Radiocoms Avancees Partie II PDF

Radiocommunications
les réseaux sans fil
Jean-Marie Gorce
année 2006-07
13-nov.-06 1
Plan du module
Partie I : La norme WiFi Partie III : La réception

Overview radio
La couche MAC Techniques de réception
La couche PHY en environnement réel
Le récepteur 802.11b
Partie II : Le canal Le récepteur 802.11a
radio
Shadowing
Fading plat
Fading sélectif
Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

13-nov.-06 Lyon 2
Hypothèses classiques
The mistaken axioms of wireless-network research (Kotz et al.
2003)
1) The world is flat (2D)
2) A radio transmission area is circular (isotropy)
3) Signal strength is a simple function of distance
(isotropy)
4) All radios have equal range (homogeneity)
5) If I can hear you, you can hear me (symmetry)
6) If I can hear you at all, I can hear you perfectly
(switched link)
7) Le canal est stationnaire et invariant dans le temps
(stationarity)
8) Extension des hypothèses précédentes aux
interférences (switched interferences)
13-nov.-06 Lyon 3
1) 2D I
2) Isotropy I
3) Isotropy I
4) Homogeneity I
5) Symmetry II, III
6) Switched link II
7) Stationarity II
8) Interferences III
I- Propagation
II- Canal radio
III- Interférences

13-nov.-06 Lyon 4
I- Propagation
Propagation, modèles
Bilan de liaison PR = PT + GT + GR − PL( f ,...)
Affaiblissement en espace libre
d
PL(d , f ) = 22 + 20 ⋅ log10 ( )
λ
Affaiblissements complémentaires
diffraction, absorption (murs, obstacles, …)

13-nov.-06 Lyon 5
I-1. Modèle circulaire
d 
PdBm (d ) = PdBm ( d 0 ) − 10 ⋅ n ⋅ log 
 d0 
Loi d’affaiblissement n
 d0 
2<n<4 PmW (d ) = PmW (d 0 ) ⋅  
d 

13-nov.-06 Lyon 6
WiFi :
- 802.11b : 4 seuils
- 802.11g : 8 seuils
-82dBm
-87dBm -91dBm -94dBm
11 Mb/s 5,5 Mb/s 2Mb/s 1Mb/s

13-nov.-06 Lyon 7
13-nov.-06 Lyon 8
I-2 le shadowing
Pr (dBm)

13-nov.-06 Lyon 9
I-2 le shadowing
Pr (dBm)

13-nov.-06 Lyon 10
I-2 le shadowing
Pr (dBm)

13-nov.-06 Lyon 11
I-2 le shadowing
Pr (dBm)

13-nov.-06 Lyon 12
I-2 le shadowing
Pr (dBm)

13-nov.-06 Lyon 13
I-2 le shadowing
Pr (dBm)

13-nov.-06 Lyon 14
I-2 le shadowing
Pr (dBm)

13-nov.-06 Lyon 15
I-2 le shadowing
Le path loss est une combinaison de plusieurs termes

d ’affaiblissement :
PL( x) = PL1 + PL 2 + PL3 + L

chacun de ces termes peut être considéré comme une
variable aléatoire (probabilité de présence d ’un
obstacle)
application du théorème central limite
la loi d ’affaiblissement est log-normal

13-nov.-06 Lyon 16
I-2 le shadowing
Niveau de signal (dB)
Loi de distribution
σ=10
-50 -40 -30 -20 -10 0 10 20 30 40 50

13-nov.-06 Lyon 17
I-2 le shadowing
Le path loss peut être vu comme la somme d ’un terme

déterministe (obtenu par le modèle espace libre par
exemple), et d ’un terme aléatoire suivant une loi
normale.
PL( x) = PL50 ( x) + PLS
Caractérisé par σ

13-nov.-06 Lyon 18
I-2 le shadowing
-50
-60
-PL(dB) -70
-80
-90
Marge de shadowing
-100 seuil
-110
-120
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100
Limite de couverture distance (m)

13-nov.-06 Lyon 19
I-2 le shadowing
Propagation “réaliste”

13-nov.-06 Lyon 20
I-2 le shadowing
Propagation “réaliste”
Marge de shadowing importante

13-nov.-06 Lyon 21
I-3. Méthodes de prédiction usuelles
empiriques (COST 231)

