre protocoles (généralement Ethernet sur réseau local et IP sur
réseau étendu) effectuée.
Le routage est un processus décentralisé, c’est-à-dire que chaque routeur
possède des informations sur son voisinage. Chaque routeur maintient une liste
des réseaux connus, chacun de ces réseaux étant associé à un ou plusieurs
routeurs voisins à qui le message peut être passé. Cette liste s’appelle : la
TABLE DE ROUTAGE, et contient trois types de routes :
- Les routes correspondantes à des réseaux directement connectés : pour ces
réseaux, le routeur peut acheminer le paquet directement à la destination
finale en faisant appel au protocole de niveau 2. (Ethernet par exemple).
- Les routes statiques, configurées en dur sur le routeur par l’administrateur
réseau ;
- Les routes dynamiques, apprises d’un protocole de routage dynamique dont
le rôle est de diffuser les informations concernant les réseaux disponibles.
Une table de routage peut être réduite à sa plus simple expression en ne
comportant que la liste des réseaux directement connectés ainsi qu’une
route par défaut, c’est-à-dire que tous les paquets qui ne correspondent pas
à un réseau connu dans la table de routage seront dirigés vers un routeur
déterminé (routeur par défaut). La route par défaut peut être statique ou
bien apprise dynamiquement. À l’inverse, qui ne dispose pas de route par
défaut doit connaître toutes les destinations possibles. C’est le cas des

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routeurs participant à la dorsale d’internet, on dit alors qu’ils disposent


d’une table de routage complète ou qu’ils appartiennent à la « default-free
zone » d’internet.
Pour permettre à ce que les routeurs aient une idée de la topologie du
réseau, et puissent ainsi employer des algorithmes de routage efficaces, il
faut que les routeurs diffusent leurs informations. Cette diffusion s’effectue
par le biais des protocoles de routage, spécifiant la façon dont les
informations sont échangées entre les routeurs.
2: FONCTIONNEMENT
Paquet sur port I

REC

Routage

MAJ
DYNAMIQUE
Gestion Données

FORWARDING Table de routage

MAJ
MANUELLE

EMI

Paquet sur port j

L’internet change et se développe constamment. De nouveaux réseaux sont


continuellement ajoutés et des liens entre les réseaux sont ajoutés, enlevés,
rompus et se rétablissent à nouveau. C’est le travail du routage, de déterminer

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le meilleur chemin pour arriver à destination et de créer une table de routage


présentant le meilleur chemin pour toutes les destinations.
Le routage statique est le terme utilisé quand la table de routage est créée par
configuration manuelle. Ceci est parfois opportun pour de petits réseaux
mais, peut facilement devenir très difficile et enclin aux erreurs pour de plus
grands réseaux. Pire encore, si le meilleur chemin à un réseau devient
inutilisable en raison d’un problème à l’équipement ou pour d’autres raisons, le
routage statique ne se servira pas du deuxième meilleur chemin.
Le routage dynamique est une méthode dans laquelle les éléments réseaux, en
particulier les routeurs, échangent de l’information sur leur état et l’état de
leurs voisins dans le réseau, et emploient ensuite cette information pour
sélectionner automatiquement le meilleur chemin et pour créer la table de
routage.
Si quelque chose change, comme un routeur qui ne fonctionne plus ou un
nouveau routeur qui serait mis en service, alors les protocoles dynamiques de
routage font des ajustements à la table de routage. Le système d’échange de
paquets et de prise de décision est connu comme protocole de routage. Il y a
beaucoup de protocoles de routage qui sont aujourd’hui employés au niveau
d’internet, entre autres l’OSPF, le BGP, le RIP, et l’EIGRP.
Les réseaux sans fil sont comme les réseaux câblés du fait qu’ils ont besoin de
protocoles dynamiques de routage mais, ont également assez de différences
pour requérir de protocoles de routage orientés à leurs besoins spécifiques.
En particulier, les connexions de réseaux câblés fonctionnent généralement
bien ou ne fonctionnent pas du tout.
Le « forwarding » quant à lui, estbeaucoup plus simple que l’adressage et le
routage.
Chaque fois qu’un routeur reçoit un paquet de données, il consulte sa table de
routage interne. En commençant par le bit le plus significatif, la table de
routage recherche l’entrée qui ait le plus grand nombre de bits correspondant
à l’adresse de destination. Ceci s’appelle le préfixe d’adresse. Si une entrée
avec un préfixe correspondant est trouvée dans la table de routage, alors le
champ nombre de sauts (hop count en anglais) ou temps de vie (time-to-live
en anglais, TTL) est décrémenté. Si le résultat est zéro, alors le paquet est
abandonné et une notification d’erreur est retournée à l’expéditeur.
Autrement, le paquet est envoyé au nœud ou à l’interface indiquée dans la
table de routage.

