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Etude qualitative :

L’Objectif de cette étude est d’avoir une idée profonde sur les comportements de
consommateurs afin de les expliquer et dévoiler les facteurs inconscients, suite à
cette étude faite sur la problématique : quel comportement adopte le consommateur
face à une situation de pandémie, et après la lecture de certains articles on a pu
avoir une vue sur les variables qui affectent d’une directe ou indirecte la
consommation du consommateur lors d’une catastrophe comme la pandémie.

L’état psychologique de consommateur joue un rôle très marquant sur la variation


de la consommation c’est ce qui est marqué dans l’article ( Évaluation au 30 mars
2020 de l'impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures de
confinement en France) Le scenario étudié avec l’effet psychologique est plus
sévère, comme exemple les craints des effets négatifs pour le transport, les services
collectifs aussi les marchés boursiers peuvent être affecté négativement. Nous
commentons ci-dessous ces qualifications :

Taux d’absentéisme : les personnes qui restent chez eux parce qu’elles ont peur de
l’infection

Durée de la pandémie : la durée de la pandémie a un impact sur l’offre, qui va


surement impacter la consommation

Parmi les variables psychologiques on trouve la panique et l’inquiétude .Ces deux


variables qui sont traités par quelques articles dont le sujet est le comportement du
consommateur face à une situation de catastrophe sont des états d’esprits qui
marquent probablement les consommateurs après un événement inhabituel.

Plusieurs articles ont mis en lumière ces variables comme il est marqué dans l’article
de Damienne Provitolo, Edwige Dubos-Paillard, Nathalie Verdière, Valentina Lanza,
Rodolphe Charrier, Cyrille Bertelle et M.A. Aziz-Alaoui la panique dans une foule est
une circulation d’une émotion qui va transformer une somme d’individus qui ont des
réactions individuelles diverses, en un groupe agissant collectivement, la panique
collective émerge via des processus de contagion et d'imitation.

La même variable est traitée par Estelle Masson, Claude Fischler, Stéphane Laurens
et Jocelyn Raude pour eux la psychologie collective a boosté la manifestation de la
panique sans raison valable ou irrationnellement ce qui a provoqué une chute brutale
de consommation. Ces derniers ont trouvé aussi qu’après un événement qui n’est
pas ordinaire ou après une catastrophe ou une crise sanitaire comme il est indiqué
dans leur article toute nouvelle annonce sanitaire ne rassure pas seulement le
consommateur mais elle provoque un mouvement d’inquiétude aussi. L’inquiétude
est un état d’esprit que Pierrine Didier n’a pas oublié de traiter dans son article la
construction de la sécurité sanitaire des aliments en milieu domestique en
France(Maine-et-Loire) en précisant qu’après les problèmes sanitaires à cause des
aliments l’inquiétude des consommateurs est devenu remarquables envers certains
substances présentes dans les aliments comme les produits chimiques.
Une des variables la plus redondante lors de notre étude on trouve L’alerte de
risque : Unité de lieu et temps qui est traitées par 3 articles :
Article1 : Représentations des risques et comportements humains face aux
catastrophes : selon André Dauphiné et Damienne Provitolo, « les comportements
humains en situation exceptionnelle de catastrophe sont majoritairement adaptés
à la situation », le lieu et le temps de la pandémie affectent les agents économiques.
Pour l’unité de temps, 2 scénarios existent, au cas où l’événement est annoncé on
remarque de mouvement et des réactions pour faire face au danger futur
(approvisionnement, confinement…), dans le 2eme cas, les comportements sont
ceux du quotidien jusqu’au moment du choc. L’unité de lieu signifie les
caractéristiques de la zone impactée (Densité, l’existence des lieux d’espaces aérés,
le niveau de moyenne des constructions, installations adaptées pour faire face à la
catastrophe) ainsi que la localisation de l’individu par rapport à l’événement (zone
d’impact, zone de destruction, zone marginal, zone extérieur).
 Article2 :Community knowledge, behaviours and attitudes about the 2009
H1N1 Influenza pandemic: une étude réalisée par Rebecc Tooher, Joanne E.Collins
et autre, traitant la variable de temps et lieu par un exemple d’un risque sanitaire
impactant Royaume-Uni et Mexique en même temps qui ont respectivement les
valeurs les plus faibles et les plus élevés de lavage des mains mais les derniers avec
un taux de décès ou mortalité plus élevé parce que les mesures n’ont pas été prises
le plus vite possible, donc le facteur de temps joue un rôle très important dans notre
cas
Article 3 : Vulnérabilité aux risques naturels en milieu urbain : effets, facteurs
et réponses sociales crée par Jean-Claude Thouret et Robert d’Ercole, traite par le
‘lieu’ le sujet de la société où l’événement se produit ; les réponses des sociétés
modernes sont plus uniformes (cordonnées) au contraire des sociétés points
développées, où les réponses sont hétérogènes et fondés sur aucune base
scientifique. Pour l’unité de temps, les actions prise avant, durant et après
l’événement ou le moment de choc sont important car elles permettent l’amélioration
des réponses futures. Avant le choc, il faut appliquer une politique de sensibilisation
pour les personnes concernées. Durant l’événement l’action la plus importante est le
maintint des actions préventives ainsi que l’acceptation de l’endommagement, pour
passer finalement aux phases d’adaptation et de secours.
Après chaque risque les individus adopte des comportements différents d’un à l’autre
et cela à cause de leurs caractéristiques. Et cela est bien compris lors de notre étude
car on a constaté que la variable des caractéristiques de l’individu menacé prend une
grande place dans traité 3 articles traités lors de notre étude.

