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CHAPITRE I : BIG DATA EVOLUTION DES BDD

1. Définitions
C’est un ensemble d’entités de données hétérogènes en extensibilité permanente qui ne peuvent
pas pris en charge par les systèmes de gestion de données classiques
2. Les Big Data sont-elles vraiment nouvelles ou s'agit-il d'une évolution des systèmes
de gestion des données ?
-c'est en fait les deux. Avec Big Data, il est désormais possible de virtualisées les données afin
qu'elles puissent être stockées efficacement, et en utilisant un stockage en nuage, plus
économique.
3. Architecture Big Data
On distingue principalement les couches suivantes:

 Couche matériel (infrastructure Layer):Peut employer des serveurs virtuels VMware,


ou des serveurs physiques
 Couche stockage (Storage layer): Les données seront stockées soit dans une base No
SQL, ou bien directement dans le système de fichier distribué
 Couche management et traitement: On trouve dans cette couche les outils de
traitement et analyse des données
 Couche visualisation. Une architecture Big Data doit inclure un ensemble de services
qui permettent d'utiliser une multitude de sources de données de manière rapide et
efficace. Parmi les composants de cette architecture, citons :
o Infrastructure physique redondante : L'infrastructure physique est basée sur
une architecture distribuée ou les données peuvent être stockées physiquement
dans plusieurs sites connectés par le biais des réseaux
o Sécurité d’infrastructure :. Un système Big Data doit authentifier les
utilisateurs et prendre en charge l’attribution de privilèges qui permet à ces
utilisateurs de disposer légitimement d’un accès aux données.
4. Avantages de l’architecture Big Data
Plusieurs avantages peuvent être associés à une architecture Big Data citons par exemple :
 Extensibilité (scalabilité): Le concept Big Data apporte une architecture Scalable qui
peut prévenir la taille d’infrastructure et l’espace disque nécessaire.
 Performance: Grâce au traitement parallèle des données et à son système de fichiers
distribué, le concept Big Data est hautement performant en diminuant la latence des
requêtes.
 Coût faible: On n’aura plus besoin de centraliser les données dans des baies de stockage
souvent excessivement cher, grâce à un système de fichiers distribués, les disques
internes des serveurs suffiront.
 Disponibilité: On a plus besoin des RAID disques, souvent coûteux. L’architecture Big
Data apporte ses propres mécanismes de haute disponibilité.
5. Stockage de données et virtualisation : Pour mieux contrôler l'utilisation et la
performance des ressources informatiques et en particulier le stockage, on applique de
la virtualisation. C’est une technologie fondamentale mise en œuvre à la fois dans les
Big Data et le Cloud Computing. La virtualisation des données peut être utilisée pour
créer une plate-forme pour les services de données liés dynamiquement. Cela permet de
rechercher facilement les données et de les relier par une source de référence unifiée.
Par conséquent, la virtualisation des données fournit un service abstrait qui présente des
données sous une forme cohérente quelle que soit la base de données physique sous-
jacente. De plus, la virtualisation des données expose les données mises en cache à
toutes les applications pour améliorer les performances. La virtualisation de stockage
combine les ressources de stockage physique afin de les partager plus efficacement, cela
réduit le coût du stockage et facilite la gestion de données requises pour l’analyse. La
virtualisation des données et du stockage joue un rôle important en facilitant et en
réduisant le coût de stockage, de recherchée d'analyse des données, structurées et surtout
non structurées, hébergées dans les environnements Big Data. Avec la virtualisation, la
base de données peut être stockée en tant qu'image virtuelle et appelée chaque fois
qu'elle est nécessaire sans consommer davantage des ressources de Data Center

CHAPITRE II : CLOUD PRIVE, PUBLIC ET HYBRIDE

1. Modèles de déploiement
Nous distinguons deux formes principales de déploiements du Cloud Computing suivant le
réseau dans lequel les services sont disponibles: Cloud public et Cloud privé, ainsi deux autres
formes dérivées, à savoir Cloud communautaire et hybride

a. Cloud Public :.. Les services offerts sont accessibles via internet à tout lemonde qui
paye les services. Le principe est d'héberger des applications, en général des
applications Web, sur un environnement partagé avec un nombre illimité d'utilisateurs.