Rapides mais peu précis Modèles issus
(EQM ~10dB) de campagnes de
géométriques (Lancer de mesures
rayon)
Compromis précision /
temps de calcul
Prédictions en 3D natives
discrètes (modèles Récepteur
AP
FDTD, ParFlow…)
Lentes mais très précises
13-nov.-06 Lyon 22
I- Propagation
Conclusion n°1 :
La présence d’obstacles, en Indoor, modifie fortement la
couverture radio. La portée dépend du placement de
l’émetteur, et des matériaux constituant l’environnement.
Le modèle circulaire n’est pas réaliste en environnement

Indoor… c’est toutefois le seul modèle générique.

13-nov.-06 Lyon 23
II Lien radio
P(d) dBm
-20
II-1) SNR -30

-40
Canal AWGN
-50
mod BPSK
Bruit blanc
-60
BER FER -70
-80
10 0 0 100 200 300 400 500
10 -1
10 -2
10 -3
BER
10 -4 A SNR
-5
B
10
10 -6
BER
10 -7
10 -8 -10 -5 0 5
10 15 20
13-nov.-06 Lyon 24
SNR (dB)
II-1. impact du SNR
P(d) dBm
-20
Canal AWGN -30

mod BPSK -40
Bruit blanc -50
Nb bits (200) -60
PER ~ Nb.BER -70
-80
0 100 200 300 400 500
1
A SNR 0.9
B
0.8
PER 0.7
PER
0.6
0.5
0.4
0.3
0.2
0.1
13-nov.-06 Lyon 25
00 100 200 d 300 400 500
II.1 impact du SNR
Notion de zone de couverture?

Seuillage??? A SNR
B
PER
On trouve : Surf2 > Surf1
Zone
critique
1 1
2 0.9
3 0.8
0.7
PER
0.6
0.5
0.4
0.3
0.2
0.1
13-nov.-06 00
Lyon 100 200 300 400 500
26
d
II-2 chemins multiples
Evanouissements ‘plats’ ou ‘rapides’
m(t)
m’(t)
= [h1 (Gorce
m' ( t ) Jean-Marie t ) +- CITI t) +
h 2-(Dept TC L + h N ( t )] ⊗ m( t )
- INSA-
13-nov.-06 Lyon 27
Fading plat
Cas où les différences de chemins sont faibles (par rapport à
la durée des impulsions
Attention, porteuses déphasées les unes par rapport aux autres Ts

13-nov.-06 Lyon 28
Après intégration et échantillonnage : réponse impulsionnelle
â k ( t ) ≈ ∑ h n e jφ n ⋅ Ts ⋅ a k
n
2ième écho négligeable
13-nov.-06 Lyon 29
Propriétés de ce modèle
même un faible déplacement (du mobile ou d ’un élément
extérieur, peut entraîner une réponse assez différente).
La cohérence spatiale et la cohérence temporelle sont faibles.

Si la pseudo-stationnarité (stationnaire pendant la durée d ’un
symbole, ou d ’une trame) n ’est pas vérifiée, on ne peut pas
faire grand chose ...
La réponse du canal est simplement un coefficient complexe
mais variable au cours du temps:
h(k ) ≈ h eq (t ) ⋅ δ (k )
13-nov.-06 Lyon 30
1er cas : pas de chemin LOS : plusieurs chemins issus de

réflexions multiples
on a la somme de composantes à phase et module aléatoires
réponse diffuse :
distribution aléatoire normale
-1 +1
Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA- BPSK

13-nov.-06 Lyon 31
pathloss fading bruit

A α(t) η(t)
sRF(t) yRF(t)
xRF(t)
y RF (t ) = Aα (t ) ⋅ s RF (t ) + η (t )
α (t ) = α (t ) ⋅ e jϕ (t )
Normalisé, i.e. gain moyen unitaire :
Gα = E α ( ) = E (x )+ E (y ) = 2σ
2 2 2 2
=1
13-nov.-06 Lyon 32
γ (t ) =
(
E xRF (t )
2
) = α (t ) Eb
( )
SNR instantané: 2
E η (t )
2
N0
SNR moyen : Γ = E (γ (t )) = E α (t ) ( 2
) Eb Eb
=
N0 N0
Variations de SNR : quelle est la loide γ(t)???