- Article1 : Représentations des risques et comportements humains face aux


catastrophes : pour André Dauphiné et Damienne Provitolo, selon l'auteur, le
comportement humain est l'ensemble des réactions  déclenchées par une excitation
ou une mutations des conditions des vies, et qui dépends du temps et du milieu. Et
parmi les caractéristiques impactant le comportement des ménages, on trouve
facteurs physiques (âge, agilité…)
les apprentissages et l’expérience (culture du risque), la croyance, les motivations
propres à chacun (rejoindre sa famille, sauver ses proches, devenir un héros…), la
densité de la population…
Article2 :Community knowledge, behaviours and attitudes about the 2009
H1N1 Influenza pandemic: une étude réalisée par Rebecc Tooher, Joanne E.Collins
et autre, et dans laquelle les individus sont devisés en 2 sous-groupes, et leurs
comportements se différencient selon les caractéristiques de groupe, premier sous-
groupe nommé «  répondeur actif », constitué des personnes âgées, plus instruites,
matures et favorisées socialement, elles sont plus susceptibles d’avoir une bonne
connaissance de la pandémie et d’adopter les comportements préventifs
recommandé. Leurs réactions et due à 2 facteurs, la maturité et la peur à cause de la
vulnérabilité (âge). La 2 éme partie de la population sont des jeunes ainsi que les
individus avec un bas niveau d’étude, qui non pas vraiment des connaissances
spécifiques et une forte perception de risque, et nécessitent plusieurs actions pour
les convaincre.
Article 3 : Vulnérabilité aux risques naturels en milieu urbain : effets, facteurs
et réponses sociales : crée par Jean-Claude Thouret et Robert d’Ercole, l’idée de ces
auteurs est que les comportements varient selon les caractéristiques de l’individu,
c’est à-dire « cinq étapes façonnent la perception du risque et le comportement
consécutif de l’individu : entendre l’information, Confirmer, comprendre le message,
personnaliser la teneur, entreprendre l'action » la réponse à chaque étape change
d’un individu à un autre, à cause des facteurs sociaux géo et économiques (la
population, sa structure et mobilité, hiérarchie …).

L’étude qualitative nous a permis d’avoir une idée sur la perception de risque chez
les consommateurs, pas mal d’articles qui ont entamés ce variable dans leur étude.

Pour Pierrine Didier dans son article où il parle de la sécurité alimentaire a


mentionné que le risque alimentaire varie d’une personne à une autre en fonction
des expériences et  des connaissances relatives à chaque individu, certain
consommateurs ont préféré de changer leur consommation pour prévenir les risques
en adoptant des stratégies de contournement.