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II : DIFFERENTS EQUIPEMENTS D’UN RESEAU INFORMATIQUE

Un réseau local sert à interconnecter les ordinateurs d’une organisation ou


d’une entreprise, une entreprise comporte généralement plusieurs réseaux
locaux. Il est donc parfois indispensable de les relier entre eux. Dans ce cas, des
équipements spécifiques sont nécessaires.
Lorsqu’il s’agit de deux réseaux de même type, il suffit de faire passer les
trames d’un réseau à l’autre. Dans le cas contraire, c’est-à-dire lorsque les deux
réseaux utilisent des protocoles différents, il est indispensable de procéder à
une conversion de protocole avant de transférer les trames. Ainsi, les
équipements à mettre en œuvre sont différents selon la configuration face à
laquelle on se trouve.
Dans la mise en place d’un réseau informatique, plusieurs équipements
peuvent être employés. Mais, dans la suite de notre illustration, nous nous
limiterons à ceux utilisés par l’entreprise CAMTEL à savoir :
 Modem
 Concentrateur
 Switch
 Routeur
 Serveur proxy
 Ordinateur
 Firewall
 Passerelle.
a : Le Modem

Le modem (mot-valise, pour modulateur- démodulateur), est un périphérique


permettant de convertir des signaux analogiques en numériques et
inversement et, de les transférer par ligne téléphonique. Sa vitesse est mesurée
en bps ou en bauds, couramment maintenant, jusqu’à 56 Kbps pour les
modems standards, plusieurs Mbps pour les modems ADSL. Le modem permet
aussi de communiquer avec des utilisateurs distants par l’intermédiaire d’un
réseau analogique (comme une ligne téléphonique). Il permet également de se
connecter à internet.
Techniquement, l’appareil sert à convertir les données numériques de
l’ordinateur en signal modulé, dit « analogique », transmissible par un réseau
analogique et réciproquement.

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Le Modem est un dispositif électronique, en boîtier indépendant ou en carte à


insérer dans un ordinateur qui, permet de faire circuler les données
numériques sur un canal analogique. Il effectue la modulation ; codage des
données numériques, synthèse d’un signal analogique qui est en général une
fréquence porteuse modulée. L’opération de démodulation effectue
l’opération inverse et permet au récepteur d’obtenir l’information numérique.
b : Le Concentrateur

