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DANS LA MAISON
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@ ) INTERVIEW EXCLUSIVE
Wendelle STEVENS,
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L'UFOLOGUE WENDELLE STEVENS
EST L'UN DES RARES CHERCHEURS
A TRAVAILLER PRESQUE
EXCLUSIVEMENT AVEC DES CONTACTES.
IL A AINSI REUNI UNE COLLECTION
IMPRESSIONNANTE DE FILMS
ET DE PHOTOS D’EXTRATERRESTRES.
RENCONTRE AVEC UN DES
« MASTODONTES » DE L’UFOLOGIE.
J endelle Stevens est I'un des plus anciens cher-
cheurs en ufologie du monde. En 36 ans de pra-
tique, il a étudié des centaines d'affaires diverses,
sm mais son principal domaine d’expertise reste Ie
sujet controversé des contacts humains avec des extra-
terrestres. En 1976, il fut le premier chercheur a s'inté-
reser aux affirmations du contacté suisse Eduard
«Billy» Meier (voir Facteur X n°49), dont les photogra-
phies d’ovnis prises en plein jour restent, dans le genre,
parmi les plus saisissantes jamais produites. La passion,
de Stevens pour ce genre d'images I'a ainsi conduit &
accumuler plus de 3000 photos d’ovnis et une grande
bibliothéque de films et de vidéos sur le sujet.
C'est en 1947 qu’il commenga a s’intéresser aux ovnis,
alors qu'il était affecté a Air Technical Intelligence
Center (ATIC) de Wright Field, a Dayton, dans Etat
de POhio. L'US Air Force avait alors laneé les projets
d'études Sign, Grudge (voir Facteur X n°38) et Blue
“ Lénorme collection personnelle
images d’evnis de Wendelle
Stevens est réunie dans une série
de livres initulés Photographies
'ovnis hélas toujours indisponible
‘on France). Dans ces ouvrages,
Stevens s'est force d
les conulars et s'est concentré
sur les images los pls eréibles.
Book (voir Facteur X'n°40). Stevens fat immédiatement
envoyé en Alaska pour superviser les plans de vol de
bombardiers B-29 chargés de dresser la carte du péle.
Tl découvrit en fait que derriére cette mission se cachait
‘un programme secret. Les avions étaient équipés de
technologies de détection électronique et de caméras
tres pointues pour enregistrer les fameux «foo figh-
ters». Comme le grade de Stevens n’était pas assez élevé
Pour avoir accés aux films, il interrogeait inlassable-
‘ment les pilotes, plutot volubiles. Enthousiasmé, Stevens
demanda alors l'autorisation a ses supérieurs de mener
lune enquéte sur les ovnis. On ne lui permit de le faire
qu’en dehors des circuits «militaires officiels». Ce n'est
done qu’en 1963, aprés 23 ans de service actif, que
Stevens, retraité de l'armée américaine, commence sa
carriére de chercheur en ufologie. Facteur Xa rencon-
‘tré pour savoir comment il a débuté sa collection de
photographies d’ovnis.
6 Fri commencé en découpant des articles sur ls ovis
parus dans les journaux du monde entier. Ensuite, j'ai com-
rencé a éerire aux gens qui avaient pris ces photoset & leur
ddemander des doubles. Maintenant, fil plus grande collec-
tion au monde.
Comment vérifiez-vous l’authenticité
des images et des affaires?
Si les images sont crédibles, je rends visite @ la personne
concern ct je soumets ss affirmations i une enguéte. Jexa-
mine aussi son matériel photo et e refs des photos &iden-
tique du ste oi les ovnis sont apparus, afin de pouvoir compa-rerT'échelle et les distances. Ces vrifications préliminaires
faites, je soumets la photographie originale & un certain
nombre de procédures d’analyse. Aujourd’hui, les tech-
niques informatiques permettent d’étre extrémement pré-
cis. Auparavant, expert se contentait d'examiner de
grands agrandissements avec des lentilles grossissantes,
Que vous ont raconté les pilotes des B-29
pendant votre mission en Alaska?