13-nov.-06 Lyon 33
le SNR varie au cours du temps.

Il faut tenir compte de ces fluctuations pour estimer le
taux d’erreur bit.
distribution de Rayleigh normalisée p(x)

α −
α2
 exp 2σ 2 α ≥0 0.7
p (α ) =  2
σ 0.6
 α <0
 0
0.5
p(α)=p(x)/σ 0.4
0.3
0.2
γ
dα 1 − 0.1
p (γ ) = p (α ) ⋅ = exp Γ
dγ Γ 0
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5
Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA- ξ=α/σ
13-nov.-06 Lyon 34
Les conséquences sont importantes
BER in AWGN and Rayleigh channels

0
10
-1
∞ 10
perr = ∫ p(γ ) ⋅ pe (γ )dγ
0 -2
10
1 Γ  BER
= 1 − 
2 1− Γ  10
-3
AWGN Rayleigh
-4
10
-5
10
-5 0 5 10 15
Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA- Eb/No
13-nov.-06 Lyon 35
II-2. chemins multiples
Canal AWGN Canal Rayleigh
1
0.9
0.8 Rayleigh
0.7 Rayleigh
+13dB
0.6
PER
0.5
0.4
0.3
0.2 AWGN
0.1
0 0 100 200 300 400 500
d

13-nov.-06 Lyon 36
2ième cas : un chemin LOS stable + des variations (chemins

latéraux) faiblement décalés de faible amplitude.
on a une composante principal + des composantes de phase
aléatoire
-1 +1 +1
-1
BPSK
BPSK
réponse diffuse :
réponse principale
distribution aléatoire normale
13-nov.-06 Lyon 37
Loi de l’enveloppe : distribution de Rice
α α 2 + A2
 exp 2σ 2 ⋅ I 0  A ⋅ α ; A ≥ 0 α ≥ 0
−
p (α ) = σ 2
 σ 
2
 α <0
 0
1 paramètre clé :
-1 +1 k=A2/2σ2
Rapport de puissances
entre composantes LOS et diffuse
BPSK Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-
13-nov.-06 Lyon 38
distributions de Rice à puissance constante (A2/2+σ2=1)

1.4
k=5
1.2 k=2
k=1
k=0
1
0.8
f(x)
0.6
0.4
0.2
0
0 0.5 1 1.5 2 2.5
amplitude instantanée x
13-nov.-06 Lyon 39
Statistiques de second ordre

une des conséquences des chemins multiples est la
non stationnarité du canal lorsqu’un mobile se déplace
entrainant :
décalage spectral par effet Doppler
non stationnarité du canal

13-nov.-06 Lyon 40
Effet Doppler
v Front d’onde
f d = f c ⋅ cos α = f m cos α
c
Sens de déplacement
Fréquence de décalage par effet Doppler

13-nov.-06 Lyon 41
Canal de Rayleigh => spectre Doppler classique
p(α)
-π π -1 -0.5 0 0.5 1
∆f/fm
S (∆f ) =
1.5
Distribution angulaire ; ∀ ∆f < f m
2
uniforme  ∆f 
π ⋅ f m 1 −  
 fm 
13-nov.-06 Lyon 42
Conséquences temporelles :
durée moyenne d’évanouissement
Niveau moyen (Γ)
α : seuil relatif
α2
e −1
τ =
durée de fading α ⋅ f m 2π
13-nov.-06 Lyon 43
interprétation dans le domaine spectral

cas simple : 2 chemins d ’amplitude égale
y (t ) = h1s RF (t − t1 ) + h 2 sRF (t − t 2 )
H (t ) ~ h1 ⋅ δ (t ) + h 2 ⋅ δ (t − ∆t )
− j 2πf∆t
H ( f ) ~ h1 + h 2 ⋅ e
Seule contrainte : ∆t<Ts