C’est un équipement qui permet d’interconnecter à la fois plusieurs


ordinateurs. Cet équipement est en réalité un répéteur multiport c’est-à-dire
qu’il régénère, renforce le signale reçu sur un des ports sur tous les autres ports
de sorte que la donnée transmise par un ordinateur puisse être reçue par tous
les autres ordinateurs. Ce qui, lui value le nom de Hub. Le hub est donc
semblable à une rallonge électrique. Il peut être utilisé comme un nœud
décentralisé dans la mise en œuvre d’Ethernet. Le hub présente un gros
inconvénient : il définit un vaste domaine de collision c’est-à-dire que les
ordinateurs qu’il relie se disputent l’accès pour la transmission du signal. Il
contribue aussi à réduire la vitesse de communication sur les liaisons
partagées. Il existe des Hubs 4, 8, 16, 32, 38 ou 64 ports. Le concentrateur est
donc un élément matériel permettant de concentrer le trafic réseau provenant
de plusieurs hôtes, et de régénérer le signal. Son unique but est de récupérer
les données binaires parvenant sur un port et de les diffuser sur l’ensemble des
ports. Tout comme le répéteur, le concentrateur opère au niveau 1 du modèle
OSI.
c : Le Commutateur
Le Commutateur (en anglais Switch) est en réalité un pont qui possède plus de
deux ports. Il permet donc de relier plus de deux segments réseaux. Il a pour
principale mission de segmenter un vaste réseau en plusieurs domaines de
collisions distincts. Il peut aussi être utilisé comme nœud central dans la mise
en œuvre de la technologie Ethernet. C’est donc ainsi un pont multiport actif
agissant au niveau 2 du modèle OSI. Il analyse les trames arrivant sur ses ports
d’entrée et filtre les données afin de les aiguiller uniquement sur les ports
adéquats. (On parle de commutation ou de réseaux commutés).
d : Le Routeur
C’est un équipement réseau chargé d’interconnecter plusieurs sous-réseaux
distincts. Il assure principalement la fonction de routage ou détermination de la
bonne route des paquets. C’est lui qui calcule et utilise les routes les plus
courtes pour acheminer un paquet d’un emplacement source du réseau pour

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un emplacement destination de ce dernier. Le routeur peut aussi jouer le rôle


de filtre des paquets ne laissant passer que des paquets satisfaisant des
exigences définies. Un routeur (encore appelé Gateway) est également un
équipement d’interconnexion muni de deux ports au minimum et ayant une
adresse physique et logique pour chacun d’eux. Ceux-ci peuvent être connectés
sur un modem : on parle alors de remote router (routeur distant) ; dans ce cas,
un autre routeur muni d’un modem doit se trouver à l’autre extrémité de la
liaison téléphonique.
e : Le Serveur proxy
Le serveur proxy (encore appelé serveur mandataire) est un serveur recevant
des requêtes qui ne lui sont pas destinées et qui, les transmet aux autres
serveurs. Quand il reçoit une requête, le serveur proxy stocke le résultat. Si la
même requête lui est à nouveau envoyée, il vérifie que le résultat n’a pas été
modifié et renvoie le résultat qu’il a « déjà sous la main » à celui qui a fait la
requête (fonctionnant ainsi comme un cache), c’est la mise en cache des URL et
des objets résultant du surf.
Le but est d’améliorer (point de vue vitesse) le surf.
La plupart des proxys permettent également de faire du filtrage de contenu
(blacklist), c’est-à-dire d’autoriser ou d’interdirel’accès à certains sites qui,
peuvent contenir des informations non désirées pour certains publics.
Remarque : il existe plusieurs serveurs proxy fonctionnant sur différente plate-
forme (Microsoft, Linux, Mac OS). Certains sont gratuits et d’autres payants.
f : Le Firewall
Le firewall (pare-feu) est un équipement réseau qui a pour mission de filtrer les
paquets devrant entrer ou sortir d’un sous-réseau. Il appartient à la classe des
équipements de sécurité réseau.
g : Passerelle ou Gateway
La passerelle est un équipement réseau qui sert d’intermédiaire entre plusieurs
réseaux distincts. Il permet aux ordinateurs d’un sous-réseau d’avoir accès aux
ordinateurs d’un autre sous-réseau. Sans la passerelle, il est difficile que les
sous-réseaux reliés puissent communiquer.
Traditionnellement, la passerelle peut être un ordinateur doté de plusieurs
cartes réseaux.