D’autres ont adapté leur consommation d’après les informations connues et à leurs
impacts sur la perception des risques.
Les frontières du risque varient d’un individu à un autre, en fonction des
connaissances et des expériences propres.
Chez  PATRICK PERETTI-WATEL dans son article LA CRISE DELA VACHE
FOLLE: UNE EPIDEMIE FANTOME? Patrick a constaté qu’après la crise de la vache
folle les consommateurs sont divisés entre ceux qui se caractérisent par une
méfiance générale  à l'égard des autorités et qui se sentent personnellement en
danger et estiment que les risques pour sont élevés pour les Français et d'autres qui
font confiance aux actions des autorités comme aux informations diffusées.
La perception de risque a pris une partie importante dans l’article de Damienne
Provitolo ,Edwige Dubos-Paillard, Nathalie Verdière, Valentina Lanza,
Rodolphe Charrier, Cyrille Bertelle et M.A. Aziz-Alaoui( les comportement humains
en situation de catastrophe) chez eux la perception du risque change selon la
phase de catastrophe: les comportements réflexes se déroulent sur une période
brève. Ils sont suivis des comportements raisonnés et/ou de comportements donnant
lieu à la panique. Dans cet article on constate qu’après toute catastrophe des
différentes comportements se manifestent chez le consommateur on peut citer :
Les comportements Réflexes déclenchés lors d’un danger permettent à
l’organisme de réagir extrêmement vite, les comportements de Panique qui se
déclarent lors d’évènements catastrophique et les comportements Contrôlés
Pierrine Didier dans la construction de la sécurité sanitaire des aliments en
milieu domestique en France(Maine-et-Loire) a constaté que les comportements des
consommateurs s’adaptent en fonction de la perception d’une menace supposée
pour la santé ou par le changement de comportement pour prévenir un risque qu’ils
ne sont pas en mesure d’évaluer ou par l’adaptation de la consommation en
fonction des données. Pour Johanna Etner dans son article Comment comprendre
les comportements face à l'évolution des risques ? Une approche par les modèles de
décision a mentionné que la perception des risques varie selon chaque individu:

-selon le genre:selon Finucane et al. 2000, Flynn, et al. 1994 D’une manière
générale, les femmes prennent moins de risque que les hommes car elles ont
tendance à juger les risques comme « très élevés » plus fréquemment que les
hommes.
-selon l'âge:selon Lundborg et Andersson (2008) les jeunes prennent plus de risque
et cela quel que soit le genre.
Et qu’il existe trois catégories d’individus:.

.Les pessimistes surestiment la probabilité de maladie et peuvent alors réagir de


façon disproportionnée en choisissant d’investir beaucoup en prévention.
.les optimistes représentent Le phénomène inverse
.les fatalistes ils sont insensibles aux variations de probabilités, ils ne croient pas à la
pertinence des mesures de prévention et décident de ne pas se prémunir (refus des
vaccinations par exemple). Il a mentionné aussi que selon Schulze et al. (1986),
McClelland et al. (1993), Schade et al. (2004) Les individus ont soit tendance à
ignorer et à traiter comme nulles les faibles probabilités, ce qui revient à nier
l’existence de ce risque, soit au contraire à les surévaluer, c’est-à-dire à amplifier la
possibilité d’une catastrophe

-le risque est purement subjectif et qu’il est influencé par une multitude de facteurs
(irréversibilité, caractère volontaire, immédiateté, …).
Et selon Combs et Slovic (1979) et Slovic et al. (1982) les individus ont tendance à
surévaluer les risques car ils ont peu d’information directe à partir de leur expérience
propre sur les risques. Mais plus les risques ont été médiatisés, plus les individus ont
tendance à les surestimer.
André Dauphiné et Damienne Provitolo dans leur article : Représentations des
risques et comportements humains face aux catastrophes : traitent les origines
et les facteurs influançant la perception de risque. L’origine de la perception est le
courant classqiue (1970) qui trouve qu’il y ‘a une opposition entre risque et bénéfice,
en 1980 la théorie culturaliste par M.Douglas montre la perception est influencé par
les différentes cultures ainsi que d’autres facteurs. Et finalement, une approche
constructive voit le jour et qui réunit entre la perception individuelle et collective de
risque. La perception individuelle est affectée par plusieurs facteurs Les facteurs
influençant la perception des risques (facteur sociaux, facteurs culturels, référence
personnel, caractéristique des effets, capacité de gestion). Ces facteurs se traduisent
en sous-estimation ou exagérations du risque perçus. Cette différence de perception
de risque existe de plus entre les experts et les profanes car ces derniers utilisent
des facteurs qualitatifs alors que les experts utilisent des facteurs mesurables. La
perception de risque a pris grande partie dans l’article :Community knowledge,
behaviours and attitudes about the 2009 H1N1 Influenza pandemic : une étude
réalisée par Rebecc Tooher, Joanne E.Collins et autre, montre que la perception de
risque change selon la sensibilisation des individus de l’évènement et les savoirs
spécifiques, plus les information sont élevés plus la perception est élevée plus la
préoccupation et les actes préventifs sont élevés.