13-nov.-06 Lyon 44
fonction de transfert d'1 chemin double (h1=1; h2=0.8)
6
4
Bc~1/∆t
2
0
-2
(dB)
-4
-6
-8
-10
-12
-14
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5
frequence réduite : f.∆t
13-nov.-06 Lyon 45
fonction de transfert d'1 chemin à 20 composantes aléatoires (dt<1)
20
Bc~1/∆t>W
15
10
5
(dB)
0
Bande
-5 utile
-10
(Notion de
bande étroite)
-15
-8 -6 -4 -2 0 2 4 6 8 W<<1/∆t
frequence
Jean-Marie Gorce - CITIréduite
- Dept TC -:INSA-
f.max(∆t)
13-nov.-06 Lyon 46
Résumé sur les évanouissements ‘plats’

liés à des chemins de faible différence de temps de
propagation relativement à la durée des impulsions
conséquences:
la réponse impulsionnelle varie rapidement
la réponse exacte n ’est pas prédictible complètement :
il faut utiliser un modèle statistique.
dans la plupart des applications, la pseudo-
stationnarité doit être vérifiée durant l ’émission d ’une
trame
la réponse fréquentielle est relativement stable dans la
bande de fréquence occupée par le signal (bande de
Cohérence Bc>bande spectrale Bs). Au contraire, Tc<Ts)
Compensation : diversité, ou étalement spectral

13-nov.-06 Lyon 47
Evanouissements sélectifs (selective fading)
m(t)
m’(t)
= [h1 (Gorce
m' ( t ) Jean-Marie t ) +- CITI t) +
h 2-(Dept TC L + h N ( t )] ⊗ m( t )
- INSA-
13-nov.-06 Lyon 48
Cas où les différences de chemins sont grandes (par rapport
à la durée des impulsions
Ts
13-nov.-06 Lyon 49
Après intégration et échantillonnage : réponse impulsionnelle
â k ( t ) ≈ ∑ h n e jφ n ⋅ Ts ⋅ a k − n
n Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-
13-nov.-06 Lyon 50

13-nov.-06 Lyon 51
Propriétés de ce modèle
Les différences de chemins, importantes, entraînent la
présence d ’échos multiples.
La réponse discrète du canal est une succession d’impulsions
h ( k ) ≈ Ts ⋅ ∑ h n ⋅ δ(k − nTs )
n
La cohérence spatiale et l ’étalement temporel sont

relativement importants par rapport à la durée des impulsions.
Pour le GSM (et autres comm. radiomobiles, on considère cette
réponse comme stationnaire durant l’émission d’une trame).

13-nov.-06 Lyon 52
Caractéristiques fréquentielles
Le fading sélectif (au sens fréquentiel) se comporte

comme un filtre :
H ( f ) = F (H (t ) )
il est dit sélectif, car il n ’affecte pas toutes les

fréquences de la même façon dans la bande utile
pour lutter contre l ’évanouissement sélectif, on pourra

faire du filtrage afaptatif

13-nov.-06 Lyon 53
fonction de transfert d'1 chemin double (h1=1; h2=0.8)
6
4
Bc~1/∆t
2
0
-2
(dB)
-4
-6 Bande
-8 utile
-10
(Notion de
-12
bande large)
-14
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 W>>1/∆t
frequence réduite : f.∆t
13-nov.-06 Lyon 54
canal sélectif : étalement ∆t ~ 5.Ts

20
15
10
0
(dB)
-5
Bande
-10
utile
-15
(Notion de
-20
bande large)
-25 W>>Bc
-8 -6 -4 -2 0 2 4 6 8
frequence réduite : f.Ts
13-nov.-06 Lyon 55
Caractéristiques générales du canal radio
Le Canal radio-mobile intègre simultanément les 2 types

d ’évanouissement.
Il est donc à la fois dispersif (fading plat) et étalé (fading
sélectif).
Sa réponse s’écrit de la façon suivante :
h ( k , τ) ≈ ∑ h n (τ ) ⋅ δ(k − nTs )
n
l ’utilisation de la variable τ permet de refléter la
pseudo-stationnarité du canal.

13-nov.-06 Lyon 56
Non stationnarité : représentation du canal radio
h(n,τ)
τ
t
t
t
t
t
13-nov.-06 Lyon 57
Les canaux réels incluent les 2 effets

Les canaux de l’ETSI
« Channel Models for HIPERLAN/2 in Different Indoor
Scenarios », ETSI EP BRAN 3ER1085B 30 March 1998
Documentation Agilent pour ADS :
Wlan_channel model

13-nov.-06 Lyon 58
Synthèse d’un canal radio réaliste multi-chemins

13-nov.-06 Lyon 59
Exemple : le canal A de l’ETSI
Une réalisation du canal A

13-nov.-06 Lyon 60
II-3. Stationnarité
II-3) stationnarité
durée de fading
durée du fading relativement à :
- durée des trames ???