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Pour faciliter les communications entre les sous-réseaux reliés, la passerelle


comme le routeur possède une table de routage dans laquelle sont conservées
toutes les informations sur les routes existantes dans le réseau. La commande
route-print sur Windows permet de visualiser la table de routage d’un
ordinateur. Dans chaque sous-réseau, chaque ordinateur doit posséder une
passerelle par défaut. La passerelle par défaut d’un PC désigne un ordinateur,
un serveur ou même un routeur à travers lequel le PC a accès à d’autres sous-
réseaux autrement dit, c’est à travers sa passerelle par défaut que le PC peut
communiquer avec les autres sous-réseaux.
h :L’Ordinateur
L’ordinateur est un ensemble de composants électroniques modulaires c’est-à-
dire des composants pouvant être remplacés par d’autres composants ayant
éventuellement des caractéristiques différentes capables de faire fonctionner
les programmes informatiques. On parle ainsi de hardware pour désigner
l’ensemble des éléments matériels de l’ordinateur.

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III : IMPLEMENTATION D’UN RESEAU INFORMATIQUE

PC ADRESSES IP GATEWAY Fa0 /0 Se0/0/0 MASQUES

Laptop0 192.168.1.2 192.168.1.1 / / 255.255.255.0


Laptop1 192.168.1.3 192.168.1.1 / / 255.255.255.0
Laptop2 192.168.1.4 192.168.1.1 / / 255.255.255.0
Laptop3 192.168.1.5 192.168.1.1 / / 255.255.255.0
Server-PT CAREL0 192.168.1.6 192.168.1.1 / / 255.255.255.0
Routeur0 / / 192.168.1.1/24 192.168.3.1/24 255.255.255.0
PC0 192.168.22.2 192.168.22.1 / / 255.255.255.0
PC1 192.168.22.3 192.168.22.1 / / 255.255.255.0
PC2 192.168.22.4 192.168.22.1 / / 255.255.255.0
PC3 192.168.22.5 192.168.22.1 / / 255.255.255.0
Server-PT CAREL1 192.168.22.6 192.168.22.1 / / 255.255.255.0
Routeur1 / / 192.168.22.1/24 192.168.3.2/24 255.255.255.0

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Arrivé au terme de mon stage académique qui, consistait à m’imprégner du


monde professionnel et de l’entreprise dont la durée fut de deux mois. Nous
pouvons ainsi dire : CAMTEL autrefois appelée INTELCAM, est cet opérateur
historique qui, dans le soucis de satisfaire la demande s’est lancé dans un
vaste chantier d’innovations dans le but de rendre fiable la connectivité sur
toute l’étendue du territoire National. Ceci étant, vue la croissance accrue de
la concurrence, et la libéralisation du secteur des télécommunications ; déjà
leader sur le marché de la téléphonie filaire, avec son CDMA et , ayant un
monopole sur la fibre optique, elle s’attèle toutefois aussi à la topologie réseau
appelée NGN. A travers celle-ci, CAMTEL peut à travers les services rendus
continuer à s’illustrer sur le marché de la téléphonie et de la connexion à
internet via la fibre optique donc elle détient le monopole.

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WEBOGRAPHIE

http://www.google.cm
http://www.camtel.cm
http://www.wikipedia.cm

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Liste des annexes

Annexe 1 : Organigramme CAMTEL

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Annexe 2 : Organigramme DSIR

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Annexe 3 : Situation Géographique de CAMTEL

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Annexe 4 : Abréviations de CAMTEL

CAMTEL : CameroonTelecommunications
DSIR : Direction des Systèmes d’Informations et des Réseaux IP
DSIRA : DSIR Adjoint
SDIA : Sous-Direction de l’Ingénierie et des Applications
SDRIP : Sous-Direction des Réseaux IP
SDISI : Sous-Direction des Infrastructure et Systèmes d’Informations
SAD : Service de l’Analyse et du Développement
SAI : Service Administration et Intranet
SSU : Service Support Utilisateur
SISI : Service des Infrastructures et des Systèmes d’Informations
SSI : Service de la Sécurité Informatique
SSA : Service Support et Applications
SIS : Service de l’Ingénierie et des Solutions
SRIP : Service des Réseaux IP