L’étude nous a permis d’avoir différentes idées sur la gestion d’une pandémie :
dans l’article L’État belge face à la pandémie de Covid-19 : esquisse d’un régime
d’exception, cet article avait parlé principalement sur la gestion de la crise dans les
deux côtés : fédéralisme et parlementaire. Dans ce dernier Frédéric Bouhon, Andy
Jousten, Xavier Miny et Emmanuel Slautsky se sont intéressé au niveau fédéralisme
pour la gestion d’une pandémie on mettant le point sur les principales compétences
de la Belgique pour faire face à une telle situation de crise a l’aide de son autorité
fédérale en clarifiant que la gestion d’une pandémie au sein d’un pays ne dépend
pas juste d’un niveau de pouvoir déterminé mais plutôt de toutes les autorités du
coup la bonne gestion auprès des responsables est nécessaire dans ce cas-là, sans
oublier certains domaines eux même qu’il faut prendre en considération, le domaine
de la santé qui nécessite lui aussi une amélioration avec l’établissement des
législations pour lutter contre les pandémies et pour éviter les problèmes qui
poussent à aggraver l’état sanitaire de la population, de même le domaine de
l’enseignement qui nécessite des mesures a prendre dans une telle situation sans ,
le même cas pour le domaine de la justice qui peut connaître un ralentissement au
niveau du fonctionnement des autorités et le plus important c’est de essayer de
maintenir la sécurité au sein du pays avec la prise de certaines mesures d’urgence
pour limiter la propagation de la maladie ( confinement, interdiction de certaines
activités).

Au niveau parlementarisme qui nécessite l’octroi des pouvoirs aux exécutifs en


Belgique ce qui permet de les octroyer au Roi principalement et donc il faut la prise
de mesures par le roi pour lutter contre la pandémie à l’aide du gouvernement
comme le soutien de l’économie , la protection des travailleurs et même la fermeture
des frontières en cas d’aggravation de situation .
Et dans l’article Comment gérer éthiquement une pandémie grippale ? À travers
lequel le Comité consultatif national d’éthique a présenté certaines propositions pour
la gestion d’une pandémie de grippe, en commençant tout d’abord par le fait que
l’État doit en premier lieu se légiférer pour gérer la situation et protéger les citoyens
avec la prise des mesures nécessaires à l’aide des autorités qui doivent rapidement
élaborer un plan d’action valide . En citant encore que l’élaboration d’une stratégie
vaccinale peut aider généralement à diminuer les infections et dans les pires des cas
les citoyens doivent disposer des moyens nécessaires de protection sans oublier la
nécessité de certains corps de métiers pour la continuité de fonctionnement du pays
tels que les médecins.

Et puis Gilles Brücker dans son article : Les maladies de la décennie, crée par Gilles
Brücker qui essaye de montrer que dans une situation critique ou de pandémie il faut
la mise en place d’un fonds mondial qui peut avoir pour objet de financer certains
programmes pour la lutte contre la pandémie avec le renforcement des capacités
déjà existantes avec l’aide des pays pauvres.
Au niveau de l’article :Gestion d’une épidémie par un service de santé au travail :
exemple de la pandémie grippale qui est élaboré par des experts dans le domaine de
la santé au travail qui essayent de montrer à travers ce dernier que pour gérer une
pandémie faudra la nécessité d’élaborer un plan de continuité des activités au sein
des sociétés pour maintenir en premier lieu la sécurité de l’entreprise surtout par les
entreprises qui ne peuvent pas arrêter leur fonctionnement en cas de crise sanitaire
et donc prévoir des modalités et des mesures à prendre dans une situation critique,
puis pour essayer d’élaborer un plan pour l’organisation du travail dans le cas de
transmission des maladies comme par exemple essayer de travailler à distance et
soutenir ses personnels.. de même un plan pour envisager des actions pour la
protection de la santé des personnels au sein de l’entreprise. Et pour la réussite de
ce plan d’action chez les sociétés il est important d’avoir une cellule de crise qui
dépend de la taille et la nature de la société.