b. Les Cloud publiques sont viables parce qu'ils gèrent généralement des charges de travail
relativement simples et répétitives comme par exemple, le courrier électronique. En
outre, les entreprises peuvent choisir de stocker leurs des données où le coût par
gigaoctet est relativement peu coûteux par rapport au stockage acheté .Les services
offerts par les Cloud publiques ne sont pas identiques. Certains sont très extensibles
avec un niveau de sécurité élevé et une meilleure qualité de services. D'autres sont moins
robustes et moins sûrs, mais ils sont beaucoup moins chers à utiliser. Le choix dépendra
de la nature et l’importance des données et le niveau du risque qu’on peut assumer. Les
fournisseurs du Cloud publique les plus connus sont Google, Microsoft et Amazon
c. Cloud Privé C'est un environnement déployé au sein d'une entreprise ou organisation
qui en est la propriétaire, en utilisant ses infrastructures internes. Les ressources sont
détenues et contrôlées par le département informatique de l’entreprise ou les services
sont accessibles via le réseau privé. Le Cloud privé est un environnement hautement
contrôlé se trouvant derrière un pare-feu qui n'est pas ouvert à la consommation
publique.

Si une organisation gère un projet Big Data qui exige un traitement de quantités
massives de données, le Cloud privé pourrait être le meilleur choix en termes de latence
et de sécurité. Eucalyptus, Open Nebula et OpenStack sont des exemples de solutions
proposées pour la mise en place d’un Cloud privé.
Avantages

d. Cloud Communautaire : Dans ce modèle, les ressources, services et la propriété sont


partagés à l’échelle d’une communauté (ex. : à l’échelle d’un Etat, d’une ville, d’une
académie, etc.).Les services sont accessibles via l'interconnexion de réseaux
appartenant aux organisations de cette communauté.
e. Cloud Hybride :. Certains services sont accessibles via un réseau privé et d'autres via
Internet. Le futur devrait confirmer l’émergence du Cloud hybride qui consiste à la
cohabitation et la communication entre un Cloud privé et un Cloud publique dans une
organisation partageant des données et des applications.
2. Secrets du succès du Cloud :
On peut résumer le succès du Cloud dans les points suivants:
 Aucun investissement initial (Sans infrastructure propriétaire)
 Facturer à l’usage (Pay As You Go)
 Simplicité d’accès et d’utilisation de services complexes
 Réduction des coûts et du sous exploitation du matériel, licences, par consolidation et
facturation réelle
 Puissance de calcul élastique
 Transfert de risques vers le fournisseur

CHAPITRE III : IOT : REALITE AUGMENTEE ET REALITE


VIRTUELLE

1. définitions
a. Réalité virtuelle : est une expérience multimédia d’immersion où l’on reproduit un
environnement qui simule la présence physique dans le monde réel.
 une technologie immersive utilisant un casque connecté qui projette l’utilisateur dans
une simulation virtuelle modélisée en 3D.
b. La réalité augmentée : consiste à ajouter des éléments sensoriels générés par ordinateur,
comme du son ou des images, à des environnements du monde réel.
Voici quelques exemples d’évolutions récentes dans le domaine de la réalité virtuelle et de la
réalité augmentée :
 la multiplication des casques de réalité virtuelle comme Oculus Rift, Samsung
 la multiplication des casques ou lunettes de réalité augmentée comme les lunettes
Google