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Annexe 5 : Architectures réseau CAMTEL

A : Image Camtelnet

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B : Image réseau CAMTEL

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TABLE DES MATIERES


INTRODUCTION GENERALE................................................................................................1

PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA CAMTEL ET DEROULEMENT DU STAGE …………….2

CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA CAMTEL………………………………………………………………………2

I : HISTORIQUE ET ORGANIGRAMME………………………………………………………………………………2

A : HISTORIQUE……………………………………………………………………………………………………………….2

B : PRINCIPALES MISSIONS………………………………………………………………………………………………3

C : LES SERVICES OFFERTS………………………………………………………………………………………………..3

D : ORGANIGRAMME……………………………………………………………………………………………………….4

II : PRESENTATION DE LA DSIR IP……………………………………………………………………………………..5

A : PRESENTATION ET MISSION DE LA DIRECTION……………………………………………………………5

CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE………………………………………………………………………….6

A : ACCUEIL ET INTEGRATIONS…………………………………………………………………………………….6

B : ACTIVITES MENEES…………………………………………………………………………………………………6

C : APPRECIATION DU STAGE……………………………………………………………………………………….6

DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION GENERALE D’UN RESEAU INFORMATIQUE………..7

I : RESEAU INFORMATIQUE……………………………………………………………………………………….7

1 : DEFINITION…………………………………………………………………………………………………………..7

2 : CONCEPTION D’UN RESEAU INFORMATIQUE………………………………………………………..7

a : Point à Point…………………………………………………………………………………………………………7

b : Point à Multipoint………………………………………………………………………………………………..8

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c : Multipoint à Multipoint………………………………………………………………………………………3 :
DEINITION DES TYPES DE TOPOLOOGIES……………………………………………………………….8

A : TOPOLOGIES PHYSIQUES………………………………………………………………………………………8

1 : En Bus…………………………………………………………………………………………………………………..9

2 : En Etoile…………………………………………………………………………………………………………………9

3 : En Anneau……………………………………………………………………………………………………………..9

4 : En Mesh…………………………………………………………………………………………………………………10

B : TOPOLOGIES LOGIQUES…………………………………………………………………………………………10

1 : Ethernet………………………………………………………………………………………………………………….11

2 : Anneau à jeton……………………………………………………………………………………………………….11

3 : FDDI……………………………………………………………………………………………………………………….12

4 : Mode Transfert Asynchrone…………………………………………………………………………………..12

C : LE ROUTAGE : Principe et Fonctionnement…………………………………………………………….13

1 : Principe………………………………………………………………………………………………………………….13

2 : Fonctionnement…………………………………………………………………………………………………….14

II : DIFFERENTS EQUIPEMENTS D’UN RESEAU INFORMATIQUE……………………………………16

a : Le Modem……………………………………………………………………………………………………………..16

b : Le Concentrateur…………………………………………………………………………………………………..17

c : Le Commutateur…………………………………………………………………………………………………….17

d : Le Routeur……………………………………………………………………………………………………………..17

e : Le Serveur proxy…………………………………………………………………………………………………….18

f : Le Firewall……………………………………………………………………………………………………………….18

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g : La Passerelle ou Gateway………………………………………………………………………………………..18

h : L’Ordinateur……………………………………………………………………………………………………………19

III : IMPLEMENTATION D’UN RESEAU INFORMATIQUE…………………………………………………20

CONCLUSION GENERALE……………………………………………………………………………………………..21

WEBOGRAPHIE……………………………………………………………………………………………………………22

LISTE DES ANNEXES……………………………………………………………………………………………………..23

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