La lecture des articles nous a permis d’avoir une idée approfondie sur Les mesures à
prendre en cas de pandémie cette variable est traitées par 3 articles :

1 er article : L’État belge face à la pandémie de Covid-19 : esquisse d’un régime


d’exception, Frédéric Bouhon, Andy Jousten, Xavier Miny et Emmanuel Slautsky
présentent les principales mesures d’urgences prises par la Belgique dans une
situation de crise ou de pandémie qui sont représentés par l’interdiction de plusieurs
activités avec le confinement de la population , puis la gestion de crise avec les
droits fondamentaux rends certains lieux inaccessibles avec l’interdiction des
voyages et donc l’interdiction des principales habitudes des citoyens pour éviter les
rassemblements.

2 ème article : Comment gérer éthiquement une pandémie grippale ? Il a été élaboré
pour montrer à propos de cette variable le comportement individuels et collectifs des
français en cas de pandémie sachant que ces dernières reconnaissent très bien
l’efficacité des mesures recommandées par les pouvoirs et le plus important c’est
que leur liberté doit connaître une limitation comme le cas de fonctionnement de la
vie économique et scolaire .
3 ème article : Gestion d’une épidémie par un service de santé au travail : exemple
de la pandémie grippale, les experts ont pu clarifier que la vaccination joue un rôle
très important dans une situation de pandémie quel que soit leur nature de plus des
masques respiratoires et même les antiviraux qui peuvent aider les malades dans
l’apparition des premiers symptômes et par la suite la nécessité de prendre des
mesures comme tous les pays tels que l’arrêt des transports et la fermeture des
établissements et frontières et d’autres autres .. Mais seules les mesures ne peuvent
pas être suffisante dans ce cas-là alors des mesures barrières doivent être elles
aussi prises tels que le lavage des mains par toutes les personnes et la limitation de
certains comportements tels que les déplacements avec la nécessité de modification
de certaines habitudes sociales et conserver les distances entre les citoyens. Parmi
Les comportements pris lors d’une catastrophe on trouve 4 articles qui traitent cette
variable :
Article1 : Représentations des risques et comportements humains face
aux catastrophes : André Dauphiné et Damienne Provitolo identifient les trajectoires
spatiaux des individus lors d’une crise (centripètes et centrifuges) ainsi que des
comportements pour faire face aux aléas tels que (approvisionnement, confinement,
mouvement d’évacuation)
Article2 :Community knowledge, behaviours and attitudes about the 2009
H1N1 Influenza pandemic : par Rebecc Tooher, Joanne E.Collins et autre voient que
plusieurs comportements préventifs sont pris pour faie face au risque, mais les
comportements signalés ne sont pas tous pris par les agents spécialement pour
réaliser les opérations importantes et délicates. Parmi les comportements les plus
utilisés, on trouve le lavage des mains et l’utilisation des masques. Mais les gestes
seront appliqués à un certain degré car plusieurs facteurs qualitatifs personnels
affectent le comportement (Evaluation personnelle du risque)
Article 3 : Vulnérabilité aux risques naturels en milieu urbain : effets,
facteurs et réponses sociales Jean-Claude Thouret et Robert d’Ercole identifient 3
modes de comportements. Le premier « l’absorbation passive de l’endommagement
répété » permet la prise en conscience des risques qui entoure l’individu ainsi que la
préparation pour faire face au risque futur, ensuite « l’acceptation de
l’endommagement » c’est à dire l’ajustement temporaire au effet des catastrophes, et
finalement « le réduction de l’endommagement » par une atténuation individuelle ou
collective pendant et après la catastrophes.
Article 4 : Vulnérabilité et Stratégies durables de gestion des risques: Une
étude appliquée aux ménages ruraux de Madagascar C Gondard Delcroix estime
l’existence de 3 types de comportements ou stratégies des agents, le premier les