‘Lune des rencontres les plus remarquables que Von m'ait
rapportées i cette époque fut celle ’un ovni apparaissant
tout 4 coup a avant d’un bombardier B-29. Il avait en-
suite suivi quelques instants le trajet de Pavion avant de
disparatre en fléche dans le ciel. Dans tous les cas, les €qui-
‘Pages faisaient systématiquement état de perturbations électro-
‘magnétiques sur les instruments de vol. De plus, Pavion sem-
biait& chaque fois pris de secousses violentes.
Vous étes un des rares chercheurs encore
prét & prendre au sérieux les contactés.
Pourquoi cette fascination?
Avec les contactés on a une chance unique de recueillir bet-
coup informations supplémentaires sur ls extraterrestres et
leurs éventuels projets, dans la mesure ot ily a un dialogue
dans les deux sens. Ce gui mintéresse particulérement, ce
sont les cas particuliers oi je peux carrément demander aux
contactés de poser des questions aux extraterrestres et de rece-
‘oir ans, parfois, des réponses par leur intermediate.
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afin d’éliminer les photos qui utilisent des maquettes,
un des éléments de la procédure de test est
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a
‘du mouvement d’un objet peuvent étre estimées
4 partir de la « défintion des contours». On le fit
asada eee thee
les ondes lumineuses du bord avant de objet, alors
Car reer pean nee par Be
ney
1s Vobjet est proche de la lentile.
‘A Les rapports de pilates de le Seconde Guerre mondiale
0 sujet de trous de lumiére inexpliqués, les fameux «foo
fighters», incitorent les autores américaines & détacher une:
Unité aérienne spéciale chargée de filmer ces phénoménes
inconnus. Wendelle Stevens participa & cette aventure.
Parmi les cas de contactés sur lesquels vous
‘avez enquété, lequel vous parait étre le plus
extraordinaire ?
Sans aucun doute le contact de Bill Herrmann qui s'est pro-
Jongé tés longtemps aprés son enlévement par les extater
restres en 1977, Herrmann vvait alors Charleston, en Caro-
line du Sud, prés ’une base de 'Air Force américaine ot ui et
sa. femme virent& plusieurs reprises un omni qui volait en zig-
ag. Une nuit, Herrmann essaya méme de le regarder de plus
prés grice a des jumelles, mais il fut & ce moment-li enveloppé
dans un rayon de lumiérebleue qui Patra V'ntricur de Pov-
ni, Herrmann afirma que les extraterrstres qu'il avait rencon-
trés& Vintérieur de Papparel étaient amicaux, et que lorsqu'l
Jeur posit des questions il entendat leurs réponses en anglais
A Vintéreur de sa tite. Lorsqu'ildemanda pourquoi I visseau
ne cesssit pas de zigzagucr, ils lui repondirent que ces
maneuvres brusques vissient & éviter d'etre captés pat un
radar. Hélas, cee conduite désordonnée avait précédemment
‘eu pour résultat que trois de leurs appareils s’étaient écrasés, Ils
confiérent @ailleurs & Herrmann quils souhaitaient négocier
Ja restitution de leurs appareils tombés mais que le gouverne-
‘ment américain était trop hostile pour quis puissent dscuter
avec ii, Avant de le ramener chez Ii es extraterrestes Hui
dient quils venaient dune ds doles jumelles du systéme dt
Reticue. Ia, depuis, invté cing autres fos dans appari!
Quelles preuves ont été avancées
par Herrmann pour vous convaincre
que son expérience était bien réelle?
eux que fai désormais bapisés es Révculens envoyérent &
Herrmann de nombreuses informations pendant des états de
transe, Ce informations prenaient souvent la forme de longues
pages d’écriture automatique mais elles étaient dans un alpha-
bet complétement inconnu, Ces textes étaient aussi complétés
de fascinants schémas de leur systéme de propulsion et méme