2. La Réalité Augmentée complète l’Internet des objets

 La Réalité Augmentée. Elle est un vecteur de la Révolution 4.0 à laquelle nous


assistons aujourd’hui. Comme nous venons de le dire, la Réalité Augmentée ne
remplace pas l’Internet des Objets mais le complète. Très souvent la Réalité
Augmentée dépend de l’Internet des Objets puisqu’elle est utilisée industriellement
comme son complément.
 Aujourd’hui on utilise la Réalité Augmentée pour transformer les données brutes
captées par les systèmes connectés. On transforme ces données en informations
accessibles et compréhensibles par tous. Le simple fait que les données du Cloud
(captées par les systèmes connectés) deviennent des images précises en 3D (créées en
Réalité Augmentée), fluidifie automatiquement leur compréhension.

a. Les casques en AR se placent entre l’IOT et l’AR

Nous avançons que la Réalité Augmentée complète l’Internet des Objets et nous allons vous
le montrer.

 Quand on parle de Réalité Augmentée on parle de casque de Réalité Augmentée très


souvent. Dans le cas de l’industrie, les casques en AR visent à téléporter une expertise
ou un savoir n’importe où, de manière à éviter le déploiement d’experts. L’expertise est
enregistrée dans le casque et il suffit de le porter pour y avoir accès.
 Avec la Réalité Augmentée le fonctionnement est tout autre. Le technicien est
indépendant et il voit la procédure à suivre grâce à son casque. Toute la procédure de
détection des problèmes est enregistrée dans le casque en Réalité Augmentée, toute la
procédure d’intervention l’est aussi. Le technicien n’a plus besoin d’être en liaison
directe avec un expert, il peut maintenant agir seul. Mais pour que le casque en AR
puisse montrer au technicien d’où vient l’erreur sur tel ou tel appareil, il lui faut des
données. C’est ici que l’IOT intervient. Le casque en Réalité Augmentée est connecté
aux capteurs de l’appareil qui lui renvoient les informations traitées. Le technicien a
donc automatiquement une vision d’ensemble sur l’appareil à réparer. Il a cette vision
grâce à des indications en AR via son casque.
 . Ici on voit très clairement que l’AR ne remplace pas l’IOT mais le complète

CHAPITRE IV : IMPACT DES RESEAUX SOCIAUX, DU WEB


SEMANTIQUE (WEB 3.0)
1. Qu’est-ce que le web 3.0 ?

 Il n’est pas encore défini et émerge doucement au fil de l’évolution des


technologies de ce secteur.
 Le Web 3.0, c'est la nouvelle génération de technologies Internet qui repose
largement sur l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle (IA). Il
vise à créer des sites Web et des applications web plus ouverts, plus connectés
et plus intelligents, qui se concentrent d'avantage sur l'utilisation des données en
se basant sur la compréhension et le Processing de celles-ci par des machines.

2 .Un bref historique de l'évolution d'Internet

 Le Web 1.0

par l’auteur et le concepteur de sites web Darci DiNucci, lors de la distinction entre le Web 1.0
et le Web 2.0. Au début des années 1990, les sites web étaient construits en utilisant des pages
HTML statiques qui n'avaient que la possibilité d'afficher des informations – il n'y avait aucun
moyen pour les utilisateurs de modifier les données qu'elles contenaient.

 Le Web 2.0

. Cela a permis de passer d'un Web statique à un Web plus dynamique, en mettant l'accent sur
le contenu généré par les utilisateurs et l'interopérabilité entre différents sites et applications.
Au milieu des années 2000, la plupart des sites Web avaient réalisé la transition vers le Web
2.0.

 L'avenir

, ce qui signifie qu'elles seraient en mesure de fonctionner sur de nombreux types de matériels
et de logiciels différents sans frais supplémentaires.