stratégies de réduction des risques, c’est les outils et les efforts mis en place pour
éviter ou diminuer le risque, ensuite les stratégies d’assurance et finalement les
stratégies de réaction à la suite d’un choc exogène dont le but est de s’ajuster au
effet de la catastrophe. Ces comportements peuvent se deviser en des actions  ex
ante (gestion du risque en fonction des anticipations de l’agent) et des actions ex
post.
Cette étude nous a informés des différents facteurs de vulnérabilité :
Dans l’article : Vulnérabilité aux risques naturels en milieu urbain : effets,
facteurs et réponses sociales l’idée générale d’une définition donnée au terme
vulnérabilité par Jean-Claude Thouret et Robert d’Ercole est comme suit : la
vulnérabilité est être sensible au risque ainsi que trouver des difficultés pour se
recouvrir. On trouve 2 approches de système de vulnérabilité, l’approche classique
dont l’idée générale est de mesurer l’endommagement potentiel des éléments
exposés au phénomène. La nouvelle approche est complémentaire de la classique,
qui vise à distinguer les facterus de l’endommagement ou influant sur la capacité. En
gros la vulnérabilité est affecté par 3 grands facteurs : structurels
(sociodémographiques et économiques, socio-culturels, fonctionnels et techniques,
institutionnels et politico-administratifs), conjoncturel (lié au disfonctionnement urbain
et technique) et finalement géographiques (les unités de lieu et de temps précis)  
Et dans l’article : Vulnérabilité et Stratégies durables de gestion des
risques : Une étude appliquée aux ménages ruraux de Madagascar C Gondard
Delcroix trouve que la vulnérabilité est la non capacité de s’adapter et résister ou
choc, alors la résilience est la capacité de parvenir au risque et de la faire face à
travers des moyens, les capabilités des agents change selon le type de risque
(endogène ou exogène).
Et pour l’article : La fabrique des catastrophes « naturelles » où on trouve
2 types de vulnérabilité, la vulnérabilité géographique liée à 2 facteurs sa
configuration géomorphologique et la pression démographique expliquée par
l’accroissement de la population et les moyens de production et la dégradation des
zones naturelles (forêts, océan...), la deuxième vulnérabilité est celle liée au cas
alimentaire et sanitaire, en cas de catastrophes surtout alimentaire.
On a pu savoir après la lecture de plusieurs articles scientifiques que chaque
catastrophe qu’il se soit naturelle ou une crise sanitaire (pandémie) mène plusieurs
risque dans notre cas de pandémie cette variable est traitée par les articles suivants :
1 er article : Les maladies de la décennie, dans lequel Gilles Brucker essaye de
montrer l’ensemble des maladies et leurs risque sur la population et même leur
développement et le apparitions il a commencé par les maladies les plus émergentes
qui sont nouvelles et ont un grand risque telles que le coronavirus qui est un virus
hautement contagieux et qui laisse un grand impact sur l’économie du pays , puis il a
parlé des virus H1N1 et H5N1 qui est du principalement a l’abattage des animaux et
qui nécessitent une mobilisation durable , ensuite le chikungunya qui a provoqué
plusieurs cas de contamination avec une crise sanitaire et économique très
importante et donc il faut la nécessité d’un contrôle de l’environnement pour limiter
sa propagation . Puis l’article a mis le point en second lieu sur les maladies liées à
l’environnement savoir les menaces du réchauffement climatique , le canicule de
2003 et la légionellose qui ont été la cause d’une crise sanitaire remarquable et
l’augmentation de nombre de décès , par contre l’article n’a pas oublier les maladies
liées à la nutrition qui peuvent-elles même causer des problèmes dans la société voir
même une crise et bien sûr le bioterrorisme constitue une massacre maladie qui est
répandue dans la plupart des pays et qui nécessite des efforts financiers importants
en citant que l’Afrique est le continent le plus touché par ce genre de maladie.

