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Dans son livre "Jacob Frank, le faux messie", Charles Novak écrit : Jacob Frank prêche, pour les

jeunes
filles, le sexe dès le plus jeune âge, les orgies sexuelles pour les jeunes garçons et l’échange de
femmes pendant Shabbat. Au point que certains enfants frankistes ne connaissent pas leur vrai père
biologique (ndlr : on pense à Carla Bruni). Jacob et ses adeptes seront surpris en plein Shabbat
orgiaque, en janvier 1756, dans la ville de Landskron et seront, à la demande des rabbins, expulsés de
la ville pour orgie. Une femme se tenait au milieu, nue, pendant que les adeptes masculins chantaient
la prière juive schabbatique : Lekhu doidi likrass kalo (Prière que l’on chante chaque vendredi soir,
pour fêter la venue du Shabbat. Instituée par le rabbin Alkabets au XVIe siècle). Puis, ils se
précipitaient sur elle, transformant le rituel en orgie collective. Les rites sexuels frankistes, par la
suite, consistaient en chansons, danses extatiques, mêlant hommes et femmes. Frank s’agenouillait et
fixait deux chandelles allumées à un banc de bois, enfonçait entre celles-ci un clou et brandissait la
croix dans toutes les directions, s’exclamant : Forsa damus para vert, seibuml grandi asserverti (judéo-
espagnol), Donne-nous la force de te voir, le grand bonheur de te servir. Les lumières étaient ensuite
éteintes, les hommes et les femmes se dévêtaient et l’orgie collective commençait, la nudité devant
rappeler Adam et Eve avant la chute. Frank, quant à lui, ne participait pas. Il restait au milieu, dans
une contemplation mystique (...) Les frankistes étaient connus pour leurs orgies sexuelles collectives
parfois violentes. Par ces comportements nihilistes, où le 9 av devenait une fête de joie, on
s’échangeait les femmes, là où l’on voulait détruire tout dogme : "Pour que le vrai Bon Dieu
apparaisse", selon ses propres termes."

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