Le Web 3.0 vise également à rendre Internet plus ouvert et décentralisé. Dans le cadre actuel,
les utilisateurs doivent se fier aux fournisseurs de réseaux et de téléphones cellulaires qui ont la
main mise sur l'information transitant par leurs systèmes. Avec l'avènement des technologies
de registres distribués, cela pourrait bientôt changer et les utilisateurs pourraient reprendre la
propriété sur leurs données

3. Qu'est-ce qui rend le Web 3.0 supérieur à ses prédécesseurs ?

 Aucun point de contrôle central : Puisque les intermédiaires sont retirés de


l'équation, les données utilisateur ne seront plus contrôlées par ces intermédiaires.
Cela réduit le risque de censure de la part des gouvernements ou des entreprises et
réduit l'efficacité des attaques par Déni de Service (Dos).
 Interconnectivité accrue de l'information : Au fur et à mesure que plus de produits
deviennent connectés à Internet, de plus grands ensembles de données fournissent
plus d'informations à analyser aux algorithmes. Cela peut les aider à fournir des
informations plus précises qui répondent aux besoins spécifiques de chaque
utilisateur.
 Navigation plus efficace : Lorsque vous utilisez des moteurs de recherche, trouver
le meilleur résultat se trouvait être une tâche un peu difficile
 Amélioration de la publicité et du marketing: Personne n'aime être bombardé de
publicités en ligne. Cependant, si les publicités devenaient pertinentes pour les
intérêts et les besoins de l'utilisateur, elles pourraient ainsi se rendre utiles au lieu
d'être gênantes. Le Web 3.0 vise à améliorer la publicité en exploitant des systèmes
d’IA plus intelligents qui cibleraient des publics spécifiques basés sur les données
des consommateurs.
 Un meilleur support client : En ce qui concerne les sites Web et les applications
web, le service client est la clé d'une expérience utilisateur fluide. En raison des
coûts massifs induits, cependant, de nombreux services web à succès sont incapables
d’adapter leurs opérations de service à la clientèle de manière proportionnelle en
termes de quantité. Grâce à l'utilisation de chat-bots plus intelligents qui peuvent
parler à plusieurs clients simultanément, les utilisateurs peuvent profiter d'une
expérience supérieure lorsqu'ils ont à faire avec des agents de support.

4. Les caractéristiques du web 3.0

Une application Web 3.0 doit présenter certaines caractéristiques :

 Techniquement, c’est une solution web qui comprend des pages html connectées à une
base de données relationnelle (SQL Server, Oracle, MySQL…)
 Elle doit être indépendante de tout type de support, de tout système d’exploitation, et
de tout matériel (fabricant, marque, logiciel, ou de plugin)
 Elle doit être accessible, strictement en conformité avec le W3C, ce qui permet de
rendre d’autres logiciels accessibles à l’aide de Micro format et ouverts aux bases de
données diverses.

. Chiffre d’affaires

Sans les réseaux sociaux, les entreprises n’auraient pas pu exploiter leurs avantages au niveau
des revenus qu’ils peuvent permettre de générer et ainsi accroitre leur chiffre d’affaires. En
effet, ces réseaux permettent aux entreprises d’avoir une meilleure gestion de leur image, de
pouvoir mieux cibler les clients ou prospects afin de leurs proposer les meilleurs offres
possibles, d’étendre leur influence auprès des internautes, de mieux informer les personnes
qui les « suivent » sur ces réseaux, de recruter des employés qui répondent à leurs critères de
sélection, etc. On peut donc déclarer que les réseaux sociaux ont un impact positif au niveau
des conséquences sur leur chiffre d’affaires

Definir un reseau social

« un ensemble de relations entre un ensemble d’acteurs »[6]. Cet ensemble peut être organisé
(c’est le cas d’une entreprise) ou non (comme un réseau d’amis) et ces relations peuvent être
de nature fort diverse (pouvoir, échanges de cadeaux, conseil, etc.), spécialisées ou non,
symétriques ou non. Il s’agit d’un élément immatériel qui définit l’interaction entre des
éléments ou des personnes qui font partie d’un même ensemble en vue de leurs points
communs, matériels ou immatériels.

les services de réseaux sociaux peuvent se définir comme étant des services Internet qui
permettent à leurs utilisateurs :
 De construire un profil public dans le cadre d’un système délimité
 D’organiser une liste d’utilisateurs avec lesquels ils partagent des relations différentes
 De voir et de croiser ses listes de relations mais aussi celles d’autres utilisateurs qui
sont dans le système.

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