2 ème article : Gestion d’une épidémie par un service de santé au travail : exemple
de la pandémie grippale, dans lequel les experts ont mis en place les principaux
risque que peut générer une pandémie, qui se fait principalement du fait que les virus
peuvent être pathogènes et peut apparaître et évoluer a tout moment et dans
n’importe quelle saison tout en sachant que chaque situation pareille peut pousser
les entreprises à réaliser plusieurs pertes qui perturbe leur situation surtout pour
celles qui se trouvent dans l’obligation d’arrêter le fonctionnement de leur activité et
même pour faire face, dans certains cas, à un taux d’absentéisme qui peut être
remarquable .
Bibliographie :

- Les comportements humains en situation de catastrophe : de l’observation à la


modélisation conceptuelle et mathématique :
https://journals.openedition.org/cybergeo/27150

- La crise de la vache folle : « psychose », contestation, mémoire et amnésie :


https://www.cairn.info/revue-connexions-2003-2-page-93.htm

- La crise de la vache folle : une épidémie fantôme ?


https://www.persee.fr/doc/sosan_0294-0337_2001_num_19_1_1510

- La construction de la sécurité sanitaire des aliments en milieu domestique en


France (Maine-et-Loire :

https://journals.openedition.org/socio-anthropologie/5112

-Chapitre 5 - Représentations des risques et comportements humains face aux


catastrophes :

https://www.cairn.info/risques-et-catastrophes--9782200278427-page-131.htm?
contenu=article

-La fabrique des catastrophes « naturelles » :

https://www.cairn.info/revue-natures-sciences-societes-2015-2-page-97.htm?
contenu=article

-Vulnérabilité aux risques naturels en milieu urbain : effets, facteurs et réponses


sociale :
https://horizon.documentation.ird.fr/exl-
doc/pleins_textes/pleins_textes_4/sci_hum/010006241.pdf

-Vulnérabilité et Stratégies durables de gestion des risques : Une étude appliquée


aux ménages ruraux de Madagascar :

https://journals.openedition.org/developpementdurable/1143#tocto3n2

-Community knowledge, behaviours and attitudes about the 2009 H1N1 Influenza
pandemic: a systematic review :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4634241/

-L’État belge face à la pandémie de Covid-19 : esquisse d’un régime d’exception :

https://www.cairn.info/revue-courrier-hebdomadaire-du-crisp-2020-1-page-5.htm

-Les maladies de la décennie :

https://www.cairn.info/revue-les-tribunes-de-la-sante1-2009-4-page-39.htm

-Gestion d’une épidémie par un service de santé au travail : exemple de la pandémie


grippale :

https://fr.booksc.xyz/book/24548250/958fce

-Comment gérer éthiquement une pandémie grippale ?

https://fr.booksc.xyz/book/14267995/77f0ea

-Comment comprendre les comportements face à l'évolution des risques ? Une


approche par les modèles de décision :

https://www.cairn.info/revue-humanisme-et-entreprise-2011-1-page-13.htm#

-Comportement du consommateur face à un risque endogène immédiat :

https://www.cairn.info/revue-economique-2010-3-page-543.htm?contenu=article

-Face au coronavirus, la pyramide des besoins de Maslow prouve sa pertinence :

https://www.google.com/amp/s/www.slate.fr/story/188262/psychologie-
consommation-epidemie-coronavirus-rehabilitation-pyramide-besoins-maslow-
securite%3famp

-Les effets de la pandémie sur la demande alimentaire :

http://www.fao.org/2019-ncov/q-and-a/impact-on-food-and-agriculture/fr/

-Impact économique de la crise sanitaire covid 19 :

https://www.nbb.be/fr/articles/impact-economique-de-la-crise-sanitaire-covid-19-un-
scenario
-La gestion des risques à la production de sécurité (cas pandémie grippale) :

https://www.cairn.info/revue-reseaux-2012-1-page-45.htmDe

-Impact de la crise sanitaire covid 19 sur le fonctionnement du système électrique :

http://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/impacts-de-crise-covid-19-systeme-
electrique&ved=2ahUKEwjHypW2gP3oAhVsA2MBHW93Ax4QFjAAegQIARAB&usg=
AOvVaw2rrGq9z4XMcSoLxtTE53Y_

-La crise sanitaire covid 19 et la consommation du carburant et produits pétroliers :

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.rte-
france.com/sites/default/files/impacts_de_la_crise_sanitaire_covid-
19_sur_le_systeme_electrique.pdf&ved=2ahUKEwij0YqkwPLoAhXFA2MBHXoWB1s
QFjAHegQIChAB&usg=AOvVaw0WunwvWAuHa3xSBgIsVBnc&cshid=15872316414
12

-Maladie du coronavirus 2019 :

https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/331685/nCoVsitrep01Apr2020-
eng.pdf

-Cancer du col et VIH en afrique :

https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs12558-009-0021-4

-Épidémiologie de la maladie d’Alzheimer :

https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2006/04/medsci2006
223p288/medsci2006223p288.html

-La science de microbiologie :

https://link.springer.com/content/pdf/10.1007/s11834-010-0036-2.pdf

-Évaluation au 30 mars 2020 de l'impact économique de la pandémie de COVID-19


et des mesures de confinement en France :Département analyse et prévision de
l’OFCE Sciences Po, OFCE :
-The macroeconomic effects of a pandemic in Europe - A model-based assessment
by Lars Jonung and Werner Roeger Directorate-General for Economic and Financial
Affairs :

https://drive.google.com/open?id=1aXarScNq44NXMEWkHPiBOnzQwORs59od

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