- durée inter-trames ???

13-nov.-06 Lyon 61
II Lien radio
Conclusion n°2 :
La qualité de réception dépend du rapport SNR.
La notion de zone de couverture n’est qu’une
approximation d’ordre 0, de la probabilité de lien radio.
Ce problème est renforcé en présence de fading plat.
Conclusion n°3 :
Le canal radio en présence de fading n’est pas
stationnaire les liens radio peuvent varier même pour
un réseau statique.

13-nov.-06 Lyon 62
III- Interférences
-20
-30
-40
-50
-60
-70
-80
0 100 200 300 400 500
13-nov.-06 Lyon 63
III. Interférences
Icc :

13-nov.-06 Lyon 64
Cas WiFi

13-nov.-06 Lyon 65
III-2. WiFi : 802.11b
AP
1 point d'accès muni de
Carte Carte
2 cartes :
A B
même canal
Réseau Réseau
Débit réel mesuré :
1 2
3,5 Mbit/s
Canal Canal
10 10

13-nov.-06 Lyon 66
III-2. WiFi : 802.11b

AP
2 cartes :
canaux 10 et 11 Carte Carte
Débit réel mesuré : A B
1,7 Mbit/s Réseau Réseau
1 2
Canal Canal
10 11
Brouillage entre canaux

13-nov.-06 Lyon 67
III-2.CSMA/CA : 802.11b

2 cartes : AP
canaux 10 et 12 Carte Carte
Débit réel mesuré : A B
2,2 Mbit/s Réseau
Réseau
1 2
Canal Canal
10 12
Brouillage entre canaux

13-nov.-06 Lyon 68
III-2.CSMA/CA : 802.11b
1 point d'accès muni de AP

2 cartes : Carte Carte
canaux 10 et 13 A B
Débit réel mesuré : Réseau
Réseau
3,8 Mbit/s 2
1
Canal Canal
10 13
Indépendance des canaux

13-nov.-06 Lyon 69
III Interférences
Conclusion n°4 :
Les interférences doivent être considérées sous 2 angles :
-Interférences « signal » : SINR
-Interférences « frame » : collisions

13-nov.-06 Lyon 70

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Partie I : La norme WiFi Partie III : La réception

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Affaiblissement en espace libre

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11 Mb/s 5,5 Mb/s 2Mb/s 1Mb/s

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Le path loss est une combinaison de plusieurs termes

PL( x) = PL1 + PL 2 + PL3 + L

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

Niveau de signal (dB)

-50 -40 -30 -20 -10 0 10 20 30 40 50

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

Le path loss peut être vu comme la somme d ’un terme

PL( x) = PL50 ( x) + PLS

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

Limite de couverture distance (m)

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

Marge de shadowing importante

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

empiriques (COST 231)

Le modèle circulaire n’est pas réaliste en environnement

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

II-1) SNR -30

BER FER -70

Canal AWGN -30

Notion de zone de couverture?

Evanouissements ‘plats’ ou ‘rapides’

Attention, porteuses déphasées les unes par rapport aux autres Ts

La cohérence spatiale et la cohérence temporelle sont faibles.

1er cas : pas de chemin LOS : plusieurs chemins issus de

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA- BPSK

pathloss fading bruit

Variations de SNR : quelle est la loide γ(t)???

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

le SNR varie au cours du temps.

distribution de Rayleigh normalisée p(x)

BER in AWGN and Rayleigh channels

Canal AWGN Canal Rayleigh

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

2ième cas : un chemin LOS stable + des variations (chemins

Loi de l’enveloppe : distribution de Rice

distributions de Rice à puissance constante (A2/2+σ2=1)

Statistiques de second ordre

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

Fréquence de décalage par effet Doppler

Canal de Rayleigh => spectre Doppler classique

Niveau moyen (Γ)

interprétation dans le domaine spectral

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

Résumé sur les évanouissements ‘plats’

Jean-Marie Gorce - CITI - Dept TC - INSA-

Evanouissements sélectifs (selective fading)